- 07 janv. 2012, 14:06
#939978
Ma femme rencontra cet homme pour la première fois lors d’un vernissage d’une exposition auquel nous étions invités. Je le connaissais vaguement pour l’avoir déjà croisé dans le cadre de mon travail. Retraité d’une profession libérale, il portait bien ses 66 ans, plutôt avenant, élancé malgré un ventre proéminent qui trahissait son goût pour plaisirs terrestres. Après les présentations, Il engagea rapidement la conversation mais je compris vite que c’est mon épouse qui l’intéressait particulièrement. Il faut dire que ce soir là, les jolies femmes étaient peu nombreuses et que Sandrine attirait les regards. A 36 ans, elle est magnifique avec ses longs cheveux bruns encadrant un visage où brillent de magnifiques yeux bleus, de très jolies jambes, des fesses rebondies, une taille fine et une généreuse poitrine.
Elle était vêtue d’une jupe plutôt sage, d’un chemisier qui mettait en valeur sa belle poitrine et chaussée d’escarpins à talons hauts qui accentuaient le galbe de ses jambes gainées de bas en fin voile couleur chair.
Il avait vaguement participé à l’organisation de l’expo et il lui faisait les honneurs de la visite, charmeur et enjôleur. Il lui prenait le bras, frôlait son dos et ne perdait pas une occasion d’admirer les courbes de ses seins, de ses fesses ou la finesse de ses jambes.
Après le cocktail, il lui remit sa carte et lui fit promettre qu’elle l’appellerait. Dans notre voiture au retour, j’ai chambré mon épouse sur l’intérêt que lui portait son vieil admirateur galant :
-Tu t’es fait un nouvel ami ce soir. Si je n’étais pas jaloux, je pourrais me faire des idées…
-Tu ne crois pas si bien dire.
-Comment cela ?
-Ce type n’a pas froid aux yeux, il m’a complimenté sur mon physique, m’a posé des tas de questions embarrassantes
-De quel genre ?
-Si j’appréciais l’érotisme, si je portais des bas sous ma jupe puis il m’a directement proposé un rendez-vous en me précisant qu’il aimait les jeunes femmes mariées, amatrices de nouvelles expériences sexuelles… et dociles
Qu’as-tu répondu ?
-Que je n’étais pas dans cet état d’esprit mais que je réfléchissais à sa proposition
-Tu es sérieuse ?
-Ce n’est pas toi qui a le fantasme de me partager avec un vieux cochon ? Je crois que c’est le client parfait, répondit-elle, provocatrice. Après tout, il est plutôt charmant.
Nous n’avons pas reparlé de cette proposition indécente pendant plusieurs jours mais je sentis bien que l’homme avait troublé Sandrine. J’en eu la certitude lorsque son évocation lors de nos ébats un soir provoqua chez elle un appétit sexuel que je ne lui connaissais pas et qui me laissa pantois.
Dans les semaines qui suivirent, elle m’informa qu’il l’avait recontactée afin de lui proposer de boire un verre ou de visiter une expo mais elle avait décliné ses avances.
Un soir, alors que nos préparions pour assister à un concert, Sandrine m’avoua que l’homme lui avait laissé entendre qu’il serait présent et qu’il pouvait s’arranger pour s’isoler lors du repas qui suivrait la représentation si elle le désirait.
-Quel cochon, il te propose carrément une escapade et une petite baise entre la poire et le fromage ?
-Je sais, il est gonflé…
-Ca t’excite ?
-Un peu…
-Je vais être franc, si tu veux le faire, tu as ma bénédiction mais arrange-toi pour que je puisse vous suivre et vous regarder
-Tu es un dégueulasse doublé d’un voyeur…, tu m’offres à un vieillard dit-elle malicieusement un sourire énigmatique aux lèvres.
Le concert fut une réussite. Après la représentation, un dîner tardif était offert par les organisateurs dans un hôtel-restaurant située à l’extérieur de la ville. Lorsque je pris connaissance du plan de table, je me rendis vite compte que le vieux avait développé sa stratégie. Ma femme était assise à ses côté et j’étais relégué à la table voisine.
Pendant tous le repas, peu attentif aux discussions des convives, j’observe le manège de l’homme auprès de mon épouse. Il faut dire qu’elle est ce soir particulièrement en beauté. Elle porte une robe noire courte et très décolletée entre les seins et dans le dos, des bas en fin voile noir et de magnifiques et vertigineux escarpins à talons aiguilles. Le type mâte sans cesse sa poitrine et ses cuisses dévoilées par sa robe jusqu’à la jarretière de ses bas.
Avant le dessert, il se lève et aida mon épouse à sortir de table. Elle l’accompagne en direction de l’escalier de marbre qui dessert les étages. En passant à ma hauteur, elle me lance un clin d’œil.
Ils montent les escaliers. Il la tient par la taille. Je contemple sa démarche chaloupée, perchée sur 12cm de talons. J’admire sa robe qui danse autour de ses hanche, ses merveilleuses jambes gainées de noir qui disparaissent de ma vue sur les dernières marches.
J’ai laissé passer quelques instants et je les suis dans les escaliers. Un importun m’arrête pour me parler et j’ai le plus grand mal à m’en débarrasser. Lorsque je m’échappe, j’hésite sur le chemin à suivre et je me dirige finalement vers les chambres. Elles sont toutes inoccupées sauf une. La porte n’est qu’entrebâillée et je jette un coup d’œil à l’intérieur.
Le spectacle me saisit, ma femme est debout au milieu de la pièce. Elle est nue à l’exception de ses bas noirs et de ses talons hauts. Le vieux lui fait face et la contemple. Il avance une main vers ses seins lourds et fermes et commence à les palper doucement puis de plus en plus fortement. Il lui pétrit les fesses, frôle son ventre de sa main qui glisse ensuite vers un pubis entièrement épilé.
-Ecarte les jambes, lui ordonne-t-il d’un ton brutal.
Sandrine obéit et se laisse faire Les doigts s’insinuent entre ses cuisses. Les yeux mi-clos, elle semble goûter ses caresses et se laisse explorer. L’homme fouille son entrecuisse par devant et par derrière. La main qui lui écarte les fesses glisse vers sa vulve lisse et la masse délicatement. L’autre main écarte ses lèvres intimes, joue avec son clitoris. Elles se rejoignent à l’entrée de son vagin. Elle gémit.
Un clapotis indécent me fait comprendre qu’elle mouille d’excitation de se faire ainsi tripoter. Il glisse un doigt dans son sexe, elle crie de surprise. Il la branle lentement avec d’amples mouvements de va et vient. Il entre un deuxième doigt dans son intimité.
-Tu mouille, espèce de petite salope. Viens par ici.
Il la pousse sur le lit, l’installe à quatre pattes, les cuisses écartées. Il baisse son pantalon, sort une verge à moitié bandée de son slip et monte à genoux sur le lit en face d’elle. Il présente sa queue devant les lèvres de ma femme.
- Suce-moi. Montre-moi ce que tu sais faire avec ta bouche.
Sandrine obéit, elle ouvre la bouche et engloutit son membre. Elle s’applique, mouille la queue de salive et la fait coulisser entre ses lèvres. Il s’enfonce dans sa gorge et la fait hoqueter. La bite luisante va et vient lentement. Elle la comprime pour lui donner le maximum de sensation, elle le pompe divinement. Il saisit ses seins qui oscillent sous son buste et se met à les pétrir. La fellation dure. Le vieux jusque là concentré sur le plaisir que lui procure mon épouse lève les yeux et croise mon regard. Il sourit.
-Ton petit mari admire tes talents de suceuse de bite. Ne le déçois pas.
Sandrine le suce toujours, de la salive coule à la commissure de ses lèvres, la bite lui déforme la bouche. Elle poursuit sa tache consciencieusement.
-Arrête, petite pute. Maintenant je vais t’enfiler.
Il se place derrière elle et la positionne de manière méticuleuse en levrette en lui donnant des consignes précises :
-En appui sur tes avant-bras, les cuisses écartées au maximum, tes genoux à la hauteur de tes coudes, tes fesses rendues vers l’arrière.
Le résultat est saisissant. Ma chère épouse uniquement vêtue d’escarpins à talons aiguille et de bas noirs s’offre dans une position des plus indécentes. Son postérieur est offert, son entrecuisse largement ouvert est accessible, son sexe rose et humide semble palpiter entre ses lèvres intimes, ses seins lourds frôlent le couvre-lit.
Le type glisse un doigt dans son sexe et la branle.
-Tu ruisselles, tu es excité comme une chienne. Je vais te prendre devant ton petit mari.
Il me fait signe d’entrer. J’obéis.
-Regarde comme elle s’offre à moi. Ta femme est une petite salope docile et je vais la prendre comme une pute.
Il se place derrière elle, dirige son sexe vers sa vulve luisante d’excitation et la pénètre. Il s’enfonce lentement en elle. Elle feule lorsque la queue du vieux l’envahit. Son étroit fourreau est dilaté sous la poussée. Il l’enfile à fond.
-Nom d’un chien, elle est étroite la pute… une vraie pucelle. J’ai l’impression de l’ouvrir en deux.
Il commence ses mouvement de va et vient, il pistonne le vagin de ma femme avec lenteur et régularité. Elle gémit. Je connais cette sensation délicieuse de s’immiscer dans son orifice chaud et soyeux.
-Mmmmh… sa petite chatte me masse bien le gland et la bite. Tu aimes ça faire la pute, te faire fourrer comme une chienne ?
-Oui, Monsieur. Continuez…
-Tu ne connaissais pas ta femme sous ce jour. Réponds cocu !
-Non, je l’avoue…
-Ce n’est plus ta petite épouse, c’est ma femelle.
Il accélère la cadence, lui claque violemment les fesses. Elle crie.
Il saisit ses seins qui se balancent, il les malaxe. Il palpe ses fesses charnues, ses cuisses au travers du nylon de ses bas, son pubis lisse et doux.
Il est infatigable, il baise ma femme de plus en plus rapidement, elle gémit de plus en plus fort.
-Je te défonce, petite pute, tu ne t’attendais pas à ça… !
-Nonnnnnnn… !
Je crois qu’elle jouit. Je l’entends à ses cris.
Il la besogne maintenant depuis une quinzaine de minutes. Je ne l’ai jamais moi-même honorée si longuement. L’homme sue, Sandrine halète, son visage s’empourpre. Le gros bide du vieux claque sur le cul de Sandrine, sa verge luisante poursuit son infernal va et vient avec un bruit mouillé.
Soudain, il se plaque contre elle et jouit en grognant. Il éjacule longuement dans son ventre
-Je te remplis petite pute. Prends ton mon foutre.
Il se retire lentement. Sa verge débande, il la présente à ma femme.
-Nettoie ma queue.
Elle prend en bouche son membre mou et gluant et le suce docilement. L’homme, satisfait, se rhabille et contemple Sandrine qui descend du lit, la main entre les cuisses pour tenter de retenir le sperme qui s’écoule. Son maquillage a coulé, ses seins sont rougis a force d’avoir été triturés, des traces blanchâtres souillent l’intérieur de ses cuisses et maculent la jarretière de ses bas.
-Je pense que cette petite pute a été bien enfilée. Laissons-là se refaire une beauté.
Il quitte la pièce, j’interroge Sandrine du regard.
-Ca va, laisse-moi. Je te rejoins et ne me regarde pas comme ça, j’ai assez honte.
Je passe par les toilettes où je me branle frénétiquement. La vision de ma femme soumise livrée à ce pervers m’a électrisé. J’éjacule dans le lavabo en repensant à Sandrine prise comme une chienne. Je regagne la salle à manger, le dîner tire à sa fin. Notre ami converse tranquillement avec des invités.
Lorsque Sandrine redescend, elle a retrouvé sa superbe et son style impeccable. On ne croirait pas qu’elle vient de se faire baiser comme une chienne pendant de longues minutes. Au moment de partir, l’homme s’adresse à nous :
-J’ai été enchanté de faire plus amplement connaissance avec Madame. Je pense que nous nous reverrons.
Sandrine rougit, reste muette. Nous rentrons. Ce soir là et les jours qui suivent elle me donna peu d’explications sur sa décision de céder et de s’offrir à ce vieux pervers.
-Il y a quelque chose en lui qui me répugne et m’excite intensément. Faire l’amour avec toi est une chose délicieuse. Avec lui c’est sale, bestial, humiliant mais ça m’excite et il me fait jouir comme une folle.
-Tu souhaite le revoir ?
-Je ne sais pas trop, uniquement si tu m’en donnes l’autorisation.
Je n’étais pas opposé à cette idée. Contre toute attente, deux jours plus tard, l’homme me rend une visite impromptue à mon bureau. Il sourit, sûr de lui et s’assied sur la chaise que je lui désigne.
-Vous devez me trouver gonflé de venir vous voir mais j’ai l’habitude d’être franc. Je veux vous faire une proposition.
-Habituellement, vous prenez ce qui vous intéresse sans me demander la permission.
-Ce n’est pas une demande de permission. Je vous informe des projets que j’ai pour votre femme.
-Quels sont-ils ?
- Je suis divorcé, j’ai 66 ans et j’aime le sexe mais j’aime le pratiquer avec des jeunes femmes mariées. J’aime dépraver et pervertir de jolies mères de famille. La votre est superbe, elle a un corps magnifique et elle est sexuellement très docile. Avez-vous vu comme je l’ai baisée, je l’ai traitée comme une pute et elle a aimé cela.
-Et alors ?
-J’aimerais entretenir une relation suivie avec elle. Attention, je vais être clair : pas d’histoire de sentiments. Je n’imagine aucune interférence avec votre couple, vous continuez à vivre votre vie. Mais régulièrement, une fois par semaine ou plus éventuellement, je la convoque, elle s’habille de manière féminine et sexy : jupes, robes talons hauts, bas et lingerie et elle me rejoint. Je la baise comme une chienne pendant une heure ou deux. Je vous l’ai dit, je suis direct. Elle se soumet, se prête à toutes mes fantaisies sexuelles. Je la prends comme il me plaît et autant de fois qu’il me plaît. Je me vide les couilles en elle.
-Je ne sais pas si elle va accepter de telles conditions
-Elle les a déjà acceptées. Elle n’attend que votre feu vert.
J’étais abasourdi. Le type avait réglé son petit stratagème dans mon dos avec Sandrine.
-Elle m’a dit que vous fantasmiez depuis longtemps sur ce genre de scénario. La voir se faire prendre par un autre. Mes conditions sont un peu particulières mais je crois que vous aimerez que je vous fasse cocu et que je traite votre chère et tendre comme une véritable petite salope. Je me trompe ?
Il n’avait pas tord, j’ai dû le reconnaître.
J’ai accepté la proposition et ma femme est depuis quatre mois l’objet sexuel de cet homme. Elle le voit une à deux fois par semaine en soirée ou parfois l’après-midi le week-end. Elle me raconte absolument tout.
Cette liaison a bouleversé notre vie sexuelle, Sandrine et moi sommes toujours profondément amoureux mais nos rares étreintes sont certes tendres mais sans passion. Elle ne prend plus beaucoup de plaisir avec moi et m’explique qu’elle ne peut jouir que dans une relation de soumission sexuelle avec un amant dominateur et pervers qui ne peut pas être l’homme qu’elle aime.
Elle se rend à son domicile vêtue de façon toujours plus sexy. Une grande partie de son dressing est d’ailleurs aujourd’hui occupée par les tenues qu’elle porte pour retrouver son vieil amant : de nombreuses robes ou jupes jamais très longues, des sous-vêtements ultra sexy achetés sur des sites spécialisés, des dizaines de paires de bas auto fixant ou pour porte-jarretelles, une douzaine de paires d’escarpins à talons de 10cm minimum.
Comme il me l’a annoncé, le vieux n’a pas beaucoup d’égards pour la mère de mes enfants. Il exige de la prendre la plupart du temps vêtue comme une pute de bas et talons hauts. Il l’a initiée à des expériences que nous n’avions jamais tentées en couple : des pratiques SM soft comme les liens, la fessée ou le martinet, il a initié ma femme à la sodomie alors qu’elle me l’avait toujours refusé et il l’encule depuis de manière régulière. Elle est toujours intégralement épilée et je n’ai jamais revu le moindre poil sur son corps.
Dès la première relation sexuelle à laquelle j’ai assisté, il s’est dispensé de préservatif et il apprécie d’éjaculer selon ses envies dans la bouche, le cul ou le ventre de ma femme. A quatre reprises, il a invité des inconnus à se joindre à leurs ébats. Des types entre 55 et 70 ans, un seul homme, différent à chaque fois, des amis à lui ou de vagues connaissances. Il leur a « prêté » mon épouse qui s’est livrée docilement à toutes leurs envies.
Cette situation m’excite plus que je ne l’aurais imaginé. Il m’arrive de me masturber en écoutant Sandrine me raconter les dépravations que son vieil amant lui fait subir lorsqu’elle rentre encore souillée de sa semence. Je me branle également en l’attendant, en imaginant ma femme se faisant prendre sans ménagement par ce gros cochon. Tout récemment, las de simplement imaginer, j’ai demandé à jouer les voyeurs et pouvoir assister au moins une fois à leurs ébats. L’homme m’a fait savoir que j’avais déjà assisté à une telle scène la première fois où il a possédé ma femme et qu’il ne souhaitait pas que cela se reproduise. En revanche, il m’a proposé une alternative, un ami à lui pourrait nous rendre visite et soumettre sexuellement Sandrine sous mes yeux et me faire voir « ses progrès».
J’ai accepté et Sandrine a évidemment acquiescé puisque l’idée était celle de son amant. Nous avons accueilli l’homme dont nous n’avons jamais su le nom un soir à la maison à l’occasion d’un apéritif. Mon épouse avait reçu consigne de son amant de ne porter qu’un porte-jarretelle, des bas en voile gris et des talons aiguilles, de se maquiller soigneusement et de s’épiler, comme toujours, intégralement.
L’homme, un quinquagénaire au physique de lutteur de foire s’est présenté comme convenu. Fasciné par le physique et la tenue de Sandrine, il l’a tripotée sans arrêt pendant l’apéritif, il a ensuite exigé qu’elle le suce à genoux devant lui pendant qu’il sirotait son verre sur le canapé du salon tout en me faisant des commentaires salaces. Nous sommes ensuite montés à l’étage et il a pris ma femme en levrette sur notre lit conjugal. Après l’avoir longuement besognée en la traitant de tous les noms, il a jouit dans sa bouche. J’ai vu ma femme prendre son pied avec cet infâme bonhomme, jouir bruyamment pendant qu’il l’enfilait sans ménagement. Après un retour au salon où le type s’est fait resservir à boire, a exigé de mon épouse une nouvelle fellation, nous sommes revenus dans notre chambre où il l’a sodomisée. Le spectacle de ma femme à quatre pattes sur notre lit, uniquement vêtue de ses bas et de ses escarpins se faisant enculer par un parfait inconnu m’a électrisé et j’ai moi-même joui dans mon caleçon. L’homme a ensuite ôté sa capote et s’est branlé sur nos draps en les maculant de son foutre épais. Il est ensuite parti non sans m’avoir complimenté sur la beauté et la docilité de mon épouse et en me traitant de petit cocu.
Le mot était finalement lâché, je suis un véritable cocu et je crois que j’apprécie cet état. J’aime voir et imaginer ma femme soumise sexuellement à d’autres, j’aime l’idée quelle prenne beaucoup de plaisir dans ce type de sexualité. Je la trouve plus belle et plus attirante que jamais.
Elle était vêtue d’une jupe plutôt sage, d’un chemisier qui mettait en valeur sa belle poitrine et chaussée d’escarpins à talons hauts qui accentuaient le galbe de ses jambes gainées de bas en fin voile couleur chair.
Il avait vaguement participé à l’organisation de l’expo et il lui faisait les honneurs de la visite, charmeur et enjôleur. Il lui prenait le bras, frôlait son dos et ne perdait pas une occasion d’admirer les courbes de ses seins, de ses fesses ou la finesse de ses jambes.
Après le cocktail, il lui remit sa carte et lui fit promettre qu’elle l’appellerait. Dans notre voiture au retour, j’ai chambré mon épouse sur l’intérêt que lui portait son vieil admirateur galant :
-Tu t’es fait un nouvel ami ce soir. Si je n’étais pas jaloux, je pourrais me faire des idées…
-Tu ne crois pas si bien dire.
-Comment cela ?
-Ce type n’a pas froid aux yeux, il m’a complimenté sur mon physique, m’a posé des tas de questions embarrassantes
-De quel genre ?
-Si j’appréciais l’érotisme, si je portais des bas sous ma jupe puis il m’a directement proposé un rendez-vous en me précisant qu’il aimait les jeunes femmes mariées, amatrices de nouvelles expériences sexuelles… et dociles
Qu’as-tu répondu ?
-Que je n’étais pas dans cet état d’esprit mais que je réfléchissais à sa proposition
-Tu es sérieuse ?
-Ce n’est pas toi qui a le fantasme de me partager avec un vieux cochon ? Je crois que c’est le client parfait, répondit-elle, provocatrice. Après tout, il est plutôt charmant.
Nous n’avons pas reparlé de cette proposition indécente pendant plusieurs jours mais je sentis bien que l’homme avait troublé Sandrine. J’en eu la certitude lorsque son évocation lors de nos ébats un soir provoqua chez elle un appétit sexuel que je ne lui connaissais pas et qui me laissa pantois.
Dans les semaines qui suivirent, elle m’informa qu’il l’avait recontactée afin de lui proposer de boire un verre ou de visiter une expo mais elle avait décliné ses avances.
Un soir, alors que nos préparions pour assister à un concert, Sandrine m’avoua que l’homme lui avait laissé entendre qu’il serait présent et qu’il pouvait s’arranger pour s’isoler lors du repas qui suivrait la représentation si elle le désirait.
-Quel cochon, il te propose carrément une escapade et une petite baise entre la poire et le fromage ?
-Je sais, il est gonflé…
-Ca t’excite ?
-Un peu…
-Je vais être franc, si tu veux le faire, tu as ma bénédiction mais arrange-toi pour que je puisse vous suivre et vous regarder
-Tu es un dégueulasse doublé d’un voyeur…, tu m’offres à un vieillard dit-elle malicieusement un sourire énigmatique aux lèvres.
Le concert fut une réussite. Après la représentation, un dîner tardif était offert par les organisateurs dans un hôtel-restaurant située à l’extérieur de la ville. Lorsque je pris connaissance du plan de table, je me rendis vite compte que le vieux avait développé sa stratégie. Ma femme était assise à ses côté et j’étais relégué à la table voisine.
Pendant tous le repas, peu attentif aux discussions des convives, j’observe le manège de l’homme auprès de mon épouse. Il faut dire qu’elle est ce soir particulièrement en beauté. Elle porte une robe noire courte et très décolletée entre les seins et dans le dos, des bas en fin voile noir et de magnifiques et vertigineux escarpins à talons aiguilles. Le type mâte sans cesse sa poitrine et ses cuisses dévoilées par sa robe jusqu’à la jarretière de ses bas.
Avant le dessert, il se lève et aida mon épouse à sortir de table. Elle l’accompagne en direction de l’escalier de marbre qui dessert les étages. En passant à ma hauteur, elle me lance un clin d’œil.
Ils montent les escaliers. Il la tient par la taille. Je contemple sa démarche chaloupée, perchée sur 12cm de talons. J’admire sa robe qui danse autour de ses hanche, ses merveilleuses jambes gainées de noir qui disparaissent de ma vue sur les dernières marches.
J’ai laissé passer quelques instants et je les suis dans les escaliers. Un importun m’arrête pour me parler et j’ai le plus grand mal à m’en débarrasser. Lorsque je m’échappe, j’hésite sur le chemin à suivre et je me dirige finalement vers les chambres. Elles sont toutes inoccupées sauf une. La porte n’est qu’entrebâillée et je jette un coup d’œil à l’intérieur.
Le spectacle me saisit, ma femme est debout au milieu de la pièce. Elle est nue à l’exception de ses bas noirs et de ses talons hauts. Le vieux lui fait face et la contemple. Il avance une main vers ses seins lourds et fermes et commence à les palper doucement puis de plus en plus fortement. Il lui pétrit les fesses, frôle son ventre de sa main qui glisse ensuite vers un pubis entièrement épilé.
-Ecarte les jambes, lui ordonne-t-il d’un ton brutal.
Sandrine obéit et se laisse faire Les doigts s’insinuent entre ses cuisses. Les yeux mi-clos, elle semble goûter ses caresses et se laisse explorer. L’homme fouille son entrecuisse par devant et par derrière. La main qui lui écarte les fesses glisse vers sa vulve lisse et la masse délicatement. L’autre main écarte ses lèvres intimes, joue avec son clitoris. Elles se rejoignent à l’entrée de son vagin. Elle gémit.
Un clapotis indécent me fait comprendre qu’elle mouille d’excitation de se faire ainsi tripoter. Il glisse un doigt dans son sexe, elle crie de surprise. Il la branle lentement avec d’amples mouvements de va et vient. Il entre un deuxième doigt dans son intimité.
-Tu mouille, espèce de petite salope. Viens par ici.
Il la pousse sur le lit, l’installe à quatre pattes, les cuisses écartées. Il baisse son pantalon, sort une verge à moitié bandée de son slip et monte à genoux sur le lit en face d’elle. Il présente sa queue devant les lèvres de ma femme.
- Suce-moi. Montre-moi ce que tu sais faire avec ta bouche.
Sandrine obéit, elle ouvre la bouche et engloutit son membre. Elle s’applique, mouille la queue de salive et la fait coulisser entre ses lèvres. Il s’enfonce dans sa gorge et la fait hoqueter. La bite luisante va et vient lentement. Elle la comprime pour lui donner le maximum de sensation, elle le pompe divinement. Il saisit ses seins qui oscillent sous son buste et se met à les pétrir. La fellation dure. Le vieux jusque là concentré sur le plaisir que lui procure mon épouse lève les yeux et croise mon regard. Il sourit.
-Ton petit mari admire tes talents de suceuse de bite. Ne le déçois pas.
Sandrine le suce toujours, de la salive coule à la commissure de ses lèvres, la bite lui déforme la bouche. Elle poursuit sa tache consciencieusement.
-Arrête, petite pute. Maintenant je vais t’enfiler.
Il se place derrière elle et la positionne de manière méticuleuse en levrette en lui donnant des consignes précises :
-En appui sur tes avant-bras, les cuisses écartées au maximum, tes genoux à la hauteur de tes coudes, tes fesses rendues vers l’arrière.
Le résultat est saisissant. Ma chère épouse uniquement vêtue d’escarpins à talons aiguille et de bas noirs s’offre dans une position des plus indécentes. Son postérieur est offert, son entrecuisse largement ouvert est accessible, son sexe rose et humide semble palpiter entre ses lèvres intimes, ses seins lourds frôlent le couvre-lit.
Le type glisse un doigt dans son sexe et la branle.
-Tu ruisselles, tu es excité comme une chienne. Je vais te prendre devant ton petit mari.
Il me fait signe d’entrer. J’obéis.
-Regarde comme elle s’offre à moi. Ta femme est une petite salope docile et je vais la prendre comme une pute.
Il se place derrière elle, dirige son sexe vers sa vulve luisante d’excitation et la pénètre. Il s’enfonce lentement en elle. Elle feule lorsque la queue du vieux l’envahit. Son étroit fourreau est dilaté sous la poussée. Il l’enfile à fond.
-Nom d’un chien, elle est étroite la pute… une vraie pucelle. J’ai l’impression de l’ouvrir en deux.
Il commence ses mouvement de va et vient, il pistonne le vagin de ma femme avec lenteur et régularité. Elle gémit. Je connais cette sensation délicieuse de s’immiscer dans son orifice chaud et soyeux.
-Mmmmh… sa petite chatte me masse bien le gland et la bite. Tu aimes ça faire la pute, te faire fourrer comme une chienne ?
-Oui, Monsieur. Continuez…
-Tu ne connaissais pas ta femme sous ce jour. Réponds cocu !
-Non, je l’avoue…
-Ce n’est plus ta petite épouse, c’est ma femelle.
Il accélère la cadence, lui claque violemment les fesses. Elle crie.
Il saisit ses seins qui se balancent, il les malaxe. Il palpe ses fesses charnues, ses cuisses au travers du nylon de ses bas, son pubis lisse et doux.
Il est infatigable, il baise ma femme de plus en plus rapidement, elle gémit de plus en plus fort.
-Je te défonce, petite pute, tu ne t’attendais pas à ça… !
-Nonnnnnnn… !
Je crois qu’elle jouit. Je l’entends à ses cris.
Il la besogne maintenant depuis une quinzaine de minutes. Je ne l’ai jamais moi-même honorée si longuement. L’homme sue, Sandrine halète, son visage s’empourpre. Le gros bide du vieux claque sur le cul de Sandrine, sa verge luisante poursuit son infernal va et vient avec un bruit mouillé.
Soudain, il se plaque contre elle et jouit en grognant. Il éjacule longuement dans son ventre
-Je te remplis petite pute. Prends ton mon foutre.
Il se retire lentement. Sa verge débande, il la présente à ma femme.
-Nettoie ma queue.
Elle prend en bouche son membre mou et gluant et le suce docilement. L’homme, satisfait, se rhabille et contemple Sandrine qui descend du lit, la main entre les cuisses pour tenter de retenir le sperme qui s’écoule. Son maquillage a coulé, ses seins sont rougis a force d’avoir été triturés, des traces blanchâtres souillent l’intérieur de ses cuisses et maculent la jarretière de ses bas.
-Je pense que cette petite pute a été bien enfilée. Laissons-là se refaire une beauté.
Il quitte la pièce, j’interroge Sandrine du regard.
-Ca va, laisse-moi. Je te rejoins et ne me regarde pas comme ça, j’ai assez honte.
Je passe par les toilettes où je me branle frénétiquement. La vision de ma femme soumise livrée à ce pervers m’a électrisé. J’éjacule dans le lavabo en repensant à Sandrine prise comme une chienne. Je regagne la salle à manger, le dîner tire à sa fin. Notre ami converse tranquillement avec des invités.
Lorsque Sandrine redescend, elle a retrouvé sa superbe et son style impeccable. On ne croirait pas qu’elle vient de se faire baiser comme une chienne pendant de longues minutes. Au moment de partir, l’homme s’adresse à nous :
-J’ai été enchanté de faire plus amplement connaissance avec Madame. Je pense que nous nous reverrons.
Sandrine rougit, reste muette. Nous rentrons. Ce soir là et les jours qui suivent elle me donna peu d’explications sur sa décision de céder et de s’offrir à ce vieux pervers.
-Il y a quelque chose en lui qui me répugne et m’excite intensément. Faire l’amour avec toi est une chose délicieuse. Avec lui c’est sale, bestial, humiliant mais ça m’excite et il me fait jouir comme une folle.
-Tu souhaite le revoir ?
-Je ne sais pas trop, uniquement si tu m’en donnes l’autorisation.
Je n’étais pas opposé à cette idée. Contre toute attente, deux jours plus tard, l’homme me rend une visite impromptue à mon bureau. Il sourit, sûr de lui et s’assied sur la chaise que je lui désigne.
-Vous devez me trouver gonflé de venir vous voir mais j’ai l’habitude d’être franc. Je veux vous faire une proposition.
-Habituellement, vous prenez ce qui vous intéresse sans me demander la permission.
-Ce n’est pas une demande de permission. Je vous informe des projets que j’ai pour votre femme.
-Quels sont-ils ?
- Je suis divorcé, j’ai 66 ans et j’aime le sexe mais j’aime le pratiquer avec des jeunes femmes mariées. J’aime dépraver et pervertir de jolies mères de famille. La votre est superbe, elle a un corps magnifique et elle est sexuellement très docile. Avez-vous vu comme je l’ai baisée, je l’ai traitée comme une pute et elle a aimé cela.
-Et alors ?
-J’aimerais entretenir une relation suivie avec elle. Attention, je vais être clair : pas d’histoire de sentiments. Je n’imagine aucune interférence avec votre couple, vous continuez à vivre votre vie. Mais régulièrement, une fois par semaine ou plus éventuellement, je la convoque, elle s’habille de manière féminine et sexy : jupes, robes talons hauts, bas et lingerie et elle me rejoint. Je la baise comme une chienne pendant une heure ou deux. Je vous l’ai dit, je suis direct. Elle se soumet, se prête à toutes mes fantaisies sexuelles. Je la prends comme il me plaît et autant de fois qu’il me plaît. Je me vide les couilles en elle.
-Je ne sais pas si elle va accepter de telles conditions
-Elle les a déjà acceptées. Elle n’attend que votre feu vert.
J’étais abasourdi. Le type avait réglé son petit stratagème dans mon dos avec Sandrine.
-Elle m’a dit que vous fantasmiez depuis longtemps sur ce genre de scénario. La voir se faire prendre par un autre. Mes conditions sont un peu particulières mais je crois que vous aimerez que je vous fasse cocu et que je traite votre chère et tendre comme une véritable petite salope. Je me trompe ?
Il n’avait pas tord, j’ai dû le reconnaître.
J’ai accepté la proposition et ma femme est depuis quatre mois l’objet sexuel de cet homme. Elle le voit une à deux fois par semaine en soirée ou parfois l’après-midi le week-end. Elle me raconte absolument tout.
Cette liaison a bouleversé notre vie sexuelle, Sandrine et moi sommes toujours profondément amoureux mais nos rares étreintes sont certes tendres mais sans passion. Elle ne prend plus beaucoup de plaisir avec moi et m’explique qu’elle ne peut jouir que dans une relation de soumission sexuelle avec un amant dominateur et pervers qui ne peut pas être l’homme qu’elle aime.
Elle se rend à son domicile vêtue de façon toujours plus sexy. Une grande partie de son dressing est d’ailleurs aujourd’hui occupée par les tenues qu’elle porte pour retrouver son vieil amant : de nombreuses robes ou jupes jamais très longues, des sous-vêtements ultra sexy achetés sur des sites spécialisés, des dizaines de paires de bas auto fixant ou pour porte-jarretelles, une douzaine de paires d’escarpins à talons de 10cm minimum.
Comme il me l’a annoncé, le vieux n’a pas beaucoup d’égards pour la mère de mes enfants. Il exige de la prendre la plupart du temps vêtue comme une pute de bas et talons hauts. Il l’a initiée à des expériences que nous n’avions jamais tentées en couple : des pratiques SM soft comme les liens, la fessée ou le martinet, il a initié ma femme à la sodomie alors qu’elle me l’avait toujours refusé et il l’encule depuis de manière régulière. Elle est toujours intégralement épilée et je n’ai jamais revu le moindre poil sur son corps.
Dès la première relation sexuelle à laquelle j’ai assisté, il s’est dispensé de préservatif et il apprécie d’éjaculer selon ses envies dans la bouche, le cul ou le ventre de ma femme. A quatre reprises, il a invité des inconnus à se joindre à leurs ébats. Des types entre 55 et 70 ans, un seul homme, différent à chaque fois, des amis à lui ou de vagues connaissances. Il leur a « prêté » mon épouse qui s’est livrée docilement à toutes leurs envies.
Cette situation m’excite plus que je ne l’aurais imaginé. Il m’arrive de me masturber en écoutant Sandrine me raconter les dépravations que son vieil amant lui fait subir lorsqu’elle rentre encore souillée de sa semence. Je me branle également en l’attendant, en imaginant ma femme se faisant prendre sans ménagement par ce gros cochon. Tout récemment, las de simplement imaginer, j’ai demandé à jouer les voyeurs et pouvoir assister au moins une fois à leurs ébats. L’homme m’a fait savoir que j’avais déjà assisté à une telle scène la première fois où il a possédé ma femme et qu’il ne souhaitait pas que cela se reproduise. En revanche, il m’a proposé une alternative, un ami à lui pourrait nous rendre visite et soumettre sexuellement Sandrine sous mes yeux et me faire voir « ses progrès».
J’ai accepté et Sandrine a évidemment acquiescé puisque l’idée était celle de son amant. Nous avons accueilli l’homme dont nous n’avons jamais su le nom un soir à la maison à l’occasion d’un apéritif. Mon épouse avait reçu consigne de son amant de ne porter qu’un porte-jarretelle, des bas en voile gris et des talons aiguilles, de se maquiller soigneusement et de s’épiler, comme toujours, intégralement.
L’homme, un quinquagénaire au physique de lutteur de foire s’est présenté comme convenu. Fasciné par le physique et la tenue de Sandrine, il l’a tripotée sans arrêt pendant l’apéritif, il a ensuite exigé qu’elle le suce à genoux devant lui pendant qu’il sirotait son verre sur le canapé du salon tout en me faisant des commentaires salaces. Nous sommes ensuite montés à l’étage et il a pris ma femme en levrette sur notre lit conjugal. Après l’avoir longuement besognée en la traitant de tous les noms, il a jouit dans sa bouche. J’ai vu ma femme prendre son pied avec cet infâme bonhomme, jouir bruyamment pendant qu’il l’enfilait sans ménagement. Après un retour au salon où le type s’est fait resservir à boire, a exigé de mon épouse une nouvelle fellation, nous sommes revenus dans notre chambre où il l’a sodomisée. Le spectacle de ma femme à quatre pattes sur notre lit, uniquement vêtue de ses bas et de ses escarpins se faisant enculer par un parfait inconnu m’a électrisé et j’ai moi-même joui dans mon caleçon. L’homme a ensuite ôté sa capote et s’est branlé sur nos draps en les maculant de son foutre épais. Il est ensuite parti non sans m’avoir complimenté sur la beauté et la docilité de mon épouse et en me traitant de petit cocu.
Le mot était finalement lâché, je suis un véritable cocu et je crois que j’apprécie cet état. J’aime voir et imaginer ma femme soumise sexuellement à d’autres, j’aime l’idée quelle prenne beaucoup de plaisir dans ce type de sexualité. Je la trouve plus belle et plus attirante que jamais.