- 24 août 2018, 12:33
#2201816
- LE SALON ROUGE -
(Histoire vraie sauf la scène avec le deuxième homme dans la chambre)
Ils avaient décidé de passer un week-end en amoureux, cela ne leur arrivait presque jamais même si les enfants étaient assez grands pour se garder tous seuls. La Nymphette avait choisi de loger dans un petit hôtel désuet mais charmant. Arrivés dans l'après-midi, ils voulaient se reposer un peu de leur voyage avant de se préparer pour le dîner. Ils commencèrent par ouvrir la fenêtre qui donnait sur la petite rivière qui traversait la ville, et le parking attenant à l'hôtel. L'air était doux, on était en juin.
Chacun vaquait à ses occupations, mais l'ennui les gagna vite. Il n'y avait pas grand chose à faire dans la chambre d'autant plus que le wifi ne fonctionnait pas. Alors la Nymphette se déshabilla entièrement et vint minauder autour de son époux pour l'attiser. Surpris mais ravi de cette initiative, son époux l'allongea sur le lit et commença à la câliner un peu partout. Lorsqu'elle fut bien émoustillée, il la remit debout, la souleva par les hanches pour qu'elle s'agrippe à son cou et passe ses jambes autour de sa taille. Il avait alors les mains libres pour fouiller son intimité avec ses doigts, devant, derrière. La Nymphette se tordait de plaisir surtout lorsqu'il lui expliqua que c'était une position idéale pour l'offrir à un amant, qui pouvait au choix la pénétrer ou la lécher par dessous. Elle dégoulinait de plaisir en poussant de petits gémissements. Ils étaient devant la fenêtre, le soleil de la fin d'après-midi lui chauffait délicieusement les reins.
Ce petit jeu dura quelques minutes mais du s'interrompre car la position était fatigante. Ils reprenaient leurs esprits quand son époux passa la tête par la fenêtre et expliqua à la Nymphette qu'un homme s'était bien régalé dehors, sur le parking. Elle s'approcha à son tour car cela l'amusait de vérifier par elle-même. Il y avait en effet un homme qui déambulait bizarrement entre les voitures garées. La Nymphette, mi-ravie, mi-gênée, ne s'attarda pas sur l'événement. Il était temps de se préparer pour le dîner.
Son époux fut prêt le premier et descendit à l'accueil pour utiliser le wifi pendant que la Nymphette finissait de s'apprêter. À son retour, il expliqua à sa Belle qu'il était tombé nez à nez avec leur mystérieux voyeur. Celui-ci, ravi par la scène de la fenêtre, avait convaincu sa femme de prendre une chambre dans cet hôtel. Son époux vit une occasion formidable de partager sa Nymphette et proposa donc à l'inconnu de les rejoindre le soir même.
La Nymphette n'en croyait pas ses oreilles. Elle était très déstabilisée par la proposition de son époux à un parfait inconnu, lui d'habitude si méfiant et prudent. Elle n'y croyait pas trop et décida d'oublier l'incident.
Le dîner fut très agréable, les mets et le vin délicieux. Elle portait sa petite robe rouge aguichante, vêtue uniquement de ses bas en dessous. Elle ne manqua pas d'offrir ses pieds à son homme sous la table en guise de dessert. De retour à l'hôtel, ils furent attirés par une petite pièce attenante à l'accueil. Donnant sur la rue par une baie vitrée, elle était meublée avec des canapés et fauteuils en velours rouge, invitation à quelques moments érotiques. La Nymphette choisit un fauteuil, s'assit, puis écarta les cuisses pour attirer son époux. Il vient se mettre à genoux et lui lécha avidement son fruit déjà bien ouvert par le désir. Rapidement, il ne put se retenir d'ouvrir son pantalon et de la pénétrer avec fougue. La Nymphette était aux anges, excitée par le fait qu'ils puissent être surpris par des clients de l'hôtel ou aperçus à travers la baie vitrée.
Et cela finit par arriver. Ils entendirent un bruit de clef à la porte, des clients arrivaient. La Nymphette se remit dans une position correcte tandis que son époux rangea d'un geste vif son attirail. Les clients étaient visibles depuis le salon. Ils reconnurent leur voyeur de l'après-midi. Son époux eut la présence d'esprit de simuler une conversation téléphonique en expliquant à son interlocuteur virtuel qu'ils occupaient la chambre numéro neuf. Il le répéta plusieurs fois pour être certain d'être bien compris. Le couple monta à l'étage. La Nymphette et son époux attendirent quelques minutes pour ne pas éveiller les soupçons.
Une fois dans leur chambre, la Nymphette fut en proie à une grande panique. Elle avait complètement oublié l'épisode de la fenêtre et ne se sentait pas prête à accueillir un inconnu. Son époux la rassura, il ne ferait que regarder, profiter du spectacle, et si elle souhaitait arrêter, elle le dirait. Au bout de quelques minutes, ils entendirent frapper à la porte. Son époux fit entrer l'homme et lui expliqua simplement le contexte et les règles à respecter. Il s'installa dans un coin sombre de la chambre, visiblement un peu gêné tout de même.
La Nymphette le regardait, puis commença à se déshabiller. Sa présence la gênait alors elle décida de ne pas le regarder et de ne plus penser à lui. Une fois vêtue seulement de ses bas et de son porte jarretelles, elle s'allongea sur le lit et offrit ses pieds à son époux pour une séance de baisers et de caresses. Elle fut vite emportée par le plaisir que cela lui procurait, d'autant que son époux semblait y prendre plus de satisfaction que d'habitude. En tournant la tête sur la gauche, elle pouvait voir l'homme qui avait commencé à se caresser. Son époux poursuivit par quelques caresses buccales. La Nymphette, tenant la tête de son homme, ne quittait plus l'inconnu des yeux. Il prenait visiblement un plaisir très fort à les observer, il s'était levé, son sexe était raide et bien allongé.
Son époux décida alors de passer aux choses sérieuses. Il se mit à genoux au bord du lit et pénétra la Nymphette avec vigueur. Elle était secouée par ses assauts très rudes. Le regard de son homme était plus transperçant, plus aimant, l'émotion était grande, la tension entre les trois protagonistes aussi. La Nymphette fit signe à l'inconnu d'approcher pour qu'il puisse mieux profiter du spectacle. Debout à côté d'elle, il se masturbait énergiquement tandis que son époux continuait ses coups de bélier. Elle regardait l'un puis l'autre, cherchant lequel exploserait en premier. Ce fut l'inconnu qui déversa sa liqueur sur les petits seins de la Nymphette. Voyant la scène, son époux explosa immédiatement en poussant des cris de plaisir, tout en s'agrippant aux hanches de sa dulcinée.
Une fois le calme revenu, l'inconnu rangea son matériel, remercia chaleureusement Monsieur dans un français approximatif, et complimenta la Nymphette. Puis il quitta la chambre. Ils se retrouvèrent tous les deux, étourdis par ce qu'il venait de se passer, y croyant à peine. Comme dans pareille occasion, la Nymphette débordée par ses émotions se mit à pleurer de bonheur. Son époux l'embrassa goulûment pour la remercier de ce beau cadeau qu'elle lui avait fait. Ils se couchèrent et s'endormirent rapidement.
Le lendemain matin, au petit déjeuner, la Nymphette et son époux arrivèrent les premiers. Lorsque l'inconnu entra dans la salle avec sa femme, elle ne put s'empêcher de lui adresser un sourire discret, un peu gêné. Il lui rendit un sourire avec les yeux pour ne pas éveiller les soupçons de sa femme.
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