Tout est reparti de ma conversation avec Julie, quand je lui avais confié la nature particulière de ma relation avec Antoine. Je savais que Julie était curieuse, et je n’aurais pas été surprise si elle avait posé d’autres questions par la suite. Ce que je n’avais pas prévu, cependant, c’était qu’elle propose d’explorer cette dynamique avec son propre mari, Yann.
Quelques jours après notre discussion, Julie et Yann nous avaient invités, Antoine et moi, pour un dîner entre amis. L’ambiance était légère, comme d’habitude, et je n'avais aucune idée de ce qui allait suivre. Dès notre arrivée, Yann ne tarda pas à complimenter ma tenue. « Agathe, tu es resplendissante dans cette robe, vraiment. Antoine, tu as de la chance, » lança-t-il avec ce sourire malicieux que je connaissais bien. Julie éclata de rire à ses côtés, amusée par la remarque de son mari, mais je pouvais voir dans son regard qu’elle se joignait à ses compliments avec sincérité, elle ajouta : « De toute façon pour toi un joli sourire et une belle poitrine et tu te mets au garde à vous » . Antoine se contenta de sourire. Pour ma part, je pris cela avec légèreté, bien que je sentais que quelque chose d’autre se préparait. Yann était toujours charmant, mais ce soir-là, il semblait avoir une idée bien précise derrière la tête.
Alors que le dîner avançait et que la conversation devenait plus détendue, Julie finit par poser son verre de vin et lança la discussion qui allait tout changer. « Agathe, Yann et moi avons beaucoup discuté après notre dernière conversation, » commença-t-elle. Je la regardai, intriguée. « On a pensé que ce serait... intéressant d’essayer quelque chose tous les trois. Toi, Yann et moi. Tu serais le centre de notre attention. »
J'étais surprise par sa franchise. Antoine, assis à côté de moi, semblait aussi curieux de savoir où tout cela allait mener. Yann, lui, restait calme, un sourire joueur aux lèvres. « Ça te plairait, non ? » ajouta-t-il, son regard se posant sur moi, puis sur Antoine, avec une confiance déconcertante.
Je pris une gorgée de vin, essayant de digérer la proposition. Julie me fixait, souriante, mais attentive à ma réaction. Quant à Yann, il ne manqua pas de saisir l’occasion pour ajouter une petite pique à Antoine. « Et toi, Antoine, qu’est-ce que tu en penses ? Ça ne doit pas être facile de voir ta femme au centre de toute cette attention, hein ? »
Je sentis un léger malaise. Yann avait cette façon de se montrer trop sûr de lui parfois, et bien que je sache qu’il ne le faisait pas pour blesser Antoine, je ne pouvais pas laisser ça passer sans réagir. Avec un sourire calme, je me tournai vers lui. « Yann, si tu veux jouer à ce jeu, il va falloir que tu assumes tout ce que cela implique. »
Il sourit, un peu surpris par ma réponse, mais amusé. « D’accord, Agathe, tu marques un point, » dit-il en levant son verre. Je savais que le moment était venu d’entendre ce que Antoine pensait vraiment de tout cela. Il n’avait pas encore dit grand-chose, mais je pouvais sentir que son esprit travaillait. Je me tournai vers lui, cherchant son regard. « Antoine, qu’en penses-tu vraiment ? Je veux que tu sois honnête avec moi. »
Il prit un moment pour réfléchir avant de répondre, ses yeux posés sur moi avec une sincérité que j’aimais tant chez lui. « Agathe, tu sais que je veux que tu sois heureuse. Si c’est ce que tu veux, je te soutiendrai. » Mais je voulais plus qu’une simple approbation. « Mais toi, qu’est-ce que ça te ferait ? Vraiment. » Il soupira doucement, mais son regard restait doux. « Honnêtement, ça m’intrigue. Voir comment tu te sens, être témoin de ce moment... Si c’est ce que tu désires, alors je suis avec toi. »
Un mélange de soulagement et d’excitation monta en moi. Antoine avait toujours su comment me rassurer tout en me laissant explorer mes envies. Je savais que cette expérience serait différente, mais avec lui à mes côtés, je me sentais prête.
Julie souriait maintenant, ravie que la conversation ait pris cette tournure. Quant à Yann, il avait retrouvé son air habituel, prêt à jouer son rôle dans cette nouvelle aventure. Je sentais que quelque chose de nouveau était sur le point de commencer, et j’étais curieuse de voir où cela nous mènerait.
À la fin de cette soirée, bien que la proposition de Julie et Yann soit intrigante et éveillait une certaine curiosité en moi, je n'étais pas prête à donner ma réponse immédiatement. J'avais besoin de réfléchir. Cette situation impliquait bien plus que de simples désirs ou fantasmes. Il fallait que je prenne le temps de rediscuter avec Antoine, d'explorer nos ressentis de manière plus approfondie.
Je savais que nous partagions déjà une dynamique particulière, mais accepter cette proposition signifiait un nouveau tournant. Et au-delà de l'intimité partagée, il y avait une réalité sociale à envisager. Un jour ou l’autre, il serait inévitable que des gens finissent par apprendre que Yann s'était rapproché de moi, et cela pourrait avoir des conséquences pour Antoine. Familialement, socialement, les rumeurs courent vite, et je savais que certains ne manqueraient pas de lui attribuer cette étiquette humiliante de « cocu ». C’était une idée avec laquelle je ne pouvais pas prendre de décision à la légère.
Nous avions toujours mis un point d'honneur à être en harmonie avec nos choix, mais cette fois-ci, c'était plus complexe. Ce n'était plus seulement une affaire entre nous, mais aussi une question d'image et de réputation qui, à un moment ou un autre, risquerait de s'étendre au-delà de notre cercle privé.
Ce soir-là, je quittai la maison de Julie et Yann avec plus de questions que de réponses. Une discussion plus profonde avec Antoine était nécessaire avant que nous puissions envisager de prendre une décision.
A suivre ...
- 10 oct. 2024, 16:33
#2829275
Super moment que celui raconté ici, je ne peux que vous souhaiter de vous épanouir, et encore une fois, rien ne vaut le dialogue...
Vivement le suite de votre avancée...
Vivement le suite de votre avancée...
- 10 oct. 2024, 17:19
#2829285
Le problème soulevé ici est complexe. Il y a plusieurs types de candaulismes et différents degrés à l'intérieur de ces styles. Lorsqu'on explore comme moi l'aspect cuckold, c'est-à-dire cette forme de candaulisme où le mari cocu est soumis, dominé et humilié - parce que c'est exactement ça dont il ressent l'envie irrépressible -, le fait que le cocufiage soit public ajoute à l'humiliation, et donc au plaisir, du cocu.
Un simple exemple : quand l'amant black de ma femme venait à la maison, les voisins voyaient bien que ma voiture, donc moi, y était aussi. Encore plus excitant : c'est elle qui allait lui ouvrir la porte, nue sous un paréo transparent, et lui prenait la bouche devant la porte, sous la vue du voisinage, tandis que les mains du cocufieur palpaient les fesses de ma femme... Sans vous parler de ses cris de plaisir durant ces rencontres, qui ont dû bien faire rigoler les voisin. Voilà un cocu notoire que ça excite !
Mais les convenances sociales font que c'est plus compliqué pour la plupart des gens.
-, le fait que le cocufiage soit public ajoute à l'humiliation, et donc au plaisir, du cocu. Un simple exemple : quand l'amant black de ma femme venait à la maison, les voisins voyaient bien que ma voiture, donc moi, y était aussi. Encore plus excitant : c'est elle qui allait lui ouvrir la porte, nue sous un paréo transparent, et lui prenait la bouche devant la porte, sous la vue du voisinage, tandis que les mains du cocufieur palpaient les fesses de ma femme... Sans vous parler de ses cris de plaisir durant ces rencontres, qui ont dû bien faire rigoler les voisin. Voilà un cocu notoire que ça excite !
Mais les convenances sociales font que c'est plus compliqué pour la plupart des gens.
- 10 oct. 2024, 23:15
#2829344
Très belle histoire est compté par une femme, c’est vraiment super intéressant.
Merci Agathe et bravo pour vos efforts de communication que ce soit dans votre couple comme à l’extérieur, car ce n’est jamais simple de parler de ces choses-là
Pour Antoine, ça doit être compliqué, son identité et son rôle d’homme. Cela l’était déjà un peu avec vos jouets.
Je dis cela, car je peux le comprendre, j’ai vécu des moments complexes quand Philippe l’amant de ma première femme, parlait ouvertement à nos amis. D’un côté il y avait une discussion franche et ouverte, Il n’y avait plus de tromperie à ce moment-là mais d’un autre côté, j’avais beaucoup de mal à m’affirmer comme homme et comme mari de ma femme.
Merci Agathe et bravo pour vos efforts de communication que ce soit dans votre couple comme à l’extérieur, car ce n’est jamais simple de parler de ces choses-là
Pour Antoine, ça doit être compliqué, son identité et son rôle d’homme. Cela l’était déjà un peu avec vos jouets.
Je dis cela, car je peux le comprendre, j’ai vécu des moments complexes quand Philippe l’amant de ma première femme, parlait ouvertement à nos amis. D’un côté il y avait une discussion franche et ouverte, Il n’y avait plus de tromperie à ce moment-là mais d’un autre côté, j’avais beaucoup de mal à m’affirmer comme homme et comme mari de ma femme.
- 11 oct. 2024, 01:33
#2829351
@Erik74910 : Tu as raison le dialogue est la clé de tout dans un couple.
@Olivierito : Je pense que cela dépend de plein de choses. On ne peut pas facilement se départir de l'impact sur la personne publique que l'on est. Mon mari est quelqu'un de relativement connu et l'image de mari cocu, même assumée peut être un inconvénient dans certaines situations qui requièrent un rapport de force.
@Kimilefty75 : Antoine plussoie ton message.
@Olivierito : Je pense que cela dépend de plein de choses. On ne peut pas facilement se départir de l'impact sur la personne publique que l'on est. Mon mari est quelqu'un de relativement connu et l'image de mari cocu, même assumée peut être un inconvénient dans certaines situations qui requièrent un rapport de force.
@Kimilefty75 : Antoine plussoie ton message.
- 11 oct. 2024, 01:44
#2829353
Cela faisait quelques jours que Julie et Yann avaient proposé ce fameux plan à trois. Depuis cette soirée, je n’avais cessé de réfléchir à ce que cela impliquait, pour Antoine, pour moi, pour notre couple. L’idée, excitante sur le moment, avait réveillé quelque chose en moi, une curiosité, un désir d’exploration. Pourtant, au fil des jours, à mesure que l’adrénaline retombait, la réalité reprenait le dessus. Ce n’était pas juste une question de plaisir ou d’expérience, il y avait bien plus en jeu.
Antoine n’avait jamais été du genre à imposer ses envies ou à me limiter dans mes choix, et je l’admirais pour cela. Mais cette situation était différente. Plus je réfléchissais à la proposition de Julie et Yann, plus je comprenais que cela allait bien au-delà de notre chambre à coucher. Si nous disions oui, si nous franchissions ce cap, il était évident que, tôt ou tard, les rumeurs finiraient par se répandre. Yann, avec son assurance et son goût pour la provocation, ne serait jamais discret sur ce genre de chose.
La société a ses propres règles, et je savais qu'Antoine serait immanquablement jugé. Il serait catalogué comme « le cocu », celui qui « laisse » sa femme être avec un autre homme. Bien sûr, c’était un choix entre nous, une dynamique que nous avions toujours assumée, mais cela ne signifiait pas que nous pouvions éviter les jugements extérieurs. La société est ainsi faite. Les étiquettes se collent facilement, surtout dans nos cercles familiaux et amicaux, et je ne voulais pas qu’Antoine porte ce fardeau.
De mon côté, je sentais aussi une certaine pression, celle de devoir gérer les conséquences. Ce n’était plus une aventure intime, partagée à huis clos avec mon mari, mais un pas vers une possible exposition sociale. Même si j’appréciais Julie et Yann, et même si l’idée d’un trio pouvait sembler excitante, je réalisais que cette proposition risquait de fragiliser quelque chose d’essentiel dans notre relation : la confiance en l’autre, mais aussi la protection de notre image en tant que couple.
Une nuit, alors que nous étions tous les deux couchés, je me tournai vers Antoine. « Tu sais, je crois que cette proposition n’est pas pour nous. » Il ne répondit pas tout de suite, comme s’il attendait que je développe.
« J’ai pensé à tout ça, et... je me rends compte que ce n’est pas juste une expérience. Ça va au-delà du plaisir. Il y aura des conséquences, des gens finiront par savoir, et tu risques d’en pâtir plus que moi. Je ne veux pas que les autres te voient différemment à cause de ça. »
Antoine soupira doucement, et je vis ses épaules se détendre. « Je comprends, » dit-il finalement. « Et si c’est ce que tu ressens, alors je suis d’accord avec toi. »
Le lendemain, j’appelai Julie pour lui annoncer ma décision. « Écoute, j’ai beaucoup réfléchi à ta proposition, et bien que ça m’ait intriguée, je préfère ne pas donner suite. » Il y eut un silence de l’autre côté du fil, avant qu’elle ne réponde avec compréhension. « Je comprends, Agathe. C’était juste une idée, mais si tu ne le sens pas, c’est mieux ainsi. »
Je raccrochai, me sentant à la fois soulagée et confiante dans ma décision. Ce n’était pas un refus par peur ou par doute sur mon couple, mais une reconnaissance des limites que je souhaitais respecter, pour Antoine comme pour moi. Nous avions franchi des frontières ensemble, mais celle-ci n’était pas nécessaire pour continuer à nous épanouir.
À l'instant où je reposai le téléphone, je reçus un sms de Julien : « Comment vas-tu ma belle tu me manques ? Une nuit dans une chambre d'hôtes près de Villefranche, ça te tente?»
À suivre ...
Antoine n’avait jamais été du genre à imposer ses envies ou à me limiter dans mes choix, et je l’admirais pour cela. Mais cette situation était différente. Plus je réfléchissais à la proposition de Julie et Yann, plus je comprenais que cela allait bien au-delà de notre chambre à coucher. Si nous disions oui, si nous franchissions ce cap, il était évident que, tôt ou tard, les rumeurs finiraient par se répandre. Yann, avec son assurance et son goût pour la provocation, ne serait jamais discret sur ce genre de chose.
La société a ses propres règles, et je savais qu'Antoine serait immanquablement jugé. Il serait catalogué comme « le cocu », celui qui « laisse » sa femme être avec un autre homme. Bien sûr, c’était un choix entre nous, une dynamique que nous avions toujours assumée, mais cela ne signifiait pas que nous pouvions éviter les jugements extérieurs. La société est ainsi faite. Les étiquettes se collent facilement, surtout dans nos cercles familiaux et amicaux, et je ne voulais pas qu’Antoine porte ce fardeau.
De mon côté, je sentais aussi une certaine pression, celle de devoir gérer les conséquences. Ce n’était plus une aventure intime, partagée à huis clos avec mon mari, mais un pas vers une possible exposition sociale. Même si j’appréciais Julie et Yann, et même si l’idée d’un trio pouvait sembler excitante, je réalisais que cette proposition risquait de fragiliser quelque chose d’essentiel dans notre relation : la confiance en l’autre, mais aussi la protection de notre image en tant que couple.
Une nuit, alors que nous étions tous les deux couchés, je me tournai vers Antoine. « Tu sais, je crois que cette proposition n’est pas pour nous. » Il ne répondit pas tout de suite, comme s’il attendait que je développe.
« J’ai pensé à tout ça, et... je me rends compte que ce n’est pas juste une expérience. Ça va au-delà du plaisir. Il y aura des conséquences, des gens finiront par savoir, et tu risques d’en pâtir plus que moi. Je ne veux pas que les autres te voient différemment à cause de ça. »
Antoine soupira doucement, et je vis ses épaules se détendre. « Je comprends, » dit-il finalement. « Et si c’est ce que tu ressens, alors je suis d’accord avec toi. »
Le lendemain, j’appelai Julie pour lui annoncer ma décision. « Écoute, j’ai beaucoup réfléchi à ta proposition, et bien que ça m’ait intriguée, je préfère ne pas donner suite. » Il y eut un silence de l’autre côté du fil, avant qu’elle ne réponde avec compréhension. « Je comprends, Agathe. C’était juste une idée, mais si tu ne le sens pas, c’est mieux ainsi. »
Je raccrochai, me sentant à la fois soulagée et confiante dans ma décision. Ce n’était pas un refus par peur ou par doute sur mon couple, mais une reconnaissance des limites que je souhaitais respecter, pour Antoine comme pour moi. Nous avions franchi des frontières ensemble, mais celle-ci n’était pas nécessaire pour continuer à nous épanouir.
À l'instant où je reposai le téléphone, je reçus un sms de Julien : « Comment vas-tu ma belle tu me manques ? Une nuit dans une chambre d'hôtes près de Villefranche, ça te tente?»
À suivre ...
- 11 oct. 2024, 09:30
#2829396
Que la transgression est tentante, que la liberté est difficile à vivre... bravo encore d'avoir su parler...
- 11 oct. 2024, 09:45
#2829406
Je suis candauliste et j'aime voir ma femme avec d'autres hommes. Je suis actif ou pas suivant mes envies. Je n'ai jamais pensé qu'on pourrait me traiter de cocu ou vu ainsi, autour de moi si nos expériences étaient sues.
Après, c'est le ressenti de chacun et personne ne peut vous dire si vous faites le bon choix ou pas.
Voyons ce que Julien propose.
Après, c'est le ressenti de chacun et personne ne peut vous dire si vous faites le bon choix ou pas.
Voyons ce que Julien propose.
S'aimer soi-même est le début d'une histoire d'amour qui durera toute une vie. Oscar Wilde
Pseudo de couple FloetSergio
Pseudo de couple FloetSergio
- 18 oct. 2024, 20:39
#2831079
@Bardoine cette expérience était très tentante, très novatrice, très excitante. Sûrement trop pour votre couple. Tu as bien fait de ne pas vouloir franchir ce Rubicon libertin chargé de lourdes incertitudes et problématiques, surtout pour Antoine (dont au passage, j'admire la mesure et la finesse psychologique). Tu as su ménager votre intimité coquine, votre complicité, avec beaucoup de sagesse.
Julien a dû te concocter un alléchant programme.
Julien a dû te concocter un alléchant programme.
Bardoine, elianeetserge a liké
Le libertinage , c'est aimer au pluriel tout en restant singulier
- 29 oct. 2024, 01:21
#2833453
À l'instant où je reposai le téléphone, une idée me vint. Ce message de Julien, direct et sans détour, réveillait en moi une envie de nouveauté, d’intensité, et l’idée de mêler Antoine à l’expérience m’amusait. J’imaginais déjà son regard curieux, observant dans l’ombre, comme il l’avait fait par le passé. C’était un terrain connu, mais cette fois, je me surpris à envisager quelque chose de différent : et si un autre homme se joignait à nous, sous le regard attentif d’Antoine ? Cette pensée, audacieuse, me fit frissonner.
Je tapotai sur mon téléphone, réfléchissant à comment introduire l’idée auprès de Julien.
« Julien, ta proposition est plus que tentante, » écrivis-je en retour. « Et j’ai une idée qui pourrait pimenter un peu la soirée. Si Antoine se joint à nous en tant que spectateur… et peut-être un autre ami ? Qu’en penses-tu ? »
Quelques secondes passèrent, puis mon téléphone vibra de nouveau. La réponse de Julien apparut, simple et enthousiaste : « Tu me connais, ma belle, j’adore l’idée. J'ai même quelqu'un en tête. Je te promets que ce sera une soirée mémorable. »
Je laissai échapper un sourire satisfait, tout en réfléchissant aux détails. Une soirée où je serais au centre de toutes les attentions, Antoine dans son rôle de spectateur, et Julien, accompagné d’un nouvel invité, prêt à rendre cette expérience inoubliable. C'était une aventure qui nous permettrait, encore une fois, de repousser les limites et d’explorer ensemble cette dynamique unique que nous avions bâtie au fil des années.
Je me sentais prête, impatiente, et libre de vivre pleinement ce moment.
Après des jours de réflexion et d'excitation, le jour était enfin arrivé. Nous avions réservé un gîte à la campagne, un endroit chaleureux et isolé, avec une piscine entourée d’arbres. L’air y était frais et parfumé, et je me sentais prête à vivre pleinement ce moment, avec Antoine à mes côtés, Julien et son ami que je ne connaissais pas encore.
Lorsque nous arrivâmes, Julien était déjà là, accompagné de son ami, Lucas. Lucas avait cette allure décontractée de quelqu’un qui passait beaucoup de temps à l’extérieur. Sa peau bronzée, son sourire franc, et ses muscles dessinaient une silhouette harmonieuse qui dégageait confiance et vitalité. Il s’approcha pour m’embrasser et sa main effleura mon épaule, ce qui me créa de suite une certaine proximité avec lui et me mit instantanément à l’aise.
Nous savions tous pourquoi nous étions là, Julien, Lucas et moi nous mîmes nos valises dans une chambre et Antoine dans une autre. Je ressentais une légère excitation monter en moi. Voir Julien et Lucas, tous deux aussi détendus, me troubler. Je savais pourquoi nous étions là.
En enfilant mon bikini, j'ai jeté un regard à Lucas. Et je vis qu’il me reluquait, je pouvais voir sous son boxer que ça ne le laissait pas insensible. Il s’en aperçut et me me lança un sourire, d'une simplicité désarmante, et je sentis cette même chaleur de proximité se renforcer. Julien se rapprocha, sa main trouvant naturellement la mienne, et il m’embrassa doucement. Ce baiser, bien qu’habituel désormais, avait un goût particulier dans ce contexte, comme si chaque geste était amplifié par la présence de Lucas.
Julien s’adressa à Lucas : alors tu la trouves comment la miss?
Lucas: Une femme, difficile de rester insensilbe à ses formes.
Agathe :Mes rondeurs ne t’effraient pas?
Lucas, pas gêné pour un sou, et surtout pas très gentleman : au contraire j'aime les femmes bien en chair…
J’étais émoustillée, gênée, mais j’aimais ce côté direct. Sur le coup je n’avais qu’une envie le sucer. Je me retenais… Qu’allait-il penser de moi?
Nous sortîmes ensemble, prêts à nous installer près de la piscine, où Antoine était déjà allongé, un livre à la main. Il nous salua d’un regard amusé, sans aucun signe de gêne, comme s’il faisait partie intégrante de ce moment. Nous étions tous là, réunis dans cet espace de détente, prêts à profiter du moment en toute confiance.
Quelques jours plus tard, Antoine m’apprendra que pendant que nous nous installions dans notre chambre, il s’était masturbé en m’imaginant prise par ces deux athlètes. Une ronde secouée par deux mâles, la chair vibrant à chaque coup de boutoir, ça l'excitait. Il en aurait pour son fantasme le soir même…
A suivre …
Je tapotai sur mon téléphone, réfléchissant à comment introduire l’idée auprès de Julien.
« Julien, ta proposition est plus que tentante, » écrivis-je en retour. « Et j’ai une idée qui pourrait pimenter un peu la soirée. Si Antoine se joint à nous en tant que spectateur… et peut-être un autre ami ? Qu’en penses-tu ? »
Quelques secondes passèrent, puis mon téléphone vibra de nouveau. La réponse de Julien apparut, simple et enthousiaste : « Tu me connais, ma belle, j’adore l’idée. J'ai même quelqu'un en tête. Je te promets que ce sera une soirée mémorable. »
Je laissai échapper un sourire satisfait, tout en réfléchissant aux détails. Une soirée où je serais au centre de toutes les attentions, Antoine dans son rôle de spectateur, et Julien, accompagné d’un nouvel invité, prêt à rendre cette expérience inoubliable. C'était une aventure qui nous permettrait, encore une fois, de repousser les limites et d’explorer ensemble cette dynamique unique que nous avions bâtie au fil des années.
Je me sentais prête, impatiente, et libre de vivre pleinement ce moment.
Après des jours de réflexion et d'excitation, le jour était enfin arrivé. Nous avions réservé un gîte à la campagne, un endroit chaleureux et isolé, avec une piscine entourée d’arbres. L’air y était frais et parfumé, et je me sentais prête à vivre pleinement ce moment, avec Antoine à mes côtés, Julien et son ami que je ne connaissais pas encore.
Lorsque nous arrivâmes, Julien était déjà là, accompagné de son ami, Lucas. Lucas avait cette allure décontractée de quelqu’un qui passait beaucoup de temps à l’extérieur. Sa peau bronzée, son sourire franc, et ses muscles dessinaient une silhouette harmonieuse qui dégageait confiance et vitalité. Il s’approcha pour m’embrasser et sa main effleura mon épaule, ce qui me créa de suite une certaine proximité avec lui et me mit instantanément à l’aise.
Nous savions tous pourquoi nous étions là, Julien, Lucas et moi nous mîmes nos valises dans une chambre et Antoine dans une autre. Je ressentais une légère excitation monter en moi. Voir Julien et Lucas, tous deux aussi détendus, me troubler. Je savais pourquoi nous étions là.
En enfilant mon bikini, j'ai jeté un regard à Lucas. Et je vis qu’il me reluquait, je pouvais voir sous son boxer que ça ne le laissait pas insensible. Il s’en aperçut et me me lança un sourire, d'une simplicité désarmante, et je sentis cette même chaleur de proximité se renforcer. Julien se rapprocha, sa main trouvant naturellement la mienne, et il m’embrassa doucement. Ce baiser, bien qu’habituel désormais, avait un goût particulier dans ce contexte, comme si chaque geste était amplifié par la présence de Lucas.
Julien s’adressa à Lucas : alors tu la trouves comment la miss?
Lucas: Une femme, difficile de rester insensilbe à ses formes.
Agathe :Mes rondeurs ne t’effraient pas?
Lucas, pas gêné pour un sou, et surtout pas très gentleman : au contraire j'aime les femmes bien en chair…
J’étais émoustillée, gênée, mais j’aimais ce côté direct. Sur le coup je n’avais qu’une envie le sucer. Je me retenais… Qu’allait-il penser de moi?
Nous sortîmes ensemble, prêts à nous installer près de la piscine, où Antoine était déjà allongé, un livre à la main. Il nous salua d’un regard amusé, sans aucun signe de gêne, comme s’il faisait partie intégrante de ce moment. Nous étions tous là, réunis dans cet espace de détente, prêts à profiter du moment en toute confiance.
Quelques jours plus tard, Antoine m’apprendra que pendant que nous nous installions dans notre chambre, il s’était masturbé en m’imaginant prise par ces deux athlètes. Une ronde secouée par deux mâles, la chair vibrant à chaque coup de boutoir, ça l'excitait. Il en aurait pour son fantasme le soir même…
A suivre …
- 29 oct. 2024, 07:20
#2833476
@Bardoine un séjour qui s'annonce particulièrement chaud et coquin et dont la chambre d'hôtes se souviendra longtemps. Au moins aussi longtemps que tous les participants
Je regrette un peu que tu n'aies pas développé davantage comment cette idée d'un second complice avait germé en toi, et surtout la façon dont tu avais présenté la chose à Antoine, et sa réaction.
Au moins aussi longtemps que tous les participants Je regrette un peu que tu n'aies pas développé davantage comment cette idée d'un second complice avait germé en toi, et surtout la façon dont tu avais présenté la chose à Antoine, et sa réaction.
Le libertinage , c'est aimer au pluriel tout en restant singulier
- 29 oct. 2024, 21:14
#2833779
Ca n'a pas germé pendant longtemps, juste envie de m'amuser et la proposition de mon amie et son compagnon m'avait fait penser à s'amuser en pluralité.
Antoine me suit et me fait confiance. Je lui fais confiance pour m'indiquer si ca ne lui convient pas. Dans ce cas il était aussi très excité.
Antoine me suit et me fait confiance. Je lui fais confiance pour m'indiquer si ca ne lui convient pas. Dans ce cas il était aussi très excité.
- 06 nov. 2024, 23:26
#2835862
J’avais mis mon bikini, celui que Antoine, mon époux, aimait tant. Le haut se nouait par deux fines ficelles derrière la nuque et deux autres dans le dos. Quant au bas, de style tanga, il dévoilait mes courbes généreuses. J'avais choisi ce maillot spécialement pour lui, sachant qu'il trouvait qu'il sublimait parfaitement ma silhouette.
Ma peau est blanche, et confère même au pâle. Quelques minutes au soleil et je me transforme en écrevisse. Antoine avait anticipé, et me tendit immédiatement la crème de bronzage. Je la tendais instinctivement à Julien. Julien me fit signe de m’allonger sur un transat et tendit la crème à Lucas.
Lucas s’approcha avec la crème, posant doucement ses mains sur mes épaules. Antoine regardait. Avec des gestes lents et assurés, il commença à l'appliquer, ses doigts suivant les courbes de ma peau avec attention. Délicatement, il défit les ficelles du bikini pour mieux étaler la crème, et ses mains glissèrent sur mon dos, me prodiguant un massage tout aussi tendre qu’inattendu. Je sentais la chaleur de ses paumes se mêler à celle du soleil, chaque mouvement devenant un agréable contraste avec la fraîcheur de la crème. Ses mains descendirent sur mes fesses, et une fois que l’arrière fut tartiné, il me proposa de me retourner.
Les ficelles n’ayant pas été renouées, ma poitrine se libéra. Innocemment Lucas commença à déposer deux noisettes de crème sur mes tétons. Il commença à me masser les tétons circulairement, je montais en température. Alors qu’il poursuivait à masser mes nénés, Julien s’appliqua à mettre de la crème sur le reste du corps et notamment autour du tanga. Sa main pénétra sous le maillot et commença à masser ma vulve.
Julien souriait, Antoine appréciait. Julien accéléra le rythme et peu à peu je me sentais partir, ça pulsait dans mon clitoris et je ressentis une sensation intense de détente et de chaleur. Les mâles me provoquaient. Ce soir j'allais le leur rendre.
Après ce massage, j’ai fait un smack à Antoine. C’était trop choux… Puis, lançant un regard taquin à Julien et Lucas, je passai suggestivement ma langue sur mes lèvres
, un sourire espiègle aux coins de la bouche, et leur glissai malicieusement que je saurais leur rendre la pareille ce soir. On s’est un peu amusé dans la piscine et voilà qu’il était déjà temps de passer à table, tout le monde mit la main à la pâte.
Le dîner était simple mais délicieux : une salade verte pour commencer, suivie d'une entrecôte parfaitement grillée, puis un sorbet frais pour terminer sur une note légère. Lucas était assis à ma gauche, Antoine en diagonale de moi, et Julien, en face de moi, sur la droite. Pendant que nous échangions, je sentis la main de Lucas glisser doucement sur ma cuisse, tandis que sous la table, le pied de Julien effleurait le mien dans un jeu complice.
La conversation se tourna vers Antoine, que Lucas et Julien questionnaient sur le candaulisme. Il y avait beaucoup de respect de leur part, mais aussi beaucoup de surprise à ce qu’un homme accepte cela. Il répondit avec calme, expliquant que pour lui, il y avait un vrai plaisir. Il me trouvait plus belle avec la distance, avait l’impression de mieux profiter visuellement de l’acte. Par ailleurs il aimait me voir complètement épanouie, me voir profiter d’expériences que je n’aurais jamais souhaité avec lui. Et puis il ajouta que comme ça de mon côté, il me permettait d’avoir accès au top du top d’un point de vue expérience sexuelle. Je ne pus m'empêcher de louer la bite de Julien sur le coup.
Le repas se terminait et la soirée ne faisait que commencer, il était temps de passer au vrai dessert…
A suivre ...
Ma peau est blanche, et confère même au pâle. Quelques minutes au soleil et je me transforme en écrevisse. Antoine avait anticipé, et me tendit immédiatement la crème de bronzage. Je la tendais instinctivement à Julien. Julien me fit signe de m’allonger sur un transat et tendit la crème à Lucas.
Lucas s’approcha avec la crème, posant doucement ses mains sur mes épaules. Antoine regardait. Avec des gestes lents et assurés, il commença à l'appliquer, ses doigts suivant les courbes de ma peau avec attention. Délicatement, il défit les ficelles du bikini pour mieux étaler la crème, et ses mains glissèrent sur mon dos, me prodiguant un massage tout aussi tendre qu’inattendu. Je sentais la chaleur de ses paumes se mêler à celle du soleil, chaque mouvement devenant un agréable contraste avec la fraîcheur de la crème. Ses mains descendirent sur mes fesses, et une fois que l’arrière fut tartiné, il me proposa de me retourner.
Les ficelles n’ayant pas été renouées, ma poitrine se libéra. Innocemment Lucas commença à déposer deux noisettes de crème sur mes tétons. Il commença à me masser les tétons circulairement, je montais en température. Alors qu’il poursuivait à masser mes nénés, Julien s’appliqua à mettre de la crème sur le reste du corps et notamment autour du tanga. Sa main pénétra sous le maillot et commença à masser ma vulve.
Julien souriait, Antoine appréciait. Julien accéléra le rythme et peu à peu je me sentais partir, ça pulsait dans mon clitoris et je ressentis une sensation intense de détente et de chaleur. Les mâles me provoquaient. Ce soir j'allais le leur rendre.
Après ce massage, j’ai fait un smack à Antoine. C’était trop choux… Puis, lançant un regard taquin à Julien et Lucas, je passai suggestivement ma langue sur mes lèvres
, un sourire espiègle aux coins de la bouche, et leur glissai malicieusement que je saurais leur rendre la pareille ce soir. On s’est un peu amusé dans la piscine et voilà qu’il était déjà temps de passer à table, tout le monde mit la main à la pâte.Le dîner était simple mais délicieux : une salade verte pour commencer, suivie d'une entrecôte parfaitement grillée, puis un sorbet frais pour terminer sur une note légère. Lucas était assis à ma gauche, Antoine en diagonale de moi, et Julien, en face de moi, sur la droite. Pendant que nous échangions, je sentis la main de Lucas glisser doucement sur ma cuisse, tandis que sous la table, le pied de Julien effleurait le mien dans un jeu complice.
La conversation se tourna vers Antoine, que Lucas et Julien questionnaient sur le candaulisme. Il y avait beaucoup de respect de leur part, mais aussi beaucoup de surprise à ce qu’un homme accepte cela. Il répondit avec calme, expliquant que pour lui, il y avait un vrai plaisir. Il me trouvait plus belle avec la distance, avait l’impression de mieux profiter visuellement de l’acte. Par ailleurs il aimait me voir complètement épanouie, me voir profiter d’expériences que je n’aurais jamais souhaité avec lui. Et puis il ajouta que comme ça de mon côté, il me permettait d’avoir accès au top du top d’un point de vue expérience sexuelle. Je ne pus m'empêcher de louer la bite de Julien sur le coup.
Le repas se terminait et la soirée ne faisait que commencer, il était temps de passer au vrai dessert…
A suivre ...
- 07 nov. 2024, 07:38
#2835880
@Bardoine très belle scène sensuelle et érotique qui a fait monter la pression et l'envie de coquiner. De quoi rendre la suite nettement plus chaude.
Antoine a su parfaitement expliquer aux deux complices ses émotions, ses désirs, son plaisir, ses limites sexuelles aussi ... bref toutes les raisons de son candaulisme.
À suivre.
Antoine a su parfaitement expliquer aux deux complices ses émotions, ses désirs, son plaisir, ses limites sexuelles aussi ... bref toutes les raisons de son candaulisme.
À suivre.
Le libertinage , c'est aimer au pluriel tout en restant singulier
- 07 nov. 2024, 14:20
#2835951
@Bardoine je n'en douta pas
Bardoine, legatelois a liké
Le libertinage , c'est aimer au pluriel tout en restant singulier
- 05 déc. 2024, 01:26
#2841833
Julien et Lucas se trouvaient dans la chambre, tandis que je choisissais de me faire désirer quelques instants. Sans savoir qu’Antoine avait tout orchestré avec eux, je me suis mise à discuter avec lui de mon désir et de mes fantasmes.
Moi : « Antoine, j’aimerais vraiment ressentir Julien pleinement, sans aucune barrière. »
Antoine : « Je comprends, ma chérie, mais on ne peut pas prendre ce genre de risques. Appelle-moi parano si tu veux, mais je préfère être prudent. »
Moi : « Tu es parano, mais tu as raison… »
Les capotes étaient soigneusement posées en évidence sur la table de chevet, comme un rappel discret. Julien et Lucas, déjà dévêtus, semblaient attendre patiemment. Attirée par leur assurance, je m’approchai doucement, fascinée par leur prestance et ce qu’ils dégageaient.
Après cet échange, je lui ai demandé de m’accompagner, main dans la main. Antoine, curieux de tout, m’avait confié vouloir être témoin de chaque moment. C’est donc légèrement nerveuse mais excitée que je suis entrée dans la chambre.
Je laissai échapper un sourire en remarquant les capotes soigneusement alignées sur la table de chevet. D’un ton légèrement taquin, je lançai :
« Je vois que tout est prêt, il ne me reste plus qu’à vous habiller de ce latex protecteur. »
Mon regard glissa naturellement vers eux. En comparant, il était impossible de ne pas remarquer que Lucas se distinguait nettement : son anatomie imposante surpassait non seulement celle d’Antoine, mais aussi celle de Julien. Ce dernier n’était pas en reste, mais face à Lucas, il fallait bien reconnaître que c’était un véritable colosse.
Je me laissai guider par les garçons qui, avec douceur, me déshabillèrent. Une fois libérée de mes vêtements, je pris l'initiative, posant une main assurée sur le sexe de Lucas. Je sentais son excitation monter, le sang affluant peu à peu sous ma paume alors que je malaxais délicatement sa chair. Pour me réchauffer, Lucas commença à me masser les épaules tout en complimentant ma poitrine. "Tes aréoles sont magnifiques", me dit-il.
Je le regardais, lui, grand de 1m90 avec ses pectoraux et ses abdos bien dessinés, tandis que moi, petite et ronde, mesurant 1m60, me sentais un peu en décalage. Je continuais à malaxer son sexe, je me mordis la langue de ne pas le sucer trop vite… Finalement, ma bouche trouva naturellement son chemin vers Julien, épousant avec attention les courbes de sa verge. Le contraste entre les deux sensations, l’une sous mes doigts, l’autre sur mes lèvres, intensifiait chaque instant.
Je pris une capote et la déroulai avec soin sur Julien, mon partenaire habituel. Je m'allongeais sur le lit sur le dos et sans attendre, il me pénétra, son mouvement précis et familier me faisant frissonner.
En même temps, Lucas s'approcha de la têtu lit et ma bouche se referma sur son pénis. Avide de découvrir davantage son anatomie impressionnante, je ne pouvais m’empêcher d’être fascinée par lui : son sexe, dur comme de l’acier, me rendait folle d’envie. Chaque instant avec lui était une découverte, un plaisir brut et intense. Je laissai mon regard errer sur les veines saillantes et les courbes de son sexe, fascinée par sa virilité. Pourtant, une pointe de regret s’insinua en moi à l’idée de devoir recouvrir cette perfection d’un latex, certes protecteur, mais qui atténuait inévitablement la connexion et les sensations si intenses que je recherchais.
Désireuse de varier les plaisirs, je suggérai d’inverser les rôles. Je pris une capote XL spécialement pour Lucas, l’ajustant avec soin sur son sexe impressionnant. Mais j’étais un brin frustrée :
« Il faut vraiment qu’on trouve une solution pour ces capotes, je veux le sentir pleinement. »
Antoine, avec un sourire complice, répondit calmement :
« C’est bon, les tests ont déjà été faits. »
Il me tend deux papiers de résultat qui indiquent négatif pour les MST…
Folle de joie et d’excitation, je retirai la capote de Julien pour le prendre en bouche, décuplant mon plaisir et le sien. Puis, d’un air tout aussi assuré, je me tournais vers mon mari.
«Antoine, peux-tu venir retirer la capote de Lucas!!! » Antoine accouru et s’exécuta. Lucas, me pénétra aussitôt, amplifiant l’intensité de ce moment partagé. J’ai l’impression de sentir le relief de sa bite en moi. Et une violente pensée de transgression m’assaillit, et si Lucas me mettait enceinte. Sur le coup je ne sais plus trop où j’en suis dans mon cycle, et j’avoue que mes pulsions m’empêchaient de me pencher sur le sujet. Je terminais cette réflexion intérieure en exfiltrant la verge de Julien de ma bouche et en m’exprimant : «Antoine, c’est lui qui gère la reproduction et toi, tu te contentes de regarder les miracles se faire ? En attendant moi j’encaisse …»
Je repris Julien en bouche et je sens qui se tend, alors que Lucas endurant continue. Je peaufine le polissage du sexe de Julien, celui-ci lâche son nectar dans ma bouche. Je n’aime pas vraiment ça en règle générale. Avec Antoine, en vrai on l’a fait qu’une fois, mais pour Julien je nettoie avec passion. Ma langue aspire et ma bouche avale. Et toujours Lucas qui me déboite la chatte.
Me voilà seule avec Lucas dans cette orgie. Je décide de passer en Andromaque sur lui. J’avoue que la grosse qui chevauche l’étalon musclée ça m’excite grave. Il apprécie aussi et je le sens qui se tend de plus en plus, cette fois-ci c'est sûr ce n'est pas mon imagination, je sens ses veines. Ses bras m’enserrent les épaules, il m’étreint, il m’embrasse et je sens un liquide chaud au bout de sa verge. Qee c’est fort!
Moi (regard troublé, hésitante) : "Je… je ne sais pas comment l’expliquer. Ce qu’on a vécu, avec Lucas… c’était tellement fort. C’était une expérience incroyable, mais je t’assure que ce n’est pas contre toi. Ce que j’ai avec toi, Antoine, c’est ce que je veux."
Antoine (calme, compréhensif) : "Je sais, Agathe. Je le sens. Ce qui est important, c’est que tu sois honnête avec moi. Et je vois que tu m’aimes toujours."
Moi (les yeux pleins de sincérité) : "Oui, je t’aime, Antoine. C’est juste que… ce moment avec Lucas… c’était un feu, une intensité que je n’ai pas l’habitude de vivre. Mais toi et moi, c’est différent. C’est solide. Tu es mon choix, toujours."
Julien (en retrait, silencieux, observant sans juger)
Lucas (avec un regard admiratif) : "Agathe… tu es une déesse. C’était vraiment spécial, et je crois que tu es une vraie femme libre. C’est rare de rencontrer quelqu’un avec autant de force et de passion."
Moi (regardant Lucas, presque un sourire triste) : "C’est vrai… mais ce que j’ai avec toi, Antoine, c’est ce que je veux, ce que je choisis."
Antoine (avec un regard doux, rassurant) : "Je comprends, Agathe. Et je t’aime."
Tout le monde se lève, se douche et se retrouve dans la salle à manger.
Moi (regardant Julien, un peu plus détendue) : "Dis-moi, Julien… tu n’es pas jaloux, non ? Parce que, pour moi, ce moment à trois, c’était… quelque chose d’incroyable. Et toi, tu as vraiment contribué à cette osmose."
Julien (avec un sourire, presque philosophe) : "Non, je ne suis pas jaloux. Je vois la beauté de ce moment. Et tu sais, Lucas… c’est un chic type."
Lucas (en aparté avec Antoine, légèrement pensif) : "J’avoue… je suis un peu jaloux de toi, Antoine. Il y a une vraie présence chez ta femme."
Antoine (regardant Lucas avec un sourire calme) : "Ouais, je sais. Et on s’aime. C’est notre force."
A suivre …
Moi : « Antoine, j’aimerais vraiment ressentir Julien pleinement, sans aucune barrière. »
Antoine : « Je comprends, ma chérie, mais on ne peut pas prendre ce genre de risques. Appelle-moi parano si tu veux, mais je préfère être prudent. »
Moi : « Tu es parano, mais tu as raison… »
Les capotes étaient soigneusement posées en évidence sur la table de chevet, comme un rappel discret. Julien et Lucas, déjà dévêtus, semblaient attendre patiemment. Attirée par leur assurance, je m’approchai doucement, fascinée par leur prestance et ce qu’ils dégageaient.
Après cet échange, je lui ai demandé de m’accompagner, main dans la main. Antoine, curieux de tout, m’avait confié vouloir être témoin de chaque moment. C’est donc légèrement nerveuse mais excitée que je suis entrée dans la chambre.
Je laissai échapper un sourire en remarquant les capotes soigneusement alignées sur la table de chevet. D’un ton légèrement taquin, je lançai :
« Je vois que tout est prêt, il ne me reste plus qu’à vous habiller de ce latex protecteur. »
Mon regard glissa naturellement vers eux. En comparant, il était impossible de ne pas remarquer que Lucas se distinguait nettement : son anatomie imposante surpassait non seulement celle d’Antoine, mais aussi celle de Julien. Ce dernier n’était pas en reste, mais face à Lucas, il fallait bien reconnaître que c’était un véritable colosse.
Je me laissai guider par les garçons qui, avec douceur, me déshabillèrent. Une fois libérée de mes vêtements, je pris l'initiative, posant une main assurée sur le sexe de Lucas. Je sentais son excitation monter, le sang affluant peu à peu sous ma paume alors que je malaxais délicatement sa chair. Pour me réchauffer, Lucas commença à me masser les épaules tout en complimentant ma poitrine. "Tes aréoles sont magnifiques", me dit-il.
Je le regardais, lui, grand de 1m90 avec ses pectoraux et ses abdos bien dessinés, tandis que moi, petite et ronde, mesurant 1m60, me sentais un peu en décalage. Je continuais à malaxer son sexe, je me mordis la langue de ne pas le sucer trop vite… Finalement, ma bouche trouva naturellement son chemin vers Julien, épousant avec attention les courbes de sa verge. Le contraste entre les deux sensations, l’une sous mes doigts, l’autre sur mes lèvres, intensifiait chaque instant.
Je pris une capote et la déroulai avec soin sur Julien, mon partenaire habituel. Je m'allongeais sur le lit sur le dos et sans attendre, il me pénétra, son mouvement précis et familier me faisant frissonner.
En même temps, Lucas s'approcha de la têtu lit et ma bouche se referma sur son pénis. Avide de découvrir davantage son anatomie impressionnante, je ne pouvais m’empêcher d’être fascinée par lui : son sexe, dur comme de l’acier, me rendait folle d’envie. Chaque instant avec lui était une découverte, un plaisir brut et intense. Je laissai mon regard errer sur les veines saillantes et les courbes de son sexe, fascinée par sa virilité. Pourtant, une pointe de regret s’insinua en moi à l’idée de devoir recouvrir cette perfection d’un latex, certes protecteur, mais qui atténuait inévitablement la connexion et les sensations si intenses que je recherchais.
Désireuse de varier les plaisirs, je suggérai d’inverser les rôles. Je pris une capote XL spécialement pour Lucas, l’ajustant avec soin sur son sexe impressionnant. Mais j’étais un brin frustrée :
« Il faut vraiment qu’on trouve une solution pour ces capotes, je veux le sentir pleinement. »
Antoine, avec un sourire complice, répondit calmement :
« C’est bon, les tests ont déjà été faits. »
Il me tend deux papiers de résultat qui indiquent négatif pour les MST…
Folle de joie et d’excitation, je retirai la capote de Julien pour le prendre en bouche, décuplant mon plaisir et le sien. Puis, d’un air tout aussi assuré, je me tournais vers mon mari.
«Antoine, peux-tu venir retirer la capote de Lucas!!! » Antoine accouru et s’exécuta. Lucas, me pénétra aussitôt, amplifiant l’intensité de ce moment partagé. J’ai l’impression de sentir le relief de sa bite en moi. Et une violente pensée de transgression m’assaillit, et si Lucas me mettait enceinte. Sur le coup je ne sais plus trop où j’en suis dans mon cycle, et j’avoue que mes pulsions m’empêchaient de me pencher sur le sujet. Je terminais cette réflexion intérieure en exfiltrant la verge de Julien de ma bouche et en m’exprimant : «Antoine, c’est lui qui gère la reproduction et toi, tu te contentes de regarder les miracles se faire ? En attendant moi j’encaisse …»
Je repris Julien en bouche et je sens qui se tend, alors que Lucas endurant continue. Je peaufine le polissage du sexe de Julien, celui-ci lâche son nectar dans ma bouche. Je n’aime pas vraiment ça en règle générale. Avec Antoine, en vrai on l’a fait qu’une fois, mais pour Julien je nettoie avec passion. Ma langue aspire et ma bouche avale. Et toujours Lucas qui me déboite la chatte.
Me voilà seule avec Lucas dans cette orgie. Je décide de passer en Andromaque sur lui. J’avoue que la grosse qui chevauche l’étalon musclée ça m’excite grave. Il apprécie aussi et je le sens qui se tend de plus en plus, cette fois-ci c'est sûr ce n'est pas mon imagination, je sens ses veines. Ses bras m’enserrent les épaules, il m’étreint, il m’embrasse et je sens un liquide chaud au bout de sa verge. Qee c’est fort!
Moi (regard troublé, hésitante) : "Je… je ne sais pas comment l’expliquer. Ce qu’on a vécu, avec Lucas… c’était tellement fort. C’était une expérience incroyable, mais je t’assure que ce n’est pas contre toi. Ce que j’ai avec toi, Antoine, c’est ce que je veux."
Antoine (calme, compréhensif) : "Je sais, Agathe. Je le sens. Ce qui est important, c’est que tu sois honnête avec moi. Et je vois que tu m’aimes toujours."
Moi (les yeux pleins de sincérité) : "Oui, je t’aime, Antoine. C’est juste que… ce moment avec Lucas… c’était un feu, une intensité que je n’ai pas l’habitude de vivre. Mais toi et moi, c’est différent. C’est solide. Tu es mon choix, toujours."
Julien (en retrait, silencieux, observant sans juger)
Lucas (avec un regard admiratif) : "Agathe… tu es une déesse. C’était vraiment spécial, et je crois que tu es une vraie femme libre. C’est rare de rencontrer quelqu’un avec autant de force et de passion."
Moi (regardant Lucas, presque un sourire triste) : "C’est vrai… mais ce que j’ai avec toi, Antoine, c’est ce que je veux, ce que je choisis."
Antoine (avec un regard doux, rassurant) : "Je comprends, Agathe. Et je t’aime."
Tout le monde se lève, se douche et se retrouve dans la salle à manger.
Moi (regardant Julien, un peu plus détendue) : "Dis-moi, Julien… tu n’es pas jaloux, non ? Parce que, pour moi, ce moment à trois, c’était… quelque chose d’incroyable. Et toi, tu as vraiment contribué à cette osmose."
Julien (avec un sourire, presque philosophe) : "Non, je ne suis pas jaloux. Je vois la beauté de ce moment. Et tu sais, Lucas… c’est un chic type."
Lucas (en aparté avec Antoine, légèrement pensif) : "J’avoue… je suis un peu jaloux de toi, Antoine. Il y a une vraie présence chez ta femme."
Antoine (regardant Lucas avec un sourire calme) : "Ouais, je sais. Et on s’aime. C’est notre force."
A suivre …
- 05 déc. 2024, 02:35
#2841834
Un récit bien écrit et plaisant à lire, dans le haut de la fourchette de qualité de rédaction de tout ce qu'on peut lire ici (sans dénigrer des choses parfois moins bien écrites qui sont toutefois intéressantes ou excitantes), mais justement cette qualité d'écriture donne au texte un air de fiction...
J'attends la suite pour me faire une idée plus précise.
J'attends la suite pour me faire une idée plus précise.
- 05 déc. 2024, 02:51
#2841835
@latinaycornudo : effectivement je passe du temps à essayer d'écrire et à ce que ce soit le plus excitant possible.
Merci pour le compliment.
Merci pour le compliment.
- 05 déc. 2024, 17:29
#2841986
Un très bon texte et j'ai aimé les échanges qu'ils y avaient entre vous et cela a rendu ce moment intense très agréable en sensation et cette prise d'initiative dans ce jeu coquin . Merci @Bardoine
Un commentaire, un like fait toujours plaisir
Vous pourrez suivre Miss Frenchy sous ces liens
viewtopic.php?f=61&t=87508
Vous pourrez suivre Miss Frenchy sous ces liens
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- 06 déc. 2024, 01:15
#2842057
Chère @Bardoine je recommande à chacun de lire et relire ce récit d'une infinie délicatesse et d'une folle intensité candauliste. Je vous ai suivi avec Antoine des le début pas à pas et ai pris de nouveau grand plaisir à relire tout d'une traite.
Plaisir à transposer avec Candice encore plus par cet amour complice au sein du couple et l'excitation irrépressible à chaque rencontre avec un ou des amants attentionnés à vous deux
A suivre encore et encore
Plaisir à transposer avec Candice encore plus par cet amour complice au sein du couple et l'excitation irrépressible à chaque rencontre avec un ou des amants attentionnés à vous deux
A suivre encore et encore
Notre histoire et nos jeux passés,
actuels et à venir sont LA : Candice by Sweden
Sweden For Candice, notre présentation initiale, trace nos interrogations
actuels et à venir sont LA : Candice by Sweden
Sweden For Candice, notre présentation initiale, trace nos interrogations
- 17 déc. 2024, 15:33
#2844847
@Bardoine toujours fort bien écrit.
Tu analyses fort bien vos ressentis respectifs et votre osmose très forte qui a été renforcée par vos pratiques coquines. Manifestement, le candaulisme constitue un moteur très fort de votre couple.
Tu analyses fort bien vos ressentis respectifs et votre osmose très forte qui a été renforcée par vos pratiques coquines. Manifestement, le candaulisme constitue un moteur très fort de votre couple.
Bardoine a liké
Le libertinage , c'est aimer au pluriel tout en restant singulier
- 13 janv. 2025, 02:28
#2852096
Le lendemain matin
Je me réveillai doucement, les rayons du soleil effleurant mon visage. Mon corps était encore empreint de la fatigue délicieuse de la nuit précédente. À mes côtés, Lucas dormait profondément, une main posée sur ma hanche, comme s’il me gardait près de lui même dans son sommeil. Je me tournai pour l’observer. Cet homme dégageait une force et une sérénité captivantes.
Antoine entra discrètement dans la chambre, un plateau de petit-déjeuner à la main. Je ne pus m’empêcher de sourire en voyant son visage.
— "Je me suis dit qu’après hier, il fallait bien ça pour récupérer," lança-t-il avec un sourire.
Je le taquinai :
— "Tu crois vraiment qu’un plateau de croissants va compenser toutes les calories qu’on a brûlées ? Bonne chance !"
Lucas se redressa doucement, les yeux encore mi-clos, mais avec ce sourire qui semblait ne jamais le quitter.
— "C’était… la meilleure nuit que j’ai passée depuis très longtemps," dit-il.
Et là, il commença à nous raconter une partie de sa vie.
— "Je ne sais pas si je vous l’ai dit, mais je suis en couple depuis presque dix ans. Sophie et moi, on s’aime profondément, mais il y a cinq ans, on a décidé d’ouvrir notre relation. On voulait explorer le désir et les expériences tout en gardant notre lien intact. Mais… hier soir, c’était différent. Je n’avais jamais ressenti une telle alchimie."
Au fur et à mesure de la discussion je ressentais le désir revenir. Plus que quelques heures et qui sait plus de Lucas. Je voulais une nouvelle fois contempler son entre-jambe. Je m’adressais à Antoine : “ Chéri tu peux sortir on va brûler quelques calories avant le déjeuner”
Antoine, quelque peu décontenancé,
— "Mais ton café va refroidir …"
Lucas, avec assurance:
— "T’inquiète pas je vais la réchauffer"
Je l’écoutais, fascinée. Il était si différent d’Antoine ou de Julien. Avec Lucas, c’était une toute autre dynamique.
Nous repartîmes pour un tour, le dernier de ce séjour. J’aimais me remplir de son imposant attribut et je fantasmais, bien que ce fut physiologiquement impossible, que ma chatte et ma bouche soit remplie de son sperme.
Quelques jours plus tard : un tête-à-tête avec Lucas
Antoine, toujours si compréhensif, m’avait encouragée à revoir Lucas, si je le souhaitais. Il comprenait mes désirs et ne se sentait pas menacé. Alors, j’avais accepté.
Lucas et moi nous retrouvâmes dans une chambre d’hôtel, loin de tout. La soirée débuta calmement : des rires, des conversations légères, et cette alchimie palpable qui ne faisait que croître.
Quand il me porta doucement jusqu’au lit, je me sentis vulnérable et forte à la fois. Ses mains parcouraient mon corps avec une lenteur presque provocante. Chaque geste, chaque baiser était calculé pour me faire perdre pied.
— "Lucas… c’est comme si tu savais exactement ce dont j’ai besoin," lui murmurai-je.
Il me répondit avec ce sourire confiant :
— "C’est parce que tu es sincère avec toi-même. C’est beau à voir."
Ce moment avec lui fut un mélange de passion brute et de tendresse inattendue. Il m’offrit une libération que je n’avais jamais connue. C’était intense, mais aussi incroyablement doux.
Retour à nos vies respectives
Les semaines qui suivirent marquèrent un retour à la normalité. Lucas repartit vers sa vie avec Sophie, et Julien retrouva son quotidien. Avant de partir, Lucas m’avait murmuré qu’il garderait un souvenir impérissable de notre aventure. Moi aussi, d’ailleurs.
De mon côté, Antoine et moi reprîmes notre routine. Mais tout était différent, plus solide. Cette expérience nous avait rapprochés, parce qu’elle reposait sur la confiance et l’honnêteté. Malgré mes explorations, Antoine restait mon pilier, mon choix quotidien.
Un nouveau fantasme prend forme
Un soir, alors que nous discutions dans le salon, je décidai de partager un nouveau fantasme avec Antoine. L’idée me trottait dans la tête depuis plusieurs jours, mais je n’avais pas encore osé la formuler.
— "Tu sais, Antoine… après tout ce qu’on a vécu, j’ai une envie un peu particulière," commençai-je, hésitante.
Il posa son livre et planta son regard dans le mien, curieux.
— "Dis-moi tout."
Je pris une grande inspiration.
— "J’aimerais… explorer une dynamique dominante. Avec une femme. Une soirée où je pourrais tout contrôler, laisser mes envies prendre le dessus. Je ne sais pas pourquoi, mais cette idée m’excite terriblement."
À ma grande surprise, il sourit, comme s’il comprenait parfaitement.
— "Alors, trouvons une partenaire pour réaliser ce fantasme," répondit-il calmement. "Je suis avec toi à 100%."
Je le regardai, émue par sa compréhension. Avec lui, je savais que tout était possible.
A suivre …
Je me réveillai doucement, les rayons du soleil effleurant mon visage. Mon corps était encore empreint de la fatigue délicieuse de la nuit précédente. À mes côtés, Lucas dormait profondément, une main posée sur ma hanche, comme s’il me gardait près de lui même dans son sommeil. Je me tournai pour l’observer. Cet homme dégageait une force et une sérénité captivantes.
Antoine entra discrètement dans la chambre, un plateau de petit-déjeuner à la main. Je ne pus m’empêcher de sourire en voyant son visage.
— "Je me suis dit qu’après hier, il fallait bien ça pour récupérer," lança-t-il avec un sourire.
Je le taquinai :
— "Tu crois vraiment qu’un plateau de croissants va compenser toutes les calories qu’on a brûlées ? Bonne chance !"
Lucas se redressa doucement, les yeux encore mi-clos, mais avec ce sourire qui semblait ne jamais le quitter.
— "C’était… la meilleure nuit que j’ai passée depuis très longtemps," dit-il.
Et là, il commença à nous raconter une partie de sa vie.
— "Je ne sais pas si je vous l’ai dit, mais je suis en couple depuis presque dix ans. Sophie et moi, on s’aime profondément, mais il y a cinq ans, on a décidé d’ouvrir notre relation. On voulait explorer le désir et les expériences tout en gardant notre lien intact. Mais… hier soir, c’était différent. Je n’avais jamais ressenti une telle alchimie."
Au fur et à mesure de la discussion je ressentais le désir revenir. Plus que quelques heures et qui sait plus de Lucas. Je voulais une nouvelle fois contempler son entre-jambe. Je m’adressais à Antoine : “ Chéri tu peux sortir on va brûler quelques calories avant le déjeuner”
Antoine, quelque peu décontenancé,
— "Mais ton café va refroidir …"
Lucas, avec assurance:
— "T’inquiète pas je vais la réchauffer"
Je l’écoutais, fascinée. Il était si différent d’Antoine ou de Julien. Avec Lucas, c’était une toute autre dynamique.
Nous repartîmes pour un tour, le dernier de ce séjour. J’aimais me remplir de son imposant attribut et je fantasmais, bien que ce fut physiologiquement impossible, que ma chatte et ma bouche soit remplie de son sperme.
Quelques jours plus tard : un tête-à-tête avec Lucas
Antoine, toujours si compréhensif, m’avait encouragée à revoir Lucas, si je le souhaitais. Il comprenait mes désirs et ne se sentait pas menacé. Alors, j’avais accepté.
Lucas et moi nous retrouvâmes dans une chambre d’hôtel, loin de tout. La soirée débuta calmement : des rires, des conversations légères, et cette alchimie palpable qui ne faisait que croître.
Quand il me porta doucement jusqu’au lit, je me sentis vulnérable et forte à la fois. Ses mains parcouraient mon corps avec une lenteur presque provocante. Chaque geste, chaque baiser était calculé pour me faire perdre pied.
— "Lucas… c’est comme si tu savais exactement ce dont j’ai besoin," lui murmurai-je.
Il me répondit avec ce sourire confiant :
— "C’est parce que tu es sincère avec toi-même. C’est beau à voir."
Ce moment avec lui fut un mélange de passion brute et de tendresse inattendue. Il m’offrit une libération que je n’avais jamais connue. C’était intense, mais aussi incroyablement doux.
Retour à nos vies respectives
Les semaines qui suivirent marquèrent un retour à la normalité. Lucas repartit vers sa vie avec Sophie, et Julien retrouva son quotidien. Avant de partir, Lucas m’avait murmuré qu’il garderait un souvenir impérissable de notre aventure. Moi aussi, d’ailleurs.
De mon côté, Antoine et moi reprîmes notre routine. Mais tout était différent, plus solide. Cette expérience nous avait rapprochés, parce qu’elle reposait sur la confiance et l’honnêteté. Malgré mes explorations, Antoine restait mon pilier, mon choix quotidien.
Un nouveau fantasme prend forme
Un soir, alors que nous discutions dans le salon, je décidai de partager un nouveau fantasme avec Antoine. L’idée me trottait dans la tête depuis plusieurs jours, mais je n’avais pas encore osé la formuler.
— "Tu sais, Antoine… après tout ce qu’on a vécu, j’ai une envie un peu particulière," commençai-je, hésitante.
Il posa son livre et planta son regard dans le mien, curieux.
— "Dis-moi tout."
Je pris une grande inspiration.
— "J’aimerais… explorer une dynamique dominante. Avec une femme. Une soirée où je pourrais tout contrôler, laisser mes envies prendre le dessus. Je ne sais pas pourquoi, mais cette idée m’excite terriblement."
À ma grande surprise, il sourit, comme s’il comprenait parfaitement.
— "Alors, trouvons une partenaire pour réaliser ce fantasme," répondit-il calmement. "Je suis avec toi à 100%."
Je le regardai, émue par sa compréhension. Avec lui, je savais que tout était possible.
A suivre …
- 13 janv. 2025, 18:09
#2852210
Une fin de chapitre remarquable et le début d'une nouvelle aventure qui débute, j'y ai déjà hâte
Bardoine a liké
Un commentaire, un like fait toujours plaisir
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- 18 janv. 2025, 16:47
#2853484
@Bardoine encore un beau récit qui illustre parfaitement ta montée en puissance libertine, l'acceptation de plus en plus participative d'Antoine à ces projets, ta libération sexuelle et l'épanouissement personnel qui va avec. Et votre dialogue de couple vous permet de passer par diverses étapes pour découvrir de nouvelles expériences.
Bardoine a liké
Le libertinage , c'est aimer au pluriel tout en restant singulier
- 29 janv. 2025, 00:29
#2855797
Lucas, Julien, Antoine et moi avions tous repris le fil de nos vies. Pourtant, les souvenirs de cette nuit exceptionnelle restaient gravés dans ma mémoire, comme une lueur chaude que je pouvais convoquer à tout moment. Antoine et moi avions trouvé une nouvelle sérénité dans notre couple, renforcés par cette aventure partagée.
Un matin, alors que je préparais mon café, un message inattendu apparut sur mon téléphone.
Lucas : "Bonjour, Agathe. J’espère que tu vas bien. Je voulais te remercier encore une fois pour cette expérience. J’ai beaucoup réfléchi depuis, et je me rends compte à quel point ce moment était spécial. Sophie a été curieuse, et je lui ai tout raconté. Elle m’a dit qu’elle aimerait beaucoup te rencontrer un jour, si tu es d’accord."
Je souris en lisant ces mots. L’idée de rencontrer Sophie me troubla autant qu’elle m’intrigua. Qui était-elle ? Quel genre de femme pouvait partager un lien si fort avec un homme comme Lucas, tout en acceptant une telle ouverture ?
Quelques jours après son message, je retrouvai Lucas dans un petit café discret, à sa demande. Dès qu’il entra, sa présence imposante illumina la pièce. Nous nous saluâmes chaleureusement avant de nous asseoir.
— "Alors, comment vas-tu depuis la dernière fois ?" me demanda-t-il avec son sourire habituel.
Je répondis honnêtement :
— "Très bien. Antoine et moi avons beaucoup parlé, et cette expérience nous a encore rapprochés. Mais toi, Lucas ? Comment Sophie a-t-elle réagi ?"
Il éclata de rire.
— "Tu sais, Sophie est incroyable. Elle m’a écouté, et au lieu d’être jalouse ou mal à l’aise, elle m’a simplement dit : ‘Je vois que cette femme t’a marqué. J’aimerais bien la rencontrer un jour.’ Elle est toujours si… ouverte et curieuse."
L’idée qu’elle veuille me rencontrer me troubla encore davantage, mais je gardai mon calme.
— "C’est flatteur, mais je dois avouer que ça me met un peu mal à l’aise. Je ne sais pas si je serais à la hauteur de ses attentes."
Lucas secoua la tête avec conviction.
— "Tu es bien plus que ça, Agathe. Fais-moi confiance."
Après notre discussion, Lucas et moi avions une irrépressible envie de nous envoyer en l’air. On a trouvé un hôtel qui acceptait de louer des chambres pour l’après-midi et ni une ni deux nous étions dans la chambre d’hôtel. C’était une atmosphère différente de la dernière fois, plus intime et plus personnelle. Et en même temps c’était bizarre, à l’accueil dans le hall de l’hôtel j’avais l’impression que la standardiste m’avait regardé comme si j’étais une prostituée. Il faut dire que j’avais un beau décolleté, et puis c’est vrai que j’allais passer du bon temps et jouais à sa salope. Nous étions seuls, et l’alchimie entre nous était toujours aussi palpable.
Il m’embrassa avec une lenteur exquise, ses mains explorant mon corps comme s’il le découvrait pour la première fois. Je me laissai aller, savourant chaque instant de ce moment partagé.
Cette fois, c’était plus qu’un simple acte charnel : c’était une danse entre deux âmes qui s’accordaient parfaitement. Lucas était à la fois passionné et attentif, s’adaptant à chacun de mes désirs sans jamais perdre sa propre intensité. Et son sexe… J’avais mis une tenue trop petite où mes seins débordaient. C’est Antoine qui me l’avait acheté et Lucas l’inaugurait.
— "Lucas… tu es vraiment incroyable," murmurai-je, essoufflée, après un moment particulièrement intense.
Il sourit, essuyant doucement une mèche de cheveux de mon visage.
— "Toi aussi, Agathe. Tu es unique." Et en même temps qu'il disait ça il carraissait ma poitrine.
Cette fois-ci, j'avais accepté que Lucas me prenne en photo. Je vous mets la photo.
Un matin, alors que je préparais mon café, un message inattendu apparut sur mon téléphone.
Lucas : "Bonjour, Agathe. J’espère que tu vas bien. Je voulais te remercier encore une fois pour cette expérience. J’ai beaucoup réfléchi depuis, et je me rends compte à quel point ce moment était spécial. Sophie a été curieuse, et je lui ai tout raconté. Elle m’a dit qu’elle aimerait beaucoup te rencontrer un jour, si tu es d’accord."
Je souris en lisant ces mots. L’idée de rencontrer Sophie me troubla autant qu’elle m’intrigua. Qui était-elle ? Quel genre de femme pouvait partager un lien si fort avec un homme comme Lucas, tout en acceptant une telle ouverture ?
Quelques jours après son message, je retrouvai Lucas dans un petit café discret, à sa demande. Dès qu’il entra, sa présence imposante illumina la pièce. Nous nous saluâmes chaleureusement avant de nous asseoir.
— "Alors, comment vas-tu depuis la dernière fois ?" me demanda-t-il avec son sourire habituel.
Je répondis honnêtement :
— "Très bien. Antoine et moi avons beaucoup parlé, et cette expérience nous a encore rapprochés. Mais toi, Lucas ? Comment Sophie a-t-elle réagi ?"
Il éclata de rire.
— "Tu sais, Sophie est incroyable. Elle m’a écouté, et au lieu d’être jalouse ou mal à l’aise, elle m’a simplement dit : ‘Je vois que cette femme t’a marqué. J’aimerais bien la rencontrer un jour.’ Elle est toujours si… ouverte et curieuse."
L’idée qu’elle veuille me rencontrer me troubla encore davantage, mais je gardai mon calme.
— "C’est flatteur, mais je dois avouer que ça me met un peu mal à l’aise. Je ne sais pas si je serais à la hauteur de ses attentes."
Lucas secoua la tête avec conviction.
— "Tu es bien plus que ça, Agathe. Fais-moi confiance."
Après notre discussion, Lucas et moi avions une irrépressible envie de nous envoyer en l’air. On a trouvé un hôtel qui acceptait de louer des chambres pour l’après-midi et ni une ni deux nous étions dans la chambre d’hôtel. C’était une atmosphère différente de la dernière fois, plus intime et plus personnelle. Et en même temps c’était bizarre, à l’accueil dans le hall de l’hôtel j’avais l’impression que la standardiste m’avait regardé comme si j’étais une prostituée. Il faut dire que j’avais un beau décolleté, et puis c’est vrai que j’allais passer du bon temps et jouais à sa salope. Nous étions seuls, et l’alchimie entre nous était toujours aussi palpable.
Il m’embrassa avec une lenteur exquise, ses mains explorant mon corps comme s’il le découvrait pour la première fois. Je me laissai aller, savourant chaque instant de ce moment partagé.
Cette fois, c’était plus qu’un simple acte charnel : c’était une danse entre deux âmes qui s’accordaient parfaitement. Lucas était à la fois passionné et attentif, s’adaptant à chacun de mes désirs sans jamais perdre sa propre intensité. Et son sexe… J’avais mis une tenue trop petite où mes seins débordaient. C’est Antoine qui me l’avait acheté et Lucas l’inaugurait.
— "Lucas… tu es vraiment incroyable," murmurai-je, essoufflée, après un moment particulièrement intense.
Il sourit, essuyant doucement une mèche de cheveux de mon visage.
— "Toi aussi, Agathe. Tu es unique." Et en même temps qu'il disait ça il carraissait ma poitrine.
Cette fois-ci, j'avais accepté que Lucas me prenne en photo. Je vous mets la photo.
- 29 janv. 2025, 11:32
#2855853
@legatelois voici un bel approfondissement de ton libertinage. La vue de Lucas a aussitôt allumé le feu coquin en toi et tu as succombé à ses charmes. Je pense, qu'inconsciemment, tu en avais envie avant même d'aller à ce rendez-vous, puisque tu avais mis cette tenue très sexy (et offerte par ton homme ). Il est certain qu'une rencontre en duo, à l'hôtel, sans qu'Antoine ait été prévenu, constitue une sensation formidablement excitante. D'ailleurs, qu'a pensé ton homme de cette rencontre ?
Avec Sophie, sûrement de belles aventures à venir.
Et merci pour cette très sensuelle photo.
). Il est certain qu'une rencontre en duo, à l'hôtel, sans qu'Antoine ait été prévenu, constitue une sensation formidablement excitante. D'ailleurs, qu'a pensé ton homme de cette rencontre ?Avec Sophie, sûrement de belles aventures à venir.
Et merci pour cette très sensuelle photo.
legatelois, Bardoine a liké
Le libertinage , c'est aimer au pluriel tout en restant singulier