CHAPITRE IV
6ème partie
[b]Qu’est-ce qui a également surpris ton mari ?Il y a eu ma jouissance libérée dans la nature. Je t’ai dit qu’avec Vincent nous allions parfois faire l’amour dans la nature quand le temps le permettait. Parfois je glissais l’enregistreur dans mon sac à main ou dans le panier si j’avais prévu un petit goûter réconfortant entre deux épisodes chauds… La qualité sonore n’était pas terrible, mais une fois où je m’était laisser aller pleinement, j’ai joui en hurlant assez fort. Cette jouissance a beaucoup impressionnée Fabrice qui ne m’avait jamais entendu jouir ainsi. Je pense qu’il n’imaginait même pas que c’était possible.
Raconte moi cette épisode.Vincent a garé la voiture à l’ombre d’un arbre. Il faisait très beau et nous étions seuls au milieu de la nature. Vincent a pris le panier et la couverture et nous sommes partis main dans la main. Tendrement, le sourire coquin, il posé sa main libre sur mes fesses et son regard n’arrêtait pas de plonger dans l'ouverture généreuse de mon décolleté. Je crois qu'il était aussi content que moi. Il m'a dit qu'on allait un peu plus loin, à l’orée du bois. Nous sommes arrivés près du bois. J'étais si bien, il faisait beau et c'était frais... Tout inspirait l'idylle. Nous nous sommes allongés et il m'a serrée. Je n'attendais que ça, être collée contre lui, sentir son torse velu imprégné de son parfum, sentir son sexe dur à travers son pantalon, mordre goulûment sa bouche, m'agripper à ses bras. Ses doigts ont vite trouvé le chemin et se sont glissés en moi. Je n'en pouvais plus de l'attendre et j'ai soupiré... Il a murmuré "tu es déjà toute trempée" et m'a vite fait jouir avec ses doigts. Voilà déjà ma culotte dans un bel état ! Je l’ai retirée et la jetée dans le panier pendant que Vincent quittait son pantalon. J’ai embrassé son sexe avec gourmandise. J’ai pris sa grosse queue dans ma bouche et je l’ai sucée et aspirée doucement... Elle me manquait tant! Il m’a caressé doucement la joue, les cheveux... Il murmurait "tu suces bien..., c'est bon..., oh, c'est bon...". Je prenais plaisir à jouer avec sa queue. Si tu veux, je te passe un extrait de ce moment où je lui dis en regardant sa queue entre deux sucions : « Qu’est-ce qu’elle est grosse » et puis un peu plus tard je lui dis « Oui, j’aime bien sucer ta grosse queue ». Ça m’excite de lui dire ça et je crois qu’il aime bien que je lui parle comme ça. Puis il s'est brusquement retiré. Il ne voulait pas déjà jouir. Il a pris ma chatte dans sa bouche avide et m'a léchée... léchée... Moi, les jambes autour de son cou, le regard vague sur les feuilles des arbres qui frémissaient au vent, je gémissais. J'ai eu peur qu'il se retire, je l'ai empoigné et lui ai collé la bouche plus fort sur mon minou et alors, j'ai joui. Puis j’ai happé sa bouche toute souillée de moi et nos langues qui se cherchaient, folles, avides. Nos mains n’avaient pas de repos. Lui tenait mes joues, moi je l'enserrais dans mes bras. J'ai pensé que je n'en pouvais plus de lui... et j'ai repris son sexe dans ma bouche... et je l'ai sucé, sucé en épiant ses frémissements... Il ne voulait toujours pas jouir ! Il a remis ses doigts dans mon sexe et j'ai tout inondé... Je me suis sentie couler, la fontaine de mon plaisir ne s'arrêtait plus... A chaque jouissance je sentais les spasmes libérer ma mouille sur ses doigts, éclabousser sa main... Il voulait me vider, il voulait tout... J'avais les fesses trempées... On s'est serré dans un endroit sec. Alors je lui ai demandé sa grosse queue. Je l'attendais, je la voulais. Je lui ai dit: "Baise moi, baise moi, met la moi partout!" et il m'a enfilée en me fichant des coups de queue bien loin, bien au fond. Il cognait et moi je faisais "han..., han..." à chaque fois. Tantôt j’étais sur lui, tantôt il me prenait en levrette. J'ai hurlé dans le bois... Il m'a dit "j'aime quand tu es salope comme ça". Je n'en pouvais plus... J'ai voulu baisser mes jambes, il m'a dit "Non! Non! Tu en auras encore" et il a remis ça de plus belle... C’est à ce moment là que j’ai senti monter un orgasme comme jamais. Je lui ai dit que j’allais jouir et le plaisir est venu comme un raz de marée. J’ai hurlé comme jamais, submergée par des vagues successives de plaisir, n’arrivant pas à remonter à la surface. Après on s'est tendrement embrassé et plus sagement caressé. C’est ce moment que je vais te faire entendre. Après, nous nous sommes un peu reposé. J’avais prévu une boisson fraîche et des petits gâteaux pour récupérer. Puis il a fallu repartir. On a récupéré nos affaires et nous nous sommes mis en route. Enlacés sur le chemin du retour, on était bien. Vincent s’enhardissait une fois de plus sous ma jupe. Il faut te dire que je n’avais pas remis ma culotte. Je n’avais pas d’idée derrière la tête en le faisant. C’est sans doute ce qu’on appelle un acte manqué. Vincent se faisait plus pressant. Alors je me suis arrêtée et je lui ai dit: "tu me baises là!". Il m’a regardée, autant surpris par la proposition que par les mots que je venais d’utiliser. Il me dis: "Là?" - "Oui, là"... Je lâche toutes mes affaires, je retire ma jupette et je me ploie en m'agrippant contre un arbre. Il sort sa queue et il s’enfonce en moi sans ménagement. Après quelques mouvements, il sort et place sa queue contre mon petit trou. Il me dit « Tu veux me provoquer ! » et me pénètre par là. J'avais les ongles qui rentraient dans l'écorce. J'avais peur de tomber, j'avais du mal à me tenir... Je le sentais... Sa bonne queue! Ça devait l'exciter, il était très dur. Je me courbais et j'essayais d'être en cadence avec lui... Il m'a limée... Je crois plutôt qu'il m'a défoncée... Je voulais qu'il me défonce... J'étais mal, j'avais mal le dos, mais je voulais sa grosse queue... Il m'a serré contre lui, je sentais son souffle sur ma nuque... Il m'a effleuré le dos de ses lèvres, de ses mains... J'étais une vraie pile électrique, j'étais un aimant qui se collait à lui... Je voulais étouffer sous son étreinte...
L'heure tournait, il a fallu rentrer... Dans la voiture, sur le chemin du retour je pensais "C'est déjà fini...". Lui me serrait toujours la main, il ne voulait plus me lâcher... Il m'a dit qu’il m’aimait. C’était rare et je lui ai répondu en fermant les yeux. « Moi aussi. J’aimerais tant que le temps s’arrête »
Tu as enregistré l’épisode de l’arbre ?Non l’enregistreur n’avait plus de batterie depuis longtemps. mais fabrice a eu droit à mes cris de jouissance dans les bois!
Fabrice a du apprécier !Il écoute les enregistrements le soir, quand il se retrouve seul dans son lit. Le jour où il a écouté celui la, il m’a dit avoir instantanément giclé. Il m’en reparle souvent. Moi, pour l’exciter, je lui ai dit que maintenant j’adorais les forêts. Quand il m’a demandé pourquoi, je lui ai répondu « Parce qu’il y a plein d’arbres ». A partir de ce jour, son imagination a travaillé dure chaque fois que je lui disais que j’allais faire un tour dans la nature avec Vincent !
Je veux bien le croire ! Tu as d’autres bombes de ce genre ?Il y a eu une qui a sans doute été la plus terrible pour mon mari.
Laquelle ?La fois où j’ai eu deux hommes en même temps.
Tu veux dire que tu as fait l’amour avec deux hommes ?Ce n’était pas la première fois que je faisais l’amour avec deux hommes. Je l’ai fait plusieurs fois avec Didier et Vincent durant les vacances d’été. Ça Fabrice le savait, je lui avais raconté. Il y a eu l’épisode des vacances avec lui et Gilles. Pour une fois il était un peu acteur et beaucoup spectateur. Non ce je veux dire c’est la fois où deux queues m’ont prise en même temps. Deux en même temps ! C’était un de mes fantasmes les plus fous. Cette fois là Fabrice n’était pas là et j’avais enregistré la scène pour lui.
Raconte.C’était au début des vacances d'été, avec Vincent et Didier. Je te le raconterai et je te ferai écouter, mais plus tard. Si tu veux suivre mes aventures, il faut rester dans une certaine chronologie.
Les enregistrements ont changé beaucoup de chose pour ton mari.C’est vrai qu’ils ont changé mes rapports avec Fabrice. Il se sentait moins « cocu » qu’avant, mais je voyais aussi qu’il mesurait de plus en plus l’intensité de ma sexualité et combien il était hors jeu dans ce domaine. Je pense que son excitation allait de paire avec une grande souffrance intérieure. Souvent il me disait qu’il aimerait tellement me donner ce que j’aime. La nature est sans doute injuste dans sa répartition du potentiel sexuel et dans celle de la virilité.
Précise ta pensée.Dis moi pourquoi Vincent, Gilles ou Didier peuvent tenir des heures et que mon mari jouit aussi vite ? Dis moi pourquoi la queue de Gilles est si volumineuse que je mouille rien que d’y penser alors que celle de Fabrice me laisse presque indifférente ? Voilà ce que j’appelle l’injustice de la nature. Mais elle ne se retrouve pas que dans le domaine sexuel. Le monde n’est pas équilibré. Heureusement pour nous, hormis la sexualité, notre couple était en harmonie. Mais il y a tant de déséquilibres autour de nous…
Revenons à des choses plus joyeuse ! Parlons de ta progression, puisque tu veux t’y tenir. Que s’est-il encore passé avant les vacances ?Il y a un épisode important dont je t’ai déjà un peu parlé. J’ai passé deux jours à Paris avec Vincent. Il avait pris prétexte d’un congrès médical. Tu sais, c’est la fois où un mec nous a maté en trains de faire l’amour dans notre chambre d’hôtel.
Je me souviens. A part cet épisode assez chaud, que s’est-il passé d’autre ?Rien de très extraordinaire. Ce qui était important pour moi, c’est de passer deux jours et surtout deux nuits complètes avec Vincent. Nous étions à Paris en amoureux, sans contraintes, hors du quotidien. A l’exception de l’épisode du voyeur, nous avons passé deux jours comme tous les amoureux qui se retrouvent à Paris : Promenades dans la ville, restaurants, théâtre un soir, le tout entrecoupé de siestes coquines et de nuits torrides. Tu ne peux pas imaginer le plaisir que j’éprouvais quand nous nous promenions main dans la main et que nous nous embrassions sans nous soucier d’être reconnus. Lorsque je m’endormais dans ses bras après avoir été comblée je me sentais si heureuse. C’était un peu comme notre voyage de noce. Je sais que tu es sensible à mes confidences un peu chaudes, mais tu dois comprendre que, pour moi, un long baiser sur la colline de Montmartre est aussi intense que de faire l’amour comme une folle.
Vous avez découvert des lieux coquins à Paris ?Le deuxième soir, nous sommes allé faire un tour à Pigalle.
Un quartier chaud !Je l’ai surtout trouvé sordide. Vincent m’a emmené dans plusieurs sex-shops. Toutes se ressemblent, avec les mêmes gadgets et les mêmes mecs qui n’arrêtaient de me regarder. Autant le voyeur de la fenêtre de l’hôtel m’avait excitée, autant ces mecs me refroidissaient et me faisaient presque peur. Vincent voulait un peu jouer pour les exciter, mais je n’ai pas voulu.
Tu y as fait des achats ?Vincent voulait m’offrir un gode, mais je lui ai dit que j’en avais déjà un. Il m’a dit que je devrais l’apporter la prochaine fois qu’on se voit à l’hôtel pour pimenter nos jeux. Il était intéressé par les godes ceinture, me demandant si ça me plairait d’avoir une queue. Je lui ai demandé « Pour quoi faire ? ». Il m’a répondu tout de go : « L’homme ». Et quand je lui ai demandé avec qui, il a souri.
Que fallait-il comprendre ?Je lui en ai reparlé le soir même, au lit. C’est là qu’il m’a dit qu’il aimerait que j’aie parfois une queue pour inverser les rôles. J’ai trouvé ça bizarre, mais excitant. J’y ai repensé par la suite, m’imaginant Vincent en train de me faire une fellation ou moi en train de le sodomiser. J’ai fini par en avoir un peu envie. C’est dommage que nous n’ayons pas concrétisé cet achat.
Dommage en effet.Rassure toi, Vincent fera le nécessaire par la suite.
Quoi d’autre à Paris ?Rien d’autre qu’un intermède agréable et tendre dans nos deux vies. Je te l’ai dit, c’était important pour moi de me retrouver ainsi avec Vincent, en amoureux.
Nous en arrivons à la visite de Gilles ?Oui, c’est à ce moment là qu’elle s’est décidée. Avant l’arrivée de Gilles, il y a eu l’épisode du sauna. Mais je ne sais pas s’il vaut le coup que je t’en parle.
Tout m’intéresse, tu le sais bien.Quand nous avions parlé de nos fantasmes, nous avions parlé d’échangisme. Vincent savait qu’il y avait des saunas mixtes avec des soirées réservées aux couples et il avait envie de voir. J’avais demandé conseil à Didier. Lui connaissait plutôt des clubs, mais il m’a donné l’adresse d’un sauna qui réservait sa soirée du mardi aux couples. Moi aussi j’étais un peu tentée par l’idée de la proximité d’autres couples, mais je ne me sentais pas prête pour aller dans un club échangiste.
Raconte moi cette soirée.Nous ne savions pas bien comment ça se passait. Nous nous amusions à dire que c’était une sorte de dépucelage. C’était une « soirée spéciale couples ». Nous pensions que des couples y faisaient l’amour et se laissaient regarder. Didier m’avait un peu expliqué en me disant que c’est à nous de décider jusqu’où nous voulions aller. Quand nous sommes arrivés devant l’établissement, je ne me sentais pas très à l’aise. Le quartier était assez isolé et pas très rassurant. Il était 22h et la nuit allait tomber. J’ai dit à Vincent qu’on se contenterait de regarder. Il m’a embrassé en disant « On ne fera rien dont tu n’aurais pas envie »
Vous êtes quand même rentré ?Nous étions venus jusque là, alors ça aurait été bête de renoncer. Nous sommes entrés. A l’accueil, on nous a remis deux peignoirs et on nous a indiqué le vestiaire. J’ai ri car il y avait des vestiaires séparés pour les hommes et les femmes, mais nous sommes allés dans le même. Nous nous sommes déshabillés dans la cabine exiguë. Vincent m’a embrassée. Il bandait. Je lui ai dit que ça commençait bien ! Nous avons passé nos peignoirs de bain et nous sommes entrés dans une grande salle carrelée. Il n’y avait personne. Nous nous sommes installés dans une cabine attenante, toute lambrissée. Nous avons commencé à transpirer. Normal dans un sauna, c'est fait pour ça ! Au bout d'un moment un autre couple est arrivé dans la grande salle. Nous sommes sortis de notre cabine peu après pour aller sous la douche. Puis nous nous sommes dirigés dans la grande salle où le couple en question était entièrement nu. Ils se caressaient et s’embrassaient. Puis ils sont allés dans un coin où il y avait des piles de draps de bain. Ils les ont placé sur une banquette au bord d’un bassin chauffé et, sans se soucier de nous, ont commencé à faire l’amour. On a commencé à les regarder, puis on s'est installé à l'opposé et on se caressait en les observant. Je trouvais que la fille était moche et le gars très banal. Mais l’ambiance était devenue plus électrique et l’appel des sens s’est fait communicatif. Je ne les regardais plus, me laissant faire sous les caresses habiles de Vincent. Entre temps, un autre couple était rentré. La fille était assez jeune et très bien foutue, mais son mec était bien plus âgé et un bedonnant. Ils nous regardaient ainsi que l’autre couple. La fille a commencé à se rapprocher. Je ne voyais pas ça d'un très bon oeil. Didier m’avait dit que les femmes sont en chasse d’autres femmes dans ce genre d’établissement. Ce n’est pas mon truc et je pensais qu’ il était hors de question que je me fasse cette fille. Quant au mec, je me demande ce que j'aurais pu faire avec lui. Son ventre dissimulait presque sa petite queue ! Mais j’ai vite compris que la fille était attirée par Vincent. Cette salope n'arrêtait pas de lorgner sur « MA » queue à « MOI ». J'en étais malade et sûrement verte de rage. Elle se rapprochait de plus en plus, moi je ne pouvais reculer. J'étais contre le mur et je la voyais qui commençait à lui toucher le bras. Elle s’et collé contre lui pendant que je le suçais. A un moment j’ai vu qu’elle l’embrassait sur la joue et qu’elle lui murmurait quelque chose à l’oreille. Je ne sais pas si c’est mon imagination, mais j’ai eu l’impression que la queue de Vincent devenait encore plus grosse et plus dure. Je me demandais ce que cette salope pouvait bien lui raconter. Je l'ai su après... Son mec s'est approché de moi et a commencé à me caresser. Je fumais. Alors Vincent est revenu vers moi et a commencé à me serrer en me disant doucement qu'elle était collante. Je lui ai répondu, les dents serrées, "Ça m'étonnerait, ça a plutôt l'air de te plaire!". Je l'ai empoigné et je lui ai demandé de me faire jouir avec ses doigts. Il m'a fait jouir devant l'autre pouffiasse qui avait les cuisses largement ouvertes et qui se masturbait. Elle essayait d'aguicher mon lynx. Elle a glissé une main autour de lui et s’est saisie de sa queue Elle devait crever d’envie car elle n’en n’avait pas une comme ça tous les jours. Elle s'est approchée de mon oreille et m'a dit doucement avec un fort accent slave: "Tu veux que mon mari te pénètre avec un préservatif?". J'ai répondu assez sèchement « Non ». Alors je me suis levée et je me suis empalée sur la queue de Vincent. Vincent m’a prise ainsi devant eux
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Ils nous ont regardé. Je chevauchais Vincent. La grosse queue de Vincent m’enfilait, je criais. Puis il a joui en moi. Après, je suis resté serrée contre lui. Il m'a murmuré dans l'oreille: "Celle là tu ne l'aimes pas!". J'ai répondu assez fort que non. Nous sommes allés prendre une douche et nous nous sommes rhabillés. Il m'a dit "Tu n'es pas prête de revenir". Je lui ai répondu "Non, tu y reviendras sans moi". Comme il m’a répondu qu’il n'y reviendrait pas, je lui ai dit "Mon oeil, ça avait l'air de te plaire". Il m'a demandé ce qu’elle m’avait dit. Je lui ai répété la proposition de la fille, en ajoutant que j’étais certaine qu’elle voulait que tu la sautes pendant que je me sacrifiais avec son vieux. Elle lui avait fait la même proposition, mais je n’ai jamais su ce qu’il avait répondu. Sincèrement, je crois qu’il aurait aimé se la faire et ça me rendait folle de jalousie.
Tu es une tigresse jalouse !Oui je suis jalouse. Je me suis rendu compte qu’il y avait une marge entre mon fantasme échangiste et le passage à l’acte. Je ne supportais pas l’idée que cette fille se fasse Vincent.
Imagine toi à la place de Fabrice qui sait que tu le trompes en permanence !Totalement impossible. Je ne supporterai jamais que Fabrice me trompe, ni Vincent. Si ça devait arriver, je pars tout de suite. Je ne peux pas comprendre comment mon mari n’est pas jaloux, mais c’est son truc. Ce n’est pas le mien.
Donc tu as renoncé à l’échangisme ?Nous en avons parlé avec Vincent. C’est vrai que je suis trop jalouse. Nous pouvions nous en passer, mais savais que Vincent était tenté. L’idée refera surface un peu plus tard et plus concrètement !
FIN DU CHAPITRE IV
(à suivre)