- 12 juil. 2010, 20:32
#57520
Je reçois pas mal de propositions sur ce site de rencontre, en général nous ne répondons pas, la plupart sont fantaisistes. Pourtant, un jour, une proposition attira l’attention de ma femme. Le type paraissait sympathique, et son offre n’avait rien d’extravagant. Il proposait de rencontrer madame dans un lieu public avec ma présence, et, selon cette prise de contact, il improviserait la suite de la soirée. Par courrier, le rendez-vous fut pris un samedi soir il y a peu de temps. Ma femme se prépara assez longtemps pour cette rencontre, elle mit un corsage moulant léopard et une jupe courte noire. En dessous elle avait un string, des bas Dim-up et un soutien-gorge ouvert. Nous nous rencontrâmes dans un café des Grand Boulevards à Paris. Un type d’une cinquantaine d’années, grand, assez baraqué, les cheveux très courts, vêtu assez sport, s’assit a notre table. Il connaissait les photos de ma femme que nous avions mises sur le site. Cette rencontre résulta positive et le courant passa bien. Lorsque le type, que nous appellerons maintenant David, se leva pour répondre à un appel téléphonique, ma femme me dit qu’il était bel homme, ce qui veut dire qu’elle était prête à aller plus loin. Ensuite David nous proposa d’aller faire un tour dans le cinéma Le Beverley qui n’était pas très loin. C’est le dernier cinéma qui présente des films érotiques et pornographiques des années 70, contrairement aux sex-shops qui n’ont à offrir que des vidéos. Nous entrâmes, c’est une petite salle tout en longueur, la salle était dans l’obscurité, un film X était en train de passer, nous nous installâmes, ma femme entre les deux hommes. Lorsque mes yeux se furent habitués á l’obscurité, je remarquais qu’il n’y avait que des hommes. Certains se levaient pour aller aux toilettes, restaient un instant debout pour essayer de mater parmi le public quelque chose de plus chaud. Au bout d’un moment la main de ma femme se glissa sur ma braguette, mais je ne bandais pas encore. Elle me glissa à l’oreille, un peu pour me faire honte, que son voisin était déjà très dur. Je lui demandais si elle mouillait, elle me répondit qu’elle était trempée. Je lui demandais pourquoi ? Elle me répondit que son voisin avait une main entre ses cuisses et qu’il lui caressait le string. Cette réponse me fit bander et je me caressais en regardant le film. Les types n’arrêtaient pas de se lever, de changer de place, aussi ma femme n’osa pas aller plus loin que de caresser nos braguettes. Au bout d’une heure, David proposa d’aller chez lui. Nous sortîmes, puis nous marchâmes jusqu’au parking ou nous avions laissé la voiture. Il habitait un coquet et cossu appartement du XVIIIe arrondissement. Arrivé chez lui, il mit de la musique, il nous dit de nous mettre à l’aise, puis il nous servit quelques boissons alcoolisées. La musique aidant, un jazz envoutant, il invita ma femme à danser, au bout de quelques temps ma femme se retrouva a danser en sandwich entre nous deux, elle face a lui, lui offrant ses seins, moi derrière, frottant mon sexe sur ses fesses, peu a peu elle ôta sa jupe, puis son corsage. Bientôt elle me posa la question que j’attendais : « tu veux bien qu’il me prenne ? ». Je lui répondis : « Oui chérie ». Il l’entraina sur le canapé, ôta son pantalon, son sexe droit dépassait son boxer, c’est a ce moment qu’elle baissa le boxer et entrepris la mise en bouche. En la regardant sucer avec application et sensualité je me dis qu’elle aimait vraiment cela, elle s’arrêta, me regarda dans les yeux, me jeta un regard coquin, puis elle recommença la succion, je voyais ses joues se creuser tandis qu’elle massait ses gosses boules. Je me caressais en même temps puis je tirais son string qui était enfoncé entre ses fesses pour dégager son anus et sa fente humide et j’entrepris de lécher ses orifices. Mais mon excitation était telle que je déchargeais. Ensuite, il la plaça assise sur le canapé, les cuisses ouvertes et il entreprit un long cunnilingus qui lui arracha des gémissements. Il continua le travail que j’avais entrepris mais il le mena jusqu’au bout. A ce moment, je ne pouvais plus rebander. En voyant ma queue flasque, David compris que j’étais arrivé à mon maximum. Il entraina ma femme dans sa chambre, elle m’invita d’un geste à rester dans le salon. Je compris que j’allais passer la soirée à écouter les cris de jouissance de ma femme. Il l’entreprit pendant deux bonnes heures, a ses cris j’imaginais la scène, a ses cris je devinais lorsqu’il l’enculait, elle poussait des cris rauques et des hurlements a n’en plus finir. Lorsqu’ils sortirent de la chambre elle était nue, elle vint m’embrasser, sa bouche sentait le sperme, elle me dit : « C’était génial ! Merci mon chéri ». j´aperçu sa chatte et sa fente rougies. Lorsque nous repartîmes, elle me dit dans la voiture : « Tu n’imagines pas combien il m’a arrosée ! ».
