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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#161041
Mes seins, projetés en avant par la ligature de mes coudes dans le dos, faisaient une cible facile pour la cravache de Marine et elle ne se priva pas de les brutaliser. Je me sentais monter vers des sommets d’ivresse masochiste et mon corps tout entier s’embrasait. Mes cris de douleurs se transformèrent vite en râles de plaisir. Mireille sortit d’un tiroir un bâillon boule qu’elle m’enfonça sans ménagement dans la bouche.

Je serai curieuse de voir qui, de ta chatte ou de ta bouche, bavera bientôt le plus.

Elle fit rouler le deuxième miroir et le plaça à côté de l’autre, face à celui encastré dans le mur. Mon trouble explosa quand je remarquai que je pouvais, de la sorte, me voir recto-verso.

Recule-toi encore un peu ! C’est ça, avec le cul contre ma batte de base-ball, comme la salope que tu es.

Elle prit un pot de vaseline, y trempa ses doigts et en enduisit copieusement mon anus avant de s’attaquer au magistral gourdin. Je me suis mise à couler comme une démente quand j’ai compris qu’elle s’était mise en tête de le faire pénétrer dans mon rectum. Vu la difficulté de l’intromission, elle bloqua la batte dans un tiroir qu’elle referma aux trois quarts en exigeant que je continue à essayer de m’empaler.

Je te donne deux minutes pour que ton petit trou engloutisse sa friandise ou je demande à un de tes amis de te déflorer avec le bâton.

Mireille n’avait rien à faire ni de mes larmes, ni de mes yeux implorants.

Il te reste trente secondes avant que Marine ne te présente son petit cousin qui est fan de ton corps et qui a plein de projets pour toi. Je crois que tu le connais déjà…

Quand Laurent sortit du dressing, Stéphanie tomba des nues.

L’olisbos géant finit par pénétrer mon fondement dans cri inhumain.

Nous avons beaucoup parlé de toi et de ce que lui et ses amis projetaient de te faire. Je lui ai fait visiter la maison, du grenier à la cave. Il est bien d’accord avec nous. Il y a tout ce qu’il faut ici pour satisfaire une gourmande comme toi. Comme ils ont également quinze jours de vacances, comme toi, je les ai invités à venir s’occuper de toi chaque jour. Je n’ai pas oublié que c’est ton anniversaire, aujourd’hui. J’ai pensé qu’il te serait agréable de commencer dès ce soir l’orgie à laquelle tu comptais te livrer mardi. Cela leur permettra de contenter les 40 ou 50 personnes qui ont émis le désir de venir t’admirer voire te torturer si affinités. A raison de quatre ou cinq par nuit, tu vas jouer les prolongations une dizaine de jours. Qu’en penses-tu, Laurent ?

On va la crever, cette salope, cela l’apprendra à trahir nos secrets.

A quel jeu jouaient-ils ? Tout ce qui m’arrivait semblait tellement irréel. Si le but était de me terroriser, c’était gagné.

Annette et Cindy entrèrent à leur tour, accompagnées de deux jeunes hommes qui paraissaient bien excités de me voir nue, à moitié entravée et empalée sur ma batte de base-ball. A ce moment, je n’avais pas encore remarqué le quinquagénaire qui s’était glissé dans mon dos.

Tout se passe comme prévu et même un peu mieux que prévu, Mireille. J’ai tellement flanqué la trouille à ces jeunots qu’ils sont prêts à tout pour échapper aux poursuites judiciaires. Les deux premiers sont déjà à pied d’œuvre mais c’est une armée qui se mettra au service d’Hervé dès qu’il le souhaitera.

Hervé ???

Docteur ! Mes amis aimeraient la toucher si vous n’y voyez pas d’inconvénients.

Pardon ? Bien sûr que vous pouvez déjà la toucher. Elle devra vous obéir au doigt et à l’œil comme à ses Maîtresses. Elle n’a pas le choix. Traitez-la comme bon vous semble ! Moi, je n’ai besoin pour l’instant que de l’observer.

Laurent avait 22 ans. Les deux autres un peu plus, je crois. Ils demandèrent s’ils pouvaient communiquer par le net avec leurs potes pour rassembler leurs idées et s’atteler à préparer un programme étoffé à la mesure de ma beauté et de mon impertinence.

La voix grave du Dr.H résonna dans mon dos. Il était écrit que chacune de ses interventions m’inonderai de frissons d’angoisse.

J’y compte bien. C’est même une condition préliminaire, assortie à l’assurance de notre discrétion par la suite. Laurent a promis de la crever. J’espère que tous, vous vous montrerez digne de lui. Vous avez carte blanche pour autant que vous ne la fassiez jamais jouir. Emilie a émis le désir de se débarrasser définitivement de cette tare.

Et si nous l’abimons un peu, par exemple en la fouettant si elle fait mine de jouir ?

C’est un risque à courir…pour elle, surtout. Si son cuir n’est pas assez résistant, je ne vois pas comment je pourrais vous le reprocher….A vous de décider si vous la trouvez plus appétissante avec ou sans marques.

Stéphanie, la petite coquine, dont tu m’avais parlé au congrès de Paris, est effectivement bien faite, suffisamment impudique et dans une disposition d'esprit intéressante, il ne faudra pas hésiter à lui imposer des choses fortes. Je t’avoue que je ne m’attendais pas à découvrir une fille aussi jeune et déjà si bien formée.

Et Stéphanie de répondre…

C’est pour cela que j’ai tout de suite pensé à toi. Je connais ton intérêt scientifique pour les syndromes rares surtout si la patiente est mignonne et vulnérable. Cette chienne est certainement le plus bel exemple d’hypersexualité que j’ai rencontré dans ma jeune carrière sans parler des pulsions masochistes effrayantes qui la dévorent.

Mets-toi à genoux, greluche et branle-toi sur le tabouret pendant que mes petits soldats te ramonent la tuyauterie avec la batte ! Obéis !

L’horreur !!! J’ai cru stupidement que Mireille viendrait à mon secours.

Je vous demanderai simplement de la faire brailler autant que possible au deuxième sous-sol…les voisins, vous comprenez…

La sonnette d’entrée venait à nouveau de résonner. Marine quitta promptement la salle de bains. Aussitôt, je me retrouvai entourée de mes trois satyres qui prirent possession de mon corps et commencèrent d’emblée à me malaxer les seins et à m’écarter les fesses pour m’enfoncer encore plus profondément la batte.

Je t’ai demandé d’écarter les cuisses…

Laurent ponctuait chacun de ses ordres d’un solide coup sur l’arrière de mes cuisses, qu’il administrait avec une sorte de schlague faite de cuir tressé. Comme je ne pouvais plus parler à cause de mon bâillon boule, les deux plus âgés imaginèrent de me faire répondre avec le langage du corps.

J’étais littéralement dévorée par la peur et j’aurais donné n’importe quoi pour que ce gourdin maléfique quitte mes entrailles.

Quand tu en auras marre d’être défoncée, tu n’auras qu’à tendre ta patte arrière !

Laurent tira un coup sec et la batte quitta brutalement mon rectum.

Je ne t’ai pas dit de replier ta jambe…Tends encore ta patte arrière ! Mieux que ça !

Un coup de schlague d’une puissance inouïe me cueillit derrière la cuisse, m’arrachant un litre de larmes. Je n’avais jamais ressenti une douleur aussi pénétrante de ma vie. Impossible de ne pas me recroqueviller sur moi-même. Je vis avec effroi le Dr.H distribuer des schlagues identiques à mes deux autres tortionnaires. Il s’approcha de mon visage et m’écrasa la mâchoire dans sa main de fer. Il m’ôta le bâillon en insistant sur le fait que je n’avais pas le droit de crier. J’opinai d’un hochement de tête.

Je vais te poser quelques questions basiques avant de t’expliquer ce que j’attends de toi. Réfléchis bien avant de répondre ! Es-tu prête à faire de gros sacrifices pour guérir de tes vices ?

Oui, bien sûr, Docteur ! Mmmm…

Un des trois ostrogoths venait de passer mon sein gauche à l’attendrisseur avec sa trique.

C’est très bien. Tu n’as pas crié. Il t’a fait mal, n’est-ce pas ? Je te demanderai de classer cette douleur sur une échelle de un à dix. Il est très important que tu ne triches pas pour la suite de ton traitement. Dix étant la douleur absolument insupportable, un étant une douleur brève à peine ressentie.

??? Je ne sais pas…cinq peut-être ?

Je vis s’approcher Laurent et un de ses potes qui prirent la position du livreur au tennis, l’œil rivé sur mes seins frémissants.
#161853
Je suis loin d'être un saint et j'ai une petite expérience de Maître, mais jamais je ne pourrais infliger de tel châtiments à une femme, fut-elle la mienne. Quand je lis ton dernier épisode je n'ai qu'une envie, te prendre dans mes bras et te câliner pour apaiser tes souffrance. Je dois être trop tendre........
#162236
Je ne veux pas t’entendre crier, ni te dérober. Tu as une poitrine splendide et tu ne dois pas craindre de l’offrir. Tu vas nous prouver que tu as quelque chose dans les tripes.

Combien, Docteur ?

Hervé montra ses cinq doigts aux deux bourreaux.

Cinq chacun ?

Oui et bien espacés pour que la douleur diffuse…

Mes seins, mes pauvres seins !!! Alternativement, toutes les trente secondes, un coup meurtrier me tuait la poitrine. Je pense que je n’aurai pas pu en supporter un de plus. Sur l’échelle de la douleur, le niveau huit ou neuf était atteint.

Stéphanie s’était retournée. Quand à Annette et Cindy, elles se tenaient enlacées dans un coin de la pièce pour ne rien voir du spectacle.

Huit ou neuf, pas plus ? Je te remercie de ta collaboration et de ta sincérité. Je suis passionné de chevaux comme toi et j’aime les pouliches résistantes et courageuses. Ah ! Vasques…Je te présente Emilie. Je l’ai choisi pour son expérience avec la gente féminine du Chili sous Pinochet. Tu avoueras Tonio que tu n’as pas souvent eu l’occasion d’avoir sous la main de si séduisantes partenaires à interviewer.

Le Tonio m’avait adopté instantanément. Je croyais qu’il avait flashé sur ma poitrine mais il s’avéra rapidement qu’une autre partie de mon anatomie lui sembla bien plus séduisante.

No ! Toujours plus moches et plus vieilles. Les très jeunes son meillor pour moi quando elles ont las mamelles bien accrochées et de gros pis.

N’hésite pas à lui tordre les pis, Tonio ! Elle te dira quand cela lui sera insupportable.

Mets-toi bien droite et regarde mes yeux !

Il prit « mes gros pis » en étau entre son pouce et son index et me souleva littéralement du sol. Pour rien au monde, je ne me serai abaissé devant ce rustre en le suppliant de me lâcher. Il me déposa au sol et sortit deux petites pinces anglaises de sa poche intérieure. En quelques secondes, je me suis retrouvée les « deux pis » broyés par les sinistres mâchoires métalliques. Confiant en sa prise, le Chilien fit faire un tour complet aux clés anglaises avant de les lâcher brutalement. Les larmes me perlaient mais mon regard refusait toujours de quitter le sien. La vision des mes tétons torsadés dans le miroir firent exploser ma libido. Je mouillais tellement que Tonio se vanta d’être parvenu à me faire faire pipi de douleur. Mais le Dr.H n’était pas dupe. Il passa sa main calleuse sur ma fente humide et goutta mes sucs surabondants.

Ecarte ! Ainsi, ce qu’elles m’ont rapporté était exact. La douleur te fait mouiller. Elle te fait peut-être jouir aussi parfois

Non, non ! Ce n’est pas cela du tout. Ce n’est pas facile à expliquer. C’est quand je suis très excitée que je mouille beaucoup plus fort…mais il faut que je jouisse très vite après car je deviens hypersensible de partout et cela devient vite insupportable.
Quand tu es très excitée, la douleur te fait jouir…

Mais non, c’est tout le contraire. Il ne faut me faire mal que pendant que je jouis, alors, je jouis beaucoup plus fort. C’est pendant que j’aime avoir mal, mais pas trop non plus ou cela me bloque et c’est horrible. Ca non, il ne faut jamais le faire.

Stéphanie tenta d’éclaircir la situation.

Car son subconscient a assimilé la souffrance avec une jouissance toute proche et plus intense. C’est la raison pour laquelle elle monte en flèche dans l’excitation si on la torture car elle sait que bientôt, vous allez la libérer de ses tensions dans des orgasmes violents et répétitifs.

Je vois. Seulement, tu te trompes de partenaires, ma pouliche, si tu crois que nous sommes ici pour t’aider à amplifier tes aptitudes à générer des orgasmes récurrents. Tu seras toujours très excitée à partir de maintenant mais je veux bien parier que rapidement, tu ne réagiras plus aussi fort sexuellement à la douleur quand tu constateras que nous t’empêcherons systématiquement de vider tes glandes.

Pitié, Monsieur ! Ce serait très vilain de me faire mal pour m’empêcher jouir.

Stéphanie avoua alors la finalité de la présence du Dr Hervé et de son acolyte chilien. Elle m’expliqua la stratégie qu’ils comptaient adopter pour me guérir définitivement de mon masochisme.

C’est comme pour le petit garçon que l’on surprend à fumer en cachette. Si on l’oblige à fumer tout le paquet, il en sera dégoûté pour la vie. Simplement parce qu’il ne retirera non seulement aucun plaisir de sa clope mais un mal de ventre tenace.

Je comprends, Stéphanie. J’ai déjà très mal au ventre.

Ils vont procéder avec toi comme on le fait dans certains établissements pour une cure désintoxication des drogues dures. Ta cigarette, ce sera la souffrance et ils te feront fumer 24H sur 24 jusqu’à ce que tu en sois dégoûtée car tu n’en retireras aucun plaisir. Jamais. Comme tu deviendras de plus en plus folle de désir et avide de souffrances, tu seras surveillée et attachée en permanence.

Hervé précisa…

Durant les dix jours qui suivent, tu resteras nue pour nous permettre de mieux t’observer et te dorloter. Enlevez-lui ses bottes !

Il me plaça face au miroir et s’empara de mes pinces mammaires. Il allait entamer un deuxième tour quand Stéphanie, paniquée, l’empêcha de poursuivre.

Hervé ! Je t’en prie, épargne-nous ça ! Tu vas lui arracher les seins.

Hervé me fixa dans les prunelles.

C’est à ma pouliche de répondre…

Mes seins sont suffisamment fermes pour que je puisse me permettre de ne pas mettre de soutien-gorge MOI. Je suis prête pour un deuxième tour si vous ne craignez pas que je mouille vos chaussures.

Tu entends cela, Tonio ? Jeune et belle comme un cœur, innocente et impertinente !

Elle va déguster, senior Doctor ! Elle est trop fière pour dire stop et crier…

Le Docteur jubilait du malaise qui me submergeait. Il ne s’arrêta que quand il vit mes yeux révulser…et quand je fis réellement pipi…

Tonio avait finit de me savonner le sexe et les jambes et venait de s’attaquer aux godasses du boss et au carrelage quand… Laurent, qui bandait comme un âne, crut intelligent d’ajouter que lui et ses amis me surnommaient miss clitoris en raison de la taille de mon petit bouton qui n’était finalement pas si gros que certains le prétendaient. Faut pas exagérer non plus !

Je peux, vous montrer, Docteur, si vous voulez. C’est le meilleur moyen de la faire gueuler. Nous avions d’ailleurs prévu de…

Ecarte tes belles cuisses et montre-moi ça, toi !

Pitié, Monsieur. Il ne faut plus le toucher quand il est aussi gros…Noooon !

Mesdemoiselles, l’heure de dire adieu à Emilie vient de sonner. Je pense que nous nous étions mis d’accord sur cette obligation. J’estime, pour exclure tout sentiment partagé ou non, que la présence de femmes à ses côtés serait indésirable et préjudiciable au traitement. Quant à toi, Emilie, tu seras sans doute d’accord que ton homosexualité patente imposera que ton traitement ne soit mené que par des hommes.

Hervé et Tonio venaient de découvrir mon Titi en pleine forme et en pleine expansion.

Qu'est-ce que tu as donc entre les jambes? On dirait une groseille….

Oune grosse point faible senior Doctor !

Pas toucher ! Pitié ! Pas toucher !

D’évidence, mon clito était déjà en grande souffrance et ils n’arrêtaient pas de le tripoter.

Tantine !!! Je t’en supplie. Dis-leur que vous jouez avec mon titi depuis hier soir. Ils doivent le laisser tranquille. Il est trop chatouilleux quand il est irrité ! C’est même plus gai…

Pour toute réponse, elle me balança un grand coup de schlague au bas des reins pour que je présente encore mieux mon pubis glabre aux attouchements.

Ca, c’est bien vrai qu’il faut l’irriter si on veut te faire craquer. Nous repasserons prendre de ses nouvelles dans une semaine. D’ici là, j’espère ton titi aura autant grandi en taille que toi en sagesse car ensuite, tu devras voler de tes propres ailes, ma petite Emilie. Messieurs, nous vous laissons à votre ingrate besogne. Vous trouverez tout le nécessaire et le superflu pour vos divertissements aux endroits que je vous ai indiqués. Ah ! J’oubliais. Pour son footing, évitez à votre prisonnière les abords du bosquet. Ce ne sont que ronces et orties.

Cindy s’adressa à Tonio en guise de cadeau d’adieu.

Si vous avez quelques heures à perdre, mon ami, j’ai une excellente idée pour vous occuper et replonger dans l’ambiance des geôles chiliennes. J’ai laissé le portable de Milli allumé. Jetez-y un œil ! Vous trouverez une dizaine de fichiers codés que je ne suis pas parvenue à ouvrir.

Puis, s’adressant à l’assemblée :

Dimanche prochain, j’offre deux mille euros par code à celui qui me les fournira. Il y a dix fichiers codés, non ? Jolie somme, n’est-ce pas Tonio ? A ta place, je ne me laisserai pas doubler par la jeune génération.

Hervé me questionna du regard. J’étais totalement désemparée quand il me présenta mon ordi ouvert à la dite page. Ces fichiers, je les avais reçu un mois auparavant de je ne sais plus quel garçon. Il les avait certainement codé avant de me les envoyer mais avait oublié de me donner le code…

En moins de deux minutes, la salle de bains fut désertée par mes amies. Je ne retrouvai seule, avec mes pinces pendant aux tétons. Pas tout à fait seule en fait, car le départ des filles avait eu pour effet de créer une grande effervescence parmi les cinq garçons dès que je leurs eus avoué que je ne pourrai jamais leur donner ce fameux code.

Tu ne peux pas ou tu ne veux pas ? ajouta Hervé.

Laurent qui se régalait du contenu de mon ordi précisa.

Vu ce qui se trouve dans ce dossier, je pense que Mademoiselle estime que c’est trop intime pour nous le divulguer. Regardez ! Le premier fichier de la série s’ouvre sur ce texte qu’elle a écrit le mois dernier.

Lis-le à haute voix !


Hélène,

Ton frère m’a donné rendez-vous la semaine prochaine après notre partie de tennis. Il m’a écris ceci ce matin. Il me dit que ces lignes sont de toi. Est-ce vrai ?

« Va surprendre la proie sans défense et torture-la pour que je l'aime encore plus fort ! Dis lui que c’est la condition pour qu’elle m’appartienne. »

T’appartenir ? Je ne sais pas. Je ne crois pas cela possible. Je suis quand même raisonnable. Mais ne plus m'appartenir, ça oui, je suis certaine d’en être capable. Redevenir ce que je n'ai jamais été et que je ne peux donc pas nommer. Ni ton enfant, ni ta compagne. Ton animal peut-être, ou alors ton esclave ou ton souffre-douleurs. Si je donne mon corps à ton frère, je ne veux pas qu’il soit seul. Qu’importe s’ils sont dix ! Pour ton amour, je veux bien devenir une martyre mais je ne serai jamais une salope même si ça peut y ressembler.

Miss belles cuisses.

Je ne me suis jamais sentie aussi embarrassée de ma vie.

Tu nous mets l’eau à la bouche, « miss belles cuisses ». Quand pourra-t-on avoir accès à la suite ?

Jamais car j’ai perdu le code…

TU MENS. Nous allons t’aider à retrouver la mémoire quitte à ce que tu perdes ton appellation contrôlée de miss belles cuisses. Tu vas beaucoup souffrir, ma jolie et tu as intérêt à être docile.

Hervé me fit boire d’un coup sec un grand verre d’une sorte de laxatif puissant qui me donna presque instantanément de violentes coliques. Il sortit de sa valise médicale quelques comprimés qu’il m’obligea à avaler sur le champ.

C’était quoi, Monsieur, les comprimés.

Pour toute réponse, le Dr.H me retira sans ménagement les pinces cochères d’un seul coup, m’arrachant un cri suraigu qui n’eut pas l’art de lui plaire.

Je t’avais demandé de ne pas crier. Immobilisez-la vous deux, en lui passant ce bâton de brosse dans le dos derrière ces coudes ! Chaque fois que tu crieras, ma petite, nous allons jouer à l’échelle de la douleur. Tonio, commence par lui raffermir les seins ! Les seuls mots que je t’autorise à prononcer, c’est le chiffre de l’échelle de la douleur que tu ressentiras. Tu répondras à mes questions uniquement en hochant la tête. A partir de maintenant, chaque parole ou cri intempestif qui sortira de ta bouche te vaudra dix coups de cravache sur chaque « belle cuisse ». Tu verras comment Tonio peut prendre le plus extrême plaisir à meurtrir les parties délicates d'un joli corps.

Le Chilien imprégnait les choses et les gens de sa puissante personnalité. Il me fixait avec ses petits yeux froids et venimeux enchâssés dans deux fentes étroites. Il me jaugea avec un regard de professionnel, un regard qui a le pouvoir à lui seul de vous transformer en une poupée de cire. Il jeta un regard appuyé sur mes seins dont il étira les tétons jusqu’à l’obscénité. S’attelant à ne viser de haut en bas que les pointes en érection de mes seins, il me frappa cinq fois de suite de chaque côté, respectant l’intervalle nécessaire pour que la douleur s’infiltre bien au fond de mes glandes. Je ressentis cette punition comme autant de coups de couteau reçus en pleine poitrine. Ma bouche s'ouvrit sur une exclamation muette pour ne se refermer qu’à la fin de la série

Combien ?

Neuf…non dix…

Le non est superflu et l’hésitation coupable. Les garçons, dix chacun sur chacune de ses « belles cuisses ». Toi, écarte tes jambes et ne bronche pas !
#162733
Je vis glisser, sur mes joues de longues larmes. Je fermai les yeux, espérant susciter leur pitié mais les garçons étaient trop excités pour rater une occasion pareille. Ma surprise fut grande quand je ressentis les premiers impacts sur mon croupion et mon ventre. Allaient-ils m’épargnez la plus belle chose que la nature m’a donnée ? Probablement que oui car j’avais comptabilisé déjà trente frictions douloureuses recto verso sur mon torse. Quand j’ouvris les yeux, ce fut pour voir s’abattre la cravache d’Hervé sur ma cuisse droite. C’était lui qui m’avait fustigé précédemment.

Comment tu les trouves ses guiboles, Laurent ?

Très sensuelles, Docteur…

Touche-lui les seins et dis-moi comment tu les trouves ?

Mon humiliation avait atteint un paroxysme.

D'une remarquable fermeté, Docteur…

Tu préviendras tes amis…qu’ils n’auront pas besoin de mon autorisation…pour lui cingler les cuisses et les seins à volonté…Je compte sur eux…pour la ravaler au rang d’un animal rétif…Ecartez tout sentiment…et ne pensez plus…qu’à la saturer de stimuli nociceptifs !

Hervé ponctuait chaque morceau de phrase par un sifflement de cravache.

Il faudra arriver assez rapidement…à un épuisement physique prononcé… Son inconfort doit être total et…permanent…Je commence à avoir mal au bras. Je vous la laisse. Si cela peut vous encourager à faire preuve de cruauté, je vous autoriserai à la sodomiser à tour de rôle pour chaque fichier codé que vous parviendrez à ouvrir. C’est ça, Marc. Préviens la cohorte !

C’est fait Docteur. Ils me demandent si je peux leur envoyer une photo de la prisonnière.

Attends ! Je vais la détacher pour qu’elle puisse présenter, dans ses paumes, ses seins en érection comme une offrande.

Tout ceci aurait du m’inspirer un profond dégoût de moi-même mais c’est tout le contraire qui s’est produit. J’en retirais de la fierté. Le spectacle que j’offrais me plongea dans une situation hormonale pré explosive. J’empaumai mes seins bravement pour les présenter à l’objectif et je serrai mes cuisses à m’en déboiter les hanches en me tenant sur la pointe des pieds pour que mes jambes leurs paraissent encore plus appétissantes. Christian prit quelques photos de ma nudité et les envoya immédiatement sur le net. La réaction ne se fit pas attendre. Devant la pléthore de volontaires, Hervé décida de ne sélectionner que les dix plus matures et ceux les commentaires pervers lui parurent les mieux adaptés pour finaliser ses projets. Les plus perspicaces avaient remarqué que, sur plusieurs photos, on voyait distinctement mon clitoris saillir de mon sexe fendu très haut sur mon pubis. Cela ne m’était jamais arrivé auparavant. Je sentais bien qu’il se passait quelque chose d’anormal de ce côté-là mais de là à imaginer que le Dr.H m’avait fait prendre du cialis pour faire grandir Titi !!!

Ecarte tes lèvres et montre leur ton clitoris comme tu l’as si bien fait pour tes nibards ! Je suis certain que ta petite chatte pré pubère va beaucoup leur plaire aussi.

Je compris très vite que ce détail, insignifiant en apparence, pouvait me plonger, à très court terme, dans des abîmes de souffrances. Dans mon esprit, c’était : « Ca, jamais ! » J’avais déjà eu suffisamment honte quand Annette avait fait remarqué à ses copines que je m’étais déchiré le frein du clito en me frottant sur la rampe. Alors devant des hommes en rut, ce n’était même pas concevable. Titi, je te maudis de ne pas être capable de retenue.

Tu ne me sembles pas avoir encore assimilé toutes les règles du jeu. Je commande et tu obéis ou tes journées vont se résumer à une sorte de lutte constante pour ta survie. Fouettez-la jusqu’à ce qu’elle écarte les cuisses !

Les cravaches fendirent l'air simultanément avec une violence disproportionnée au péché véniel que je venais de commettre. Mon corps se cabra tout entier et mes larmes coulèrent en abondance. Toutes les parties charnues de mon corps commençaient à porter les stigmates sensibles de la férocité des scélérats. Durant toute la durée de la punition, Tonio, un filet de bave au coin des lèvres, reluquait mes gambettes dénudées se strier de marques rouges. Je commençais à me sentir prisonnière de ce besoin irrépressible d'être maltraitée et humiliée, pour être désirée et…en jouir sordidement.

Arrêtez ! S’il vous plait ! Je vous montre mon titi si vous me laissez enfin m’exprimer librement.

La pouliche commence à être débourrée dirait-on. Chercherait-elle à s’accorder une trêve ? Cela peut se négocier, belle chatte, mais préalablement, tu avaleras ces dix comprimés. Ensuite, je t’écouterai peut-être…Voilà qui est bien ! J’aime mieux te voir obéissante. J’espère que la raison que tu invoqueras sera d’importance, sinon…Je t’écoute.

Monsieur, il faut que j’aille tout de suite à la toilette.

Vous trois, allez repérer prairie, bois et sous-bois pendant que j’emmène notre animal à la toilette ! J’ai très envie de voir gambader la pouliche dans la neige et les orties avant la nuit.

Tonio fut chargé de tenir la porte des W.C, des fois que quelqu’un chercherait à me violer…Je ne savais pas qu’un laxatif pouvait faire un tel effet. Je me suis vidée durant cinq minutes au moins, jusqu’à ne plus émettre que de l’eau. C’est en me lavant au lavabo que j’ai ressenti simultanément le plus grand choc et aussi la plus grande excitation de ma vie. Toutes mes muqueuses étaient congestionnées…et titi aussi. J’ai appelé Tonio à l’aide, croyant faire une allergie à un des médicaments que je venais d’avaler. A travers la porte, il m’expliqua en « franspaniol » que c’était normal. J’avais pris une double dose d’un cocktail de cialis-viagra-levitra plus quelques excitants et autres saloperies destinées à me survolter et stimuler ma libido à l’extrême. J’en profiterai quelques jours selon lui. Comme je trainais un peu trop, Hervé vint aux nouvelles.

Que se passe-t-il ici ! Tu te masturbes dans les toilettes.

Non, mais c’est une bonne idée. J’en ai marre de recevoir des punitions sans récompenses.

Les récompenses, c’était prévu mais pour cela, il faudrait que tu y mettes un peu de bonne volonté. Tu dois comprendre que ton traitement impose que la récompense ne soit jamais d’ordre sexuel. Tiens, si tu exécute bien ton footing dans la prairie, tu pourras te reposer et te réchauffer une heure sur le banc solaire. Il parait que tu adores cela.

Puis-je vous parler franchement ?

Et comment ! J’exige que tu ne me caches rien. C’est essentiel à ta guérison.

Je suis excitée comme une puce et pourtant je croyais savoir ce que c’était l’hypersensibilité. L’état dans lequel vous m’avez mise avec vos pilules n’a rien à voir. Je suis rouge comme une tomate et mon sexe enfle dès que je le touche. Je n’oserai jamais sortir d’ici si vous ne me promettez pas de ne plus l’irriter. On dirait qu’une pieuvre géante me noue les viscères et qu’un cœur bat dans ma vulve et mon clitoris. Je vais vous dire où je mets mes petites culottes les moins serrantes et il faudra me jurer que je pourrai choisir les plus douces à porter même si elles ne sont pas très sexy.

C’était prévu. Ta tantine en a déjà préparé tout un stock. Je vais même t’obliger à porter un pull bien chaud et tes bottes d’équitation pour que tu ne prennes pas froid.

Et une petite culotte sous mon gros pantalon de velours ?

Pour la petite culotte, ce sera après ton footing hivernal. Tu verras que la neige glacée aura un effet très apaisant sur ton entrejambe. Pour le pantalon, nous sommes tous d’accord que ce serait un scandale de cacher d’aussi jolies jambes.

C’est vrai ? Vous le pensez vraiment.

Oui ! Et je ne suis pas le seul. Les photos que Marc a envoyé tout à l’heure ont fait un tabac. Ecoute par exemple ce qu’un de tes admirateurs a écrit en réponse !

La vision de la plus belle fille d’Europe occidentale, offrant innocemment la vision d'un joli sein aussi bronzé que le reste de son corps, m’a littéralement fasciné. Je me plais d’imaginer ses jambes sublimes écartelées, dévoilant l'arche parfait de ses cuisses découvertes où, dans l'ombre orangée, luirait un sexe affriolant décoré du plus joli corail. Puissiez-vous convaincre votre ardente complice d’ouvrir toutes larges ses ravissantes jambes hâlées et libérer l’admirable rubis sensible qu’elle emprisonne maladroitement. Puisse-t-elle comprendre que son petit organe de plaisir en recevant toute notre affection fouetterait sa sensualité et magnifierait sa beauté. Soyez aimable et prêtez-vous au jeu de bonne grâce, belle nymphette ! Un simple geste libérerait votre perle d’amour du carcan de vos cuisses dorées que j’imagine luisantes d’huiles parfumées…Tu m’entends ? C’est quoi ce bruit ?

Rien, rien ! Je termine de vider l’autobronzant de Tantine pour masquer les plus vilaines marques et renforcer l’éclat de ma peau. Continuez ! C’est un homme ou une femme qui a écrit cela ?

Un hombre…

Pardon !
Tais-toi, Tonio. Une jeune femme très belle qui a flashé sur ton clitoris, ma petite pouliche.
Elle est comme nous tous, tu sais. Elle ne comprend pas pourquoi tu fais tant d’histoire pour le cacher. D’ailleurs, je ne l’ai pas invité.

Ah bon ! Que dit-elle encore de moi ?

J’ai hâte de me joindre à vous pour emmener votre top-modèle au nirvana masochi…Hum…

Au nirvana quoi ?

Heu ! Au nirvana…heu ! au nirvana magique…c’est ça…au nirvana magique…, là où la douleur se muera en plaisir pour l’éternité. C’est quoi ce bruit encore ?

Le sèche-cheveux. Je fais sécher mon auto-bronzant…Je n’ai pas entendu la fin…là où quoi ?

Ce que j’avais déjà entendu aurait déjà suffit pour me retourner le cerveau mais les dernières paroles d’Hervé m’achevèrent.

Tu veux la suite ?...Rien de très spécial, finalement. Je résume. Il…enfin elle estime que tu es encore trop jeune et trop pleine de tabous pour accepter les sacrifices nécessaires pour atteindre ce fameux nirvana où la jouissance ne connait plus de limites.

Comment elle sait ça ? Elle ne me connait même pas. Il faut l’inviter à tout prix. Tant pis si je dois faire de gros sacrifices pour cela.

Ne te fais pas d’illusions, pauvre petite pouliche ! Ses exigences sont si terribles qu’elles me paraissent inacceptables malgré qu’elles soient finalement assez utiles pour la continuité de ton traitement.

Si c’est bon pour me soigner, je suis partante. Qu’exige-t-elle de si terrible ?

Attend ! Hum…je lis…Oh non ! Ce n’est pas pour toi, cela…Elle veut que ton clitoris soit continuellement stimulé pour que jamais tu ne débandes…

Quelle horreur! Vous voulez dire que mon petit bouton ne connaîtra plus le repos, qu’il sera opérationnel à longueur de semaine !!!

Et oui et il...elle ne te laissera pas jouir, même une toute petite fois.

Elle est méga sadique cette fille…

Trop chouette d’avoir une fille à mes côtés dans ce monde de mecs délirant ! Un feu dévorant coula dans mes veines, il me fallait des horreurs…tout de suite.

Si vous m’aider avec vos pilules, je suis certaine que je pourrai l’impressionner. Essayez de la rattraper et je vous obéirai en tout.

En tout ? Et tu m’obéiras sans conditions, tu promets ?
Promis juré ! Je suis votre prisonnière après tout. Dites-lui que vous utiliserez la contrainte si je ne suis pas docile ! Je suis certaine que cela l’excitera.

Et toi…

Moi, je ne demande que cela, Docteur…car j’ai l’intuition que cela deviendra très vite indispensable pour la poursuite de mon traitement.

D’accord, je suis également de cet avis car ses exigences vont s’ajouter aux miennes. Je veux être bien certain que tu t’apprêtes à assumer un rôle de martyre dès que tu sortiras de ces foutues toilettes. As-tu un stylo à ta portée ?

Oui, pourquoi ?

Tu vas me signer une décharge. Je la glisse sous la porte.

Majeure, saine de corps et d’esprit, j’ai souhaité participer à une séance sadomasochiste extrême dont la durée excédera la semaine.
Ma quête est clairement d’être confrontée à la souffrance ultime.
L’accident n’est pas le but recherché mais les nombreux supplices que j’ai expressément réclamés sont susceptibles de mettre mon intégrité physique en jeu. Mes partenaires sont au courant de mes aspirations et ont accepté, à leur corps défendant, d’utiliser la voix de la contrainte physique que j’exigeais par préalable.
En vertu de quoi, je consens, en toute connaissance de cause, à ce que l’on se livre sur mon corps à tout acte médical, chirurgical ou contendant qui pourrait me laisser des séquelles indélébiles.
Mes partenaires ne pourront en aucun cas être tenus pour responsables d’un accident qui devra être considéré comme fortuit et uniquement dépendant de mes exigences.
Cet acte de légation à autrui sera valable à daté de ce jour jusqu’au 31/12/2011 à minuit.

Fait à Tournai le 15/12/2010
Emilie H.

Ivre de désir et le corps en fièvre, ma chatte ruissela instantanément et mon titi devint dur comme un caillou à la lecture de ce document. Je n’avais même pas remarqué la validité de cet acte qui se terminait fin 2011.

Docteur ! Est-ce que je peux ajouter quelque chose encore…pour la décider à venir…

Pour que je la décide à venir, il faudra accepter TOUTES ses instructions et il y en a encore quelques unes. Par exemple, elle ne veut pas que tu voies son visage et exige que tu aies les yeux bandés ou mieux, que tu portes une cagoule.

C’est oui, d’avance…C’est tout ?

Oui, c’est tout. Elle parle de stimulation sexuelle soutenue pour te faire mouiller et t'emmener aux portes du septième ciel mais toujours en insistant sur le fait que tu ne seras jamais autorisée à franchir la porte. Si tu le désires, je peux lui envoyer ce document par mail…

Attendez ! Je vais le recopier à la main et y ajouter une petite ligne pour la convaincre de ma détermination. C’est bien, ça, non ?

Oui et non. Ca ne veut rien dire une punition cuisante à part que ça devra te faire très mal et elle n’a peut être pas envie de te faire mal. A ta place, je mettrais, par exemple dix coups de fouets par participant.

Oui, c’est bien ça. Et ils vont me fouetter sur quelle partie du corps ?

Tu indiques sur n’importe quelle partie du corps… Dépêche-toi !

Oui. Je fais vite. Toute ébauche ou manifestation de jouissance de ma part devra être sanctionnée par une punition cuisante. Je souhaite recevoir cinquante coups de fouets, les yeux bandés. Le choix du ou des bourreaux et la partie de mon corps qui recevra le fouet sera laissé à l’appréciation des participants. C’est signé. Envoyez-lui ça tout de suite ! Je suis déjà toute brûlante.

Pour te faire plaisir, je vais joindre la plus sensuelle de tes photos et celle où j’ai zoomé sur ton clitoris. Je lui dis aussi que tu es lesbienne, bien entendu. Tu veux que je lui dise aussi que je me porte garant de conserver ton érection clitoridienne durant toute la semaine qui suit.

Oh oui ! Faites-le ! Même si je sais très bien que ce ne sera pas possible.

Parfait ! C’est parti…ouille ! Fausse manœuvre…je viens de l’envoyer à tout mon carnet d’adresse. Heureusement qu’il ne s’agit pas de mon carnet professionnel. Je vérifie. Ouf ! Il n’a que les gens concernés qui le recevront.

C'est-à-dire…

Les amis de Laurent, Annette, Cindy, Stéphanie, Marine, ta tantine et…la personne a qui tu veux offrir ton titi. J’oubliais ton titi, elle ne veut pas seulement le caresser…elle veut aussi un peu le mortifier…avec les huiles magiques de ta tante par exemple. J’ai oui dire que cela te mettait en transe.

Comment elle peut savoir cela ??? Les potions de tantine, ce n’est juste pas possible à supporter sur mon sexe quand il n’est pas irrité et même quand Titi est tout petit. Elle peut se vanter d’avoir trouvé le moyen infaillible de me rendre folle. Quand il est tout dur, comme maintenant, je ne peux même pas imaginé comment je réagirai. Cela fait presque 24h que vous abusez de mon sexe et titi, il n’en peut plus d’être chagriné. Vous l’avez tout usé. Dites à la dame qu’il n’a en a plus de l’huile. C’est vrai…

Dans le premier flacon, il n’y en a plus mais il en reste 19, de plus en plus concentrés, qui feront l’affaire.

Dites-lui alors d’attendre quelques jours avant de venir ! Elle comprendra que tant que mon titi sera en érection, ce sera tout à fait invivable pour moi.

Ah voilà ! Elle est d’accord pour venir mais dans trois jours seulement. Elle a bien compris ton problème et voudrait savoir si, quand tu te masturbes, tu as déjà, disons, été un peu trop loin avec ton titi.

Sur la rampe d’escalier, je suis toujours allé trop loin. C’était stupide mais je ne pouvais pas m’empêcher de le polir jusqu’à ce que l’excitation retombe. Après, je ne pouvais plus le toucher avant deux ou trois jours et j’étais bien punie.

Le polir ???

Oui, en le frottant trop longtemps sur la rampe ou alors, avec le sable blanc du bac à poisson ou avec une brosse de fils de cuivre que le mécanicien a oublié une fois dans le garage, pour bien le griffer et lui faire mal au vilain titi ou…Pourquoi elle veut savoir cela ?

Elle veut tout savoir sur toi…Tu as dit ou…Tu connais encore d’autres façons de le polir ?

Oui, tout plein mais je n’ai pas encore essayé car je pense qu’il me faudrait un mois pour m’en remettre, comme quand j’ai mis de l’eau salée après l’avoir poncé avec du sable. Pourtant, je ne l’avais presque pas frotté avec le sable et il était tout petit. Il a continué à brûler pendant une demi-journée. J’avais tout le temps envie de jouir et je ne savais plus.

Tu n’as jamais essayé avec des orties ?

Mon sixième sens m’avertit tardivement que je venais de tomber dans le traquenard parfait.

Quand je sortis des toilettes, j’ai failli marcher sue le micro qui était pointé contre la porte des W.C. L’ordinateur du Dr.H était relié à une webcam qui montrait, en grand angle, toute la pièce que je venais de quitter. Je n’ai rien eu besoin de lui demander. Il a repassé les images et le son qu’il venait d’enregistrer. Toute la première partie montrait mon buste qui exhibait ses pointes orgueilleusement saillantes. C’était plus qu’indécent et mes seins mériteraient d'être châtier d'autant d'immodestie. Les minutes suivantes, la caméra resta braquée sur mes jambes que je massais avec la crème auto bronzante puis elle suivit l’application de la crème dont je m’enduisis consciencieusement tout le corps comme si mes mains cherchaient une improbable imperfection. Les cinq dernières minutes furent un calvaire à supporter. Après m’avoir séché la peau au sèche-cheveux en m’admirant dans le miroir mural, l’idée saugrenue me prit de tenter un grand écart sur le meuble du lavabo qui faisait face au miroir…et à la caméra. Mes lèvres intimes gonflées à outrance me faisaient une bouche gourmande. Je me suis emparée d’une brosse à dents qui traînait. L’objectif se braqua sur mon pubis et sur titi qui gigotait sous le brossage intempestif qu’il subissait. On voyait distinctement ma mouille couler le long de la vasque. Quand je me suis emparée du sèche-cheveux, le Dr.H mit le son à fond pour que ma conversation avec Titi devienne audible. J’ôtai l’embout du sèche-cheveux et même la première partie en plastic qui cachait les résistances. Je mis la puissance maxi et approchai les filaments tout rouges de son clitoris affolé qui se mit à pulser comme un cœur. Mon fluide vaginal ruisselait maintenant dans la vasque dont le bouchon évacuateur était toujours obturé. Les paroles que j’ai prononcées me firent rougir jusqu’à la racine des cheveux. Tu es de plus en plus mouillée ma petite chienne. Tant que tu n’auras pas rempli la vasque, ton titi va souffrir. Oh oui ! c’est trop bon ! Je vais jouiiiiir...Ne t'affole pas, tu vas d’abord endurer mille supplices. Je vais simplement chauffer ton bouton à blanc pour qu’ils puissent le torturer mille fois plus fort. Réponds-moi ! Cela t’excite d’être contrainte de te montrer nue en public en public avec un clitoris en feu ? Oh oui ! Monsieur…je bande trop…arrêtez !!!!! Aaarrrrhhhhh ! Je ne saurais plus jamais jouir si vous continuez à martyriser mon gros titi. J’étais parcourue de frissons comme sa vulve qui se mouvait comme une huître qu’on venait d’ouvrir et n’en finissait pas de dégorger. Tu entends ce qu’ils vont te faire vilain titi…le sable, la brosse de fer et puis l’eau salée… Aaarrrrhhhhh…Non, tu es trop vilain, vilain. Je vais te frotter au gros sel avant de t’huiler avec l’huile pimentée et puis je te mettrai au four. Ecoute ! Il faut sortir tout de suite, ils veulent d’abord te brûler avec des orties. La vidéo se terminait par ma dernière question, toujours restée sans réponse… Docteur, combien de temps faudra-t-il pour que mon sexe se décongestionne ?

Quelle souperbe sirène, n’est-ce, Doctor !

En effet, Tonio ! Mais c'est la seule sirène que je connaisse qui soit capable d'ouvrir si bien les jambes. Je vais répondre à ta question…Fais-moi confiance ! Même liée au poteau de torture, tu continueras à bander à outrance et tu dresseras ta myrtille à l’horizontale, même en gardant les jambes jointes.
Hervé guettait mes réactions. Je lisais dans ses yeux qu’il savait pour la caméra.

Tu commences à comprendre les règles du jeu, je suppose. Donne tes poignets à Tonio !
Dans ta position où tu t’es mise, tu as intérêt à te montrer docile comme un agneau.
A partir de maintenant, tu ne seras plus libre de t'exprimer qu'avec ton sexe.

Une chose encore. Pour la caméra, ils savent tous et tous savent que tu savais dès ton entrée dans les toilettes même si tu ne l’avoueras jamais.

Ils me laissèrent un curieux répit, d'autant plus traître qu'il préludait au pire. Je me sentais toute molle et n’avais même plus la force de lever les yeux.

Regarde-moi ! Florence vient d’apporter le document qui atteste de ton émancipation. Tu es majeure maintenant. Tu es même majeure depuis quinze jours car le juge a ante daté son acte pour que ta tante ne risque plus d’ennuis. Je ne te cacherai pas que tu m’as beaucoup déçu et que j’ai envie de tout plaquer. Je vais te laisser une dernière chance et encore si tu me supplie de poursuivre le traitement et ce sera à mes conditions.

Je pris une décision du genre catastrophe.

Docteur, mon seul désir était d'oublier ce menu incident. J'irai jusqu'au bout même si j'en crève.

Tu vas d’abord faire convenablement ton footing hivernal et ensuite nous aviserons.
#162771
Je viens d'envoyer la suite de mon histoire qui clôture le jeu de rôle dans lequel mes amies souhaitaient que je m'investisse. Comme je l'ai dit précédemment, je pars très bientôt pour Puerto Banus (Marbella) pour y finir l'année avec les filles qui m'ont incitée à livrer mes fantasmes et une partie de mes expériences antérieures. J'ai réellement vingt quatre ans et suis romaniste de formation et titulaire d'un régendat en droit dont j'ai suivi la formation parallèlement à mon master en philo romane. Ceci explique que j'écris assez facilement. J'eécrirai très probablement la suite un jour mais je ne vois pas l'utilité de la publier sur ce groupe. La seule chose qui pourrait me faire changer d'avis serait un TRES improbable plébiscite ou un ordre impératif et tout aussi improbable de mes Maîtresses désirant que je relate nos aventures Andalouses. Merci de m'avoir suivie plus d'un mois ! On se téléphone ?
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#163022
Ma chère Milli, tes récits ont été un pur bonheur. J'ai appris énormément malgré mon grand âge. Je sais que tu m'as complimenté aussi pour mes écrits et je t'ai rendu la pareille, mais honnêtement je ne t'arrive pas à la cheville. Tu as su rendre ton récit envoûtant, excitant. Tu m'as rendu accroc à ton histoire et comme je te l'ai déjà dit, je suis ton "fan" à vie. J'ignore donc si tu publieras ici une nouvelle histoire, pour ma part je ne demande que ça mais si tu la publies ailleurs j'aimerai le savoir. Je te souhaite un bon séjour en Andalousie, de belles aventures et plus généralement une belle vie. Ton obligé.
#163392
Avant de me connaître, ma compagne a été invité dans une villa près de Puerto Banus, à Nueva Andalucia, exactement. Elle appelle cette période de sa vie, sa période destroy. Durant une ou deux semaines, elles se réunissaient pour s'éclater en abusant d'une jeune salope consentante. D'après ce qu'elle a bien voulu m'en raconter, j'ai trouvé pas mal de similitudes avec ton histoire. La cochonne qui se croit belle, obsédée par ses jambes et multijouisseuse pathologique. Ne connaîtrais-tu pas cette fille ou Nueva Andalucia ? Regarde bien les deux photos que je joins!
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#163437
Au risque de faire flamber ta jalousie, je te répondrai que ta Maîtresse ne te fera jamais autant jouir que moi, voici deux ans à Nueva Andalucia. Si tu as encore d'autres photos, je suis preneuse mais en privé uniquement !
#165161
En direct de Puerto Banus. Temps maussade. Activités d'intérieurs éprouvantes mais obligatoires comme la suite de mon histoire...écrite sous la contrainte...

Tonio m’avait menotté les poignets par devant. Mes mains libres, en guise d illusoire rempart, pressaient fortement mon sexe surmené Prise par une conscience aigüe de ma détresse, je me mis à gémir en tremblant de partout.

Ton exhibition dans les toilettes a battu des records d’audience. Cela me pose d’ailleurs un sérieux problème. Jette un œil par la fenêtre !

Laurent était parvenu à rassembler une vingtaine de membres de son club. Ils discutaillaient entre eux en riant très fort, comme s’ils participaient au drink traditionnel qui suivait les tournois de tennis interclubs. Mes trois bourreaux se vantaient auprès des autres de m’avoir flanquée une dérouillée avec les schlagues qu’ils tapaient dans leurs mains. Un homme marié, qui me draguait assidûment jusqu’à ce que j’en parle à son épouse, sortit de la maison, les bras chargés des longs tuteurs en roseaux que tantine avait rangés pour l’hiver. Il les distribua à ses complices qui en accaparèrent chacun deux ou trois en les faisant siffler dans l’air glacial comme une menace.

J’ai peur, Docteur…

Moi aussi ! Voilà comment on va faire ! Tu vas simplement descendre et aller leur parler pour leur dire que tu veux arrêter ces forfanteries. Que tu es lesbienne et que tu n’éprouveras jamais de plaisir avec des garçons. Que ce serait idiot d’ailleurs de te faire écraser des orties congelées car tu ne ressentirais rien…Je ne sais pas, moi. Improvise ! Si ça tourne mal, Tonio ne sera pas loin. Enlève-lui ses menottes, Tonio !

Laurent sera hyper vexé d’avoir la honte devant ses amis. Il peut être très violent, vous savez.

Je prends le risque. Au moins, cela t’ouvrira les yeux sur la bêtise que tu t’apprêtais à commettre dans deux jours.

Mets quelque chose de chaud et va leur expliquer ! Il faut arrêter cela tout de suite ou cela va dégénérer.

Quand je suis arrivée en bas de l’escalier, vêtue de ma plus belle robe d’hiver en cachemire, j’ai senti vingt paires d’yeux qui se braquaient sur mes jambes dénudées. Les pères fouettards s’étaient positionnés en ligne à l’orée du bois, séparés les uns des autres de quelques mètres seulement, juste à la limite de la neige et du champ d’orties et m’attendaient en se moquant. Laurent était le dernier de la lignée et n’avait pas encore donné ses ordres qu’un bâton faisait déjà un accroc dans ma belle robe. Je la soulevai dare-dare pour la protéger, sans me rendre compte que ce geste exacerberait leur perversité.

Enlève ta robe si tu as peur de l’abimer ! On veut voir tes loches.

Les coups commençaient à pleuvoir dru. Il n'y avait plus d'autre issue que la fuite…la fuite en avant et en courant. Trois fois, je me suis ramassée dans les orties mais ils continuaient à me taper avec leurs bâtons. Quand je suis arrivé en face de Laurent, j’étais aussi déchirée que ma robe, en transes comme jamais. La douleur s’était muée en une amie obscure et tendre dont je compris que je ne pourrai jamais plus me passer. Quand je lui ai annoncé que la fête était finie, un silence insupportable s’abattit sur la prairie de tantine.
Laurent était vert de rage d’avoir loupé sa tournante sadique. Mon refus de me laisser malmener lui faisait perdre toute sa crédibilité et son titre de caïd.

Ce n’est pas de ma faute ni de la tienne. Ils me veulent pour eux seuls, je crois…

Il m’arracha illico la belle robe en cachemire ou ce qui en restait. Les poignets maintenus dans le dos par sa poigne de fer, il m’obligea à faire nue le chemin en sens inverse, comme un général ferait la revue de ses troupes. Contrainte de faucher le champ d’orties avec mes cuisses, c'était ignoble, mais j'avais du plaisir... Enfin, pas vraiment du plaisir, mais pire que ça... Bien plus fort... Je voulais continuer et toujours recommencer... Plus loin, plus fort encore si cela était possible...J’étais tellement allumée au bout du chemin que je lui aurais dit merci s’il m’avait proposé un troisième tour de piste. Je pense sincèrement que j’ai été programmée une fois pour toutes pour des moments très intenses comme celui-là mais pas pour ce qui allait suivre. La plupart des garçons, dépités, avaient abandonné leurs bambous, même les deux amis que Laurent avaient amenés avec lui.
Laurent me fit chuter lourdement avant de me traîner par les cheveux au milieu de la neige et de me frapper en pleine figure avec sa schlague. C’était sa façon de ne pas perdre complètement la face devant son auditoire.
Tonio sortit de la maison comme un diable de sa boite, le fusil de chasse de tantine sous le bras. Il tira un coup en l’air et les mit en fuite. J’avais échappé de justesse à la curée et j’étais encore à moitié groggy quand il me releva.
Tou as de la chance. Tou n’as rien. Quand tou vas comprendre que tou n’as rien à faire avec ces gamins ?

J’ai compris, j’ai compris, Monsieur. Ne me faites pas mal !
Hervé, flegmatique, nous attendait en haut de l’escalier.

Il ne te fera pas mal. Tonio, c’est une crème d’homme. Nous avons voulu te faire peur et finalement c’est toi qui auras réussi à nous terrifier.

Tonio !! Ce n’est pas un chilien ??? Je pensais qu’il avait torturé des opposantes au régime dans son pays…

Oui, il y a une dizaine d’années. Depuis, il a obtenu l’asile politique en Belgique avec deux autres policiers au motif qu’ils avaient déserté, dégoûtés par ce qu’on leur demandait de faire. Il est devenu mon jardiner et mon homme à tout faire. Mets cette couverture sur tes épaules ! Tu grelottes.

Mireille et Marine savent pour Tonio ?

Oui, Stéphanie aussi mais je n’ai pas encore eu l’occasion de le dire à Annette et Cindy.

Donc, Cindy n’a jamais eu l’intention de donner 20.000 euros pour que je donne le code des fichiers cachés.

Pas vingt mille mais cinq mille. C’est Stéphanie qui a donné cet argent pour nous rétribuer. Je l’ai refusé fermement mais elle a insisté pour qu’il serve à te soigner, que ce soit maintenant ou plus tard. Tiens, je te le donne. Tu en feras ce que tu voudras. Cindy, qui ne connaissait pas le montant exact, a trouvé croustillant de le mettre en jeu. Elle ne pouvait douter de ta sincérité en avouant ne pas connaître les codes pour la simple et bonne raison que c’est elle qui a envoyé ces fichiers codés..

Vous voulez dire que Cindy aurait accepté que je me fasse torturer par un tortionnaire chilien sachant pertinemment que je ne dirai jamais rien car je ne savais rien. Elle est tarée, cette fille !!!

Cindy est un peu spéciale. Elle forme un couple magnifique avec Annette mais elles se déchirent tout le temps. Cindy est trop volage. C’est son grand défaut. Elle ne sait pas résister aux adolescentes. D’ailleurs, elles se sont quittées en froid, une fois de plus, de ta faute si je peux dire. Annette est rentrée seule à Bruxelles avec Stéphanie et a laissé sa voiture à Cindy. Sans t’en rendre compte, tu viens de briser deux couples. La compagne de Stéphanie ne voulait pas qu’elle participe à ton traitement. Elle est partie dès qu’elle a su. Si tu ne veux pas passer pour une briseuse de couple, tu devras aussi prendre garde à ça aussi. La séduction a tout va est souvent source de problèmes et de déchirements.

Je vais appeler Cindy pour m’excuser tout de suite. Je ne voulais pas…

Tu ne le feras pas. Méfie-toi de Cindy ! Elle a de drôles de fréquentations et parfois des réactions bizarres, surtout quand elle est en crise comme maintenant probablement. C’est une schizophrène qui peut changer de personnalités au moindre choc émotionnel. Je ne comprends toujours pas pourquoi Annette l’a invitée ici. Elle évite toujours d’habitude de la mettre en contact avec des jeunes filles.

Je comprends pourquoi elle s’est jetée sur moi dès que la porte s’est ouverte ce matin. C’est quoi schizo ?

Tu chercheras sur le net mais tu as déjà compris qu’elle n’avait pas eu une réaction normale ce matin. Tu en profiteras pour démonter la cam des toilettes et du couloir. C’est ton portable et ta webcam que j’ai utilisé tout à l’heure mais je me doute que u me diras que tu ne l’as même pas remarqué.

Où Annette est-elle allée chercher une pareille détraquée ?

Là où on les trouve ; c'est-à-dire, là où elle travaille. En institution psychiatrique fermée. Annette, c’est une mère poule parfois inconsciente, un peu comme Stéphanie. Elle ne peut pas s’empêcher de suivre ses schizos, même après ses heures de travail, jusqu’à les ramener chez elle. Je lui ai dit cent fois qu’il fallait éviter de remettre Cindy dans l’ambiance des quartiers de sécurité de l’asile psychiatrique, surtout en invitant des multi récidivistes à sa table.

Vous avez tous et toutes pris beaucoup de risques pour me guérir. Je vous en remercie vivement Docteur. Je ne méritais pas que vous vous donniez tant de mal.

Emilie, nous allons, par la force des choses, devoir te quitter et te laisser seule deux jours et trois nuits. Mireille et Marine ne rentreront pas avant mercredi dans la matinée. Elles étaient si heureuses de se retrouver qu’elles sont parties se refaire une santé en amoureuses à Spa. Faire un peu le point aussi sur ton cas. Je commence à bien te connaître. Tu es une hyperactive. Je te conseille de te jeter à fond dans le sport intensif pour canaliser tes pulsions sexuelles et masochistes. Et, si tu te sens débordée par elles, caresse-toi autant que tu voudras, mais s’il te plait, arrête de t’abîmer et pense plutôt à prendre soin de ton corps. Tu es une très jolie fille et tu seras, à n’en pas douter, énormément courtisée. Si tu veux trouver l’âme sœur, tu dois absolument éviter d’offrir ton corps aussi facilement et particulièrement aux hommes.

Les hommes, ce n’est pas un problème. J’en suis dégoûtée à vie.

Tiens ! Prends les clés de la maison et enferme-toi à double tour. Je n’y crois pas mais les garçons pourraient revenir. Appelle la police si tu les vois roder autour de la maison ! Si tu as un problème d’un autre ordre, tu peux m’appeler sans hésiter. Je procède ainsi avec les alcooliques qui sont en manque pour éviter les rechutes. Tu le feras ?

C’est trop gentil, Docteur. Je le ferai si je me sens mal mais je pense que je suis rassasiée pour plusieurs mois. Je suis gelée. Je vais me blottir sous le banc solaire et prendre soin de mon corps, comme vous dites.

Alors, je pars l’esprit tranquille. Sans rancune ?

Sans rancune, aucune. Je ne saurai jamais vous remercier assez pour tout le mal que vous vous êtes donné pour moi.
Et les cinq mille euros ? Qu’est-ce que j’en fais ?
Tu les mets dans ta cassette et tu t’achèteras du petit matériel d’équitation à la bonne saison ou des vêtements seyants.
Chouette. Vous êtes certain que je peux ? Mireille ne dira rien ?
Bien sûr que non ! Prends bien soin de ton corps et la vie te sourira. Je t’embrasse. Je dois te quitter. Il nous reste une centaine de kilomètres à rouler dans la neige et dans la nuit. J’ai horreur de cela.

*

Il était déjà plus de 20h quand la porte se referma derrière eux. J’allais me retrouver seule trois nuits de suite et cela ne m’étais jamais arrivé de ma vie. Vite…retrouver la chaleur de mon banc ! J’avais oublié la minuterie et je me suis endormie profondément. Il était presque 22h30 quand un craquement suspect me suis réveilla en sursaut. C’était la porte du grenier qui s’était ouverte sous l’effet de la chaleur dégagé par ma séance de bronzage. Quel rêve ! Cindy et moi avions fait du banc solaire ensemble en nous caressant. Comment cela, ce n’est pas possible ? Si ! Une fois moi au-dessus d’elle et une fois elle au-dessus de moi. Dos contre ventre. La preuve se trouvait sous mes fesses sous la forme d’une flaque suggestive de nos égarements. Le grenier !!! Je l’inspecterai de fond en comble mais d’abord…Renouant avec mes vieilles habitudes, Je filai dans ma chambre aux toilettes pour m’enduire la peau d’après-solaire. C’est là dans l’armoire au-dessus du lavabo que je range mes innombrables produits de beauté. Je blague.
Tiens la cam est toujours branchée et mon ordi allumé ! Personne en ligne, évidemment ! Zut ! Hervé a chipoté mon carnet d’adresses en y ajoutant le sien…plus de deux cent cinquante noms à effacer !!! Non pas le sien, bien sûr, je le garde...ceux-là, je ne les connais pas…j’efface. Tantine m’a toujours dit de ne pas parler aux messieurs que je ne connais pas. Chouette ! Stéphanie et Jessica, Annette et Cindy…je garde. Oh ! Il leur a envoyé le film de mon grand écart sur le lavabo…A qui encore ? A lui…Tiens, tiens ! Il veut garder un souvenir de moi…Oh ! Il m’a menti…C’est mieux comme ça…il n’a rien envoyé aux garçons…je les efface tous ces nazes…J’ai faim, moi. Normal, je n’ai plus rien dans l’estomac depuis hier soir…Le pèse-personne…Wahou ! Moins deux kilos…presque !!! Et ça se voit déjà…comme le « sur « bronzage que je viens de me prendre. Tu sais que tu es belle à croquer, toi. C’est décidé, un grand verre d’eau et diète jusque mercredi matin. Vite une douche, la « body lotion » et puis, je m’habillerai sagement comme j’ai promis au Dr H. Le grenier doit être pleins de fringues.
L’intention était louable mais dès que je fus sortie de la douche, toute humide encore et la peau scintillante de mille feux, je dus me rendre à l’évidence, la fille du miroir était si belle que l’envie me prit de la cajoler devant la webcam en enregistrant les images dans un fichier CODE. Rien que pour moi, évidemment.
Ma gentille main réveilla le bourgeon tumescent figé au plus haut de la plus belle arche gothique. C’est dingue comme un clitoris peut être sensible quand il a été chagriné 24h durant. Doucement, tout doucement l’effleurer…tu es une rapide, toi…tu es déjà près des anges…Elle est comme moi, sa petite sœur, elle aime bien aussi quand les choses viennent doucement comme maintenant. Je ne te laisserai pas jouir, ma chérie, pas comme tu le veux du moins. Je vais te faire durer, durer, durer…Eh bien tiens ! Deux jours et trois nuits pour t’apprendre à te tenir tranquille ! Sans manger ni dormir ! C’est bien fait pour toi.
Elle aurait pu démentir. Dire que c’était idiot comme jeu. Se fâcher et insister : « Ah non ! Pas devant la caméra ! ». Elle aurait pu me stopper avant que cela n’aille trop loin. Non ! Elle me laissa la caresser et ajouta même qu’elle était une super bonne mouilleuse et que cela ne lui faisait pas peur de se faire mousser plusieurs heures.
Attends ! J’éteins la cam et je reviens tout de suite. Je file à la cuisine et je nous ramène une bonne bouteille de porto. Un magnum ou un jerobo…truc. Le son…est-ce que j’ai mis le son ?... et ajouta même qu’elle était une super bonne mouilleuse et que cela ne lui faisait pas peur de se faire mousser plusieurs heures. « Plusieurs jours » C’est mieux. Le son, c’est bon mais les images, wahou ! C’est parfait de chez parfait ! Top modèle de chez top modèle !
C’est déjà lourd une bouteille de trois litres mais une à chaque main !!! Quand à remplir un verre de 25 cl sans renverser !!! A ta santé, beauté ! Tu vois, nous avons de quoi tenir trois jours. J’ai une surprise pour toi. C’est un cadeau du Dr Hervé. Il a oublié toutes ses pilules. On va pouvoir bien s’envoyer en l’air avec ça. Attend que je me souvienne ! Trois jaunes…et…je ne sais plus. Elles sont toutes presque pareilles les autres. Je vais lui téléphoner. Il a dit que je pouvais.
Docteur, j’espère que je ne vous réveille pas ! Je suis toute drôle, ce ne serait pas les médicaments que vous avez oublié. Mon clitoris est énorme. Je sais bien qu’il y a eu les orties mais…Et qu’est-ce que j’en fais de vos pilules ?
Je n’aurais jamais du te donner du cialis. En principe, l’effet sur les femmes est très discret mais évidemment ton clitoris étant hum… très charnu, non, disons exceptionnellement constitué, cela explique que tu sois plus réceptive. Ecoute ! Si tu ne le touches pas et que tu évites les vêtements serrés, cela ne devrait pas te poser de problème. Il suffit d’attendre encore un ou deux maxi et tout rentrera dans l’ordre. Tout ce que tu peux faire, pour l’instant, c’est boire beaucoup pour éliminer.

Boire beaucoup ! Ca va, je vais me resservir un verre tout de suite !

Et les autres pilules, ça sert à quoi ? Elles sont toutes presque pareilles et vous les avez mises dans des petites boîtes numérotées de un à cinq.

Il faudra les jeter à la poubelle. Ah non ! Surtout pas. Toutes sauf…Je ne sais plus…Dis-moi combien il en reste dans chaque boîte et je te dirai lesquelles tu devras garder.

Dans la boite marquée 1, il y en a vingt…

O.K. Je ne t’en ai pas donné, alors. Heureusement d’ailleurs. Tu peux les jeter. C’est un cocktail d’euphorisants et de désinhibants utilisé pour stimuler de façon optimale les appétits sexuels et aussi un révélateur des pulsions profondes. Je n’en ai pas eu besoin avec toi.

Dans la deuxième, il y en a vingt aussi et elles sont un peu plus grosses. On dirait qu’il y a un S dessus.

Je vois. Il doit en rester vingt aussi, non ? Tu peux les jeter. Ce n’est qu’un banal cocktail hormonal qui, outre l’effet activateur de libido, permet un amaigrissement spectaculaire tout en renforçant la masse musculaire et le volume des glandes mammaires. Tu peux jeter aussi. Fais couler le robinet et ouvre-les dans le lavabo ! J’aimerai être certain que…

Voilà, c’est fait !!! Je ne tiens pas à m’empoisonner, Docteur. Non mais ! Je veux bien toutes les jeter, moi. C’est vous qui voulez en récupérer certaines. Ah ! Dans la troisième boîte, il en manque. Elles sont un peu plus jaunes…j’en ai pris des comme ça ?

Pas grave ! Tu peux les jeter aussi.

Et il y avait quoi dedans ?

Rien de grave à cette dose-là…de petites doses de curarisants qui permettent de bloquer le réflexe de contraction musculaire dont se sert inconsciemment la patiente pour soulager la douleur induite. Son cerveau reçoit ainsi traite l’information douloureuse avec une intensité plusieurs fois supérieure à celle ressentie quand le réflexe protecteur de contracture est autorisé. En gros, c’était pour tu ressentes plus vivement la douleur sans rien abîmer.

Une piqûre d’aiguille ferait l’effet d’un coup de couteau, c’est ça ?

Exactement mais la demi-vie n’est que d’une heure ou deux. Le but était de te dégoûter de la douleur tout en te rendant hypersensible. Tu peux jeter aussi.

Ah ! Dans la quatrième boîte, il en manque une aussi et elles ont comme un reflet vert.

Tu peux jeter. Celles-là, c’était pour m’assurer de ta sincérité. Ce sont des dérivés modernes du barbital. Très intéressants pour s’assurer de l’honnêteté de la patiente lorsqu’elle est interrogée sur ses attentes et son ressenti. C’est le principe d’un sérum de vérité qui n’autorise le cerveau qu’à transmettre le ressenti véritable sans les filtres que sa volonté imposerait. Ces effets déconnectant sont très puissants conjugués à la fatigue ou un certain état de faiblesse. Tu as été très sensible à celle-là. Ses effets ont été rapidement perceptibles sur ton abandon.
J’ai pris des risques en te la donnant mais je ne le regrette pas. Ton esprit frondeur et manipulateur s’est révélé immédiatement éteint et m’a permis de découvrir ta véritable nature plaisante ou déplaisante…Je te laisse deviner. Aboli également les mensonges et essais de m’amadouer. Les effets ne durent que quelques heures. C’est aussi dangereux qu’intéressant à utiliser par des spécialistes car la patiente devient d’une vulnérabilité totale, débarrassée de toute armure et livrée corps et âme à votre bon plaisir. Je ne sais pas pourquoi je te dis cela, moi. La cinquième boîte, il faudrait la faire parvenir à Annette quand elle rentrera. J’y tiens beaucoup. Ce sont des stup. Il ne faut pas que cela tombe entre de mauvaises mains.

De la morphine ?

Non ! Le contraire, plutôt… les dérivés de la morphine que nous utilisons sont des antagonistes de l’effet analgésique (anti douleur) de l’endorphine naturelle que secrète toute personne en souffrance. Outre l’hypersensibilité induite, le sujet traité effectue, en fonction de la dose administrée, ce que les utilisateurs de LSD appellent un bad trip, good trip selon l’intérêt de l’expérimentateur. Tout en gardant parfaite conscience de leur entourage et des stimulations qu’ils reçoivent, douloureuses ou gratifiantes, toutes les perceptions sont amplifiées à l’infini. La sensation de faim est également abolie. Celles-là, il me les faut. Si tu en avale une seule, je te donnerai une petite claque sur la joue et tu feras un super bad trip en la ressentant comme une collision frontale à 200 km/h en voiture.

Et vous utilisez cela avec des gens !!!

Ce n’est pas de ton âge. C’est de la haute psychiatrie. Je vais t’expliquer dans les grandes lignes. Cela ne s’adresse qu’aux pervers sexuels extrêmes comme on en rencontre un ou deux dans une vie de psychiatre. Uniquement chez ceux qui sont isolés et attachés parce que trop dangereux pour eux-mêmes ou leur entourage. Annette en aura plus d’usage que moi. Elle, elle en voit un ou deux par mois, elle.

Expliquez-moi encore ou je ne saurai pas dormir !

Tu es sciante, Emilie. Je regrette déjà de t’avoir donné mon numéro privé. Bon ! On attache le pervers aux barreaux de son lit. Le but est d’alterner bad trip et good trip durant une journée. Moins de cinq minutes après avoir pris sa pilule, ce « soutien médicamenteux » catalysera ses appétits sexuels au point que le patient ne s’alimentera même plus spontanément. Son seul pôle d’intérêt sera son sexe et l’assouvissement de ses pulsions sexuelles. On commence par lui faire faire un good trip en montrant des photos de femmes nues, ou un film porno par exemple. Il y en a parfois qui éjaculent sans qu’on les touche. Dès que leur excitation atteint son paroxysme, on les envoie en bad trip en piquant simplement une aiguille dans un doigt, par exemple.

Pour les écœurer de regarder les femmes nues…

Voilà ! Tu as compris.

Et si votre patient est masochiste…

Tu m’ennuies…on pique deux fois car la douleur sera telle qu’il n’aura plus envie de recommencer. Je sens déjà que j’ai pris un mauvais exemple. Pour un criminel, on lui passera un film violent en rapport par exemple avec un crime similaire à celui qu’il a déjà commis. Et quand l’expérimentateur estimera qu’il entre en transe, il lui provoquera une douleur insignifiante qu’il ressentira comme très violente. En fait, je crois plutôt qu’il faudrait demander à Annette mais je pense qu’ils lui balancent un faible courant électrique sur la main. En fin de compte, il finira par étouffer complètement ses pulsions et sera même considéré comme guéri quand le film violent ou porno, au lieu de les stimuler, les rebuter au point de supplier qu’on arrête la projection. Je peux me coucher, il est bientôt minuit ?

Merci, Docteur. J’ai jeté toutes les pilules, même les neufs cialis qui restaient sauf celles du dernier paquet. Vous voyez que je sais être bien sage parfois. Bonne nuit, Docteur, j’ai sommeil aussi.
Un petit test camera avec le miroir à roulettes pour bien montrer tes belles mamelles de profil. Allez, zou..trois petits cialis avec une bonne rasade de Porto pour faire passer.
Fichiers son… Ecoute... »Je peux me coucher, il est bientôt minuit ? » Yes ! Comme ça, je saurai à quoi servent ces pilules. La un, c’est un excitant. La deux, aussi et en plus, ça fait maigrir et ça donne de gros seins. Zou et zou !
La trois, ce n’est pas bon. La quatre, c’est encore pire…le sérum de vérité. Zou ! Deux petites, vite fait. Tu vas me dire tout ce que tu as dans les tripes, beauté du miroir. La cinq…c’est « Touche pas à ça petite conne, c’est pour les grandes personnes » Mais je suis grande puisque je suis émancipée. Attend un peu, ma beauté ! Je vais chercher la deuxième cam pour ta petite chatte et on va tourner toutes les deux le film porno du siècle.

ACTION CAM !

Le bronzage te va si bien. Une vraie beauté comme je les aime, ardente et sensuelle. Tu vas réaliser mon fantasme absolu, celui dont je rêvais depuis mes douze ans. Devenir la marionnette d’une femme tyrannique et sans scrupule ! Rien ne te sera épargné, ma belle.
D'abord ce sera l’attente interminable du plaisir. Disons jusque deux heures du matin ! Puis les jouissances avortées jusqu’à six heures du mat…Comment cela, ce sera trop difficile pour toi ? Les petits teasers sont toujours en charge, ma jolie. Je n’ai qu’à tendre la main…Tu les vois ? Tu vas mouiller comme une chienne et avoir mal au ventre mais après …toute la journée de demain..et la suivante, tiens, je te garantis des orgasmes multicolores, une jouissance pure, douce et prolongée …très prolongée… si tu sais jouir sous la torture.

Test film et son…Mince ! Canon, tu es canon. Et tes soupirs de fille en chaleur m’allument comme une allumette incendierait une botte de paille.

ACTION !

Attend ! Je vais te couper les cheveux pour bien dégager ton beau visage tes épaules, comme pour les condamnées à l’échafaud. Mais l’échafaud, ce serait trop doux pour une garce comme toi. Je te condamne à la jouissance forcée sous la torture jusqu’à ce que mort s’en suive, chienne Milli.

Milli, l’alcool n’est pas ton ami. Tu as exagéré avec tes cheveux. Demain, je m’inscris aux alcooliques anonymes…Je vais huiler ton corps de bacchante et tu seras bientôt prête pour le martyre. Ne t’étonne pas si tu te retrouves les sens en désordre, tu vas avaler encore une pilule des deux premières boîtes pour bien monter en tension ! Montre bien ton corps à la caméra ! Ton petit abricot rosé est mûr et bien juteux. Regarde ! Je le touche à peine et tu révulses déjà. Pauvre petit cabri ! Tu étais si bien parti. Tu es tout tremblant maintenant. Pitié, arrête, tu vas me tuer si tu continues à titiller mon petit…mon petit pis de biquette !
Tu vas t’appeler biquette. C’est plus charmant et sexy que chienne Milli. Un petit pis, c’est fait pour être trait. Oula ! Oula ! Jolie biquette, arrête tout de suite de donner des coups de bassin ou je t’attache ! Je t’obligerai à me donner tout ton lait. Un litre par jour…C’est énorme mais je ne te lâcherai pas avant. Où ça…là ! Tu vas éjaculer dans ce pot gradué. S’il le faut, je me ferai aider mais tu devras donner beaucoup plus de lait. Tu te sens déjà si mal que tu ne sauras pas te retenir si je ne te fais pas très, très mal !!! Je ne sais pas être au pis et au fouet, sale petite maso. Tu veux que je trouve quelqu’un pour m’aider à te mettre dans un état de total destroy. Présomptueuse, va ! Tu es pratiquement intouchable...ça se remarque, tu sais. Comment veux-tu que je trouve à cette heure une fermière qui a les mains assez douces pour ne pas te traire sans te faire mal au pis ? Elles sont toutes parties au bout du monde.

Stop caméra !

Toutes sauf Cindy. Elle doit être seule dans la maison d’Annette puisqu’Annette est à Bruxelles avec Stéf.…mais Cindy…Non ! Cindy ne me battra jamais. Ce n’est pas son trip. Elle voulait simplement me faire souffrir par procuration. Ou je me trompe ? Pourquoi une femme comme elle s’intéresserait à une fille comme moi ? Parce que je suis jeune, tiens. Le Dr.H m’a dit que Cindy craquait pour les très jeunes filles. La preuve, elle s’est ruée sur moi dès son entrée dans la maison. Oui, mais, elle est sortie avec ses copines sans même me parler. Sans même me regarder. Pas tout à fait vrai, ça ! Elle s’est retournée vers moi avant refermer la porte. Enfin ! Elle s’est tournée vers mon sexe. Il est minuit passé. Elle doit dormir certainement. Tant pis, je risque de lui envoyer le fichier vidéo que je viens de faire…Zou et zou ! Et zut…le fichier son de ma conversation avec Hervé est parti en même temps. Il ne me reste plus qu’à attendre…quelques instant…quelques instants qui me parurent une éternité tant mon trouble explosait…quelques instants qui durèrent en fait moins d’une minute, au bout de laquelle un message super émouvant apparut sur ma BAL. Passe sur MSN et mets ta cam ! Je vais visionner tes fichiers. Je suis à toi dans cinq minutes. Tu as tout le temps d’aller ouvrir ta porte et t’installer devant ta cam comme la pute que tu es !
#165535
Comment ne pas intervenir à la lecture d'un des plus beaux textes SM qu'il m'ait été donné de lire ? Ma réaction enthousiaste est peut-être excessive car liée à ma qualité de psychiâtre institutionnel. J'ai la conviction, maintenant que tu es réellement entourée de praticien(nes)s car l''abréviation BT-GT est très technique et ne s'invente pas. Si ce coktail n'est plus que d'usage occasionnel, il a eu son heure de gloire il y a une dizaine d'années comme avant lui, l'électrochoc. J'ai personnellemnt assisté à ce genre de traitement durant lesquels le patient était placé sous camisole de force avant de visionner des images fortes en rapport avec sa pathologie. J'ai vu quelques cas où l'emballement de la libido de certains obsédés sexuels les faisaient vraiment éjaculer à la vue d'image pornographiques. Je n'ai connaissance d'aucune expérience sur des femmes mais certaines lignes de ton texte m'interpèlent. Il n'est pas anodin de lire que tu t'adresses à LA FILLE du MIROIR. C'est une forme de transfert que l'on observe souvent sous l'action de médicaments dits désinhibants ( comme le prozac par exemple). J'ai connu des cas d'auto mutilation que des personnalités border line (schizoïde) s'infligeaient en se regardant dans le miroir. Emilie, tu deviens de plus en plus intéressante à suivre.
Honte à ceux qui ne se donnent même pas la peine de t'encourager à l'écriture!
Bonnes vacances reposantes aussi ! Mais le souhaites-tu réellement ?
#165781
Je ne suis bien entendu pas un expert, mais je suis entièrement d'accord avec "lesbiandestroyer". Les choses sont bien dites et j'arrive même à comprendre, c'est dire.... Et tout à fait d'accord aussi pour le manque de compliments et d'encouragements.Un si beau texte, comment ne pas l'aimer?
#166058
Merci pour ses deux interventions pleines de bon sens. Je suis de plus intéressante...à suivre seulement. Il est inutile donc que je joigne d'autres photos de moi. Le corse est plus sympa, lui. Il m'aime !!! Cela fait chaud au coeur même si c'est platonique. De plus, c'est moins éprouvant d'être aimée ainsi.
Ici, il pleut, il pleut et il pleuvra toute la semaine prochaine. Tant mieux pour vous (et pour moi) Je vais me remettre à l’écriture ( assistée médicalement et sous stricte surveillance médicale, j'adore cela, bien vu Mr LD! ). Une info…les longues nuits d’hiver, c’est une légende. Ici, les nuits sont archi-courtes. 15 degrés dehors, 1.000 degrés dans mon ventre. Cela doit se ressentir dans mon écriture, comme dirait lesbiancuirassé.
#166386
Tes textes me font toujours rêver. Merci de me répondre si rapidement! Je ne peux imaginer que tu puisses écrire ce genre de littérature sans avoir pratiquer un minimum le masochisme. Contrairement à la majorité des membres de ce forum, je suis désireux d'ouvrir le dialogue avec toi. Comme je te l'avais dit voici un mois, ton style est plus "émoustillant " quand tu es émoustillée. J'en déduis que comme cela n'est pas du au soleil d'Andalousie qui est absent, tes amies doivent prendre du bon temps avec toi. Je suis avide de photos comme chacun d'entre nous, même si personne ne se décide à en demander. Une petite photo de tes agapes en direct de Marbella serait pour me plaire. Maintenant, moi, je dis cela et tu décides.
#166393
Moi, je ne décide rien du tout. C'est cela ma décision pendant 15 jours encore. Mes amies décident de tout ce qui est bon moi, c'est beaucoup plus excitant. Et elles ont décidé que je devais vous choquer ce qui est, en fait, habituel chez moi. Vous qui êtes un fin investigateur, je vous mets au défi de me dire quand cette photo a été prise...pas par moi...le cordage en atteste.
pommade révulsive.JPG
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
#166402
Je suis impressionné par ta réactivité et très choqué par l'heure tardive à laquelle cette photo a été prise. Est-ce bien raisonnable de laisser tes amies jouer encore le 18/12/2010 à 1h29 du matin avec ton sexe? Je pressens que sous ce long capuchon se cache un clitoris de belle taille comme tu le décris si "longuement" dans ton histoire. Effectivement, tu es gâtée par la vie mais ne te laisse pas corrompre par elle.
#166496
Quel pauvre titi malmené!
Mais ce n'est pas faux "lesbiandestroyer", ça manque un peu de photos, je suis d'accord.
J 'aime tant tes textes Milli et finalement toi, que j'avais l'impression de te connaître à travers eux et je n'ai pas songé à te réclamer des photos. Tes mots ont suffit à me séduire.
Mais n'hésite pas l'esthète que je prétends être sera ravi devant tant de beauté que tu as décris dans ton récit.
Bien à toi.
#166515
Il pleut, il pleut, il pleut ! Donc j'écris...J'estime que j'aurai bien une petite gâterie après de tant d'efforts. La suite...

Sitôt dit, sitôt fait…Un coup de peigne dans ce qu’il me reste de cheveux. Une pose sexy, cuisses bien relevées sur le tabouret pour la vamper. Une main sur la nuque et une qui lui offre un sein et ventre bien rentré. Mon excitation était à son comble quand j’entendis sa voix quelques minutes plus tard. Non, plus qu’à son comble…J’avais l’impression d’avoir une éponge trempée entre mes cuisses.

Ta porte est déverrouillée ?

Oui, oui ! Que c’est bon d’entendre ta voix, Cindy ! Je serais seule jusque mercredi midi…toute à toi.

Excellent, cela ! Nous avons visionné ta vidéo…c’est top de chez top, biquette.

Tu dis nous !!! Annette est revenue !

Oui, Annette et même une fille que tu aimeras particulièrement.

Je la connais ? Je peux la voir ? Comment elle me trouve en vrai ?

Trop mignonne que pour ne pas être sacrifiée au Dieu Soleil.

Elle sait déjà que je suis accro au banc solaire !!!

Elle sait cela et beaucoup d’autres choses te concernant. Elle ne devrait pas tarder à arriver d’ailleurs.

C’est vilain de m’exciter quand je suis déjà en délire. Dites-moi qui c’est !

C’est celle dont parlait le bon Dr Hervé et qui t’a fait délirer sur le lavabo.

Ah oui ! Elle voulait savoir tout ce que je faisais avec mon vilain Titi pour le polir et tout ça…Elle existe vraiment.

Oui et c’est à elle aussi que tu as écrit, après lui avoir donné droit de vie et de mort sur toi :
« Toute ébauche ou manifestation de jouissance de ma part devra être sanctionnée par une punition cuisante. Je souhaite recevoir cinquante coups de fouets, les yeux bandés. Le choix du ou des bourreaux et la partie de mon corps qui recevra le fouet sera laissé à l’appréciation des participants. »

C’était vraiment une femme, alors !!!

Oui et quelle femme ! Nous l’appelons la GO.

La gentille organisatrice ?

Non ! La Grande Ordonnatrice du sacrifice !

Elle est arrivée !!! La porte vient de claquer et j’entends qu’elle descend tous les volets !!! Je suis sa prisonnière maintenant.

Cela t’exciterait, petite biquette, n’est-ce pas, de jouer à la chèvre de Mme G.O avec nous.
Nous serions les louves qui mordrions tes jolis cuisseaux toute la nuit. Quand à l’aube, tu seras à bout de force, La Grande Ordonnatrice sans pitié t’égorgera et cuisinera ta chatte pour que nous la mangions.

Oh ! Mon Dieu…Vous voulez vraiment me rendre folle si vous me livrez à cette femme tyrannique qui alimente mes fantasmes depuis trop longtemps. Quand est-ce qu’on commence à jouer ?

Une voix volontairement déformée me tira de mon délire.

Dès que tu auras pris une pilule de la cinquième boite, joli cabri.

Celle sur laquelle il est marqué BT-GT…bad trip, good trip…

Comment vous savez cela, vous êtes aussi psychiatre ? Je sais…vous êtes Annette.

Si tu veux…

J’aimerais vous voir, toutes deux…

Ma cam est cassée mais le micro fonctionne.

Le Dr.H m’a ordonné de vous remettre ces pilules…

Je sais. Je voulais les avoir sous la main pour les essayer une à une sur toi. Prends-en une tout de suite, devant nous et nous pourrons commencer à jouer tout de suite !

Voilà, c’est fait ! Le Docteur H. a dit qu’une seule de ces pilules peut me faire faire un super trip pendant 24h.

..un trip sexuel si géant qu’il y en a même qui éjaculent en regardant des femmes nues comme le dit ton fichier audio.

Vous êtes certaine que ce n’est pas dangereux.J’ai déjà si peur de ce qui se passe dans mon corps. Mon sexe est une véritable fournaise. Je vais finir par faire des bêtises toute seule et me frotter sur la rampe si vous n’arrivez pas très vite. Rien qu’en me caressant les jambes, j’ai l’impression que je vais partir.

Caresse-toi, alors ! Bien devant l’objectif et nous te dirons si nous te trouvons à notre goût. Sois très indécente pour nous donner l’envie d’admirer ton corps nu sur la croix !

Je ne peux même plus me toucher le ventre. Vous avez vu comme je coule…
Justement, nous parlions de toi et de ta vidéo. Tu sais celle où tu jouais en grand écart avec ton clito. Je vois qu’il se porte toujours fièrement et qu’il est même de plus en plus remuant. Ecarte tes belles cuisses et effleures encore ton petit pis ! Montre-toi plus obscène encore !

C’est mal de m’exciter ainsi… Je n’ai jamais été aussi malade. Il faut m’aider…vite ou je vais jouir sans me toucher…je ne comprends pas ce qui se passe dans mon corps…C’est sûrement de la faute aux pilules stimulantes que j’ai déjà prises avant de vous parler.

On dirait que tu as peur de toucher ton titi. Je pensais que tu aimais le punir quand il n’était pas sage.

Je ne comprends pas ce qui m’arrive !!! Mon titi me fait très mal et beaucoup de bien en même temps dès que je te touche…il est trop gros et tout irrité…c’est ça, il faut le laisser dégonfler…c’est terriblement douloureux et c’est trop bon en même temps…je vais devenir folle si je ne peux pas orgasmer tout de suite. Je vous jure que c’est vrai. Vous devez venir me soigner. Je suis perdue…Je ne saurai jamais jouir tant qu’il me fera aussi mal même si j’en ai fort fort envie. Qu’est-ce que je peux faire en vous attendant, Docteur Annette ?

Reprend vite une pilule de chaque boîte et tu te sentiras mieux !

Voilà ! Je les ai prises avec un peu de Porto.

Parfait ! Nous serons là dans cinq minutes.

Tant mieux. C’est si fort que j’aurai même trop peur de jouir maintenant si je savais.

Tu aimes bien les jeux pervers, je crois ?

Ca dépend…

Avec la dose de pilules que tu as ingurgitée, tu vas devenir une super biquette pendant trois jours. Et nous donner ton lait. Tout ton lait…Nous sommes pour l’instant que trois trayeuses mais il n’est pas impossible que nous soyons plus nombreuses quand nous débarquerons chez toi. Nous devrons te faire jouir beaucoup, beaucoup pour que chacune ait son litre de lait dans le pot gradué.

Ce n’est pas possible. Je ne saurai jamais contenter tout le monde.

Il le faudra, biquette.

C’est quoi le jeu ? Dites vite ! Ca monte si fort dans mon vagin avant. Je ne suis plus qu’un sexe ambulant.

Le jeu, c’est que tu pourras choisir ton destin. MAINTENANT ! dit-elle avec une voix autoritaire à la limite de la démence. Tu es à fond dans ton trip, je crois. A ton idée, que serais-je en droit d’exiger d’une top biche bien fessue comme toi avec un sexe aussi juteux à la place du cerveau ? Tu m’entends, Milli ! Nous sommes tes amies, tu le sais ça.

Oui ! Vous êtes mes amies. Ne m’abandonnez pas !

Voici le choix ! Veux-tu que je te fasse mousser ou éjaculer ? Tu me répondras dans deux minutes et ensuite, commencera la grande purification avant le sacrifice de la jeune biquette. Mais d’abord, je veux te voir bander comme une génisse avant la traite.

C’est énorme quand je me caresse! C’est de la dynamite cette pilule. Jamais je ne pourrais toucher mon titi. Il est trop susceptible. Vous ne pouvez pas comprendre. Je jouis sans jouir là !
C’est bien, doucement, comme ça… Ton ventre est aussi lisse et aussi doux que celui d'un bébé. Regarde ! Ton Titi est déjà, en pleine crise de croissance ! Il opine de la tête et tu ne l’as pas encore touché. C’est une rareté et une chance de posséder un bouton qui réagit si bien à la douleur.

Ma petite chatoune a besoin d’aide. Elle ne m’obéit plus comme avant. Ca monte de plus en plus fort et je n’arrive plus à jouir tellement elle me fait mal. Au secours !

Reprends une pilule de la troisième boite ! Ce sera encore meilleur, tu verras. Cela te fera ressentir d’autant plus fort la douleur qui sera indispensable pour te purifier. Tu finiras par jouir éternellement dans la souffrance extrême. Ton plaisir sera sans fin et libérateur car tes orgasmes s’enchaîneront sans pause en montant en puissance…

C’est possible de jouir sans arrêt ?

Pour l’élue, ce sera possible quand elle sera purifiée par de longues heures d’orgasmes refoulés par des supplices toujours plus dévastateurs pour ta chair. Tu seras bientôt notre l’élue, biquette
Je choisis de me faire mousser d’abord et jouir ensuite…comment vous dites ? Jouir come une mitraillette…
Si tu veux que la G.O te fasse mousser jusqu’à ce que tu en crèves, dis-lui clairement ! Elle est derrière toi…

Ooooh ! Ouiiii…jusqu’à la mort… J’en crève déjà. Je suis prête à relever le défi de ruisseler sur vos lèvres et couler sous vos doigts jusqu’à la mort...

J’ai du faire un véritable bond de cabri sur mon siège quand la G.O, le visage couvert d’un masque sorti tout droit du film « scream » et couverte jusqu’aux pieds par une cape noire m’invectiva :

Tu viens de faire que le premier pas sur le chemin de la connaissance de ton corps. Je serai à tes côtés lorsque tu marcheras sur les braises, le corps criblé de flèches, vers la croix cloutée où t’attend l’impensable supplice que tu auras choisi grâce à notre guidance. La grandiose frustration de tes sens te poussera à réclamer d’être écorchée vive, bandelette par bandelette, pour que ton agonie soit interminable. Quand tu seras empalée jusqu’à la gorge, l’ultime fustigation de ton sexe t’ouvrira les portes du Nirvana tandis que sonneront les trompettes sur l’apothéose ruisselante d’un dernier et interminable orgasme.

N’est-ce pas une punition trop cruelle pour une jeune chèvre comme moi ?

Ce n’est pas une punition. C’est le chemin que tu devras parcourir pour te purifier, biquette. Tu as choisi de ruisseler jusqu’à la mort. Seule la mort pourra te donner l’orgasme rédempteur et la grande lumière.

Vous me faites peur, ma sœur ! Enfin Grande Ordonnance. Tout ça pour ne jouir qu’une fois, ce n’est pas beaucoup.

L’orgasme rédempteur peut durer des heures, tant que tu parviendras à jouir dans la souffrance.

Je n’ai aucune expérience de ces choses là. Mais je peux vous dire que mon sexe est déjà en TRES grande souffrance, St Nicolas…Pardon ! Madame Scream.

C’est très bon signe. Tu seras bientôt prête pour le sacrifice mais avant, tu vas nous donner le spectacle jouissif de ta terreur. Sais-tu ce qui t’arrivera si ton plaisir arrive trop vite à mon goût ?

Non, mais cela m’épouvante déjà.

Par les trois pis, tu seras suspendue et par la poudre d’ange ton sexe et ton vagin seront purifiés à jamais.

Les trois pis ?

Titi et lolo et lolo ! Conasse !

Si j’avais été dans mon état normal, nul doute que Miss Capote Noire serait retournée dans l’escalier, tête en avant. Mais je n’étais pas dans mon état normal et la dame noire portait, à la taille, une lame de 25 cm au moins. Cette conscience aiguë de mon obscénité et de ma vulnérabilité me procuraient des sensations absolument délirantes. Je me sentais glisser sur la pente savonneuse de l’auto mutilation libératrice si ses copines n’arrivaient pas très vite.

Madame…madaaaame ! Venez me purifier ! J’ai de mauvaises pensées…Je voudrais que vous fassiez souffrir. Je n’en ai plus le courage et pourtant, je sens que ce sera la seule façon d'évacuer mes tensions.

Tu n’es pas encore prête à assumer ton destin. Il ne suffit pas d’être désirable pour nous plaire. Ton insatisfaction et ta voracité doivent être extrêmes pour que ton esprit se taise et que ton sexe parle. Ce qui m’intéresse, c’est de le ressentir dans tes paroles La frustration sexuelle incommensurable, La fringale dans toute sa splendeur ! Celle-là n’est accessible que par le biais de l’orgasme avorté mais en seras-tu capable ?

Le masque blanc se tourna vers le stimulateur qui était en charge sur la petite commode et la main gantée s’en saisit.

Sauvée par le ding dong de la porte.

Je crois que vos amies viennent d’entrer…

Va revêtir la blanche tunique et les sous-vêtements de l’élue solaire ! Seul le sacrificateur aura le droit de les ôter pour montrer ta nudité radieuse et impudique aux officiantes qui auront la charge de faire de ton agonie une offrande au Dieu Solaire. Quand tu descendras, tu baisseras les yeux et tu demanderas au Maître du Sacrifice de t’emmener si loin dans la souffrance que tu verras très longtemps la mort en face avant qu’elle ne t’emporte et nous inonde de la lumière de ton âme.

Elle est vraiment la G.O. Me cacher, je ne pensais plus qu’à cela !

Ne serait-ce pas plus excitant pour vous si vous deviez vous emparer de force de la biquette que vous allons immoler ? J’irai me cacher et vous…
Ce qui serait excitant pour moi serait de voir ce couteau entrer dans ton ventre.

C'était une mise en garde sans équivoque et je crois qu'elle m'était destinée.

Vous m’avez dit que j’étais un joli cabri. On n’abîme pas un joli cabri.

Le joli cabri possède un corps trop harmonieux pour ne pas être supplicié jusqu’à son dernier souffle de vie.

Ma chatte était trempée et un désir ignoble me tordait le bas ventre. Je frémissais de la tête aux pieds, cherchant vainement dans son regard une hypothétique lueur de provocation.
#167269
la suite parce qu'il pleut toujours sur l'Andalouise et parce que mes écrits stimulent mes amies....moi aussi...à défaut d'engendrer des réactions sur ce forum.

Je dois faire pipi, s’il vous plaît ! Je monte dans ma chambre, je m’habille sexy et tout de blanc comme vous me le demandez. Très court si vous voulez. Vous verrez, votre compagne sera folle de mes jolies jambes. Je laisserai ma tunique ouverte pour bien leur montrer comment mes tétons pointent vers le haut quand ils sont chagrinés et….

Mes compagnes n’aiment pas les filles physiquement irréprochables surtout si leurs jambes sont trop parfaites et leurs seins sans imperfection. Ca leur donne des complexes. Va te préparer ! Nous t’attendrons au salon !

J’étais partagée entre un désir incommensurable de tenter l’expérience et la fuite salvatrice. Pipi d’abord et puis me décider rapidement car je les entendais entrer les unes après les autres et visiter toutes pièces du bas en fermant les volets et certaines portes. Dans cinq minutes, la maison deviendrait un véritable coffre-fort. Un piège à pucelle. Je pris l’option grenier en me disant que je pourrai éventuellement m’échapper par le garage via le monte-charge si les choses tournaient mal. Avec un peu de chance, j’y trouverai des fringues. Marine m’avait fait comprendre que Tantine y entreposait plein de petites choses très sexy. Chacun de mes pas me rappelait que ma chatte était aux abois et mes orgasmes en sursis. Je mouillais terriblement au point que de craindre qu’elles ne me suivent à la trace comme un escargot marquant son passage de sa bave. Ce scénario m’avait envoûté et la mise en scène de Cindy, si active sur mon sexe ce matin, ne m’étonnait finalement pas plus que cela. Ce n’était qu’un jeu près tout et si je l’avais appelée, c’était bien pour m’envoyer en l’air, non ?

Les parents de tantine que je n’appellerais jamais plus comme ça. Ses parents, disais-je, étaient antiquaires et stockaient dans ce grenier tous leurs invendus. Quel foutoir ! 10 mètres sur 30 de vieilleries et au fond, 3 bahuts et cinq ou six malles en fer tellement bourrées
(Comme moi, qui avait quasiment torché la bouteille de Porto) qu’elles ne fermaient plus. Du blanc, du blanc, s’il vous plaît. Il n’a a que du rouge et du violet, des gaines, des godes, des bracelets bizarres…Quel fourbis ! Ah ! Voilà qui peut me convenir. Le superbe déshabillé de Gloria, tout en soie blanche diaphane. Le miroir…Non, il y en a encore deux là-bas. La vision de mon corps nu face à face à trois grands miroirs sur pied acheva de me brouiller les neurones…Tu es trop belle, toi !
Parfait ce déshabillé ! Il t’arrive juste au ras des fesses et montre encore mieux les formes qu’il est censé cacher. Si tu déhanches un rien, tu pourras leur montrer aussi haut que possible ta hauteur de jambe. Sais-tu, petite coquine, que tu es très bien faite, suffisamment impudique et dans une disposition d'esprit intéressante ? Quand elles découvriront ce corps de rêve, elles ne vont pas hésiter à te proposer des choses fortes. Sinon, c’est moi qui le ferais. Na ! C’est quoi, ce truc. Un bandana de tennis immaculé…Je vais le mettre autour de ta tête pour que tes derniers tifs ne tombent pas dans tes yeux. Un peu de rouge à lèvre écarlate pour farder tes lèvres et… soyons folle …tes tétons aussi ! Il ne me reste plus qu’à te trouver un string et un soutif plus ou moins blanc. Et cela, ce ne sera pas le plus simple à dénicher. Il n’y a que des bracelets dans celle-ci. Essayons l’autre malle pour voir ! C’est bien ma chance. Ils sont blancs mais que des bracelets de cuir…avec un mousqueton qui pend !!! Tu les mets ou je me fâche. Aux chevilles et aux poignets…ceux-là sont plus larges. Tu pourras même en mettre sous tes genoux et au-dessus de tes coudes. Le contraste avec ton bronzage est saisissant. Evidemment que ça va les exciter, c’est fait pour ça. Et la boîte la en-dessous… ? Il fait sombre ici….Il est marqué dessus : « strings et soutiens à la poudre d’ange parfumés au jasmin » ??? J’ai déjà entendu cela quelque part. Tiens, c’est curieux. On dirait des petits triangles de fibre de verre effilochée. Et ça, des colliers pour attacher les poignets des prisonniers. Comment ça marche, ces colliers ? on passe le bout dans le trou, on tire dessus et..zut ! J’ai tiré trop fort, il n’y a plus moyen de le desserrer sans le couper. Des ciseaux…là ! Bon ! Il faudrait parvenir à enfiler un de colliers…Suis-je bête ? Dans cette boîte, il y en a qui sont déjà tout fait. Hum ! Ca sent bon, dis donc ! J’ai trouvé la poudre d’ange, juste à côté. « Broyat de laine de verre pulvérisé ». Tu as la chatte en feu, pauvre petite biquette. Elle est toute rouge. Attend ! Je vais te la poudrer…non, te la pulvériser. Il y en a plein, pas raison de se priver.

Je crois que c’est à partir de cet instant que j’ai commencé à perdre complètement les pédales. Mes oreilles se sont mises à bourdonner et mon corps à me brûler plus fort qu’un bon coup de soleil. Le grenier était devenu une plage et les armoires des palmiers. Il fait chaud, si chaud…De temps à autre une vague faisait s’ouvrir la porte et apportait un peu de fraîcheur à la fille du miroir qui allait bientôt se mutiler le sexe si je n’intervenais pas. C’était incroyable mais j’étais sur une plage paradisiaque de mers du sud. En face de moi se tenait une superbe naïade toute bronzée, callipyge à l’extrême, mille fois plus belle que moi, qui se gaussait de mon embarras génital. Elle était si affriolante avec ses bracelets de cuir blanc et ses longues jambes aux galbes ensorcelant qu’elle me poussait littéralement au crime. Je crois que j’étais jalouse, en fait mais encore assez lucide pour comprendre que ma seule chance de m’en sortir était de la jeter en pâtures aux tarées du salon.

Je pris le minuscule bout de triangle blanc garni de trois cordons de la grosseur d'un lacet de chaussure et le posai devant son pubis.

C’est quoi cette matière ? C’est joli…
De la laine de verre …c’est marqué dessus… et tressée lâche pour être encore plus irritante à porter. Je vais te poudrer le sexe et ton titi et tu découvriras des sensations affolantes.
C’est horrible. Cela ne m’étonne pas que tu as les cuisses toutes mouillées.
Tiens, c’est vrai ça ! Ce sont les vagues qui se cassent sur la plage et qui m’ont mouillée.
Pour le string. C’est non. J’ai le sexe trop sensible en ce moment. Je n’achète pas. Tu n’as rien d’autre en stock ?
Il faut absolument que tu sois la plus séduisante possible pour tes amants maléfiques. Il faut souffrir pour être belle, tu sais.

Tu n'as pas trouvé plus petit ?

Non en effet, si cela avait été le cas je l'aurai pris. Mais je te jure que l’effet sexy est garanti. Revers de la médaille, transparence inévitable car maillage trop large. Personne ne pourra résister au charme ingénu de ma superbe lolita quand elle descendra le grand escalier. Enfile-le !

J’essayai sincèrement d'ajuster au mieux le simulacre de cache sexe mais ma déception fut grande car le haut du triangle ne couvrait qu’à grand peine l’entièreté de sa fente.

Il y a un problème, Milli. Mes lèvres ont du mal à être voilées par le tissu qui n'est même pas doublé. Ce truc vicieux me scie plus le sexe qu'il ne le dissimule.

Ce sont tes lèvres qui ont doublé à force de les tripoter. Considère ce cadeau comme une punition pour la rémission de tes péchés. Regarde, il faut que tirer sur les cordons pour bien emprisonner ton minou et tes lèvres seront complètement moulées par les tissus. Et si je resserre un peu là, on verra toute ta fente. Mais si je passe le petit bout de nylon dans l’anneau par derrière et que je tire très fort…clac, clac, clac… Il ne faut surtout pas se louper.

Ca serre beaucoup trop fort.

Tant pis, c’est loupé. C’est trop tard, plus moyen de l’enlever. Voilà, voilà ! Je coupe les bouts qui dépassent et c’est scellé.

Horreur ! C’est ignoble ! Et si je dois faire pipi !!!!
Tu iras dans la mer, jolie sirène, cueillir les embruns salé sur ton coquillage mortifié pour que mieux se cabre encore le pistil agacé ! La plage est à deux pas.
Tu l’as acheté au « Bonheur des Exhibitionnistes », ce string. Dis-moi si je me trompe !

Exactement ! Au plus tu mouilleras, au mieux on verra ta moule et son corail dans ta feuille de vigne. Maintenant, tu es vraiment une salope et tu peux descendre.

Et le soutif ?

Elles ont insisté…surtout pas de soutif ! Viens, on descend, biquette ! C’est de ta faute si je souffre autant. Ne comptes pas sur ma pitié ! Tout ce que je subirai, tu le subiras en double. On va passer par ma chambre. Je te donnerai mes plus hauts escarpins.

J’avais à peine ouvert mon armoire à chaussures que j’entendis les bruits d’en bas dans la cheminée. Elles s’étaient toutes rassemblées dans le grand salon.

G.O, tu crois que cela va marcher avec celle-là. Ca fait quand même trois de suite qu’on sacrifie sans résultat. Les autres étaient trop vieilles. Tu permets…32-33- et 40 ans. Aucune de nous n’a moins. Si Stef, le sacrificateur, 28. Il serait temps qu’il arrive d’ailleurs notre sacrificateur. Elle a quel âge, déjà. 15 ou 16 ? Elle vient d’avoir 15…

Mais c’est un bébé…

Je les avais vraiment bien allumées. J’étais certaine que ma jeunesse les ferait rêver.


Un bébé émancipé par décision du juge et surtout, regarde ce qu’elle a signé !


Majeure, saine de corps et d’esprit, j’ai souhaité participer à une séance sadomasochiste extrême dont la durée excédera la semaine.
Ma quête est clairement d’être confrontée à la souffrance ultime.
L’accident n’est pas le but recherché mais les nombreux supplices que j’ai expressément réclamés sont susceptibles de mettre mon intégrité physique en jeu. Mes partenaires sont au courant de mes aspirations et ont accepté, à leur corps défendant, d’utiliser la voix de la contrainte physique que j’exigeais par préalable.
En vertu de quoi, je consens, en toute connaissance de cause, à ce que l’on se livre sur mon corps à tout acte médical, chirurgical ou contendant qui pourrait me laisser des séquelles indélébiles.
Mes partenaires ne pourront en aucun cas être tenus pour responsables d’un accident qui devra être considéré comme fortuit et uniquement le résultat de mes exigences.
Cet acte de légation à autrui sera valable à daté de ce jour jusqu’au 31/12/2011 à minuit.

Avec ça, on ne risque pas grand-chose

Moi, je préfère me taper une lolita qu’une vieille.

Si on veut. A cet âge-là, elle tiendra le coup peut-être un peu plus longtemps mais de là à la voir éjaculer suffisamment pour nous toutes !!! Les autres n’ont même pas joui une seule fois avant d’avoir donné leur dernière goutte de sang.
Cindy a dit qu’elle pourrait même jouir plus souvent qu’elle si on la faisait bien mousser avant. Toi qui l’a vue, c’est vrai qu’elle est super canon.
Et comment ? Moi, c’est de seins que j’ai envie de m’occuper. Tu te souviens comme elle gueulait la secrétaire quand je lui mettais les pinces.

Tu as aussi arrêté ton traitement, toi.

Oui et je me sens beaucoup mieux. Je commence à peine à retrouver mes sensations.

Tu sais qu’il a une quinzaine de BT-GT dans cette boîte. Qui en a déjà pris ? Vous trois ? Et alors, bon souvenir ?

Mega dingue au début ! A la fin du film, moi j’avais déjà joui trois fois sur la sangle de la camisole de force. C’est après que ça s’est gâté quand Annette a commencé à me vider le cerveau en me demandant de dire ce que je ressentais en regardant les images et en m’électrocutant.

Nous, c’est tout pareil.
Moi, j’ai bien envie d’essayer juste pour voir.

L’essayer c’est l’adopter, Mia. Surtout qu’Annette ne sera pas là pour nous dégoûter de notre trip. Et le film, il ne durera pas 5 minutes comme à l’hosto mais deux jours si biquette a du répondant.

On fera tout pour…

Là-dessus, je te suis à fond. Surtout qu’on pourra compter sur Stéf pour la faire durer.

Stéphanie va venir !!! Mon modèle de femme. Mon idole. L’incarnation de tout ce que j’aimerais être. Pour elle, je serais prête à toutes les folies. C’est la dernière fois, dans mes souvenirs, où j’ai dis « je ». Il fallait arrêter tout de suite le massacre. Mais c’était trop tard ! Le mal s’était déjà insinué dans mon sexe et mes seins, comme une brûlure lancinante qui devenait graduellement insupportable. Ma vulve arborait une turgescence saisissante qui me fit frémir. Plus moyen de tenir en place. Il fallait que je me lève. J’ai toujours été très chatouilleuse côté clitoris mais avec ce string diabolique, c’était Versailles sans les grandes eaux. Impossible d’avoir plus mal ! Impossible qu’elle ait plus mal !
Dites, quel film, vous avez visionné vous trois ?
Un film, c’est un bien grand mot, un extrait de film.
Moi, c’était un viol collectif. Des mecs avec une femme de 50 ans mais qui m’a drôlement stimulé quand même.
On a toutes vu le même alors.
Non Stef, c’était un sacrifice humain chez les Maïas. Il est devenu complètement dingo à la première goutte de sang. Quand il verra la minette que Cindy lui a offert, il sentira tout de suite que c’est l’élue.
Comment tu peux être certaine que c’est l’élue, celle-ci, G.O ?
Tout d’abord, elle est très jeune et elle a tout ce qu’il faut pour qu’on la fasse bien jouir. Une belle petite chatte avec un clito de compétition, des loches bien pointues. Et surtout, elle est non seulement consentante mais maso en diable et elle aime bien se faire peur. Il ne faudra pas la contraindre outre mesure pour qu’elle se laisse faire, celle-là. Il suffira de la forcer un peu, après elle en redemandera. Et cerise sur le gâteau, elle a avalé deux ou trois BT-GT et je ne sais combien d’autres pilules style sérum de vérité, désinhibants excitants et j’en passe.

Là, c’est foutu pour elle. Elle va bientôt être complètement stone et hypersensible aux caresses et à la douleur. Si tu avais vu son sexe sur la vidéo, elle l’avait tellement astiqué que je me suis dit que la moitié du travail était déjà fait. Même qu’elle ne pouvait plus se toucher sans révulser.
Elle n’est quand pas vierge, dis-moi.
Si, si…regarde les gros plans sur sa chatte !
Mince, le joli petit vagin qui doit se cacher derrière cet hymen en corolle. Il faut le garder pour Stef, celui-là. Quand elle va saigner, il va délirer. Cette fois, c’est la bonne, c’est quasi sûr. C’est curieux, j’ai déjà vu des soumises drôlement plus marquées qu’elle sachant ce qu’elle a déjà subi depuis 24h.
C’est le moins qu’on puisse dire. Elle est toujours nickel. Si ça, ce n’est pas une preuve qu’elle est l’élue !
Dis ! Elle se cache où, ta biquette ? Je ne l’ai pas encore vue, moi.
Elle va arriver. Prends un coup de Porto ! Il y en a plus dans cette maison que chez l’importateur.
Si on prenait une petite BT-GT en regardant ses vidéos en l’attendant…Il faut quand même une grosse demi-heure pour être dedans, non ?
Oui, une demi-heure à une heure. L’élue doit être en plein dedans maintenant.
J’étais franchement mal à l'aise pour elle. La dernière once de lucidité qu’il me restait me recommandait de déguerpir avant que mon esprit ne soit totalement sous la coupe de mes impatiences. Mais cette sorte jalousie maladive qui germait en moi, envers la fille du miroir, me donna la force de descendre la dernière volée d’escalier. En arrivant devant la porte, je marquai un temps d’arrêt, devant le miroir du corridor, pour lui dire un dernier adieu avant son exécution, une larme au coin de l’œil.
On lui mettra sa cagoule ?
Moi, perso, j’aimerais autant pas. C’est toujours plus sympa de pouvoir lire l’affolement dans le regard de la fille qu’on martyrise.
Finalement, si Cindy ne nous avait pas invitées, nous n’aurions jamais rencontré biquette. C’est moche qu’elle n’ait pas voulu venir avec nous.
Cindy a peur qu’Annette ne revienne à l’improviste et trouve la maison vide. Elle en est raide dingue de son Annette. De toute façon, Cindy, c’est une jouisseuse passive. Elle peut faire ça cent fois par jour avec Annette. C’est pour cela qu’elle tout de suite vu en Milli une rivale. Tu n’étais pas là mais, au souper ce soir. Cindy a déclaré qu’elle n’était qu’une amatrice et Milli une performeuse.
Tu veux dire qu’elle nous a vendu la biquette uniquement pour se venger de celle qu’elle désigne comme la coupable de sa dispute avec Annette. Je ne savais pas qu’elle était rancunière au point de tuer.
Tu peux parler toi. Nous ne nous serions pas rencontrée si nous n’avions tué.
Quelle chance d’avoir troqué ma place pour celle de la fille du miroir. Il ne fallait surtout pas qu’ils se rendent compte de la supercherie. Il faudrait que je fasse gaffe à parler à la première personne et surtout ne plus dire : « Elle veut ceci, elle doit faire cela ». Une voix sortie de nulle part me fit sursauter.

ENTRE ! Et ne te retourne pas ! Tu monteras sur la première chaise que tu verras devant toi. Je te trouve bien téméraire pour une petite fille de ton âge. Tu as oublié ton soutien et tu oses me provoquer en te fardant les aréoles.

Je ne l’ai pas fait exprès, monsieur, monsieur…

Stéphane. C’est mon nom. Le clan des louves qui t’attend derrière cette porte m’appelle Stef. Toi, tu m’appelleras S comme le Maître du Sacrifice. Un S majuscule, cela se dit grand S. Souviens t’en et surtout abstiens toi de me provoquer encore si tu veux que ta fin soit douce !

Le choc !!! G.O dans sa tunique noire et son masque scream blanc. Les cinq autres en tunique blanche et masque noir. Chacune avec une lettre majuscule rouge A-B-C-D-E sur le poitrail.
Mon Dieu que c'était bon se sentir la caresse aphrodisiaque de ce bout de tissu si rugueux quand je me suis avancée vers ma chaise. Comme un amant infatigable, il me gavait de sensations troubles et lancinantes. Par salves, des idées lubriques inavouables me montaient à la tête et me tordaient le ventre.
A peine debout, sur le siège, le déshabillé en soie de Gloria s’ouvrit tout seul et glissa en corolle sur mes chevilles. Le sacrificateur se rendit compte instantanément que ça non plus, je n’avais pas pu ne pas le vouloir.

S était vraiment impressionnant. Près de deux mètres, tunique rouge et cagoule assortie, type K.K.K. Seuls ces yeux étaient visibles et ils me disaient qu’il venait de trouver son élue. La seule chose qui me dérangeait était que ma position trop haute sur le siège m’empêchait de bien la voir dans le miroir du salon. Tous avaient les mains gantées comme s’ils ne voulaient pas laisser d’empreintes.

N’abandonnez jamais vos gants ou du moins, gardez toujours vos gants en latex en-dessous ! Il n’est pas question de laisser de traces de notre passage !

Eh bien voilà ! Qu’est-ce que je disais ?

Les louves installèrent, face à moi, une caméra motorisée tandis que S la branchait sur un ordinateur portable de dernière génération. Il glissa ensuite une oreillette sous son masque et alluma la caméra. Il posa son portable à mes pieds sur une table gigogne de sorte que je puisse bien voir l’écran.

C’est une idée de Cindy. Il fallait bien permettre à ceux et celles qui m’ont pas pu se déplacer de participer à leur façon. Belles images, non ? Le petit compteur en haut à droite, affiche le nombre de connections. Ils sont déjà trois à avoir payé mais j’espère que Cindy parviendra à en décider quelques autres. Cinq cent euros, ce n’est quand même pas très cher pour une snuff movie de deux jours. Si le bouche à oreille fonctionne comme avec les trois autres, je ne désespère pas d’attirer une vingtaine de sadiques derrière leur écran.

Mon excitation monta encore d’un cran. Les images étaient superbes mais tout le mérite en revenait à la sculpturale actrice qui se trémoussait sur sa chaise. A la limite, j’aurais presque voulu être à sa place. Et dire que je croyais que tu allais passer à la postérité, biquette ! Cela n’empêche que tu auras intérêt à te montrer séductrice en diable si tu veux faire exploser le compteur. Tu peux me faire confiance, je serai ton impresario. Commence par soigner ton jeu de jambes et tu vas les affoler !
#168848
Grand S ! Reconnais-tu en elle la belle élue dont le sang fera jaillir sur nous la lumière du Dieu Solaire ?

C’est encore un mystère pour le moment, G.O. C'est certainement un joli brin de fille de ce genre que Ra aimerait voir sacrifier pour l’emmener avec sur sa barque solaire. Je reçois des messages confus de l’astre divin. Il vous fait savoir que sa beauté et sa jeunesse lui inspirent déjà mille tourments que nous devrons lui prodiguer sans relâche.
Ca, c’est un message du Dieu de l’oreillette.
Il me demande que chacun de vous aille au bout de ses désirs et de ses plaisirs avec la suppliciée. Il s’adresse à toi, biquette et me demande quel est ton nom.
Attention, ne pas se tromper surtout. Si je lui dis Emilie, il va me zigouiller. Comme je ne connais pas le nom de la fille du miroir, je ne peux pas lui donner. En plus, il risque de se fâcher tout rouge comme sa cagoule s’il se rend compte que j’ai mis quelqu’un à ma place. Tout s’embrouille dans mon cerveau rongé par la drogue. Je n’arrive même plus à faire une phrase correcte.
Je suis impressionnée grand Q par le Dieu Ra…tout se mélange dans ma tête…
Je ne m’appelle pas grand Q…
J’ai l’esprit embrumé…je ne sais plus...je croyais que vous vous appeliez Grand Q avec vos grands R...
G.O prit ma défense avant que la main de S ne me brise les cervicales.
Cindy l’a peut-être un peu trop chargée en pilules. Je lui avais dit que le sérum de vérité pouvait donner des réactions bizarres. Nous, nous nous sommes contentées d’une pilule de BT-GT chacune.
Cela ne me dérange pas. Au moins, elle ne pourra pas tricher. Vous allez l’écharper si vous avez pris cette pilule.
Elle en a pris deux ou trois…peut-être plus…
Je comprends mieux pourquoi elle a un sexe à la place du cerveau. Bon ! On va faire simple. Tu t’appelleras « LOLITA » et moi, grand S. Faut pas que cela tourne au film comique, non plus !
Moi je m’appelle Lo…lita…
Moi je m'appelle Lolita
Lo ou bien Lola
Du pareil au même
Moi je m'appelle Lolita
Quand je rêve aux loups
C'est Lola qui saigne
Quand fourche ma langue
J'ai là un fou rire
Aussi fou qu'un phénomène
Je m'appelle Lolita
Lo de vie, lo aux amours diluviennes

{Refrain:}
C'est pas ma faute
Et quand je donne ma langue au chat
Je vois les autres
Tout prêts à se jeter sur moi
C'est pas ma faute à moi
Si j'entends tout autour de moi
Hello, helli, t'es A (L.O.L.I.T.A.)
Moi Lolita
Moi je m'appelle Lolita
Collégienne aux bas
Bleus de méthylène
Moi je m'appelle Lolita
Coléreuse et pas
Mi-coton, mi-laine
Motus et bouche qui n'dit pas
A maman que je
Suis un phénomène
Je m'appelle Lolita
Lo de vie, lo aux amours diluviennes…
C’est ça, c’est ça. Exactement. Tu chantes très bien mais tes fans aimeraient t’entendre supplier maintenant. Enlevez-lui son bandana dans les cheveux et faites-lui deux petites couettes avec les cheveux qu’il lui reste ! C’est le 23 qui nous le demande.
Le compteur affichait déjà 28 « visiteurs » !!!
Le 24 et le 27 demandent de redevenir un peu sérieux et d’utiliser les bracelets qu’elle porte aux coudes et aux poignets pour lui retourner les bras dans le dos. Ainsi, elle présentera idéalement ses lolos et gardera toujours une fière attitude, digne de la chienne de race que je vais dompter en public. Tu aimes te regarder dans le miroir, on dirait.

J’ai cru qu’elles allaient m’arracher les épaules mais le résultat était stupéfiant. Lolita était vraiment trop chou.

Très fonctionnels ces bracelets de cuir blanc. En as-tu d’autres ? Il y en a plein dans la malle du grenier…derrière la porte juste après le rack…

Va voir ce qui se cache dans ce grenier, A ! Et surtout à quoi ressemble ce rack. Je pensais que vous aviez fait un état des lieux complets, G.O.

A part qu’il y des miroirs partout, aucune pièce ne me semblait plus propice que celle-ci pour l’immoler. Nous nous étions dit, vu la proximité de la cuisine, qu’il y aurait moyen de stériliser vos instruments, avoir de l’eau bouillante en quantité pour faire la cuire à petit feu et même lui cramer les seins sur les plaques de cuisson.

Et frustrer ces fans d’une lente et pénible agonie…Ils sont déjà une cinquantaine en ligne. Demande leur avis d’abord !

Et le mien, il ne compte pas ? Je pourrai vous aider pourtant à torturer Lolita…Je connais un passage secret…

Nous avons déjà visité de fond en comble la maison. Elle est destroy, tu ne le vois pas.
Vous n’avez pas poussé la porte dérobée, cachée au fond du placard, dans le bureau du papa de tantine.
F, va voir ! C’est juste à côté. Mets tes pieds sur le bord de la chaise et cambre-toi quand tu me parles ! B et C, caressez-lui le sexe ! C et D, faites-lui les seins ! Je ne récolterai les fruits célestes que lorsqu'ils sont mûrs et juteux.
Mon désir était redevenu plus impatient que jamais. Avec des grâces de somptueux félin, Lolita vacillait dans la bousculade de ses sens portés au rouge. B glissa sa main entre mes jambes et commença à me caresser l'intérieur des cuisses, là où la peau est tellement douce et où personne ne pense jamais à s'arrêter. Son geste n'était pas brusque quoique autoritaire et ne me semblait pas menaçant et pourtant, elle me faisait déjà souffrir comme si elle m’arrachait un adducteur.

Tes jambes sont magnifiques et ta peau si douce…Comment fais-tu pour avoir la peau si satinée ?

J’évite les coups de fouet et les fessées et j’utilise à la place une palette de produits de beauté hors de prix.
Elle me donna une petite claque de rien du tout sur les fesses et je poussai un cri à réveiller un mort.
Il ne sera même pas nécessaire de lui faire mal pour l’empêcher de jouir, elle souffre le martyre dès qu’on la touche. C’est typique du BT-GT et elle en est saturée.

En tout cas, cela ne l’empêche pas de mouiller.

A était redescendue du grenier, un grand sac dans chaque main. A droite, la poudre d’ange parfumée au jasmin et une série de bracelets en cuir blanc. A gauche un assortiment de fouets, cravaches, triques et autres badines.
Et le rack ?
Enorme, massif mais horizontal et intransportable. Et tout humide de sa mouille encore chaude…
Les images d’une fille couchée expirante, ce sera nul pour nos spectateurs. Tiens, voilà F !
Rien trouvé. Des miroirs sans tain, une petite pièce dans une sorte d’armoire avec un tableau représentant une fille torturée par une centurie de romains.
Juste à l’instant où le compteur vient de dépasser les cent connectés.
Il se tourna vers moi, l’œil mauvais.
C’est curieux, j’ai l’impression d’être au milieu d’un champ de jasmin en fleur. Qui a osé te mettre de la poudre d’ange sur le sexe avant le début de ton agonie ?

C’est moi, grand S. Mais je regrette, je regrette, je regrette. Ce string, c’est une torture permanente qui ne laisse plus ma chatoune en paix. Jamais plus je ne porterai de sous-vêt. Promis !

C’était vraiment paniquant de voir sa main toucher mon string car ma petite fente était déjà au comble de l’excitation sans le moindre attouchement. Quand son doigt en latex effleura mon titi à travers le string, cela me fit le même effet que la pénétration brutale de l’aiguillon.

Je pense que je viens de toucher la corde sensible. Et comme, ça fait mal ?

Il fit légèrement glisser le tissu sur mon bouton et ce fut pire qu’une piqûre venimeuse d'un serpent.

Très très trèèèès !

Je recommence alors…

Non ! Attendez ! Je serai une martyre docile mais permettez moi de retirer mon cache-sexe, je vous conduirai ! Il n’y a pas de miroir mais plein de vieux engins de torture dans la première pièce. Puis un escalier en pierre qui descend jusqu’à la salle des tortures. J’y suis passée très vire une fois.
Coupe-lui les lacets, C ! Je ne sais pas pourquoi mais je la crois sincère. Lolita ne déteste pas souffrir, je crois. Elle a l’air de prendre ce qui va lui arriver comme un cadeau du Dieu Ra. Es-tu bien consciente, Lolita, de ce tu vas endurer dans ta chair pour que je perce ce mystère et que tu prennes place dans la barque divine ?
Le pauvre. S’il savait qu’il s’apprête à sacrifier une usurpatrice qui va subir le calvaire de sa vie à ma place. Si je ne me décide pas à répondre à sa place, la pauvre choutte est tellement terrorisée qu’elle ne le fera pas. Je sais pertinemment que je souffrirai aussi mais cette garce ne tiendra jamais aussi longtemps que moi avec un nid de guêpe en furie qui va se libérer quand tombera son string. Attend un peu ! Tu vas voir ce que je peux faire à celles qui me font de l’ombre.
Est ce que je peux parler aux téléspectateurs, Monsieur S ?
Si ce n’est pas pour dire des conneries, pourquoi pas ? Il serait intéressant, par exemple que tu nous expliques ce que tu attends de nous. Ta collaboration bienveillante reste un mystère pour tes spectateurs.
Je me sentais plus que nue et n’attendais plus qu’une chose, c’est qu’ils me détachent les bras pour que je puisse mettre une main entre mes cuisses et l’autre sur mes seins. Comme un animal qui se lècherait pour apaiser sa souffrance. Mais le string, personne ne pensait plus à m’en débarrasser. E poussa la porte du salon. Elle était survoltée et essoufflée.
Lolita n’a pas menti. C’est le musée de l’Inquisition ici. Le pompon, c’est la salle du bas. Une grande rotonde avec au milieu, une croix de St André verticale. Des tentures mauves sur tous les murs et derrière, des miroirs qui tapissent tous les murs. Et tout ce qu’il faut pour corriger ses défauts et la purifier.
Vous aurez beaucoup de travail parce que des défauts, j’en ai tout plein, tout plein. Les filles ont essayé toute la matinée mais elles étaient trop maternelles avec moi et l’après-midi, les garçons aussi mais ils étaient trop peureux. Vous, vous êtes des vrais méchants.
Ca, c’est le sérum de vérité. Parle un peu comme une grande fille au lieu de gagatiser !
J’essayai de lui répondre le plus intelligemment possible en faisant feu de tous mes charmes pour qu’il libère enfin mon Titi qui était de plus en plus à l’étroit.

Je n'ai rien sous mon string, pas même des poils. Enfin, si un gros clitoris qui attend que vous libériez vos pulsions sadiques pour me purifier de mes défauts. Je n’ai jamais été dans un pareil état de manque et je ne saurai plus me retenir longtemps toute seule. Il a envie d’essayer tous ces nouveaux jouets avant de faire un tour en barque.
Ca, c’est le BT-GT.
Mon cœur avait parlé et mon sexe n’en finissait pas de ruisseler.

Tout le monde en bas, avec la caméra, l’ordi et Lolita. Crains la cruauté divine, Lolita ! Tu verras que tu jouiras plus fort de ne pas jouir car ton désir ne connaîtra plus de limites.

Ma seule crainte est de savoir si vous parviendrez à satisfaire mon masochisme.
Ca c’est congénital. Les suggestions et les critiques, toujours constructives, des uns et des autres, me permettront de faire de ton corps un festin dont se régalera notre Dieu. 100 bourreaux qui collaborent…
115, Stef !
115, c’est plus qu’il n’en faut pour te punir.
Elle recevra vos punitions comme un cadeau.

Qui ça, elle ?

Ben, Lolita…

Attends ! Donnez-moi aussi une pilule BT-GT ! Il n’y a aucune raison que je sois en reste. Les petites garces bronzées m’ont toujours fait craquer mais toi, tu as vraiment l’art de me galvaniser.

Vous êtes tous trop mimi. N’hésitez pas à me contraindre aux pires épreuves car je sais que je suis encore loin d’être parfaite.
Pour cela, tu devras, femelle, du crépuscule au lever de l’astre, observer l’abstinence orgasmique que Ra t’imposera contre ta misérable volonté. Au lever du jour, ton sexe meurtri explosera en orgasmes torrentiels sur nos têtes impures sous les supplices que Ra exigera et qui affluent déjà dans mon oreillette. Le combat sera long, âpre et difficile avant que ton corps nouveau pose le pied dans la barque solaire.
Quand mes pulsions sont cajolées de la sorte, je suis fichue de me lancer dans m'importe quelle folie, même la moins praticable. Mon esprit, gagné par la confusion des mes sens et ses paroles hypnotiques, s’était mis au diapason de la grandiloquence de Monsieur S.

Grand S de mon cœur, aides moi à différer mes orgasmes car je crains de ne plus être assez forte bien longtemps ! Ravivez sans cesse mon désir par des supplices toujours plus cruels !
Je sens que je vais te faire plaisir, Lolita. Avec la multiplication des talents rassemblés sur le net, j’ai la certitude que tu seras rapidement plongée dans le Nirvana masochiste que tu attends.
Il faudra maintenant payer de ta personne, jolie Lolita. Tu peux trembler. Je t’avais prévenue que je ne supportais pas les filles plus belles que moi.

Les six louves et moi avions pris la tête du cortège. S et G.O nous suivaient à une certaine distance tout en filmant et en devisant. De temps à autre, S s’arrête pour faire un gros plan tantôt sur une potence, tantôt sur un pilori. Mon string était devenu un pur supplice pour mon sexe. Mon clitoris était titillé en permanence par la laine de verre. A chaque pas qui me menait vers mon destin, je me sentais m’enfoncer dans un délire masochiste mémorable. Plus nous avancions, plus cela devenait, vu le foutoir entassé. Cela s’apparentait carrément à une traversée du Sahara à la rame. Tout me revenait en mémoire maintenant. Tantine m’avait souvent conté que son arrière grand père s’était, jadis, porté acquéreur d’une ruine du dix-septième siècle, vestige des fortifications érigées pour protéger la ville. La bastide, qu’il avait fait restaurer pour en faire sa demeure, était le dernier vestige existant de la citadelle de Tournai, édifiée par Vauban au cœur de la cité frontalière. On le disait relié au centre ville par quelques galeries oubliées. La capitale de Clovis est truffée de ce genre de galeries inexplorées et en grande partie rendues inaccessibles par les constructions anarchiques de ces derniers siècles. Le réseau de souterrains dont les plans sont soigneusement conservés à l’Hôtel de Ville de Tournai, serait d’ailleurs plus étendu que celui des catacombes de Paris.

Quels trésors enfouis se cachaient encore dans ces vieilles pierres perdues aujourd’hui à plus de cinq kilomètres de la ville. Cette question, je me la suis posée mille fois. Et rien que le fait de me la poser suffisait pour emballer mon imagination fertile et aviver mes fantasmes.
Ma curiosité maladive m’avait souvent poussée à trouver une réponse mais tantine me disait que l’accès avait été condamné depuis belle lurette. Tout ce qu’elle a, un jour, accepté de me révéler est que la principale motivation de l’achat de cette ruine par son arrière grand père était le gigantesque réseau de galeries attenant au fortin. La restauration de plus de deux kilomètres aurait été nécessaire pour entreposer sa collection inestimable d’objets d’art. C’est la vente de ses merveilles qui aurait assuré la sécurité financière des trois générations qui l’ont suivi. Ensuite, il aurait bloqué tous les accès à ces galeries. Il n’y a guère qu’une bonne année que Tantine m’avoua que l’arrière grand papa y entassait tout ce qui touchait de près ou de loin aux instruments de torture qu’ils soient issus du Moyen Age européen ou des brillantes dynasties orientales. Que ce musée aurait été passionnant à visiter si le grand père n’avait pas dilapidé ses collections ! Elle me répondait que ce n’était pas le genre de galeries qu’on ouvrirait facilement au grand public. Tantine ne parviendrait jamais à me faire croire que les instruments de mort que je voyais tout autour de moi n'étaient plus ici que des objets d'art et de toute façon, je n’avais aucune envie d’y croire.
Le rack du grenier devait certainement être une des dernières pièces invendues avec celles qui encombraient le large couloir menant à l’escalier du sous-sol. Au fur et à mesure de notre progression, mes sens chaviraient tant la vision des gibets et piloris qui côtoyaient des carcans et autres joyeusetés exercèrent un effet aphrodisiaque sur ma libido. Complètement désinhibée, je ne désirais plus qu’une chose, vivre le plus intensément possible les épreuves qui m’attendaient.
Devant la porte du sous-sol, le cortège s’arrêta. Sur la battante, une inscription…
« Toi qui entres ici, laisse toute espérance ! »
#168853
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Qui pourrait m'expliquer pourquoi plus de 7.500 consultations de ce topic engendre aussi peu de commentaires?
Je suis bien un peu (beaucoup) hors sujet mais je crois que l'explication est à trouver ailleurs.
Au premier de rayon de soleil, je penserai à moi et mettrai fin à ce qui devenu du pur fantasme, évidemment. Na! Et jamais vous ne saurez combien le Dieu Ra peut être sadique avec les filles.
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#172170
Joyeux Noël de Puerto Banus où le soleil est attendu demain et pour toute la semaine.
La suite...


S entrouvrit la porte et actionna l’interrupteur.

L’endroit me semble propice à la célébration du culte et c’est un euphémisme. Il y a trente ans que j’attendais cela.
Ecoute moi bien ma biche ! Tu as deux façons de vivre tes dernières heures. La première est celle que tu adoptes depuis que ton déshabillé est tombé comme par hasard de tes épaules : la provocation, l’impertinence et les appels du pied pour que nous t’éclations comme tu l’espères. Je hais cette attitude. Elle va te mener droit dans le mur. Continue comme ça et G.O va te sectionner rapidement les doigts et les orteils, phalange par phalange avant de t’amputer les seins et de terminer en te tranchant la gorge. La seconde, que je te conseillerai de choisir pour t’éviter des mutilations précoces, serait la voix que j’appellerais de la collaboration suppliante non directive. Un exemple vaut mieux qu’un long discours. Si tu me dis encore une seule fois grand S de mon cœur pour me ridiculiser en direct devant mes clients, voici un échantillon de ce qui t’attend.

Emportée par l’excitation, je ne m’étais pas rendue compte à quel point je les avais vexés en me montrant arrogante sans le vouloir. Mes paroles n’étaient que la simple expression de l’excitation colossale, accentuée par la drogue certes mais aussi par la mise en scène. Mon statut de prisonnière nue m’échauffait terriblement. Pour tout vous dire, je ne croyais pas une seule seconde que je serais sacrifiée. Pour moi, il ne s’agissait encore que d’un jeu érotique qui fouettait somptueusement ma libido.

L’ambiance devint subitement électrique. Plus un bruit, plus un cri d’oiseau. Même les vagues ne roulaient plus mais se cassaient en glissant sous la porte de la salle des supplices.

Tu vois cette trique souple. C'est un ami vietnamien que j’ai connu en prison qui me l'a offerte. Ses deux sœurs jumelles sont dans les mains de A et B. N’Guyen y tenait comme à la prunelle de ses yeux. Un vieux souvenir des instruments utilisés pour faire parler les prisonniers américains récalcitrants. Dans ton cas, je les utiliserai pour te faire taire quand tu seras trop arrogante ou pas assez prompte à obéir.

Le coup de A partit à la vitesse de l’éclair et me cueillit sur l’aine, suivit aussitôt par une autre de B sur le sein me catapultant pratiquement dans les bras du grand S avec un s comme satyre. La douleur fut telle qu’aucun son ne sortit de ma bouche. Les cinq louves riaient aux éclats. Je me demanderai toujours pourquoi. S m’attrapa par les bracelets, me plaqua le dos contre son ventre et renversa ma tête en arrière. Nos visages se touchaient presque. Il déboutonna fébrilement sa chasuble. Je sentis la chaleur de son sexe qui cherchait mes mains. Il m’invita autoritairement à m’en saisir.

Montre-moi comment tu faisais avec les garçons au tennis !

Les nouvelles vont vite. Il est propre au moins, votre gros bâton qui fait pipi.

J’aime beaucoup quand tu fais le bébé, Lolita. En tout cas, je supporte mieux cela que tes railleries quand tu fais la grandiloquente. Prends ton temps ! Moins vite je jouirai, plus tu souffriras.

A et B devaient être sœurs jumelles. Elles exprimèrent, d’une même voix, leur envie de l’instant…

J'adore zébrer les jolies cuisses surtout aussi bien présentées.

Les quatre coups suivants étaient destinés à me faire vraiment très mal. Mes fémurs les ressentirent comme de véritables fractures. Impossible de tenir encore debout sur mes jambes flageolantes ! J’essayai tant bien que mal, tous ongles ressortis, de m’accrocher au pénis du sacrificateur bouleversé par cette technique masturbatoire inédite. Il commença à éjaculer dans mes paumes avec un cri de bête égorgée. Je pris peur et me débarrassai très vite de l’encombrant objet polluant.
Vite ! Reprends-le !
Non, non ! Il est trop dégoûtant…
Le moins que je puisse dire, c’est qu’il ne me remercia pas. Mes cuisses, par contre, bénirent Ra de m’avoir choisi un éjaculateur précoce en guise de grand prêtre.

Avec insistance, il me demanda de reprendre son zob dans mes mains mais dut rapidement déchanter. Un bref coup d’œil par-dessus mon épaule et…

Il est où votre instrument ??? Ah là ! Excusez-moi ! Je suis myope et il est beaucoup trop petit.

Il reboutonna sa chasuble rouge pour cacher, pour cacher, …pour cacher quoi, en fait ? Il n’avait plus rien à cacher.

C, tu aurais pu arrêter de filmer !

Comme un faucon tournoyant au-dessus de sa proie, S se mit à tourner autour de moi, me scrutant, m'inspectant, me griffant superficiellement les fesses.

Le BT-GT a porté ta libido dans la stratosphère et tes pulsions masochistes encore plus haut à entendre les forfanteries que tu déblatères. Revers de la médaille, la moindre douleur t’est déjà insupportable mais tu devrais atteindre un pic hyperalgique dans une heure ou deux et le conserver un minimum de 24h si tu as pris deux pilules… et plus encore sur tu en as pris trois.

Il ne faut pas bouder, monsieur ? Ce n’est pas de ma faute quand même si vous ne savez pas vous retenir.

Il ne répondit pas. Finalement, il ne devait pas être si mécontent de moi car il me coupa nerveusement les lacets de ma petite culotte en laine de verre. Quand mon string tomba à mes pieds, j’ai cru qu'il allait me violer sur-le-champ mais il n’en avait plus les moyens. Il découvrit une petite vulve trop lisse et trop humide pour être honnête.

C ! Gros plan sur le ventre de la bécasse !

Il fallait vraiment que je sois prisonnière de mes sens pour accepter de m’offrir ainsi en spectacle à une centaine de pervers, entourée de la plus grande concentration de sadiques au mètre carré de par le monde.

D écarta précautionneusement mes cuisses pour exposer malicieusement la face interne de mes grandes lèvres gorgées de sang et scintillantes de rosée à la caméra. S commençait à perdre tout contrôle à nouveau.

Moi, tu vois, des pilules, je n’en ai pris qu’une seule et j’en ressens déjà les effets sur mon agressivité qui grimpe en flèche. Si je suis contrarié, je ne risque pas…je vais devenir incontrôlable.

L’homme de Cromagnon dans toute sa splendeur, le S, après métabolisé sa pilule. Durant notre discussion, son bassin se posait régulièrement et insidieusement sur mes fesses J’étais heureuse pour lui et fière de lui faire de l’effet car son zizi regonflait plutôt pas mal sous sa robe rouge.

Mes divertissements sadiques me laissent souvent un goût d’inachevé. Soit que la gonzesse est trop vieille ou défraîchie, soit qu’elle n’est pas assez endurante pour supporter tout ce que j’ai rêvé de lui faire. Pour une fois que j’ai une pucelle sous la main, maso de surcroît, du personnel pour s’en occuper et un réseau créatif pour me seconder, je ne voudrai, sous aucun prétexte, rater ton exécution. Tu es belle, intelligente, libérées d'arrière pensées idiotes et contraignantes.

Oui, Grand S ! Tout le monde le dit que je suis une belle, allumeuse…et une idiote aussi parfois…

Tu es encore vierge, parait-il ?

Oui, il parait ! Pourquoi ?

Tu vas très vite comprendre.

Il déboutonna à nouveau sa chasuble et inséra son pénis entre mes fesses qui, par réflexe, décidèrent de ne pas lui ouvrir le passage.

Tu vas me laisser te déflorer sans faire ta douillette devant la caméra. En échange, G.O ne te couperas pas les doigts. Ce n’est pas vrai, ce n’est pas vrai, ce n’est pas vrai…

Eh si ! Le grand S devait me trouver irrésistible car il avait à nouveau éjaculé prématurément. Il se tourna, honteux, vers G.O comme s’il guettait une éventuelle réaction de jalousie qu’elle a d’ailleurs plus qu’esquissée.

Rentre chez nous immédiatement ! Ce n’est pas seulement ta femme qui le dit, c’est 93 % des connectés. Ils n’ont pas payé pour voir ça.

Ils ont payé pour quoi, alors ?

Un mec primaire comme toi sera toujours incapable de comprendre l’émoi d’une dominante face à une adolescente en rut dont le corps réclame des tourments plus subtils que de stupides mutilations ou un viol.

S sentit tout le poids des yeux des six louves sur sa médiocrité.

Fous le camp tout de suite et ne m’oblige pas à sortir ma lame ! Nous allons continuer entre femmes, Stef. Laisse-moi ton oreillette ! O.K ?

Le mâle déchu partit, la queue entre les jambes, sans demander son reste.

Pousse la porte, Lolita ! Nous avons déjà perdu assez de temps.

Merci, madame G.O ! J’aime bien quand des grandes personnes m’imposent leurs envies mais plus encore quand ce sont des femmes.

Nous sommes débarrassés des mecs. Rassures-toi, Lolita ! Le carnet d’adresses de Cindy ne contient pratiquement plus que des femmes…123 femmes en ligne actuellement qui estiment que ton fruit est juteux à souhait et qu’il ne faut pas traîner pour le consommer !

Trop contente ! En remerciement, je me suis engagée à les satisfaire quoiqu'elles puissent me demander. G.O précisa immédiatement que « Elles », cela impliquait les exigences des 123…

Tant pis si je suis crucifiée, c’est bon pour la fermeté de mes cuisses et la tenue de mes seins. Mais vous aviez promis de me faire mousser avant…

Cela dépendra de ce qu’elles décideront. Pour le moment, elles veulent que je leur montre ton sexe. Voyez ! La fente sexuelle est longue et fine et les petites lèvres joufflues et finement dentelées. Le clitoris est robuste et très érectile. Athlétique, c’est le terme exact. Athlétique et vigoureux.

Mon titi s’était mis au garde à vous sous la caresse de la Grande Ordonnatrice.

Attentioooon ! Il est trop sensible, G.O. Doucement… Doucement…

Tu sais mieux que quiconque ici que si je te touche là, cela te fera monter encore plus haut…

Attentioooon ! Je ne saurai bientôt plus me retenir si vous continuez…C’est foutuuuuu….

Elle s’empara de mon clitoris saillant et tira dessus comme pour le dévisser. L’orgasme reflua dans un premier temps pour ressurgir presque aussitôt, plus violent encore, dès qu’elle reprit Titi entre ses doigts. Mon corps n’était plus que spasmes et frissons.

N’aies crainte, tu sauras te retenir ! Toute stimulation sexuelle engendrera une douleur intense qui prendra toujours le pas sur le côté gratifiant. Nous ferons ce qu’il faut pour t’apprendre à te retenir.

J’apprendrai très vite les matières qui m’intéressent. C’est divin de se retenir ainsi…Mon titi est trop content de s’être fait plus de cent nouvelles copines d’un coup.

Elle me provoqua un frisson solennel en passant sa main griffue et rêche sur mon sexe tandis que A et B me caressaient les jambes pour me faire frissonner davantage encore.

C’est vrai que cette petite cochonne précoce possède des cuisses en béton et des abdominaux de sportive. Quand pourra-t-on la fouetter, G.O ? Je suis certaine que Lolita aimerait tonifier sa musculature.

Pour le moment, c’est son Titi que nos internautes veulent muscler…

Mon bas-ventre était devenu dur, gonflé, lourd d'un désir brutal dont j’avais honte, tandis qu'une coulée brûlante inondait ma vulve. Je fais partie des filles pour lesquelles le danger monte rapidement à la tête comme un puissant stimulant.

Vous ne pouvez pas imaginer à quel point je ressens une excitation perfide à vivre la prolongation d'un prélude douloureux sur mon sexe baillant. Elles sont d’accord alors pour bichonner mon vilain Titi ?

En quelque sorte. Elles aiment mieux ton clitoris que ta jolie petite gueule et ta langue trop bien pendue. Tant que tu ne jouiras pas, ta masturbation, sous toutes ses formes, continuera. A nous de ne pas te laisser pas jouir. Le contrat est clair, il me semble.

Très clair, mais il comportait quelques codicilles.

Mais elles disent aussi qu’elles veulent voir Lolita souffrir, pas s'envoyer en l'air!

Elles ne veulent plus tuer Lolita, alors ?

C’est toi qui leur demanderas de la tuer….

C’était toujours mieux que d’être déchiquetée par le fouet. Finalement, j’étais assez contente de la transaction. Je m’en tirais quand même sans dommage apparent, hormis mon clitoris de plus en plus grésillant d'exaltation.
G.O m'avait mis totalement sous sa coupe comme seule peut le faire une femme qui ne fait pas de sentiment. En moins d’une minute et quelques mots, elle m'avait réduite à l'état de marchandise à exploiter implacablement.
La porte de la salle des supplices s’ouvrit en grand sur mon nouvel et ultime univers. Le bal masqué prit une tout autre tournure. Je compris vite pourquoi les jumelles A et B s’étaient éclipsées depuis dix minutes. Des dizaines de fouets à lanières multiples étaient alignés en demi-cercle autour de l'arène. La croix en X que je n’avais qu’entrevue hier matin, occupait toujours le centre de la pièce mais avait perdu ses sangles. De grosses cordes de chanvre les avaient remplacées. Les tentures mauves étaient ouvertes et une dizaines de miroirs accolés couvraient la quasi-totalité des murs de la rotonde. Devant chacun d’eux, un instrument de torture attendait sa proie. Je ne pus cacher longtemps la fascination qu’exerçaient sur moi ces engins dont je ne comprenais pas l’utilité. Mes mains pressèrent très fort ma petite chatte bouillonnante de désir.

Tu viens de montrer ton sexe ouvert à plus de cent personnes, ce n’est pas pour le cacher cinq minutes plus tard alors que tu n’es plus parée que de ta seule innocence. Ecarte les jambes dans le champ de la caméra et mets tes mains derrière ta nuque ! Tu resteras dans cette position tant que tes jambes te porteront. Tu verras que cela peut être bien plus épuisant que d’être couchée sur un rack.

C’était la chose la moins difficile qui m’avait été imposée aujourd’hui et je m’exécutai joyeusement. Le ballet des sorcières commença. Elles m’entourèrent avec des gestes tendres, comme si elles venaient de m’adopter mais mon petit doigt me disait qu’en fait, elles se tenaient prêtes à torturer ma petite fente qui trépignait d’impatience.
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