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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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par aventuresm
#474
1000 fois bravo pour votre site remarquable !!!

Nous vous avons connu par le site « cuckold ». nous espérons que les quelques abrutis qui polluent ce site ne viendront pas ici.

Nous sommes un couple candauliste dont Madame (Marie) a 40 ans et Monsieur (James) 42 ans.

Nous sommes ensemble depuis 7 ans et Marie a découvert dans les bras d’un amant pervers, dominateur raffiné, imaginatif, vicieux et exigeant qu’elle prenait des plaisirs sublimes en étant soumise sexuellement. Le début de cette rencontre a d’ailleurs été très difficile pour elle (et pour notre couple) car il était le propriétaire des murs de son magasin et elle rencontrait des grosses difficultés financières…

Constatant sa dépendance à la soumission sexuelle et au masochisme j’ai essayé de la dominer sexuellement mais ça n’a pas du tout marché, ça a même mis notre couple en péril.

Nous avons alors trouvé notre « équilibre » et notre vitesse de croisière dans des relations où elle me « trompe » dans des relations SM et est ainsi comblée sexuellement et où je prends plaisir à ce qu’elle me raconte ensuite !

Elle m’a fait des récits par écrit et me raconte dans le détail au lit quand nous faisons l’amour.

Je pourrais vous commenter plus en détail, au fur et à mesure, l’étendue des plaisirs que je ressens, bien que vivant des frustrations, des humiliations et une certaine dépossession !

Voilà le premier récit écrit de Marie, il y en a des dizaines d’autres…

A ceux qui apprécieraient ses lettres et auraient des commentaires intéressants, je pourrais envoyer, en privé, des photos de Marie pour qu’ils se fassent une meilleure idée d’elle.

A suivre…

James.
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KneelDown a liké
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par aventuresm
#475
Le rendez-vous de la semaine dernière ne s'est pas bien passé. Je ne m'y attendais pas. Après de nombreux coups de fils infructueux, le proprio a accepté de me recevoir entre deux rendez-vous à son cabinet médical.
J’y suis allé pour essayer de le convaincre de négocier le report et l’étalement de la dette ainsi que la diminution du loyer.
Il m’a répondu qu’il préférait m’assigner en liquidation judiciaire et louer le local un bon prix à quelqu’un d’autre.
Je lui ai présenté le détail des sommes dont Morel m’a planté, une année de chiffre d’affaires, et lui ai montré le chiffre d’affaires actuel qui devrait permettre de se redresser sur cinq années.

Je n’en dors plus la nuit. Par ses regards malsains et des sous-entendus Il m’a fait comprendre que je lui plaisais.
« - Revenez la semaine prochaine avec des arguments convaincants, on verra… »

Pour ce rendez-vous là, je me suis soigneusement préparée.
Chic mais, quand même un peu sexy.
Compte tenu de sa réputation de vieux cochon vicelard, je pensais lui faire « tirer la langue » sans rien lui accorder, et, ainsi, le convaincre d’accepter d’attendre ses paiements.

Brushing, maquillage soigneux, parfum capiteux « Paris » d’Yves saint Laurent, mon tailleur noir avec ma lingerie blanche Aubade dont le soutien-gorge à balconnets me fait ressortir la poitrine par le décolleté de la veste, le fameux string Aubade au cas où, un collant noir Dim brillant et fin et mes hauts talons vernis noirs…
Mon manteau noir en fausse fourrure par-dessus, et je me lance. Je suis angoissée à l’avance et décidée à le séduire pour lui laisser espérer et l’assouplir…

Il m’accueille avec des compliments :
« Vous êtes magnifique !... Et bien en voilà des arguments intéressants !... »
Ce qui me rassure un peu.
« Vous voyez, là nous sommes sur la bonne voie pour nous comprendre. Vous êtes une très belle femme, très sexy, mais aussi très intelligente, vous savez comment mettre en avant vos arguments convaincants, je me trompe ? »
Silence. Je bredouille un oui embarrassé.
« Vous savez bien que je n’attends pas après le paiement de votre dette, ni après les loyers en cours pour vivre. Mais il faudrait que vous me donniez de réelles et solides raisons pour retirer le dossier de chez l’huissier, n’est ce pas ?... »

Je suis tétanisée et je ne peux que bredouiller des syllabes d’approbation.

« Bien. On va voir tout de suite si on se comprend bien. Venez avec moi dans la salle d’examen !… ».

J’ai envie de hurler mon refus, de me révolter, de lui crier que ce que je lui dois et un examen médical odieux ça n’avait rien à voir… Mais je sais que je suis coincée, il me tient et en profite.
Il m’indique le chemin de sa salle d’auscultation, j’y vais, humiliée et anxieuse.
Je n’ai pas le temps de me relaxer…
« Déshabillez-vous ! »
J’avais beau m’y attendre, je suis très mal à l’aise. Il se tient debout pas loin de moi et son regard est à la fois vicieux et sadique. Il savoure son emprise sur moi.
J’enlève ma robe.
Il me complimente sur ma lingerie, puis :
« Tournez-vous !... Magnifique !... Quelle chute de reins, quelle cambrure admirable ! ».
Silence une minute de contemplation de sa part…
« Allez, enlevez votre soutien-gorge maintenant. Prenez votre temps, on n’est pas pressés. Appliquez vous, faites ça bien, avec féminité… »

Il veut un strip-tease. Pour qui me prend-il ?... J’ai envie de l’envoyer promener méchamment et de l’insulter. Mais… Mon dossier !... Tant pis, je ravale ma salive, et, dos vers lui, je dégrafe lentement mon soutien-gorge, paresseusement, je défais le dos, les bretelles et je tiens les bonnets sur mes seins de mes deux mains…

« Pas mal, maintenant tourne-toi vers moi ! »
Tiens, il me tutoie. Cela me révolte intérieurement encore plus !

« Allez montre moi tes seins ! »
J’enlève les bonnets du soutien-gorge que je maintenais contre moi et je cambre la poitrine.
« Ah ils sont beaux ! Tu as des beaux seins, ça oui, et avec des gros bouts, c’est excitant !... Assois-toi en travers de la table d’auscultation et mets tes mains derrière la nuque ! ».
J’obéis, au point où j’en suis, je n’ai plus le choix.
« Oui, comme ça, bien ! »
Je ferme les yeux, je le sens tourner autour de moi comme un prédateur autour de sa proie. La position qu’il m’a fait prendre, mains derrière la tête fait cambrer ma poitrine. J’en rajoute encore un peu pour me présenter avec avantage… Mes seins cambrés et tendus vers l’avant doivent être bien aguichants à voir !... Pourvu qu’il se contente de voir seulement. C’est sûr c’est un malade pervers, je m’attends à tout. Qu’il se contente de me voir à sa merci ou qu’il m’en fasse subir d’avantage… Tout peut arriver… J’ai vraiment peur mais me plie au jeu pour ne surtout pas le contrarier...
Il s’approche de moi par derrière et me prend doucement les seins dans ses mains. Ses caresses sont douces et plutôt agréables. Je me laisse faire, forcément. Je sens son souffle sur ma nuque. Ses mains deviennent plus contraignantes, il me malaxe les globes de plus en plus fermement. C’est encore plus agréable mais je ne veux pas lui montrer mon trouble. Après plusieurs minutes de malaxage de mes globes il alterne en me prenant les tétons entre ses doigts, délicatement au début, puis il les fait rouler entre ses doigts, les tire, et les pince, et ce de plus en plus fort. Je suis obligée de gémir quand il commence à me faire mal. Il est attentif et il a l’effroyable talent de rester juste à la limite plaisir douleur, autant dans son travail sur mes pointes de seins que dans ses malaxages vigoureux de mes globes. Le salaud a le dessus sur moi, non seulement je me laisse faire mais je tends au maximum ma poitrine au devant de ses mains impitoyables. Il fait si bien que je perds pied et que je ne peux m’empêcher de haleter et gémir de plaisir.
Il sait y faire et il sait prendre son temps car son travail impitoyable de ma poitrine dure longtemps, très longtemps… Il me donne du plaisir et je ne sais plus du tout où j’en suis… Lui oui…

Sans cesser de s’occuper de mes seins, il me dirige à m’allonger :
« Allonge-toi sur le dos sur la table d’auscultation ».
Je suis allongée sur le dos, bras le long du corps.
Il cesse de torturer mes seins et se recule un peu pour contempler le spectacle de cette femme mariée, bourgeoise BCBG qu’il est en train d’avilir.

Je reprends un peu mes esprits. Je suis tiraillée entre ma peur de ses perversions et le désir d’avoir à nouveau du plaisir. Surtout, je pense dans ma tête que je dois continuer à le satisfaire, car, en contrepartie, il devra ensuite « arranger » mon dossier…

Je porte toujours mon beau collant brillant noir, et, dessous mon beau string Aubade.
« Ecarte tes cuisses ! »
Il guide mes jambes et les place de part et d’autre de la table d’auscultation. Cette position cambre mon pubis en avant.

Je n’ai pas le temps de réfléchir qu’il a mis sa main dans mon string et m’empoigne la chatte. Je suis affolée car j’ai bien senti que ses odieuses manipulations de mes seins m’ont fait mouiller, je sens que je suis trempée à tordre. Non seulement il me pétrit ainsi la chatte sans ménagement mais il y introduit facilement plusieurs doigts.
« Tu es trempée ! Ton string est mouillée à tordre !... Ah ! Je vais me régaler avec toi ! »
Il enlève sa main de dans mon string, remonte mon string et le collant sur mon pubis et entreprend de me chatouiller la chatte avec un doigt par dessus le collant et le string. De la main gauche, il tend bien le nylon du collant et le satin du string qui s’incrustent dans ma chatte. De l’autre main, d’un doigt, avec précision il me chatouille et me titille le clito… Il alterne en caressant doucement avec sa main toute ma chatte moulée dans le collant et le string. Je ne peux m’empêcher de me tortiller au devant des ses mains inquisitrices en gémissant. Il obtient rapidement ce qu’il voulait.
« Ton string est à tordre, et, maintenant ton collant est mouillé aussi !... On croirait que tu as fait pipi dans ton string et ton collant… C’est très excitant tu sais ! »…
Quand il se met à me pincer et manipuler le clito à travers le tissu, je ne peux m’empêcher de crier et d’avoir des spasmes annonciateurs de l’orgasme…

Il ne me l’accorde pas. probablement pour me faire encore mieux comprendre que c’est lui qui dirige, et il arrête net de me toucher.
« Enlève ton collant mouillé et ton string trempé ! »
Je m’exécute aussitôt.
« Tourne toi, allonge toi sur le ventre ! »
Je ne m’y attendais pas. Je comprends qu’il va m’humilier jusqu’au bout et qu’il va maintenant s’occuper de mon cul.
Je suis allongée sur le ventre, les cuisses serrées.
« Quel cul magnifique !... Très excitant !...Ecarte tes cuisses ! »
Bien que très excitée sexuellement, c’est plus fort que moi, j’ai envie de me révolter contre son ordre vicieux. J’entrouvre juste un tout petit peu mes cuisses.
« Non mais !... Allez, écarte tes cuisses mieux que ça et cambre bien ton cul, tout de suite, petite salope !... Tu vas voir, je vais t’apprendre à obéir. »
Et il me met en même temps une série de petites claques au cul. Les premières me surprennent et me cinglent les fesses, les suivantes, modérées, m’excitent !
J’écarte aussitôt largement mes cuisses et je cambre mon cul en m’appuyant sur mes genoux pour le faire ressortir.
« Et ben dis donc, maintenant je sais comment il faut te traiter ! »
Je meurs de honte. En même temps, la situation, ses claques au cul, ses paroles font monter mon excitation.
Il écarte mes fesses avec ses mains, reste quelques longs instants à contempler et y introduit un doigt.
Je ne peux m’empêcher de lui gémir « Non, pas ça, s’il vous plaît, non !... »
Il ricane « Tais toi ! Tais toi ! Tu vas voir, tu vas aimer ça aussi !... »
Il entreprend, très doucement, lentement, progressivement mais inexorablement, de me pénétrer le cul avec un doigt, deux doigts, puis trois, puis sans doute quatre qu’il fait tourner, qu’il fait entrer et sortir doucement au début puis de plus en plus rapidement. Je pense même qu’il écarte ses doigts de temps en temps pour encore mieux forcer mon petit cul. Il me rentre ses doigts dans le cul en les faisant tournoyer, tantôt doucement en accentuant bien le geste, tantôt vite en me pistonnant. En même temps, de son autre main, il me branle le clito.
Quand il me dilate trop fort le cul je gémis et essaie de me dérober, mais son autre main quitte mon clito pour me flanquer une fessée cinglante au début puis modérée au fur et à mesure que je recommence à bien cambrer mon cul vers sa main vigoureuse et cruelle.
« Ah la petite bourgeoise qui cachait bien ton jeu ! Hein ?...
En fait t’es une vraie petite salope, soumise et maso ! Hein ?…
Tu vas voir que je vais te dresser aux vices, moi ! Hein ?...
Je vais faire de toi une vraie petite putain ! Hein ?...
Je sais comment leur faire prendre leur pied et les rendre accroc aux vices les petites sainte-nitouche comme toi, tu vas voir !...
Si tu sais y faire tu obtiendras tout de moi. C’est un bon début ! »

Ces dernières paroles bien qu’humiliantes me rassurent et je me laisse aller complètement.

Je recommence à haleter, gémir et crier dans la montée de mon plaisir. Je m’abandonne et mon corps se tend vers lui, vers ses mains expertes, cruelles mais jouissives, qui me possèdent par le cul et martyrisent mon clito. Je me tortille avec indécence.
Juste avant que mon orgasme éclate il arrête encore tout net.
« Bon, bien, maintenant je sais à quoi m’en tenir… J’ai du monde derrière. Je n’ai plus le temps et ça ferait trop de bruit… Déjà là ! Hum ! »
Je suis pantelante, toutes résistances vaincues. Il aurait pu faire de moi ce qu’il voulait mais il arrête. Je ne comprends pas. Je suis abasourdie. Excitée et frustrée de mon plaisir. Il a gagné sur toute la ligne.
Il prend mon string trempé et mon soutien-gorge, le met dans le tiroir de son bureau.
« Prise de guerre ! Je te les rendrai, ne t’inquiète pas… Hum…. Quel parfum délicieux … Allez, rhabille-toi ! »
Il se lave les mains. Il a repris son air professionnel et distant.
Il me fait faire une pose quand j’ai remis, cul nu, mon collant mouillé à l’entrecuisse.
« Tourne-toi !... Ecarte les jambes !... »
Il laisse un long silence.
« Magnifique ! … Allez, rhabille toi.»

Il est très fort, il ne parle pas du motif de ma visite et de sa décision.
Je le questionne « Et… Et pour notre affaire de loyer, qu’allez vous faire ?... »

« Ecoute, maintenant j’entrevois des solutions disons amiables. Mais on n’en est pas là. On en est même loin. Tu as de grandes et excellents dispositions, des talents cachés inouïs et tu m’as démontré que tu avais compris où est ton intérêt, mais ce n’est pas suffisant. C’est loin d’être suffisant. Tu as encore tes preuves à faire, tu sais… Mais tu peux y arriver, c’est sûr… Je vais téléphoner à l’huissier pour qu’il n’entreprenne rien cette semaine. Je vais réfléchir, j’aurais des propositions précises à te faire dans quelques temps. Il faut que je te connaisse encore mieux, que je vérifie certains points de ta détermination et de tes capacités… »
Silence.
Je ravale ma salive et lui demande quand est ce que j’aurai son accord.
« Mon accord éventuel, tu l’auras, ou non, d’ici un mois. Tu sais, maintenant, ça ne dépend plus de moi, mais de toi, de toi, tu comprends, n’est ce pas ?… »
J’approuve de la tête.
« Il va falloir que tu me prouves que je ne me trompe pas sur ce que je compte faire avec toi… »
J’approuve à nouveau de la tête. « Et il faut que je fasse quoi ? »
« Tu es disponible la semaine prochaine ?… Disponible au sens où je l’entends, bien sûr… »
Je lui bredouille un oui… Oui. J’ai réfléchi que mes prochaines règles ne sont que pour dans quinze jours…
Il me propose.
« Viens jeudi de la semaine prochaine à 16h30. Tu seras mon dernier rendez-vous. On aura tout notre temps, là... »
Je lui bredouille mon accord.
Je m’apprête à lui dire au revoir quand il ajoute :
« Bon, commençons un peu à parler de mes exigences… D’abord tu devras avoir l’entrecuisse intégralement lisse… D’accord ?... »
Complètement sidérée, abasourdie, je lui dis oui.
« Pour la tenue, je suis très exigeant et très strict, ça il va falloir que tu le comprennes aussi. Les collants je les tolère cul nu, comme tu es maintenant, ou bien collants ouverts. Mais je veux que, la prochaine fois, tu viennes avec des vrais bas, pas des Dim-up, des vrais bas nylons et un porte-jarretelles.
J’aime les femmes qui portent des porte-jarretelles avec des jarretelles réglables pour que les bas soient tirés le plus haut possible, comme ça elles peuvent mettre des mini jupes. Tu remettras aussi des chaussures à talons, ce que tu as de plus haut possible, ça te va super bien, ça te donne un maintien encore plus cambré, et alors là, ton cul, quel régal !... »
Maintenant je suis assommée !... Je marmonne « Bon oui, je vais faire comme ça… »
Et il continue dans le même registre :
« Pour le soutien-gorge c’est soit un soutien-gorge seins nus, soit un soutien-gorge avec des trous pour les pointes de seins ou soit pas de soutien-gorge du tout. Pour toi, la prochaine fois, ce sera soutien-gorge seins nus !... »
Je réponds à vois basse, lamentablement « Je n’en ai pas de soutien-gorge seins nus… »
Il me répond :
« Ce n’est pas mon problème. Tu vas aller en acheter un. Y en a sur internet ou en sex-shop !... Bon du coup, pour la petite culotte je ne vais pas exiger une culotte fendue maintenant, je suppose que tu n’en as pas non plus. De plus, j’aime bien comment tu as trempé ton string. Oui, alors mets donc une petite culotte sexy, tu dois bien avoir ça, non ?... »
Je lui redonne mon accord par un hochement de tête.
Avant qu’il n’ait d’autres exigences obscènes je lui dis au revoir et m’apprête à sortir.
« On récapitule ! N’oublie surtout pas, chatte lisse, porte-jarretelles, vrais bas, mini jupe, soutien-gorge seins nus, corsage transparent, hauts talons… Ne me déçoit pas, ça remettrait tout en cause… Ah oui, et puis, si tu ne viens pas, quelle qu’en soit la raison, je préfère t’avertir qu’il n’y aura plus rien à négocier, jamais plus… Mais tu m’as prouvé que tu es intelligente, tu sais bien qu’on va finir par s’entendre tout les deux, n’est ce pas ?... Alors à jeudi en huit… »

Assommée, dans les vaps, je rentre…

Bilan : Je pense qu’il y a une solution mais ses exigences vont être effroyables et je n’ai pas le choix. Je suis à la fois rassurée sur le fond mais anxieuse sur les moyens d’y arriver. Mais, quand même, ce vieux salaud sait y faire car il m’a obligée à avoir du plaisir dans des situations vicieuses et j’attends avec une gourmande anxiété la suite des évènements. Mais je sais que ça ne va pas être une promenade !...

A suibre…
par alfred1900
#478
Magnifique, sublime, excellent, extraordinaire, quel récit, quelle lecture, elle est divine, à quand la suite, ta femme m'escite à mort...........

alfred
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par aventuresm
#492
Merci, merci pour les compliments ! ça fait super plaisir ! je transmets à la belle. Bon, comme ça semble plaire, je mettrai demain en ligne la visite suivante chez le vieux pervers... J'ai beaucoup de textes de Marie, j'en mettrai ensuite selon les centres d'intérêts préférés des amis du site. D'ailleurs elle me reconte certains évènements en détails, d'autres non détaillés et elle m'en cache même certains pour surfer sur mes frustation et mon plaisir.
Amitiés complices !
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par aventuresm
#604
Voici le deuxième texte que Marie m’a adressé en « explication » de son initiation aux vices par Bernard.
Ce texte est le plus long qu’elle m’ait fait car elle voulait me mettre en confiance et me montrer que, même si cela s’accomplissait sans moi, elle m’en rendait compte en détails.
Elle ne savait plus où elle en était et elle voulait que je l’aide à y voir clair en elle.
En plus « au dodo » elle a répondu à mes questions avec des précisions excitantes.
Je l’ai remercié et lui ai témoigné d’un amour encore plus fort, lui avouant que tout cela m’excitait au plus haut point. Je lui avouais que je me « faisais ma fête » 5 ou 6 fois par jour en y pensant, plus une ou deux fois avec elle le soir !
Bonne lecture !...
… et, à suivre si vous aimez…
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par aventuresm
#605
J'ai appréhendé toute la semaine ce rendez-vous et cherché des solutions pour me dérober ou essayer de calmer le jeu avec le vieux sadique.

Mais aucune autre solution à l’horizon !...

Je me suis donc résignée à m’acheter les vêtements et dessous exigés. Je suis allé acheter sur internet, pour assouvir les vices de ce vieux vicieux sans me ruiner.
Pour la lingerie, comme il n’a pas précisé de couleur, j’ai acheté des dessous blancs, j’estime que ça sera quand même plus sage et plus pudique.

Soutien-gorge « seins nus » blanc 19 Euros
Porte-jarretelles large rétro en satin blanc,
avec larges jarretelles réglables ! 28 Euros
Petite culotte en satin blanc 09 Euros
Bas nylons à coutures noirs, 2 paires 24 Euros
Corsage blanc transparent 42 Euros

Jupe noire courte, j’ai. Pour les chaussures, aussi, j’ai ce qu’il veut, des escarpins vernis noirs avec des talons de huit centimètres…

122 Euros d’investissement ! Une goutte d’eau comparée au passif du magasin !

Si il se limite au petit jeu de la dernière fois, ça va aller, ça ne devrait pas être trop pénible. Mais ses sous-entendus me laissent penser qu’il va avoir d’autres exigences, encore plus vicieuses !

Je n’ai pas le choix. Je suis maintenant anxieuse et complètement déconnectée de tout l’aspect sexuel du truc. Je crains de craquer ou de ne pas être à la hauteur de ses désirs pervers.

Je me rends compte de ma situation humiliante au fur et à mesure que l’échéance approche.

Je n’arrive pas à avaler quoi que ce soit le midi. Dès 14h je commence à me préparer.
Bain parfumé, je m’épile intégralement à la crème dépilatoire, aisselles, pubis, sexe et entrecuisses.
C’est la première fois de ma vie que je m’épile totalement. Ma chatte ressemble au sexe d’une petite fille ! Je suis morte de honte et je me demande si j’aurai le courage de laisser ce vieux dégueulasse me regarder comme ça…
Brushing, maquillage accentué. Parfum, Paris de Yves Saint Laurent à nouveau, je ne veux pas prendre le risque de mettre un autre parfum qui ne lui plairait pas.

Je mets mes dessous.

Soutien-gorge seins-nus, mes seins comprimés, gonflés et durs ressemblent à deux obus pointés en avant, mes tétons saillant avec indécence. Je mets le corsage aussitôt pour voir s’il va cacher ma poitrine provocante. Mais non, il est tellement transparent qu’on voit tout comme si ma poitrine ballonnée par le soutien gorge seins nus étaient en vitrine et « offerte » !

Je mets le porte-jarretelles, ça faisait longtemps que je n’avais pas remis cet accessoire contraignant que je considérais comme un harnachement. Je règle la longueur des jarretelles au plus court, je n’ai pas oublié les ordres, de plus, comme j’ai pris des bas taille 3, j’ai intérêt à ce qu’ils soient tirés très hauts comme il l’exige !...
Les bas noirs en nylons à coutures que j’ai achetés sont vraiment très fins, la sensation sur la jambe en est agréable. Ils remontent jusqu’à l’entrejambes, sous mes fesses, limite trop long. Comme j’ai affaire à un maniaque, je préfère ne pas rouler le haut des bas comme on peut faire pour gagner quelques centimètres. J’attache mes jarretelles en haut de la démarcation. Mes bas plissent. Tant pis je n’ai pas le choix.

La petite culotte blanche en satin est parfaitement moulante, elle me fait un très beau cul et rentre entre les lèvres de ma chatte qui forment un petit gonflement devant. C’est parce que je suis toute lisse.

Je me regarde dans la glace, j’ai vraiment l’air d’une pute, quelle déchéance !... Surtout à cause des bas nylons noirs à coutures ! J’aurais dû en prendre des beiges, mais avec la jupe noire ça n’aurait pas été… De toute façon, c’est trop tard !...

Je réfléchis à une autre tenue moins provocante. J’ai le choix dans ma garde robe « classique », une autre jupe plus longue, un autre corsage pas transparent… Mais j’ai peur de prendre un trop gros risque…
Honteuse et humiliée je me résous à y aller comme ça et je mets mon long manteau de fausse fourrure par-dessus pour cacher non accoutrement indécent et trop sexy.

Je me sens dégradée, salie, j’espère qu’il aura au moins un peu de respect et de pitié pour moi...

Avec juste cinq minutes d’avance je sonne au cabinet en tremblant. Personne dans la salle d’attente, tant mieux !

J’attends une quinzaine de minutes qui me permettent de retrouver un peu ma respiration suffoquée par le stress.

Il vient me chercher dans la salle d’attente. Pantalon noir bien coupé, chemise blanche haut de gamme, look soigné.

Il me demande aussitôt d’enlever mon manteau…

Ses yeux écarquillés vont de ma poitrine ballonnée exhibée par la lingerie et le corsage transparent à mes jambes gainées de nylon noir en passant par mes cuisses moulées dans la jupe noire courte…

S’en suit une avalanche de compliments sur ma tenue !
« Magnifique, admirable, vous êtes extraordinaire. Je suis heureux que vous vous engagiez dans la bonne voie pour que nous finissions par tomber d’accord… Mais je vous l’ai dit, ce n’est pas tout, vous avez encore à beaucoup faire vos preuves !... Beaucoup !... Beaucoup !... Vous le savez ça, n’est ce pas ? »

Il me vouvoie, tant mieux. J’acquiesce à ses propos et lui demande si il a réfléchi pour mon problème de passif.

« Oui, j’ai réfléchi, mais vous savez bien que nous sommes là ensemble pour trouver une solution. Cette solution, je vous l’ai expliqué, elle ne dépend plus que de vous. On se voit aujourd’hui, et encore une ou deux fois pour que je soie certain de vos aptitudes et de votre bonne volonté, et, je vous le promets, je vous ferai une proposition. Une proposition qui sera d’autant plus intéressante pour vous que vous aurez été compréhensive. Vous me comprenez ?… »

Je lui réponds affirmativement, puisque, de toutes façons, je n’ai pas le choix.

Il reprend l’initiative.

« On en était où, déjà. Ah oui, tournez vous !... Ah !!! Superbe, des bas coutures !!!! Hummm !!!... Ça doit être super excitant quand vous marchez !... »

Un peu moins effrayée, je n’attends pas son ordre et je commence à marcher doucement, en me tenant bien droite et cambrée dans son bureau. Il me désigne la porte de la salle d’attente, je l’ouvre en grand et je déambule à petits pas lents du bureau à la salle d’attente.

« Roule du cul en marchant, imagine que t’es une prostituée qui fait le trottoir »

Ça y est il me tutoie, il est maintenant excité et son jeu ignoble commence… Son allusion ne me plaît pas du tout. J’ai envie de l’envoyer balader, de le remettre en place et de partir mais je me résigne car l’enjeu est de taille pour moi… Tant pis, j’accentue ma démarche, je roule des hanches en marchant comme j’ai vu faire les prostituées dans les films tout en cambrant ma poitrine et mes fesses…

Il ouvre la porte extérieure de la salle d’attente et me dit de continuer mon manège dans le couloir de l’immeuble…

Je n’y vais pas et je le supplie :
« Non, Monsieur, s’il vous plaît, pas ça, on pourrait me voir… »
La situation bascule :
« Ecoute moi bien, si tu ne veux pas, fallait pas venir. C’est la première et dernière fois que tu me désobéis, tu peux faire toutes les jérémiades que tu veux, mais quand je te donne un ordre, tu n’as pas à réfléchir, tu l’exécutes, un point c’est tout… Tu as le droit de me supplier, gémir, pleurnicher, tout ce que tu veux, mais tu fais ce que je te dis quand même. Ce n’est pas négociable, c’est à prendre ou à laisser… Soit tu fais ce que je te dis tout de suite, soit tu remets ton manteau, tu t’en vas et on n’a plus rien à se dire, alors choisis vite !...

Quel salaud ! Je suis comme un boxeur sonné. K.O. je m’efforce de calmer le jeu « Oui Monsieur, excusez moi Monsieur… ». Je vais aussitôt dans le couloir comme un robot…

« Je marche derrière toi, je te dirige, tu vas où je te dis, sans te retourner... N’oublie pas que tu es une petite putain qui roule du cul pour appâter les clients… »

Nous sommes tout les deux dans le couloir, moi devant lui à faire les cent pas en roulant du cul.

« Marche doucement devant moi, marche en pute… Tout droit, ouvre la porte là… »

Il me fait monter les escaliers devant lui et se régale de la vue qu’il a sous ma jupe, vue sur mes cuisses gainées de bas, mes jarretelles, les cuisses au dessus des bas, ma petite culotte qui me rentre dans la chatte lisse… Ça a l’air de lui plaire !...

Je me détends un peu… Il me fait marcher de long en large dans le couloir du premier, j’appréhende que quelqu’un sorte d’un appartement…

Il me fait redescendre et je sens au son de sa voix qu’il a maintenant une idée sadique.
Revenu au rez-de-chaussée nous retournons dans la salle d’attente dont il laisse la porte grande ouverte sur le couloir.
Il me fait à nouveau marcher devant lui, de la vaste salle d’attente à son bureau ouvert. Démarche forcée de putain, il me donne des ordres obscènes.
« Remonte ta jupe… Plus haut, jusqu’à la taille… Baisse ta petite culotte. Ah ! Magnifique ta petite chatte rasée, tu as une superbe chatte, elle est bien mieux comme ça, petite et bien renflée… Hummmm !.... Tourne-toi ! Laisse ta petite culotte baissée sous tes fesses… Marche comme ça… »
Le spectacle de mon exhibition contrainte commence à lui monter à la tête. Il s’approche de moi et me pelote les fesses, les cuisses, la chatte. Il entreprend de déboutonner mon corsage et s’occupe aussi de mes seins. Il me prend dans ses bras et me roule une pelle avec la langue. Là aussi il sait bien faire, sa langue est agile et douce sans répit… Je m’abandonne. Il le sent. Il se comporte là, quelques instants, comme un amant normal, tendre et efficace dans les caresses. Il me remet ma petite culotte et entreprend de me manipuler vigoureusement ma petite chatte lisse, d’abord main dans la culotte puis par-dessus la culotte, probablement pour s’amuser à m’humilier en me faisant inonder ma petite culotte... En même temps il en profite pour m’enlever mon corsage. Je suis debout dans la salle d’attente dont la porte extérieure est restée (exprès ?) grande ouverte sur le couloir, je n’ose rien dire. Il ‘enlève aussi ma jupe qui pourtant, complètement relevée et roulée à la taille ne cachait plus rien…Son travail intensif sur ma chatte commence à me faire monter vers la jouissance… J’entends le clapotis de ses doigts quand il a la main dans ma culotte… Il insiste tellement aussi par-dessus la culotte que je sens maintenant que, comme ma chatte et mes cuisses, ma petite culotte est complètement trempée…

Il met ses doigts dans ma chatte, les fait tourner longuement, les ressort trempés et me les met dans la bouche pour que je les suce, j’obéis et lèche ma mouille sur ses doigts…

Il renouvelle son manège à plusieurs reprises, faisant aller ses doigts de ma chatte à ma bouche.

Puis il m’introduit deux doigts dans le cul, pas très profond, c’est du pur délice… Il fait de très agréables va et vient dans mon cul. Il fait tournoyer adroitement ses doigts pour m’écarter le petit trou. J’ouvre les cuisses au maximum pour lui faciliter la tâche et je roule du cul pour accompagner et inciter ses doigts tyranniques qui me font tant de bien.

D’une main il prend possession de ma chatte, de l’autre de mon cul. Je perds quasiment conscience tellement c’est bon !

Il s’applique à ne m’enfoncer ses doigts dans le cul que de quelques centimètres, je me régale de cette double pénétration savante par ses doigts voraces et exigeants. Il enlève ses doigts de mon cul et me les donne impérativement aussi à lécher. Je m’y soumets d’autant plus facilement que le plaisir me fait perdre la tête. Il recommence et me renfonce des doigts dans le cul (toujours que de quelques centimètres), et me les remet ensuite dans la bouche. S’ensuivent des séries de manipulations à un rythme forcené où ses doigts virevoltent de ma chatte à ma bouche et de mon cul à ma bouche. Je les lèche, les suce et les enduit de salive pour qu’ils glissent encore mieux dans mes orifices échauffés et ouverts…

Je suis maintenant d’autant plus excitée qu’il ponctue sa manœuvre de commentaires :
« Tiens salope, bouffe mes doigts, ils sont trempés de ta mouille, c’est bon, hein ?…. Allez applique toi, c’est bien, lèche les à fond, bouffe les !… »

J’écarte au maximum mes cuisses et j’accompagne les mouvements de sa main par des roulements obscènes des hanches pour lui faciliter ses pénétrations brutales et ’encourager à continuer ce jeu pervers qui m’excite tant et ses doigts qui me font tant de bien ! …

Puis il arrête le travail intensif de ses doigts et se contente de maintenir mon excitation en chatouillant légèrement mon clito avec un doigt.
Je suis frustrée, je halète, je veux jouir … J’ai oublié ma situation de femme impudique dans la salle d’attente dont la porte d’entrée est grande ouverte sur le couloir !
« Enlève ta petite culotte et donne la moi… »
J’obéis.
« Regarde, elle est trempée… »
Il me la montre, retournée.
Il la renifle.
« Hummmm ! ça sent bon ! »
Il passe sa langue sur ma petite culotte inondée.
« Toi aussi, lèche ! »
Je passe ma langue sur l’entrecuisse de ma petite culotte mouillée qu’il me tend.
Il se met à me rouler une pelle pour que nous partagions les arômes de mes plaisirs. Il m’enfonce ma petite culotte dans ma bouche et me roule des pelles où ma petite culotte, maintenant petite boule de satin détrempé, come un gros chewing gum passe d’une bouche à l’autre par la virtuosité diabolique de nos langues emmêlées.

Il cesse le jeu, et dans ma tenue plus qu’impudique me renvoie marcher déambuler en péripatéticienne. Pas de problème, je suis très excitée et je ne réfléchis plus, seul mon plaisir sexuel compte…
Il me refait marcher devant lui mais le jeu est scabreux car je ne suis plus vêtue que de mon porte-jarretelles, mas bas, mes hauts talons et mon soutien-gorge seins nus, de plus j’ai la chatte épilée !
Il a mon corsage transparent et ma jupe dans la main…
Il me fait retourner dans le couloir comme ça pour de longues minutes d’exhibition obscène dirigée à distance car lui reste dans la salle d’attente. On dirait qu’il aimerait que quelqu’un arrive et me surprenne…

Il finit par m’ordonner de rentrer dans la salle d’attente, ferme la porte derrière moi (ouf !) et me félicite pour mes formes, ma tenue et ma docilité.

« Tu es sur la bonne voie. Continue comme ça, et tu vas voir, tout va vite s’arranger. »

Malgré l’humiliation de ma tenue imposée je me sens alors un peu euphorique. En plus, j’ai été à deux doigts (!!!...) de jouir.

Il me fait assoir en face de lui de l’autre côté du bureau.

Machinalement, honteuse de la tenue qu’il m’impose je croise les jambes pour camoufler ma chatte lisse et croise aussi mes bras pour cacher ma poitrine exhibée et gonflée par le soutien-gorge seins nus.

Il me sermonne aussitôt.

« Enlève tes bras qu’on voie bien tes seins. Dis donc t’as tort de les cacher car on voit qu’ils attendent autre chose. Ils sont gonflés et tendus, tes pointes sont énormes et saillantes… Ça, ça ne trompe pas ! »

« Et tu dois apprendre que, quand tu es en face de moi, quelle que soit ta tenue, tu dois avoir les cuisses ouvertes. »

J’obtempère, après avoir enlevé mes bras de devant ma poitrine et je décroise mes jambes.

« J’ai dit : les cuisses ouvertes. Alors écarte tes cuisses comme il faut ! »

Mortifiée de honte, j’ouvre mes cuisses largement.

« Oui, c’est au minimum comme ça, mais là pour t’apprendre je veux que tu ouvres tes cuisses au maximum. Mets tes fesses au bord de la chaise, appuie ton dos sur le dossier et écarte tes cuisses au maximum, mets toi sur la pointe des pieds, ça va t’aider. »

Je me sens ridicule et obscène, les cuisses écartées au maximum, la chatte lisse, sans culotte, face à un vieux pervers à qui ça va inévitablement donner encore des idées sadiques.

« Tu es très excitante comme ça. Tu as une petite chatte magnifique. Dans cette position là, elle est bien écartée. Mais dis donc, tu mouilles encore !... Et bien décidément… »

« Tu prends la pilule, c’est ça ?... Laquelle ? »

Je lui réponds.

« Bien, celle là est faiblement dosée. Et bien, pour une fois, ce mois là tu n’arrêteras pas ta pilule pour qu’on ait le temps de se revoir deux fois avant que je prenne la décision pour nos petites affaires d’argent… Tu sais je crois que je vais te proposer un contrat, un contrat donnant-donnant. Tu sais ce que c’est qu’un contrat d’esclave sexuelle ? T’as dû déjà entendre parler de ça ?... »

Les cuisses écartelées, la chatte épilée, face à lui, horrifiée, je lui réponds que non.

« Tu verras, c’est pratique, tout est prévu, tes obligations, ton dressage, tes punitions, tes tenues, tes attitudes, ce que tu dois subir, ce que tu dois faire, et ne pas faire... Comme ça chacun sait où il va… C’est très bien, je t’en reparlerai… Je suis content, ça avance notre truc ! … Mais dis donc, ça me fait penser, tu m’as désobéi tout à l’heure…»

Je suis inquiète. Il se lève. Je n’ose pas bouger, cuisses écartelées. Il m’observe sadiquement quelques instants puis me fait me relever.

« Mets-toi debout ici ! Mets tes mains derrière la tête. Reste comme ça, je reviens.»

Il part dans la salle d’examen qui est derrière moi et revient se placer derrière moi.

« Tiens, pour avoir désobéi !»

Un coup de martinet me cingle les fesses, je ne peux m’empêcher de crier un « Aïe » de surprise, de douleur, et, surtout de révolte rentrée. Je suis à la limite de me rebiffer mais je pense à mes problèmes d’argent et me résigne à subir.

Ce premier coup de martinet assez fort était sans doute pour me tester.

Silence.

« Ecarte tes cuisses et cambre ton cul. »

J’obéis en ouvrant mes cuisses et en cambrant mon cul au maximum.

Il émet un « Hummmmm ! » admiratif…

Aussitôt une avalanche de coups de martinet arrive sur mes fesses, coups bien moins appuyés que le premier. Il dose admirablement ses coups et ses cibles.
Ça me chauffe les fesses. Pas vraiment désagréable. Honnêtement, je commence à aimer. Mon corps parle pour moi et je ne peux m’empêcher de tendre encore plus mon cul vers la punition. Instinctivement je roule du cul.

C’est plus fort que moi, je ne peux m’empêcher de gémir. Gémissements de plaisirs et de douleurs qu’il sait parfaitement interpréter et il adoucit ou accentue ses coups de martinet en conséquence. Il s’acharne sur mes fesses mais vise aussi un peu le haut de mes cuisses ainsi que le bas de mon dos.

« Tiens salope, ça t’apprendra à désobéir… Allez tend ton cul encore mieux que ça, oui, c’est ça !... Oui, oui, continue, roule bien du cul !… Ah c’est bien ça !... Tiens ! Tiens ! Et tiens salope, putain !!… »

Il vient face à moi. Je vois son petit martinet en cuir qui a de nombreuses lanières rondes avec un manche court.

Il caresse mes seins, mes tétons, ma chatte avec les lanières. J’en tremble d’excitation et gémis un peu pour lui faire comprendre que je lui suis maintenant entièrement soumise et que j’attends avec gourmandise la suite de la punition.

« Dis donc ça te fait de l’effet. Tu vois, je ne m’étais pas trompé, tu es faite pour ça … Je vais t’apprendre plein de trucs, tu vas en jouir, tu vas voir… »

Avec dextérité, il s’applique à me donner des petits coups de martinet sur la poitrine. Il ne m’a rien demandé, mais je cambre ma poitrine au maximum. C’est moins excitant que sur les fesses, et c’est limite supportable.

« Ecarte plus les cuisses »

J’obéis, me doutant que ma petite chatte va, elle aussi, « déguster ».

Même avec des coups très modérés, là c’est moins plaisant. Je me pince les lèvres et, ayant retenu la leçon, je lui dis qu’il me fait mal mais sans lui demander d’arrêter et, surtout sans refermer les cuisses.

« Tu as mal, salope ? »
« Oui, Monsieur, ça fait très mal sur la chatte »
« Bon, alors plus que trois coups sur ta chatte et je vais me venger sur ton cul… Tu préfères, hein ?... Réponds ! »
« Oui, Monsieur »
« Tu préfères quoi ?... Réponds ! »
« Je préfère sur mes fesses, Monsieur. »
« Bien, alors demande moi, allez, sinon c’est ta chatte qui va recevoir »
« Vous pouvez me frapper les fesses au martinet… »
« Bah oui, je le sais, je sais que je peux tout te faire, tu m’entends, tout, tout, tout… Alors demande moi de te donner le martinet sur le cul, allez demande moi, dépêche toi… »
« Donnez-moi le martinet sur les fesses s’il vous plaît »
« Non, on ne dit pas les fesses, on dit le cul, tu as un cul de salope, tu comprends, alors redis le comme il faut, vite ! »
Il me met deux coups de martinet bien appuyés et douloureux sur la chatte pour me motiver.
« Aï ! Aïe… Ah non, non… Monsieur, s’il vous plaît, mettez moi des coups de martinet sur mon cul de salope. »
Il est satisfait et repasse derrière moi pour punir à nouveau mes fesses cuisantes.

C’est un artiste dans son genre, car, dès qu’il recommence à me frapper le cul au martinet, mon excitation reprend de plus belle. Il commence tout doucement, trop doucement pour moi et monte très progressivement en intensité. Je ne voudrais pas lui montrer mon trouble et mon plaisir, mais à nouveau mes hanches bougent et tendent mon cul. Ma bouche émet des soupirs de satisfaction. Il tape de plus en plus fort, et alors que je suis en extase il arrête.

« Ce petit martinet est bien adapté à ton apprentissage n’est ce pas ?… Je t’en ferai connaître d’autres, plus cruels… Je te ferai aimer… »

Oui, vraiment, j’ai honte, j’ai eu de plaisir…

« Bon, allez, maintenant, viens sur la table d’examen… »

Je vais spontanément dans la salle d’auscultation et je m’allonge sur le dos sur la table d’examen.

« Tss tsss, non, non, assise.»

Il me guide à me rassoir en travers de la table d’examen, et me fait mettre les mains derrière la tête. Comme la fois d’avant, il passe derrière et empoigne mes seins.

« Ils sont gonflés ! » remarque-t-il.

C’est de sa faute puisqu’il m’a fait mettre un soutien-gorge seins nus qui les remonte et les enserre en les faisant ballonner.

Manifestement il apprécie car il les pétrit longuement avant de s’attaquer aux pointes qu’il torture entre ses doigts tantôt avec précaution et délicatesse, tantôt sans ménagement. Il les triture, les pince, les roule entre ses doigts acharnés, les étire…

Je ne tiens plus et je gémis tantôt de plaisir tantôt de douleur pendant qu’il tourmente mes pauvres seins si sensibles.

« T’aimes ça hein ?... Comme tout ton corps, tes seins sont faits pour ça… Pour être torturés… Quand on te les pelote doucement, ça doit rien te faire, hein ?... Alors que là, tu décolles, hein ?... Surtout que j’y vais pas de main morte, je te le garantis… Tes pointes sont turgescentes. Elles sont devenues énormes, longues et toutes dures… »

Il se lève et va fouiller dans sa petite valise. Je garde la pose, assise, cambrée, mains derrière la tête…

Il passe derrière moi et me pose des pinces aux pointes de seins. Des larges et lourdes pinces noires en plastiques avec des cylindres longs au bout. Hum, l’effet est fulgurant et je ne peux m’empêcher de le manifester par des profonds soupirs en geignant. Ma poitrine se cambre toute seule au maximum au devant de ce nouveau supplice. Jouissif.

Il ne s’occupe plus de ma poitrine, dont les tétons sont livrés aux lourdes pinces, il revient devant, me passe une main entre les cuisses. Je vais au devant de son désir et j’écarte encore plus grand les cuisses pour l’inciter, lui faciliter l’accès et lui exprimer ma soumission. Du coup, il vient à genoux devant moi et me lèche la chatte. D’abord doucement, les lèvres, le clito. Puis sa bouche gourmande s’attaque à mon clito d’abord dégagée de son capuchon par sa langue, puis aspiré entre ses lèvres. Sa langue vient aussi s’introduire dans ma chatte. Je confirme, c’est un virtuose ! Il me fait « monter » puis, comme d’habitude, s’arrête avant que je ne jouisse…
La tête me tourne.
Il se relève et palpe méchamment mes globes de seins faisant remuer les pinces de mes tétons. Je sens que, pour la première fois de ma vie, je vais jouir par les seins… A nouveau il arrête :
« Bouge tes seins comme les danseuses brésiliennes, allez remue tes nichons, vas-y.»
Je lui obéis et je remue ma poitrine cambrée dans tout les sens. Les lourdes pinces lestées valsent dans tout les sens me tiraillant les pointes. C’est vraiment très bon. C’est lui qui me fait arrêter !

« Et, tu n’as pas tout vu, maintenant l’apothéose ! »

Il enclenche quelque chose sur les cylindres longs des pinces. Les pinces se mettent à vibrer !!! Chaque petit cylindre contient une petite pile et ces grosses pinces sont vibrantes ! Je suis envoûtée par la jouissance perverse que me procurent ces pinces vibrantes et je ne peux le lui cacher !!!

Evidemment il les arrête et me les ôte. Je ne comprends plus rien. Je suis déstabilisée, désorientée, je ne sais plus où je suis ni ce que je suis en train de faire là !

« Mets-toi debout ! »

Franchement, à ce stade là, il peut me donner n’importe quel ordre, j’obéirai !

« Allez, debout, mains sur la tête, cuisses ouvertes, dépêche toi… »

Décidément il aime me faire prendre cette posture pour s’occuper sadiquement de moi.

Je prends la pose au milieu de la salle d’examen. Sa fameuse valise miracle est derrière moi, je l’entends fouiller dedans. Il revient et s’accroupit entre mes jambes. Je sens qu’il m’introduit facilement quelque chose dans la chatte. C’est quand même un peu gros car je sens qu’il pousse pour me l’introduire. En tout les cas c’est très agréable, je me sens bien remplie. Je sens qu’il me met des pinces aux lèvres de la chatte, et, délicatement, une autre pince sur le capuchon du clito. Apparemment ces pinces sont lourdes car je perçois les lèvres de ma chatte étirées et mon clito agacé. Toute cette combinaison d’accessoires sexuels commence à me faire du bien.

Il se remet debout et me remet les mêmes pinces aux pointes de seins. Je ne peux m’empêcher de soupirer et d’esquisser un petit sourire de délectation. Ce qui ne lui a pas échappé :

« T’es vraiment une salope ! »

Puis :

« ‘Enlève tes mais de derrière la tête, allez, marche en roulant du cul comme tout à l’heure. Fais la pute, vas-y !...»

J’ai le temps de réaliser qu’il m’a mis des boules de geishas dans la chatte. Plus les mêmes lourdes pinces vibrantes aux lèvres de la chatte, au clito et aux tétons mais sans les activer. Je n’avais jamais eu de boules de geishas dans la chatte. Je marche en serrant les cuisses de peur qu’elles ne ressortent. Je fais de mon mieux pour rouler du cul comme il me l’ordonne. De moi-même, je parcours la salle d’examen, le bureau, je retourne dans la salle d’attente en oubliant qu’il pourrait ouvrir la porte car là, actuellement, ça n’a plus d’importance puisque je suis son jouet sexuel !

Je savoure tout ses frissons de plaisir extraordinaires qui remontent de l’intérieur de ma chatte, des lèvres de ma chatte, de mon clito, de mes pointes de seins, et je dois reconnaître que ma situation de soumise sexuelle humiliée renforce encore mon plaisir obscène.

Il me fait signe de revenir dans la salle d’examen.

« Penche-toi en avant. Tends moi bien ton cul, ça tu sais bien le faire, hein ?... »

Je pense qu’il va me mettre des doigts dans le cul et ça m’excite. Je sens qu’il essaie de me rentrer un objet dans le cul. Il force d’une main et me tient à la taille de l’autre pour ne pas que je bouge. La sensation est limite désagréable. Il est patient et doux mais persévérant. Un certain plaisir accompagne l’introduction difficile. Il arrête assez vite et je sens qu’il m’a mis quelque chose dans le cul. Quelque chose d’un bon diamètre mais pas profond. Il se recule et contemple son œuvre !

« Là c’est parfait ! T’es bien prise de partout, bien remplie, tu le sens bien, hein, salope ? »

Je ne tiens plus sur mes jambes tellement c’est bon. Mon corps supplicié n’est plus que plaisir. Des spasmes me parcourent de partout.

« Allez marche, pour voir… »

Je réalise alors qu’il m’a mis dans le cul ce qu’on appelle un plug. Un truc court en caoutchouc qui reste planté dans le cul et avec une petite barre au bout pour pouvoir le sortir. Ce plug là est muni d’une queue de cheval. Je pense à une décoration, mais c’est plutôt une humiliation de plus. Ça me fait drôle de sentir cette queue de cheval pendre entre mes cuisses. Je frise la crise d’hystérie sexuelle. Je me mets à marcher en pute dans toutes les pièces en remuant du cul et poitrine cambré…Il ne m’a rien demandé mais je sors ma langue et la passe sur mes lèvres comme j’ai vu faire les putes à la télé…

Il m’arrête et me fait prendre la pose au milieu de la salle d’examen. Cuisses ouvertes, mains sur la tête.

« T’as pas intérêt à bouger… Compris ? »

Il s’agenouille entre mes cuisses et actionne un truc sur le cordon qui sort de ma chatte et qui est relié aux boules de geishas. Aaaaaah ! Ce sont des boules vibrantes !... Il actionne aussi les pinces vibrantes des lèvres de ma chatte et du capuchon de mon clito. Prestement il se relève et actionne aussi les pinces vibrantes de mes pointes de seins. C’est l’apothéose, le bouquet du feu d’artifice, ça fait mal et c’est bon en même temps, je ne sais quelle sensation domine ! Tous mes organes sexuels frémissent de plaisir au rythme des boules et des cinq pinces vibrantes, ma chatte et mon cul sont remplis et ça aussi je le sens !!!

Comme le plaisir prend le dessus sur la douleur, je sens que je vais finir par jouir, là immobile, sans rien faire.

En expert, le toubib a tout prévu, il a pris un martinet en caoutchouc à nombreuses longues lanières rondes et il commence à me fouetter les fesses comme un pompier qui voudrait éteindre un incendie. Je crie et me contorsionne sans quitter ma position debout, cuisses ouvertes, mains sur la tête !

Il dose avec précision ses coups, la force et la cible pour ralentir la montée de mon orgasme. Ce sera comme et quand il le voudra.

Ses coups sont vraiment très appuyés sur mes fesses et mes cuisses. Quand il voit qu’il m’a fait un peu trop mal, il attend quelques dizaines de secondes et constatant la remontée de ma jouissance, il se remet à me martyriser au martinet.

Il éructe :

« Quelle belle salope tu es ! Oui tu es magnifique dans le plaisir !... T’aimes ça hein ?... »

Quelques coups de martinet plus forts sur mon cul ponctuent sa question.

« Allez réponds salope ! »

Dans un état second, je lui donne tout ce qu’il veut :

« Ah oui, j’aime ça, c’est bon ! »

Lui :
« Dis le que t’es une salope qui aime venir chez le toubib se faire fouetter ! »

Moi :
« Oui, je suis une salope qui vient se faire punir chez le médecin !... »
«… et j’aime ça !... »
Ça il ne me l’avait pas demandé !

Lui :
« Tu vas venir souvent te faire dresser, hein ?... dis le !... »

Moi :
« Oui, je vais revenir souvent, quand vous voudrez, pour que vous me dressiez, pour que vous me punissiez car je suis une salope ! »

Lui :
« Tu vas être mon esclave sexuelle, ma pute, oui je vais faire de toi une authentique putain, hein ,…. Dis-le ! »

Moi, ne me rendant plus compte de ce que je disais, hypnotisée par mon bourreau qui m’emmène vers des jouissances ahurissantes :
« Ah oui, oui, je suis une salope ! Tout, oui, tout, je vais faire tout ce que vous voudrez !... Oui je serai pute si vous me l’ordonnez !... Aaaaaaaah oui !... Une salope…. Une pute ! »

Un orgasme fulgurant me cueille. Malgré les (ou grâce aux) coups de martinet redoublés. En criant ces paroles abominables je jouis. Mais alors je jouis comme je n’avais jamais connu !!!
Je suis une femme fontaine en général, mais là, peut-être à cause des boules de geishas vibrantes que je secoue à coups de rein et de ma position debout écartelée, je lâche des grands jets de jouissance et de pipi…
Dans le torrent de jouissance, je ne peux rien maîtriser…
L’orgasme fulgurant dure longtemps, longtemps…
Il en profite pour me fouetter par derrière entre mes cuisses écartées et touche ma chatte. Même pas mal !... Surexcité lui aussi, il se déchaîne au martinet et me cingle le cul de toutes ses forces, tout en m’insultant, pendant que j’éclate en jouissance !!!

Il est très attentif et diminue l’intensité de ses coups de martinet au fur et à mesure que je redescends sur terre.

Toujours probablement pour me frustrer, il vient aussitôt m’enlever les pinces vibrantes que j’aurai pourtant bien gardé encore ! Il me sort sans difficulté les boules de geishas de la chatte. Elles son trempées, et, inévitablement il me les donne à lécher. Je les nettoie consciencieusement de ma langue…

Il m’enlève le plug, c’est un peu désagréable. Il me le fait nettoyer à la langue aussi. Comme ses doigts avant, le plug n’était pas enfoncé très profond et il n’était souillé que de mouille.

Mes cuisses sont trempées mes bas sont à tordre. Par terre, sous moi, une grande flaque sur le carrelage !

Je me regarde dans la glace, mes tétons, après ce qu’ils ont subis, sont d’une longueur démesurée, énormes et bruns foncés, j’ai des stries du martinet sur les seins, sur le pubis et sur la chatte qui est rouge foncée. Je me contorsionne pour apercevoir mon cul, rouge foncé, violet et marron, barré de marques de martinet tout comme le haut de mes cuisses. Il regarde et approuve d’un hochement de tête :
« Sublime ! »

Je suis prête à continuer et j’en ai même envie, je sens que je pourrais encore jouir plusieurs fois divinement …

Lui :
« Il est tard. C’est fini pour aujourd’hui. »

Il est 18h 30 !... ça fait deux heures que ça dure. Je n’ai pas vu le temps passer !

Je lui demande pourquoi lui n’a pas pris de plaisir.

« Mais si j’en prends avec toi du plaisir, plaisir subtil, et, plus tard, tu verras… »

Je cherche du Sopalin pour m’essuyer.

« Non, non, tu ne te t’essuies pas… Et tu gardes tes bas mouillés. Je veux que tu repartes dans les manifestations humides de ta jouissance. D’ailleurs à propos de mon plaisir, je vais te redonner la lingerie que je t’ai confisqué la semaine dernière. »

Il sort de sa valise, chiffonnés, mon string et mon soutien-gorge de la semaine dernière et il prend ma petite culotte en satin d’aujourd’hui pour la mettre dans un tiroir.
« Echange ! »

Je reprends ma lingerie Aubade de la semaine dernière et je m’aperçois que le tissus, en boule, est collé par des traces blanchâtres suspectes. Je devine ce qu’il a fait avec ma lingerie.

Je les remets dans mon sac à main sans rien dire.

Je remets mon corsage transparent et ma mini-jupe lycra. Sans petite culotte !

Cette fois ci je suis prête à repartir. Il m’annonce :

« Bon, donc on dit pareil semaine prochaine, jeudi, même heure, 16h30… C’est bien compris ?... On finira plus tard. Bien plus tard…»

Ce n’est pas possible, il fait tout pour m’inquiéter et me déstabiliser…

« Oui, Monsieur, au revoir… A jeudi…»

«Attends, attends, je ne t’ai pas encore donné mes directives. Tu seras lisse de frais, d’accord ? »

« Oui, Monsieur, je m’épile à la crème dépilatoire, je le ferai juste avant de venir. »

« Parfait. Pour la tenue il te faut le change. Ta lingerie est super mais il t’en faudra d’autres. De toutes sortes. Bon, alors, tu vas t’acheter une guêpière seins nus noire, non en fait rouge et noire ça fait plus sexe. Et là tu n’y coupes pas, il te faut une petite culotte fendue noire. Un chemisier noir transparent, aussi transparent que ton blanc d’aujourd’hui… Hummmm !.... ta jupe noire là, ça ira. Compris ?... Tu sais bien maintenant que notre accord ne dépend plus que de toi, de ta bonne volonté, tu vois ce que je veux dire ?»

« Oui, Monsieur…. Au revoir Monsieur…. A jeudi prochain Monsieur… »

Retour à la maison… La suite… Tu connais…

Bilan : J’ai espoir maintenant que ça s’arrange. Je suis complètement rentrée dans son jeu et je l’ai vu, à la fin perdre pied complètement surexcité. Il apprécie ce que je lui laisse prendre de moi. On doit se faire un accord (un contrat ?) dans deux semaines. C’est un vieux salaud vicelard mais, parait-il, il est correct et réglo quand il s’engage. J’ai quand même peur de ses futures exigences. Très peur.
Avatar de l’utilisateur
par sergio
#619
Très, très bons textes. Excitants à souhaits. Je viens de me faire les deux d'un coup et je suis presque deçus qu'il n'y en ai pas un troisieme tout de suite.
Ta femme m'a l'air bien partie dans la negociation. Et elle s'est s'habiller.
Vivement la suite. ;)
Avatar de l’utilisateur
par AmantAtrois
#3802
Ta femme est tombée sur un vrai dominateur...
C'est rare... Il n'a pas abusé d'elle après deux séances...
Elle a dû passé d'excellents moments...
par histoireslib
#4068
Merci pour ces textes très bien écrits et très bandants. Va-t-il l'amener à faire la pute ? On a hâte de le savoir !

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