- 14 sept. 2009, 15:55
#486
Le téléphone sonne, Stéphane quitte les bras de Nelly, se lève du divan et décroche.
- Bonjour cher ami, vous me reconnaissez ?
- Heu oui, c’est Maître Perrin je pense ;
- Exact mon brave, j’ai un service à vous demander, enfin plus particulièrement à votre chère épouse, puis-je lui parler ?
- Bien sûr, elle arrive.
- Allo ?
- Nelly, comment allez-vous depuis notre dernière entrevue, remarquable par ailleurs ?
- Bien, merci, c’est pourquoi ? je pense avoir acquitté notre dette, y a-t-il autre chose ?
- Oui ma chère, j’ai un service à vous demander, c’est délicat mais je suis certain que vous serez à la hauteur.
- Dites moi ;
- Voilà, je n’ai pas d’enfants mais ma sœur a un fils unique, il s’appelle Cyrille, il a 18 ans, je suis son parrain et le pauvre il est encore vierge. Pourriez vous l’aider à quitter son statut de puceau, je vous rétribuerai comme il ce doit bien entendu. 2000 € sera mon offre, vous êtes prenante ?
Nelly fût interloquée par cette demande et se retourna vers Stéphane pour lui faire part du message de l’huissier.
Etonné mais manifestant un certain contentement, Stéphane lui demanda d’accepter, la somme en valait la peine et ferait du bien au ménage qui était un peu sur le tranchant de la lame actuellement.
- Maître Perrin, vous êtes toujours là ?
- Oui ma chère, j’attends votre décision avec impatience.
- Et bien c’est d’accord, quand est envisagé ce dépucelage ?
- Mon neveu vient chez moi le week-end prochain, disons samedi soir, je vous invite vous et votre mari à venir dîner à la maison, vous connaissez l’adresse très chère ?
- Bien sûr il y a des endroits et des choses que l’on n’oublie pas de si vite. A samedi soir maître.
Elle raccrocha.
Samedi 14 mars 2009, 18h.
Nelly sort de la salle de bain, elle est ravissante, habillée d’une mini jupe, de bas autoportants, d’un chemisier vaporeux laissant entrevoir son soutien noir. Elle est maquillée parfaitement, le rouge de ses lèvres les rend pulpeuses et ses yeux sont mis en valeur par le mascara qu’elle a appliqué sur ses longs cils.
- je suis prête, on y va ?
- moi aussi je suis ok, on peut y aller ma belle, qu’est-ce que tu sens bon, le jeune ne va pas tenir la longueur avec une telle biche devant lui !!!
Parfaitement à l’heure prévue, Stéphane sonne à la lourde porte de la demeure de l’huissier et sans attendre, un majordome vient ouvrir, il les invite à entrer et les conduit vers le salon.
Quelques minutes plus tard, la porte arrière du salon s’ouvre et l’huissier fait son entrée, suivi de son neveu. Celui-ci est maigre, longiligne, une tignasse peu soignée et un visage boutonneux comme bien des ados de son âge. Il a le regard penché vers le sol, ce qui trahi sa timidité de jeune introverti.
Maître Perrin fait les présentations et invite tous les convives à s’asseoir pour prendre l’apéritif. Le champagne frais est servi par le majordome et la conversation fuse tout azimuts, en évitant bien entendu d’aborder le sujet tabou qui est le sexe.
Nelly, assise en face du jeune Cyrille effectue un jeu de séduction en croisant et décroisant sans cesse ses magnifiques jambes, ce qui attira bien entendu le regard baissé du jeune homme qui piqua un fard difficilement masqué.
Le majordome invita les quatre personnes à passer à table. Le repas était royal, le vin coulait à flot et Cyrille commençait doucement à se décoincer en tentant de distiller ça et là une petite blague qui déridait les convives. Il prenait confiance en lui et ne cessait de dévisager Nelly qui se prêtait au jeu.
Sous la table, elle vint caresser délicatement la jambe du jeune homme qui resta pantois mais n’osa pas bouger tant ce frôlement l’existait. Le pied de Nelly remontait lentement vers l’entrejambe de Cyrille et vint se poser sur sa braguette. Un renflement significatif montrait clairement que l’effet avait été immédiat. Les yeux de la jeune femme et du garçon se croisèrent un instant et un sourire furtif fût échangé entre les deux devenus complices désormais.
Maître Perrin pris la parole après avoir fait tinter le pied de son verre avec la lame d’un couteau.
Mon Cher Cyrille, tu viens d’avoir tes 18 ans, je suis ton parrain et je ne t’ai pas offert de cadeau à cet effet. Cela n’a pas eu l’air de te poser le moindre problème ou la moindre rancœur, j’apprécie ta discrétion. Toutefois, tu m’as confié il y a quelques mois que tu n’avais jamais eu de relations proche avec une femme.
Le jeune homme baissa la tête et se senti gêné par de telles déclarations faites devant des personnes qui il y a quelques minutes étaient des inconnus.
- Alors mon cher filleul, voici venir le moment du cadeau peu commun je te l’avoue.
- De quoi s’agit-il ? questionna le jeune homme un peu surpris.
- Que penses tu de la jeune dame qui se trouve devant toi, tu la trouves à ton goût ?
Cyrille senti sa gorge se serrer, avala sa salive avec difficulté et de sa bouche sorti une petit « oui, elle est très jolie ».
- Alors mon cher Cyrille, tu as devant toi ton cadeau d’anniversaire, cette jolie Nelly est chargée de te dépuceler et de s’offrir à toutes les envies qui sont les tiennes. Je t’invite à l’emmener dans la chambre rose du premier étage et surtout, profite bien de cette beauté, elle sait y faire.
Le jeune homme se leva, pris le bras de Nelly et l’invita à le suivre, ils prirent la direction de l’étage.
Cette situation excitait Stéphane et l’huissier le remarqua immédiatement.
- Vous êtes aussi curieux que moi au sujet de ce qui va ce passer cher ami ?
- Je ne peux rien vous cacher Maître, j’adore la voir se faire prendre par d’autres hommes, mais ici c’est un peu particulier, c’est elle qui va mener le jeu alors que d’habitude elle est l’objet sexuel soumise aux désirs de ses amants.
- J’ai une surprise aussi pour vous Stéphane, vous permettez que je vous appelle Stéphane ?
- Bien entendu, les choses sont ainsi plus simples.
- Vous pouvez également m’appeler par mon prénom, c’est Georges. Ma surprise, vous allez la découvrir de suite, suivez moi mais ne faites pas de bruit.
L’huissier précéda Stéphane qui lui emboîta le pas, ils se dirigèrent à l’étage, passèrent devant une première porte, Georges posa son index sur sa bouche et montra que c’était derrière cette porte que se trouvaient les amants. Ils progressèrent un peu plus loin et entrèrent dans une seconde chambre.
Deux fauteuils faisaient face au mur où un rideau en velours épais couvrait la tapisserie.
L’huissier invita Stéphane à s’asseoir dans l’un d’eux et pris place dans l’autre. Il saisi une commande à distance et l’activa. Le rideau glissa silencieusement laissant apparaître un très large miroir sans tain permettant de voir tout ce qui se passait dans la chambre voisine.
Stéphane était aux anges, il pouvait tout voir de la partie de jambes en l’air qui allait se passer dans la chambre voisine.
Le couple était debout devant le lit et s’embrassait fougueusement. Le gamin boutonneux semblait prendre peu à peu confiance et laissait ses mains se balader sur les hanches de Nelly. Celle-ci d’une main experte avait commencé à déboutonner la chemise de Cyrille et doucement caressait le torse maigre et glabre du jeune homme.
Elle s’agenouilla doucement devant le jeune homme, lui dégrafa la ceinture et descendit lentement le pantalon de long de ses cuisses. Elle embrassa tendrement le ventre, le nombril et frôla la bosse qui déformait le slip de Cyrille qui profitait de cette douce sensation en fermant les yeux.
Les mains de Nelly voyageaient avec précisions sur les fesses et les cuisses du jeune homme, la scène était très sensuelle et provoquait autant d’érections chez Georges et Stéphane qui ne perdaient pas une miette de ce langoureux spectacle.
La salope de Nelly savait y faire et mit tout son savoir pour dégager avec lenteur le sexe humide et tendu de son amant abandonné au plaisir nouveau.
La pine de Cyrille était mince et longue et pour son âge il avait de lourdes bourses qui devaient sans doute être remplie d’un jus abondant pensa Nelly. Elle se mit à lécher la hampe tendue vers son visage et lorsqu’elle arrivait au sommet, faisait tourner sa langue sur le bout du gland qu’elle avait à peine découvert et engouffrait jusqu’au fond de sa gorge le jeune pénis qui enfin découvrait la tâche qui entre autre est également la sienne : donner du plaisir et en prendre.
Après avoir bien excité son amant, Nelly se releva et invita le jeune homme à se coucher sur le lit non sans avoir auparavant enlevé le reste de ses vêtements.
A son tour, elle grimpa sur le lit et se plaça en position debout devant les pieds de Cyrille. Lentement elle entama un effeuillage langoureux. Le jeune homme avait les yeux exorbités lorsqu’elle fit glisser les bretelles de son soutien gorge le long de ses bras, découvrant ses petits seins dont les bouts saillants pointaient fièrement vers le haut.
Elle tourna le dos à Cyrille et lentement fit glisser son string tout en ondulant ses fesses rebondies. Se retournant à nouveau, elle offrait à la vue de son futur amant sa vulve gonflée et entièrement épilée. Elle mit son majeur en bouche, l’humecta et le promena sur son abricot qu’elle ouvrit avec une infinie précaution. Son doigts pénétrait lentement l’entrée de se sexe et en ressortait aussi doucement. A plusieurs reprises elle allait et venait ainsi, sans brusquer le mouvement et en ne quittant pas des yeux le jeune homme qui était figé devant ce spectacle nouveau pour lui.
Georges et Stéphane étaient en admiration devant ce spectacle dont ils étaient les voyeurs privilégiés et chacun d’entre eux aurait voulu vraiment être à la place du « petit ».
L’huissier déboucha une bouteille de champagne, servit deux verres et repris sa place rapidement tout en trinquant avec son complice.
Nelly s’était légèrement avancée et à hauteur du visage de Cyrille elle s’est arrêtée, droite comme un « I ». Puis, lentement elle a entamé une manœuvre de descente lente, a posé ses genoux de part et d’autre de la tête de son compagnon, s’est appuyée sur les mains et a doucement plaqué son sexe sur les lèvres du jeune homme qui d’instinct a embrassé le sexe humide qui le dominait. Sa langue s’est mise à fouiller maladroitement le joyau qu’il découvrait pour la première fois de sa vie.
Pour guider avec précision les gestes de son amant, Nelly s’est mise à onduler des fesses et d’exercer les pressions là où il fallait, faisant comprendre ainsi à Cyrille les zones qui étaient les plus intéressantes à explorer.
Les mains du jeune homme se mirent timidement à parcourir le corps de sa compagne et fébrilement il caressa les seins avec beaucoup de légèreté. Nelly lui saisi les mains et les plaqua fermement sur ses nichons lui glissant les bouts entre les pouces et index afin qu’il presse plus énergiquement ces petits trésors. Elle était amusé par cette expérience et en prenait bien du plaisir. Ce jeune avait l’innocence de son âge, ce qui tranchait nettement avec ce qu’elle connaissait au quotidien, elle qui avait de multiples expériences avec des hommes d’âges murs et expérimentés. Elle appréciait cette candeur sans doute passagère.
Elle se redressa et recula sur le corps de Cyrille, jusqu’à ce que le sexe tendu du jeune homme se trouve dans l’axe du sien. Le regard du gamin était éclairé comme celui d’un enfant qui ouvre l’emballage de son cadeau de Noël, il ne cachait plus son envie d’enfin découvrir la chaleur brûlante de l’intérieur du corps d’une dame.
Elle passa lentement le gland de son amant sur son clitoris en feu, le fit circuler sur l’intérieur de ses petites lèvres et se laissa glisser tout le long du pieu du jeune homme qu’elle engloutit au fond de ses entrailles. Elle s’arrêta dès que l’engin fut totalement pénétré dans son intimité. Cyrille était tétanisé, figé, n’osant pas provoquer le moindre mouvement.
Les deux spectateurs de la chambre voisine étaient comme des supporters devant un match de football, attendant impatiemment qu’un coup d’éclat ne survienne, prêts à exploser de joie.
Nelly ne bougeait plus, elle laissait à son puceau le temps d’apprécier son passage vers le stade vraiment adulte, il souriait béatement, elle le regardait avec un regard attendri. Puis elle entama une lente remontée qui s’arrêtait juste à la hauteur du gland, redescendait ensuite jusqu’à la limite des couilles rétractées de son amant en l’absorbant millimètre par millimètre. Le gamin était en extase.
Ensuite elle accéléra le mouvement et pris appui sur les genoux de son amant, offrant ainsi à ses yeux ses seins tendus et l’entièreté de son corps parfait.
Derrière la vitre, Georges avait glissé une main dans son pantalon et se caressait la queue discrètement tandis que Stéphane ne quittait pas le spectacle des yeux, ne pensant même pas à boire son champagne qui se réchauffait lentement dans son verre.
Nelly avait changé sa position et s’était retournée. Elle livrait ses fesses à son jeune amant qui ne pu s’empêcher de les palper avec fermeté. De son propre chef, il saisi sa queue et dirigea lui-même son engin vers le sexe de Nelly. Il lui saisit les hanches et l’empala d’un coup sur son membre. Elle apprécia en poussant un petit cri de surprise.
Le jeune homme commença alors à s’activer et a défoncer la belle qui soudain se rendit compte du changement d’attitude de son petit baiseur.
Le petit salaud se permit même de claquer les fesses rebondies de Nelly et commençait à prendre un malin plaisir à devenir le dominant de la situation. Elle laissa faire, trouvant que cette mutation naturelle, certes rapide, était très intéressante.
Lui-même se dégagea de la position du moment et sèchement demanda à Nelly de se placer en dessous. Il lui écarta les cuisses et d’un coup la pénétra. Il s’en suivi une série de grands coups de boutoirs, il défonçait son initiatrice avec le talent d’un grand baiseur, lui qui n’avait jamais touché une fille auparavant.
Ses mains saisirent les seins de la belle et commencèrent à lui triturer sévèrement les bouts. Il glissa ses doigts dans la bouche de Nelly, l’obligeant à mimer une fellation. Ensuite il glissa ses doigts humides entre son sexe et celui de la belle et n’arrêtant pas ses mouvements, il masturba avec vigueur le clito de celle qui était passée du statut d’initiatrice à celui de proie.
Elle ne pu contrôler cette ardeur et, se mordillant les poignets, se mit à jouir une première fois. Elle ne se reconnaissait pas, d’habitude elle assure plus longtemps mais là, impossible de résister devant la fougue de Cyrille.
Nelly ne désira pas battre en retraite et d’emblée voulu sa revanche, elle qui était experte et lui qui était néophyte, il dominait la partie, les rôles étaient inversés.
- Pousse toi mon salaud, j’ai envie de changement. Tu es là pour apprendre alors allons au bout de la leçon.
Elle se mit à quatre pattes et demanda d’une voie directive :
- Vas-y, encule moi petit naïf…
Le gamin ne compris même pas l’ordre et d’un naturel inné, saisi sa bite et l’enfonça dans l’anus de Nelly. Il la pris par les fesses et la tira vers lui pour que cette chienne déguste jusqu’au bout de la limite de ce qu’il pouvait lui mettre. Elle hurla sur le coup mais bien vite cette cochonne se ressaisit et imprima elle-mêmCyrille l’agrippa par les cheveux, la releva presque à la verticale, lui saisit les seins qu’il malaxa furieusement.
Soudain, le jeune homme senti monter en lui une chaleur inhabituelle, rien à voir avec ses petites branlettes timides, une vraie tempête envahit son corps. Il se retira subitement et Nelly qui comprit le sens de ce message visuel se retourna rapidement, engouffra la pine de son jeune amant dans sa bouche et récolta des giclées de spermes qu’elle eu du mal à contenir.
La semence coulait le long de ses lèvres et glissait sur son menton et ses seins. Elle tentait de tout avaler mais l’abondance de la jouissance de Cyrille était telle que cela lui était impossible.
Georges qui avait pris également son pied en solo joui dans son pantalon, ce qui attira l’attention de Stéphane qui fit semblant de n’avoir rien vu.
Alors que Cyrille et Nelly s’étaient affalés dans les bras l’un de l’autre, les deux compères quittèrent la chambre voisine afin de regagner les premiers le salon du rez de chaussée.
Quelques minutes plus tard, les deux amants réapparurent dans la pièce, Nelly radieuse et Cyrille un peu gêné mais visiblement content de sa première expérience.
Il lança un regard reconnaissant vers son parrain et vint s’asseoir dans le large divan du salon.
Maître Perrin fit un signe de la tête vers Nelly par lequel il la gratifiait de sa reconnaissance, puis il prit la parole.
- Nelly, Stéphane, je vous remercie pour votre collaboration précieuse au cadeau d’anniversaire de Cyrille. Je pense qu’il n’oubliera jamais son 18ème anniversaire. Toutefois, j’ai une nouvelle moins amusante à vous annoncer.
- - Quoi encore, s’exclama Stéphane inquiet.
- Vous n’avez pas acquitté la somme de 4000 € qui vous était réclamée par le service des impôts et je suis à nouveau saisi d’une plainte à ce sujet et chargé de récupérer les montants dus.
Stéphane se prit la tête dans les mains et se mit à sangloter.
- Ca n’arrêtera jamais ces dettes, s’il vous plait Georges, Maître Perrin, aidez nous, nous avons fait tout ce que vous demandiez, s’il vous plait, nous devons nous en sortir au plus vite, cette situation est invivable.
- J’ai bien ma petite idée mon cher Stéphane, je vous contacterez dans les meilleurs délais et vous ferez part d’une nouvelle offre de régularisation. Vous avez le potentiel à votre portée pour relever un nouveau défi non ?
Stéphane tourna la tête vers sa femme, l’air interrogateur. Celle-ci ne dit rien, fit un signe léger de la tête en guise d’acquiescement.
- Bien Georges, nous attendons de vos nouvelles rapidement, nous en avons marre de notre situation, nous méritons mieux, appelez moi vite.
Maître Perrin se leva, accompagna les convives vers la porte de sortie, fit remettre les manteaux et remercia pour l’agréable soirée offerte à son filleul.
Nelly et Stéphane reprirent le chemin de la maison, sans dire un mot, chacun partagé par le plaisir de la soirée et de la triste nouvelle qu’ils venaient de recevoir en guise d’au revoir.
- Bonjour cher ami, vous me reconnaissez ?
- Heu oui, c’est Maître Perrin je pense ;
- Exact mon brave, j’ai un service à vous demander, enfin plus particulièrement à votre chère épouse, puis-je lui parler ?
- Bien sûr, elle arrive.
- Allo ?
- Nelly, comment allez-vous depuis notre dernière entrevue, remarquable par ailleurs ?
- Bien, merci, c’est pourquoi ? je pense avoir acquitté notre dette, y a-t-il autre chose ?
- Oui ma chère, j’ai un service à vous demander, c’est délicat mais je suis certain que vous serez à la hauteur.
- Dites moi ;
- Voilà, je n’ai pas d’enfants mais ma sœur a un fils unique, il s’appelle Cyrille, il a 18 ans, je suis son parrain et le pauvre il est encore vierge. Pourriez vous l’aider à quitter son statut de puceau, je vous rétribuerai comme il ce doit bien entendu. 2000 € sera mon offre, vous êtes prenante ?
Nelly fût interloquée par cette demande et se retourna vers Stéphane pour lui faire part du message de l’huissier.
Etonné mais manifestant un certain contentement, Stéphane lui demanda d’accepter, la somme en valait la peine et ferait du bien au ménage qui était un peu sur le tranchant de la lame actuellement.
- Maître Perrin, vous êtes toujours là ?
- Oui ma chère, j’attends votre décision avec impatience.
- Et bien c’est d’accord, quand est envisagé ce dépucelage ?
- Mon neveu vient chez moi le week-end prochain, disons samedi soir, je vous invite vous et votre mari à venir dîner à la maison, vous connaissez l’adresse très chère ?
- Bien sûr il y a des endroits et des choses que l’on n’oublie pas de si vite. A samedi soir maître.
Elle raccrocha.
Samedi 14 mars 2009, 18h.
Nelly sort de la salle de bain, elle est ravissante, habillée d’une mini jupe, de bas autoportants, d’un chemisier vaporeux laissant entrevoir son soutien noir. Elle est maquillée parfaitement, le rouge de ses lèvres les rend pulpeuses et ses yeux sont mis en valeur par le mascara qu’elle a appliqué sur ses longs cils.
- je suis prête, on y va ?
- moi aussi je suis ok, on peut y aller ma belle, qu’est-ce que tu sens bon, le jeune ne va pas tenir la longueur avec une telle biche devant lui !!!
Parfaitement à l’heure prévue, Stéphane sonne à la lourde porte de la demeure de l’huissier et sans attendre, un majordome vient ouvrir, il les invite à entrer et les conduit vers le salon.
Quelques minutes plus tard, la porte arrière du salon s’ouvre et l’huissier fait son entrée, suivi de son neveu. Celui-ci est maigre, longiligne, une tignasse peu soignée et un visage boutonneux comme bien des ados de son âge. Il a le regard penché vers le sol, ce qui trahi sa timidité de jeune introverti.
Maître Perrin fait les présentations et invite tous les convives à s’asseoir pour prendre l’apéritif. Le champagne frais est servi par le majordome et la conversation fuse tout azimuts, en évitant bien entendu d’aborder le sujet tabou qui est le sexe.
Nelly, assise en face du jeune Cyrille effectue un jeu de séduction en croisant et décroisant sans cesse ses magnifiques jambes, ce qui attira bien entendu le regard baissé du jeune homme qui piqua un fard difficilement masqué.
Le majordome invita les quatre personnes à passer à table. Le repas était royal, le vin coulait à flot et Cyrille commençait doucement à se décoincer en tentant de distiller ça et là une petite blague qui déridait les convives. Il prenait confiance en lui et ne cessait de dévisager Nelly qui se prêtait au jeu.
Sous la table, elle vint caresser délicatement la jambe du jeune homme qui resta pantois mais n’osa pas bouger tant ce frôlement l’existait. Le pied de Nelly remontait lentement vers l’entrejambe de Cyrille et vint se poser sur sa braguette. Un renflement significatif montrait clairement que l’effet avait été immédiat. Les yeux de la jeune femme et du garçon se croisèrent un instant et un sourire furtif fût échangé entre les deux devenus complices désormais.
Maître Perrin pris la parole après avoir fait tinter le pied de son verre avec la lame d’un couteau.
Mon Cher Cyrille, tu viens d’avoir tes 18 ans, je suis ton parrain et je ne t’ai pas offert de cadeau à cet effet. Cela n’a pas eu l’air de te poser le moindre problème ou la moindre rancœur, j’apprécie ta discrétion. Toutefois, tu m’as confié il y a quelques mois que tu n’avais jamais eu de relations proche avec une femme.
Le jeune homme baissa la tête et se senti gêné par de telles déclarations faites devant des personnes qui il y a quelques minutes étaient des inconnus.
- Alors mon cher filleul, voici venir le moment du cadeau peu commun je te l’avoue.
- De quoi s’agit-il ? questionna le jeune homme un peu surpris.
- Que penses tu de la jeune dame qui se trouve devant toi, tu la trouves à ton goût ?
Cyrille senti sa gorge se serrer, avala sa salive avec difficulté et de sa bouche sorti une petit « oui, elle est très jolie ».
- Alors mon cher Cyrille, tu as devant toi ton cadeau d’anniversaire, cette jolie Nelly est chargée de te dépuceler et de s’offrir à toutes les envies qui sont les tiennes. Je t’invite à l’emmener dans la chambre rose du premier étage et surtout, profite bien de cette beauté, elle sait y faire.
Le jeune homme se leva, pris le bras de Nelly et l’invita à le suivre, ils prirent la direction de l’étage.
Cette situation excitait Stéphane et l’huissier le remarqua immédiatement.
- Vous êtes aussi curieux que moi au sujet de ce qui va ce passer cher ami ?
- Je ne peux rien vous cacher Maître, j’adore la voir se faire prendre par d’autres hommes, mais ici c’est un peu particulier, c’est elle qui va mener le jeu alors que d’habitude elle est l’objet sexuel soumise aux désirs de ses amants.
- J’ai une surprise aussi pour vous Stéphane, vous permettez que je vous appelle Stéphane ?
- Bien entendu, les choses sont ainsi plus simples.
- Vous pouvez également m’appeler par mon prénom, c’est Georges. Ma surprise, vous allez la découvrir de suite, suivez moi mais ne faites pas de bruit.
L’huissier précéda Stéphane qui lui emboîta le pas, ils se dirigèrent à l’étage, passèrent devant une première porte, Georges posa son index sur sa bouche et montra que c’était derrière cette porte que se trouvaient les amants. Ils progressèrent un peu plus loin et entrèrent dans une seconde chambre.
Deux fauteuils faisaient face au mur où un rideau en velours épais couvrait la tapisserie.
L’huissier invita Stéphane à s’asseoir dans l’un d’eux et pris place dans l’autre. Il saisi une commande à distance et l’activa. Le rideau glissa silencieusement laissant apparaître un très large miroir sans tain permettant de voir tout ce qui se passait dans la chambre voisine.
Stéphane était aux anges, il pouvait tout voir de la partie de jambes en l’air qui allait se passer dans la chambre voisine.
Le couple était debout devant le lit et s’embrassait fougueusement. Le gamin boutonneux semblait prendre peu à peu confiance et laissait ses mains se balader sur les hanches de Nelly. Celle-ci d’une main experte avait commencé à déboutonner la chemise de Cyrille et doucement caressait le torse maigre et glabre du jeune homme.
Elle s’agenouilla doucement devant le jeune homme, lui dégrafa la ceinture et descendit lentement le pantalon de long de ses cuisses. Elle embrassa tendrement le ventre, le nombril et frôla la bosse qui déformait le slip de Cyrille qui profitait de cette douce sensation en fermant les yeux.
Les mains de Nelly voyageaient avec précisions sur les fesses et les cuisses du jeune homme, la scène était très sensuelle et provoquait autant d’érections chez Georges et Stéphane qui ne perdaient pas une miette de ce langoureux spectacle.
La salope de Nelly savait y faire et mit tout son savoir pour dégager avec lenteur le sexe humide et tendu de son amant abandonné au plaisir nouveau.
La pine de Cyrille était mince et longue et pour son âge il avait de lourdes bourses qui devaient sans doute être remplie d’un jus abondant pensa Nelly. Elle se mit à lécher la hampe tendue vers son visage et lorsqu’elle arrivait au sommet, faisait tourner sa langue sur le bout du gland qu’elle avait à peine découvert et engouffrait jusqu’au fond de sa gorge le jeune pénis qui enfin découvrait la tâche qui entre autre est également la sienne : donner du plaisir et en prendre.
Après avoir bien excité son amant, Nelly se releva et invita le jeune homme à se coucher sur le lit non sans avoir auparavant enlevé le reste de ses vêtements.
A son tour, elle grimpa sur le lit et se plaça en position debout devant les pieds de Cyrille. Lentement elle entama un effeuillage langoureux. Le jeune homme avait les yeux exorbités lorsqu’elle fit glisser les bretelles de son soutien gorge le long de ses bras, découvrant ses petits seins dont les bouts saillants pointaient fièrement vers le haut.
Elle tourna le dos à Cyrille et lentement fit glisser son string tout en ondulant ses fesses rebondies. Se retournant à nouveau, elle offrait à la vue de son futur amant sa vulve gonflée et entièrement épilée. Elle mit son majeur en bouche, l’humecta et le promena sur son abricot qu’elle ouvrit avec une infinie précaution. Son doigts pénétrait lentement l’entrée de se sexe et en ressortait aussi doucement. A plusieurs reprises elle allait et venait ainsi, sans brusquer le mouvement et en ne quittant pas des yeux le jeune homme qui était figé devant ce spectacle nouveau pour lui.
Georges et Stéphane étaient en admiration devant ce spectacle dont ils étaient les voyeurs privilégiés et chacun d’entre eux aurait voulu vraiment être à la place du « petit ».
L’huissier déboucha une bouteille de champagne, servit deux verres et repris sa place rapidement tout en trinquant avec son complice.
Nelly s’était légèrement avancée et à hauteur du visage de Cyrille elle s’est arrêtée, droite comme un « I ». Puis, lentement elle a entamé une manœuvre de descente lente, a posé ses genoux de part et d’autre de la tête de son compagnon, s’est appuyée sur les mains et a doucement plaqué son sexe sur les lèvres du jeune homme qui d’instinct a embrassé le sexe humide qui le dominait. Sa langue s’est mise à fouiller maladroitement le joyau qu’il découvrait pour la première fois de sa vie.
Pour guider avec précision les gestes de son amant, Nelly s’est mise à onduler des fesses et d’exercer les pressions là où il fallait, faisant comprendre ainsi à Cyrille les zones qui étaient les plus intéressantes à explorer.
Les mains du jeune homme se mirent timidement à parcourir le corps de sa compagne et fébrilement il caressa les seins avec beaucoup de légèreté. Nelly lui saisi les mains et les plaqua fermement sur ses nichons lui glissant les bouts entre les pouces et index afin qu’il presse plus énergiquement ces petits trésors. Elle était amusé par cette expérience et en prenait bien du plaisir. Ce jeune avait l’innocence de son âge, ce qui tranchait nettement avec ce qu’elle connaissait au quotidien, elle qui avait de multiples expériences avec des hommes d’âges murs et expérimentés. Elle appréciait cette candeur sans doute passagère.
Elle se redressa et recula sur le corps de Cyrille, jusqu’à ce que le sexe tendu du jeune homme se trouve dans l’axe du sien. Le regard du gamin était éclairé comme celui d’un enfant qui ouvre l’emballage de son cadeau de Noël, il ne cachait plus son envie d’enfin découvrir la chaleur brûlante de l’intérieur du corps d’une dame.
Elle passa lentement le gland de son amant sur son clitoris en feu, le fit circuler sur l’intérieur de ses petites lèvres et se laissa glisser tout le long du pieu du jeune homme qu’elle engloutit au fond de ses entrailles. Elle s’arrêta dès que l’engin fut totalement pénétré dans son intimité. Cyrille était tétanisé, figé, n’osant pas provoquer le moindre mouvement.
Les deux spectateurs de la chambre voisine étaient comme des supporters devant un match de football, attendant impatiemment qu’un coup d’éclat ne survienne, prêts à exploser de joie.
Nelly ne bougeait plus, elle laissait à son puceau le temps d’apprécier son passage vers le stade vraiment adulte, il souriait béatement, elle le regardait avec un regard attendri. Puis elle entama une lente remontée qui s’arrêtait juste à la hauteur du gland, redescendait ensuite jusqu’à la limite des couilles rétractées de son amant en l’absorbant millimètre par millimètre. Le gamin était en extase.
Ensuite elle accéléra le mouvement et pris appui sur les genoux de son amant, offrant ainsi à ses yeux ses seins tendus et l’entièreté de son corps parfait.
Derrière la vitre, Georges avait glissé une main dans son pantalon et se caressait la queue discrètement tandis que Stéphane ne quittait pas le spectacle des yeux, ne pensant même pas à boire son champagne qui se réchauffait lentement dans son verre.
Nelly avait changé sa position et s’était retournée. Elle livrait ses fesses à son jeune amant qui ne pu s’empêcher de les palper avec fermeté. De son propre chef, il saisi sa queue et dirigea lui-même son engin vers le sexe de Nelly. Il lui saisit les hanches et l’empala d’un coup sur son membre. Elle apprécia en poussant un petit cri de surprise.
Le jeune homme commença alors à s’activer et a défoncer la belle qui soudain se rendit compte du changement d’attitude de son petit baiseur.
Le petit salaud se permit même de claquer les fesses rebondies de Nelly et commençait à prendre un malin plaisir à devenir le dominant de la situation. Elle laissa faire, trouvant que cette mutation naturelle, certes rapide, était très intéressante.
Lui-même se dégagea de la position du moment et sèchement demanda à Nelly de se placer en dessous. Il lui écarta les cuisses et d’un coup la pénétra. Il s’en suivi une série de grands coups de boutoirs, il défonçait son initiatrice avec le talent d’un grand baiseur, lui qui n’avait jamais touché une fille auparavant.
Ses mains saisirent les seins de la belle et commencèrent à lui triturer sévèrement les bouts. Il glissa ses doigts dans la bouche de Nelly, l’obligeant à mimer une fellation. Ensuite il glissa ses doigts humides entre son sexe et celui de la belle et n’arrêtant pas ses mouvements, il masturba avec vigueur le clito de celle qui était passée du statut d’initiatrice à celui de proie.
Elle ne pu contrôler cette ardeur et, se mordillant les poignets, se mit à jouir une première fois. Elle ne se reconnaissait pas, d’habitude elle assure plus longtemps mais là, impossible de résister devant la fougue de Cyrille.
Nelly ne désira pas battre en retraite et d’emblée voulu sa revanche, elle qui était experte et lui qui était néophyte, il dominait la partie, les rôles étaient inversés.
- Pousse toi mon salaud, j’ai envie de changement. Tu es là pour apprendre alors allons au bout de la leçon.
Elle se mit à quatre pattes et demanda d’une voie directive :
- Vas-y, encule moi petit naïf…
Le gamin ne compris même pas l’ordre et d’un naturel inné, saisi sa bite et l’enfonça dans l’anus de Nelly. Il la pris par les fesses et la tira vers lui pour que cette chienne déguste jusqu’au bout de la limite de ce qu’il pouvait lui mettre. Elle hurla sur le coup mais bien vite cette cochonne se ressaisit et imprima elle-mêmCyrille l’agrippa par les cheveux, la releva presque à la verticale, lui saisit les seins qu’il malaxa furieusement.
Soudain, le jeune homme senti monter en lui une chaleur inhabituelle, rien à voir avec ses petites branlettes timides, une vraie tempête envahit son corps. Il se retira subitement et Nelly qui comprit le sens de ce message visuel se retourna rapidement, engouffra la pine de son jeune amant dans sa bouche et récolta des giclées de spermes qu’elle eu du mal à contenir.
La semence coulait le long de ses lèvres et glissait sur son menton et ses seins. Elle tentait de tout avaler mais l’abondance de la jouissance de Cyrille était telle que cela lui était impossible.
Georges qui avait pris également son pied en solo joui dans son pantalon, ce qui attira l’attention de Stéphane qui fit semblant de n’avoir rien vu.
Alors que Cyrille et Nelly s’étaient affalés dans les bras l’un de l’autre, les deux compères quittèrent la chambre voisine afin de regagner les premiers le salon du rez de chaussée.
Quelques minutes plus tard, les deux amants réapparurent dans la pièce, Nelly radieuse et Cyrille un peu gêné mais visiblement content de sa première expérience.
Il lança un regard reconnaissant vers son parrain et vint s’asseoir dans le large divan du salon.
Maître Perrin fit un signe de la tête vers Nelly par lequel il la gratifiait de sa reconnaissance, puis il prit la parole.
- Nelly, Stéphane, je vous remercie pour votre collaboration précieuse au cadeau d’anniversaire de Cyrille. Je pense qu’il n’oubliera jamais son 18ème anniversaire. Toutefois, j’ai une nouvelle moins amusante à vous annoncer.
- - Quoi encore, s’exclama Stéphane inquiet.
- Vous n’avez pas acquitté la somme de 4000 € qui vous était réclamée par le service des impôts et je suis à nouveau saisi d’une plainte à ce sujet et chargé de récupérer les montants dus.
Stéphane se prit la tête dans les mains et se mit à sangloter.
- Ca n’arrêtera jamais ces dettes, s’il vous plait Georges, Maître Perrin, aidez nous, nous avons fait tout ce que vous demandiez, s’il vous plait, nous devons nous en sortir au plus vite, cette situation est invivable.
- J’ai bien ma petite idée mon cher Stéphane, je vous contacterez dans les meilleurs délais et vous ferez part d’une nouvelle offre de régularisation. Vous avez le potentiel à votre portée pour relever un nouveau défi non ?
Stéphane tourna la tête vers sa femme, l’air interrogateur. Celle-ci ne dit rien, fit un signe léger de la tête en guise d’acquiescement.
- Bien Georges, nous attendons de vos nouvelles rapidement, nous en avons marre de notre situation, nous méritons mieux, appelez moi vite.
Maître Perrin se leva, accompagna les convives vers la porte de sortie, fit remettre les manteaux et remercia pour l’agréable soirée offerte à son filleul.
Nelly et Stéphane reprirent le chemin de la maison, sans dire un mot, chacun partagé par le plaisir de la soirée et de la triste nouvelle qu’ils venaient de recevoir en guise d’au revoir.