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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#131603
…et prit Marine à partie avant de commettre l’irréparable.

Tu te souviens ton amie Cécilia ? Tu me disais souvent qu’elle avait aussi un clitoris intéressant et très chatouilleux.

Le simple contact de la pince sur mon clitoris, déjà mis à mal par l’infâme vinaigrette, avait fait refluer l’orgasme. Le cri suraigu que j’avais poussé avait eu le don d’agacer sérieusement Marine.

Ce n’est pas pareil. Cécilia avait le double de son âge et pas la même condition physique. Elle ne criait jamais non plus quand je jouais avec son titi. C’est bien pour ça que je suis restée si longtemps avec elle.

Donne-moi ta pince, Mireille et détache-la ! Je n’ai plus envie de jouer avec elle. Elle ne sait pas souffrir. Je m’en vais.

La sangle abdominale et celle qui bloquait ma tête me furent ôtées en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. Déjà, Mireille s’apprêtait à me détacher les jambes.

Tantine ! Ne fais pas ça ! Le démon ne pourra pas sortir. Mariiine ! Je ne crierai plus. Je promets. Fais-moi mal autant que tu veux ç mon titi…comme avec Cécilia ! Je serai gentille. Je ne dirai rien.

Tu ne diras rien à personne ? Cécilia n’a jamais parlé de ce nous faisions ensemble à personne. C’était notre secret.

A personne ! Je te promets. Je serais trop gênée d’ailleurs. Je sais que c’est mal ce que je fais.

Si tu caftes une seule fois, jamais que je reviens. C’est pour ça que je ne suis plus avec Cécilia.

Tu pourras me faire tout ce que tu voudras, je ne dirais rien, même pas à tantine.

Mireille se pencha sur moi et riva ses yeux dans les miens. Elle m’empauma les seins et commença à les caresser pour en faire bien ressortir les pointes. Mes tétons me faisaient encore un peu mal mais c’était bien agréable quand même. Elle les fit rouler entre ses doigts avec science jusqu’à provoquer mes premiers grognements de plaisir. Ma chatte s’était remise à couler abondamment et un feu plus troublant que de la brûlure de mon sexe se répandait dans mon ventre. Marine avait repris possession de ma fente et flattait mon clitoris dont l’excitabilité n’avait jamais atteint de tels sommets.

Tu vois que nous ne sommes pas des méchantes. Nous savons aussi te faire du bien. Tu n’aimes pas ? Ce n’est pas gai ?

Raaah ! Siiii ! C’est encore plus fort qu’avant…

Qu’avant quoi !

Avec la vaseline, c’était bizarre mais c’était déjà beaucoup mieux avec mes cuisses ouvertes….mes seins….c’est gai quand tu les pinces doucement…je suis encore plus malade qu’avant..wououou !

Et le titi, il est malade aussi, Mireille. On dirait une petite fraise qui a la rougeole.

Elle s’amusait à le comprimer comme pour en tester l’élasticité puis relâchait la pression jusqu’à ce que je puisse reprendre ma respiration et me posait une nouvelle question sournoise avant de recommencer.

Et le titi, qu’est ce qu’il aime le mieux. La vaseline ou la vinaigrette de tantine ?

Le deuxième…wouhouhou ! L’huile..c’est terriiiiible, l’huile.

Pourquoi c’est plus gai l’huile ?

Ca bruuule…c’est pour ça que c’est plus gai…ca fait maaal…et ça va durer plus longtemps….Encoooore….

Mes nerfs tressaillirent à nouveau et une crise de spasmes s'empara de tout mon corps.

Tu es très malade, toi en ce moment. C’est ton anniversaire. Tu veux continuer le jeu du stop ou encore. Moi, j’ai très envie de savoir qui sera la plus vite fatiguée et toi Mireille…

Continuuuues ! Marine ! Continnnue !

Mireille me massait maintenant les cuisses et le ventre, pour faire circuler le sang qu’elle disait.

Pourquoi penses-tu que c’est mal ce que nous faisons avec toi. C’est mal si tu m’aimes pas ce que nous te faisons, mais ça, tu aimes, non ?

Oh oui ! Oh oui ! Je voudrais….wououou…je voudrais que ça ne s’arrête jamais. Avec l’huile, ça ne s’arrête jamais…

Le désir montait en flèche, les sensations affluaient de toutes parts. Les doigts de Marine martyrisaient mes chairs, pinçaient mes lèvres, plongeaient dans mon vagin et revenaient toujours sur ce petit caillou qui n’en finissait pas de grossir. Mes yeux coulaient à chaude larmes mais c’étaient des larmes de bonheur.

Il est méchant le titi de faire pleurer notre fifille. Moi, je pense qu’il mérite une punition.

Oui…Marine fais-lui maaall !!!Ouiiiii…comme ça….encooore.

Lèvres ouvertes, je geignais grave et la Marine s'acharnait de manière de plus en plus douloureuse sur mon clitoris. Elle le griffait sans vergogne, le pinçait et faisait mine de l’arracher. Mon organe affolé accueillait les outrages avec un plaisir manifeste qui se répandait jusqu’à la racine de mes cheveux. Je coulais, je coulais, je coulais de partout.


Tu vois que ça peut être très gai quand je te fais mal. Encore ?

Ouiiii encore….tire dessus…ouiiii ! C’est trop bon….

Le plaisir était tout proche. Quelque chose d’énorme se mettait en branle dans mon ventre.

Elles se mirent à deux. Elles me griffaient et me labouraient sans obtenir autre chose que des gémissements de volupté. La lutte devint vite inégale. Un cri interminable jaillit dans la nuit.
Je secouais mon corps vissé au carcan. Ma tête heurtait en tous sens le plancher de bois.
Mes poings se serraient sur le vide. Mes jambes se tendaient mais ne parvenaient plus à soulever mes pieds. Mon corps dessinait un arc parfait, le dos brisé au creux des reins. Je forçais l'écart de ses cuisses et soulevais mes fesses en une houle convulsive pour exprimer cet orgasme que la douleur irradiante de mon sexe empêchait de sortir. Cette fois, plus de repli possible. Cela enfla, enfla de plus en plus. Une angoisse étrange me saisit. Que m'arrivait-il ? Un instant, je crus être en train de mourir. Une gigantesque vague me submergea le ventre d'abord, le corps tout entier ensuite. Ma gorge se noua et l’instant d’après, les écluses s'ouvrirent. Mon sexe meurtri se gonfla comme une anémone de mer, agité de sursauts, et se répandit en perles claires, éclaboussant d'ivoire mes cuisses écartelées et le chemisier de Marine qui ne désarmait pas. Mes cris montèrent en spirale. Dans un face à face infernal et divin, elles s'acharnèrent toutes les deux sur mon joli coquillage comme pour en exprimer l’ultime goutte. Une derrière fois, tout mon corps se raidit et se brisa !
Quelques instants qui me parurent une éternité. Une éternité de quelques secondes. Quelques minutes pour reprendre mes esprits et laisser le temps à Mireille de me détacher.
Le démon est parti maintenant. Je vais chercher un pot de vaseline. Titi est tout irrité. Un petit baiser d’abord.

C’est mille fois mieux quand il est irrité.
#131607
Il n'y a plus de mots pour décrire ta prose et ton caractère. Peut-être ajouterai-je femme fontaine épicurienne. Les autres mots qui me passent par la tête seraient grossiers et rompraient le charme. Pour A.L ? Je donne ma langue à la chatte. J'ai pourtant fait circuler la devinette. Il m'est revenu que ce serait un terme utilisé dans certains jeux de rôle ou SMS mais je n'en sais pas plus. Peut-on avoir la solution, petitcoquillage? Histoire de dormir en paix malgré la surexcitation qu'entraîne la lecture de Milli friponne.
#131614
C'est trop aimable. Je vais vous donner un indice. JE SUIS A.L C'est tout bête pourtant. La subtilité vient de la façon de l'écrire en majuscule ou en minuscule. Et de mettre une lettre appropriée devant...c'est clair non.
#131616
Milli tu m'enchantes et contrairement à ce que tu me dis dans tes commentaires sur mon histoire, tu écris vraiment très, très bien. J'étais haletant à la fin de ce dernier épisode, je t'assure. Au fil de ton récit, l'impression qui se dessine dans mon esprit, c'est que j'aurai aimé être ton ami. Je ne sais l'exprimer mais c'est ce que je ressens en te lisant.
#132216
Je pensais que ma chatte ne s’en remettrait jamais. Eh bien si ! Et très vite même. Marine et moi sommes descendues dans la salle de bain nous décrasser à deux sous la douche. Ce fut un soulagement innommable de pouvoir me passer le minou chauve au jet glacé. Les brûlures, c’est bien quand on est excitée mais, à un moment donné, il vaut mieux que ça s’arrête. De l’huile, j’en avais partout jusqu’aux tréfonds de mon vagin et même mes cheveux sentaient l’huile d’olive. Mireille n’avait heureusement pas forcé avec ses pinces et tenailles et je n’étais presque pas marquée. Juste quelques hématomes sur les cuisses et un sous le sein droit. Rien de sexuel avec Marine sous la douche. C’était heureux car j’avais déjà bien donné. Dire qu’il y a quelques heures à peine, j’ignorais que je pouvais autant m’éclater. Par contre, ce fut la découverte d’une grande tendresse et l’ébauche d’une complicité qui ne demandait qu’à éclore.

Tu sais que tu portes mal ton prénom. Tu devrais t’appeler belles cuisses.

Elles sont si belles que ça mes cuisses ?

Tu le sais bien sinon tu ne les montrerais pas tout le temps. Je suis très contente que tu as réagi comme cela après…et surtout pendant. T’as vraiment aimé ?

Tu le sais bien sinon je n’aurais pas autant crié. Cécilia, tu l’aimes encore ? Elle t’inspirait aussi des pulsions sadiques ?

Elle n’aurait pas supporté le tiers du quart de ce que tu as supporté ce soir. Elle n’éjaculait pas non plus et ça, ça me met en appétit. Rassurée ?

Non ! C’est quoi « éjaculer ».

C’est faire pipi comme tu dis mais ce n’est pas faire pipi. C’est projeter son plaisir quand c’est très fort. Toutes les femmes ne font pas cela. Seules les femmes fontaines peuvent éjaculer et en mettre partout comme toi tout à l’heure dans mes cheveux. D’ailleurs, je ne vais pas t’appeler belles cuisses mais petite fontaine, je crois.

Ce n’est pas de faute si je t’en ai mis pleins les cheveux. Enfin, si tu aimes me voir faire cela, tu pourras me faire éjaculer autant que tu veux. Cela ne me dérange pas. Au contraire, c’était vraiment très gai. Maintenant que je sais que ça ne fait pas mourir, je serai plus détendue et je pourrai éjaculer toute la journée.

C’est tout ce que tu trouves à me dire alors que nous nous sommes occupées de toi pendant une heure et demie. Tu n’as même pas l’air crevée. Tu devrais me dire : Oh Marine ! Tu m’as tuée, tu sais avec tes caresses. Je suis repue. Tu sais que tu me tues, toi. C’était si fort que je suis HS pour huit jours »

Je dois dire cela même si ce n’est pas vrai. Tu m’avais promis de me faire des choses pendant dix jours. Ce n’est pas vrai alors, c’est comme le grenier. Je n’en verrai que la première pièce.

T’es vraiment trop conne ! Heureusement que tu as un physique. Tu mérites des claques.

Je suis prête. Tapes-moi si tu trouves que je mérite des claques ! J’aime bien aussi quand tu me fais mal. Ca me fait mouiller encore plus.

Arrête de faire la moue ! Qu’est-ce qu’il y a ?

Vous m’avez menti. Je ne vous « inspire pas des pulsions sadiques », alors. Cette phrase là, je m’en souviendrais toute ma vie. L’autre aussi. « Je ne suis pas une bonne mouilleuse ». Quand je pense que je voulais te donner tout l’argent de papa pour que tu restes avec moi.

Pour se doucher au plus vite, nous avions opté pour la salle de bain du deuxième étage. Mireille nous cherchait depuis un quart d’heure, un pot de vaseline à la main. Elle avait entendu au moins la fin de notre conversation.

Milli. Je ne te laisserai pas faire la même bêtise que moi. L’amour, cela ne s’achète pas. Cela se mérite. Sèche-toi et écarte tes guiboles que je répare les dégâts !

Le bruit mouillé de ses doigts branlant mon sexe me fit chavirer à nouveau. Mon petit clitoris qui avait regagné son nid était venu chercher de nouvelles caresses. Le moins qu’on puisse dire, c’est que ce ne fut pas du goût de Mireille.

J’arrête si tu recommences à faire tes grimaces. Tu ne peux pas savoir à quel point je regrette ce qui s’est passé.

Mais Madame, vous ne pouvez pas me laisser dans cet état. Je sens que ça revient…

Ne m’appelle plus Madame, s’il te plaît ! Je suis ta tantine et ta tantine te dit que si tu as le pépette qui chatouille, tu n’as qu’à apprendre à te frotter toute seule. Habille-toi ! Pourquoi pleures-tu ?

Ca..va…être beaucoup… moins gai.

Il faudra que tu te calmes, Milli. Je n’ai pas envie d’héberger sous mon toit une poupée de stupre.

C’est quoi une poupée de stuc, dis-je en sanglotant.

Une salope !

Marine tenta de nous ramener à la raison. Elle m’invita à m’asseoir sur le bord de la baignoire pour poursuivre son discours en me posant ces mains brûlantes sur le haut de mes cuisses. Sans aucune pudeur, je lui présentai mon temple de Vénus au dernier degré d'écartement possible. Innocemment, j’avais remonté les bras jusqu’à me mettre les mains sur la nuque. Je voyais que cela ne laissait pas Marine indifférente. Elle promenait un regard gourmand sur ma silhouette. Elle se ressaisit et m’expliqua l’embarras que je leur causais à cause de mon jeûne âge. Les ennuis judiciaires que risquait d’avoir tantine si cela s’ébruitait, etc…Je ne comprenais rien à rien. Pour moi, c’était hyper simple. Elles avaient envie de moi, j’avais envie qu’elles s’occupent de moi et…soudain, la solution miracle : l’émancipation. Non pas qu’elles aient poussé à me faire émanciper mais le mot avait été prononcé. Ses mains mouvantes me causaient pourtant un tel état d'énervement que je me sentais sur le point d'exploser d'une seconde à l'autre. Je redevenais hypersensible de partout et mes yeux révulsèrent quand tantine m’aida à enfiler le seul polo de tennis qu’elle avait déniché dans la salle de bain du deuxième étage. Taille 12/14 ans. Je voyais mes tétons pointer rageusement dans le miroir sous l’étoffe qui m’arrivait à peine sous le nombril. Et mes longues jambes…ma petite chatte toute lisse, mille fois plus mignonne sans ses vilaines boucles noires…Je ne pus m’empêcher d’y toucher.

Mireille, ta protégée a un sérieux problème.

Oui, elle a grandi trop vite et pas en sagesse. Si tu veux te masturber devant nous, attend que je te trouve une culotte.

Là, tantine ! Dans le tiroir de la commode. Il y a tous les bikinis que je ne sais plus mettre. Oui, celui-là !

Pourquoi celui-là ?

Parce que Florence me dit qu’il est trop sexy mais trop petit quand on n’est pas rasée. Et comme je suis rasée…

Mireille ! Je te le répète. TU AS un sérieux problème. Elle est tarée ta protégée. Il faut la faire examiner par une personne compétente.

Moi, je veux bien. Compétente et capable de comprendre ce qui vient de nous tomber dessus. Je ne connais personne dans mes amies qui puisse…

Annette ! La psy. C’est une très bonne copine et elle est homo aussi. Je lui envoie un SMS qui commencera par help please et je lui explique l’urgence. Elle comprendra. Si on l’invitait à déjeuner demain.

A 2h du matin ???

Je suis certaine qu’elle viendra si j’insiste. Tu verras. Elle gagne à être connue. Elle est tout sauf bornée.

On fait comme ça. Milli, va te coucher.

Et le grenier…Je pensais qu’on allait me montrer le grenier. Tantine !!! Le banc solaire !!!

Je vais laisser la porte ouverte et tu pourras aller te bronzer demain, après le déjeuner, si tu sais te tenir.

Chouette ! Ca va être dur mais je vais me retenir et bien garder ma culotte de bikini pour dormir. Ainsi, je ne vais pas mouiller mes nouveaux draps.
#132320
Puisque personne ne veut jouer aux devinettes, je vais conner la solution du A.L

Quelques indications sur la signature que l’on se fait ou que l’on s’attribue dans certains milieux homosexuels féminins échangistes pour communiquer.

A = fille de moins de 21 à 25 ans. A- = de moins de 21 ans B = plus de 25 ans et de moins de 40 B+ plus de 40 ans
Majuscule = beauté supérieure à la moyenne. Minuscule = dans la moyenne
L veut dire appartient à plusieurs elles. Petit l = appartient à une seule
SS = attirée par les relations sadiques sérieuses en tant que dominante ( DSS). ss = idem mais à un degré moindre.
M = attirée par les relations masochistes sérieuses en tant que soumise. m = soumise soft
P = relation passive stricte. p = plutôt passive.
PP= passive uniquement avec plusieurs partenaires éventuellement. pp = plutôt passive avec plusieurs partenaires
H = hommes acceptés. h = hommes tolérés. h - = hommes refusés
E = exhib publique sans réserve. e = possibilité exhib

Il y a aussi une façon chiffrée de marquer sa disponibilité ou non dans le temps ½-1-2-7 (en jours)

Et j’en passe parce que plus personne ne suit…

Exemple une dominante de 45 ans moyennement moche qui veut faire joujou avec une seule soumise sublime âgée de moins de 21 ans de façon soft un soir chez elle en tête à tête

b+dss cherche A-ss ½

ALESSpph conviendrait très bien à …Emilie mais je ne mettrais toutes les lettres qu'en certaines circonstances.
#132679
une petite suite avant un petit break lié à des circonstances exceptionnellement érotiques.

J’avais une envie folle de monter inspecter le grenier mais soudain, j(entendis tantine parler avec Marine. C’est fou comme on entend bien les conversations dans ces grandes maisons, rien qu’en écoutant dans l’ouverture du feu ouvert. La chambre de tantine est située juste sous la mienne et nous avons le même conduit de cheminée. C’est comme ça que je sais tout ce que tantine fait avec ses maîtresses dans la nuit noire. Je corrige. Tout ce que tantine aimerait faire à ses maîtresses parce que, presque toujours, elles disent non pas ça ou je rentre chez moi. Et presque toujours, elles rentrent chez elles. J’ai appris tellement de choses en écoutant dans la cheminée. Tantine, elle aime bien attacher les filles à la boiserie de son lit à baldaquin et les regarder pendant des heures en les caressant tout doucement pour qu’elle ne jouisse pas trop vite. Marine ne supportait pas ça. Elle disait pourtant qu’elle adorait faire ça aux autres jusqu’à les faire grimper aux rideaux. Quelle idée bizarre ! Il parait que les filles jouissent beaucoup plus fort après. Je ne le croyais pas mais tantôt, quand je me suis retenue, c’est vrai que c’était méga colossal. Pourtant, il n’y avait qu’une heure que je me retenais. EUREKA ! Je viens de comprendre pourquoi tantine m’a demandé de me retenir jusqu’à demain après-midi. C’est pour que je jouisse très très fort quand la psychiatre sera là.
Chut ! Marine va dormir toute nue et tantine aussi. Dans le même lit comme autrefois………………………………………………………………………………………….
C’est vite fini cette fois-ci. Marine devait être vraiment fatiguée.
Chut ! Elles parlent de moi.


Sous ses dehors de petite fille innocente qui a grandi trop vite, elle a d'éblouissantes dispositions orgasmiques. Tu te rends compte qu’elle a joui cinq fois à son âge en éjaculant deux fois comme une grande. Elle est tellement craquante quand elle jouit.
En plus, elle cicatrise vite. Après la douche, je croyais que j’aurais encore la corvée des collants à me taper mais c’était inutile, elle n’avait presque plus rien.
Mireille ! Tu sais que tu peux me faire confiance. Je ne peux pas croire que c’était la première pour elle.
Je te le jure sur la tête de mon père, je ne lui ai jamais fait de mal, jamais au grand jamais.
Tu lui as fait du bien, des câlins, quoi.
Je mentirai en disant qu’elle n’est pas câline. Elle est trop câline. Elle veut des guidounes tout le temps.
Des guidounes ? Des chatouilles, mais pas jusqu’à la faire jouir ou alors, elle le cache bien sous son essuie de bain.
Hum ! Tu lui fais des guidounes après la douche.
C’est systématique et ça dure des heures parfois. Le JT de 20H, les pubs, le feuilleton et ça se termine au JT de France 3.
Et elle doit mouiller comme une folle.
Je ne sais pas. Je regarde la télé, moi, le soir. Je ne pense pas tout le temps au sexe comme toi.
Je te parie qu’elle se couchait sur sa sortie de bain pour s’essuyer quand le besoin s’en faisait sentir.
Tu as raison mais c’est normal, elle sortait toute mouillée de la douche.

Aie ! Elle est fut fut, Marine. Pour les câlins devant la télé, c’est foutu. Il faudra que je sois finaude avec elle. Tant pis. 10 orgasmes de perdus, 100 de retrouvés.

Tu as vu sa réaction sur le carcan, surtout quand je l’ai huilée. N’importe quelle nana se serait bloquée. Elle est s’est envolée. Il n’y a qu’une maso pour aimer l’huile et les tenailles. En plus, elle est drôlement obéissante. Avec un peu de gentillesse, je pourrai tout lui demander une fois qu’elle sera émancipée.
Là, tu rêves. L’émancipation, c’est très bien mais ce n’est pas à moi à la demander, c’est à elle.
Nous y arriverons avec le temps. J'adore m'occuper de jeunes nanas, j’ai l’impression que cela m'empêche de vieillir. Je vais la soûler de caresses pendant que tu la martyrises pour la faire monter toujours plus haut dans l’extase. Elle ne saura plus où donner de la tête. On va faire de son sexe un lance d’incendie tellement elle va éjaculer.

Oups ! Ca c’est un programme qui me botte. Ensuite, Marine a fait des compliments sur mon physique. Que je portais très bien le bikini quand j’étais bronzée. Alors, tu me verras souvent en bikini. Que j’avais de très, très, très (3x) belles jambes. Que les filles callipyges étaient souvent des bombes sexuelles. C’est quoi calimachin ? Mon dictionnaire…Une cambrure marquée des reins et de belles fesses. Encore. Toutes mes copines me sortent aussi la même rengaine. C’est décidé, je bouffe plus (ne pas prononcez le S). J’ai réussi à me débarrasser du plus gros de ma virginité, je me débarrasserai aussi du plus gros de mes fesses.

Tu sais bien ce qu’en pense, Marine. Je ne demande que cela de la faire fondre. Allez, on se couche.
Attend ! Annette ! Elle m’a répondu. Elle pourra passer chez nous vers 11h mais elle ne pourra pas rester plus d’une heure. Je t’avais bien dit qu’elle rappellerait. Il faut que je te prévienne. J’ai vécu deux mois avec elle. C’est une fétichiste des jambes. Si je veux la mettre dans ma poche, je vais devoir m’habiller très court. Allez ! On se couche. Bon anniversaire Mireille.
Moi, c’était hier. Il est 3h du mat. Aujourd’hui, c’est celui de Milli.

Moi, je me couche aussi.

7h du matin. Petit pipi et retour au plumard. Je suis affamée ce matin. Tant pis, je suis punie. Je vais m’interdire de manger. Je me suis recouchée mais j’ai quand même enlevé ma culotte de bikini qui me rentrait dans les fesses. J’ai du me rendormir une heure en lisant. Sommeil très agité, Milli. Tu t’es déshabillée en dormant. Mes jambes s’étaient emmêlées dans le drap. Mes cuisses seules étaient visibles. Comme sur le rack quand j’avais les jambes et les mollets liés jusqu’aux genoux. Il fait déjà clair et l’aube s’attarde sur mon corps prisonnier. Je me caresse le pubis et les seins car ma foufoune sans foufoune, pleine de rosée, n’est pas accessible. J’ai les jambes jointes. Normal. Les draps, non, les cordes me maintiennent prisonnière. Mes belles jambes hâlées, les cordes, le long martinet que vous dressez au-dessus de moi, tout cela ne fait plus qu'une seule tresse qui se fond et palpite. Pourquoi tout ce monde ? Personne ne m’écoute mais tous me regardent. Il n’y a pas à dire. Mon corps se transforme de la plus belle des façons. Pitié ! Ne me frappez pas ! Ce n’est pas de ma faute si j’inspire des pulsions sadiques. Les cordes marquent les chairs qu'elles protègent de la violence que je lis dans leurs yeux. Seul mon livre abrite encore mon ventre mais plus pour longtemps. Ils veulent que je me caresse encore ou ils vont me battre. C’est vraiment du vice d’obliger une jeune fille à se caresser en public. Allez ! Pour vous faire plaisir. C’est méga excitant mais c’est épuisant de se caresser sans pouvoir jouir. Comme elle a raison. Je peux juste glisser un doigt entre mes cuisses pour titiller mon clitoris. Oh ! La vilaine fille qui est déjà toute trempée. Stop ! C’est plus possible. J’étais presque partie. Mes fantasmes ont cela de bien, c’est qu’ils me mettent en lambeaux sans abîmer le corps de rêve que je vois dans le miroir. Il y a des miroirs partout chez tantine. Marine était dans le lustre de ma chambre et elle a tout vu. Elle tient dans ses mains une paire de raquettes de pingpong et me tape sur les cuisses pour m'obliger à retirer le doigt de mon sexe. Je résiste mais tantine sort du bahut en acajou avec toutes ses anciennes maîtresses. Elles ont toutes un fouet qu’elles font claquer sur mon ventre et mes seins. Mes cris se perdent dans les sifflements des lanières déchaînées. Plus ils me fouettent, plus le hamac de mes draps de cordes semble se refermer sur moi. Plus je m'enfonce dans un monde parallèle. Je souffre mille diables tandis que mille démons m'excitent. Madame, tout m’excite ici. Le grenier plein d’instrument de torture. Vous le faites en exprès. Dans l'attente de la délivrance, vous me brûlez la chatte avec votre huile pimentée. Il y a d’autres façons de me réchauffer. Le souffle de la bouche de Marine par exemple. Oui j’ai dit tu. Pour mieux entendre le sifflet du fouet sur mes fesses que vous trouvez trop grosses. Mes fesses sont-elles vraiment si grosses ?
Je viens d’entendre le hennissement des chevaux. Vite ! Florence vient d’arriver nourrir ses deux pouliches. Un coup d’œil à la fenêtre. Elle est seule. Chouette ! Je vais lui demander si elle me trouve potelée ou non.
#133011
Florence profitait des vastes prairies et du grand chalet de Tantine Mireille pour y parquer ses deux chevaux. C’était mon endroit préféré. Le sien aussi. C’est là qu’elle donnait rendez-vous à Léna pour faire l’amour discrètement.

Tiens ! Mademoiselle Belles Cuisses qui a troqué son vieux training trop grand pour un short trop petit et un polo déchiré sur le devant. Tu veux me séduire ou ta tantine n’a plus de sous pour t’habiller.

Figure-toi que j’ai reçu hier soir ma pension alimentaire de l’année ! Normalement, maman nous donne 250 euros par mois et papa 750. Sais-tu combien tantine me donne comme argent de poche ? 12 euro par semaine. Le reste, c’est pour sa poche. Je n’ai plus rien à me mettre et je n’ai rien eu mangé depuis hier midi. Tout ça parce que Marine est revenue vivre à la maison. C’est dégueulasse. Je pense que je vais me faire émanciper. Ne me regarde pas comme ça ! J’ai l’âge depuis aujourd’hui. Tu es en dernière année de droit, non ?

Oui, je suis en stage au tribunal de la jeunesse justement. Monte sur Bijou ! On va faire un tour et on va causer toutes les deux. Dis donc, tu t’es rasée le pépette, toi !

Mon pépette, c’est une chatte.C’est Marine qui me l’a dit. Elle m’a fait ça à cause du collant. Tu sais ma chute à vélo, l’autre jour. Elle dit que c’est mieux pour que ma chatte ne soit pas toute collante après…à cause des poils…ben oui ! Il parait que je suis une bonne mouilleuse.

Tu es en danger, ma petite Milli. Tu m’avais déjà raconté des trucs mais je croyais que c’étaient des cracks.

Si je te dis que je veux me faire émanciper, c’est que c’est grave. En plus, elles ne veulent plus me donner à bouffer parce que je suis callipyge.

????

Enfin, parce que j’ai les jambes trop potelées. Et toi, qu’est-ce que tu trouves ?

Je trouve que tu es INCROYABLEMENT bien foutue. Parfaite, quoi. Méfie-toi de Marine !

Je sais. Elle m’a dit hier que je lui inspirais des pulsions sadiques.

Je pense qu’il sera très facile de t’émanciper. Ca, c’est un motif. Un simple interrogatoire chez le juge de la jeunesse et…

Et les 12 euros que je reçois par semaine, ce n’est pas un motif ?

Ecoute-moi ! C’est une procédure longue et compliquée, tu sais. Il faut que tu puisses justifier de revenus. Si tu as un acte notarié qui parle des 1.000 euros de pension alimentaire, c’est déjà beaucoup.

Je l’aurai. Ils ont accepté de m’entretenir jusqu’à mes 25 ans

Bien. Dans ton cas, il suffirait que ta tantine Mireille soit d’accord car elle est ta tutrice.

Pas de problème avec ça.

Une signature et un avis psychiatrique.

Annette !!!

Je l’aurai avant midi.

Si tu es enceinte, cela peut aller encore plus vite.

Comment je fais pour être enceinte avant midi ? Je me débrouillerai.

Pourquoi, tu veux absolument être émancipée avant midi ?

Oui, il y a urgence mais pas question de déposer plainte sur Marine ou tantine.

Marine, elle est domiciliée chez Mireille.

Non ! Mais elle va le faire.

C’est dommage car tu avais un motif tout trouvé ; Impossibilité morale de vivre avec deux femmes.

Tu vas m’aider. Il me faut toute la paperasserie pour 11H du matin. Tu les mettras dans la boîte aux lettres sans sonner et je les remettrais signés dans celle du chalet.

Et pourquoi STP ?

Sinon je dis à tout le monde que tu viens ce que tu fais au relais de chasse avec ta copine.

Tu n’a rien vu.

Si ! Tu la ligotes et tu la tapes. Et elle dit encule-moi encore, je vais jouir. C’est quoi enculer…

Je m’en fous. Dis ce que tu veux !

Je vais dire aussi à tantine que tu m’as obligée à me déshabiller.

Tu lui diras aussi que c’est parce que tu voulais monter sur mon cheval tout boueux avec la tenue réglementaire de collégienne que je t’ai demandé d’enlever ta jupe.

Non, je lui dirai que tu m’as lavée après, en insistant tellement sur mon pépette que j’étais plus mouillée après qu’avant avant. Et ton diplôme tu peux l’oublier.

Tu es un poison, toi. Pourquoi tu fais ça ?
Parce que tu ne t’occupes pas de moi. Jamais.

Tu m’as déjà dit que le juge t’avait à la bonne. Si tu lui donnes tous les papiers et que tu lui expliques bien ma situation, cela devrait aller très vite.

Et non, parce que tu n’as pas de domicile légal.

J’aurai. Le chalet sera mon domicile. Il a une boîte aux lettres et un numéro dessus.

C’est exact. Et tu vas habiter là toute seule. Non, avec tes chevaux. Comme ça, tu pourras venir me voir plus souvent. Ils seront propre et je leur donnerai à manger. Nous aurons plus de temps pour les monter et pour nous embrasser. Je peux te donner un vrai baiser.

MILLI !
Eh oui ! Je suis une gouine comme toi. C’est Léna qui va être contente.

Léna. Elle m’a quittée.

C’est moche, ça. (YES !!!)

Elle est partie avec …ma mère.

Celle qui était divorcée avec celui que j’appelle Clubman parce qu’il fabrique des clubs de golf !!!!!!!!

Ben oui, idiote ! Je n’ai qu’un père et qu’une mère.

Tu as de la chance. Moi, je n’avais plus de père et depuis hier, plus de mère.

Elle est morte ?

Non, je t’expliquerai.

Tantine était ménopausée et pas franchement belle. Plutôt moche, même. Marine, c’était style top modèle. Toujours bien froquée, bien coiffée, bien maquillée, élégante, racée, BLONDE. J’arrête car vous allez me croire amoureuse d’elle. Et c’est totalement faux. J’en étais raide dingue et elle le savait. Florence, c’était une grande brune très classe. 1.72m comme moi pour 62 kilos. Moi, c’était 65. Nous nous pesions souvent toutes les deux toutes nues sur la balance du chalet. Elle était aussi épilée de partout et avait de jolies jambes mais pas aussi belles que les miennes. C’est elle qui le disait. Chaque fois que je la voyais mon cœur se mettait à battre très fort. Florence ne savait pas que je l’aimais…jusqu’à aujourd’hui après m’avoir embrassée.

Je suis rentrée à la maison, direction banc solaire. Une heure et demie plus tard, j’étais cramée. Mes maîtresses dormaient toujours quand je suis descendue prendre les papiers dans la boite aux lettres. Florence avait agrafé un petit mot.

J’ai contacté le juge. Dans ton cas, tu peux déjà te considérer comme émancipée dès ce soir. Il va lancer une procédure accélérée dès que tous les documents seront remplis. Ta tantine devra accepter et signer les papiers, ainsi que la psychiatre. Je lui ai dit que tu habiterais chez moi en attendant que ton changement de domicile soit effectif. J’aime bien ton petit short troué mais j’aimais encore mieux le bikini blanc que tu portais il y a deux ans. Un chef d’œuvre de perfidie. Je suis certaine que maintenant que tu as pris 10 cm en taille et en tour de poitrine, il devrait t’aller comme un gant.

Mon Dieu ! Mon bikini en coton qui a tant rétréci au lavage. C’est un outrage aux bonnes mœurs que tu me proposes.

Je ne propose rien du tout. Je te donne un ordre. Ma pouliche ne supporte plus d’être montée par une fille qui s’habille comme un mec avec un vieux training. Si tu veux encore la monter cet hiver, tu le feras avec ce bikini ou tu ne la monteras plus. Ne me dis pas que cela te déranges ou que tu es frileuse. Je t’ai vue hier soir sur le balcon, à poil, avec de la neige jusqu’aux genoux.
#133030
Certainement que florence aurais adoré que tu porte des pinces enchainées sur tes petits tétons pour cette balade champêtre, sa pouliche se ferais le plaisir d'un galop pour t'en libérer en fin de balade;-)
Modifié en dernier par foreskin le 15 nov. 2010, 15:15, modifié 1 fois.
#133108
L'avenir et la suite nous le diront...C'est un jeu de rôle que nous jouons et ...toutes les paroles qui seront prononcées ici pourraient être retenues contre Milli...Je veux un avocat...tout de suite...Je ne parlerai plus qu'en sa présence.
#133139
De même cette demande éperdue d'avocat dans l'urgence, nécessite que la prévenue endiablée sous mise aux fers! Que le fer morde ces tétons et son titi démoniaque relié par leur chainette (nous sommes plein de compassion) pendant la rédaction de sa déposition.
#133557
Tes textes sont de plus en plus intéressants et ce jeu de rôle de plus en plus excitant. Tu as donné pleins d’idées loufoques à ma Maîtresses pour me chagriner. Elle lit ce forum mais ne veut pas y apparaître. Elle me demande de proposer à tes amies une petite gâterie qui te rappellera peut-être de mauvais ou de bons souvenirs selon l’usage qu’elles en feront. Il suffit de se procurer une ou plusieurs ponceuses d’angles comme celle que je mets en fichier. Ce ne sera pas un problème vu que tu ne fréquentes que des gens friqués.
Quand ton titi sera bien dur, il faut le coincer entre deux ponceuses et les mettre en route. Orgasmes en rafale garanti jusqu’à épuisement de la fille. Il ne faut bien sûr pas utiliser de papier de verre ou alors du très fin. Un peu de vaseline sur le patin ou rien du tout. Ne nous remercie pas, c’est une vengeance. Ma Maîtresse a une tache de naissance sur l’épaule droite. Désolée si je t’ai volée le scénario d’un chapitre. Ne me réponds surtout pas, cela ne présente aucun intérêt !
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Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
#133560
J'avais oublié cet épisode désastreux. on ne peut pas faire que de bonnes rencontres dans une vie de soumise. Merci de me le rappeler! Je ne manquerai pas de l'inclure avec force détails et commentaires dans un prochain châpitre.
#133851
Un peu de chaleur pour Emilie de la part de Stéphanie Jolie... à la demande de A...

Chlorhydrate d'histamine 25 mg
oleorésine de capsicum 50 mg
essence de lavande 150mg
nicotinate de methyle 100 mg
salicylate de méthyle 500mg
huile médicinale 3g
parafine liquide 2.5g
cetiol 2.5g
salicylate d'amyle 4 g
emulgade F 9g
eau ad 50g

et sans ponceuse!
#133879
Pas d'accord! Un jeu de rôle est un jeu de rôle. Une promesse est une promesse. Il faut assumer. Je crois que dans le jeu de rôle précédent, Clubman avait parlé d'une pommade chauffante de ce type qui te faisait beaucoup d'effet. Je suis psy et par définition médecin. La préparation sus-mentionnée ( Contre indication d'application sur les muqueuses) appliquée sur une muqueuse légèrement égratignée par de longues scéances de caresses pénétrera bien plus facilement sous l'action vibratoire et décapante d'une ponceuse garnie d'un papier de verre 00000. Je suis également un peu bricoleur à mes heures. Rien de tel pour que la femelle prenne conscience qu'au plus son sexe deviendra sensible, au plus elle jouira dans la douleur sous les vibrations. Je dis bravo aux deux intervenants.
#133907
Je ne prétends pas que cette histoire est réelle. Elle est basée sur des faits réels largement romancés parfois. Ce qui est réel, c'est le jeu de rôle auquel je participe actuellement avec huit amies. Mon rôle est de raconter chronologiquement l'histoire de ma vie et d'exposer les fantasmes qui ont surgi lors de ces différentes rencontres. Le but est de me mettre à nu pour leur donner non seulement des idées de scénarii mais mes rêves de soumission lors de ces rencontres qui ont émaillé ma vie depuis mon adolescence. La chronologie est véritable. Les rencontres aussi, multiples ou non. Les lieux sont décrits sans travestir la réalité. Eh oui ! Le grenier et le rack du XVII ème existe, le club équestre et tout autre endroit décrit aussi. Tout ce que je narre m’est arrivé parfois même plus sadiquement que raconté mais souvent romancé car s’y est rajoutée la partie fantasmatique que mes complices m’ont demandé de divulguer. Tout n'est pas vrai mais tout n'est pas faux non plus. Je continuerai coûte que coûte le jeu de rôle jusqu’à la fin du mois mais j’ai demandé à pouvoir faire le tri parmi les propositions corsées qui vont peut-être encore arriver. Cela m’a été accordé à partir de ce midi 16/10. Pour la période qui précède, cela ne dépend pas de moi.

Petite remarque amicale : qui du malade ou du psy a le plus besoin de se faire soigner.
#133948
J'avance à petit pas dans la réécriture de mon serment d'allégeance. En voici un extrait qui pourrait servir de réponse aux questions précédentes:

En acceptant de jouer ce jeu de rôle, je ne souhaitais pas jouer pas le rôle d’un personnage que j'aurais aimé être uniquement. Au contraire, je veux m'autoriser à vivre pleinement, sans tabou ni pudeur, la réalité de mon être caché que la vie quotidienne bride, étiole et finalement détruit. Ne jouer qu’un rôle serait dans mon esprit une tricherie. La pratique des supplices que mon corps convoite ne saurait souffrir d’aucun compromis quant à l'authenticité de ma démarche ni de celles de mes Maîtresses.
Quand mon corps a soif de plaisir, devant mes yeux défilent sans cesse l’image de femmes martyrisées auxquelles je ne pense plus qu’à joindre mon destin.
La vie que me proposait mon compagnon était devenue incompatible avec l’assujettissement total que je souhaite. Lassé de mes frasques, il m’a rejetée et je ne peux le condamner. Je veux maintenant briser tous les liens affectifs qui nous uniraient encore et ne seraient qu’entraves à mon accomplissement. Je veux être considérée comme une amie et non plus comme une amante. Comme votre objet sexuel commun et non plus comme la chasse gardée de deux privilégiées.


(Mon compagnon Clubman, en vacances a Ténériffe…26 degrés grand soleil, m’a téléphoné pour me faire part de sa décision.)
(Pour les deux privilégiées, chacune saura des quelles je parle. Je sais qu’elles ont déjà fait de gros efforts mais cet extrait de mon serment d’allégeance est plus un encouragement qu’une condamnation.)
#133990
lesbiandestroyer a écrit :Pas d'accord! Un jeu de rôle est un jeu de rôle. Une promesse est une promesse. Il faut assumer. Je crois que dans le jeu de rôle précédent, Clubman avait parlé d'une pommade chauffante de ce type qui te faisait beaucoup d'effet. Je suis psy et par définition médecin. La préparation sus-mentionnée ( Contre indication d'application sur les muqueuses) appliquée sur une muqueuse légèrement égratignée par de longues scéances de caresses pénétrera bien plus facilement sous l'action vibratoire et décapante d'une ponceuse garnie d'un papier de verre 00000. Je suis également un peu bricoleur à mes heures. Rien de tel pour que la femelle prenne conscience qu'au plus son sexe deviendra sensible, au plus elle jouira dans la douleur sous les vibrations. Je dis bravo aux deux intervenants.


N'oublions pas d'appliquer du froid suivit d'une douce chaleur avant toute manipulation de son sexe, qui permettera d'obtenir une vasodilatation et une hypersensibilité reactionnelle à l'hypothermie, cela l'aidera encore un peu jouir sous les vibration brulantes de ce cocktail!
#134018
Je cite "La pratique des supplices que mon corps convoite ".
J'ai cru voir un gros titi avec une cordelette liée autour de sa base. Milli s'en est servi un temps comme avatar.
Je me suis dit que garotter le titi serait aussi excellent pour le maintenir au top de son érection.
Dans ma vie, j'ai connue une femme qui aimait beaucoup jouer au titi pendu. Enfin, moi je dis ça pour rendre service.
Zut! Il est passé midi.
#134031
Pitié! Arrêtez de casser le suspens et la gradation que je compte compte mettre la suite de mon histoire. Cela fait deux fois déjà que vous me devancer. On lit, on commente en me félicitant, à la limite on me souhaite bon courage pour les fêtes de fin d'années. Je pars avec une dizaine de filles près de Marbella (une très bonne copine y possède une villa) pour "visiter" l'Andalousie et se reposer une petite quinzaine de jours. Ca vient de se décider.
#134043
Milli a écrit :Pitié! Arrêtez de casser le suspens et la gradation que je compte compte mettre la suite de mon histoire. Cela fait deux fois déjà que vous me devancer. On lit, on commente en me félicitant, à la limite on me souhaite bon courage pour les fêtes de fin d'années. Je pars avec une dizaine de filles près de Marbella (une très bonne copine y possède une villa) pour "visiter" l'Andalousie et se reposer une petite quinzaine de jours. Ca vient de se décider.


Mais nous vivons avec toi ton récit, et la passion que tu y mets se retrouve chez nous...

Pour les fêtes de fin d'années on en reparlera plus tard... Mais Par ailleurs l'andalousie est une superbe région avec de haut lieu de culture dont cordoue, berceau de la médecine moderne et de la cautérisation ;-)...
#134089
Annette est arrivée vers 10h30. Elle avait pris un peu d’avance car les routes étaient toujours couvertes de dix centimètres de neige et la température était tombée à moins dix degrés. Je ne l’avais pas entendue entrer. Elle en a profité pour s’entretenir d’abord avec Mireille et Marine. Je venais de me farcir un petit quart d’heure de banc solaire en plus. Je n’avais pas accès malheureusement à la dernière partie du grenier, la plus intéressante, celle des fringues. Je me suis donc rabattue sur les vêtements entassés dans le tiroir de mes douze treize ans. Quand Mireille m’appela, je venais enfin de retrouver le fameux bikini blanc. Je l’enfilai à la hâte pour voir quelle allure j’aurais ainsi attifée dans mon miroir. Super, super, super ! Le contraste entre l’acajou de ma peau et la mini étoffe blanche était du plus effet. Le mini bikini ne cachait rien du tout en fait, sauf que j’avais le feu où je pense. Une mine de vêtement sexy ce tiroir oublié depuis deux ans avec, en point d’orgue, un châle en crochet que Tantine avait confectionné pour moi. Le crochet, c’est génial parce c’est plus que transparent vu que c’est plein de trous. Une fois noué autour du cou et passé sous les seins, il mettait superbement ma poitrine ma poitrine en valeur. Ne descendant que quelques cm sous la culotte string du bikini, il me semblait suffisamment coquin pour me présenter devant une fétichiste des jambes. Vite un peu de crème hydratante pour accentuer l’éclat de mon bronzage et …

Milli, descend !

Je te parie qu’elle a trouvé le banc solaire.

Milli ! Grouille-toi ! La psychiatre veut te parler. Habille-toi décemment s’il te plaît !

J’arrive ! J’étais sur le banc solaire.

Je dévalai quatre à quatre les deux étages. Toute essoufflée, je remontai les pans de nom châle en prétendant :

Je m’excuse pour ma tenue. Je me suis habillée avec ce qui m’est tombé sous la main pour ne pas vous faire attendre trop longtemps.

J’étais entrée dans le grand salon avec la ferme intention de draguer la psychiatre même si elle avait septante ans. J’avouerai que je n’ai pas du faire beaucoup d’effort, elle n’en avait que trente deux (comme Marine qui m’avait menti). Elle dégageait un charisme incroyable. Son maintien racé et l'éclat de ses yeux m'interpellèrent dès que mon regard croisa le sien. Annette avait des yeux en amande d’un gris clair à tomber. Elle n’était pas très grande et son type asiatique prononcé lui donnait un charme fou. Elle portait allègrement ses trente deux ans et son sourire…ah ! Son sourire me donnait envie de lui manger les lèvres. Dès que je me suis assise en face d’elle, j’ai su que je l’avais troublée et que la partie était gagnée.

Bonjour Emilie ! Je ne m’attendais pas à voire entrer une fille aussi bien formée. Tu parais nettement plus que ton âge.

Mireille et Marine proposèrent de nous laisser en tête à tête. Excellente idée !

Je veux que vous restiez ici. Je ne vais jamais m’y retrouver si j’entends trois sons de cloche différents. Je n’irai pas par quatre chemins. Je ne suis ici pour juger qui que ce soit mais je ne veux pas de mensonges. J’irai donc droit au but. Emilie, après analyse de ton problème, ta tutrice souhaiterait abandonner sa tutelle légale et demander ton émancipation. C'est-à-dire…

Je sais. Florence m’a apporté tous les documents utiles. Elle est stagiaire chez le juge de la jeunesse. Ils sont dans cette farde. Il n’y a plus qu’à signer.

Marine. Je crois que tu surestimes la naïveté de Milli.

Sa naïveté, non, je ne la surestime pas. Sa détermination, par contre, je l’ai largement sous-estimée.

Annette était sciée. Elle se demandait même ce qu’elle était venue faire ici.

Milli. Il ne faut pas agir dans la précipitation. Je te demande de m’écouter d’abord. Assieds-toi CONVENABLEMENT en face de moi ! Je ne vois pas l’utilité de mettre ton string mouillé sous mon nez. Tu es à l’âge de l’éveil sexuel et au début de ton adolescence. Tu te cherches et si tu crois mordicus être attirée par les filles, rien ne dit que tu ne changeras pas de voie un jour ou l’autre. Tu es très séduisante et les propositions ne manqueront pas d’affluer. Je sais que ta tutrice a déjà été convoquée à la direction de ton école pour des problèmes avec ton comportement avec tes camarades de classe.

Non, c’était avec les plus grands.

Cela n’a aucune importance. Ces problèmes comportementaux, tu les reproduis ici également. Mireille et même avec moi. Tu veux ajouter quelque chose, Mireille ?

Milli ! Tu comprends bien que si je t’ai demandé cela, ce n’est pas pour me débarrasser de toi. Après chacune de mes ruptures, tu as cherché à m’émoustiller. Enfin, depuis une bonne année. Ce genre de conduite peut me conduire à n’importe quel moment devant le juge.

Annette avait posé ses mains sur mes cuisses et me les caressait comme pour m’aider à supporter la pseudo révélation de mon ignominie.

Je suis vraiment très heureuse que tu as compris cela toute seule en apportant les documents ad hoc. Je vois que tu as eu la même idée que Mireille, d’ailleurs. Te faire domicilier dans le relais de chasse.

Tu pourras continuer à vivre ici, ou là-bas selon ton désir. Ta tantine ne demanderait pas mieux que tu continues à vivre à ses côtés. C’est purement administratif, que de la paperasserie. Tu ne devras rien changer à ta façon de vivre. Simplement, tu seras protégée comme ta tantine d’une décision judiciaire par exemple qui retirerait la tutelle à Mireille et te conduirait dans un centre pour adolescente en difficulté.
Mireille, comme je viens de te le dire, plusieurs choses me mettent mal dans le comportement de Milli tel que tu me l’as rapporté mais aussi dans le tien. Tu as cruellement manqué de sévérité avec Emilie.

Compte sur moi, Annette ! Ca va changer.

Jamais tu n’aurais du accepter qu’elle se ballade devant toi dans des tenues aussi affriolantes et toi, Emilie, tu es aussi coupable car tu utilises à mauvais escient ton besoin de séduire à tout prix. Tu confonds, inconsciemment peut-être, le besoin d’être aimée et de t’envoyer en l’air. J’ai l’impression qu’à chaque nouvelle arrivante dans ton entourage, tu cherches à tester ta puissance érotique comme si tu devais en passer par là pour te faire apprécier.

C’est plus fort que moi.

Ton émancipation devrait, en principe, être pour toi synonyme de liberté. Ce qui me gêne, c’est de t’offrir cette liberté en sachant pertinemment que ta seule ambition est de l’offrir à ceux ou celles que tu as déjà choisis. Je vais même aller plus loin. Ton ambition est de devenir prisonnière. Pas obligatoirement dans un cachot mais sous la dépendance totale d’une ou d’un maître absolu car c’est de cette façon que tu désires être aimée. Une sorte d’abandon total de ton corps au profit de la personne que tu auras su séduire. Est-ce que je me trompe ?

Pas du tout ! Je veux avoir le droit de diriger ma vie comme je l’entends.

Belle preuve de maturité ! Que comptes-tu faire plus tard ?

Je veux faire le droit, comme Florence ou alors vétérinaire pour m’occuper des chevaux.

Insensiblement, ses mains avaient glissé sous le bord de ma minirobe improvisée. Je crois qu’Annette ne cherchait qu’une certaine forme d’empathie mais le résultat fut tout autre. Ses mains étaient posées sur mes hanches et dégageaient complètement mes cuisses qui frémissaient. Ses yeux de chatte guettaient mes réactions tandis qu’elle faisait lentement glisser ses pieds pour écarter mes cuisses.
J’ai besoin pour écrire mon rapport d’en apprendre beaucoup plus sur toi. Sur ta personnalité, tes tendances sexuelles, si tu es attirée par les filles et les garçons ou uniquement l’un des deux, sur la façon dont tu fonctionnes, sur les relations que tu cherches à avoir avec ton entourage.

Tiens, par exemple, si j’avais été un homme, est-ce que tu aurais aussi essayé de le séduire comme tu le fais avec moi.

Le cri du cœur…

Ah non ! Je serais vite remontée me changer. Avec vous, ce n’est pas pareil.

Parce que je suis une femme ou un médecin ?

Parce que vous êtes une très belle femme…

Et si le monsieur t’avait demandé de rester comme tu étais car il te trouvait très appétissante.

J’aurais refusé, c’est sûr et certain.

Et si Marine et Mireille avaient insisté pour que tu t’installes dans ce fauteuil, face à lui, les cuisses ouvertes comme tu le fais maintenant.

Marine était très mal à l’aise. Pas la peine de chercher la réponse dans ses yeux. Elle me faisait des yeux ronds qui clamaient clairement sa jalousie. Tantine, elle se contentait de lire et signer au plus vite les papiers.

Cela m’étonnerait qu’elles me demandent de faire cela mais je l’aurais peut-être fait.

Pourquoi puisque cela ne te plaît pas apparemment ? Pour les rendre jalouses, pour avoir une punition ou parce que tu aimes te faire caresser ?

???

Je reformule ma question d’une autre façon. Mets tes cuisses sur les accoudoirs du fauteuil !

Comme ça ?

Encore plus écartées ! Comme hier soir sur le rack…Ne t’effrayes pas ! Elles m’ont tout raconté…

Rien que la réminiscence des inoubliables moments de plaisir de la veille me fit à nouveau mouiller profusément. Mes fantasmes se sont emballés à la vitesse de l’éclair. Marine et Mireille avaient fait venir la psy pour me torturer toutes les trois sur le rack.

Tu as beaucoup aimé, paraît-il ?

C’était énorme. Incroyable. Inoubliable.

Mon petit bouton était à nouveau tout dur et surtout très à l’étroit sous le microscopique string qui remplissait de moins en moins son office de cache-sexe.

Je te repose ma question. Est-ce pour les rendre jalouses ou pour retourner sur rack recevoir une punition plus forte encore que tu me présentes ton sexe pour que je le caresse ? Ne me dis pas que tu n’en as pas envie ! Tu viens de resserrer le mini triangle pour qu’il rentre complètement dans ta fente.

Pas du tout ! C’est parce qu’il est trop petit…que vous m’avez fait écarter les cuisses trop fort…

Que préfères-tu ? Te caresser toute seule ou que je te caresse.

Toute seule, c’est beaucoup moins gai…

Et en public, comme tu le fais à l’école devant les garçons, c’est mieux.

Les garçons ne me caressent pas. Moi je me caresse pendant qu’ils me touchent les seins.

Marine avait mis sa main dans sa culotte et elle me faisait signe de dire oui. Oui à quoi ? Oui à tout ?

Comment crois-tu que Mireille et Marine vont réagir si tu me demandes de te caresser devant elles ?

Vous me caressez déjà mais si je vous demande de continuer, elles seront jalouses et c’est sûr qu’elles vont me punir très fort.

Mireille venait de lever pour la première fois les yeux de ses documents.

Fais ça et tu ne pourras plus montrer tes belles cuisses à Florence avant trois semaines !

Et toi, Marine ! Si elle me demande de la caresser, comme je connais un peu tes goûts, je parie que sa punition sera terrible, n’est-ce pas, Marine chérie ?

Ca dépend d’elle et de toi Annette. Je connais ton imagination et ta patience pour jouer avec les filles jusqu’à ce qu’elles soient épuisées. Celle-ci est bien plus jeune que moi. Il faudra sortir le grand jeu si tu veux la briser.

Mon excitation augmenta encore d’un cran. A quelle sauce étaient-elles occupées de me cuisiner, cette fois ? Mon sexe coulait comme un robinet mal fermé et ma boule au ventre grossissait comme un ballon branché sur une bonbonne de gaz.

Si tu veux avoir encore une plus grosse punition, ne me demandes pas de te caresser ! Enlève simplement ton châle et ton soutif ! Hier, il paraît que tu t’es donnée en spectacle pendant plus d’une heure. Ce soir, ta punition sera multipliée par deux et tu ne jouiras pas avant la fin.

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