- 28 avr. 2011, 13:39
#382684
Suite du journal intime fantasmé de mon ex-femme :
C’était le premier été qui a suivi la rupture avec mon mari. Je prenais une semaine de vacances dans un camping en Dordogne avec une amie, Mireille. Elle aussi, 40 ans ; elle aussi divorcée avec deux mômes. Schéma classique. Mireille est une jolie femme, cheveux courts et traits fins, aussi je m’étonnais qu’elle n’ait pas retrouvé un mec (elle était seule depuis des années). Le camping était situé au bord d’une rivière. Nous avions loué un grand bungalow en toile pour les enfants et nous deux. Les gamins jouaient tout le temps ensemble, faisaient les 400 coups : on ne les voyait pratiquement pas de la journée. Le temps était magnifique (nous étions en juillet).
Le premier jour, je vais dans l’espace sanitaire et prends ma douche, en fin d’après-midi, après une longue séance de bronzage. Dans la cabine d’à côté, j’entends des halètements. Puis la cloison vibre et les petits cris se transforment en couinement de plaisir. J’arrête de me savonner, intriguée, je dois l’avouer. Les cris s’arrêtent sur un long râle masculin suivi d’une phrase qui me semble être du néerlandais.
Je me rince, m’essuie, enfile un paréo, sors et me peigne les cheveux devant un lavabo surmonté d’un miroir. Il y en avait une dizaine alignés sur le mur carrelé de blanc. Une porte s’ouvre derrière moi, et je vois une minette rousse un peu gênée sortir de la cabine de douche qui jouxtait la mienne. Elle porte un maillot une pièce. Je lui donne vingt ans, pas plus. Avec elle, un gaillard guère plus âgé, blond, bien découplé, avec une fossette au menton et des yeux bleu, sorte de Kirk Douglas en plus jeune. Il me fait un sourire, je rougis. Les deux jeunes gens s’en vont.
Le soir, sur mon lit de camp, je repense à la scène, assez excitée. J’en avais parlé à Mireille qui avait bien rigolé. Je commence à me masturber en m’imaginant à la place de la rousse, culbutée sous la douche, et je jouis assez rapidement.
Il s’avérait que le beau blond campait juste en face de nous, dans un bungalow similaire au nôtre qu’il partageait avec deux potes, plus trapus et costauds, genre rugbymen. Ils faisaient pas mal de boucan et aimaient bien boire de la bière apparemment, comme tout bon hollandais qui se respecte. Souvent, ils jetaient des coups d’œil vers notre campement en nous souriant ou nous adressant des petits saluts de la main.
Un soir, ils demandent à nous emprunter un tire-bouchon (leur français était… approximatif), puis ils nous invitent ma copine et moi à prendre l’apéro avec eux. On accepte. S’en suit une joyeuse discussion. Nulle trace de la rousse. Elle avait disparu de la circulation ; en tous cas, elle ne campait pas avec eux. La discussion porte sur la France, les coins à voir dans la région, ce genre de choses. C’était très sympa. L’heure avance et on doit faire manger notre progéniture aussi abandonnons-nous presque à regret les trois larrons pour retourner à notre bungalow.
Quelques jours plus tard : soirée disco au camping. Ouais, boule à facettes, kitsch et tout ; la totale. Pas trop ma tasse de thé d’habitude, mais j’avais envie de me lâcher, de m’amuser. Mireille vient avec moi. Les enfants font les fous sur les Bee Gees et les Village People puis on les envoient se coucher ; il se fait tard. Le trio hollandais est là, lui aussi. Les garçons dansent sans complexe et semblent prendre du bon temps, rigolards. Je remarque qu’ils draguent à peu près tout ce qui porte un jupon. Soudain, « mon » Kirk Douglas me repère et me fait un clin d’œil. C’est le moment des slows. Il m’invite à danser. Je porte une jupe avec un minuscule string en dessous et j’ai peur qu’il me fasse tournoyer et révèle ainsi la chose aux yeux de tous. Mais il s’agit d’une danse calme : un slow. J’accepte l’invitation. Tout de suite, il me colle et ses bras se referment sur mon dos, doux et fermes à la fois. Je ne porte pas de soutien-gorge sous le tee-shirt. Il doit sentir la pointe des mes tétons qui durcit à son contact. Lui aussi durcit à mesure que nous tournons lentement sur nous même. Je le sens au niveau de mon bas ventre. Il bande contre ma chatte, bosse compacte, palpitante. Il me caresse le dos mais ne va pas plus loin ; pour ma part je suis un peu crispée, gênée, j’ai l’impression que tout le monde nous regarde. Le slow terminé, il me dit « merci », je réponds « c’est moi » et je prends la poudre d’escampette comme une ado rougissante. En passant derrière le bâtiment des douches, j’aperçois deux silhouettes entre le mur et une haie bien taillée. C’est Mireille, accroupie : elle suce à pleine bouche l’un des deux autres hollandais. Ils ne m’ont pas vu. Je m’arrête le souffle bloqué. Mireille lèche les couilles du mec puis s’attaque à nouveau à sa bite comme si sa vie en dépendait. L’autre lui fourrage les cheveux de ses doigts crispés comme des serres en geignant de plaisir. Des soubresauts spasmodiques m’indiquent qu’il vient de l’arguer une maxi dose de foutre dans la bouche de ma copine ; elle continue de pomper, avide, jusqu’à la dernière goutte. Je ne l’aurais jamais imaginée comme ça. Je m’éclipse et retourne me coucher au bungalow.
Là encore, je me branle ne silence, m’imaginant cette fois à la place de Mireille… mais avec la bite du blond dans ma bouche. Cela fait une éternité que je n’ai pas sucé un homme… Je m’endors après avoir joui en silence.
Le lendemain, je discute de « l’incident » avec Mireille. Elle me dit que j’ai une maxi-touche avec « Kirk », ce dont je me doutais. Je lui demande si elle a l’intention de revoir l’autre. Elle hausse les épaules et dit « sh’ai pas. En tous cas, c’était bien bon. Après la pipe, il m’a fait des trucs ; tu peux pas imaginer… ».
L’après-midi, je trouve un coin isolé au bord de la rivière, sorte de petite plage caillouteuse entourée d’arbres et de buissons. Je me baigne un quart d’heure puis je m’allonge sur la serviette avec mon livre de poche. Un coup d’huile solaire, puis je me plonge dans la lecture du bouquin, sur le ventre, coudes au sol. Au bout d’une heure j’entends des clapotis derrière moi. C’est Kirk qui nage à contre courant. Il me dit « bonjour » et demande s’il peut se joindre à moi. J’accepte.
Il sort de l’eau, en caleçon de bain fluo et s’assoit à côté de moi. Il est vraiment bien foutu. Je l’imagine monté comme un taureau. Je repose mon livre. Je porte un maillot noir, deux pièces, et je vois qu’il ne peut s’empêcher de lorgner mon cul, mon dos, mes cuisses. Nous discutons de la soirée d’hier. Oui, très amusante. La danse ? Oui, c’était agréable…
Il voit le tube de lotion solaire posé avec mes affaires et demande. « Tu veux que je… ? » ; il mime le geste en faisant semblant de s’enduire les bras, la nuque. Je suis toujours sur le ventre. J’hésite un instant avant de dire finalement « d’accord » avec un petit sourire. J’ai peur que d’autres nageurs viennent dans notre coin, mais pour l’instant, personne à l’horizon.
Il ouvre le tube, enduit ses mains. Elles glissent sur mon dos en lents allers retours. « Les cuisses ? » il risque. Je hoche la tête, les yeux fermés. C’est bon. Je mouille. Il s’attaque à mes jambes, remonte à la limite du slip. A une ou deux reprises, ses doigts effleurent le renflement du tissu abritant ma toison pubienne. « Tu veux … massage ? » il continue. « Oui, s’il te plaît ». Il s’assoit à genoux sur ma chute de reins et me malaxe sensuellement les épaules, la nuque, ses mains descendent. L’attache de mon soutien gorge entrave ses mouvements aussi je le dégrafe sans un mot. Ses mains explorent mon dos. « C’est bon ? » il demande. « Oui, très bon ». Il se décale, ses mains sont à la limite de mes fesses. Je sens qu’il bande à en faire exploser son caleçon. Il me baisse très légèrement le slip et masse le haut de mon cul. Comme il voit que je ne fais rien pour le stopper, il s’enhardit. Il passe sur le côté toujours à genoux. Sa main gauche caresse mon dos alors que la droite descend dans le slip à moitié baissé. Le tranchant de sa main huileuse glisse entre mes fesses. Il les écarte légèrement, descend encore jusqu’à la fente de ma chatte transformée en marécage tellement je suis excitée. Ses doigts explorent mes poils englués de sécrétions ; il va plus profond, atteignant de l’index mon clito avec lequel il commence à jouer en connaisseur. Il écarte mes grandes lèvres. Je me tortille, haletante. Lui aussi a le souffle court, les yeux presque exorbités. Il rentre le majeur dans ma chatte, explore ma cavité tapissée de muqueuses moites pendant que son pouce fait des cercles au niveau de mon anus de plus en plus dilaté. Je pousse un glapissement quand il l’enfonce dans mon cul, lentement, voluptueusement. Il imprime des va et viens pendant que deux autres doigts entrent dans ma chatte. Il me branle tout en continuant à me caresser le dos, à me donner des petits baisers au creux du cou. Je tourne la tête et il me roule la pelle du siècle : une véritable escalope s’entoure autour de ma langue. Sa main droite s’active toujours. Je suis excitée comme rarement je l’ai été. Je me tourne de côté, sur un coude. Mon soutien gorge est resté sur la serviette, j’enlève mon slip et écarte les cuisses l’air de lui dire « voilà, qu’est-ce que tu penses de la marchandise ? ».
C’était le premier été qui a suivi la rupture avec mon mari. Je prenais une semaine de vacances dans un camping en Dordogne avec une amie, Mireille. Elle aussi, 40 ans ; elle aussi divorcée avec deux mômes. Schéma classique. Mireille est une jolie femme, cheveux courts et traits fins, aussi je m’étonnais qu’elle n’ait pas retrouvé un mec (elle était seule depuis des années). Le camping était situé au bord d’une rivière. Nous avions loué un grand bungalow en toile pour les enfants et nous deux. Les gamins jouaient tout le temps ensemble, faisaient les 400 coups : on ne les voyait pratiquement pas de la journée. Le temps était magnifique (nous étions en juillet).
Le premier jour, je vais dans l’espace sanitaire et prends ma douche, en fin d’après-midi, après une longue séance de bronzage. Dans la cabine d’à côté, j’entends des halètements. Puis la cloison vibre et les petits cris se transforment en couinement de plaisir. J’arrête de me savonner, intriguée, je dois l’avouer. Les cris s’arrêtent sur un long râle masculin suivi d’une phrase qui me semble être du néerlandais.
Je me rince, m’essuie, enfile un paréo, sors et me peigne les cheveux devant un lavabo surmonté d’un miroir. Il y en avait une dizaine alignés sur le mur carrelé de blanc. Une porte s’ouvre derrière moi, et je vois une minette rousse un peu gênée sortir de la cabine de douche qui jouxtait la mienne. Elle porte un maillot une pièce. Je lui donne vingt ans, pas plus. Avec elle, un gaillard guère plus âgé, blond, bien découplé, avec une fossette au menton et des yeux bleu, sorte de Kirk Douglas en plus jeune. Il me fait un sourire, je rougis. Les deux jeunes gens s’en vont.
Le soir, sur mon lit de camp, je repense à la scène, assez excitée. J’en avais parlé à Mireille qui avait bien rigolé. Je commence à me masturber en m’imaginant à la place de la rousse, culbutée sous la douche, et je jouis assez rapidement.
Il s’avérait que le beau blond campait juste en face de nous, dans un bungalow similaire au nôtre qu’il partageait avec deux potes, plus trapus et costauds, genre rugbymen. Ils faisaient pas mal de boucan et aimaient bien boire de la bière apparemment, comme tout bon hollandais qui se respecte. Souvent, ils jetaient des coups d’œil vers notre campement en nous souriant ou nous adressant des petits saluts de la main.
Un soir, ils demandent à nous emprunter un tire-bouchon (leur français était… approximatif), puis ils nous invitent ma copine et moi à prendre l’apéro avec eux. On accepte. S’en suit une joyeuse discussion. Nulle trace de la rousse. Elle avait disparu de la circulation ; en tous cas, elle ne campait pas avec eux. La discussion porte sur la France, les coins à voir dans la région, ce genre de choses. C’était très sympa. L’heure avance et on doit faire manger notre progéniture aussi abandonnons-nous presque à regret les trois larrons pour retourner à notre bungalow.
Quelques jours plus tard : soirée disco au camping. Ouais, boule à facettes, kitsch et tout ; la totale. Pas trop ma tasse de thé d’habitude, mais j’avais envie de me lâcher, de m’amuser. Mireille vient avec moi. Les enfants font les fous sur les Bee Gees et les Village People puis on les envoient se coucher ; il se fait tard. Le trio hollandais est là, lui aussi. Les garçons dansent sans complexe et semblent prendre du bon temps, rigolards. Je remarque qu’ils draguent à peu près tout ce qui porte un jupon. Soudain, « mon » Kirk Douglas me repère et me fait un clin d’œil. C’est le moment des slows. Il m’invite à danser. Je porte une jupe avec un minuscule string en dessous et j’ai peur qu’il me fasse tournoyer et révèle ainsi la chose aux yeux de tous. Mais il s’agit d’une danse calme : un slow. J’accepte l’invitation. Tout de suite, il me colle et ses bras se referment sur mon dos, doux et fermes à la fois. Je ne porte pas de soutien-gorge sous le tee-shirt. Il doit sentir la pointe des mes tétons qui durcit à son contact. Lui aussi durcit à mesure que nous tournons lentement sur nous même. Je le sens au niveau de mon bas ventre. Il bande contre ma chatte, bosse compacte, palpitante. Il me caresse le dos mais ne va pas plus loin ; pour ma part je suis un peu crispée, gênée, j’ai l’impression que tout le monde nous regarde. Le slow terminé, il me dit « merci », je réponds « c’est moi » et je prends la poudre d’escampette comme une ado rougissante. En passant derrière le bâtiment des douches, j’aperçois deux silhouettes entre le mur et une haie bien taillée. C’est Mireille, accroupie : elle suce à pleine bouche l’un des deux autres hollandais. Ils ne m’ont pas vu. Je m’arrête le souffle bloqué. Mireille lèche les couilles du mec puis s’attaque à nouveau à sa bite comme si sa vie en dépendait. L’autre lui fourrage les cheveux de ses doigts crispés comme des serres en geignant de plaisir. Des soubresauts spasmodiques m’indiquent qu’il vient de l’arguer une maxi dose de foutre dans la bouche de ma copine ; elle continue de pomper, avide, jusqu’à la dernière goutte. Je ne l’aurais jamais imaginée comme ça. Je m’éclipse et retourne me coucher au bungalow.
Là encore, je me branle ne silence, m’imaginant cette fois à la place de Mireille… mais avec la bite du blond dans ma bouche. Cela fait une éternité que je n’ai pas sucé un homme… Je m’endors après avoir joui en silence.
Le lendemain, je discute de « l’incident » avec Mireille. Elle me dit que j’ai une maxi-touche avec « Kirk », ce dont je me doutais. Je lui demande si elle a l’intention de revoir l’autre. Elle hausse les épaules et dit « sh’ai pas. En tous cas, c’était bien bon. Après la pipe, il m’a fait des trucs ; tu peux pas imaginer… ».
L’après-midi, je trouve un coin isolé au bord de la rivière, sorte de petite plage caillouteuse entourée d’arbres et de buissons. Je me baigne un quart d’heure puis je m’allonge sur la serviette avec mon livre de poche. Un coup d’huile solaire, puis je me plonge dans la lecture du bouquin, sur le ventre, coudes au sol. Au bout d’une heure j’entends des clapotis derrière moi. C’est Kirk qui nage à contre courant. Il me dit « bonjour » et demande s’il peut se joindre à moi. J’accepte.
Il sort de l’eau, en caleçon de bain fluo et s’assoit à côté de moi. Il est vraiment bien foutu. Je l’imagine monté comme un taureau. Je repose mon livre. Je porte un maillot noir, deux pièces, et je vois qu’il ne peut s’empêcher de lorgner mon cul, mon dos, mes cuisses. Nous discutons de la soirée d’hier. Oui, très amusante. La danse ? Oui, c’était agréable…
Il voit le tube de lotion solaire posé avec mes affaires et demande. « Tu veux que je… ? » ; il mime le geste en faisant semblant de s’enduire les bras, la nuque. Je suis toujours sur le ventre. J’hésite un instant avant de dire finalement « d’accord » avec un petit sourire. J’ai peur que d’autres nageurs viennent dans notre coin, mais pour l’instant, personne à l’horizon.
Il ouvre le tube, enduit ses mains. Elles glissent sur mon dos en lents allers retours. « Les cuisses ? » il risque. Je hoche la tête, les yeux fermés. C’est bon. Je mouille. Il s’attaque à mes jambes, remonte à la limite du slip. A une ou deux reprises, ses doigts effleurent le renflement du tissu abritant ma toison pubienne. « Tu veux … massage ? » il continue. « Oui, s’il te plaît ». Il s’assoit à genoux sur ma chute de reins et me malaxe sensuellement les épaules, la nuque, ses mains descendent. L’attache de mon soutien gorge entrave ses mouvements aussi je le dégrafe sans un mot. Ses mains explorent mon dos. « C’est bon ? » il demande. « Oui, très bon ». Il se décale, ses mains sont à la limite de mes fesses. Je sens qu’il bande à en faire exploser son caleçon. Il me baisse très légèrement le slip et masse le haut de mon cul. Comme il voit que je ne fais rien pour le stopper, il s’enhardit. Il passe sur le côté toujours à genoux. Sa main gauche caresse mon dos alors que la droite descend dans le slip à moitié baissé. Le tranchant de sa main huileuse glisse entre mes fesses. Il les écarte légèrement, descend encore jusqu’à la fente de ma chatte transformée en marécage tellement je suis excitée. Ses doigts explorent mes poils englués de sécrétions ; il va plus profond, atteignant de l’index mon clito avec lequel il commence à jouer en connaisseur. Il écarte mes grandes lèvres. Je me tortille, haletante. Lui aussi a le souffle court, les yeux presque exorbités. Il rentre le majeur dans ma chatte, explore ma cavité tapissée de muqueuses moites pendant que son pouce fait des cercles au niveau de mon anus de plus en plus dilaté. Je pousse un glapissement quand il l’enfonce dans mon cul, lentement, voluptueusement. Il imprime des va et viens pendant que deux autres doigts entrent dans ma chatte. Il me branle tout en continuant à me caresser le dos, à me donner des petits baisers au creux du cou. Je tourne la tête et il me roule la pelle du siècle : une véritable escalope s’entoure autour de ma langue. Sa main droite s’active toujours. Je suis excitée comme rarement je l’ai été. Je me tourne de côté, sur un coude. Mon soutien gorge est resté sur la serviette, j’enlève mon slip et écarte les cuisses l’air de lui dire « voilà, qu’est-ce que tu penses de la marchandise ? ».