- 13 nov. 2010, 17:08
#131603
…et prit Marine à partie avant de commettre l’irréparable.
Tu te souviens ton amie Cécilia ? Tu me disais souvent qu’elle avait aussi un clitoris intéressant et très chatouilleux.
Le simple contact de la pince sur mon clitoris, déjà mis à mal par l’infâme vinaigrette, avait fait refluer l’orgasme. Le cri suraigu que j’avais poussé avait eu le don d’agacer sérieusement Marine.
Ce n’est pas pareil. Cécilia avait le double de son âge et pas la même condition physique. Elle ne criait jamais non plus quand je jouais avec son titi. C’est bien pour ça que je suis restée si longtemps avec elle.
Donne-moi ta pince, Mireille et détache-la ! Je n’ai plus envie de jouer avec elle. Elle ne sait pas souffrir. Je m’en vais.
La sangle abdominale et celle qui bloquait ma tête me furent ôtées en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. Déjà, Mireille s’apprêtait à me détacher les jambes.
Tantine ! Ne fais pas ça ! Le démon ne pourra pas sortir. Mariiine ! Je ne crierai plus. Je promets. Fais-moi mal autant que tu veux ç mon titi…comme avec Cécilia ! Je serai gentille. Je ne dirai rien.
Tu ne diras rien à personne ? Cécilia n’a jamais parlé de ce nous faisions ensemble à personne. C’était notre secret.
A personne ! Je te promets. Je serais trop gênée d’ailleurs. Je sais que c’est mal ce que je fais.
Si tu caftes une seule fois, jamais que je reviens. C’est pour ça que je ne suis plus avec Cécilia.
Tu pourras me faire tout ce que tu voudras, je ne dirais rien, même pas à tantine.
Mireille se pencha sur moi et riva ses yeux dans les miens. Elle m’empauma les seins et commença à les caresser pour en faire bien ressortir les pointes. Mes tétons me faisaient encore un peu mal mais c’était bien agréable quand même. Elle les fit rouler entre ses doigts avec science jusqu’à provoquer mes premiers grognements de plaisir. Ma chatte s’était remise à couler abondamment et un feu plus troublant que de la brûlure de mon sexe se répandait dans mon ventre. Marine avait repris possession de ma fente et flattait mon clitoris dont l’excitabilité n’avait jamais atteint de tels sommets.
Tu vois que nous ne sommes pas des méchantes. Nous savons aussi te faire du bien. Tu n’aimes pas ? Ce n’est pas gai ?
Raaah ! Siiii ! C’est encore plus fort qu’avant…
Qu’avant quoi !
Avec la vaseline, c’était bizarre mais c’était déjà beaucoup mieux avec mes cuisses ouvertes….mes seins….c’est gai quand tu les pinces doucement…je suis encore plus malade qu’avant..wououou !
Et le titi, il est malade aussi, Mireille. On dirait une petite fraise qui a la rougeole.
Elle s’amusait à le comprimer comme pour en tester l’élasticité puis relâchait la pression jusqu’à ce que je puisse reprendre ma respiration et me posait une nouvelle question sournoise avant de recommencer.
Et le titi, qu’est ce qu’il aime le mieux. La vaseline ou la vinaigrette de tantine ?
Le deuxième…wouhouhou ! L’huile..c’est terriiiiible, l’huile.
Pourquoi c’est plus gai l’huile ?
Ca bruuule…c’est pour ça que c’est plus gai…ca fait maaal…et ça va durer plus longtemps….Encoooore….
Mes nerfs tressaillirent à nouveau et une crise de spasmes s'empara de tout mon corps.
Tu es très malade, toi en ce moment. C’est ton anniversaire. Tu veux continuer le jeu du stop ou encore. Moi, j’ai très envie de savoir qui sera la plus vite fatiguée et toi Mireille…
Continuuuues ! Marine ! Continnnue !
Mireille me massait maintenant les cuisses et le ventre, pour faire circuler le sang qu’elle disait.
Pourquoi penses-tu que c’est mal ce que nous faisons avec toi. C’est mal si tu m’aimes pas ce que nous te faisons, mais ça, tu aimes, non ?
Oh oui ! Oh oui ! Je voudrais….wououou…je voudrais que ça ne s’arrête jamais. Avec l’huile, ça ne s’arrête jamais…
Le désir montait en flèche, les sensations affluaient de toutes parts. Les doigts de Marine martyrisaient mes chairs, pinçaient mes lèvres, plongeaient dans mon vagin et revenaient toujours sur ce petit caillou qui n’en finissait pas de grossir. Mes yeux coulaient à chaude larmes mais c’étaient des larmes de bonheur.
Il est méchant le titi de faire pleurer notre fifille. Moi, je pense qu’il mérite une punition.
Oui…Marine fais-lui maaall !!!Ouiiiii…comme ça….encooore.
Lèvres ouvertes, je geignais grave et la Marine s'acharnait de manière de plus en plus douloureuse sur mon clitoris. Elle le griffait sans vergogne, le pinçait et faisait mine de l’arracher. Mon organe affolé accueillait les outrages avec un plaisir manifeste qui se répandait jusqu’à la racine de mes cheveux. Je coulais, je coulais, je coulais de partout.
Tu vois que ça peut être très gai quand je te fais mal. Encore ?
Ouiiii encore….tire dessus…ouiiii ! C’est trop bon….
Le plaisir était tout proche. Quelque chose d’énorme se mettait en branle dans mon ventre.
Elles se mirent à deux. Elles me griffaient et me labouraient sans obtenir autre chose que des gémissements de volupté. La lutte devint vite inégale. Un cri interminable jaillit dans la nuit.
Je secouais mon corps vissé au carcan. Ma tête heurtait en tous sens le plancher de bois.
Mes poings se serraient sur le vide. Mes jambes se tendaient mais ne parvenaient plus à soulever mes pieds. Mon corps dessinait un arc parfait, le dos brisé au creux des reins. Je forçais l'écart de ses cuisses et soulevais mes fesses en une houle convulsive pour exprimer cet orgasme que la douleur irradiante de mon sexe empêchait de sortir. Cette fois, plus de repli possible. Cela enfla, enfla de plus en plus. Une angoisse étrange me saisit. Que m'arrivait-il ? Un instant, je crus être en train de mourir. Une gigantesque vague me submergea le ventre d'abord, le corps tout entier ensuite. Ma gorge se noua et l’instant d’après, les écluses s'ouvrirent. Mon sexe meurtri se gonfla comme une anémone de mer, agité de sursauts, et se répandit en perles claires, éclaboussant d'ivoire mes cuisses écartelées et le chemisier de Marine qui ne désarmait pas. Mes cris montèrent en spirale. Dans un face à face infernal et divin, elles s'acharnèrent toutes les deux sur mon joli coquillage comme pour en exprimer l’ultime goutte. Une derrière fois, tout mon corps se raidit et se brisa !
Quelques instants qui me parurent une éternité. Une éternité de quelques secondes. Quelques minutes pour reprendre mes esprits et laisser le temps à Mireille de me détacher.
Le démon est parti maintenant. Je vais chercher un pot de vaseline. Titi est tout irrité. Un petit baiser d’abord.
C’est mille fois mieux quand il est irrité.
Tu te souviens ton amie Cécilia ? Tu me disais souvent qu’elle avait aussi un clitoris intéressant et très chatouilleux.
Le simple contact de la pince sur mon clitoris, déjà mis à mal par l’infâme vinaigrette, avait fait refluer l’orgasme. Le cri suraigu que j’avais poussé avait eu le don d’agacer sérieusement Marine.
Ce n’est pas pareil. Cécilia avait le double de son âge et pas la même condition physique. Elle ne criait jamais non plus quand je jouais avec son titi. C’est bien pour ça que je suis restée si longtemps avec elle.
Donne-moi ta pince, Mireille et détache-la ! Je n’ai plus envie de jouer avec elle. Elle ne sait pas souffrir. Je m’en vais.
La sangle abdominale et celle qui bloquait ma tête me furent ôtées en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. Déjà, Mireille s’apprêtait à me détacher les jambes.
Tantine ! Ne fais pas ça ! Le démon ne pourra pas sortir. Mariiine ! Je ne crierai plus. Je promets. Fais-moi mal autant que tu veux ç mon titi…comme avec Cécilia ! Je serai gentille. Je ne dirai rien.
Tu ne diras rien à personne ? Cécilia n’a jamais parlé de ce nous faisions ensemble à personne. C’était notre secret.
A personne ! Je te promets. Je serais trop gênée d’ailleurs. Je sais que c’est mal ce que je fais.
Si tu caftes une seule fois, jamais que je reviens. C’est pour ça que je ne suis plus avec Cécilia.
Tu pourras me faire tout ce que tu voudras, je ne dirais rien, même pas à tantine.
Mireille se pencha sur moi et riva ses yeux dans les miens. Elle m’empauma les seins et commença à les caresser pour en faire bien ressortir les pointes. Mes tétons me faisaient encore un peu mal mais c’était bien agréable quand même. Elle les fit rouler entre ses doigts avec science jusqu’à provoquer mes premiers grognements de plaisir. Ma chatte s’était remise à couler abondamment et un feu plus troublant que de la brûlure de mon sexe se répandait dans mon ventre. Marine avait repris possession de ma fente et flattait mon clitoris dont l’excitabilité n’avait jamais atteint de tels sommets.
Tu vois que nous ne sommes pas des méchantes. Nous savons aussi te faire du bien. Tu n’aimes pas ? Ce n’est pas gai ?
Raaah ! Siiii ! C’est encore plus fort qu’avant…
Qu’avant quoi !
Avec la vaseline, c’était bizarre mais c’était déjà beaucoup mieux avec mes cuisses ouvertes….mes seins….c’est gai quand tu les pinces doucement…je suis encore plus malade qu’avant..wououou !
Et le titi, il est malade aussi, Mireille. On dirait une petite fraise qui a la rougeole.
Elle s’amusait à le comprimer comme pour en tester l’élasticité puis relâchait la pression jusqu’à ce que je puisse reprendre ma respiration et me posait une nouvelle question sournoise avant de recommencer.
Et le titi, qu’est ce qu’il aime le mieux. La vaseline ou la vinaigrette de tantine ?
Le deuxième…wouhouhou ! L’huile..c’est terriiiiible, l’huile.
Pourquoi c’est plus gai l’huile ?
Ca bruuule…c’est pour ça que c’est plus gai…ca fait maaal…et ça va durer plus longtemps….Encoooore….
Mes nerfs tressaillirent à nouveau et une crise de spasmes s'empara de tout mon corps.
Tu es très malade, toi en ce moment. C’est ton anniversaire. Tu veux continuer le jeu du stop ou encore. Moi, j’ai très envie de savoir qui sera la plus vite fatiguée et toi Mireille…
Continuuuues ! Marine ! Continnnue !
Mireille me massait maintenant les cuisses et le ventre, pour faire circuler le sang qu’elle disait.
Pourquoi penses-tu que c’est mal ce que nous faisons avec toi. C’est mal si tu m’aimes pas ce que nous te faisons, mais ça, tu aimes, non ?
Oh oui ! Oh oui ! Je voudrais….wououou…je voudrais que ça ne s’arrête jamais. Avec l’huile, ça ne s’arrête jamais…
Le désir montait en flèche, les sensations affluaient de toutes parts. Les doigts de Marine martyrisaient mes chairs, pinçaient mes lèvres, plongeaient dans mon vagin et revenaient toujours sur ce petit caillou qui n’en finissait pas de grossir. Mes yeux coulaient à chaude larmes mais c’étaient des larmes de bonheur.
Il est méchant le titi de faire pleurer notre fifille. Moi, je pense qu’il mérite une punition.
Oui…Marine fais-lui maaall !!!Ouiiiii…comme ça….encooore.
Lèvres ouvertes, je geignais grave et la Marine s'acharnait de manière de plus en plus douloureuse sur mon clitoris. Elle le griffait sans vergogne, le pinçait et faisait mine de l’arracher. Mon organe affolé accueillait les outrages avec un plaisir manifeste qui se répandait jusqu’à la racine de mes cheveux. Je coulais, je coulais, je coulais de partout.
Tu vois que ça peut être très gai quand je te fais mal. Encore ?
Ouiiii encore….tire dessus…ouiiii ! C’est trop bon….
Le plaisir était tout proche. Quelque chose d’énorme se mettait en branle dans mon ventre.
Elles se mirent à deux. Elles me griffaient et me labouraient sans obtenir autre chose que des gémissements de volupté. La lutte devint vite inégale. Un cri interminable jaillit dans la nuit.
Je secouais mon corps vissé au carcan. Ma tête heurtait en tous sens le plancher de bois.
Mes poings se serraient sur le vide. Mes jambes se tendaient mais ne parvenaient plus à soulever mes pieds. Mon corps dessinait un arc parfait, le dos brisé au creux des reins. Je forçais l'écart de ses cuisses et soulevais mes fesses en une houle convulsive pour exprimer cet orgasme que la douleur irradiante de mon sexe empêchait de sortir. Cette fois, plus de repli possible. Cela enfla, enfla de plus en plus. Une angoisse étrange me saisit. Que m'arrivait-il ? Un instant, je crus être en train de mourir. Une gigantesque vague me submergea le ventre d'abord, le corps tout entier ensuite. Ma gorge se noua et l’instant d’après, les écluses s'ouvrirent. Mon sexe meurtri se gonfla comme une anémone de mer, agité de sursauts, et se répandit en perles claires, éclaboussant d'ivoire mes cuisses écartelées et le chemisier de Marine qui ne désarmait pas. Mes cris montèrent en spirale. Dans un face à face infernal et divin, elles s'acharnèrent toutes les deux sur mon joli coquillage comme pour en exprimer l’ultime goutte. Une derrière fois, tout mon corps se raidit et se brisa !
Quelques instants qui me parurent une éternité. Une éternité de quelques secondes. Quelques minutes pour reprendre mes esprits et laisser le temps à Mireille de me détacher.
Le démon est parti maintenant. Je vais chercher un pot de vaseline. Titi est tout irrité. Un petit baiser d’abord.
C’est mille fois mieux quand il est irrité.