- 12 août 2018, 23:14
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- AU PARC -
Ils avaient décidés de passer un moment ensemble et profiter des quelques derniers beaux jours. Une promenade au parc, un grand parc avec plein d'allées, de bosquets, de bancs dans des recoins pour se câliner un peu à l'abri des regards indiscrets. La Nymphette s'était apprêtée comme pour un rendez-vous de séduction, mais juste pour son homme, pour lui donner envie d'elle. Au moment de partir, il avait déjà le regard qui brillait.
Une fois sur place, il leur fallut slalomer entre les touristes nombreux à cette saison. Mais assez rapidement, ils surent trouver des allées un peu moins fréquentées. Il l'embrassa longuement pour lui signifier qu'il était simplement heureux. Il marchait en lui tenant la taille, geste terriblement érotique pour la Nymphette. Ils arrivèrent dans une allée tranquille et c'est là qu'il commença à lui caresser doucement la pointe des seins à travers son chemisier qui les cachait à peine. Rapidement, une main passa sous la jupe et commença à jouer avec ses lèvres d'en bas. Bien entendu, la Nymphette ne portait rien sous ses vêtements, habitude récente mais tellement plaisante pour eux deux.
Après cette première prise de contact, ils continuèrent leur promenade en direction d'un bosquet abritant une statue en son centre. Tout autour se trouvaient des bancs installés dans des enfoncements, à l'abri des regards. Ils s'installèrent au premier qui était libre. La Nymphette était déjà bien montée en température, elle prit soin de rendre sa croupe accessible en s'asseyant un peu de côté. Son époux commença par l'embrasser tout en lui caressant les seins, mais la Belle avait d'autres envies. Elle prit sa main droite, la plaça sous ses fesses pour que ses doigts puisse glisser directement dans son antre bien ouverte. La jupe ample cachait complètement ce geste coquin. Quant à sa main gauche, elle la fit glisser dans la fente de son chemisier, pour qu'il accède directement à ses têtons durcis par le désir, là aussi en toute discrétion.
Ce fut alors un long moment de caresses intimes et de baisers, dans le calme du bosquet, s'interrompant seulement lorsque des touristes passaient, souvent accompagnés d'enfants. Leurs regards heureux reflétaient leur plaisir mutuel. Qu'il est doux de se câliner à l'extérieur. Par moment, le vent coquin soulevait la jupe de la Nymphette qui ne faisait rien pour l'empêcher. Le temps filait vite, ils décidèrent de rebrousser chemin, en empruntant toujours des allées tranquilles. À chaque fois qu'ils se retrouvaient seuls, il l'embrassait voluptueusement, passait ses mains entre ses cuisses ou attrapait un têton. Les caresses étaient de plus en plus intenses, la Nymphette eut besoin de s'asseoir pour reprendre ses esprits.
Un banc isolé, la chaleur du marbre sur ses fesses et ses cuisses, le vent insolent qui soulevait sa jupe, la Nymphette avait du mal à contenir son désir. Elle le regarda les yeux plein d'envie, lui montra son sexe en écartant les cuisses, signe qu'elle avait très envie qu'il la lèche. Ce n'était pas possible, un autre banc en vis-à-vis, trop de passage. Alors elle fit sortir un petit sein par la fente de sa chemise et lui offrit. Il s'en délecta goulûment pendant de longues minutes.
Il fallait rentrer maintenant. Assise dans la voiture, au moment où il démarrait, la Nymphette souleva complètement sa jupe, dévoilant son sexe humide, en le regardant amoureusement. Il lui dit "on va faire un détour pour rentrer". Elle se doutait de là où il l'emmenait, ce parking dans une zone d'activité, désert le dimanche. Durant le trajet, elle se délectait des moments à venir, sentant son désir inonder son fruit déjà bien trempé. Une fois garé, il sortit, la fit descendre de la voiture et commença à la caresser énergiquement, partout. Délaçant sa chemise, il sortait ses petits seins, soulevait sa jupe, enfouissant ses doigts partout, la Nymphette grognait de plaisir tout en déboutonnant sa chemise pour lui caresser le torse.
N'y tenant plus, il se mit à genoux puis à demi allongé pour la lécher par dessous car il savait qu'elle en raffolait, surtout en extérieur. Elle l'inondait de sa liqueur tout en caressant ses cheveux. Pour le remercier, la Nymphette défit don pantalon, libéra son sexe et commença à le frotter sur son clitoris. Elle sentit le plaisir monter très vite, mais elle voulait encore profiter de ses instants délicieux. Alors elle stoppa ses caresses et pris son sexe dans sa bouche, juste le bout et fit ses petits mouvements de succions dont il raffolait. Cette fois, c'est lui qui lui demanda de ralentir le rythme. Finalement, aucun des deux ne voulaient interrompre leur moment érotique par la jouissance.
La Nymphette n'avait plus qu'une envie en tête : se faire pénétrer. Mais il était tard, et on avait dit un petit câlin ... Alors ce serait pour une prochaine fois. Le retour à la maison fut silencieux, chacun étant encore plongé dans sa bulle de plaisir. Les regards complices, les mots tendres, tout exprimait ce nouveau lien qui les unissait : partager pour mieux se retrouver.
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