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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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Le parcours d’une fille gâtée par la nature et corrompue par la vie.


INTRODUCTION


Je dédie ce texte à toi, Michèle, qui a su comprendre mon besoin d’appartenance. A toi, Léna, dont l’imagination débordante parvient à éveiller mes sens chaque jour que Dieu fait. Mon intrusion dans votre couple aurait pu le briser mais votre abnégation à me partager n’a fait que le renforcer. A mes sœurs de chair qui m’humilient et me châtie toujours avec tant d’amour.
Des évènements récents et votre insistance me poussent aujourd’hui à vous livrer et vous faire partager mes émotions sur ce topic dans un texte qui prendra la forme d’une fiction que vos amies prendront, je l’espère, plaisir à lire.
Je ne sais pas où je vais, ni où nous allons. Cela me donne l’impression de me mettre un bandeau sur les yeux pour que personne ne voie mon regard pendant que je vous livre mes obsessions et mon ressenti le plus intime.

En m’inscrivant sur ce groupe, je fais la même démarche que lorsque je me suis présentée, vêtue de mon short fétiche, celui qui me fait des jambes si longues, chez les deux femmes qui venaient de m’engager. Je me suis dit qu’ici mes pulsions ne feraient pas peur et que je pourrai m’abandonner. Plus je perds la tête en me livrant, plus mes sens s’affûtent. Comme pour mes patronnes qui n’avaient d’yeux que pour mes tétons qui déchiraient la fine étoffe du petit top étriqué qui présentaient mes seins comme sur un plateau. J’espère que ces quelques lignes parviendront à vous communiquer la même excitation que je prendrai à les écrire. Mon excitation est très forte quand je lâche prise. Pardonnez-moi si je deviens trop brouillonne ! Je reçois des images très érotiques quand je laisse mes pensées tourbillonner dans tous les sens. Et je deviens ingérable tant que je n’ai pas reçue la fessée.

Vous aurez compris que je suis une affreuse masochiste mais une maso festive. Mais ma soumission est avant tout, pour moi, un formidable terrain de jeux

ACTION

Je m’appelle Emilie et viens d’avoir 24 ans. J’ai vécu une enfance heureuse et une entrée en adolescence catastrophique. Mes parents étaient des gens respectables mais carriéristes. Tellement obnubilés par leur travail qu’ils me laissèrent orpheline au sortir d’un divorce si déchirant que la belle-sœur de maman finit par obtenir ma tutelle à l’aube de mes quatorze ans.

Tantine Mireille s’est montrée admirablement bienveillante avec moi malgré qu’aucun sang commun ne nous unisse. Vieille fille, plus par tendance homosexuelle que par vocation, elle m’a toujours considérée comme la plus belle chose qui lui soit arrivée dans sa vie. Et la vie de tantine ne fut pas toujours rose. Elle qui allait de déception amoureuse en extorsion de fond par l’une ou l’autre concubine ne pouvait malgré tout s’empêcher d’étaler sa fortune comme un appât miraculeux pour s’attirer les complaisances de filles plus ou moins jeunes en détresse. Jamais elles ne restaient plus d’une semaine et chaque fois, tantine pleurait à chaudes larmes. Si elles revenaient, c’étaient pour leur demander, ou lui voler de l’argent.
Je n’oublierai jamais le jour de l’anniversaire de ses cinquante ans car il coïncidait à un jour près avec le mien. C’était un samedi et je me faisais une joie de revoir maman de retour au pays après plus de trois mois d’absence. Tantine pleurait encore sa Xième déception amoureuse. Moi, je m’étais payé une chute de vélo mémorable en rentrant du collège et j’étais couverte d’hématomes et de pansements. Pour couronner le tout, maman se pointa avec un Saoudien qui ne parlait pas un mot de français et qui se faisait traduire chacune de nos paroles et inversement. C’était un très bel homme mais qui, sans honte, avoua à tantine avoir 22 ans de plus que maman qui frisait pourtant la quarantaine. Toujours ce carriérisme exacerbé. Maman allait se marier avec un promoteur international qui assurerait la prospérité de son entreprise d’air conditionné pour les années à venir. Elle l’avait rencontré en Lybie et ils étaient devenus rapidement inséparables au point qu’il lui avait proposé de devenir sa troisième épouse. Comment refuser une telle proposition ?
Une chose me frappa d’emblée. Le polygame pervers s’intéressait plus à mes cuisses qu’à l’outrageux décolleté de maman. Ce qu’elle ne manqua pas de lui signaler en spécifiant mon âge. Il lui répondit que dans son pays, à cet âge-là, je serai déjà promise voire mariée.
Le primate s’approcha de moi et remonta le pull que je portais à même la peau en m’arrachant par inadvertance le pansement que le docteur avait mis si longtemps à faire tenir en place et qui recouvrait la moitié de mon ventre. Au lieu de s’excuser, il nous fit un exposé sur les us et coutumes de son pays. Il nous fit comprendre ses critères esthétiques de la beauté féminine en me palpant les seins. Pas besoin de traduction pour comprendre ça. Visiblement mes seins tendus et mes cuisses fermes correspondaient plus à ses critères que le physique de ma pauvre maman. Son regard maternel courroucé me fit croire que j’avais une opportunité de briser la future union et peut-être d’empêcher maman de faire la bêtise de sa vie. Et surtout de m’abandonner définitivement. Je me suis débarrassée de mon pull et de ma jupette de tennis sur laquelle le pansement collait à mort, m’arrachant la moitié de mes petits poils pubiens. Il n’en fallut pas plus pour emballer la libido du satyre dont les paroles probablement obscènes ne furent pas traduites par maman. S’ensuivit une querelle verbale à distance tandis que j’enlevai innocemment ma blanche culotte, juste bonne à mettre à la lessive car recouverte d’isobétadine brunâtre. Tantine ne pria de monter me changer avant qu’ils n’en viennent aux mains. Ce n’était pas un spectacle pour une fille de mon âge. C’était trop tard déjà. Maman le gifla avant de s’en prendre à moi de la même façon. Elle entraîna son amant vers la sortie et tantine par la même occasion. Ils discutèrent une dizaine de minutes sur le pas de la porte que maman n’ouvrit que pour me dire adieu, sale petite mal élevée. Je courus vers elle pour la retenir mais elle me repoussa ainsi que tantine qui essayait vainement de s’interposer. Les derniers mots qu’elle prononça résonnent encore à mes oreilles : « J’aurais du savoir que de te faire élever par une gouine ne pourrait faire de toi qu’une putain ». La porte de mon enfance venait de claquer définitivement. Non ! Elle s’entrouvrit et une main jeta une enveloppe épaisse comme un bouquin. Tiens ! C’est de la part de ton père.
Je n’ai même pas versé une larme sur cette déchirure abominable de mon deuxième abandon maternel. Dans un premier temps, Tantine m’expliqua ce qu’était une gouine avec des mots magnifiques, parfumés d’amour véritable. Ensuite elle m’expliqua que je ne devais jamais plus me comporter ainsi devant un homme. Je n’étais plus une petite fille. J’avais atteint l’âge où les femmes deviennent belles et désirables. Ca, je commençais à m’en rendre compte mais pas pour un vieux monsieur quand même tantine. Elle me répondit que si, à plus forte raison. Et pour une gouine aussi alors, je suis aussi désirable ? Elle me gifla comme si elle avait pris ma répartie pour elle, ce qui était à cent lieues de mes intentions. Elle termina en me demandant de ne jamais plus prononcer ce mot.

Nous étions dans le pétrin. Une samedi soir, une dizaine de pansements à refaire et deux invitées à recevoir dans moins d’une heure pour fêter nos anniversaires.
#128734
la suite

Tantine décommanda promptement ses deux amies et à défaut de mieux, demanda à une de ses ex, qui était infirmière, de passer me soigner.

Marine arriva cinq minutes plus tard. Tantine m’avait déjà arraché tous mes pansements sauf ceux de mes mains et achevait de me laver. Situation équivoque s’il en est.
J’adorais Marine. Elle était très mignonne et c’était une vraie blonde, elle. C’est elle aussi qui était restée le plus longtemps à la maison. C’était aussi la seule que je regrettais.
Quand elle est entrée avec sa valise à la main, j’ai sorti la plus grosse connerie de ma vie, mais c’était le cri du coeur.

Marine, tu reviens dormir chez nous. Tu as déjà fait ta valise. Je suis trop contente. Maintenant que je suis grande, je pourrai jouer avec vous, à des jeux de grandes.

Elle ne regarda avec des yeux mi Chimène mi vamp. Elle fusilla tantine avec des yeux de louve en chasse en lui intimant d’arrêter de m’exciter et de la laisser travailler.
La valise, c’était bien entendu sa valise médicale et dans mon esprit, les jeux de grandes étaient le scrabble qu’elles faisaient tous les soirs toutes les deux pendant que je regardais la télé dans mon fauteuil avant qu’on me prie d’aller me coucher. Marine demanda à ma tante, sur un ton non équivoque si elle se contentait de me masturber ou si j’étais devenue son souffre-douleurs.

Pourquoi Marine dis-tu ça ?
Parce que je pense que tu es trop bien foutue pour qu’elle ne ressente pas l’envie de te faire du mal comme elle a voulu m’en faire aussi.

Tantine la traita de folle et lui expliqua ma chute en vélo, la perte d’usage temporaire de mes mains, etc... Marine la crut à moitié, ce que tantine remarqua. Elles se jetèrent quelques noms d’oiseaux à la tête avant que n’éclate au grand jour le motif de leur séparation. Tantine, excédée, lui balança que ce n’était pas le moment de faire une crise de jalousie. Jalouse de moi ! Marine lui rétorqua que la jalousie n’avait rien à voir là-dedans. Le seul problème selon elle était que deux femmes dominantes ne pouvaient cohabiter très longtemps même si elles s’aimaient très fort. J’avais la tête comme une pastèque et j’avais déjà encaissé assez de contrariété pour ma soirée d’anniversaire. Je ne suis mise à sangloter comme une Madeleine, parvenant enfin à les calmer. Et même à obliger Marine à donner un baiser de réconciliation à tantine. Se rendant compte du grotesque de la situation qu’elle avait crée de toutes pièces, Marine m’emmena dans ma chambre pour renouveler tous mes pansements. Une fois couchée sur le dos, la première chose qu’elle m’a demandée est l’âge que j’avais après m’avoir complimenté sur ma beauté en me caressant les seins qu’elle trouvait si pommelés. C’était la deuxième fois en une soirée qu’un adulte me touchait les seins. Cela me conforta dans l’idée que j’étais devenue une femme.

J’ai 17 ans, Marine, c’est mon anniversaire demain. Qu’est-ce que tes mains sont douces ! Tu me caresses bien mille fois mieux que les garçons de sixième. Regarde ! Avec toi, ça marche. Ils deviennent tout durs et j’ai de grosses pointes. Ils me disent toujours que j’ai des gros seins mais qu’ils ne vont jamais donner du lait parce que les pointes ne ressortent pas assez.

Que cette fille était belle et gentille quand elle ne se disputait pas avec tantine. Je lui demandai son âge également et pourquoi elle ne reviendrait pas vivre avec nous jouer au scrabble. Elle en avoua 26, mais je sus plus tard qu’elle en avait 6 de plus. Pourquoi tu ne reviens pas ? Es-tu mariée ? Elle me prit certainement pour une demeurée et ajouta qu’elle m’aimait que les femmes. Dans ma candeur d’adolescente, je lui démontrai qu’il n’y avait donc plus aucun obstacle vu que nous étions deux femmes sous ce toit et que j’étais certaine que tantine l’aimait toujours et moi encore plus. Elle me rappela que deux dominantes ne peuvent pas se blairer très longtemps. No comprendo. Explication édulcorée mais tout simplement ahurissante pour moi à l’âge que j’avais à l’époque. Suite de notions proprement emballées de sadomasochisme féminin. Avec un peu plus de détails, à ma demande, sur les relations sexuelles au féminin. Et en apothéose, elle me confia à l’oreille sa recherche d’une fille jeune et très jolie, comme moi par exemple qui aimerait la fessée. J’étais troublée. Une grosse boule de plomb venait de tomber quelque part au bas de mon ventre. La seule répartie qui me passa par la tête fut de lui demander de rester car je l’aimais. Et elle m’embrassa avec sa langue ! Et la boule de plomb devint si lourde que ce fut presque insupportable. Pourtant, j’eus un mouvement de recul.
Bien sûr que je l’aimais comme j’aimais mes copines mais on ne s’embrassait pas comme ça pour autant.
Ensuite, elle voulut savoir si j’avais déjà fait l’amour avec un garçon. Diantre non ! Quelle horreur. Et sur sa lancée, si j’avais déjà été caressée par une fille. Je suis très menteuse surtout pour arriver à mes fins. Mais bien sûr que oui. Quelle question idiote ! Toujours plus perfide.

Et est-ce que tu te caresses aussi parfois ?
Tu veux dire les seins ?
Oui, les seins et le sexe aussi.

Tant qu’à mentir.

Parfois. Tu sais, je suis encore très jeune. Je ne me caresse pas plus de dix fois par jour. Après, je suis trop fatiguée.

Qu’elle arrête ses questions, je ne savais même pas ce que c’était que de se caresser.

Marine, mes pansements, ça n’avance pas et Tantine va s’inquiéter. Pas grave, la plupart de mes plaies étaient bien sèches et un peu de rouge suffirait. Sauf celle à l’endroit où mon guidon m’avait tué la crête iliaque.

Si tu ne veux pas que je t’arrache tous tes poils en même temps que le collant, laisse-moi te les raser ! Cela ne prendra que cinq minutes.

Oui, c’est mieux…

Et là, l’horreur, une minute trente pour me débarrasser de ma toison, dix minutes pour enlever la mousse.

Marine, je deviens toute drôle…Tu aimes quand je te fais cela…Rah ! Trop bon…Trop bon rah ! Arrête ! J’ai des frissons partout…Arrête, ça recommence…Rah…C’est tout, c’est tout…c’est mal. Mariiine ! Arrête, ça recommence je vais crier…Non ! Pas les seins en même temps…Si tu veux que je revienne, il faudra me laisser faire ça tous les jours…Rah ! Tu es certaine que je ne vais pas mourir…Rah c’est trop fort ce que tu touches là…pince-le ! Viiite…Houla ! Houla ! Encoooore ! Arrêêêête ! J’ai fait pipi dans le mon lit. Je ne crois pas non. Ta tantine le fait aussi bien que moi ?
Tu es folle, pas tantine. Elle va être furieuse si elle sait ce que je viens de faire.
Sur ce, la porte s’ouvrit.
Emilie, c’est toi qui as crié ? C’est quoi cette marre dans ton lit ?

Tantine, ne me gronde pas ! J’ai fait ça pour nous. Marine va revenir habiter à la maison si je la laisse me caresser tous les jours. Elle m’a dit que deux dominantes ne s’entendraient jamais. Il fallait une soumise et une dominante. Je serai la soumise et vous ne vous disputerez jamais plus. Vous pourrez me caresser toutes les deux pendant que nous jouerons au scrabble.

Et Marine d’ajouter ; « Et si tu perds, tu auras la fessée »

D’accord si tantine n’est pas jalouse.

Marine descend, j’ai à te parler ! Toi, nettoie ton lit et décrasses toi ! Puis tu descendras. Et pas toute nue puisqu’il faut te le préciser depuis que tu es devenue une femme. Ton père t’a laissé un an de pension.

Elles descendirent au grand salon en laissant la porte grande ouverte par inadvertance. Les grandes maisons, ça résonne bien surtout si le son peut circuler via les conduits des cheminées ouvertes. Je pouvais entendre leur conversation comme si j’étais dans la pièce.
#128775
J'ai pris le train en route mais cette histoire m'apporte déjà de grands moments d'excitation. Elle explique peut-être aussi la partie manquante de celle d'un certain clubman. Je pense que peu de gens ici l'ont remarqué. Ce serait sympa de nous expliquer davantage votre motivation. Je suppute un nouveau jeu de rôles dans lequel vous risquez d'être cette fois le dindon de la farce. Je ne me serais pas permis le terme de dinde. Si je me manifeste, c'est que je trouve votre histoire excellente et aussi parce que j'ai maintes fois joué à cela avec ma soumise pour l'obliger à se dévoiler totalement. L'exhibition des pulsions, si elle est sincère et sans tabous, donnent une emprise énorme au Maître sur sa soumise qui ne peut espérer en retirer qu'une utilisation plus abusive de son corps et de son esprit.
Bavardage rime avec esclavage et votre vice probablement avec supplice. Mais peut-être me trompé-je? Je ne vous écris pas en privé à dessein car je pense que vous préférez vous exhiber en public pour mieux vous enchaîner à vos Maîtres. A cette question, au moins, je recevrai une réponse. Si vous l'ignorez encore, je suis psy mais pas votre ami comme mon pseudo l'indique. Je n'ai pas accès à votre corps mais je suis capable, en vous lisant, en analysant, et en commentant vos écrits, de vous torturer tout aussi sadiquement en ouvrant à ceux qui en ont le pouvoir des brèches dans votre carapace. Du moins si votre écriture est sincère, ce que je vous conseille car je n'hésiterai pas dénoncer vos tergiversations ni vos mensonges improbables. 9.5/10 pour le moment.
#128819
Je vais répondre aux deux interventions précédentes sans détours comme je l'ai promis aux huit filles ( peut-être plus mais pas mon ami ?) qui m'ont demandé de jouer au jeu de la vérité, ce qui est encore plus éprouvant qu'un simple jeu de rôles. Autant vous le dire tout de suite, je me délecte d'être ainsi mise en situation de faiblesse pour ne pas dire sur le grill. Comme vous devez vous en doutez, je suis espionnée dans tout ce que j'écrirai ici. Ce qui veut dire que le jeu s'arrêtera dès qu'une de mes amies me prendra en flagrant délit de mensonge. Ce n'est pas "lesbiandestroyer" qui m'empêchera de continuer à vous raconter ma vie. Mes amies connaissent certaines parties de ma vie qui m'obligeront à ne pas tricher. J'ai 3 semaines devant moi (mes 3 semaines de congés) pour avancer dans mon introspection et pour la projeter vers ceux et celles qui me liront. Je n'aurai aucun contact avec mes amies autre que mail avant la fin du mois et ma reprise du travail au club. Elles doivent, en principe, se contenter de me faire préciser certains détails de mes textes ou me demander d'arrêter d'écrire pour l'une ou l'autre raison. Lesbiandestroyer...même pas peur! 10/10 pour vos interventions. A noter, elles ont voulu que je reste chaste jusqu'au terme de l'expérience pour mieux retransmettre mes émotions et mes délires.
#128834
Texte de grande qualité. Dialogues rares mais intenses sur le texte. Je ne suis pas psy mais je vais donner mon opinion quand même car je suis lesbienne et soumise. Tu cherches non seulement une justification à ta conduite mais plus encore une autorisation camouflée d’aller plus loin. Ne me réponds pas et analyse !
#128998
L'abstinence est un catalyseur de désirs. Je m'étonne que tes amies te laissent sans surveillance et te fassent confiance. Le temps des ceintures de chasteté est révolu mais dans ton cas, une surveillance me semblerait indiquée. Si plusieurs personnes de ton entourage nous lisent, il serait judicieux que tu sois accompagnée. Cela aurait plusieurs avantages autres que celui de briser ta solitude. Comme tu n'as même pas peur, tu ne devrais pas être effrayée par une abstinence aggravée.Tu pourrais par exemple te caresser devant elle tout en résistant au plaisir. Quant ta main fatiguera, tu pourrais faire usage de la sienne. Pourquoi pas avec le baume signé petitcoquillage? Elle a fourni à tous ceux qui lui demandait la composition. La projection de ton introspection donnerait certainement encore plus de couleurs et d'érotisme à tes textes.
#129443
Je fis couler le robinet de la baignoire pour faire croire que je prenais un bain et descendis les escaliers en tenue d’Eve pour mieux les espionner dans l’encoignure de la porte.
Marine repoussait les avances de tantine qui essayait maintenant de lui enlever sa blouse. Elle voulait savoir si Marine avait quelqu’un dans sa vie. Ce fut un non catégorique. Le problème n’était pas de les attirer chez elle mais de savoir les garder. Elles échangèrent leurs expériences à propos du nouveau parking autoroutier qui était un endroit génial pour la drague. Cela me fit chaud au cœur quand je les vis rire de bon cœur en se rendant compte qu’elles avaient emballé les mêmes nanas. Tout ça pour finir par confesser que l’une comme l’autre ne comptait plus les jeunes vierges effarouchées qui s’enfuyaient dès qu’elles sortaient une paire de menottes.

Je vivais avec une tueuse en série et comme si cela ne suffisait pas, je tentais encore d’en attirer une deuxième. Ma tête se mit à tourner. Je repensai au relais de chasse, aux caves et surtout au vaste grenier dont les accès m’étaient formellement interdits. C’était certainement là qu’elles devaient cacher les corps.

Tantine avait débouché un vieux Porto et rempli deux verres. Marine lui avoua que cela lui manquait terriblement et qu’elle avait été très heureuse de pouvoir toucher une fille aussi jolie et peu farouche que la petite Emilie. Tantine lui répondit que la Milli était bien plus naïve que farouche et essaya d’embrayer sur d’anciennes connaissances communes mais Marine, c’est de moi qu’elle voulait parler surtout.

Je te connaissais vicelarde mais pas au point de faire l’éducation sexuelle de la gamine qu’on t’a confiée En tous cas, Bravo ! Qu’est-ce qu’elle a changé Emilie ! Elle est craquante ta jeune poupée. De jolies cuisses bien potelées, des petits seins super érectiles et ce visage angélique…Cette fille est belle à crier et en plus c’est une bombe sexuelle en puissance (rien n’a changé ou presque) déjà à son âge…

Justement, c’est là que je voulais en venir. Sais-tu quel âge elle a ?

Elle m’a dit 17 ans mais je ne l’ai pas cru une seule seconde. C’est typiquement le style de fille qui m’excite : un visage de poupon, un corps d’adolescente à peine pubère, un petit clitoris monté sur ressort et surtout une super bonne mouilleuse qui démarre au quart de tour. Je l’ai fait jouir trois fois en quelques minutes. Elle m’a même éjaculé dans la main. C’est incroyable à son âge. Tu as l’air de tomber des nues. Qu’est-ce qui ne vas pas, Mireille ?

Faire un petit pipi d’émotion, cela s’appelle éjaculer ? Je pris le carnet à coté du téléphone et notait tous les termes nouveaux que je venais d’entendre depuis cinq minutes. A la première occasion, j’en parlerai à une grande du collège ou ailleurs.

Je sais bien qu’aucun sang ne nous lie mais je quand même sa tutrice légale jusqu’à ses dix huit ans et elle me considère un peu comme sa mère. Alors, je me contente de la mâter à la moindre occasion. Elle est si naïve que ce n’est pas difficile de la mettre nue et de la laisser ainsi promener devant mes yeux sa croupe callipyge. Le meilleur moment, c’est le samedi après-midi. Je lui mets de l’auto bronzant. Elle adore cela. Elle est hypersensible de partout. Je n’ai jamais vu cela. A la limite, c’est pathologique. Quand j’ai fini de la peinturlurer, je vois bien qu’elle est différente et très troublée. Je lui dis alors qu’il faut qu’elle écarte bien les cuisses et les bras pour ne pas garder de traces. J’utilise exprès un produit bon marché qui met une heure à sécher. Je ne te dis pas les pulsions sadiques qu’elle m’inspire avec son corps de déesse que j’imagine enchaînée en croix. La semaine dernière, elle m’a carrément tuée en se comparant à une sainte martyre.

Quelque chose venait de se briser définitivement dans mon cœur. Tantine ne serait jamais plus ma seconde maman.

Une fille aussi jeune devrait être capable de supporter bien plus de vexations que toutes les soumises que nous avons connues dans nos vies réunies. Mais le plus excitant, c’est qu’elle a tout à apprendre. Nous pourrions l’accompagner et la rendre très heureuse.

Ne rêve pas, Marine ! Elles sont connes les filles de cet âge. Elles sont pleines de tabous.

J’en suis moins sûre que toi. Elle m’a quand même avoué qu’elle se caressait dix fois par jour et se faisait régulièrement peloter par les garçons. Les temps ont changé, tu sais, Mireille. Les ado ont évolué avec les images et les séries qui les matraquent à longueur de journée.

La mienne est différente. Pas de télé, pas d’internet. Ma tête à couper qu’elle est encore vierge. A part la lecture, il n’y a que les chevaux qui l’intéressent. A peine rentrée de l’école, elle file au bout de la prairie et passe des heures à discuter avec Flo et Nadège si elles sont là, et à l’oreille des chevaux si elle est seule.

Et puis, elle ira raconter ce qu’on lui fait à ses copines et les ennuis vont commencer.

Flo et Nadège, tu dis. Pas tristes ces deux là, paraît-il ? Deux snobinardes friquées qui ne se quittent jamais et qui font la fac de droit. Il ne m’étonnerait pas qu’elles fassent partie de la Confrérie. Un jour ou l’autre, c’est elles qui vont te piquer ton diamant brut.

Tu me fais rire. Si tu la voyais partir les rejoindre dans son training trop grand pour elle, elle t’apparait plus comme une bigote qui part à la messe du soir qu’une maso qui attend le fouet. D’ailleurs, elle dévore au moins deux bouquins par semaine toujours autour du même thème : le martyre de Ste Catherine, de Ste Cécile, de Ste Aldegonde et j’en passe. Ah oui ! Elle a presque fini les Misérables aussi. Elle m’a posé plein de questions car elle trouvait qu’elle était à sa façon une Cosette des temps moderne. Attend que je me souvienne ! Je me souviens de sa honte l’été dernier quand je lui ai demandé ce que faisaient sous son lit toute ma collection des bouquins d’Emmanuelle Arsan.

Tu vois, elle se cherche. Elle n’a pas de copines ou de copains, ta Cosette ? Qu’est-ce que tu fais Mireille sur cette escabelle ? Tu vas te casser la figure.

C’est bien ce que je pensais, elle a remis des bouquins devant pour cacher qu’elle m’avait piqué tous mes revues Domina.

Flûte ! Ce n’est même pas pour moi, c’est Florence qui m’a demandé de fouiller dans la bibliothèque de tantine car elle avait sûrement des livres cochons de femmes nues jouant entre elles. Quand les bouquins étaient bien cochons, je pouvais monter sur son cheval. C’est vrai qu’elle ne me les a jamais rendus. Je les lui demanderais demain. Avec tout ça, j’ai loupé la moitié de ce qu’elles disaient et la porte s’était refermée toute seule.


…taine qu’elle est lesbienne…elle a un charme fou…elle dégage vraiment quelque chose…
Mireille, c’est décidé. Si tu te sens capable de me supporter, j’emménage demain matin dans la chambre qui jouxte celle de ta poupée. Je te parie qu’avant demain soir, je la fais crier au moins dix fois. Je ne lui lâcherai plus la motte. En moins d’une semaine, elle deviendra totalement dépendante de ses sens.

Tu as raison. Quel gâchis ! Elles ne se rendent pas compte qu’à cet âge, elles seraient capables d’éprouver des extases énormissimes si elles s’abandonnaient un peu entre des mains expertes comme les nôtres. Le problème, c’est plus une question juridique que morale. Tu sais bien que chez moi, le plaisir a toujours compté avant la morale.

Tu n’as qu’à la faire émanciper si tu as la trouille. Elle a l’âge, non.

Encore un nouveau mot. Déjà 10 mots inconnus dans mon carnet, la révélation d’une trahison innommable et la perspective inéluctable d’un changement de vie radical.

A nous deux, nous allons en faire la Cosette que nous avons toujours rêvé d’avoir sous la main.

Mon livre de chevet, à l’époque, était les Misérables. Cosette et les Thénardier. Gros fantasme. Cosette exploitée jusqu’à l’épuisement. Sous-alimentée et battue. Une vraie esclave domestique qu’on traitait sans respect aucun. Rien que d’y penser, je mouillais encore plus qu’en lisant la vie des saintes martyres.

Ce n’est pas idiot ce que tu dis. Il faut que j’aille chercher Milli. Elle n’a pas encore reçu l’argent de poche que son père lui a envoyé.

L’argent de poche ? Il est si radin que ça avec la pension alimentaire de sa fille ou tu t’appelles Mireille Ténardier. Je croyais que ton style, c’était la générosité.

Non ! Il est même trop généreux. Je lui donne 50 euros par mois et je gère à ma façon les 750 restants.

En plus, la marâtre me pique mon fric. 12 euros par semaine. Pour moi qui suis devenue une femme. Pour me payer mes fringues, mon maquillage, le coiffeur et j’en passe, c’est scandaleux. C’est de l’exploitation.

La porte s’ouvrit sans que j’aie entendu Mireille arriver

Tu écoutes aux portes, maintenant. Qu’est-ce que tu fais là toute nue ? Tu ne vas pas me dire que tu n’as plus rien à te mettre ?

Pour tenter de dissiper ma gêne d’avoir été surprise, je passai à l’attaque sans lui permettre de réfléchir.

Et bien si, justement ! Comment veux-tu que Cosette s’habille avec 12 euros par semaines ?

Marine vint à la rescousse. Elle me prit par le bras et m’emmena, direction le grenier « interdit ».
#129466
MEGA EXCITANT ! Une photo de l'héroïne serait un plus à ce texte qui se veut sincère et me permettrait d'accrocher encore plus. Je comprendrai que tu m''envoies en privé une photo d'une fille qui représenterait le mieux la beauté que tu nous décris. Mais, si cela t'est permis, un cliché sur le topic serait peut-être un gage de la sincérité que tu veux afficher dans ton texte. J'ai hâte que la porte du grenier s'ouvre. Je suis belge comme toi et c'est férié aujourd'hui. N'hésite pas à me parler en privé! Nous avons, je pense, des passions et peut-être même des connaissances communes dans le monde équestre.
#129467
C'est un challenge ou un piège. Tu sais bien que j'ai promis de jouer au jeu de la vérité ou cela n'aurait plus de sens. Ce n'est pas une raison pour montrer son visage qui a déjà été divulgué par mon mec mais est passé dans la masse des photos du net que nous lui avons balancées. Je me tâte. Pas trop quand même car...
#129474
Merci d'avoir relevé le challenge en espérant que tu répondras au message que je vais t'envoyer. Que cela ne t'empêche pas de continuer à écrire cette histoire qui me fascine! Un simple oui ou non est suffisant comme réponse pour savoir si je ne me suis pas trompée.
#129883
Une curiosité maladive me poussait régulièrement devant la porte ouvragée et infranchissable de cet endroit devenu l’objet de toutes mes obsessions. Rien que d’imaginer pouvoir la franchir, j’en avais des frissons et l’entrejambe grave humide.

Qu’est-ce qu’il y a dans le grenier ?

Toutes les fringues que Mireille a achetées pour ses conquêtes. Tu en as pour un mois si tu veux toutes les essayer. Trois garde-robes qui débordent et des tonnes de vieux meubles. Et un superbe banc solaire professionnel.... Plus quelques grosses surprises…

Viens ! Je vais te fringuer. Tiens-moi par la taille. J’ai meurs d’envie de te caresser comme tout à l’heure. Qu’est-ce que tu fais ?

Je mets mes mains derrière ma nuque. Ce sera plus facile pour toi de me câliner.

C’est ainsi que tu fais avec les garçons ou les filles peut-être ?

Oui, mais pas toute nue comme avec toi. Je serai trop gênée. Je hais les garçons. Surtout les grands. Avec les filles, je n’ai jamais osé. Et puis, je n’ai pas beaucoup de copines sauf Annette et Léna avec qui je joue au tennis. Et encore, Annette a mon âge mais elle est avec un mec. On ne peut pas discuter avec elle. Léna, c’est une grande qui traîne tout le temps avec un groupe de filles de 20 et des ans. J’oubliais. Il y a Flo aussi. Avec elle je peux parfois discuter mais dès que j’aborde certains sujets, elle se braque et me dit : « Tu n’es qu’un gros bébé ».

Et Nadège ?

Nadège. Chasse gardée de Flo. Elle ne veut pas que je l’approche. Nadège, elle m’appelle Lololita.

Lolita ?

Non, Lololita parce que j’ai des plus gros seins qu’elle. Elle m’a demandé de les lui montrer l’été dernier. Flo est arrivée comme une furie quand elle a vu que j’avais dégrafé ma jupe et depuis, je ne peux plus aller voir les chevaux quand Nadège est là. Je n’ai jamais compris pourquoi mais je n’ai pas insisté.

Tu es idiote ou tu fais semblant.

Ben non ! Nous n’allions rien faire mal et puis, Nadège se mette aussi très souvent toutes nues pour se chatouiller. Quand je vois qu’elles font ça, je reste un peu pour regarder et puis je rentre vite à la maison. Tiens ! Nadège se met comme ça, avec les mains derrière la nuque. Et Flo lui donne des baisers sur son pépette. Elle est bizarre, Nadège. Elle aime ça et puis elle pleure et elle dit « Non, c’est tout, c’est tout » Moi, je ne dirai jamais ça si j’aimais ça.

Un pépette ? Une chatte, tu veux dire.

Ouais ! Je viens de comprendre pourquoi Flo dit toujours : « Je vais te faire miauler la chatte. » Marine ! Arrête ou je vais allaiter ! Ne ris pas ! Je vois bien que mes bouts sont tout sortis.

Passe devant moi ! J’ai trop envie de claquer tes belles fesses.

J’ai entendu que tu as dit tout à l’heure qu’elles étaient grosses ou potelées, je ne sais plus. C’est de ma faute. Je n’ai pas de volonté. Je ne peux pas résister au chocolat. Si tu veux, tu me laisseras enfermer dans le grenier sans me donner à manger pendant dix jours et …

Et l’école ?

Waouh ! Tu m’as tapé très fort là. Pas d’école avant quinze jours ! Ma classe part en voyage scolaire mais tanti…pardon Mireille ne voulait pas que je les accompagne.

Pourquoi ?

C’est compliqué. Mireille a inventé une belle excuse pour que je n’y aille pas. Elle voulait que nous restions ensemble pour mettre certaines choses au point.

? Je peux savoir.

J’ai honte, Marine. Le directeur l’a convoquée pour lui parler de moi. Il parait que je suis une élève brillante mais trop délurée sur certains points et pas assez sur d’autres.

Détaille STP ! Des parents lui ont dit que je me déshabillais dans les vestiaires des garçons…

Ah oui ! Quand même !

Il a dit à tantine Mireille que ce qui l’ennuyait était que je ne trouve même pas ça mal. Alors, vu que j’aurais été une des deux seules filles avec vingt cinq garçons à partir en classe de sport…

Une douce chaleur commençait à envahir mes reins. Nous étions au pied du dernier escalier, le plus raide, permettant d’accéder au grenier. Marine me demanda d’écarter les jambes et de garder mes mains sur la nuque sans ouvrir les yeux. Elle décrivit des arabesques avec ses ongles en dessinant et en commentant toutes mes courbes avec des qualificatifs plus érotiques les uns que les autres. Un frisson incontrôlable m’envahit et me provoqua la chair de poule, ce qui n’échappa pas à ma guide.

Marine ! Je suis toute drôle…Marine !!! Je coule, je coule... Dis-moi que tu vas rester avec nous !

Uniquement si tu me laisses te faire tout ce qui me passe par la tête sans discuter. Tu veux bien essayer ?

Et comment que je veux ! Je ne demande que ça que tu reviennes habiter à la maison. Ce n’est pas grave si je coule autant ? Dis-moi si cela te dérange ou non si j’écarte un peu plus les jambes ? Je sens que je coule sur mes cuisses.

Elle me fit deux fois le tour de la tête avec son écharpe pour s’assurer que je ne tricherai pas en ouvrant les yeux.

Ooh ! Je suis toute malade. Pourquoi Mireille ne me fait jamais ça quand elle me met de l’auto bronzant ? Tu vas me rendre folle si tu continues à..à..me faire miauler la chatte.

Sans faire de bruit, Mireille nous avait rejoints et devait bien regretter de ne pas y avoir pensé plus tôt. Elle s’empara délicatement de mon sein droit qu’elle porta à ses lèvres ce qui me fit vaciller complètement. Ou était-ce peut-être le fait de son haleine qui trahissait une consommation récente d’un bon vieux Calva. Le Calva, c’était le péché mignon de Mireille. Elle en sifflait une bouteille par jour pour se désinhiber qu’elle disait. Moi, je pensais que c’était surtout pour s’imbiber mais il faut avouer que ce soir-là, Mireille se lâchait vraiment.

Tu as un corps merveilleux, ma chérie, une peau d'une douceur remarquable. Je vais te faire connaître des moments inoubliables.

Ses caresses fugaces restaient sans réelle intention de me faire jouir mais je sentais que je perdais peu à peu le contrôle sous l’action conjuguée de ces deux femmes d’expérience. J'étais terriblement excitée et je faisais des efforts surhumains pour parvenir à rester plus ou moins immobile et même à leur parler en chevrotant.

Mireille ! Marine va rester si je la laisse me faire tout ce qu’elle a envie.

Je sentis une lourde claque s’abattre sur l’intérieur de ma cuisse gauche mais pour rien au monde, je n’aurai bougé.

Tu m’appelles Mireille, maintenant. C’est quoi, cette familiarité déplacée. Appelle-moi Madame, alors.

Je ne suis plus une enfant pour t’appeler tantine. Et puis, tu n’es pas ma tantine. Tu n’es qu’une étrangère…

Trois claques successives et appuyées vinrent me tuer les fessiers mais je ne bronchais toujours pas.

Madame vous…Recommence ! Vous n’êtes qu’une étrangère qui…

L’effet immédiat de cette violence emballa paradoxalement ma libido. Mon désir de sexe s'intensifia au point de devenir carrément obsédant. C’est sorti tout seul

… qui veut me faire miauler la chatte pendant qu’elle jouera au scrabble avec son amie.

Décidément, tu es trop niaise pour comprendre ce que j’attends de toi. Tu es belle à croquer mais trop innocente pour apprécier la situation.

Non ! J’en ai marre qu’on me prenne pour une débile. Je sais que vous êtes deux domina. J’ai lu tes livres Mireille. Une gifle d’une violence inouïe m’arracha presque un sein que je pris aussitôt entre mes mains.

Recommence !

J’ai lu tous vos livres pornographiques, Madame. Même ceux que vous aviez cachés tout en haut de la bibliothèque avec des femmes torturées à mort. J’ai appris beaucoup de choses sur vous et sur moi aussi. J’ai besoin d’appartenir à quelqu’un. C’est tout. Même si à ce quelqu’un j’inspire des pulsions sadiques comme Marine a dit en bas tout à l’heure. Je suis votre esclave pour la vie. Mon corps vous appartient si vous en voulez.

En fait, je n’en avais vu que les couvertures et les titres. Et les titres dont je me souvenais étaient : « J’ai besoin d’appartenir à quelqu’un », « Mon corps vous appartient » et « Lolitas enchaînées ». Ce dernier titre, j’arriverai bien à le placer à un moment ou à un autre.

Un grand moment de silence s’ensuivit. Je lâchai mon sein martyrisé et je remis mes mains sur ma nuque en faisant encore plus bomber mon thorax dans un geste de provocation héroïque.

Tu as entendu Marine ? On aurait entendre parler une vieille habituée des clubs SM.

Oui, mais elle nous a quand même invitées à jouer avec elle au scrabble.
Et elle éclata de rire. C'était cela que j'aimais chez Marine. Surtout qu'elle ne change jamais, qu'elle ne devienne jamais sérieuse, qu'elle continue à rire de tout même des trucs sérieux.

Esclave Emilie, je vous autorise à me tutoyer mais pas à me mentir. Combien de fois as-tu déjà été tapée dans la vie ?

1 fois par Madame.

Et combien de fois as-tu joui avec une femme ?

Trois fois, Marine et il n’y a pas longtemps mais j’ai bien récupéré et je sens que je peux recommencer.

Tu peux recommencer toute la nuit seulement car nous, nous n’avions rien prévu. Il me semble que tu as deux bonnes semaines devant toi à nous consacrer avant de retourner à l’école, esclave pour la vie.

Je peux recommencer pendant 15 jours mais après, ce sera pour quand je rentrerai de l’école seulement et après mes leçons. Ca ne fait rien ?

Marine, qu’est-ce que tu en dis ?

Toi, tu es libre comme l’air et moi en recherche d’emploi. Si tu me proposais de me payer grassement, je veux bien la faire jouir 24H sur 24.

Madame ! Prenez l’argent de ma pension et engagez Marine ! Je ne vous coûterai plus rien. Je suis trop potelée et je dois arrêter de manger.

Tu es très mignonne et personnellement, je trouve tes jambes parfaites mais comme tu les trouve potelées, je vais te faire plaisir. Tu m’as demandé de te laisser 10 ou 15 jours sans manger, je ne sais plus. C’est d’accord pour nous. Qu’est-ce qu’on dit à sa Maîtresse ?

Merci Marine !

Nous allons même t’aider à les muscler. Tu n’as pas peur de te montrer nue, m’a dit ton directeur. Que dirais-tu d’un petit footing à poil tous les soirs avec Marine, sur le chemin de halage. Marine en vélo et toi à pied. La dernière arrivée recevra une surprise.

C’est bientôt l’hiver. Il fait trop froid déjà. Je le ferai mais donnez-moi quelque chose pour m’habiller, s’il vous plaît !

C’est vrai, Mireille. Touche ses cuisses ! Elles sont glacées. Tu ne les as peut-être pas tapées assez.
De plus en plus troublante, leurs mains quittèrent mes genoux et remontèrent doucement vers mon sexe qui se réveilla en sursaut. Je tremblais comme une feuille quand des doigts fébriles commencèrent à déplisser mes lèvres qui ondulaient de plaisir.

Ou alors c’est une impression. Ici, c’est bouillant. Humide mais bouillant. Milli t’as froid ou pas ?

Non ! Je suis bouillante.

Tu vois, on va la mettre à refroidir sur le balcon. C’est l’endroit idéal pour calmer les petites excitées de la chatte.

La météo avait annoncé -5 degrés et neige à partir de minuit. Elles me guidèrent à la porte du bacon et je sentis l’air glacé me pénétrer jusque dans le vagin. Quand je posai mon pied sur la pierre bleue, j’eus l’impression de m’enfoncer dans 20 cm de neige et ce n’étais pas qu’une impression. Je décidai de ne pas broncher une nouvelle fois et d’écarter les jambes jusque sur les rebords du balcon pour être bien certaine de ne pas me vautrer. Mon attitude semblait avoir satisfait mes maîtresses. Je me suis sentie soulagée d’un poids énorme quand je retrouvai le contact de leurs mains sur mon corps. Elles n’allaient pas me laisser là pour la nuit et nous allions continuer à jouer à la chatte qui miaule. Marine jouait à me mettre de la neige sur les seins pour me faire durcir les bouts avant de les pincer et de recommencer le jeu cruel. J’aurai du leurs demander d’arrêter mais Mireille était en passe de me faire chavirer.

Emilie, il est passé minuit. Bon anniversaire ! Il te suffira de remplir quelques formalités et tu seras légalement majeure et libre de faire ce que tu voudras de ton corps.

Elle se mit à me chatouiller le cou, la nuque et les oreilles. J’étais complètement partie.
Après m’avoir griffé la peau du ventre et du dos, deux doigts inconnus s'attardèrent longuement à l’orée de ma vulve, flirtant à dessein avec l'entrée de son canal strictement inviolé, titillant mon petit bouton d’amour en passe d’exploser.

Tu as tant de trésors à offrir, ma chérie, que nous ne serons pas trop de deux pour les amasser. Bon anniversaire, jolie Emilie ! Dis-nous ce qui te ferait plaisir ! Je suis prête à t’offrir tout ce que tu désires.

Devenir votre lolita enchaînée ! (ça y était, je l’avais placée)

Rien que ça !

Mes petites nymphes ondulaient, joyeuses sous la masturbation appuyée de Marine.

Non ! Que Marine reste avec nous et me fasse faire pipi avec ses mains comme dans la salle de bain tous les jours !

Ah ! Bon. Tu es très exigeante mais j’ai promis de ne rien de refuser. C’est tout, je suppose.

Non ! Je veux miauler, miauler et encore miauler…

Marine débusqua mon clitoris et en flatta l’érection avec un seul objectif : faire darder mon offrande d'amour à la recherche du point le plus aigu et irréversible du plaisir féminin.
Elle n'en lâchait plus la pointe délicate dans le but non avoué mais évident de m’amener rapidement vers le seuil de rupture. J’avais totalement perdu l’esprit. La lame de fond allait bientôt me renverser. Je me cabrais, la tête rejetée en arrière.

Attend ! Attend ! Doucement ! Doucement ! C’est si fooort !

J’ai commencé à émettre des grognements bestiaux pré orgasmiques. A vrai dire, j’étais tellement gavée de sensations fortes que j’avais peur de ce qui allait m’arriver…peur de mourir en jouissant. C’est idiot mais c’est comme ça la première fois. Et ça, elles le comprirent toutes les deux.

Je la finis ou quoi, Mireille ! Elle est toute grelottante.

Non ! Surtout pas ! Garde-la ainsi le plus longtemps possible ! Je vais ouvrir la porte du grenier. On va la mettre sur le rack qui est à l’entrée.

C’est vraiment sadique de la laisser dans cet état, Mireille. Elle est complètement partie. Milli ! Tu m’entends ?

Ouiiii ! Tout doucement ! Tout doucement sur mon clito ! Ou je vais mourir…C’est terrriiiible ce que tu me fais.

La porte de mes fantasmes grinça mais je n’étais pas en état de savourer le décor.
#129886
Je peux peut-être t'aider pour les fantasmeurs. Après une étude sérieuse des photos que ton ami a publiés sur ce site, je me risque sans grand risque à en ajouter une qui pourrait bien te correspondre. Si c'est une photo du net, chapeau. Aucune de mes recherches ne l'a listé. Elle m'a d'ailleurs été contestée par personne sur ce forum si je ne m'abuse. Sinon, tant pis, il me plait de t'imaginer offerte comme cette splendeur.
milli010.jpg
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#130570
Mireille m’aida à me coucher sur le bois rugueux et odorant d’un rack pluri centenaire. J’ai su plus tard que son père l’avait acheté au château de V…(mes amies sauront de quel château je parle). Elle me prit délicatement les poignets pour les attacher aux deux extrémités du T du rack. Je fus prise d’un vertige fulgurant quand je me suis sentie rivée, les bras en croix sur cette table qui me rappelait des images de l’Inquisition. Pas un vertige de panique, un vertige d’excitation comme je n’en connaîtrai jamais de plus fort dans ma vie. Je ressassais à la suite les récits des Saintes Martyres et de leur lente agonie. Je me disais que maintenant, c’était mon tour et que j’allais beaucoup souffrir. Marine sentit la fièvre qui gagnait chacun des muscles de mon pauvre petit corps.

Mireille, elle va finir par partir si elle continue à se cabrer. Et toi, arrête de gigoter comme une truite sortie du vivier ! Tu mouilles partout.

Partir = mourir dans mon esprit. J’avais envie de vivre, moi. Sur le mur qui me faisait face, je découvris un présentoir surchargé de tenailles, fouets, martinets et autres joyeusetés. Mireille m’avait sanglé les poignets et les coudes et s’attaqua avec plus de difficulté à la sangle frontale qui devait me bloquer parfaitement la tête.

Mariiine ! Au secours ! Fais quelque chose ! Il faut chasser le démon qui est entré en moi. Je sais que je vais beaucoup souffrir mais ne me laissez pas mourir comme Sainte Ursule et Sainte Eulalie.

Le démon, je le tiens entre mes doigts. Il n’en finit pas de grossir et ne veut pas se laisser masser. Toi, tu vas finir par te casser les reins si tu continues à t’arcbouter ainsi. Mireille ! Met-lui la sangle abdominale d’abord que je puisse m’occuper de son pistil plus efficacement. Tu t’occuperas de ses guiboles ensuite.

Ces yeux pétillaient de malice. Quand la sangle fut serrée au dernier cran, j’eus l’impression que mon clitoris ressortait encore plus fort. Encore plus bandé, ajouta Marine. Elle trouva vite la cadence idéale pour l’agacer et provoquer dans tous mes membres des spasmes qu’elle trouvait très érotiques.

Mireille venait d’attacher mes jambes, sous les genoux et aux chevilles, sur les deux tablettes qu’elle s’apprêtait à manœuvrer pour mieux m’écarteler. Je m’envolais toujours plus haut mais dans la sérénité maintenant.

Milli ! Ecoute-moi bien ! Il ne faut surtout pas que tu jouisses comme tout à l’heure. Tu dois te retenir au maximum et nous dire stop avant qu’il ne soit trop tard. Mais pas trop vite non plus. Juste avant. Tu as compris ? Si tu sens que ça redescend, tu n’auras qu’à me dire encore et stop quand tu sentiras que tu ne saurais plus te retenir une seconde de plus.

Encore un tout tout petit peu ! Raah ! Stop, stop…Doucement, doucement…

Nous n’allons pas t’abandonner. Est-ce que tu nous fais confiance ? Il faudra t’écarter les cuisses le plus fort possible pour que ta petite fleur s’ouvre très très grand et tu seras soulagée. Tu me diras quand tu ne pourras plus le supporter aussi.

Je sentis Marine se glisser entre mes cuisses qui s’écartaient millimètre par millimètre par la magie de la manivelle du treuil que Mireille actionnait. Elle se retient à fond là. Elle n’est même plus avec nous. Continue de l’écarteler !
Je sentais un air bienfaisant s’engouffrer dans mon vagin que je devinais odieusement béant. Pourtant Mireille continuait toujours à manœuvrer un appareil dont chaque cliquetis rapprochait mes jambes du grand écart parfait pour mieux se régaler de ma plastique.

Encore sur mon titi ! Encore une petit peu …Stop, stop ! Oui, comme ça ! Oh ouiiiii !

180° ! Tu aimes quand je te griffe les cuisseaux.

Ouiii ! C’est encore plus fooort !

Mireille, regarde ! Elle est encore vierge…Mais nous avons de la chance. Elle a un hymen en corolle qui laissera passer facilement mon doigt sans la faire saigner.

Je n’étais plus qu’un sexe palpitant qui mendiait les caresses de mes deux sadiques attitrées. Une gorge sèche qui braillait du plaisir prodigieux d’avoir atteint le sommet de la vague, prête pour y surfer éternellement.

Ouiiii ! Comme ça !

Marine n’utilisait plus que la pulpe d’un doigt pour dialoguer avec mon bouton tandis que Mireille se mit en tête d’abandonner mes cuisses, sur lesquelles elle avait flashé, pour me sucer les tétines comme un gros bébé qui a hélas déjà toutes ses dents.

Puisque tu as lu mes livres cachés et que tu as eu des cours d’histoire, je vais t’expliquer sur quoi tu es couchée ou peut-être sais-tu déjà à quoi ça sert.

Mireille avait hérité de son père l’unique exemplaire existant encore d’un rack en forme de T réservé aux femmes sur lequel la sacrifiée était garrottée solidement par des sangles serrées à la taille et autour des membres. Elle était ainsi exposée à l’horizontale, les bras et jambes en croix, distendue à souhait et offerte aux attouchements et autres brimades.

C’est fait pour m’attacher et supplicier avec les instruments sur l’étagère jusqu’à ce que le démon qui est dans mon titi s’en aille.

Sais-tu combien de temps il faut parfois attendre avant que le démon s’en aille ?

Plusieurs heures ?

Bien plus !

Raaah ! Oh non ! Plusieurs jours ? Ouiii ! Stop, stop ! C’est terriiiible comme ça…

Au moins. Plusieurs semaines parfois. Quand la petite fille possédée est une bonne mouilleuse et qu’elle a un gros titi, c’est même parfois plus long encore.

Ne dis pas ça ! Marine me l’a déjà fait remarquer.

Oui, mais je ne pensais pas que c’était si grave. Tu es trempée comme une soupe et je ne te parle pas du titi géant qui me provoque. Il est tellement méchant qu’il bouge sitôt que je le touche comme un petit phallus.
Mireille voulait voir le phénomène de près. Commença alors un dialogue absurde composé de questions dont elles connaissaient par avance toutes les réponses et de questions dont je ne comprenais même pas la teneur mais auxquelles je répondais par instinct.

Marine me tenait sur le gril par l’épicentre de mes sens et s’en donnait à cœur joie. Elle avait pris la mesure parfaite de mon plaisir, bien aidée par Mireille qui me faisait des pincettes partout avec ses doigts en me tournant autour comme un vautour.

Il est très chatouilleux ton gros bouton…

Très, très, très, très, très, très…troooop.

Tu sais que tu mouilles partout comme une sale gamine que tu es.

Ouiiii ! Pardon…

Tu sais que tu mériterais une punition très très très sévère pour ça.

Ouiii !

Oui qui ?

Oui, vous…j’ai peur….je vais partir…stop ! Stop !

A la faveur d’un spasme vaginal, une dentelle liquide sinua dans ma fente et le delta embauma de senteurs nouvelles. Mon clitoris devint dur comme un caillou et Marine le lâcha. Mireille me pinça un téton au sang et l’orgasme reflua. J’étais à bout de souffle. Il était temps. Je venais d’échapper au pire, à la mort certaine.

Tu aimes les pincettes, il me semble. Tu as vu que le démon t’a quittée

Oui Madame. Mais ça recommence encore plus fooort !

Marine fit un signe à Mireille que le potiquet de vaseline était presque vide et mes muqueuses passablement irritées.

Les fioles de Brigitte sont à ta droite dans le tiroir du haut. Commence par le flacon n°1 et mets tes gants latex!

Marine lui fit remarquer que Brigitte s’était enfuit de chez elle car elle n’avait pas supporté.
Mireille lui rétorqua que ses démons étaient moins méchants que les miens. Mais le problème était que Brigitte s’était taillée avec le flacon en menaçant Mireille de déposer plainte et flacon chez le juge.

Il y en a vingt dans le tiroir. Utilise le deuxième flacon, alors ! C’est à peine plus pimenté et un rien plus vinaigré si je me souviens bien. Milli ! Ne joue jamais avec ces bouteilles ! Promis ?

Tantine était la reine de la vinaigrette au piment d’Espelette mais il n’y avait qu’elle pour apprécier. Ca vous arrachait la bouche et les dents tombaient. Même les huîtres se mettaient en boule rien qu’à voir le flacon. Elle y mettait un tas de truc dedans et ce n’est pas parce que je connaissais sa cachette que j’allais me faire une salade avec. Ah non ! Jamais de la vie. Elle en revint à mes cuisses qu’elle appelait maintenant petit gigots dorés.

Ca tombe bien que tu aimes les pincettes. J’ai envie de te pincer tes belles cuisses. Tu vas t’efforcer de ne pas crier pour ne pas réveiller le démon mais tu peux grimacer autant que tu le désires.

Je pense que j’ai toujours bien aimé les pincettes quand elles sont juste assez douloureuses mais pas trop. Durant un voyage scolaire, deux garçons m’en avaient fait pleins les cuisses dans le bus. Je ne pouvais pas me faire une opinion pour les pincettes à la pince plate car je n’avais jamais essayé. Soudain, elle changea d’avis et déposa sa pince plate pour prendre la tenaille du présentoir.

Marine avait enfilé ses gants et versa une rasade d’huile dans mon nombril. Mireille testait mollement sa tenaille sur une de mes aisselles. J’ai compris que l’instant était crucial et que ma vie était en jeu. Ca passait ou ça cassait.

Emilie chérie ! Es-tu prête à supporter les souffrances nécessaires pour te débarrasser du démon ?

Oui ! Ca va faire très très mal ?

On ne le sait pas encore mais ça risque, ajouta Marine qui venait de tremper son doigt dans mon nombril.

En tous cas, je n’ai pas mal au nombril.

C’est que le démon n’est pas là. Tu nous diras ce que ressent Titi. S’il a trop mal, le démon ne sortira pas aujourd’hui.

Titi avait déjà été pas mal surmené et il se trouve que cela l’avait passablement irrité. Je serrai les dents quand Marine s’empara de ma tigelle avec son gant plein de vinaigrette maison. Si mes nymphes se rétractèrent comme les huîtres, Titi se redressa, fier comme Artaban. La douleur fut fulgurante, irradiant dans tout mon ventre. Cela ne dura que quelques secondes heureusement car je n’aurai pas pu m’empêcher d’hurler une seconde de plus. Ensuite, ce fut l’horreur. Même pire que ça. J’ai commencé à prendre un pied formidable. Plus fort que le plus géant des orgasmes de ma vie. Tout simplement car il était inconcevable que je puisse atteindre l’orgasme dans une pareille souffrance et j’ai vraiment pu me lâcher. Le démon allait passer un mauvais quart d’heure.

Ce n’est plus un titi, c’est un caillou ton clito. Il aime ça, le titi.

Encore…encore..encore..plus fort s’il te plait Marine…Vas-y…vas-y…Pince-le…pince le !!! Ouiiiii ! Encore.

Mireille, excitée à mort, avait prit un bout de mes seins en tenaille et le tirait à fond vers le haut en secouant ma glande.

C’est bon ! Tantine…C’est bon….L’autre aussi…S’il te plait….Fais-le pour moi ! Plus fort…Les deux en même temps….Oui…Avec l’autre tenaille…C’est trop bon….

Marine m’avait inondé la chatte de son huile frelatée et me fit découvrir que j‘avais un vagin, petit certes mais prometteur.

Elle est en transe, Mireille. Si je lui mets le doigt, elle me coupe une phalange. Jamais vu ça.

Là, j’étais vraiment possédée. Possédée d’un délire masochiste qui m’aurait fait demandé à Tantine de m’arracher un sein mais je n’avais plus de voix tant j’avais râlé. Tout ce que je suis parvenu à articuler, c’était : « Titi…Titi…la pince…vite…je vais partir ». Car je ne voulais pas partir, plus par peur de mourir mais parce que c’était plus que géant.

Mireille eut la présence d’esprit de troquer ses deux tenailles contre la pince plate précédemment rejetée. Elle s’empara de la hampe de mon clitoris, la pinça et…et…

Et je vous jure que je ne vous raconte pas la suite si personne ne se manifeste en privé ou sur le topic pour commenter mon texte
#130595
Avis du psy : texte troublant écrit par une femme à fortes tendances masochistes et homosexuelles et probablement souffrant d'un vrai syndrôme d'hypersensibilité sexuelle. Parvenir à dépasser le stade de souffrance et d''hyperirritabilité vulvaire est le propre des grandes masochistes multi orgasmiques qui ne se contenteront jamais d'un ou d'une seule partenaire. C'est 10/10 pour ce texte qui, de toute évidence, a été écrit avec votre main

entre les jambes. Bravissimo
#130825
Certaines personnes, qui m'ont écrit en privé, ont bien compris ma démarche et mon passé. Je ne suis pas passée en une soirée de petite fille naïve à une expérience aussi violente. Simplement, je n'écris pas ici pour parler des relations que j'ai subies en étant mineure. Je vous raconte simplement la première relation SM de ma vie, prémeditée par la nouvelle arrivante chez ma tutrice et qui s'est très exactement passée le jour même où j'avais atteint l'âge légal (dans mon pays tout au moins). La pédophilie est monstrueuse et je me sens incapable d'en faire un texte érotique et encore moins l'apologie, ce qui est d'ailleurs formellement interdit légalement. Dans mon esprit, la question ne se pose même pas car cela me débecterait. La suite de l'histoire vous montrera d'ailleurs que les abuseurs sont toujours punis même si la justice des hommes ne parvient pas toujours à les coincer.
#130902
Ce dernier texte est tout bonnement extraordinaire. je n'ai rien a ajouter aux lignes de "lesbiandestroyer" dont, au passage, j'apprécie particulièrement les commentaires pour le moins éclairés, qui exprime mieux que je ne saurai le faire tout ce que je ressens en lisant ce récit envoûtant. Merci aux deux.
#131306
Ton texte est extrêmement excitant. Je ressens la souffrance sous-jacente de la jeune fille sans repères qui se laisse abuser mais surtout sa délectation d'être une proie facile. C'est typiquement maso, ceci. Je la soupçonne même d'utiliser sa séduction naturelle et sa naïveté pour émoustiller ses Maîtresses et assouvir ses pulsions. Lesbiandestroyer pourait expliquer cela mieux que moi mais c'est mon ressenti. Continue à me faire rêver, A.L!
#131495
Oui. Vous avez besoin de moi. Vous êtes tombée pile poil dans mon domaine de prédilection. Le cassage en règle des manipulatrices.
J’irai plus loin que petitcoquillage quand elle psychotte sur le cas d’ A.L (il faudra qu’on m’explique mais il ne m’étonnerait pas que vous vous connaissiez). Je vous suis toutes les deux depuis le début d’un certain topic signé Clubman. Milli, je t’avais prévenue que je pouvais être cruel. Loin de moi l’idée de minimiser les abus que tu as pu subir au tout début de ton adolescence mais je ne peux que constater avec bonheur que tu n’en as pas gardé de lourdes séquelles psychologiques, notamment au niveau de ta libido. Les années ont passé et tu as très certainement eu la chance de rencontrer des gens qui t’ont aidée à te reconstruire. J’ai, dans ma carrière, rencontré pas mal de cas de maltraitance. Rarement la reconstruction se passe aussi bien. Bizarrement, les filles s’en sortent souvent mieux que les garçons d’ailleurs. Statistiquement, 85% gardent des séquelles importantes. D’où la sévérité avec laquelle il faut traiter les abuseurs d’autant plus qu’ils ont autorité sur eux. 10% s’en sortent indemnes. Les 5 derniers % se servent de cette période trouble de leur vie comme d’un tremplin. Penser à certains hommes politiques (surtout des femmes d’ailleurs) qui puisent leur force dans les souffrances (sexuelles ou autres, style camp de concentration etc) du passé pour devenir des élites dans leur spécialité. Pour écrire ce genre de « confession » sur ce genre de forum, il n’y a que deux possibilités. Une peu probable : une faille à colmater. Une sorte de thérapie par l’expression. Une quasi certaine et c’est là que je vais faire mal : une recherche des plaisirs perdus. Je m’explique.
« Je suis très belle, très exhibitionniste, hypersexuelle et très attirée par les femmes plus expérimentées que moi. Mais ce n’est pas tout à fait de ma faute. Voici pourquoi…»
J’aurais pu ajouter : « Au cas où vous ne le sauriez pas, je suis masochiste et lesbienne. »
Je ne retirerai qu’une seule de tes phrases de son contexte.
« Ensuite, ce fut l’horreur. Même pire que ça. J’ai commencé à prendre un pied formidable. Plus fort que le plus géant des orgasmes de ma vie. Tout simplement car il était inconcevable que je puisse atteindre l’orgasme dans une pareille souffrance et j’ai vraiment pu me lâcher… ».
Je pourrais facilement démontrer l’absurdité de cette déclaration. Une fille, à l’âge que tu avais à l’époque, n’a que peu de chance de prendre un pied formidable dans de pareilles circonstances. Cet objectif de se voir refuser l’orgasme pour parvenir à jouir plus intensément est toujours le point ultime de la spirale que visera le masochiste profondément déviant.
Jouir de ne pas pouvoir jouir. C’est l’extase ultime pour le masochiste et pour toi. Ton message est pour moi on ne peut plus limpide « J’adore et je n’attends que cela » et je ne vois pas comment tu pourrais me contredire sur ce point après avoir écrit ce qui précède et l’avoir répété dans un serment d’allégeance épique que je garde précieusement. Le deuxième message évident et clairement énoncé « Plus fort que le plus géant des orgasmes de ma vie ». Ce qui me fait dire, contrairement au simple bon sens que tu as a bien vécu cela dans ton adolescence.

Je t’ai dit que dès que je ressentirais de la triche dans tes écrits, je le mentionnerai sans hésiter. Je vais t’étonner. Je pense que les deux satyres que tu décris fort bien avaient suffisamment d’expérience et de pulsions sadiques pour te conduire sur ce chemin. La tantine devait t’avoir assez pratiquée pour connaître tes possibilités. Ces femmes ont disparues de ta vie il y a de nombreuses années. La probabilité de d’en retrouver une ou deux pareilles est quasi nulle. Pourtant, tu as essayé et tu essayes encore en multipliant les partenaires et les situations à risque sans répit.
Tes textes et le genre de jeux de rôle dans lequel tu as testé ton compagnon et tes amies ne me laissent aucun doute sur ton intelligence voire ton machiavélisme.
Et maintenant, je redeviens méchant. Tu te plais à flatter leur instinct sadique en les attirant, dans un nouveau jeu terriblement pervers. Excuse-moi, Milli ou A.L, mais je ne pourrai jamais faire de toi une victime des autres, tu es ta propre victime (à tendance anorexique d’ailleurs).

Je suis assez régulièrement appelé comme médecin expert auprès des tribunaux ( de la jeunesse entre autres). Voici comment je te décrirais si j’ais reçu comme mission de t’examiner :

La jeune fille que vous m’avez demandé d’expertiser dans l’affaire qui oppose Mireille et Marine, accusées de coups et blessures volontaire, d’attentat à la pudeur, et de viol qualifié avec la circonstance aggravante que Mireille avait autorité sur elle, présente les lésions physiques et mentales suivante :

Blabla, blablabla…Aucune séquelle psychologique n’est à relever près de dix ans après les faits.
Je terminerai en concluant que la victime Emilie présente un profil prédéterminé susceptible de correspondre à des modes opératoires de type violent préexistants chez elle. Ces positions préconstruites sous-jacentes ont permis à Mireille et Marine qui ont croisé son chemin, d’initier chez elle un ensemble de réactions et de passages à l’acte bien vécus par la victime mais inacceptables pas par la société civile représentée par le ministère public…L’absence de séquelles, le fait que la victime soit toujours en recherche de sensations extrêmes, la provocation évidente dont elle fait preuve depuis plusieurs années et le caractère foncièrement manipulateur de la plaignante font en sorte que je refuserai temporairement le statut de victime à Milli. J’affirme que son comportement est et a toujours été de nature à inciter voire à justifier la violence que la supposée victime a subi et qui n’est que la réponse à ses attentes.
En conséquence, je recommanderai au tribunal d’ordonner un suivi psychologique de longue durée car le monde est peuplé de bourreaux potentiels et tôt ou tard, la justice aura a traité de faits plus graves la concernant. Car, livrée à elle-même, Milli finira par trouver un milieu, propice à l’assouvissement de son masochisme, dans lequel tous les excès deviendront possibles.

Jusque là, je suis resté professionnel. Pour la gaudriole…

Et si j’étais juge, je demanderai la relaxe des 2 prévenues et pour Milli, une lourde peine de travail d’intérêt général d’au moins six mois qu’elle devra exécuter de préférence en milieu psychiatrique, section pervers sexuels masculins, condamnés à des peines de longue durée.
Pour lui permettre de réaliser à quel point elle est désirable, la condamnée devra effectuer sa peine, habillée de sa seule prétendue innocence, c’est à dire intégralement nue.

Finalement, je ne suis pas ton ennemi mais plutôt un allié qui te veut du mal. Je pense que c’est le genre de commentaire que tu attends de moi et qui devrait animer ton jeu de rôle en stigmatisant tes déviances.
#131550
Tout d'abord, je ne connais pas Emilie en tant que personne. Je lui ai demandé en privé ce que voulais dire A.L. Ce ne sont pas les initiales de son nom. Une fille qui sait expliquer ce que veut dire A.L n'est pas une petite maso ordinaire. Je vous mets au défi de trouver la solution d'ailleurs. Ca paraiy évident comme cela mais il y a une subtiliyé que peu de personnes connaissent. C'est une amie d'une amie qui est sur ce forum qui me l'a appris. J'ignorais aussi à quoi servait A.L. Si Emilie utilise ce forum pour écrire sa vie, je suis d'accord avec vous, c'est qu'elle veut faire passer un message fort. Elle l'a dit au début de l'histoire. Elle veut aussi des réactions et la votre est géniale pour la stimuler. L'idée n'est pas de moi, mais j'aimerai quand elle en aura le temps qu'elle ré écrive son serment d'allégeance en fonction de son état d'espritet en étant sincère, pas pour se faire peur mais pour lancer une bouteille à la mer à l'intention de ses maîtresses. Désolée A.L.

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