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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par highheels123
#944004
Un topic sur nos soirées trio HHF, activité que nous continuons toujours de pratiquer. Et c'est bien sûr une des facettes de notre libertinage qui a permit de franchir par la suite ( il y a un mois et demi ) le cap du candaulisme...

Bonne lecture

PS malheureusement il n'y aucune photo de prise pour cette 1ère; je suis le 1er à le regretter :(

HH

notre premier trio avec un homme, acte I
Dans ma recherche d'un homme qui puisse convenir à ma femme, tant sur le plan physique qu'intellectuel, j'avais trouvé la fiche de Doc* sur un site libertin se démarquant du lot. En premier lieu, pas de photo de sexe en gros plan, de nu pris soit même en face d'un miroir avec le flash vaguement artistique, ou autre banalité d'un goût douteux. Juste quelques clichés du visage ou en pieds, scène variée de la vie quotidienne.
Via MSN le contact se fit rapidement, et la conversation confirma cette "sélection", car pas la peine de se voiler la face, il s'agit ni plus ni moins d'une sélection. Sans dresser la liste, le point important de nos réserves était qu'il n'y aurait pas pénétration hors couple. Il y en aurait-il plus tard, nul ne pouvait le savoir.
Le soir venu, je montrais Doc en photo à mon épouse, et spontanément elle releva qu'il était , je cite, mignon.
Le lendemain soir je crois, eut lieu la visio entre nous 3. Volontairement, je laissais mon épouse s'installer au clavier pour le dial / visio. Bien que récalcitrante sur ma volonté finale de la voir avec un autre homme que moi, ma femme est curieuse, et n'hésite pas si l'envie est là de se prendre au jeu de poser des questions directes. C'est ainsi que Doc eut à raconter l'une de ses rencontres, en détails. Mon épouse rentra dans le jeu, et posa beaucoup de questions .
Lorsque soudainement il déconnecta sans prévenir bien qu'il ait dit qu'il ne pourrait pas rester longtemps, elle en fut vexée. Très vexée même. Ca, il ne faut pas lui faire. Aussi lorsqu'une fois dans le lit je lui annonçait que la suite de l'histoire elle l'aurait par cet inconnu en personne très sûrement le lendemain soir si jamais nous ne partions pas en week-end. Ses yeux s'ouvrirent, la bouche fit de même, et lâcha un "quoi" ? Le lendemain, il s'avéra que nous ne pouvions partir, et devions resté sur place.

La pression augmenta de concert avec l'écoulement des heures, au point même que ma femme et moi nous nous prenions presque la tête pour des futilités. La tension était palpable. Cela dit, concours de circonstance, elle passa la journée entière au lit à bouquiner, ne se levant qu'à.... 17h21. Déjà en terme de grasse mâtinée nous n'avions plus eu ce plaisir depuis quelques années, mais à ce point là, jamais. Je gérais donc la maisonnée pour qu'elle soit tranquille.

Après dîner, je ne parlerai pas de la tension, car moi-même de mon coté j'en venais à souhaiter que cet homme nous pose un lapin, comme cela a pu nous arriver dans le passé avec un autre homme que finalement nous n'avons jamais rencontré. N..o, si tu nous lis, bien le bonjour.
Mon portable sonna, Doc nous annonçant qu'il partait de chez lui, pour une arrivée estimée à 22h00. De notre coté nous sommes allé prendre notre douche, et je constatais que Line n'optait pas pour l'une de ses robes ou tenue sexy, l'une de ses paires de talons aiguilles. Non, elle s'habilla comme la semaine avec une touche de je-ne-sais-quoi-en-plus. Chemisier rose un tantinet transparent, soutien-gorge noir, veste et jupe au-dessus des genoux noirs, bas résilles, et simple chaussures basses noires. Idem pour le maquillage, efficace sans être ostentatoire. Et mon épouse y alla de son "il est plus jeune, il va me trouver moche", "personne ne se retourne sur moi", "je ne me fais pas draguer" ( ce qui est faux car son.... supérieur hiérarchique lui a à plusieurs reprises fait du pied en pleine réunion, main qui frôle l'air de rien, etc.... Celui là, en revanche, agit dans mon dos; ce qui n'est pas chose à faire... passons), "il va venir pour rien" etc...
Pour obtenir un premier regard sur le "sujet", je lui donnais rdv non loin de chez nous, et allais le chercher en voiture pour le guider. Arrivée devant notre maison, j'eue la surprise de voir Line toute belle et sexy, dehors, fumant sa cigarette en nous attendant...... Il se dirigea donc vers elle, et malgré une timidité émanant des deux, ils se firent la bise. Je notais de suite le bras droit de Doc se posant sur l'épaule de ma femme. Puis nous rentrâmes à l'intérieur.
Là, si nous avions été des poules découvrant une fourchette, nous n'aurions pas eu l'air plus "gauches". Passé les banalités concernant la maison, la région, la route, le brouillard de la susdite route, je sortais des verres pour servir le champagne qu'avait amené notre inconnu. Line alla s'asseoir sur le canapé, se jetant presque coté mur, Doc la suivant. Elle remarqua de suite qu'il ne prit pas l'autre bout du canapé, non, il se mit à coté d'elle, bien au milieu. Quant à moi, je jugeais que m'asseoir sur le bout restant me desservait, et ressentait le besoin de prendre un fauteuil et de me placer en face, légèrement décalé sur la gauche de l’homme.
Je n'emploierai pas le mot malaise, cela dit l'atmosphère était emprunte d'une gène générale. Mon épouse qui pouvait se considérer comme une innocente brebis cernée par 2 loups n'attendant qu'une chose, Doc qui pouvait se demander s'il avait bien fait de faire de la route de nuit pour se retrouver à discuter sur un canapé, et moi qui naviguait en eaux très troubles, mis devant le fait accompli d'avoir faire venir un homme et de l'imposer à ma femme, et en même temps de vivre à l'instant présent la vision d'un homme à qui ma femme plaisait et qui avait certainement envie d'elle. Et se dégageait en moi l’évidence que si ce n’était pas de moi que venait l’étincelle du démarrage, on pourrait toujours attendre….

Doc termina donc son histoire de trio entamée lors de leur dial en cam, décrivant chaque action sexuelle sans jeter un voile pudique dessus. Mon épouse écoutait, intervenait, posait des questions, bien calée dans son coin jambes et bras savamment croisés. Limite coffre-fort imprenable.
Puis vint l'instant de résistance, le va-tout que l'on jette aux adversaires lorsque les arguments s'épuisent. Mon épouse lança aux loups impatients qu'elle ne comprenait pas qu'un homme, en l'occurrence son homme ( donc moi !), puisse avoir envie de voir son épouse, donc elle, dans les bras d'un homme. Et encore moins de lui faire l'amour.
Doc essaya, et je lui trouvais un certain courage à le faire, de s'appliquer à expliquer le pourquoi du comment, n'omettant pas de jouer sur la curiosité qu'elle pouvait éventuellement éprouver pour lui. De mon coté, je sentais ce moment comme crucial. Soit nous rentrions dans le jeu de mon épouse en avançant de front, l'amenant à camper sur ses positions pour ne plus en bouger d'un iota, soit nous amenions un autre angle, un autre point de vue. Puisque elle insiste sur l'acte en lui même, incompréhensible à ses yeux, je lui parlais de caresses, de câlins. Elle nous parle de sexe, je lui réponds douceur. J'avouais que de la voir là, assise sur le canapé, et l'imaginer embrassant E était pour moi une source d'excitation sans nom.
Il n'y eut pas de réponse de sa part sur cette pique, seulement un petit sourire, la tête penchée.

Doc s'engouffra bien sûr dans cette optique.

Ce fut probablement à ce moment qu'eut lieu la pause cigarette à l'extérieur, où la conversation continua, plus légère et générale. En rentrant, alors que l'Abeille allait reprendre exactement la même place salvatrice sur le sofa, je me penchais et lui caressant légèrement les fesses lui disais que non, c'était maintenant ma place. Elle me dira plus tard qu'elle comprit que cela devenait.... sérieux pour elle.
Guère évident de retracer mot pour mot, geste pour geste dans la chronologie une situation non commune, aux alentours de minuit, ressentant l'effet du champagne devant un feu de cheminée. Sans parler de la beauté de mon épouse, ses fines jambes et son discret décolleté assis près d'un homme qui de par sa posture et ses regards était tout sauf indifférent à elle.

L'annonce de notre inconnu spécifiant sa bisexualité, il était clair entre nous deux que bi je n'étais pas, mais "n'était ni pour ni contre". Que si jour cela m'arrivait, cela serait dans ...une ambiance qui s'y prête, et uniquement avec une présence féminine. Mais ce soir là entre les 2 hommes que nous sommes, je peux penser que la question Bi était reléguée au plus loin de nos préoccupations. C'est alors que Doc lança une phrase sur laquelle je me jetais tel un faucon.... "Certaine femme n'aime pas leur poitrine, est-ce ton cas ?" L'Abeille et moi éclatèrent de rire pour une raison X, incitant Doc à répondre "ah bon ?". Immédiatement les 2 hommes que nous sommes se penchèrent vers l'Abeille, qui tout en douceur écarta un peu l'échancrure de son chemisier pour nous permettre de regarder. Mais de suite, en riant, elle remit les mains en cache. Je ronchonnais pour la forme car il fallait franchement avoir un ralenti sur image pour avoir eu le temps de contempler. Mais pour moi, ma femme en faisant cela, c'est à dire offrir son décolleté à un inconnu, entrait dans notre jeu.

Il me semble que c'est elle qui nous donna l'occasion de passer au stade supérieur. En effet, sur d'elle même elle déclara qu'elle pourrait reconnaître le contact de l'un et l'autre, même les yeux fermés, et qu'elle en était archi sûr.

Je me levais et allais chercher désespérément un foulard ou quelque chose de similaire, et lui posa sur les yeux. Le tissu n'étant pas assez long, il ne pouvait tenir que si elle plaquait sa tête sur le dossier du canapé.
Ne sachant que faire d'elle même, nous primes ses mains pour les placer paumes en l'air. Doc et moi, entreprirent donc de l'effleurer, la caresser, appliqués tel 2 collégiens boutonneux ( pardon Doc, mais c'était un peu risible quand même :d). Enfin bon, la maîtresse femme qu'est la mienne reprit de l'aplomb et se redonna confiance - c'est du moins comme ça que je le vois - en nous nommant à chaque fois sans erreur aucune. Piqué au vif, je me levais en invitant du regard notre homme à m'imiter. On changea de coté, et je me retrouvais à la gauche de ma femme, assis contre elle. Il fit la même chose. Je crois pouvoir dire que la soirée libertine commença à cet instant.
Certes, on va me répéter à outrance que cette situation est mienne, dans le sens où j'en suis l'organisateur, l'instigateur. Ma femme n'est pas demandeuse de ce type de rencontre, l’homme n'est pas venu tout seul par hasard. Alors je n'ai qu'un droit, qu'un devoir : assumer la suite............... qu'elle qu'en soit l'issue.
Modifié en dernier par highheels123 le 10 janv. 2012, 14:30, modifié 1 fois.
FranclovX78 a liké
par ULYSSES
#944030
Ah! Un des rares de ce forum qui rédige vraiment tres bien!
Continuez je vous prie, c'est un plaisir de vous lire! (contenant et contenu bien sur!)
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par sergio
#949103
Voila le début d'un premier trio qui arrive souvent et qui pourtant et tenue sous silence ou aborder très rapidement pour arriver au sexe assez vite. Comme si cette gêne ne devait pas exister et ralentissez le but de cette rencontre. Alors que je crois que pour des débutants, elle est normal.

Nous avons rencontré un homme d'ici avec ma femme. Rien ne s'est passé comme nous le souhaitions tous les trois. Les aléas du direct dirons-nous. :mrgreen: Mais ce sentiment a traversé nos esprits (au moins celui de ma femme et le mien) à savoir comment nous allions passer cette étape et l'après.

Il doit être très difficile de faire l'autruche sans se poser de questions. ;)
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par sergio
#949535
nousosons90, tes photos sont sympas, mais tu devrais créer ton post pour. Higsteele a ouvert le sien pour raconter leur histoire. ;)
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par Candaul84
#949563
sergio a écrit :nousosons90, tes photos sont sympas, mais tu devrais créer ton post pour. Higsteele a ouvert le sien pour raconter leur histoire. ;)

D'ailleurs, étant nous-même dans l'étape qui précède la rencontre, (et se posant plein de questions sur son déroulement possible) on attend la suite avec impatience.
#959096
Le bandeau toujours en place devant les yeux, Doc et moi collions mon épouse de nos corps. Les premières caresses furent de simples effleurements du bout des doigts, du dos de la main le long de ses cuisses, son ventre, ses mollets, ses bras. Ce fut ensuite au tour du galbe des seins, du ventre, et pour ma part n'hésitais pas à effleurer son sexe. Elle ne manifesta rien, ne rejeta rien. mon visage s'enfouit près du sien, profitant de ce mouvement pour coller mon sexe gonflé de désirs contre sa hanche. Je pris son sein en main, le parcourait en douceur, m'arrêtais sur le téton, et entrouvrant avec précaution le chemisier rose, passait ma langue humide entre le soutien-gorge et la peau. Je cherchais à accéder à ses lèvres, mais elle ne répondait pas au frottement de mon visage et de ma bouche.
Geste fort à mes yeux, en tout cas avec un homme assis tout contre son corps, je détachais le bouton du haut de son chemisier. Aussi bien Doc que moi profitèrent de l'aubaine, et à tour de rôle nos mains entreprirent cet espace porteur de fantasme. Je me redressais pour revenir sur les jambes de mon épouse, ses cuisses, ses mollets. Je défi la chaussure gauche, en caressa le pied, et me pencha pour porter ses orteils à ma bouche, leur donner des coups de langues. Je crois que c'est à cet instant qu'eut lieu mon premier gros choc : la main droite de mon épouse caressait le bras de cet homme, qu'il nous soit inconnu ou pas 1 heure auparavant. Certes je continuais à la caresser, mais autant tout les sens du corps lui étaient dédiés il y a encore quelques secondes, autant là mes pensées furent semblables à une bombe thermonucléaire se vautrant lamentablement dans un océan de magma visqueux à souhait.

Il faisait chaud dans la pièce, environ 25°, ma femme et moi étions un peu fatigué, nous avions bu du champagne, et je la voyais, profondément assise dans le canapé, en train de toucher... non caresser le bras d'un homme, manifestant par là une réponse à ses caresses, et pire que tout, je traduisais ce geste comme une invitation pour la suite. Apprenti libertin cardiaque, s'abstenir.....
Peut-être Doc en déduisit-il la même chose, car il détacha le deuxième bouton du chemisier. Je crois que dans la foulée je les détachais tous, et remontais le chemisier pour qu'il sorte de la jupe. Ma moitié se retrouva avec 2 hommes allongés contre elle, corps contre corps, la caressant avec les mains, les doigts, la langue.
Il me semble avoir dirigé sa main vers mon sexe, je n'en pouvais plus. Par dessus mon pantalon, mon épouse me caressait, imprimant à sa main de doux mouvements d'aller retour. Et un nouveau choc m'attendait lorsque je relevais la tête de épaule : sa main caressait la cuisse de l’invité, main qui ne tarda pas à remonter sur le sexe. Elle se retrouva donc, désirée et caressée par 2 hommes, à leur masser doucement leurs sexes.
Je ne peux oublier ces quatre mains parcourant son ventre, sa poitrine, son cou, caressant son visage, massant ses cheveux. Je ne peux oublier ces deux langues léchant et titillant sa peau, ces deux bouches embrassant ce que cachait encore le chemisier il y a peu. Mes doigts remontèrent le long de ses cuisses gainées de résille, passèrent sous la jupe courte et se posèrent sur son sexe.
Pris dans le tourbillon, je posais ensuite ma main sur celle de ma femme, cette main qui caressait le sexe de Doc. Elle sourit, toujours les yeux fermés, car je lui avais retiré le bandeau.

Combien de fois lui ai-je raconté ce fantasme, de la voir ainsi offerte à deux hommes, caressant son corps sans relâche, ne cachant pas l'excitation qui était la nôtre à lui prodiguer toutes ces douceurs.

Je pense m'être levé vers ce moment là, l'invitant en lui tenant la main à faire de même , Doc suivant naturellement. En 10 secondes, je transformais le canapé en lit avant de les rejoindre à deux pas de là. Je lui fis face, notre inconnu se plaçant doucement derrière elle. Me mettant à genoux, je remontais sa jupe à la taille, apposant mon visage contre son sexe dissimulé par le string noir que je l'avais vu mettre en sortant de ma douche. Sans réponse de sa part que cela soit par un mouvement du bassin ou le réconfort d'une main passant dans mes cheveux, je levais la tête vers le haut, vit les mains de l'homme enserrer ses seins, sa tête enfouie dans le cou de mon épouse, son corps plaqué contre le sien. Celle-ci ondulait à présent du bassin les mains dans le dos, les avant-bras invisibles, J'en déduis donc que ses mains, ses deux mains, devaient se rejoindre à un endroit qui ne faisait pas mystère. Pour m'en assurer, je remontais mes mains le long des cuisses de mon épouse, et frôlant ses fesses, je pouvais sentir le dos de ses mains caresser sans s'arrêter le sexe de l’homme.
Je me vis à genoux, lui caressant les jambes, le ventre, passer mon visage au niveau de son ventre et de son sexe. Mais je n'étais plus dans le plaisir du début de soirée. Je me relevais pour m'asseoir directement sur le canapé et me laissais aller en arrière, simplement à les regarder. Les secondes passèrent, peut-être les minutes je ne sais pas. J'attendais un clin d'oeil complice qu'une femme fait à son mari, ou dans un style plus direct qu'elle lève une jambe pour venir poser son pied sur mon sexe. Mais rien....Les yeux toujours clos, elle se tenait face à moi, le corps répondant toujours à celui de l'inconnu. Je vivais un "grand blanc" on ne peut plus lucide en l'occasion. Toujours est-il que je me suis levé, et qu'enfin je croisais le regard de ma femme, très interrogateur. D'un signe de la main je lui faisais comprendre un "rien rien" qui veut dire "c'est bon, pas de pb...."
Tu parles pas de pb. Je ne pense sincèrement pas que mon regard allait de pair avec mon geste, mais bon.
Traversant la pièce, je pris une cigarette et quitta la maison. Oui, je les laissais seuls. Pas longtemps hors de ma vue car je repassais devant une fenêtre aux rideaux non tirés, et les vis encore et toujours, lui le sexe plaqué contre ses fesses. Nous portions nos vêtements, mais la vision suffit en elle-même. Et ça continuait. J'avais tout loisir de contempler ma femme me faisant face, de voir les mains d'un autre homme plaquées sur ses seins, sa tête plongée dans son cou.
Je fis le tour de la maison, alla marcher sur la route, revînt sur mes pas et jeta un autre coup d'oeil par la fenêtre. Rien n'avait changé. Pas en pire, pas en mieux. Bêtement, j'imaginais mon épouse délaissant ses caresses sur le sexe de l'homme et s'inquiéter de ma non présence. Certes je lui avais fait un geste vaguement rassurant, mais elle sait que je peux très bien être sanguin. Je rentrais par la porte du bout de la maison, sans me cacher, mais sans allumer la lumière. Et là, appuyé contre le chambranle, je jouais au mateur de seconde zone, inactif et silencieux, à contempler mon oeuvre : avoir tout fait pour mettre un homme dans les bras de mon épouse, et devoir vivre avec ça. Les pensées se bousculaient sous mon crâne; ne sachant vers quelle décision je devais me lancer.

On s'arrête là, désolé pour le déplacement mais tu rentres chez toi ? Je ne dis rien et rejoint ce trio qui pour l'instant est un duo dans lequel je ne semble pas manquer ? Je ne pouvais rester là à jouer le mari bafoué en pleine crise de conscience et j'avançais vers eux.
Deuxième regard interrogateur de ma femme, et réponse aussi bien muette qu'évasive de ma part Dans ma tête je lui disais clairement "Si tu n'a pas compris ma sortie, alors foutu pour foutu allons-y gaiement". Ce que je fis.
Je vins me placer contre son dos, et si moi je ne ressentais plus rien à faire cela, eux, à mes yeux, n'avaient pas lâché le fil conducteur. Et comme signe de bienvenue, je vis les mains de mon épouse soulever le pull noir de son partenaire, et de ses deux mains caresser sa peau lentement, très lentement. Peut-être est-ce à ce moment là que pour la première fois je les ai vu s'embrasser à pleine bouche, leurs mains se parcourant mutuellement avec délicatesse
et sans empressement. A mes yeux je devins subitement la cinquième roue du carrosse, juste là pour légitimer leur prise de plaisir à deux. Rien qu'eux deux. Ma femme l'invita sans mot dire à retirer son pull, et je ne sais plus si c'est lui ou moi qui lui fit glisser son chemisier ouvert le long de ses épaules. L'abandon du soutien-gorge vint d'elle me dira-elle plus tard, et ça je n'en ai plus aucun souvenir. Est-ce la aussi que je reprenais la main vis à vis de mon orgueil, saisissant mon épouse par la taille, l'embrassant et la caressant, puis je lui fis glisser sa courte jupe noire le long de ses cuisses. Je m'asseyais sur le bord du canapé et l'invitais à faire de même, suivie de Doc . Ma femme se retrouvait donc en bas et string allongé sur le canapé ouvert, avec un homme torse nu à sa gauche et moi à sa droite. Je crois me rappeler le regard de mon épouse sur le fait que je portais encore ma chemise, et je m'interdis sur le coup de lui faire comprendre que j'avais imaginé qu'elle aurait eu envie, elle, de me l'enlever.
De nouveau entourée au plus près, elle répondait aux caresses. Je sentais son corps réagir, sa respiration indiquait également que les caresses à quatre mains n'étaient pas pour lui déplaire. Ses deux mains se posèrent de nouveau sur nos sexes dissimulés. Elle savait que ce soir là je ne portais rien en dessous. N'y tenant plus, je détachais ma ceinture, ouvrait mon pantalon et lui offrait ainsi mon sexe à saisir. Notre invité se releva, et du coin de l'oeil je savourais le fait qu'il semblait se dépêcher, voir même s'empêtrer pour arriver au résultat voulu. Admettons là que c'est la réflexion d'un mari qui cherche à se raccrocher à quelque chose le mettant en valeur à ses propres yeux. Il portait un slip noir, sur lequel ma femme continuait ses mouvements assez lents. Elle saisissait, masturbait, y passait ses doigts dans un mouvement perpétuel. La tête tournée vers lui, elle gobait sa langue, ouvrait pleinement sa bouche sans plus aucune retenue tout en me masturbant. Quelle ne fut pas ma joie lorsqu'elle se tourna enfin, je dis bien enfin de mon coté pour que nous puissions nous embrasser. Je ne tardais pas à retirer rapidement sa main, sentant la jouissance venir. Peine perdue, mon sperme sortit par jets successifs sur mon pantalon, secouant mon membre abandonné à lui-même de soubresauts aussi précoces que vains. Waterloo morne plaine....
En temps normal, le fait de jouir fait disparaître immédiatement mes fantasmes adultérins. Ce qui voulait dire qu'il fallait que je prenne sur moi puissance 10 pour assumer la suite. Me lever et dire "merci à tous de votre participation, ma femme : je dois te parler au lit et le monsieur : par ici la sortie"... Cela dit, voir la main de mon épouse pénétrer à l'intérieur du slip de Doc pour mieux en masturber le sexe n'est pas le genre de chose qui me laisse de marbre. C'est d'ailleurs moi qui, me laissant ré-emporter par le plaisir, tira le slip de l’homme à ses chevilles pour que ma femme puisse le masturber sans être génée. Ensuite.... tout se mélange dans mes souvenirs. A un moment, lui et moi étions tête bêche par rapport à ma femme, qui nous masturbait pendant que penchés au dessus de son entre-cuisse, nous passions chacun notre langue dans son intimité. Il me semble aussi me rappeler de lui, à genoux devant ma femme, lui retirant le string avant d'embrasser son sexe et de le parcourir tout doucement de sa langue. je le revois se lever, partir probablement vers les toilettes. J'invitais mon épouse à se mettre dans le sens du lit, et me couchant sur elle, la pénétrait de tout mon sexe. Elle était à moi, et j'étais pleinement conscient de cette réaction masculine. Lorsqu’il fut de retour, je crois qu'il se coucha derrière mon épouse, perpendiculairement à elle. Elle du incliner sa tête vers lui pour de nouveau l'embrasser. Se déplaçant un peu plus tard, elle était quasiment contre lui, leurs bras emmêlés, bouche contre bouche0 Elle avait reprit mon sexe en main, le masturbait assez vite, amenant rapidement une nouvelle érection. Sa main due passer à un moment ou un autre sous mes fesses, caressant mon anus puis le pénétra du doigt.
Soulevant sa jambe alors qu'elle reprenait ses baisers avec Doc, j'humectais son sexe avant de la pénétrer de coté.
Par la suite elle se décala sur sa poitrine puis vers son ventre, ses mains ayant repris le chemin du sexe de l'homme.
Et nouvelle attaque cardiaque, car sous sa masse de cheveux, il me semblait apercevoir un mouvement révélateur de la tête. Je me relevais tout en la caressant, et je pouvais constater que le sexe de E était dans la bouche de mon épouse. Elle allait et venait de long de son membre, il la caressait de ses 2 mains pendant qu'elle lui prodiguait une fellation, là, sous mes yeux ! Ma femme suce un mec !

Et dans la série "sortez le défibrillateur", sa main droite passa sous ses testicules pour aller lui caresser l'anus. Elle me dira dans la journée qu'il n'avait pas réagit comme moi à ce type de caresses, donc elle n'a pas poursuivi. Quid s'il avait réagit ? Serait-elle allé lui passer la langue dessus pour me provoquer, l'aurait-elle sodomisé d'un ou deux doigts ? Foutu pour foutu dans l'optique de mon futur réveil douloureux, je lui caressait le visage pendant qu'elle le suçait, et voyant qu'elle était gênée par ses cheveux, je les lui ramenais en arrière, tout en étant hypnotisé par ce que j'avais sous les yeux., et que je lui caressais le sexe car elle était à quatre pattes devant moi.
Ensuite je ne sais plus, certaines scènes se mélangent c'est évident. Enfin donc mon épouse fut à un moment tout contre lui, de coté, à le masturber. De sa main elle agrippa mon bassin pour que je la prenne bien à fond. Je vis le sperme jaillir du sexe de Doc, et couler lentement sur les doigts de l'être aimée.
Je ne voulais pas laisser s'instaurer une sorte de tendresse entre eux, et décidais d'aller chercher du sopalin pour qu'elle puisse s'essuyer.
Ce qui me choqua en revenant, et j'avoue avoir faillit réagir, ne fut pas de les voir assis, nus sur le lit, ce fut le le voir lui, caresser une fois encore le dos de mon épouse. Pour marquer le coup, je recherchais mes vêtements et me rhabillais, bientôt imité par tout le monde. Et ma femme, me connaissant, lâcha un "ah, il se rhabille, donc c'est fini".

Vous reprendrez bien un pieu dans le coeur ?

Il y eut la cigarette de l'After, un peu de discussion. Il fut décidé que Doc resterait dormir, trop fatigué pour reprendre la route. Honnêtement j'aurais souhaité qu'il reparte. Mon épouse lui proposa de prendre une douche, et montèrent ensemble car il ne connaissait pas le chemin. Au bout de quelques minutes, je me suis demandé s'il n'était pas en train de continuer leur intimité. Je montais donc avec un air inquisiteur, et vit ma femme arriver par le couloir de droite, en pyjama, alors que la douche se trouve sur la gauche. Fausse alerte. Mais de nouveau je me repris la tête lorsqu'une fois couchée elle se releva pour aller l'aider à trouver l'interrupteur.

Une fois seul dans notre chambre, je ne sais plus comment c'est venu mais elle me dit :" de toute façon tu ferais la tête si j'allais dormir avec lui... On m'aurait enfoncer un clou dans les tempes que le bonheur aurait été le même...
Finalement pour me dire que c'était juste pour s'endormir dans nos bras, rien d'autres.
Tu parles, met un agneau entre 2 loups .....

Le lendemain en me réveillant, Doc avait quitté la maison. Excellente initiative.




Nota : il s’agissait là de notre TOUTE PREMIERE expérience trio avec un autre homme. Cela fait un peu plus de 3 ans. Nous sommes à présent libertins, pratiquant aussi bien avec des couples qu’avec des Hommes.
Modifié en dernier par highheels123 le 17 janv. 2012, 21:06, modifié 1 fois.
Avatar de l’utilisateur
par Candaul84
#959142
Cette suite est du niveau de la première partie. Vivante, pleine d'humour, on s'y croirait.
En espérant lire prochainement la suite de vos trépidantes aventures.
Modifié en dernier par Candaul84 le 17 janv. 2012, 14:26, modifié 2 fois.

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