Pour ceux qui veulent lire les 11 premiers chapitres d'un seul tenant, les voici avec une photo d'une partie de ma petite personne.
Le parcours d’une fille gâtée par la nature et corrompue par la vie.
INTRODUCTION
Je dédie ce texte à toi, Michèle, qui a su comprendre mon besoin d’appartenance. A toi, Léna, dont l’imagination débordante parvient à éveiller mes sens chaque jour que Dieu fait. Mon intrusion dans votre couple aurait pu le briser mais votre abnégation à me partager n’a fait que le renforcer. A mes sœurs de chair qui m’humilient et me châtie toujours avec tant d’amour.
Des évènements récents et votre insistance me poussent aujourd’hui à vous livrer et vous faire partager mes émotions sur ce topic dans un texte qui prendra la forme d’une fiction que vos amies prendront, je l’espère, plaisir à lire.
Je ne sais pas où je vais, ni où nous allons. Cela me donne l’impression de me mettre un bandeau sur les yeux pour que personne ne voie pas mon regard pendant que je vous livre mes obsessions et mes pulsions les plus sordides.
En m’inscrivant sur ce groupe, je fais la même démarche que lorsque je me suis présentée, vêtue de mon short fétiche, celui qui me fait des jambes si longues, chez les deux femmes qui venaient de m’engager. Je me suis dit qu’ici mes pulsions ne feraient pas peur et que je pourrai m’abandonner. Plus je perds la tête en me livrant, plus mes sens s’affûtent. Comme pour mes patronnes qui n’avaient d’yeux que pour mes tétons qui déchiraient la fine étoffe du petit top étriqué qui présentaient mes seins comme sur un plateau. J’espère que ces quelques lignes parviendront à vous communiquer la même excitation que je prendrai à les écrire. Mon excitation est très forte quand je lâche prise. Pardonnez-moi si je deviens trop brouillonne ! Je reçois des images très érotiques quand je laisse mes pensées tourbillonner dans tous les sens. Et je deviens ingérable tant que je n’ai pas reçue la fessée.
Vous aurez compris que je suis une affreuse masochiste mais une maso festive. Mais ma soumission est avant tout, pour moi, un formidable terrain de jeux
ACTION
Je m’appelle Emilie et viens d’avoir 24 ans. J’ai vécu une enfance heureuse et une entrée en adolescence catastrophique. Mes parents étaient des gens respectables mais carriéristes. Tellement obnubilés par leur travail qu’ils me laissèrent orpheline au sortir d’un divorce si déchirant que la belle-sœur de maman finit par obtenir ma tutelle à l’aube de mes quatorze ans.
Tantine Mireille s’est montrée admirablement bienveillante avec moi malgré qu’aucun sang commun ne nous unisse. Vieille fille, plus par tendance homosexuelle que par vocation, elle m’a toujours considérée comme la plus belle chose qui lui soit arrivée dans sa vie. Et la vie de tantine ne fut pas toujours rose. Elle qui allait de déception amoureuse en extorsion de fond par l’une ou l’autre concubine ne pouvait malgré tout s’empêcher d’étaler sa fortune comme un appât miraculeux pour s’attirer les complaisances de filles plus ou moins jeunes en détresse. Jamais elles ne restaient plus d’une semaine et chaque fois, tantine pleurait à chaudes larmes. Si elles revenaient, c’étaient pour leur demander, ou lui voler de l’argent.
Je n’oublierai jamais le jour de l’anniversaire de ses cinquante ans car il coïncidait à un jour près avec le mien. C’était un samedi et je me faisais une joie de revoir maman de retour au pays après plus de trois mois d’absence. Tantine pleurait encore sa Xième déception amoureuse. Moi, je m’étais payé une chute de vélo mémorable en rentrant du collège et j’étais couverte d’hématomes et de pansements. Pour couronner le tout, maman se pointa avec un Saoudien qui ne parlait pas un mot de français et qui se faisait traduire chacune de nos paroles et inversement. C’était un très bel homme mais qui, sans honte, avoua à tantine avoir 22 ans de plus que maman qui frisait pourtant la quarantaine. Toujours ce carriérisme exacerbé. Maman allait se marier avec un promoteur international qui assurerait la prospérité de son entreprise d’air conditionné pour les années à venir. Elle l’avait rencontré en Lybie et ils étaient devenus rapidement inséparables au point qu’il lui avait proposé de devenir sa troisième épouse. Comment refuser une telle proposition ?
Une chose me frappa d’emblée. Le polygame pervers s’intéressait plus à mes cuisses qu’à l’outrageux décolleté de maman. Ce qu’elle ne manqua pas de lui signaler en spécifiant mon âge. Il lui répondit que dans son pays, à cet âge-là, je serai déjà promise voire mariée.
Le primate s’approcha de moi et remonta le pull que je portais à même la peau en m’arrachant par inadvertance le pansement que le docteur avait mis si longtemps à faire tenir en place et qui recouvrait la moitié de mon ventre. Au lieu de s’excuser, il nous fit un exposé sur les us et coutumes de son pays. Il nous fit comprendre ses critères esthétiques de la beauté féminine en me palpant les seins. Pas besoin de traduction pour comprendre ça. Visiblement mes seins tendus et mes cuisses fermes correspondaient plus à ses critères que le physique de ma pauvre maman. Son regard maternel courroucé me fit croire que j’avais une opportunité de briser la future union et peut-être d’empêcher maman de faire la bêtise de sa vie. Et surtout de m’abandonner définitivement. Je me suis débarrassée de mon pull et de ma jupette de tennis sur laquelle le pansement collait à mort, m’arrachant la moitié de mes petits poils pubiens. Il n’en fallut pas plus pour emballer la libido du satyre dont les paroles probablement obscènes ne furent pas traduites par maman. S’ensuivit une querelle verbale à distance tandis que j’enlevai innocemment ma blanche culotte, juste bonne à mettre à la lessive car recouverte d’isobétadine brunâtre. Tantine ne pria de monter me changer avant qu’ils n’en viennent aux mains. Ce n’était pas un spectacle pour une fille de mon âge. C’était trop tard déjà. Maman le gifla avant de s’en prendre à moi de la même façon. Elle entraîna son amant vers la sortie et tantine par la même occasion. Ils discutèrent une dizaine de minutes sur le pas de la porte que maman n’ouvrit que pour me dire adieu, sale petite mal élevée. Je courus vers elle pour la retenir mais elle me repoussa ainsi que tantine qui essayait vainement de s’interposer. Les derniers mots qu’elle prononça résonnent encore à mes oreilles : « J’aurais du savoir que de te faire élever par une gouine ne pourrait faire de toi qu’une putain ». La porte de mon enfance venait de claquer définitivement. Non ! Elle s’entrouvrit et une main jeta une enveloppe épaisse comme un bouquin. Tiens ! C’est de la part de ton père.
Je n’ai même pas versé une larme sur cette déchirure abominable de mon deuxième abandon maternel. Dans un premier temps, Tantine m’expliqua ce qu’était une gouine avec des mots magnifiques, parfumés d’amour véritable. Ensuite elle m’expliqua que je ne devais jamais plus me comporter ainsi devant un homme. Je n’étais plus une petite fille. J’avais atteint l’âge où les femmes deviennent belles et désirables. Ca, je commençais à m’en rendre compte mais pas pour un vieux monsieur quand même tantine. Elle me répondit que si, à plus forte raison. Et pour une gouine aussi alors, je suis aussi désirable ? Elle me gifla comme si elle avait pris ma répartie pour elle, ce qui était à cent lieues de mes intentions. Elle termina en me demandant de ne jamais plus prononcer ce mot.
Nous étions dans le pétrin. Une samedi soir, une dizaine de pansements à refaire et deux invitées à recevoir dans moins d’une heure pour fêter nos anniversaires.
Tantine décommanda promptement ses deux amies et à défaut de mieux, demanda à une de ses ex, qui était infirmière, de passer me soigner.
Marine arriva cinq minutes plus tard. Tantine m’avait déjà arraché tous mes pansements sauf ceux de mes mains et achevait de me laver. Situation équivoque s’il en est.
J’adorais Marine. Elle était très mignonne et c’était une vraie blonde, elle. C’est elle aussi qui était restée le plus longtemps à la maison. C’était aussi la seule que je regrettais.
Quand elle est entrée avec sa valise à la main, j’ai sorti la plus grosse connerie de ma vie, mais c’était le cri du coeur.
Marine, tu reviens dormir chez nous. Tu as déjà fait ta valise. Je suis trop contente. Maintenant que je suis grande, je pourrai jouer avec vous, à des jeux de grandes.
Elle ne regarda avec des yeux mi Chimène mi vamp. Elle fusilla tantine avec des yeux de louve en chasse en lui intimant d’arrêter de m’exciter et de la laisser travailler.
La valise, c’était bien entendu sa valise médicale et dans mon esprit, les jeux de grandes étaient le scrabble qu’elles faisaient tous les soirs toutes les deux pendant que je regardais la télé dans mon fauteuil avant qu’on me prie d’aller me coucher. Marine demanda à ma tante, sur un ton non équivoque si elle se contentait de me masturber ou si j’étais devenue son souffre-douleurs.
Pourquoi Marine dis-tu ça ?
Parce que je pense que tu es trop bien foutue pour qu’elle ne ressente pas l’envie de te faire du mal comme elle a voulu m’en faire aussi.
Tantine la traita de folle et lui expliqua ma chute en vélo, la perte d’usage temporaire de mes mains, etc... Marine la crut à moitié, ce que tantine remarqua. Elles se jetèrent quelques noms d’oiseaux à la tête avant que n’éclate au grand jour le motif de leur séparation. Tantine, excédée, lui balança que ce n’était pas le moment de faire une crise de jalousie. Jalouse de moi ! Marine lui rétorqua que la jalousie n’avait rien à voir là-dedans. Le seul problème selon elle était que deux femmes dominantes ne pouvaient cohabiter très longtemps même si elles s’aimaient très fort. J’avais la tête comme une pastèque et j’avais déjà encaissé assez de contrariété pour ma soirée d’anniversaire. Je ne suis mise à sangloter comme une Madeleine, parvenant enfin à les calmer. Et même à obliger Marine à donner un baiser de réconciliation à tantine. Se rendant compte du grotesque de la situation qu’elle avait crée de toutes pièces, Marine m’emmena dans ma chambre pour renouveler tous mes pansements. Une fois couchée sur le dos, la première chose qu’elle m’a demandée est l’âge que j’avais après m’avoir complimenté sur ma beauté en me caressant les seins qu’elle trouvait si pommelés. C’était la deuxième fois en une soirée qu’un adulte me touchait les seins. Cela me conforta dans l’idée que j’étais devenue une femme.
J’ai 17 ans, Marine, c’est mon anniversaire demain. Qu’est-ce que tes mains sont douces ! Tu me caresses bien mille fois mieux que les garçons de sixième. Regarde ! Avec toi, ça marche. Ils deviennent tout durs et j’ai de grosses pointes. Ils me disent toujours que j’ai des gros seins mais qu’ils ne vont jamais donner du lait parce que les pointes ne ressortent pas assez.
Que cette fille était belle et gentille quand elle ne se disputait pas avec tantine. Je lui demandai son âge également et pourquoi elle ne reviendrait pas vivre avec nous jouer au scrabble. Elle en avoua 26, mais je sus plus tard qu’elle en avait 6 de plus. Pourquoi tu ne reviens pas ? Es-tu mariée ? Elle me prit certainement pour une demeurée et ajouta qu’elle m’aimait que les femmes. Dans ma candeur d’adolescente, je lui démontrai qu’il n’y avait donc plus aucun obstacle vu que nous étions deux femmes sous ce toit et que j’étais certaine que tantine l’aimait toujours et moi encore plus. Elle me rappela que deux dominantes ne peuvent pas se blairer très longtemps. No comprendo. Explication édulcorée mais tout simplement ahurissante pour moi à l’âge que j’avais à l’époque. Suite de notions proprement emballées de sadomasochisme féminin. Avec un peu plus de détails, à ma demande, sur les relations sexuelles au féminin. Et en apothéose, elle me confia à l’oreille sa recherche d’une fille jeune et très jolie, comme moi par exemple qui aimerait la fessée. J’étais troublée. Une grosse boule de plomb venait de tomber quelque part au bas de mon ventre. La seule répartie qui me passa par la tête fut de lui demander de rester car je l’aimais. Et elle m’embrassa avec sa langue ! Et la boule de plomb devint si lourde que ce fut presque insupportable. Pourtant, j’eus un mouvement de recul.
Bien sûr que je l’aimais comme j’aimais mes copines mais on ne s’embrassait pas comme ça pour autant.
Ensuite, elle voulut savoir si j’avais déjà fait l’amour avec un garçon. Diantre non ! Quelle horreur. Et sur sa lancée, si j’avais déjà été caressée par une fille. Je suis très menteuse surtout pour arriver à mes fins. Mais bien sûr que oui. Quelle question idiote ! Toujours plus perfide.
Et est-ce que tu te caresses aussi parfois ?
Tu veux dire les seins ?
Oui, les seins et le sexe aussi.
Tant qu’à mentir.
Parfois. Tu sais, je suis encore très jeune. Je ne me caresse pas plus de dix fois par jour. Après, je suis trop fatiguée.
Qu’elle arrête ses questions, je ne savais même pas ce que c’était que de se caresser.
Marine, mes pansements, ça n’avance pas et Tantine va s’inquiéter. Pas grave, la plupart de mes plaies étaient bien sèches et un peu de rouge suffirait. Sauf celle à l’endroit où mon guidon m’avait tué la crête iliaque.
Si tu ne veux pas que je t’arrache tous tes poils en même temps que le collant, laisse-moi te les raser ! Cela ne prendra que cinq minutes.
Oui, c’est mieux…
Et là, l’horreur, une minute trente pour me débarrasser de ma toison, dix minutes pour enlever la mousse.
Marine, je deviens toute drôle…Tu aimes quand je te fais cela…Rah ! Trop bon…Trop bon rah ! Arrête ! J’ai des frissons partout…Arrête, ça recommence…Rah…C’est tout, c’est tout…c’est mal. Mariiine ! Arrête, ça recommence je vais crier…Non ! Pas les seins en même temps…Si tu veux que je revienne, il faudra me laisser faire ça tous les jours…Rah ! Tu es certaine que je ne vais pas mourir…Rah c’est trop fort ce que tu touches là…pince-le ! Viiite…Houla ! Houla ! Encoooore ! Arrêêêête ! J’ai fait pipi dans le mon lit. Je ne crois pas non. Ta tantine le fait aussi bien que moi ?
Tu es folle, pas tantine. Elle va être furieuse si elle sait ce que je viens de faire.
Sur ce, la porte s’ouvrit.
Emilie, c’est toi qui as crié ? C’est quoi cette marre dans ton lit ?
Tantine, ne me gronde pas ! J’ai fait ça pour nous. Marine va revenir habiter à la maison si je la laisse me caresser tous les jours. Elle m’a dit que deux dominantes ne s’entendraient jamais. Il fallait une soumise et une dominante. Je serai la soumise et vous ne vous disputerez jamais plus. Vous pourrez me caresser toutes les deux pendant que nous jouerons au scrabble.
Et Marine d’ajouter ; « Et si tu perds, tu auras la fessée »
D’accord si tantine n’est pas jalouse.
Marine descend, j’ai à te parler ! Toi, nettoie ton lit et décrasses toi ! Puis tu descendras. Et pas toute nue puisqu’il faut te le préciser depuis que tu es devenue une femme. Ton père t’a laissé un an de pension.
Elles descendirent au grand salon en laissant la porte grande ouverte par inadvertance. Les grandes maisons, ça résonne bien surtout si le son peut circuler via les conduits des cheminées ouvertes. Je pouvais entendre leur conversation comme si j’étais dans la pièce.
Je fis couler le robinet de la baignoire pour faire croire que je prenais un bain et descendis les escaliers en tenue d’Eve pour mieux les espionner dans l’encoignure de la porte.
Marine repoussait les avances de tantine qui essayait maintenant de lui enlever sa blouse. Elle voulait savoir si Marine avait quelqu’un dans sa vie. Ce fut un non catégorique. Le problème n’était pas de les attirer chez elle mais de savoir les garder. Elles échangèrent leurs expériences à propos du nouveau parking autoroutier qui était un endroit génial pour la drague. Cela me fit chaud au cœur quand je les vis rire de bon cœur en se rendant compte qu’elles avaient emballé les mêmes nanas. Tout ça pour finir par confesser que l’une comme l’autre ne comptait plus les jeunes vierges effarouchées qui s’enfuyaient dès qu’elles sortaient une paire de menottes.
Je vivais avec une tueuse en série et comme si cela ne suffisait pas, je tentais encore d’en attirer une deuxième. Ma tête se mit à tourner. Je repensai au relais de chasse, aux caves et surtout au vaste grenier dont les accès m’étaient formellement interdits. C’était certainement là qu’elles devaient cacher les corps.
Tantine avait débouché un vieux Porto et rempli deux verres. Marine lui avoua que cela lui manquait terriblement et qu’elle avait été très heureuse de pouvoir toucher une fille aussi jolie et peu farouche que la petite Emilie. Tantine lui répondit que la Milli était bien plus naïve que farouche et essaya d’embrayer sur d’anciennes connaissances communes mais Marine, c’est de moi qu’elle voulait parler surtout.
Je te connaissais vicelarde mais pas au point de faire l’éducation sexuelle de la gamine qu’on t’a confiée En tous cas, Bravo ! Qu’est-ce qu’elle a changé Emilie ! Elle est craquante ta jeune poupée. De jolies cuisses bien potelées, des petits seins super érectiles et ce visage angélique…Cette fille est belle à crier et en plus c’est une bombe sexuelle en puissance (rien n’a changé ou presque) déjà à son âge…
Justement, c’est là que je voulais en venir. Sais-tu quel âge elle a ?
Elle m’a dit 17 ans mais je ne l’ai pas cru une seule seconde. C’est typiquement le style de fille qui m’excite : un visage de poupon, un corps d’adolescente à peine pubère, un petit clitoris monté sur ressort et surtout une super bonne mouilleuse qui démarre au quart de tour. Je l’ai fait jouir trois fois en quelques minutes. Elle m’a même éjaculé dans la main. C’est incroyable à son âge. Tu as l’air de tomber des nues. Qu’est-ce qui ne vas pas, Mireille ?
Faire un petit pipi d’émotion, cela s’appelle éjaculer ? Je pris le carnet à coté du téléphone et notait tous les termes nouveaux que je venais d’entendre depuis cinq minutes. A la première occasion, j’en parlerai à une grande du collège ou ailleurs.
Je sais bien qu’aucun sang ne nous lie mais je quand même sa tutrice légale jusqu’à ses dix huit ans et elle me considère un peu comme sa mère. Alors, je me contente de la mâter à la moindre occasion. Elle est si naïve que ce n’est pas difficile de la mettre nue et de la laisser ainsi promener devant mes yeux sa croupe callipyge. Le meilleur moment, c’est le samedi après-midi. Je lui mets de l’auto bronzant. Elle adore cela. Elle est hypersensible de partout. Je n’ai jamais vu cela. A la limite, c’est pathologique. Quand j’ai fini de la peinturlurer, je vois bien qu’elle est différente et très troublée. Je lui dis alors qu’il faut qu’elle écarte bien les cuisses et les bras pour ne pas garder de traces. J’utilise exprès un produit bon marché qui met une heure à sécher. Je ne te dis pas les pulsions sadiques qu’elle m’inspire avec son corps de déesse que j’imagine enchaînée en croix. La semaine dernière, elle m’a carrément tuée en se comparant à une sainte martyre.
Quelque chose venait de se briser définitivement dans mon cœur. Tantine ne serait jamais plus ma seconde maman.
Une fille aussi jeune devrait être capable de supporter bien plus de vexations que toutes les soumises que nous avons connues dans nos vies réunies. Mais le plus excitant, c’est qu’elle a tout à apprendre. Nous pourrions l’accompagner et la rendre très heureuse.
Ne rêve pas, Marine ! Elles sont connes les filles de cet âge. Elles sont pleines de tabous.
J’en suis moins sûre que toi. Elle m’a quand même avoué qu’elle se caressait dix fois par jour et se faisait régulièrement peloter par les garçons. Les temps ont changé, tu sais, Mireille. Les ado ont évolué avec les images et les séries qui les matraquent à longueur de journée.
La mienne est différente. Pas de télé, pas d’internet. Ma tête à couper qu’elle est encore vierge. A part la lecture, il n’y a que les chevaux qui l’intéressent. A peine rentrée de l’école, elle file au bout de la prairie et passe des heures à discuter avec Flo et Nadège si elles sont là, et à l’oreille des chevaux si elle est seule.
Et puis, elle ira raconter ce qu’on lui fait à ses copines et les ennuis vont commencer.
Flo et Nadège, tu dis. Pas tristes ces deux là, paraît-il ? Deux snobinardes friquées qui ne se quittent jamais et qui font la fac de droit. Il ne m’étonnerait pas qu’elles fassent partie de la Confrérie. Un jour ou l’autre, c’est elles qui vont te piquer ton diamant brut.
Tu me fais rire. Si tu la voyais partir les rejoindre dans son training trop grand pour elle, elle t’apparait plus comme une bigote qui part à la messe du soir qu’une maso qui attend le fouet. D’ailleurs, elle dévore au moins deux bouquins par semaine toujours autour du même thème : le martyre de Ste Catherine, de Ste Cécile, de Ste Aldegonde et j’en passe. Ah oui ! Elle a presque fini les Misérables aussi. Elle m’a posé plein de questions car elle trouvait qu’elle était à sa façon une Cosette des temps moderne. Attend que je me souvienne ! Je me souviens de sa honte l’été dernier quand je lui ai demandé ce que faisaient sous son lit toute ma collection des bouquins d’Emmanuelle Arsan.
Tu vois, elle se cherche. Elle n’a pas de copines ou de copains, ta Cosette ? Qu’est-ce que tu fais Mireille sur cette escabelle ? Tu vas te casser la figure.
C’est bien ce que je pensais, elle a remis des bouquins devant pour cacher qu’elle m’avait piqué tous mes revues Domina.
Flûte ! Ce n’est même pas pour moi, c’est Florence qui m’a demandé de fouiller dans la bibliothèque de tantine car elle avait sûrement des livres cochons de femmes nues jouant entre elles. Quand les bouquins étaient bien cochons, je pouvais monter sur son cheval. C’est vrai qu’elle ne me les a jamais rendus. Je les lui demanderais demain. Avec tout ça, j’ai loupé la moitié de ce qu’elles disaient et la porte s’était refermée toute seule.
…taine qu’elle est lesbienne…elle a un charme fou…elle dégage vraiment quelque chose…
Mireille, c’est décidé. Si tu te sens capable de me supporter, j’emménage demain matin dans la chambre qui jouxte celle de ta poupée. Je te parie qu’avant demain soir, je la fais crier au moins dix fois. Je ne lui lâcherai plus la motte. En moins d’une semaine, elle deviendra totalement dépendante de ses sens.
Tu as raison. Quel gâchis ! Elles ne se rendent pas compte qu’à cet âge, elles seraient capables d’éprouver des extases énormissimes si elles s’abandonnaient un peu entre des mains expertes comme les nôtres. Le problème, c’est plus une question juridique que morale. Tu sais bien que chez moi, le plaisir a toujours compté avant la morale.
Tu n’as qu’à la faire émanciper si tu as la trouille. Elle a l’âge, non.
Encore un nouveau mot. Déjà 10 mots inconnus dans mon carnet, la révélation d’une trahison innommable et la perspective inéluctable d’un changement de vie radical.
A nous deux, nous allons en faire la Cosette que nous avons toujours rêvé d’avoir sous la main.
Mon livre de chevet, à l’époque, était les Misérables. Cosette et les Thénardier. Gros fantasme. Cosette exploitée jusqu’à l’épuisement. Sous-alimentée et battue. Une vraie esclave domestique qu’on traitait sans respect aucun. Rien que d’y penser, je mouillais encore plus qu’en lisant la vie des saintes martyres.
Ce n’est pas idiot ce que tu dis. Il faut que j’aille chercher Milli. Elle n’a pas encore reçu l’argent de poche que son père lui a envoyé.
L’argent de poche ? Il est si radin que ça avec la pension alimentaire de sa fille ou tu t’appelles Mireille Ténardier. Je croyais que ton style, c’était la générosité.
Non ! Il est même trop généreux. Je lui donne 50 euros par mois et je gère à ma façon les 750 restants.
En plus, la marâtre me pique mon fric. 12 euros par semaine. Pour moi qui suis devenue une femme. Pour me payer mes fringues, mon maquillage, le coiffeur et j’en passe, c’est scandaleux. C’est de l’exploitation.
La porte s’ouvrit sans que j’aie entendu Mireille arriver.
Tu écoutes aux portes, maintenant. Qu’est-ce que tu fais là toute nue ? Tu ne vas pas me dire que tu n’as plus rien à te mettre ?
Pour tenter de dissiper ma gêne d’avoir été surprise, je passai à l’attaque sans lui permettre de réfléchir.
Et bien si, justement ! Comment veux-tu que Cosette s’habille avec 12 euros par semaine ?
Marine vint à la rescousse. Elle me prit par le bras et m’emmena, direction le grenier « interdit ».
Une curiosité maladive me poussait régulièrement devant la porte ouvragée et infranchissable de cet endroit devenu l’objet de toutes mes obsessions. Rien que d’imaginer pouvoir la franchir, j’en avais des frissons et l’entrejambe grave humide.
Qu’est-ce qu’il y a dans le grenier ?
Toutes les fringues que Mireille a achetées pour ses conquêtes. Tu en as pour un mois si tu veux toutes les essayer. Trois garde-robes qui débordent et des tonnes de vieux meubles. Et un superbe banc solaire professionnel.... Plus quelques grosses surprises…
Viens ! Je vais te fringuer. Tiens-moi par la taille. J’ai meurs d’envie de te caresser comme tout à l’heure. Qu’est-ce que tu fais ?
Je mets mes mains derrière ma nuque. Ce sera plus facile pour toi de me câliner.
C’est ainsi que tu fais avec les garçons ou les filles peut-être ?
Oui, mais pas toute nue comme avec toi. Je serai trop gênée. Je hais les garçons. Surtout les grands. Avec les filles, je n’ai jamais osé. Et puis, je n’ai pas beaucoup de copines sauf Annette et Léna avec qui je joue au tennis. Et encore, Annette a mon âge mais elle est avec un mec. On ne peut pas discuter avec elle. Léna, c’est une grande qui traîne tout le temps avec un groupe de filles de 20 et des ans. J’oubliais. Il y a Flo aussi. Avec elle je peux parfois discuter mais dès que j’aborde certains sujets, elle se braque et me dit : « Tu n’es qu’un gros bébé ».
Et Nadège ?
Nadège. Chasse gardée de Flo. Elle ne veut pas que je l’approche. Nadège, elle m’appelle Lololita.
Lolita ?
Non, Lololita parce que j’ai des plus gros seins qu’elle. Elle m’a demandé de les lui montrer l’été dernier. Flo est arrivée comme une furie quand elle a vu que j’avais dégrafé ma jupe et depuis, je ne peux plus aller voir les chevaux quand Nadège est là. Je n’ai jamais compris pourquoi mais je n’ai pas insisté.
Tu es idiote ou tu fais semblant.
Ben non ! Nous n’allions rien faire mal et puis, Nadège se mette aussi très souvent toutes nues pour se chatouiller. Quand je vois qu’elles font ça, je reste un peu pour regarder et puis je rentre vite à la maison. Tiens ! Nadège se met comme ça, avec les mains derrière la nuque. Et Flo lui donne des baisers sur son pépette. Elle est bizarre, Nadège. Elle aime ça et puis elle pleure et elle dit « Non, c’est tout, c’est tout » Moi, je ne dirai jamais ça si j’aimais ça.
Un pépette ? Une chatte, tu veux dire.
Ouais ! Je viens de comprendre pourquoi Flo dit toujours : « Je vais te faire miauler la chatte. » Marine ! Arrête ou je vais allaiter ! Ne ris pas ! Je vois bien que mes bouts sont tout sortis.
Passe devant moi ! J’ai trop envie de claquer tes belles fesses.
J’ai entendu que tu as dit tout à l’heure qu’elles étaient grosses ou potelées, je ne sais plus. C’est de ma faute. Je n’ai pas de volonté. Je ne peux pas résister au chocolat. Si tu veux, tu me laisseras enfermer dans le grenier sans me donner à manger pendant dix jours et …
Et l’école ?
Waouh ! Tu m’as tapé très fort là. Pas d’école avant quinze jours ! Ma classe part en voyage scolaire mais tanti…pardon Mireille ne voulait pas que je les accompagne.
Pourquoi ?
C’est compliqué. Mireille a inventé une belle excuse pour que je n’y aille pas. Elle voulait que nous restions ensemble pour mettre certaines choses au point.
? Je peux savoir.
J’ai honte, Marine. Le directeur l’a convoquée pour lui parler de moi. Il parait que je suis une élève brillante mais trop délurée sur certains points et pas assez sur d’autres.
Détaille STP ! Des parents lui ont dit que je me déshabillais dans les vestiaires des garçons…
Ah oui ! Quand même !
Il a dit à tantine Mireille que ce qui l’ennuyait était que je ne trouve même pas ça mal. Alors, vu que j’aurais été une des deux seules filles avec vingt cinq garçons à partir en classe de sport…
Une douce chaleur commençait à envahir mes reins. Nous étions au pied du dernier escalier, le plus raide, permettant d’accéder au grenier. Marine me demanda d’écarter les jambes et de garder mes mains sur la nuque sans ouvrir les yeux. Elle décrivit des arabesques avec ses ongles en dessinant et en commentant toutes mes courbes avec des qualificatifs plus érotiques les uns que les autres. Un frisson incontrôlable m’envahit et me provoqua la chair de poule, ce qui n’échappa pas à ma guide.
Marine ! Je suis toute drôle…Marine !!! Je coule, je coule... Dis-moi que tu vas rester avec nous !
Uniquement si tu me laisses te faire tout ce qui me passe par la tête sans discuter. Tu veux bien essayer ?
Et comment que je veux ! Je ne demande que ça que tu reviennes habiter à la maison. Ce n’est pas grave si je coule autant ? Dis-moi si cela te dérange ou non si j’écarte un peu plus les jambes ? Je sens que je coule sur mes cuisses.
Elle me fit deux fois le tour de la tête avec son écharpe pour s’assurer que je ne tricherai pas en ouvrant les yeux.
Ooh ! Je suis toute malade. Pourquoi Mireille ne me fait jamais ça quand elle me met de l’auto bronzant ? Tu vas me rendre folle si tu continues à..à..me faire miauler la chatte.
Sans faire de bruit, Mireille nous avait rejoints et devait bien regretter de ne pas y avoir pensé plus tôt. Elle s’empara délicatement de mon sein droit qu’elle porta à ses lèvres ce qui me fit vaciller complètement. Ou était-ce peut-être le fait de son haleine qui trahissait une consommation récente d’un bon vieux Calva. Le Calva, c’était le péché mignon de Mireille. Elle en sifflait une bouteille par jour pour se désinhiber qu’elle disait. Moi, je pensais que c’était surtout pour s’imbiber mais il faut avouer que ce soir-là, Mireille se lâchait vraiment.
Tu as un corps merveilleux, ma chérie, une peau d'une douceur remarquable. Je vais te faire connaître des moments inoubliables.
Ses caresses fugaces restaient sans réelle intention de me faire jouir mais je sentais que je perdais peu à peu le contrôle sous l’action conjuguée de ces deux femmes d’expérience. J'étais terriblement excitée et je faisais des efforts surhumains pour parvenir à rester plus ou moins immobile et même à leur parler en chevrotant.
Mireille ! Marine va rester si je la laisse me faire tout ce qu’elle a envie.
Je sentis une lourde claque s’abattre sur l’intérieur de ma cuisse gauche mais pour rien au monde, je n’aurai bougé.
Tu m’appelles Mireille, maintenant. C’est quoi, cette familiarité déplacée. Appelle-moi Madame, alors.
Je ne suis plus une enfant pour t’appeler tantine. Et puis, tu n’es pas ma tantine. Tu n’es qu’une étrangère…
Trois claques successives et appuyées vinrent me tuer les fessiers mais je ne bronchais toujours pas.
Madame vous…Recommence ! Vous n’êtes qu’une étrangère qui…
L’effet immédiat de cette violence emballa paradoxalement ma libido. Mon désir de sexe s'intensifia au point de devenir carrément obsédant. C’est sorti tout seul
… qui veut me faire miauler la chatte pendant qu’elle jouera au scrabble avec son amie.
Décidément, tu es trop niaise pour comprendre ce que j’attends de toi. Tu es belle à croquer mais trop innocente pour apprécier la situation.
Non ! J’en ai marre qu’on me prenne pour une débile. Je sais que vous êtes deux domina. J’ai lu tes livres Mireille. Une gifle d’une violence inouïe m’arracha presque un sein que je pris aussitôt entre mes mains.
Recommence !
J’ai lu tous vos livres pornographiques, Madame. Même ceux que vous aviez cachés tout en haut de la bibliothèque avec des femmes torturées à mort. J’ai appris beaucoup de choses sur vous et sur moi aussi. J’ai besoin d’appartenir à quelqu’un. C’est tout. Même si à ce quelqu’un j’inspire des pulsions sadiques comme Marine a dit en bas tout à l’heure. Je suis votre esclave pour la vie. Mon corps vous appartient si vous en voulez.
En fait, je n’en avais vu que les couvertures et les titres. Et les titres dont je me souvenais étaient : « J’ai besoin d’appartenir à quelqu’un », « Mon corps vous appartient » et « Lolitas enchaînées ». Ce dernier titre, j’arriverai bien à le placer à un moment ou à un autre.
Un grand moment de silence s’ensuivit. Je lâchai mon sein martyrisé et je remis mes mains sur ma nuque en faisant encore plus bomber mon thorax dans un geste de provocation héroïque.
Tu as entendu Marine ? On aurait entendre parler une vieille habituée des clubs SM.
Oui, mais elle nous a quand même invitées à jouer avec elle au scrabble.
Et elle éclata de rire. C'était cela que j'aimais chez Marine. Surtout qu'elle ne change jamais, qu'elle ne devienne jamais sérieuse, qu'elle continue à rire de tout même des trucs sérieux.
Esclave Emilie, je vous autorise à me tutoyer mais pas à me mentir. Combien de fois as-tu déjà été tapée dans la vie ?
1 fois par Madame.
Et combien de fois as-tu joui avec une femme ?
Trois fois, Marine et il n’y a pas longtemps mais j’ai bien récupéré et je sens que je peux recommencer.
Tu peux recommencer toute la nuit seulement car nous, nous n’avions rien prévu. Il me semble que tu as deux bonnes semaines devant toi à nous consacrer avant de retourner à l’école, esclave pour la vie.
Je peux recommencer pendant 15 jours mais après, ce sera pour quand je rentrerai de l’école seulement et après mes leçons. Ca ne fait rien ?
Marine, qu’est-ce que tu en dis ?
Toi, tu es libre comme l’air et moi en recherche d’emploi. Si tu me proposais de me payer grassement, je veux bien la faire jouir 24H sur 24.
Madame ! Prenez l’argent de ma pension et engagez Marine ! Je ne vous coûterai plus rien. Je suis trop potelée et je dois arrêter de manger.
Tu es très mignonne et personnellement, je trouve tes jambes parfaites mais comme tu les trouve potelées, je vais te faire plaisir. Tu m’as demandé de te laisser 10 ou 15 jours sans manger, je ne sais plus. C’est d’accord pour nous. Qu’est-ce qu’on dit à sa Maîtresse ?
Merci Marine !
Nous allons même t’aider à les muscler. Tu n’as pas peur de te montrer nue, m’a dit ton directeur. Que dirais-tu d’un petit footing à poil tous les soirs avec Marine, sur le chemin de halage. Marine en vélo et toi à pied. La dernière arrivée recevra une surprise.
C’est bientôt l’hiver. Il fait trop froid déjà. Je le ferai mais donnez-moi quelque chose pour m’habiller, s’il vous plaît !
C’est vrai, Mireille. Touche ses cuisses ! Elles sont glacées. Tu ne les as peut-être pas tapées assez.
De plus en plus troublante, leurs mains quittèrent mes genoux et remontèrent doucement vers mon sexe qui se réveilla en sursaut. Je tremblais comme une feuille quand des doigts fébriles commencèrent à déplisser mes lèvres qui ondulaient de plaisir.
Ou alors c’est une impression. Ici, c’est bouillant. Humide mais bouillant. Milli t’as froid ou pas ?
Non ! Je suis bouillante.
Tu vois, on va la mettre à refroidir sur le balcon. C’est l’endroit idéal pour calmer les petites excitées de la chatte.
La météo avait annoncé -5 degrés et neige à partir de minuit. Elles me guidèrent à la porte du bacon et je sentis l’air glacé me pénétrer jusque dans le vagin. Quand je posai mon pied sur la pierre bleue, j’eus l’impression de m’enfoncer dans 20 cm de neige et ce n’étais pas qu’une impression. Je décidai de ne pas broncher une nouvelle fois et d’écarter les jambes jusque sur les rebords du balcon pour être bien certaine de ne pas me vautrer. Mon attitude semblait avoir satisfait mes maîtresses. Je me suis sentie soulagée d’un poids énorme quand je retrouvai le contact de leurs mains sur mon corps. Elles n’allaient pas me laisser là pour la nuit et nous allions continuer à jouer à la chatte qui miaule. Marine jouait à me mettre de la neige sur les seins pour me faire durcir les bouts avant de les pincer et de recommencer le jeu cruel. J’aurai du leurs demander d’arrêter mais Mireille était en passe de me faire chavirer.
Emilie, il est passé minuit. Bon anniversaire ! Il te suffira de remplir quelques formalités et tu seras légalement majeure et libre de faire ce que tu voudras de ton corps.
Elle se mit à me chatouiller le cou, la nuque et les oreilles. J’étais complètement partie.
Après m’avoir griffé la peau du ventre et du dos, deux doigts inconnus s'attardèrent longuement à l’orée de ma vulve, flirtant à dessein avec l'entrée de son canal strictement inviolé, titillant mon petit bouton d’amour en passe d’exploser.
Tu as tant de trésors à offrir, ma chérie, que nous ne serons pas trop de deux pour les amasser. Bon anniversaire, jolie Emilie ! Dis-nous ce qui te ferait plaisir ! Je suis prête à t’offrir tout ce que tu désires.
Devenir votre lolita enchaînée ! (ça y était, je l’avais placée)
Rien que ça !
Mes petites nymphes ondulaient, joyeuses sous la masturbation appuyée de Marine.
Non ! Que Marine reste avec nous et me fasse faire pipi avec ses mains comme dans la salle de bain tous les jours !
Ah ! Bon. Tu es très exigeante mais j’ai promis de ne rien de refuser. C’est tout, je suppose.
Non ! Je veux miauler, miauler et encore miauler…
Marine débusqua mon clitoris et en flatta l’érection avec un seul objectif : faire darder mon offrande d'amour à la recherche du point le plus aigu et irréversible du plaisir féminin.
Elle n'en lâchait plus la pointe délicate dans le but non avoué mais évident de m’amener rapidement vers le seuil de rupture. J’avais totalement perdu l’esprit. La lame de fond allait bientôt me renverser. Je me cabrais, la tête rejetée en arrière.
Attend ! Attend ! Doucement ! Doucement ! C’est si fooort !
J’ai commencé à émettre des grognements bestiaux pré orgasmiques. A vrai dire, j’étais tellement gavée de sensations fortes que j’avais peur de ce qui allait m’arriver…peur de mourir en jouissant. C’est idiot mais c’est comme ça la première fois. Et ça, elles le comprirent toutes les deux.
Je la finis ou quoi, Mireille ! Elle est toute grelottante.
Non ! Surtout pas ! Garde-la ainsi le plus longtemps possible ! Je vais ouvrir la porte du grenier. On va la mettre sur le rack qui est à l’entrée.
C’est vraiment sadique de la laisser dans cet état, Mireille. Elle est complètement partie. Milli ! Tu m’entends ?
Ouiiii ! Tout doucement ! Tout doucement sur mon clito ! Ou je vais mourir…C’est terrriiiible ce que tu me fais.
La porte de mes fantasmes grinça mais je n’étais pas en état de savourer le décor.
Mireille m’aida à me coucher sur le bois rugueux et odorant d’un rack pluri centenaire. J’ai su plus tard que son père l’avait acheté au château de V…(mes amies sauront de quel château je parle). Elle me prit délicatement les poignets pour les attacher aux deux extrémités du T du rack. Je fus prise d’un vertige fulgurant quand je me suis sentie rivée, les bras en croix sur cette table qui me rappelait des images de l’Inquisition. Pas un vertige de panique, un vertige d’excitation comme je n’en connaîtrai jamais de plus fort dans ma vie. Je ressassais à la suite les récits des Saintes Martyres et de leur lente agonie. Je me disais que maintenant, c’était mon tour et que j’allais beaucoup souffrir. Marine sentit la fièvre qui gagnait chacun des muscles de mon pauvre petit corps.
Mireille, elle va finir par partir si elle continue à se cabrer. Et toi, arrête de gigoter comme une truite sortie du vivier ! Tu mouilles partout.
Partir = mourir dans mon esprit. J’avais envie de vivre, moi. Sur le mur qui me faisait face, je découvris un présentoir surchargé de tenailles, fouets, martinets et autres joyeusetés. Mireille m’avait sanglé les poignets et les coudes et s’attaqua avec plus de difficulté à la sangle frontale qui devait me bloquer parfaitement la tête.
Mariiine ! Au secours ! Fais quelque chose ! Il faut chasser le démon qui est entré en moi. Je sais que je vais beaucoup souffrir mais ne me laissez pas mourir comme Sainte Ursule et Sainte Eulalie.
Le démon, je le tiens entre mes doigts. Il n’en finit pas de grossir et ne veut pas se laisser masser. Toi, tu vas finir par te casser les reins si tu continues à t’arcbouter ainsi. Mireille ! Met-lui la sangle abdominale d’abord que je puisse m’occuper de son pistil plus efficacement. Tu t’occuperas de ses guiboles ensuite.
Ces yeux pétillaient de malice. Quand la sangle fut serrée au dernier cran, j’eus l’impression que mon clitoris ressortait encore plus fort. Encore plus bandé, ajouta Marine. Elle trouva vite la cadence idéale pour l’agacer et provoquer dans tous mes membres des spasmes qu’elle trouvait très érotiques.
Mireille venait d’attacher mes jambes, sous les genoux et aux chevilles, sur les deux tablettes qu’elle s’apprêtait à manœuvrer pour mieux m’écarteler. Je m’envolais toujours plus haut mais dans la sérénité maintenant.
Milli ! Ecoute-moi bien ! Il ne faut surtout pas que tu jouisses comme tout à l’heure. Tu dois te retenir au maximum et nous dire stop avant qu’il ne soit trop tard. Mais pas trop vite non plus. Juste avant. Tu as compris ? Si tu sens que ça redescend, tu n’auras qu’à me dire encore et stop quand tu sentiras que tu ne saurais plus te retenir une seconde de plus.
Encore un tout tout petit peu ! Raah ! Stop, stop…Doucement, doucement…
Nous n’allons pas t’abandonner. Est-ce que tu nous fais confiance ? Il faudra t’écarter les cuisses le plus fort possible pour que ta petite fleur s’ouvre très très grand et tu seras soulagée. Tu me diras quand tu ne pourras plus le supporter aussi.
Je sentis Marine se glisser entre mes cuisses qui s’écartaient millimètre par millimètre par la magie de la manivelle du treuil que Mireille actionnait. Elle se retient à fond là. Elle n’est même plus avec nous. Continue de l’écarteler !
Je sentais un air bienfaisant s’engouffrer dans mon vagin que je devinais odieusement béant. Pourtant Mireille continuait toujours à manœuvrer un appareil dont chaque cliquetis rapprochait mes jambes du grand écart parfait pour mieux se régaler de ma plastique.
Encore sur mon titi ! Encore une petit peu …Stop, stop ! Oui, comme ça ! Oh ouiiiii !
180° ! Tu aimes quand je te griffe les cuisseaux.
Ouiii ! C’est encore plus fooort !
Mireille, regarde ! Elle est encore vierge…Mais nous avons de la chance. Elle a un hymen en corolle qui laissera passer facilement mon doigt sans la faire saigner.
Je n’étais plus qu’un sexe palpitant qui mendiait les caresses de mes deux sadiques attitrées. Une gorge sèche qui braillait du plaisir prodigieux d’avoir atteint le sommet de la vague, prête pour y surfer éternellement.
Ouiiii ! Comme ça !
Marine n’utilisait plus que la pulpe d’un doigt pour dialoguer avec mon bouton tandis que Mireille se mit en tête d’abandonner mes cuisses, sur lesquelles elle avait flashé, pour me sucer les tétines comme un gros bébé qui a hélas déjà toutes ses dents.
Puisque tu as lu mes livres cachés et que tu as eu des cours d’histoire, je vais t’expliquer sur quoi tu es couchée ou peut-être sais-tu déjà à quoi ça sert.
Mireille avait hérité de son père l’unique exemplaire existant encore d’un rack en forme de T réservé aux femmes sur lequel la sacrifiée était garrottée solidement par des sangles serrées à la taille et autour des membres. Elle était ainsi exposée à l’horizontale, les bras et jambes en croix, distendue à souhait et offerte aux attouchements et autres brimades.
C’est fait pour m’attacher et supplicier avec les instruments sur l’étagère jusqu’à ce que le démon qui est dans mon titi s’en aille.
Sais-tu combien de temps il faut parfois attendre avant que le démon s’en aille ?
Plusieurs heures ?
Bien plus !
Raaah ! Oh non ! Plusieurs jours ? Ouiii ! Stop, stop ! C’est terriiiible comme ça…
Au moins. Plusieurs semaines parfois. Quand la petite fille possédée est une bonne mouilleuse et qu’elle a un gros titi, c’est même parfois plus long encore.
Ne dis pas ça ! Marine me l’a déjà fait remarquer.
Oui, mais je ne pensais pas que c’était si grave. Tu es trempée comme une soupe et je ne te parle pas du titi géant qui me provoque. Il est tellement méchant qu’il bouge sitôt que je le touche comme un petit phallus.
Mireille voulait voir le phénomène de près. Commença alors un dialogue absurde composé de questions dont elles connaissaient par avance toutes les réponses et de questions dont je ne comprenais même pas la teneur mais auxquelles je répondais par instinct.
Marine me tenait sur le gril par l’épicentre de mes sens et s’en donnait à cœur joie. Elle avait pris la mesure parfaite de mon plaisir, bien aidée par Mireille qui me faisait des pincettes partout avec ses doigts en me tournant autour comme un vautour.
Il est très chatouilleux ton gros bouton…
Très, très, très, très, très, très…troooop.
Tu sais que tu mouilles partout comme une sale gamine que tu es.
Ouiiii ! Pardon…
Tu sais que tu mériterais une punition très très très sévère pour ça.
Ouiii !
Oui qui ?
Oui, vous…j’ai peur….je vais partir…stop ! Stop !
A la faveur d’un spasme vaginal, une dentelle liquide sinua dans ma fente et le delta embauma de senteurs nouvelles. Mon clitoris devint dur comme un caillou et Marine le lâcha. Mireille me pinça un téton au sang et l’orgasme reflua. J’étais à bout de souffle. Il était temps. Je venais d’échapper au pire, à la mort certaine.
Tu aimes les pincettes, il me semble. Tu as vu que le démon t’a quittée
Oui Madame. Mais ça recommence encore plus fooort !
Marine fit un signe à Mireille que le potiquet de vaseline était presque vide et mes muqueuses passablement irritées.
Les fioles de Brigitte sont à ta droite dans le tiroir du haut. Commence par le flacon n°1 et mets tes gants latex!
Marine lui fit remarquer que Brigitte s’était enfuit de chez elle car elle n’avait pas supporté.
Mireille lui rétorqua que ses démons étaient moins méchants que les miens. Mais le problème était que Brigitte s’était taillée avec le flacon en menaçant Mireille de déposer plainte et flacon chez le juge.
Il y en a vingt dans le tiroir. Utilise le deuxième flacon, alors ! C’est à peine plus pimenté et un rien plus vinaigré si je me souviens bien. Milli ! Ne joue jamais avec ces bouteilles ! Promis ?
Tantine était la reine de la vinaigrette au piment d’Espelette mais il n’y avait qu’elle pour apprécier. Ca vous arrachait la bouche et les dents tombaient. Même les huîtres se mettaient en boule rien qu’à voir le flacon. Elle y mettait un tas de truc dedans et ce n’est pas parce que je connaissais sa cachette que j’allais me faire une salade avec. Ah non ! Jamais de la vie. Elle en revint à mes cuisses qu’elle appelait maintenant petit gigots dorés.
Ca tombe bien que tu aimes les pincettes. J’ai envie de te pincer tes belles cuisses. Tu vas t’efforcer de ne pas crier pour ne pas réveiller le démon mais tu peux grimacer autant que tu le désires.
Je pense que j’ai toujours bien aimé les pincettes quand elles sont juste assez douloureuses mais pas trop. Durant un voyage scolaire, deux garçons m’en avaient fait pleins les cuisses dans le bus. Je ne pouvais pas me faire une opinion pour les pincettes à la pince plate car je n’avais jamais essayé. Soudain, elle changea d’avis et déposa sa pince plate pour prendre la tenaille du présentoir.
Marine avait enfilé ses gants et versa une rasade d’huile dans mon nombril. Mireille testait mollement sa tenaille sur une de mes aisselles. J’ai compris que l’instant était crucial et que ma vie était en jeu. Ca passait ou ça cassait.
Emilie chérie ! Es-tu prête à supporter les souffrances nécessaires pour te débarrasser du démon ?
Oui ! Ca va faire très très mal ?
On ne le sait pas encore mais ça risque, ajouta Marine qui venait de tremper son doigt dans mon nombril.
En tous cas, je n’ai pas mal au nombril.
C’est que le démon n’est pas là. Tu nous diras ce que ressent Titi. S’il a trop mal, le démon ne sortira pas aujourd’hui.
Titi avait déjà été pas mal surmené et il se trouve que cela l’avait passablement irrité. Je serrai les dents quand Marine s’empara de ma tigelle avec son gant plein de vinaigrette maison. Si mes nymphes se rétractèrent comme les huîtres, Titi se redressa, fier comme Artaban. La douleur fut fulgurante, irradiant dans tout mon ventre. Cela ne dura que quelques secondes heureusement car je n’aurai pas pu m’empêcher d’hurler une seconde de plus. Ensuite, ce fut l’horreur. Même pire que ça. J’ai commencé à prendre un pied formidable. Plus fort que le plus géant des orgasmes de ma vie. Tout simplement car il était inconcevable que je puisse atteindre l’orgasme dans une pareille souffrance et j’ai vraiment pu me lâcher. Le démon allait passer un mauvais quart d’heure.
Ce n’est plus un titi, c’est un caillou ton clito. Il aime ça, le titi.
Encore…encore..encore..plus fort s’il te plait Marine…Vas-y…vas-y…Pince-le…pince le !!! Ouiiiii ! Encore.
Mireille, excitée à mort, avait prit un bout de mes seins en tenaille et le tirait à fond vers le haut en secouant ma glande.
C’est bon ! Tantine…C’est bon….L’autre aussi…S’il te plait….Fais-le pour moi ! Plus fort…Les deux en même temps….Oui…Avec l’autre tenaille…C’est trop bon….
Marine m’avait inondé la chatte de son huile frelatée et me fit découvrir que j‘avais un vagin, petit certes mais prometteur.
Elle est en transe, Mireille. Si je lui mets le doigt, elle me coupe une phalange. Jamais vu ça.
Là, j’étais vraiment possédée. Possédée d’un délire masochiste qui m’aurait fait demandé à Tantine de m’arracher un sein mais je n’avais plus de voix tant j’avais râlé. Tout ce que je suis parvenu à articuler, c’était : « Titi…Titi…la pince…vite…je vais partir ». Car je ne voulais pas partir, plus par peur de mourir mais parce que c’était plus que géant.
Mireille eut la présence d’esprit de troquer ses deux tenailles contre la pince plate précédemment rejetée. Elle s’empara de la hampe de mon clitoris, la pinça et…et…
…et prit Marine à partie avant de commettre l’irréparable.
Tu te souviens ton amie Cécilia ? Tu me disais souvent qu’elle avait aussi un clitoris intéressant et très chatouilleux.
Le simple contact de la pince sur mon clitoris, déjà mis à mal par l’infâme vinaigrette, avait fait refluer l’orgasme. Le cri suraigu que j’avais poussé avait eu le don d’agacer sérieusement Marine.
Ce n’est pas pareil. Cécilia avait le double de son âge et pas la même condition physique. Elle ne criait jamais non plus quand je jouais avec son titi. C’est bien pour ça que je suis restée si longtemps avec elle.
Donne-moi ta pince, Mireille et détache-la ! Je n’ai plus envie de jouer avec elle. Elle ne sait pas souffrir. Je m’en vais.
La sangle abdominale et celle qui bloquait ma tête me furent ôtées en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. Déjà, Mireille s’apprêtait à me détacher les jambes.
Tantine ! Ne fais pas ça ! Le démon ne pourra pas sortir. Mariiine ! Je ne crierai plus. Je promets. Fais-moi mal autant que tu veux ç mon titi…comme avec Cécilia ! Je serai gentille. Je ne dirai rien.
Tu ne diras rien à personne ? Cécilia n’a jamais parlé de ce nous faisions ensemble à personne. C’était notre secret.
A personne ! Je te promets. Je serais trop gênée d’ailleurs. Je sais que c’est mal ce que je fais.
Si tu caftes une seule fois, jamais que je reviens. C’est pour ça que je ne suis plus avec Cécilia.
Tu pourras me faire tout ce que tu voudras, je ne dirais rien, même pas à tantine.
Mireille se pencha sur moi et riva ses yeux dans les miens. Elle m’empauma les seins et commença à les caresser pour en faire bien ressortir les pointes. Mes tétons me faisaient encore un peu mal mais c’était bien agréable quand même. Elle les fit rouler entre ses doigts avec science jusqu’à provoquer mes premiers grognements de plaisir. Ma chatte s’était remise à couler abondamment et un feu plus troublant que de la brûlure de mon sexe se répandait dans mon ventre. Marine avait repris possession de ma fente et flattait mon clitoris dont l’excitabilité n’avait jamais atteint de tels sommets.
Tu vois que nous ne sommes pas des méchantes. Nous savons aussi te faire du bien. Tu n’aimes pas ? Ce n’est pas gai ?
Raaah ! Siiii ! C’est encore plus fort qu’avant…
Qu’avant quoi !
Avec la vaseline, c’était bizarre mais c’était déjà beaucoup mieux avec mes cuisses ouvertes….mes seins….c’est gai quand tu les pinces doucement…je suis encore plus malade qu’avant..wououou !
Et le titi, il est malade aussi, Mireille. On dirait une petite fraise qui a la rougeole.
Elle s’amusait à le comprimer comme pour en tester l’élasticité puis relâchait la pression jusqu’à ce que je puisse reprendre ma respiration et me posait une nouvelle question sournoise avant de recommencer.
Et le titi, qu’est ce qu’il aime le mieux. La vaseline ou la vinaigrette de tantine ?
Le deuxième…wouhouhou ! L’huile..c’est terriiiiible, l’huile.
Pourquoi c’est plus gai l’huile ?
Ca bruuule…c’est pour ça que c’est plus gai…ca fait maaal…et ça va durer plus longtemps….Encoooore….
Mes nerfs tressaillirent à nouveau et une crise de spasmes s'empara de tout mon corps.
Tu es très malade, toi en ce moment. C’est ton anniversaire. Tu veux continuer le jeu du stop ou encore. Moi, j’ai très envie de savoir qui sera la plus vite fatiguée et toi Mireille…
Continuuuues ! Marine ! Continnnue !
Mireille me massait maintenant les cuisses et le ventre, pour faire circuler le sang qu’elle disait.
Pourquoi penses-tu que c’est mal ce que nous faisons avec toi. C’est mal si tu m’aimes pas ce que nous te faisons, mais ça, tu aimes, non ?
Oh oui ! Oh oui ! Je voudrais….wououou…je voudrais que ça ne s’arrête jamais. Avec l’huile, ça ne s’arrête jamais…
Le désir montait en flèche, les sensations affluaient de toutes parts. Les doigts de Marine martyrisaient mes chairs, pinçaient mes lèvres, plongeaient dans mon vagin et revenaient toujours sur ce petit caillou qui n’en finissait pas de grossir. Mes yeux coulaient à chaude larmes mais c’étaient des larmes de bonheur.
Il est méchant le titi de faire pleurer notre fifille. Moi, je pense qu’il mérite une punition.
Oui…Marine fais-lui maaall !!!Ouiiiii…comme ça….encooore.
Lèvres ouvertes, je geignais grave et la Marine s'acharnait de manière de plus en plus douloureuse sur mon clitoris. Elle le griffait sans vergogne, le pinçait et faisait mine de l’arracher. Mon organe affolé accueillait les outrages avec un plaisir manifeste qui se répandait jusqu’à la racine de mes cheveux. Je coulais, je coulais, je coulais de partout.
Tu vois que ça peut être très gai quand je te fais mal. Encore ?
Ouiiii encore….tire dessus…ouiiii ! C’est trop bon….
Le plaisir était tout proche. Quelque chose d’énorme se mettait en branle dans mon ventre.
Elles se mirent à deux. Elles me griffaient et me labouraient sans obtenir autre chose que des gémissements de volupté. La lutte devint vite inégale. Un cri interminable jaillit dans la nuit.
Je secouais mon corps vissé au carcan. Ma tête heurtait en tous sens le plancher de bois.
Mes poings se serraient sur le vide. Mes jambes se tendaient mais ne parvenaient plus à soulever mes pieds. Mon corps dessinait un arc parfait, le dos brisé au creux des reins. Je forçais l'écart de ses cuisses et soulevais mes fesses en une houle convulsive pour exprimer cet orgasme que la douleur irradiante de mon sexe empêchait de sortir. Cette fois, plus de repli possible. Cela enfla, enfla de plus en plus. Une angoisse étrange me saisit. Que m'arrivait-il ? Un instant, je crus être en train de mourir. Une gigantesque vague me submergea le ventre d'abord, le corps tout entier ensuite. Ma gorge se noua et l’instant d’après, les écluses s'ouvrirent. Mon sexe meurtri se gonfla comme une anémone de mer, agité de sursauts, et se répandit en perles claires, éclaboussant d'ivoire mes cuisses écartelées et le chemisier de Marine qui ne désarmait pas. Mes cris montèrent en spirale. Dans un face à face infernal et divin, elles s'acharnèrent toutes les deux sur mon joli coquillage comme pour en exprimer l’ultime goutte. Une derrière fois, tout mon corps se raidit et se brisa !
Quelques instants qui me parurent une éternité. Une éternité de quelques secondes. Quelques minutes pour reprendre mes esprits et laisser le temps à Mireille de me détacher.
Le démon est parti maintenant. Je vais chercher un pot de vaseline. Titi est tout irrité. Un petit baiser d’abord.
C’est mille fois mieux quand il est irrité.
Je pensais que ma chatte ne s’en remettrait jamais. Eh bien si ! Et très vite même. Marine et moi sommes descendues dans la salle de bain nous décrasser à deux sous la douche. Ce fut un soulagement innommable de pouvoir me passer le minou chauve au jet glacé. Les brûlures, c’est bien quand on est excitée mais, à un moment donné, il vaut mieux que ça s’arrête. De l’huile, j’en avais partout jusqu’aux tréfonds de mon vagin et même mes cheveux sentaient l’huile d’olive. Mireille n’avait heureusement pas forcé avec ses pinces et tenailles et je n’étais presque pas marquée. Juste quelques hématomes sur les cuisses et un sous le sein droit. Rien de sexuel avec Marine sous la douche. C’était heureux car j’avais déjà bien donné. Dire qu’il y a quelques heures à peine, j’ignorais que je pouvais autant m’éclater. Par contre, ce fut la découverte d’une grande tendresse et l’ébauche d’une complicité qui ne demandait qu’à éclore.
Tu sais que tu portes mal ton prénom. Tu devrais t’appeler belles cuisses.
Elles sont si belles que ça mes cuisses ?
Tu le sais bien sinon tu ne les montrerais pas tout le temps. Je suis très contente que tu as réagi comme cela après…et surtout pendant. T’as vraiment aimé ?
Tu le sais bien sinon je n’aurais pas autant crié. Cécilia, tu l’aimes encore ? Elle t’inspirait aussi des pulsions sadiques ?
Elle n’aurait pas supporté le tiers du quart de ce que tu as supporté ce soir. Elle n’éjaculait pas non plus et ça, ça me met en appétit. Rassurée ?
Non ! C’est quoi « éjaculer ».
C’est faire pipi comme tu dis mais ce n’est pas faire pipi. C’est projeter son plaisir quand c’est très fort. Toutes les femmes ne font pas cela. Seules les femmes fontaines peuvent éjaculer et en mettre partout comme toi tout à l’heure dans mes cheveux. D’ailleurs, je ne vais pas t’appeler belles cuisses mais petite fontaine, je crois.
Ce n’est pas de faute si je t’en ai mis pleins les cheveux. Enfin, si tu aimes me voir faire cela, tu pourras me faire éjaculer autant que tu veux. Cela ne me dérange pas. Au contraire, c’était vraiment très gai. Maintenant que je sais que ça ne fait pas mourir, je serai plus détendue et je pourrai éjaculer toute la journée.
C’est tout ce que tu trouves à me dire alors que nous nous sommes occupées de toi pendant une heure et demie. Tu n’as même pas l’air crevée. Tu devrais me dire : Oh Marine ! Tu m’as tuée, tu sais avec tes caresses. Je suis repue. Tu sais que tu me tues, toi. C’était si fort que je suis HS pour huit jours »
Je dois dire cela même si ce n’est pas vrai. Tu m’avais promis de me faire des choses pendant dix jours. Ce n’est pas vrai alors, c’est comme le grenier. Je n’en verrai que la première pièce.
T’es vraiment trop conne ! Heureusement que tu as un physique. Tu mérites des claques.
Je suis prête. Tapes-moi si tu trouves que je mérite des claques ! J’aime bien aussi quand tu me fais mal. Ca me fait mouiller encore plus.
Arrête de faire la moue ! Qu’est-ce qu’il y a ?
Vous m’avez menti. Je ne vous « inspire pas des pulsions sadiques », alors. Cette phrase là, je m’en souviendrais toute ma vie. L’autre aussi. « Je ne suis pas une bonne mouilleuse ». Quand je pense que je voulais te donner tout l’argent de papa pour que tu restes avec moi.
Pour se doucher au plus vite, nous avions opté pour la salle de bain du deuxième étage. Mireille nous cherchait depuis un quart d’heure, un pot de vaseline à la main. Elle avait entendu au moins la fin de notre conversation.
Milli. Je ne te laisserai pas faire la même bêtise que moi. L’amour, cela ne s’achète pas. Cela se mérite. Sèche-toi et écarte tes guiboles que je répare les dégâts !
Le bruit mouillé de ses doigts branlant mon sexe me fit chavirer à nouveau. Mon petit clitoris qui avait regagné son nid était venu chercher de nouvelles caresses. Le moins qu’on puisse dire, c’est que ce ne fut pas du goût de Mireille.
J’arrête si tu recommences à faire tes grimaces. Tu ne peux pas savoir à quel point je regrette ce qui s’est passé.
Mais Madame, vous ne pouvez pas me laisser dans cet état. Je sens que ça revient…
Ne m’appelle plus Madame, s’il te plaît ! Je suis ta tantine et ta tantine te dit que si tu as le pépette qui chatouille, tu n’as qu’à apprendre à te frotter toute seule. Habille-toi ! Pourquoi pleures-tu ?
Ca..va…être beaucoup… moins gai.
Il faudra que tu te calmes, Milli. Je n’ai pas envie d’héberger sous mon toit une poupée de stupre.
C’est quoi une poupée de stuc, dis-je en sanglotant.
Une salope !
Marine tenta de nous ramener à la raison. Elle m’invita à m’asseoir sur le bord de la baignoire pour poursuivre son discours en me posant ces mains brûlantes sur le haut de mes cuisses. Sans aucune pudeur, je lui présentai mon temple de Vénus au dernier degré d'écartement possible. Innocemment, j’avais remonté les bras jusqu’à me mettre les mains sur la nuque. Je voyais que cela ne laissait pas Marine indifférente. Elle promenait un regard gourmand sur ma silhouette. Elle se ressaisit et m’expliqua l’embarras que je leur causais à cause de mon jeûne âge. Les ennuis judiciaires que risquait d’avoir tantine si cela s’ébruitait, etc…Je ne comprenais rien à rien. Pour moi, c’était hyper simple. Elles avaient envie de moi, j’avais envie qu’elles s’occupent de moi et…soudain, la solution miracle : l’émancipation. Non pas qu’elles aient poussé à me faire émanciper mais le mot avait été prononcé. Ses mains mouvantes me causaient pourtant un tel état d'énervement que je me sentais sur le point d'exploser d'une seconde à l'autre. Je redevenais hypersensible de partout et mes yeux révulsèrent quand tantine m’aida à enfiler le seul polo de tennis qu’elle avait déniché dans la salle de bain du deuxième étage. Taille 12/14 ans. Je voyais mes tétons pointer rageusement dans le miroir sous l’étoffe qui m’arrivait à peine sous le nombril. Et mes longues jambes…ma petite chatte toute lisse, mille fois plus mignonne sans ses vilaines boucles noires…Je ne pus m’empêcher d’y toucher.
Mireille, ta protégée a un sérieux problème.
Oui, elle a grandi trop vite et pas en sagesse. Si tu veux te masturber devant nous, attend que je te trouve une culotte.
Là, tantine ! Dans le tiroir de la commode. Il y a tous les bikinis que je ne sais plus mettre. Oui, celui-là !
Pourquoi celui-là ?
Parce que Florence me dit qu’il est trop sexy mais trop petit quand on n’est pas rasée. Et comme je suis rasée…
Mireille ! Je te le répète. TU AS un sérieux problème. Elle est tarée ta protégée. Il faut la faire examiner par une personne compétente.
Moi, je veux bien. Compétente et capable de comprendre ce qui vient de nous tomber dessus. Je ne connais personne dans mes amies qui puisse…
Annette ! La psy. C’est une très bonne copine et elle est homo aussi. Je lui envoie un SMS qui commencera par help please et je lui explique l’urgence. Elle comprendra. Si on l’invitait à déjeuner demain.
A 2h du matin ???
Je suis certaine qu’elle viendra si j’insiste. Tu verras. Elle gagne à être connue. Elle est tout sauf bornée.
On fait comme ça. Milli, va te coucher.
Et le grenier…Je pensais qu’on allait me montrer le grenier. Tantine !!! Le banc solaire !!!
Je vais laisser la porte ouverte et tu pourras aller te bronzer demain, après le déjeuner, si tu sais te tenir.
Chouette ! Ca va être dur mais je vais me retenir et bien garder ma culotte de bikini pour dormir. Ainsi, je ne vais pas mouiller mes nouveaux draps.
J’avais une envie folle de monter inspecter le grenier mais soudain, j(entendis tantine parler avec Marine. C’est fou comme on entend bien les conversations dans ces grandes maisons, rien qu’en écoutant dans l’ouverture du feu ouvert. La chambre de tantine est située juste sous la mienne et nous avons le même conduit de cheminée. C’est comme ça que je sais tout ce que tantine fait avec ses maîtresses dans la nuit noire. Je corrige. Tout ce que tantine aimerait faire à ses maîtresses parce que, presque toujours, elles disent non pas ça ou je rentre chez moi. Et presque toujours, elles rentrent chez elles. J’ai appris tellement de choses en écoutant dans la cheminée. Tantine, elle aime bien attacher les filles à la boiserie de son lit à baldaquin et les regarder pendant des heures en les caressant tout doucement pour qu’elle ne jouisse pas trop vite. Marine ne supportait pas ça. Elle disait pourtant qu’elle adorait faire ça aux autres jusqu’à les faire grimper aux rideaux. Quelle idée bizarre ! Il parait que les filles jouissent beaucoup plus fort après. Je ne le croyais pas mais tantôt, quand je me suis retenue, c’est vrai que c’était méga colossal. Pourtant, il n’y avait qu’une heure que je me retenais. EUREKA ! Je viens de comprendre pourquoi tantine m’a demandé de me retenir jusqu’à demain après-midi. C’est pour que je jouisse très très fort quand la psychiatre sera là.
Chut ! Marine va dormir toute nue et tantine aussi. Dans le même lit comme autrefois………………………………………………………………………………………….
C’est vite fini cette fois-ci. Marine devait être vraiment fatiguée.
Chut ! Elles parlent de moi.
Sous ses dehors de petite fille innocente qui a grandi trop vite, elle a d'éblouissantes dispositions orgasmiques. Tu te rends compte qu’elle a joui cinq fois à son âge en éjaculant deux fois comme une grande. Elle est tellement craquante quand elle jouit.
En plus, elle cicatrise vite. Après la douche, je croyais que j’aurais encore la corvée des collants à me taper mais c’était inutile, elle n’avait presque plus rien.
Mireille ! Tu sais que tu peux me faire confiance. Je ne peux pas croire que c’était la première pour elle.
Je te le jure sur la tête de mon père, je ne lui ai jamais fait de mal, jamais au grand jamais.
Tu lui as fait du bien, des câlins, quoi.
Je mentirai en disant qu’elle n’est pas câline. Elle est trop câline. Elle veut des guidounes tout le temps.
Des guidounes ? Des chatouilles, mais pas jusqu’à la faire jouir ou alors, elle le cache bien sous son essuie de bain.
Hum ! Tu lui fais des guidounes après la douche.
C’est systématique et ça dure des heures parfois. Le JT de 20H, les pubs, le feuilleton et ça se termine au JT de France 3.
Et elle doit mouiller comme une folle.
Je ne sais pas. Je regarde la télé, moi, le soir. Je ne pense pas tout le temps au sexe comme toi.
Je te parie qu’elle se couchait sur sa sortie de bain pour s’essuyer quand le besoin s’en faisait sentir.
Tu as raison mais c’est normal, elle sortait toute mouillée de la douche.
Aie ! Elle est fut fut, Marine. Pour les câlins devant la télé, c’est foutu. Il faudra que je sois finaude avec elle. Tant pis. 10 orgasmes de perdus, 100 de retrouvés.
Tu as vu sa réaction sur le carcan, surtout quand je l’ai huilée. N’importe quelle nana se serait bloquée. Elle est s’est envolée. Il n’y a qu’une maso pour aimer l’huile et les tenailles. En plus, elle est drôlement obéissante. Avec un peu de gentillesse, je pourrai tout lui demander une fois qu’elle sera émancipée.
Là, tu rêves. L’émancipation, c’est très bien mais ce n’est pas à moi à la demander, c’est à elle.
Nous y arriverons avec le temps. J'adore m'occuper de jeunes nanas, j’ai l’impression que cela m'empêche de vieillir. Je vais la soûler de caresses pendant que tu la martyrises pour la faire monter toujours plus haut dans l’extase. Elle ne saura plus où donner de la tête. On va faire de son sexe un lance d’incendie tellement elle va éjaculer.
Oups ! Ca c’est un programme qui me botte. Ensuite, Marine a fait des compliments sur mon physique. Que je portais très bien le bikini quand j’étais bronzée. Alors, tu me verras souvent en bikini. Que j’avais de très, très, très (3x) belles jambes. Que les filles callipyges étaient souvent des bombes sexuelles. C’est quoi calimachin ? Mon dictionnaire…Une cambrure marquée des reins et de belles fesses. Encore. Toutes mes copines me sortent aussi la même rengaine. C’est décidé, je bouffe plus (ne pas prononcez le S). J’ai réussi à me débarrasser du plus gros de ma virginité, je me débarrasserai aussi du plus gros de mes fesses.
Tu sais bien ce qu’en pense, Marine. Je ne demande que cela de la faire fondre. Allez, on se couche.
Attend ! Annette ! Elle m’a répondu. Elle pourra passer chez nous vers 11h mais elle ne pourra pas rester plus d’une heure. Je t’avais bien dit qu’elle rappellerait. Il faut que je te prévienne. J’ai vécu deux mois avec elle. C’est une fétichiste des jambes. Si je veux la mettre dans ma poche, je vais devoir m’habiller très court. Allez ! On se couche. Bon anniversaire Mireille.
Moi, c’était hier. Il est 3h du mat. Aujourd’hui, c’est celui de Milli.
Moi, je me couche aussi.
7h du matin. Petit pipi et retour au plumard. Je suis affamée ce matin. Tant pis, je suis punie. Je vais m’interdire de manger. Je me suis recouchée mais j’ai quand même enlevé ma culotte de bikini qui me rentrait dans les fesses. J’ai du me rendormir une heure en lisant. Sommeil très agité, Milli. Tu t’es déshabillée en dormant. Mes jambes s’étaient emmêlées dans le drap. Mes cuisses seules étaient visibles. Comme sur le rack quand j’avais les jambes et les mollets liés jusqu’aux genoux. Il fait déjà clair et l’aube s’attarde sur mon corps prisonnier. Je me caresse le pubis et les seins car ma foufoune sans foufoune, pleine de rosée, n’est pas accessible. J’ai les jambes jointes. Normal. Les draps, non, les cordes me maintiennent prisonnière. Mes belles jambes hâlées, les cordes, le long martinet que vous dressez au-dessus de moi, tout cela ne fait plus qu'une seule tresse qui se fond et palpite. Pourquoi tout ce monde ? Personne ne m’écoute mais tous me regardent. Il n’y a pas à dire. Mon corps se transforme de la plus belle des façons. Pitié ! Ne me frappez pas ! Ce n’est pas de ma faute si j’inspire des pulsions sadiques. Les cordes marquent les chairs qu'elles protègent de la violence que je lis dans leurs yeux. Seul mon livre abrite encore mon ventre mais plus pour longtemps. Ils veulent que je me caresse encore ou ils vont me battre. C’est vraiment du vice d’obliger une jeune fille à se caresser en public. Allez ! Pour vous faire plaisir. C’est méga excitant mais c’est épuisant de se caresser sans pouvoir jouir. Comme elle a raison. Je peux juste glisser un doigt entre mes cuisses pour titiller mon clitoris. Oh ! La vilaine fille qui est déjà toute trempée. Stop ! C’est plus possible. J’étais presque partie. Mes fantasmes ont cela de bien, c’est qu’ils me mettent en lambeaux sans abîmer le corps de rêve que je vois dans le miroir. Il y a des miroirs partout chez tantine. Marine était dans le lustre de ma chambre et elle a tout vu. Elle tient dans ses mains une paire de raquettes de pingpong et me tape sur les cuisses pour m'obliger à retirer le doigt de mon sexe. Je résiste mais tantine sort du bahut en acajou avec toutes ses anciennes maîtresses. Elles ont toutes un fouet qu’elles font claquer sur mon ventre et mes seins. Mes cris se perdent dans les sifflements des lanières déchaînées. Plus ils me fouettent, plus le hamac de mes draps de cordes semble se refermer sur moi. Plus je m'enfonce dans un monde parallèle. Je souffre mille diables tandis que mille démons m'excitent. Madame, tout m’excite ici. Le grenier plein d’instrument de torture. Vous le faites en exprès. Dans l'attente de la délivrance, vous me brûlez la chatte avec votre huile pimentée. Il y a d’autres façons de me réchauffer. Le souffle de la bouche de Marine par exemple. Oui j’ai dit tu. Pour mieux entendre le sifflet du fouet sur mes fesses que vous trouvez trop grosses. Mes fesses sont-elles vraiment si grosses ?
Je viens d’entendre le hennissement des chevaux. Vite ! Florence vient d’arriver nourrir ses deux pouliches. Un coup d’œil à la fenêtre. Elle est seule. Chouette ! Je vais lui demander si elle me trouve potelée ou non.
Florence profitait des vastes prairies et du grand chalet de Tantine Mireille pour y parquer ses deux chevaux. C’était mon endroit préféré. Le sien aussi. C’est là qu’elle donnait rendez-vous à Léna pour faire l’amour discrètement.
Tiens ! Mademoiselle Belles Cuisses qui a troqué son vieux training trop grand pour un short trop petit et un polo déchiré sur le devant. Tu veux me séduire ou ta tantine n’a plus de sous pour t’habiller.
Figure-toi que j’ai reçu hier soir ma pension alimentaire de l’année ! Normalement, maman nous donne 250 euros par mois et papa 750. Sais-tu combien tantine me donne comme argent de poche ? 12 euro par semaine. Le reste, c’est pour sa poche. Je n’ai plus rien à me mettre et je n’ai rien eu mangé depuis hier midi. Tout ça parce que Marine est revenue vivre à la maison. C’est dégueulasse. Je pense que je vais me faire émanciper. Ne me regarde pas comme ça ! J’ai l’âge depuis aujourd’hui. Tu es en dernière année de droit, non ?
Oui, je suis en stage au tribunal de la jeunesse justement. Monte sur Bijou ! On va faire un tour et on va causer toutes les deux. Dis donc, tu t’es rasée le pépette, toi !
Mon pépette, c’est une chatte.C’est Marine qui me l’a dit. Elle m’a fait ça à cause du collant. Tu sais ma chute à vélo, l’autre jour. Elle dit que c’est mieux pour que ma chatte ne soit pas toute collante après…à cause des poils…ben oui ! Il parait que je suis une bonne mouilleuse.
Tu es en danger, ma petite Milli. Tu m’avais déjà raconté des trucs mais je croyais que c’étaient des cracks.
Si je te dis que je veux me faire émanciper, c’est que c’est grave. En plus, elles ne veulent plus me donner à bouffer parce que je suis callipyge.
????
Enfin, parce que j’ai les jambes trop potelées. Et toi, qu’est-ce que tu trouves ?
Je trouve que tu es INCROYABLEMENT bien foutue. Parfaite, quoi. Méfie-toi de Marine !
Je sais. Elle m’a dit hier que je lui inspirais des pulsions sadiques.
Je pense qu’il sera très facile de t’émanciper. Ca, c’est un motif. Un simple interrogatoire chez le juge de la jeunesse et…
Et les 12 euros que je reçois par semaine, ce n’est pas un motif ?
Ecoute-moi ! C’est une procédure longue et compliquée, tu sais. Il faut que tu puisses justifier de revenus. Si tu as un acte notarié qui parle des 1.000 euros de pension alimentaire, c’est déjà beaucoup.
Je l’aurai. Ils ont accepté de m’entretenir jusqu’à mes 25 ans
Bien. Dans ton cas, il suffirait que ta tantine Mireille soit d’accord car elle est ta tutrice.
Pas de problème avec ça.
Une signature et un avis psychiatrique.
Annette !!!
Je l’aurai avant midi.
Si tu es enceinte, cela peut aller encore plus vite.
Comment je fais pour être enceinte avant midi ? Je me débrouillerai.
Pourquoi, tu veux absolument être émancipée avant midi ?
Oui, il y a urgence mais pas question de déposer plainte sur Marine ou tantine.
Marine, elle est domiciliée chez Mireille.
Non ! Mais elle va le faire.
C’est dommage car tu avais un motif tout trouvé ; Impossibilité morale de vivre avec deux femmes.
Tu vas m’aider. Il me faut toute la paperasserie pour 11H du matin. Tu les mettras dans la boîte aux lettres sans sonner et je les remettrais signés dans celle du chalet.
Et pourquoi STP ?
Sinon je dis à tout le monde que tu viens ce que tu fais au relais de chasse avec ta copine.
Tu n’a rien vu.
Si ! Tu la ligotes et tu la tapes. Et elle dit encule-moi encore, je vais jouir. C’est quoi enculer…
Je m’en fous. Dis ce que tu veux !
Je vais dire aussi à tantine que tu m’as obligée à me déshabiller.
Tu lui diras aussi que c’est parce que tu voulais monter sur mon cheval tout boueux avec la tenue réglementaire de collégienne que je t’ai demandé d’enlever ta jupe.
Non, je lui dirai que tu m’as lavée après, en insistant tellement sur mon pépette que j’étais plus mouillée après qu’avant avant. Et ton diplôme tu peux l’oublier.
Tu es un poison, toi. Pourquoi tu fais ça ?
Parce que tu ne t’occupes pas de moi. Jamais.
Tu m’as déjà dit que le juge t’avait à la bonne. Si tu lui donnes tous les papiers et que tu lui expliques bien ma situation, cela devrait aller très vite.
Et non, parce que tu n’as pas de domicile légal.
J’aurai. Le chalet sera mon domicile. Il a une boîte aux lettres et un numéro dessus.
C’est exact. Et tu vas habiter là toute seule. Non, avec tes chevaux. Comme ça, tu pourras venir me voir plus souvent. Ils seront propre et je leur donnerai à manger. Nous aurons plus de temps pour les monter et pour nous embrasser. Je peux te donner un vrai baiser.
MILLI !
Eh oui ! Je suis une gouine comme toi. C’est Léna qui va être contente.
Léna. Elle m’a quittée.
C’est moche, ça. (YES !!!)
Elle est partie avec …ma mère.
Celle qui était divorcée avec celui que j’appelle Clubman parce qu’il fabrique des clubs de golf !!!!!!!!
Ben oui, idiote ! Je n’ai qu’un père et qu’une mère.
Tu as de la chance. Moi, je n’avais plus de père et depuis hier, plus de mère.
Elle est morte ?
Non, je t’expliquerai.
Tantine était ménopausée et pas franchement belle. Plutôt moche, même. Marine, c’était style top modèle. Toujours bien froquée, bien coiffée, bien maquillée, élégante, racée, BLONDE. J’arrête car vous allez me croire amoureuse d’elle. Et c’est totalement faux. J’en étais raide dingue et elle le savait. Florence, c’était une grande brune très classe. 1.72m comme moi pour 62 kilos. Moi, c’était 65. Nous nous pesions souvent toutes les deux toutes nues sur la balance du chalet. Elle était aussi épilée de partout et avait de jolies jambes mais pas aussi belles que les miennes. C’est elle qui le disait. Chaque fois que je la voyais mon cœur se mettait à battre très fort. Florence ne savait pas que je l’aimais…jusqu’à aujourd’hui après m’avoir embrassée.
Je suis rentrée à la maison, direction banc solaire. Une heure et demie plus tard, j’étais cramée. Mes maîtresses dormaient toujours quand je suis descendue prendre les papiers dans la boite aux lettres. Florence avait agrafé un petit mot.
J’ai contacté le juge. Dans ton cas, tu peux déjà te considérer comme émancipée dès ce soir. Il va lancer une procédure accélérée dès que tous les documents seront remplis. Ta tantine devra accepter et signer les papiers, ainsi que la psychiatre. Je lui ai dit que tu habiterais chez moi en attendant que ton changement de domicile soit effectif. J’aime bien ton petit short troué mais j’aimais encore mieux le bikini blanc que tu portais il y a deux ans. Un chef d’œuvre de perfidie. Je suis certaine que maintenant que tu as pris 10 cm en taille et en tour de poitrine, il devrait t’aller comme un gant.
Mon Dieu ! Mon bikini en coton qui a tant rétréci au lavage. C’est un outrage aux bonnes mœurs que tu me proposes.
Je ne propose rien du tout. Je te donne un ordre. Ma pouliche ne supporte plus d’être montée par une fille qui s’habille comme un mec avec un vieux training. Si tu veux encore la monter cet hiver, tu le feras avec ce bikini ou tu ne la monteras plus. Ne me dis pas que cela te déranges ou que tu es frileuse. Je t’ai vue hier soir sur le balcon, à poil, avec de la neige jusqu’aux genoux.
Annette est arrivée vers 10h30. Elle avait pris un peu d’avance car les routes étaient toujours couvertes de dix centimètres de neige et la température était tombée à moins dix degrés. Je ne l’avais pas entendue entrer. Elle en a profité pour s’entretenir d’abord avec Mireille et Marine. Je venais de me farcir un petit quart d’heure de banc solaire en plus. Je n’avais pas accès malheureusement à la dernière partie du grenier, la plus intéressante, celle des fringues. Je me suis donc rabattue sur les vêtements entassés dans le tiroir de mes douze treize ans. Quand Mireille m’appela, je venais enfin de retrouver le fameux bikini blanc. Je l’enfilai à la hâte pour voir quelle allure j’aurais ainsi attifée dans mon miroir. Super, super, super ! Le contraste entre l’acajou de ma peau et la mini étoffe blanche était du plus effet. Le mini bikini ne cachait rien du tout en fait, sauf que j’avais le feu où je pense. Une mine de vêtement sexy ce tiroir oublié depuis deux ans avec, en point d’orgue, un châle en crochet que Tantine avait confectionné pour moi. Le crochet, c’est génial parce c’est plus que transparent vu que c’est plein de trous. Une fois noué autour du cou et passé sous les seins, il mettait superbement ma poitrine ma poitrine en valeur. Ne descendant que quelques cm sous la culotte string du bikini, il me semblait suffisamment coquin pour me présenter devant une fétichiste des jambes. Vite un peu de crème hydratante pour accentuer l’éclat de mon bronzage et …
Milli, descend !
Je te parie qu’elle a trouvé le banc solaire.
Milli ! Grouille-toi ! La psychiatre veut te parler. Habille-toi décemment s’il te plaît !
J’arrive ! J’étais sur le banc solaire.
Je dévalai quatre à quatre les deux étages. Toute essoufflée, je remontai les pans de nom châle en prétendant :
Je m’excuse pour ma tenue. Je me suis habillée avec ce qui m’est tombé sous la main pour ne pas vous faire attendre trop longtemps.
J’étais entrée dans le grand salon avec la ferme intention de draguer la psychiatre même si elle avait septante ans. J’avouerai que je n’ai pas du faire beaucoup d’effort, elle n’en avait que trente deux (comme Marine qui m’avait menti). Elle dégageait un charisme incroyable. Son maintien racé et l'éclat de ses yeux m'interpellèrent dès que mon regard croisa le sien. Annette avait des yeux en amande d’un gris clair à tomber. Elle n’était pas très grande et son type asiatique prononcé lui donnait un charme fou. Elle portait allègrement ses trente deux ans et son sourire…ah ! Son sourire me donnait envie de lui manger les lèvres. Dès que je me suis assise en face d’elle, j’ai su que je l’avais troublée et que la partie était gagnée.
Bonjour Emilie ! Je ne m’attendais pas à voire entrer une fille aussi bien formée. Tu parais nettement plus que ton âge.
Mireille et Marine proposèrent de nous laisser en tête à tête. Excellente idée !
Je veux que vous restiez ici. Je ne vais jamais m’y retrouver si j’entends trois sons de cloche différents. Je n’irai pas par quatre chemins. Je ne suis ici pour juger qui que ce soit mais je ne veux pas de mensonges. J’irai donc droit au but. Emilie, après analyse de ton problème, ta tutrice souhaiterait abandonner sa tutelle légale et demander ton émancipation. C'est-à-dire…
Je sais. Florence m’a apporté tous les documents utiles. Elle est stagiaire chez le juge de la jeunesse. Ils sont dans cette farde. Il n’y a plus qu’à signer.
Marine. Je crois que tu surestimes la naïveté de Milli.
Sa naïveté, non, je ne la surestime pas. Sa détermination, par contre, je l’ai largement sous-estimée.
Annette était sciée. Elle se demandait même ce qu’elle était venue faire ici.
Milli. Il ne faut pas agir dans la précipitation. Je te demande de m’écouter d’abord. Assieds-toi CONVENABLEMENT en face de moi ! Je ne vois pas l’utilité de mettre ton string mouillé sous mon nez. Tu es à l’âge de l’éveil sexuel et au début de ton adolescence. Tu te cherches et si tu crois mordicus être attirée par les filles, rien ne dit que tu ne changeras pas de voie un jour ou l’autre. Tu es très séduisante et les propositions ne manqueront pas d’affluer. Je sais que ta tutrice a déjà été convoquée à la direction de ton école pour des problèmes avec ton comportement avec tes camarades de classe.
Non, c’était avec les plus grands.
Cela n’a aucune importance. Ces problèmes comportementaux, tu les reproduis ici également. Mireille et même avec moi. Tu veux ajouter quelque chose, Mireille ?
Milli ! Tu comprends bien que si je t’ai demandé cela, ce n’est pas pour me débarrasser de toi. Après chacune de mes ruptures, tu as cherché à m’émoustiller. Enfin, depuis une bonne année. Ce genre de conduite peut me conduire à n’importe quel moment devant le juge.
Annette avait posé ses mains sur mes cuisses et me les caressait comme pour m’aider à supporter la pseudo révélation de mon ignominie.
Je suis vraiment très heureuse que tu as compris cela toute seule en apportant les documents ad hoc. Je vois que tu as eu la même idée que Mireille, d’ailleurs. Te faire domicilier dans le relais de chasse.
Tu pourras continuer à vivre ici, ou là-bas selon ton désir. Ta tantine ne demanderait pas mieux que tu continues à vivre à ses côtés. C’est purement administratif, que de la paperasserie. Tu ne devras rien changer à ta façon de vivre. Simplement, tu seras protégée comme ta tantine d’une décision judiciaire par exemple qui retirerait la tutelle à Mireille et te conduirait dans un centre pour adolescente en difficulté.
Mireille, comme je viens de te le dire, plusieurs choses me mettent mal dans le comportement de Milli tel que tu me l’as rapporté mais aussi dans le tien. Tu as cruellement manqué de sévérité avec Emilie.
Compte sur moi, Annette ! Ca va changer.
Jamais tu n’aurais du accepter qu’elle se ballade devant toi dans des tenues aussi affriolantes et toi, Emilie, tu es aussi coupable car tu utilises à mauvais escient ton besoin de séduire à tout prix. Tu confonds, inconsciemment peut-être, le besoin d’être aimée et de t’envoyer en l’air. J’ai l’impression qu’à chaque nouvelle arrivante dans ton entourage, tu cherches à tester ta puissance érotique comme si tu devais en passer par là pour te faire apprécier.
C’est plus fort que moi.
Ton émancipation devrait, en principe, être pour toi synonyme de liberté. Ce qui me gêne, c’est de t’offrir cette liberté en sachant pertinemment que ta seule ambition est de l’offrir à ceux ou celles que tu as déjà choisis. Je vais même aller plus loin. Ton ambition est de devenir prisonnière. Pas obligatoirement dans un cachot mais sous la dépendance totale d’une ou d’un maître absolu car c’est de cette façon que tu désires être aimée. Une sorte d’abandon total de ton corps au profit de la personne que tu auras su séduire. Est-ce que je me trompe ?
Pas du tout ! Je veux avoir le droit de diriger ma vie comme je l’entends.
Belle preuve de maturité ! Que comptes-tu faire plus tard ?
Je veux faire le droit, comme Florence ou alors vétérinaire pour m’occuper des chevaux.
Insensiblement, ses mains avaient glissé sous le bord de ma minirobe improvisée. Je crois qu’Annette ne cherchait qu’une certaine forme d’empathie mais le résultat fut tout autre. Ses mains étaient posées sur mes hanches et dégageaient complètement mes cuisses qui frémissaient. Ses yeux de chatte guettaient mes réactions tandis qu’elle faisait lentement glisser ses pieds pour écarter mes cuisses.
J’ai besoin pour écrire mon rapport d’en apprendre beaucoup plus sur toi. Sur ta personnalité, tes tendances sexuelles, si tu es attirée par les filles et les garçons ou uniquement l’un des deux, sur la façon dont tu fonctionnes, sur les relations que tu cherches à avoir avec ton entourage.
Tiens, par exemple, si j’avais été un homme, est-ce que tu aurais aussi essayé de le séduire comme tu le fais avec moi.
Le cri du cœur…
Ah non ! Je serais vite remontée me changer. Avec vous, ce n’est pas pareil.
Parce que je suis une femme ou un médecin ?
Parce que vous êtes une très belle femme…
Et si le monsieur t’avait demandé de rester comme tu étais car il te trouvait très appétissante.
J’aurais refusé, c’est sûr et certain.
Et si Marine et Mireille avaient insisté pour que tu t’installes dans ce fauteuil, face à lui, les cuisses ouvertes comme tu le fais maintenant.
Marine était très mal à l’aise. Pas la peine de chercher la réponse dans ses yeux. Elle me faisait des yeux ronds qui clamaient clairement sa jalousie. Tantine, elle se contentait de lire et signer au plus vite les papiers.
Cela m’étonnerait qu’elles me demandent de faire cela mais je l’aurais peut-être fait.
Pourquoi puisque cela ne te plaît pas apparemment ? Pour les rendre jalouses, pour avoir une punition ou parce que tu aimes te faire caresser ?
???
Je reformule ma question d’une autre façon. Mets tes cuisses sur les accoudoirs du fauteuil !
Comme ça ?
Encore plus écartées ! Comme hier soir sur le rack…Ne t’effrayes pas ! Elles m’ont tout raconté…
Rien que la réminiscence des inoubliables moments de plaisir de la veille me fit à nouveau mouiller profusément. Mes fantasmes se sont emballés à la vitesse de l’éclair. Marine et Mireille avaient fait venir la psy pour me torturer toutes les trois sur le rack.
Tu as beaucoup aimé, paraît-il ?
C’était énorme. Incroyable. Inoubliable.
Mon petit bouton était à nouveau tout dur et surtout très à l’étroit sous le microscopique string qui remplissait de moins en moins son office de cache-sexe.
Je te repose ma question. Est-ce pour les rendre jalouses ou pour retourner sur rack recevoir une punition plus forte encore que tu me présentes ton sexe pour que je le caresse ? Ne me dis pas que tu n’en as pas envie ! Tu viens de resserrer le mini triangle pour qu’il rentre complètement dans ta fente.
Pas du tout ! C’est parce qu’il est trop petit…que vous m’avez fait écarter les cuisses trop fort…
Que préfères-tu ? Te caresser toute seule ou que je te caresse.
Toute seule, c’est beaucoup moins gai…
Et en public, comme tu le fais à l’école devant les garçons, c’est mieux.
Les garçons ne me caressent pas. Moi je me caresse pendant qu’ils me touchent les seins.
Marine avait mis sa main dans sa culotte et elle me faisait signe de dire oui. Oui à quoi ? Oui à tout ?
Comment crois-tu que Mireille et Marine vont réagir si tu me demandes de te caresser devant elles ?
Vous me caressez déjà mais si je vous demande de continuer, elles seront jalouses et c’est sûr qu’elles vont me punir très fort.
Mireille venait de lever pour la première fois les yeux de ses documents.
Fais ça et tu ne pourras plus montrer tes belles cuisses à Florence avant trois semaines !
Et toi, Marine ! Si elle me demande de la caresser, comme je connais un peu tes goûts, je parie que sa punition sera terrible, n’est-ce pas, Marine chérie ?
Ca dépend d’elle et de toi Annette. Je connais ton imagination et ta patience pour jouer avec les filles jusqu’à ce qu’elles soient épuisées. Celle-ci est bien plus jeune que moi. Il faudra sortir le grand jeu si tu veux la briser.
Mon excitation augmenta encore d’un cran. A quelle sauce étaient-elles occupées de me cuisiner, cette fois ? Mon sexe coulait comme un robinet mal fermé et ma boule au ventre grossissait comme un ballon branché sur une bonbonne de gaz.
Si tu veux avoir encore une plus grosse punition, ne me demandes pas de te caresser ! Enlève simplement ton châle et ton soutif ! Hier, il paraît que tu t’es donnée en spectacle pendant plus d’une heure. Ce soir, ta punition sera multipliée par deux et tu ne jouiras pas avant la fin.
J’étais tellement allumée que je n’ai même pas pris le temps de la réflexion. Le châle et le soutif volèrent derrière le fauteuil dans les dix secondes qui suivirent sa proposition malsaine.
C’est long, deux heures. Je connais très bien Marine pour avoir habiter avec elle plusieurs mois. Tu dois être très excitée, ma petite puce pour accepter cela. N’est ce pas ?
Oui, Madame. Je suis toute drôle encore une fois. Mon titi est tout sorti. Qu’allez-vous me faire maintenant ? Vous ne pouvez pas me laisser comme ça.
Ca dépend de ce que tu veux, comme le dit si bien Marine. Hier soir, Marine t’a caressée avec de l’huile pimentée. Ta chatte a du avoir très mal, non ?
Oui, surtout au tout début. Après, ça faisait toujours mal mais c’était plus supportable. Cela m’empêche de jouir trop vite et je monte beaucoup plus haut. J’aime bien avoir mal quand je suis excitée. Je jouis moins vite et ça dure plus longtemps. Et après je crie très fort en mouillant partout, m’a dit Marine.
Comment cela ?
Elles me demandaient de me retenir le plus possible pour ne pas jouir trop vite. Sans la douleur, je n’aurais jamais plus me retenir si longtemps et jouir aussi fort.
C’est à Marine que je m’adresse.
Ne fais pas l’idiote, Annette ! Tu as très bien compris ce qu’elle te dit. Elle éjacule. C’est une femme fontaine, quoi. Elle m’a fait le coup deux fois, hier soir.
Et tu as su résister une heure à ces deux malades, à ton âge ?
Oui, plus d’une heure…Tantine m’a beaucoup aidée parce qu’elle me faisait très mal au titi quand elle sentait que j’allais partir. Heureusement que j’étais liée sur le rack.
Intéressant. Dites, vous deux ! C’est horrible de masturber une petite fille qui est attachée et de ne pas laisser jouir. J’espère que vous n’allez pas remettre ça.
Non, ce n’est pas horrible. Pas du tout. C’est même trop trop bon quand je suis attachée sans pouvoir me débattre. Je me dis que je suis une prisonnière et qu’elles vont me torturer jusqu’à ce que j’avoue.
C’est pour revivre cela que tu as balancé ton châle et ton soutif avec tant de précipitation. Tu ne pourras pas recommencer aussi vite et résister deux heures. Je ne te crois pas.
Si, Madame Annette, Mireille va me faire très mal dès que je commencerai à jouir. C’est alors que ça devient terrible ce qui se passe dans mon ventre. J’en ai tellement envie et je ne sais pas. C’est le plus grand des vertiges. Après ce qu’elles m’ont fait hier soir, je crois que j’aurais pu jouir dix fois en suivant mais Tantine était fatiguée et Marine aussi.
C’est pour qu’elles jouent avec ce joli titi tout sorti que tu veux te faire émanciper.
Madame ! Madaaame ! Plus sur mon titi, s’il vous plaît ! Il est trop chatouilleux. Attentiooon !
Réponds ! Veux-tu vraiment devenir leur jouet sexuel à plein temps ?
Ouiii ! Pendant deux semaines au moins…Raahhh ! Après, il y a l’école…Arrêettez ! Ce ne sera plus que le soir les WE et toutes les vacances…Comme ça, c’est encore plus terriiiiible !
Alors, nous allons essayer de te faire plaisir. Si tu enlèves ton string, je te fais jouir plusieurs en suivant très fort et tu auras quand même tes deux heures de punition sur le rack ce soir. Si tu préfères garder ton string, c’est que tu préféras te réserver pour ce soir.
Marine venait de jouir pour la deuxième fois au moins et reprit part au jeu. Tantine, elle venait de replier la farde, contente d’avoir fini les formalités.
Je peux jouer avec vous ? Si tu n’enlèves pas ton string, Annette te caresse quand même à travers le tissu et…
Laisses-moi finir ta phrase ! Et si tu te retiens de jouir pendant les dix minutes qui suivent, je t’emmène chez moi car le document que tu m’as donné à signer n’est pas le bon. Si tu jouis, je refuse ton émancipation.
Et Mireille d’ajouter en finissant la bouteille de Porto :
Moi, je te promets trois heures de souffrances sans jouir ce soir, même à la fin si tu te laisses tripoter par Annette.
Marine, juste avant d’orgasmer pour la troisième fois :
Et même quatre heures si Annette reste déjeuner avec nous et que tu fais le service de table habillée de ton seul string, sans renverser un seul verre, sinon ta punition sera encore plus dure.
Je vais garder mon string si c’est pour qu’Annette reste pour manger. Elle me caresse presque encore mieux que toi…Anneeeettte ! Si je dis stop, tu ne me laisseras pas partiiiiir ! Stop ! Stop ! Stop ! Pitiééééé….
D’accord ! Si tu mets tes bras derrière la tête ! Mireille va te tenir les poignets pour bien tendre ta poitrine et ton ventre et Marine va jouer avec tes jolis petits seins tout bronzés.
Jusqu’à ce que tes petits tétons deviennent de grosses tétines…
Oh ouiiiii !
Dans mon esprit, j’étais liée comme sur le rack, entourée d’une armée d’amazones qui avaient pour mission de me faire jouir contre ma volonté. Si je parvenais à résister, je serais leur captive, leur jouet sexuel, comme disait Annette… pour ma vie entière.
Dès que toutes les gardiennes furent en place et la belle prisonnière attachée, Annette jeta un coup d’œil sur l’horloge du salon. Top chrono !
Frottant divinement sur la petite bosse sensible du string, elle me fit monter en quelques secondes au bord de l’orgasme. Je n’étais plus tu, je n’étais plus là non plus, j’étais elle…
C’est ce que j’appelle une rapide. Tout de suite en pression et elle ne décroche pas. C’est vraiment une très bonne mouilleuse comme tu dis. Regarde comme elle coule quand tu lui étires les tétons !
Je lui ai demandé cent fois de me faire mal aussi mais, Annette, ce n’était ni son truc, ni son intention. Elle me faisait venir tout doucement et s’arrêtait juste avant la délivrance. Puis elle me caressait les jambes de façon maladive et terriblement perverse en répétant toujours la même phrase.
Elle a de beaux petits jambonneaux bien fermes. Elle le sait qu’Annette raffole de ses belles gambettes musclées et elle en abuse parce qu’elle adore recevoir des claques sur ses cuisses de gazelle toute dorées. Elle est déjà bien mal en point, la gouinette mais elle en veut encore.
Ce n’est pas la peine d’essayer de communiquer avec elle, elle est décérébrée
Même avec les comateux, il est parfois possible de dialoguer. Tu vas voir. Je ne vais plus bouger mes doigts tout griffus. Elle devra les mendier ses caresses. Si elle aime se faire mousser, elle poussera son bassin en avant pour se frotter le clito sur la méchante main.
Marine, qui avait obtenu à force de patience de transformer mes mignonnes petites pointes en grosses tétines, se mit en tête de me traire comme…
Elle va bientôt nous donner son lait la petite chèvre toute ruisselante si elle continue à se frotter sur les vilaines griffes de la méchante Annette.
Lorsqu’après un effort musculaire considérable, je parvenais à toucher du pubis la main de la psy, elle me masturbait énergiquement pour me faire décoller. Il me fallait une force de caractère surhumaine pour me laisser choir dans le fauteuil et postposer ma délivrance dans un bougonnement d’insatisfaction.
Ce petit jeu pervers était divin. Je suis parvenue à maintenir un gros quart d’heure cet équilibre fragile qui donne l’envie d'arrêter et d'y revenir l'instant d'après.
Si cela ne vous dérange pas Mireille, je suis disposée à écouter des heures encore ses râles d’agonie. Je n'ai jamais joué avec une fille aussi bien foutue, même dans mes rêves les plus fous. Je me régale de voir frémir des jambes aussi parfaites. Tu sais, Marine, comment Cindy appelle des cuisses longues et parfaitement taillées. Les piliers du paradis.
Allez, petite traînée ! Encore un effort ! Cette fois-ci, je ferai jaillir ton lait.
J’endurais tout cela en héroïne et en invoquant le nom de Florence, ce qui irritait sérieusement Marine et Tantine qui promettaient à tour de rôle de m’en faire baver tant et plus ce soir. J’étais au-delà de l’au-delà. Dans une sorte d’état orgasmique contenu, dans l’attente maintenant inéluctable de l’orgasme de ma vie.
J'ai toujours eu un faible pour les lionnes qui ont l'apparence de gazelles. Je me demande pourquoi elle fait tant d’effort pour amener sa vulve sur ma main. Vu la façon qu’elle a de regarder ses jolies jumelles qui se tendent, je me demande si c’est pour se faire mousser ou pour faire admirer ses siamoises cuivrées.
Pour moi, c’était un tout. Cela me faisait toujours mouiller quand je montrais mes cuisses surtout depuis la séance prolongée au banc solaire.
Moi, je pense qu’elle aime surtout les montrer et se regarder dans les miroirs comme elle le fait maintenant. Marine, tu m’as dit que c’est à cause d’elle que tu comptes rester ici. Comme ça l’excite de les montrer que de se mirer, moi, je l’obligerais à ne plus porter que des mini strings ou rien du tout. Ou alors, tu sais, des mini mini strings en latex extensible dans lesquels tu pourrais mettre de l’huile épicée pour garder son minou bien au chaud sans qu’elle ne mette de l’huile partout. Une grosse seringue dans son vagin le matin et tu refais le plein à midi. Si elle ne sait plus se tenir, tu la mets dans ta cave et tu l’attaches par les poignets à la voûte comme tu l’as fait une fois avec…c’est comment encore son prénom ?
Suzelle !
Je sais, c’est un mauvais souvenir pour toi. Pardonne-moi !
Elle recommença à me masturber avec une lenteur calculée et à me taper de plus en fort sur les jambes. Elle avait un gros problème, cette fille là.
J’adore ligoter les petites garces en chaleur et jouer avec leur clitoris jusqu’à ce qu’elles n’en puissent plus de me demander de les vider.
J’ai du perdre un litre de sécrétions, 90% de mes forces et presque toute ma voix. Une épave, j’étais une épave, terriblement frustrée et complètement patraque.
Mireille avait lâché mes bras depuis cinq bonnes minutes et revenait aux nouvelles.
Annette ! Si tu veux rester pour déjeuner avec nous, il faudrait se décider. J’ai fait des cuisses de grenouilles au piment d’Espelette en entrée et un gigot de biche en plat principal. Tu ne le regretteras pas, la viande est bien tendre. Le dessert, c’est au choix…Emilie si tu veux. Elle, comme elle n’a pas faim, elle fera le service.
Tu me gâte, Mireille. Comme dessert, je prendrai une croupe d’Emilie attendrie au martinet.
Obsédée que tu es.
Après plus d’une demi-heure de stimulations sexuelle pareilles sans soulagement, j’étais lessivée et sans force dans les jambes. C’est à peine si je suis parvenue à me relever. C’est alors que tomba la surprise du jour qui me fit retomber sur le cul dans le fauteuil en cuir submergé par mes égarements liquides. La double porte en miroir du buffet dans le quel je m’admirais depuis plus d’une heure s’ouvrit lentement.
!!!
Stéphanie ! Tu peux entrer. C’est terminé.
Il était temps. Cela faisait une heure que je vous observais derrière le miroir sans tain. J’ai mal partout.
On allait justement se mettre à table. Alors ! Ton avis. Que dit la Faculté de ce phénomène sur pattes ?
INCITATION.jpg
INCITATION.jpg
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.