- 05 juil. 2010, 03:51
#55175
Je pense que j'ai beaucoup de chance. Ma copine, une grande brune avec des fesses rondes et des hanches larges, ne dit jamais non à la bagatelle. A vrai dire, c'est plutôt moi qui peine à assurer les devoirs conjugaux, mais ma chérie dit toujours que c'est sans importance car on s'aime.
Au début du mois, nous avons profité d'un week-end pour descendre sur la côte d'azur au soleil. J'aime la voir en maillot de bain rouge se plonger dans les calanques bleues, et bronzer sur le sable chaud. Ce soir-là, bien que fatigués par la mer, nous avons été boire quelques verres dans un bar-plage. Avec la musique, ma dulcinée vêtue d'une adorable robe d'été très légère et d'un petit tanga blanc assorti à son soutien-gorge bordé de dentelle fine a eu envie de danser. Je l'ai accompagnée avec plaisir dans la cohue des danseurs, caressant ses fesses au rythme des slows qui s'enchainaient. Puis la musique a changé, passant à des zouks de plus en plus actifs, style qui m'agace à trop bouger, même s'il est aussi très agréable. Du coup, je lui ai proposé de retourner nous asseoir mais elle a préféré danser seule. Elle n'est pas resté seule très longtemps et je l'ai admiré danser avec divers cavaliers moins épuisés que moi.
Un grand arabe plutôt musclé a en particulier beaucoup dansé avec elle, frottant sa cuisse entre les siennes, et sa main descendait très bas sur les fesses de mon amour. Bien sûr, il s'agit là d'une danse particulièrement collé-serré, mais la voir frotter sur lui son sexe couvert de si peu de tissu et probablement trempé de sueur, étant donné l'effort qu'elle fournissait dans l'air encore chaud, aurait du me faire réagir. L'alcool et la flemme m'en ont dissuadé, d'autant que les coups de soleil pris dans l'après-midi commençaient à me faire souffrir. Quand à elle, ayant pensé à s'enduire de crème solaire pendant que je me promenais sur les abords de la calanque à la recherche de points de vue intéressants, elle avait échappé aux brûlures solaires...
Tout à coup, je me suis rendu compte qu'elle n'était plus sur la piste. Ne pouvant se rendre aux toilettes sans passer devant moi, j'en déduis qu'elle s'était éloignée du bar pour prendre un peu l'air frais du bord de mer. J'ai alors décidé de la rejoindre, pour profiter de l'ombre nocturne et romantique avec elle.
Dans l'eau, quelques couples batifolaient sous les lumières des projecteurs électriques du restaurant, mais elle n'était pas là. Je me suis donc dirigé dans l'ombre derrière les piles de dériveurs et autres pédalos entassés qui délimitaient une autre partie de la plage. Ayant fait le tour, je suis arrivé sur une partie beaucoup plus sombre, et je l'ai vue debout, plus loin, près de l'eau. Très occupée à embrasser son danseur arabe, elle ne m'a pas vu. Interloqué, j'ai immédiatement vu la main sombre de celui-ci qui descendait sur sa robe claire, malaxant son cul généreux à travers le tissu diaphane. J'aurais pu intervenir, mais peu enclin à provoquer une bagarre après avoir bu, surtout avec un mec bien plus imposant physiquement, et de plus sobre donc bien plus réactif, j'ai préféré m'installer discrètement dans l'ombre des rochers pour en savoir plus.
Au début du mois, nous avons profité d'un week-end pour descendre sur la côte d'azur au soleil. J'aime la voir en maillot de bain rouge se plonger dans les calanques bleues, et bronzer sur le sable chaud. Ce soir-là, bien que fatigués par la mer, nous avons été boire quelques verres dans un bar-plage. Avec la musique, ma dulcinée vêtue d'une adorable robe d'été très légère et d'un petit tanga blanc assorti à son soutien-gorge bordé de dentelle fine a eu envie de danser. Je l'ai accompagnée avec plaisir dans la cohue des danseurs, caressant ses fesses au rythme des slows qui s'enchainaient. Puis la musique a changé, passant à des zouks de plus en plus actifs, style qui m'agace à trop bouger, même s'il est aussi très agréable. Du coup, je lui ai proposé de retourner nous asseoir mais elle a préféré danser seule. Elle n'est pas resté seule très longtemps et je l'ai admiré danser avec divers cavaliers moins épuisés que moi.
Un grand arabe plutôt musclé a en particulier beaucoup dansé avec elle, frottant sa cuisse entre les siennes, et sa main descendait très bas sur les fesses de mon amour. Bien sûr, il s'agit là d'une danse particulièrement collé-serré, mais la voir frotter sur lui son sexe couvert de si peu de tissu et probablement trempé de sueur, étant donné l'effort qu'elle fournissait dans l'air encore chaud, aurait du me faire réagir. L'alcool et la flemme m'en ont dissuadé, d'autant que les coups de soleil pris dans l'après-midi commençaient à me faire souffrir. Quand à elle, ayant pensé à s'enduire de crème solaire pendant que je me promenais sur les abords de la calanque à la recherche de points de vue intéressants, elle avait échappé aux brûlures solaires...
Tout à coup, je me suis rendu compte qu'elle n'était plus sur la piste. Ne pouvant se rendre aux toilettes sans passer devant moi, j'en déduis qu'elle s'était éloignée du bar pour prendre un peu l'air frais du bord de mer. J'ai alors décidé de la rejoindre, pour profiter de l'ombre nocturne et romantique avec elle.
Dans l'eau, quelques couples batifolaient sous les lumières des projecteurs électriques du restaurant, mais elle n'était pas là. Je me suis donc dirigé dans l'ombre derrière les piles de dériveurs et autres pédalos entassés qui délimitaient une autre partie de la plage. Ayant fait le tour, je suis arrivé sur une partie beaucoup plus sombre, et je l'ai vue debout, plus loin, près de l'eau. Très occupée à embrasser son danseur arabe, elle ne m'a pas vu. Interloqué, j'ai immédiatement vu la main sombre de celui-ci qui descendait sur sa robe claire, malaxant son cul généreux à travers le tissu diaphane. J'aurais pu intervenir, mais peu enclin à provoquer une bagarre après avoir bu, surtout avec un mec bien plus imposant physiquement, et de plus sobre donc bien plus réactif, j'ai préféré m'installer discrètement dans l'ombre des rochers pour en savoir plus.
Modifié en dernier par tibonom le 22 juil. 2010, 20:00, modifié 2 fois.