- 09 janv. 2012, 14:30
#944004
Un topic sur nos soirées trio HHF, activité que nous continuons toujours de pratiquer. Et c'est bien sûr une des facettes de notre libertinage qui a permit de franchir par la suite ( il y a un mois et demi ) le cap du candaulisme...
Bonne lecture
PS malheureusement il n'y aucune photo de prise pour cette 1ère; je suis le 1er à le regretter
HH
notre premier trio avec un homme, acte I
Dans ma recherche d'un homme qui puisse convenir à ma femme, tant sur le plan physique qu'intellectuel, j'avais trouvé la fiche de Doc* sur un site libertin se démarquant du lot. En premier lieu, pas de photo de sexe en gros plan, de nu pris soit même en face d'un miroir avec le flash vaguement artistique, ou autre banalité d'un goût douteux. Juste quelques clichés du visage ou en pieds, scène variée de la vie quotidienne.
Via MSN le contact se fit rapidement, et la conversation confirma cette "sélection", car pas la peine de se voiler la face, il s'agit ni plus ni moins d'une sélection. Sans dresser la liste, le point important de nos réserves était qu'il n'y aurait pas pénétration hors couple. Il y en aurait-il plus tard, nul ne pouvait le savoir.
Le soir venu, je montrais Doc en photo à mon épouse, et spontanément elle releva qu'il était , je cite, mignon.
Le lendemain soir je crois, eut lieu la visio entre nous 3. Volontairement, je laissais mon épouse s'installer au clavier pour le dial / visio. Bien que récalcitrante sur ma volonté finale de la voir avec un autre homme que moi, ma femme est curieuse, et n'hésite pas si l'envie est là de se prendre au jeu de poser des questions directes. C'est ainsi que Doc eut à raconter l'une de ses rencontres, en détails. Mon épouse rentra dans le jeu, et posa beaucoup de questions .
Lorsque soudainement il déconnecta sans prévenir bien qu'il ait dit qu'il ne pourrait pas rester longtemps, elle en fut vexée. Très vexée même. Ca, il ne faut pas lui faire. Aussi lorsqu'une fois dans le lit je lui annonçait que la suite de l'histoire elle l'aurait par cet inconnu en personne très sûrement le lendemain soir si jamais nous ne partions pas en week-end. Ses yeux s'ouvrirent, la bouche fit de même, et lâcha un "quoi" ? Le lendemain, il s'avéra que nous ne pouvions partir, et devions resté sur place.
La pression augmenta de concert avec l'écoulement des heures, au point même que ma femme et moi nous nous prenions presque la tête pour des futilités. La tension était palpable. Cela dit, concours de circonstance, elle passa la journée entière au lit à bouquiner, ne se levant qu'à.... 17h21. Déjà en terme de grasse mâtinée nous n'avions plus eu ce plaisir depuis quelques années, mais à ce point là, jamais. Je gérais donc la maisonnée pour qu'elle soit tranquille.
Après dîner, je ne parlerai pas de la tension, car moi-même de mon coté j'en venais à souhaiter que cet homme nous pose un lapin, comme cela a pu nous arriver dans le passé avec un autre homme que finalement nous n'avons jamais rencontré. N..o, si tu nous lis, bien le bonjour.
Mon portable sonna, Doc nous annonçant qu'il partait de chez lui, pour une arrivée estimée à 22h00. De notre coté nous sommes allé prendre notre douche, et je constatais que Line n'optait pas pour l'une de ses robes ou tenue sexy, l'une de ses paires de talons aiguilles. Non, elle s'habilla comme la semaine avec une touche de je-ne-sais-quoi-en-plus. Chemisier rose un tantinet transparent, soutien-gorge noir, veste et jupe au-dessus des genoux noirs, bas résilles, et simple chaussures basses noires. Idem pour le maquillage, efficace sans être ostentatoire. Et mon épouse y alla de son "il est plus jeune, il va me trouver moche", "personne ne se retourne sur moi", "je ne me fais pas draguer" ( ce qui est faux car son.... supérieur hiérarchique lui a à plusieurs reprises fait du pied en pleine réunion, main qui frôle l'air de rien, etc.... Celui là, en revanche, agit dans mon dos; ce qui n'est pas chose à faire... passons), "il va venir pour rien" etc...
Pour obtenir un premier regard sur le "sujet", je lui donnais rdv non loin de chez nous, et allais le chercher en voiture pour le guider. Arrivée devant notre maison, j'eue la surprise de voir Line toute belle et sexy, dehors, fumant sa cigarette en nous attendant...... Il se dirigea donc vers elle, et malgré une timidité émanant des deux, ils se firent la bise. Je notais de suite le bras droit de Doc se posant sur l'épaule de ma femme. Puis nous rentrâmes à l'intérieur.
Là, si nous avions été des poules découvrant une fourchette, nous n'aurions pas eu l'air plus "gauches". Passé les banalités concernant la maison, la région, la route, le brouillard de la susdite route, je sortais des verres pour servir le champagne qu'avait amené notre inconnu. Line alla s'asseoir sur le canapé, se jetant presque coté mur, Doc la suivant. Elle remarqua de suite qu'il ne prit pas l'autre bout du canapé, non, il se mit à coté d'elle, bien au milieu. Quant à moi, je jugeais que m'asseoir sur le bout restant me desservait, et ressentait le besoin de prendre un fauteuil et de me placer en face, légèrement décalé sur la gauche de l’homme.
Je n'emploierai pas le mot malaise, cela dit l'atmosphère était emprunte d'une gène générale. Mon épouse qui pouvait se considérer comme une innocente brebis cernée par 2 loups n'attendant qu'une chose, Doc qui pouvait se demander s'il avait bien fait de faire de la route de nuit pour se retrouver à discuter sur un canapé, et moi qui naviguait en eaux très troubles, mis devant le fait accompli d'avoir faire venir un homme et de l'imposer à ma femme, et en même temps de vivre à l'instant présent la vision d'un homme à qui ma femme plaisait et qui avait certainement envie d'elle. Et se dégageait en moi l’évidence que si ce n’était pas de moi que venait l’étincelle du démarrage, on pourrait toujours attendre….
Doc termina donc son histoire de trio entamée lors de leur dial en cam, décrivant chaque action sexuelle sans jeter un voile pudique dessus. Mon épouse écoutait, intervenait, posait des questions, bien calée dans son coin jambes et bras savamment croisés. Limite coffre-fort imprenable.
Puis vint l'instant de résistance, le va-tout que l'on jette aux adversaires lorsque les arguments s'épuisent. Mon épouse lança aux loups impatients qu'elle ne comprenait pas qu'un homme, en l'occurrence son homme ( donc moi !), puisse avoir envie de voir son épouse, donc elle, dans les bras d'un homme. Et encore moins de lui faire l'amour.
Doc essaya, et je lui trouvais un certain courage à le faire, de s'appliquer à expliquer le pourquoi du comment, n'omettant pas de jouer sur la curiosité qu'elle pouvait éventuellement éprouver pour lui. De mon coté, je sentais ce moment comme crucial. Soit nous rentrions dans le jeu de mon épouse en avançant de front, l'amenant à camper sur ses positions pour ne plus en bouger d'un iota, soit nous amenions un autre angle, un autre point de vue. Puisque elle insiste sur l'acte en lui même, incompréhensible à ses yeux, je lui parlais de caresses, de câlins. Elle nous parle de sexe, je lui réponds douceur. J'avouais que de la voir là, assise sur le canapé, et l'imaginer embrassant E était pour moi une source d'excitation sans nom.
Il n'y eut pas de réponse de sa part sur cette pique, seulement un petit sourire, la tête penchée.
Doc s'engouffra bien sûr dans cette optique.
Ce fut probablement à ce moment qu'eut lieu la pause cigarette à l'extérieur, où la conversation continua, plus légère et générale. En rentrant, alors que l'Abeille allait reprendre exactement la même place salvatrice sur le sofa, je me penchais et lui caressant légèrement les fesses lui disais que non, c'était maintenant ma place. Elle me dira plus tard qu'elle comprit que cela devenait.... sérieux pour elle.
Guère évident de retracer mot pour mot, geste pour geste dans la chronologie une situation non commune, aux alentours de minuit, ressentant l'effet du champagne devant un feu de cheminée. Sans parler de la beauté de mon épouse, ses fines jambes et son discret décolleté assis près d'un homme qui de par sa posture et ses regards était tout sauf indifférent à elle.
L'annonce de notre inconnu spécifiant sa bisexualité, il était clair entre nous deux que bi je n'étais pas, mais "n'était ni pour ni contre". Que si jour cela m'arrivait, cela serait dans ...une ambiance qui s'y prête, et uniquement avec une présence féminine. Mais ce soir là entre les 2 hommes que nous sommes, je peux penser que la question Bi était reléguée au plus loin de nos préoccupations. C'est alors que Doc lança une phrase sur laquelle je me jetais tel un faucon.... "Certaine femme n'aime pas leur poitrine, est-ce ton cas ?" L'Abeille et moi éclatèrent de rire pour une raison X, incitant Doc à répondre "ah bon ?". Immédiatement les 2 hommes que nous sommes se penchèrent vers l'Abeille, qui tout en douceur écarta un peu l'échancrure de son chemisier pour nous permettre de regarder. Mais de suite, en riant, elle remit les mains en cache. Je ronchonnais pour la forme car il fallait franchement avoir un ralenti sur image pour avoir eu le temps de contempler. Mais pour moi, ma femme en faisant cela, c'est à dire offrir son décolleté à un inconnu, entrait dans notre jeu.
Il me semble que c'est elle qui nous donna l'occasion de passer au stade supérieur. En effet, sur d'elle même elle déclara qu'elle pourrait reconnaître le contact de l'un et l'autre, même les yeux fermés, et qu'elle en était archi sûr.
Je me levais et allais chercher désespérément un foulard ou quelque chose de similaire, et lui posa sur les yeux. Le tissu n'étant pas assez long, il ne pouvait tenir que si elle plaquait sa tête sur le dossier du canapé.
Ne sachant que faire d'elle même, nous primes ses mains pour les placer paumes en l'air. Doc et moi, entreprirent donc de l'effleurer, la caresser, appliqués tel 2 collégiens boutonneux ( pardon Doc, mais c'était un peu risible quand même :d). Enfin bon, la maîtresse femme qu'est la mienne reprit de l'aplomb et se redonna confiance - c'est du moins comme ça que je le vois - en nous nommant à chaque fois sans erreur aucune. Piqué au vif, je me levais en invitant du regard notre homme à m'imiter. On changea de coté, et je me retrouvais à la gauche de ma femme, assis contre elle. Il fit la même chose. Je crois pouvoir dire que la soirée libertine commença à cet instant.
Certes, on va me répéter à outrance que cette situation est mienne, dans le sens où j'en suis l'organisateur, l'instigateur. Ma femme n'est pas demandeuse de ce type de rencontre, l’homme n'est pas venu tout seul par hasard. Alors je n'ai qu'un droit, qu'un devoir : assumer la suite............... qu'elle qu'en soit l'issue.
Bonne lecture
PS malheureusement il n'y aucune photo de prise pour cette 1ère; je suis le 1er à le regretter

HH
notre premier trio avec un homme, acte I
Dans ma recherche d'un homme qui puisse convenir à ma femme, tant sur le plan physique qu'intellectuel, j'avais trouvé la fiche de Doc* sur un site libertin se démarquant du lot. En premier lieu, pas de photo de sexe en gros plan, de nu pris soit même en face d'un miroir avec le flash vaguement artistique, ou autre banalité d'un goût douteux. Juste quelques clichés du visage ou en pieds, scène variée de la vie quotidienne.
Via MSN le contact se fit rapidement, et la conversation confirma cette "sélection", car pas la peine de se voiler la face, il s'agit ni plus ni moins d'une sélection. Sans dresser la liste, le point important de nos réserves était qu'il n'y aurait pas pénétration hors couple. Il y en aurait-il plus tard, nul ne pouvait le savoir.
Le soir venu, je montrais Doc en photo à mon épouse, et spontanément elle releva qu'il était , je cite, mignon.
Le lendemain soir je crois, eut lieu la visio entre nous 3. Volontairement, je laissais mon épouse s'installer au clavier pour le dial / visio. Bien que récalcitrante sur ma volonté finale de la voir avec un autre homme que moi, ma femme est curieuse, et n'hésite pas si l'envie est là de se prendre au jeu de poser des questions directes. C'est ainsi que Doc eut à raconter l'une de ses rencontres, en détails. Mon épouse rentra dans le jeu, et posa beaucoup de questions .
Lorsque soudainement il déconnecta sans prévenir bien qu'il ait dit qu'il ne pourrait pas rester longtemps, elle en fut vexée. Très vexée même. Ca, il ne faut pas lui faire. Aussi lorsqu'une fois dans le lit je lui annonçait que la suite de l'histoire elle l'aurait par cet inconnu en personne très sûrement le lendemain soir si jamais nous ne partions pas en week-end. Ses yeux s'ouvrirent, la bouche fit de même, et lâcha un "quoi" ? Le lendemain, il s'avéra que nous ne pouvions partir, et devions resté sur place.
La pression augmenta de concert avec l'écoulement des heures, au point même que ma femme et moi nous nous prenions presque la tête pour des futilités. La tension était palpable. Cela dit, concours de circonstance, elle passa la journée entière au lit à bouquiner, ne se levant qu'à.... 17h21. Déjà en terme de grasse mâtinée nous n'avions plus eu ce plaisir depuis quelques années, mais à ce point là, jamais. Je gérais donc la maisonnée pour qu'elle soit tranquille.
Après dîner, je ne parlerai pas de la tension, car moi-même de mon coté j'en venais à souhaiter que cet homme nous pose un lapin, comme cela a pu nous arriver dans le passé avec un autre homme que finalement nous n'avons jamais rencontré. N..o, si tu nous lis, bien le bonjour.
Mon portable sonna, Doc nous annonçant qu'il partait de chez lui, pour une arrivée estimée à 22h00. De notre coté nous sommes allé prendre notre douche, et je constatais que Line n'optait pas pour l'une de ses robes ou tenue sexy, l'une de ses paires de talons aiguilles. Non, elle s'habilla comme la semaine avec une touche de je-ne-sais-quoi-en-plus. Chemisier rose un tantinet transparent, soutien-gorge noir, veste et jupe au-dessus des genoux noirs, bas résilles, et simple chaussures basses noires. Idem pour le maquillage, efficace sans être ostentatoire. Et mon épouse y alla de son "il est plus jeune, il va me trouver moche", "personne ne se retourne sur moi", "je ne me fais pas draguer" ( ce qui est faux car son.... supérieur hiérarchique lui a à plusieurs reprises fait du pied en pleine réunion, main qui frôle l'air de rien, etc.... Celui là, en revanche, agit dans mon dos; ce qui n'est pas chose à faire... passons), "il va venir pour rien" etc...
Pour obtenir un premier regard sur le "sujet", je lui donnais rdv non loin de chez nous, et allais le chercher en voiture pour le guider. Arrivée devant notre maison, j'eue la surprise de voir Line toute belle et sexy, dehors, fumant sa cigarette en nous attendant...... Il se dirigea donc vers elle, et malgré une timidité émanant des deux, ils se firent la bise. Je notais de suite le bras droit de Doc se posant sur l'épaule de ma femme. Puis nous rentrâmes à l'intérieur.
Là, si nous avions été des poules découvrant une fourchette, nous n'aurions pas eu l'air plus "gauches". Passé les banalités concernant la maison, la région, la route, le brouillard de la susdite route, je sortais des verres pour servir le champagne qu'avait amené notre inconnu. Line alla s'asseoir sur le canapé, se jetant presque coté mur, Doc la suivant. Elle remarqua de suite qu'il ne prit pas l'autre bout du canapé, non, il se mit à coté d'elle, bien au milieu. Quant à moi, je jugeais que m'asseoir sur le bout restant me desservait, et ressentait le besoin de prendre un fauteuil et de me placer en face, légèrement décalé sur la gauche de l’homme.
Je n'emploierai pas le mot malaise, cela dit l'atmosphère était emprunte d'une gène générale. Mon épouse qui pouvait se considérer comme une innocente brebis cernée par 2 loups n'attendant qu'une chose, Doc qui pouvait se demander s'il avait bien fait de faire de la route de nuit pour se retrouver à discuter sur un canapé, et moi qui naviguait en eaux très troubles, mis devant le fait accompli d'avoir faire venir un homme et de l'imposer à ma femme, et en même temps de vivre à l'instant présent la vision d'un homme à qui ma femme plaisait et qui avait certainement envie d'elle. Et se dégageait en moi l’évidence que si ce n’était pas de moi que venait l’étincelle du démarrage, on pourrait toujours attendre….
Doc termina donc son histoire de trio entamée lors de leur dial en cam, décrivant chaque action sexuelle sans jeter un voile pudique dessus. Mon épouse écoutait, intervenait, posait des questions, bien calée dans son coin jambes et bras savamment croisés. Limite coffre-fort imprenable.
Puis vint l'instant de résistance, le va-tout que l'on jette aux adversaires lorsque les arguments s'épuisent. Mon épouse lança aux loups impatients qu'elle ne comprenait pas qu'un homme, en l'occurrence son homme ( donc moi !), puisse avoir envie de voir son épouse, donc elle, dans les bras d'un homme. Et encore moins de lui faire l'amour.
Doc essaya, et je lui trouvais un certain courage à le faire, de s'appliquer à expliquer le pourquoi du comment, n'omettant pas de jouer sur la curiosité qu'elle pouvait éventuellement éprouver pour lui. De mon coté, je sentais ce moment comme crucial. Soit nous rentrions dans le jeu de mon épouse en avançant de front, l'amenant à camper sur ses positions pour ne plus en bouger d'un iota, soit nous amenions un autre angle, un autre point de vue. Puisque elle insiste sur l'acte en lui même, incompréhensible à ses yeux, je lui parlais de caresses, de câlins. Elle nous parle de sexe, je lui réponds douceur. J'avouais que de la voir là, assise sur le canapé, et l'imaginer embrassant E était pour moi une source d'excitation sans nom.
Il n'y eut pas de réponse de sa part sur cette pique, seulement un petit sourire, la tête penchée.
Doc s'engouffra bien sûr dans cette optique.
Ce fut probablement à ce moment qu'eut lieu la pause cigarette à l'extérieur, où la conversation continua, plus légère et générale. En rentrant, alors que l'Abeille allait reprendre exactement la même place salvatrice sur le sofa, je me penchais et lui caressant légèrement les fesses lui disais que non, c'était maintenant ma place. Elle me dira plus tard qu'elle comprit que cela devenait.... sérieux pour elle.
Guère évident de retracer mot pour mot, geste pour geste dans la chronologie une situation non commune, aux alentours de minuit, ressentant l'effet du champagne devant un feu de cheminée. Sans parler de la beauté de mon épouse, ses fines jambes et son discret décolleté assis près d'un homme qui de par sa posture et ses regards était tout sauf indifférent à elle.
L'annonce de notre inconnu spécifiant sa bisexualité, il était clair entre nous deux que bi je n'étais pas, mais "n'était ni pour ni contre". Que si jour cela m'arrivait, cela serait dans ...une ambiance qui s'y prête, et uniquement avec une présence féminine. Mais ce soir là entre les 2 hommes que nous sommes, je peux penser que la question Bi était reléguée au plus loin de nos préoccupations. C'est alors que Doc lança une phrase sur laquelle je me jetais tel un faucon.... "Certaine femme n'aime pas leur poitrine, est-ce ton cas ?" L'Abeille et moi éclatèrent de rire pour une raison X, incitant Doc à répondre "ah bon ?". Immédiatement les 2 hommes que nous sommes se penchèrent vers l'Abeille, qui tout en douceur écarta un peu l'échancrure de son chemisier pour nous permettre de regarder. Mais de suite, en riant, elle remit les mains en cache. Je ronchonnais pour la forme car il fallait franchement avoir un ralenti sur image pour avoir eu le temps de contempler. Mais pour moi, ma femme en faisant cela, c'est à dire offrir son décolleté à un inconnu, entrait dans notre jeu.
Il me semble que c'est elle qui nous donna l'occasion de passer au stade supérieur. En effet, sur d'elle même elle déclara qu'elle pourrait reconnaître le contact de l'un et l'autre, même les yeux fermés, et qu'elle en était archi sûr.
Je me levais et allais chercher désespérément un foulard ou quelque chose de similaire, et lui posa sur les yeux. Le tissu n'étant pas assez long, il ne pouvait tenir que si elle plaquait sa tête sur le dossier du canapé.
Ne sachant que faire d'elle même, nous primes ses mains pour les placer paumes en l'air. Doc et moi, entreprirent donc de l'effleurer, la caresser, appliqués tel 2 collégiens boutonneux ( pardon Doc, mais c'était un peu risible quand même :d). Enfin bon, la maîtresse femme qu'est la mienne reprit de l'aplomb et se redonna confiance - c'est du moins comme ça que je le vois - en nous nommant à chaque fois sans erreur aucune. Piqué au vif, je me levais en invitant du regard notre homme à m'imiter. On changea de coté, et je me retrouvais à la gauche de ma femme, assis contre elle. Il fit la même chose. Je crois pouvoir dire que la soirée libertine commença à cet instant.
Certes, on va me répéter à outrance que cette situation est mienne, dans le sens où j'en suis l'organisateur, l'instigateur. Ma femme n'est pas demandeuse de ce type de rencontre, l’homme n'est pas venu tout seul par hasard. Alors je n'ai qu'un droit, qu'un devoir : assumer la suite............... qu'elle qu'en soit l'issue.
Modifié en dernier par highheels123 le 10 janv. 2012, 14:30, modifié 1 fois.