Ah les retrouvailles avec des complices après une trop longue césure ! Un moment exceptionnel de bonheur et d'intensité. Voici le récit, en prose, de ce magnifique week-end.
Menton jardin libertin,Chapitre ILe trajet dans le train bondé avait été aussi court que l’attente s’était révélée longue. Pour tout dire, je pensais que nous ne recommencerions plus. Et en bon gourmand, adepte récent mais zélé des fruits jugés déviants pour la grande majorité des gens, cette perspective me désolait.
Pourtant, peu à peu, le voile épais de cette nuit sans lune s’effilocha ; et une faible lueur vacillante apparut. Une nouvelle rencontre devenait possible, à défaut d’être probable.
L’hiver passa. Puis, avec le printemps, l’espoir augmenta au rythme de l’accroissement des jours.
Enfin, l’éblouissement tant espéré, tant attendu, advint ! Nous allions nous revoir… et bien davantage.
La Belle retrouvait ses envies qu’un hiver surchargé de travail avait mises en sommeil. Des messages coquins, agrémentés de photos non moins excitantes, avaient fait monter la pression et croître l’envie de libertiner de nouveau.
Nous convînmes rapidement du lieu de la rencontre ; Menton et sa beauté luxuriante entre montagnes et mer bleue.
La Belle avait cogité en grand secret quelque plan libertin pour pimenter d’une sauce inédite cette nouvelle rencontre. Les femmes ont ceci de merveilleux (outre la perfection de leurs corps), que leur potentiel de surprises et d’érotisme s’avère sans limite. Cette fois-ci, monsieur serait présent de bout en bout ; mais lors de la phase initiale de notre jeu coquin, il serait assis et muet, se contentant de nous regarder et de nous entendre. Autant dire que cette idée m’enchantait.
Les jours précédents notre rendez-vous passèrent bien trop lentement. Mais, enfin, ce fut le moment tant espéré.
Chapitre IISoleil et chaleur nous accompagnent en ce samedi de juin. La Méditerranée n’a jamais aussi bien porté son surnom de grande bleue. Je marche rapidement vers mon hôtel niché au milieu des palmiers et des citronniers. Mes complices sont déjà arrivés et prennent possession du nid douillet où je les rejoindrai.
Les minutes menant à nos retrouvailles s’étirent, interminables, telles des montres molles de Dalì.
Un SMS tinte et fait subir à mon cœur une formidable accélération. Mes complices sont fin prêts. Encore quelques mètres et nos yeux se retrouvent.
Belle n’a pas changé d’un iota et demeure cette épouse mariée, à la fois follement respectable et terriblement bandante. Son sourire tendrement carnassier me fait instantanément basculer dans la dimension délicieuse du libertinage. Dieu qu’elle est belle et comme je la veux au bout de ma queue.
Saluts rapides et chaleureux, nous montons en voiture et prenons la direction de l’appartement qu’ils ont loué. La route est vite tracée et nous arrivons devant un immeuble très récent, au calme dans un écrin de verdure.
Chapitre IIIL’apéritif sur la terrasse scelle nos retrouvailles. Notre connivence n’a rien perdu de sa force ; c’est comme si nous nous étions quittés la veille. Nous restons sages et dignes pour donner le change aux voisins ; mais nos sourires complices en disent long.
Nous rentrons vite dans l’appartement. Nous fermons porte et volets pour nous blottir dans ce nid sexuel où nous allons marivauder en toute liberté. La tension sexuelle entre Belle et moi s’avère palpable ; nous piaffons comme des animaux en rut.
Direction la salle de bain attenante à la chambre pour la douche. Dès que j’ai fini, je m’installe nu sur le lit. Elle arrive très rapidement ; sa nudité constitue son plus beau vêtement. Elle irradie de beauté, de sensualité, de désir, d’envie. Son sourire illumine son visage d’ange. Ses seins lourds et pleins défient de leur superbe les lois de la gravité. Sa mue d’épouse bourgeoise et fidèle en une libertine en feu, impatiente de goûter à une autre bite, est accomplie.
Elle me rejoint sur le lit et nous nous embrassons tout en nous caressant avec une fougue inouïe ; en un instant, nous rattrapons le temps perdu. Nous haletons, nous gémissons, nous explorons et reprenons possession de nos corps. Nous sommes deux fauves sexuels lâchés dans la savane de la luxure.
Sa bouche quitte la mienne et descend vers mon sexe tendu à me faire mal. Elle l’engloutit avec une science et une gourmandise qui n’ont d’égale que son envie. Elle m’aspire littéralement, tout en enroulant sa langue experte autour de ma hampe et de mon gland qu’elle titille. Quelle suceuse formidable ! Je gémis de bonheur, les yeux révulsés.
Après plusieurs minutes de cette fellation merveilleuse, je me ressaisis et plonge vers son entrecuisse à la douceur veloutée ; vers cette chatte délicate au ticket de métro châtain clair. Ma langue musarde, d’abord loin de ses lèvres intimes pour faire montrer le désir ; puis, en cercles concentriques, je me rapproche du graal. Enfin, j’ouvre délicatement la fente luisante et rougie de sa féminité que ma langue lèche et dévore avec ardeur et application. Belle s’ouvre, coule, gémit, tressaille. Notre soixante-neuf nous propulse vers un incroyable plaisir.
Chapitre IVLa chambre s’embrase de nos ébats intenses. Notre bulle libertine vibre de volupté. Nous ne pensons plus à rien d’autre qu’à nos envies de sexe.
Sans dire un mot, nous entamons la suite du programme. Belle, tout sourire, a écarté les cuisses ; sa divine chatte trempée, brillante, ouverte, béante, m’attend impatiemment. Je passe un préservatif et la pénètre en une seule poussée vigoureuse, jusqu’à la garde ; mes couilles pleines de vie tapent contre son pubis dilaté. Elle gémit de plaisir et noue aussitôt ses longues jambes autour de mes reins pendant que je masse son puits d’amour de mes coups puissants ; la garce veut me garder au plus profond d’elle.
Nous baisons avec bonheur, avec fougue, avec passion, avec rage. Nos bouches se fondent en de longs baisers moelleux. Ma queue coulisse sans effort dans ce sexe humide et brûlant qui m’accueille une nouvelle fois. Nous retrouvons tout naturellement nos sensations ; tout entre nous s’avère fluide et harmonieux. Quel pied que de faire l’amour à une telle femme, si belle, si élégante, si sexy, si chaude !
Après ce fabuleux missionnaire, Belle vient s’empaler avec grâce sur ma bite. Elle monte et descend intensément sur ce pieu fiché profondément en elle ; son cul somptueux ondule littéralement, épousant le rythme puissant de ma virilité qui laboure sans relâche sa chatte qui me rend totalement dingue. Je malaxe ses seins merveilleux, je les suce, je fais rouler leurs tétons rosés et durs entre mes doigts. Je prends à pleines mains ses hanches tellement féminines pour amplifier les mouvements de ma merveilleuse complice libertine sur ma bite en feu qui bande pour elle. Nos râles résonnent dans la chambre ; le puissant parfum si caractéristique du sexe emplit la pièce.
Un cri déchire la pénombre ; Belle a joui. Elle tombe sur moi, secouée de spasmes, les yeux clos. Je la caresse tendrement ; la pellicule de sueur sur son dos sensuel témoigne de nos efforts. Nos souffles redeviennent normaux, nos cœurs battent moins vite. Elle reste lovée tendrement contre moi, prolongeant ce moment exceptionnel.
Mais au fait, où est son formidable mari prêteur ? Pris par notre folie érotique, nous l’avons oublié. Il nous a regardé baiser, les yeux exorbités de bonheur, sagement assis et silencieux.
Chapitre VLa vague érotique se retire lentement de la grève de nos corps enlacés. Nous soufflons et buvons un verre d’eau bien mérité. Un temps de repos sagement complice à trois s’impose. Monsieur nous rejoint sur le lit, nu. Conversation à bâtons rompus entre trois adultes heureux de partager de tels moments.
Progressivement, nos mains masculines s’égarent de plus en plus coquinement sur le corps de Belle qui gémit sous nos caresses précises. Nos sexes reprennent de la vigueur. Il est temps de passer à la seconde phase de cet après-midi de baise débridée.
Monsieur, qui n’en pleut plus, s’approche de sa femme qu’il n’est plus le seul à honorer pour reprendre possession de sa chatte de garce libertine. Il la prend avec un curieux mélange de retenue timide et de passion torride. Elle gémit sous les coups de rein de son homme….tout en caressant ma bite. Quelle garce ! Elle ne peut s’en empêcher.
Une sarabande étonnante commence ; ou plutôt recommence. Nous alternons nos queues dans la chatte béante de cette femelle en rut. Nous la baisons à tour de rôle ; extraordinaire ballet sexuel où mari et amant se relayent pour remplir en permanence la chatte somptueuse d’une bourgeoise que tous croient respectable et qui, en ce moment précis, n’est qu’une pure salope lubrique affamée de nos bites.
Notre saillie de duettistes se prolonge un bon moment. Puis, épuisés, à bout de force et de souffle, nous déposons les armes et quittons à regret cette baie surchauffée où les vagues de cyprine ont inondé nos bites laborieuses.
Le bonheur, c’est beau et simple comme un après-midi libertin entre complices qui s’apprécient.
Chapitre VIUn dîner italien dans la vieille ville baroque par une nuit presque chaude, un sommeil réparateur pour recharger nos batteries tout en rêvant, et le lendemain, nous sommes prêts et désireux de recommencer.
Déjeuner sur la plage bercés par la Méditerranée, balade dans les jardins luxuriants qui font la renommée de Menton, et puis retour dans l’appartement douillet de nos exploits.
Nous décidons de varier les plaisirs. En guise de mise en bouche, nous demandons à Belle de se masturber devant nous. Elle minaude, fait mine de refuser ; mais son sourire coquin nous indique qu’elle va exaucer nos vœux et se faire plaisir sous nos yeux.
Belle s’allonge sur le lit, la tête sur un oreiller, et commence à se caresser. D’abord lentement, par touches légères, presque impressionnistes ; puis en accélérant le rythme, les yeux clos, les doigts précis. Nous la regardons fascinés, éblouis, émerveillés. Quel spectacle ! Quelle femme !
Belle s’arrête peu avant l’orgasme, ne voulant pas griller cette cartouche par un jeu solitaire ; mais au contraire, la réserver à nos queues piaffantes et déjà raides de désir pour elle.
Elle se redresse, princière, et, snobant son époux interloqué, elle lui intime l’ordre de regarder, sans toucher. Son corps de panthère se positionne en levrette, présentant à ma virilité sa croupe fabuleuse. Je ne me fais pas prier et la pénètre comme un affamé. Cette femme, belle et sensuelle, sage et garce à la fois, m’excite au-delà des mots.
Une longue et intense chevauchée s’ensuit. Agrippé à ses admirables hanches de pouliche, je saillis littéralement ma complice. Nous formons un couple, candauliste et centaure à la fois, où ma queue fusionne dans sa chatte. C’est fou, c’est inouï, c’est beau !
Monsieur s’est approché, ébloui, excité, heureux. Sa queue raide frôle la peau sucrée de sa femme qui, pour ces instants hors du temps, ne donne son corps qu’à moi. Il nous encourage, en transe. J’accélère le mouvement pour procurer à ma femelle cet orgasme libérateur qui va se propager en elle telle une onde de tempête. Elle se raidit, convulse, et lâche un long feulement issu du plus profond de son corps de femme libérée et fière de l’être. Je sors d’elle et libère ma semence chaude en un puissant jet. Nous nous écroulons, vidés, repus, heureux.
Le silence retombe doucement sur la chambre saturée de nos phéromones sexuelles. Pendant quelques minutes, le temps s’arrête. Nous sommes trois adultes au-delà de la joie, réunis par la magie du libertinage. Nous avons rendu une femme heureuse, nous l’avons comblée, nous avons honoré sa féminité de princesse.
Les meilleures choses, hélas, ont une fin et il nous faut nous quitter ; à regret. Nous savons inconsciemment que nous recommencerons ; il faut juste attendre que le volcan sexuel qui bouillonne au creux de notre Belle sensuelle explose de nouveau… ce qui ne tardera pas.
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