- 14 juil. 2010, 08:45
#57881
Le temps avait passé avec bonheur et ce n'était pas la routine qui s'était installée, non c'était un phantasme qui m'était venu et qui ne me quittait plus. D'on venait-il je ne saurais le dire pourtant maintenant je rêvais de voir mon épouse prise par un autre homme, non, je ne la voyais pas livrée comme de la viande bien chaude non, j'avais envi de pouvoir l'accompagner, la mener à trouver l'extase, entourée de nos deux corps virils. Et un jour que nous étions réunis en pleine tendresse je lui dis: imagine qu'un homme est entré et que c'est lui qui est en train de te caresser, imagine ses grosses mains poilues qui te parcourt et plus je parlais, plus elle s'enflammait vivant la scène dans sa tête.
Et plus le temps passait, plus nous prenions un plaisir à inventer l'inconnu irréel. Maintenant, elle osait l'imaginer qui la prenait… que nous la prenions…
Alors un jour nous avons osé franchir le pas, Elle était très nerveuse, crispée même quant il est arrivé, et s'est installé face à nous dans le fauteuil en buvant son café, en parlant de choses et d'autres. Quand j'ai commencé à ouvrir son corsage en caressant ses jolis seins pour les lui offrir, elle a bien vu qu'il commençait à avoir une bosse dans son pantalon! Alors pour la mettre plus à l'aise, j'ai dégrafé le mien et Jean est venu s'asseoir dans le même appareil de l'autre côté de son corps en émoi. Nous lui avons posé ses douces mains sur nos colonnes en feu et, enfin, elle s'est laissée aller nous traitant de cochons. Quant il a pris sa bouche, je me suis retiré sur le fauteuil pour leur laisser la place, et me régaler du spectacle,j'ai pu la voir se pencher avec tendresse entre les cuisses de notre invité oubliant son désarroi, oubliant tout pour n'être plus qu'une femme amoureuse…
Quel bonheur quand nous avons entouré son corps bouillant entre nous deux, nos quatre mains la fouillant de partout, je l'ai vu crier lorsqu'il la chevauché, la prenant d'un élan impétueux pendant que je fouillais sa bouche gourmande. Que dire lorsque je la servi à mon tour, elle ne savait plus ou elle était et quand nous nous calmâmes enfin, prenant nos deux têtes à tour de rôle, elle y déposa un doux baiser de reconnaissance.
Cependant quand j'ai eu raccompagné notre invité, elle se colla contre moi bien décidée à me faire remplir de nouveau mon rôle de mâle: J'étais le sien!
Et plus le temps passait, plus nous prenions un plaisir à inventer l'inconnu irréel. Maintenant, elle osait l'imaginer qui la prenait… que nous la prenions…
Alors un jour nous avons osé franchir le pas, Elle était très nerveuse, crispée même quant il est arrivé, et s'est installé face à nous dans le fauteuil en buvant son café, en parlant de choses et d'autres. Quand j'ai commencé à ouvrir son corsage en caressant ses jolis seins pour les lui offrir, elle a bien vu qu'il commençait à avoir une bosse dans son pantalon! Alors pour la mettre plus à l'aise, j'ai dégrafé le mien et Jean est venu s'asseoir dans le même appareil de l'autre côté de son corps en émoi. Nous lui avons posé ses douces mains sur nos colonnes en feu et, enfin, elle s'est laissée aller nous traitant de cochons. Quant il a pris sa bouche, je me suis retiré sur le fauteuil pour leur laisser la place, et me régaler du spectacle,j'ai pu la voir se pencher avec tendresse entre les cuisses de notre invité oubliant son désarroi, oubliant tout pour n'être plus qu'une femme amoureuse…
Quel bonheur quand nous avons entouré son corps bouillant entre nous deux, nos quatre mains la fouillant de partout, je l'ai vu crier lorsqu'il la chevauché, la prenant d'un élan impétueux pendant que je fouillais sa bouche gourmande. Que dire lorsque je la servi à mon tour, elle ne savait plus ou elle était et quand nous nous calmâmes enfin, prenant nos deux têtes à tour de rôle, elle y déposa un doux baiser de reconnaissance.
Cependant quand j'ai eu raccompagné notre invité, elle se colla contre moi bien décidée à me faire remplir de nouveau mon rôle de mâle: J'étais le sien!