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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

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par pierrebx
#291735
À l’occasion du départ à la retraite de ma femme, nous nous sommes offerts quinze jours de voyage aux Antilles.


Nicole a 58 ans, moi 63, nous sommes un couple uni et fidèle. Mon épouse est une femme de taille moyenne : 1,60 m, 68 kg, un peu ronde ; des rondeurs un peu partout qui la rendent très excitante à mon goût.


Notre sexualité a toujours été assez régulière sans être débordante ou extravertie. Nous faisons l’amour au moins une fois par semaine, ce qui, d’après ce que j’entends, est bien pour un couple de notre âge. Bien sûr, nous avons quelques jeux avec martinet ou des sextoys ou bien des sorties sans culotte, ainsi que des séances de photos coquines.


Pour la première semaine des vacances nous louons une voiture et réalisons beaucoup d’excursions en solo, le temps passe vite. Le dimanche soir au cours de la seconde semaine, nous allons au dancing de l’hôtel, il n’y a pas grand monde, quelques résidents et un petit groupe de jeunes noirs venus danser, tout au plus une vingtaine de personnes. Nous prenons une table et commandons un cocktail.


Nicole adore danser sur l’air des musiques caraïbes, elle n’est pas la dernière sur la piste. Moi, piètre danseur, j’attends sur ma chaise. Après un moment, un jeune noir vient me voir et me demande en espagnol (langue de mes origines familiales) s’il peut danser avec ma femme. Je me lève et informe Nicole de l’offre du prétendant ; peu après ils sont sur la piste, tous les deux ravis d’avoir trouvé un partenaire. Après quelques danses rapides, il en vient d’autres plus lascives, Nicole me jette un regard interrogateur, quêtant mon assentiment avant de continuer. J’approuve d’un signe de tête.


À cette occasion, je comprends ce que veut dire l’expression : « coller-serrer ». Les corps du jeune noir et celui de Nicole sont littéralement soudés. Mon épouse se laisse emporter par la musique ; cela dure une dizaine de minutes, puis elle revient s’asseoir les joues un peu rouges. Je fais signe au cavalier de venir boire un verre avec nous, il ne parle pas français, Nicole ne parle pas espagnol, je suis un intermédiaire obligé. Il m’annonce sans ambages que j’ai une belle femme ; il ajoute que familier de ce club, c’est la première fois qu’il trouve une aussi bonne cavalière. Aussi si nous le voulons bien, il serait heureux de la revoir pour danser. Je traduis pour Nicole, laquelle se montre flattée.


De retour dans notre chambre, Nicole m’explique combien elle a été émoustillée par l’aventure.


- Comment ça ?

- Ben… euh… je sentais son sexe contre mon ventre.

- Il bandait ?

- Je ne sais pas mais ça avait l’air gros.

- Et ça te plaisait ?

- Euh… enfin, oui… un peu.

- Tu veux essayer ?

- Essayer quoi ?

- Plus que la danse.

- Oh !... C’est toi qui me propose ça.

- Oui ! Parce que je t’aime et qu’il peut te donner ce que je ne peux plus, ni ne pourrais plus te donner.

- Mais tu me suffis et je n’ai plus l’âge.

- Pour ça, il n’y a pas d’âge.

- Je ne pourrais pas te tromper.

- Tu ne me tromperais pas, je serai avec toi pour te regarder.

- Mon Dieu, mon mari est fou…

- Peut être ! Réfléchis-y.

- C’est tout réfléchi.

- On verra demain ; maintenant je voudrais te faire l’amour.


Le lendemain nous passons l’après midi à lézarder au bord de la plage. On en profite pour faire des photos, en posant nus dans un coin isolé. En fin d’après midi je reformule ma question :


- Veux-tu revenir au dancing ?

- Tu as toujours ton idée derrière la tête ?

- Et toi ?

- Tu m’as déstabilisée.

- Et alors ?

- Tu es sûr de toi ?

- Non, pas très sûr ! Mais les îles me rendent libertin.

- Tu m’as dit un peu plus que la danse, ça veut dire quoi ?

- Ce que tu voudras à moins que je dise stop. Moi aussi je me suis surpris moi-même. J’y pense depuis hier soir ; mais rien ne t’oblige, ni moi, ni lui, il n’a rien demandé. Tu étais tellement excitée hier soir quand je t’ai fait l’amour que j’ai tout de suite compris que tu en avais envie.

- C’est de ta faute. On y va alors ?

- D’accord. Je t’aime.


Il est prés de vingt trois heures quand on rejoint le club. On repère notre danseur de suite, il est assis prés du bar. Nicole lui fait signe. Je m’assois à une table, commande deux cocktails pendant qu’ils se retrouvent sur la piste et commencent à danser. Il la colle de plus en plus ; elle ne fait rien pour garder la distance, au contraire… Lui me jette des sourires de temps en temps ; ses mains sont posées sur le bas du dos de Nicole ; elles glissent lentement sur la chute de rein avant d’atteindre les fesses qu’il pelote carrément. Puis la musique change, se fait plus jazzy ; ils reviennent s’asseoir. Il s’adresse à moi en espagnol, Nicole écoute sans comprendre :


- Ta femme me plait beaucoup, et pas seulement pour danser, son corps aussi.

- J’ai bien vu que ses fesses te plaisent.

- Et tu ne dis rien ?

- Bien que ce soit nouveau pour moi, je crois que j’aime que tu la caresses.


Puis m’adressant à Nicole.


- Tu veux qu’il nous rejoigne dans la chambre.

- Oui !

- Alors, prends lui la main et emmène-le !


Puis à nouveau en espagnol à l’intention du jeune noir.


- Tu peux la suivre ; je vous suis aussi.

- Je n’ai jamais fait ça avec un couple.

- Nous non plus avec un autre.


Nicole se lève et lui prends la main ; ils quittent la salle. Je finis mon verre et sors à mon tour en direction de l’escalier alors qu’ils ont pris l’ascenseur. Arrivé à notre chambre, je trouve la porte entrouverte, j’entre. Ils sont en train de s’embrasser, avec la voracité de la passion, les mains du noir parcourent le corps de Nicole par-dessus la robe. Je me surprends à avoir une érection. Je récupère mon appareil numérique puis m’assois sur le fauteuil, prêt à mitrailler.


Nicole se tourne et l’invite à faire glisser la fermeture de sa robe. Le vêtement tombe doucement sur la moquette, elle ne porte pas de soutif ni de culotte. Les mains de Paulo empaument les nichons en premier ; il les caresse, joue avec les tétons. Il approche son visage, embrasse les seins, les lèche, les tète. Nicole garde la tête rejetée vers l’arrière, yeux clos ; elle sourit, éprouvant un plaisir manifeste qui me grise. Mon excitation me surprend au moins autant que le comportement libéré de ma compagne.


Redressant le buste, Nicole déboutonne la chemise de Paulo, défait la boucle de sa ceinture, puis elle le dévêt de son jean. Il ne porte plus qu’un caleçon. Elle me regarde, quémandant une ultime autorisation avant de sauter le pas fatidique et irréversible.


Paulo est vraiment bien membré, une grosse queue longue et veineuse, déjà raide. La comparaison n’est pas à mon avantage. Mon épouse prend sa bite en main, le branlant avec douceur. Puis elle le conduit vers le lit, le fait s’allonger et s’agenouille à son coté. Se penchant doucement, elle pose un baiser sur le gland, puis elle l’embouche. La queue disparaît entre ses lèvres. Le contraste de cette verge noire prés du visage pale de mon épouse est saisissant, j’en retire une puissante impression érotique et m’empresse de saisir ce moment pour l’éternité : clic… clac… la photo est dans la boite.


La fellation s’éternise, Nicole suce, lèche, gobe, tout y passe. Soudain Paulo sentant son plaisir venir, l’interrompt. Il la fait se redresser, s’allonger puis l’embrasse sur tout le corps avant de poser ses lèvres sur sa chatte pour lui faire un long cunnilingus. Il sait y faire le bougre ! Nicole se tord, cambre le corps, arque les reins, offrant tous les signes d’une grande jouissance. Paulo se lève, cherche un préservatif, habille sa verge puis la présente devant le sexe humide de Nicole. Il s’y glisse doucement alors que Nicole dresse ses jambes pour mieux s’offrir à la pénétration.


Paulo accélère, jusqu’à trouver le bon rythme. De son côté, Nicole commence à gémir. Une vraie furie ! Elle prend son pied, une, deux, trois fois. Lui enfin se retire et ôtant sa capote vient éjaculer sur les seins de ma femme une énorme quantité de foutre. Puis ils s’affalent tous les deux épuisés, Je n’ai pas arrêté une minute de les photographier. Je sens ma queue en feu mais je me réserve pour plus tard.


- C’est extraordinaire ! J’en ai eu plein la bouche, plein la chatte, plein les nichons. Mon amour, c’est trop bon. Je t’aime encore plus, même si c’est Paulo qui me baise. Lui c’est juste un sextoy vivant, il ne pourrait jamais me comprendre comme tu le fais.


NIcole se rend à la salle de bain pour prendre une douche. Je rapporte à Paulo l’enthousiasme de Nicole, nous trinquons avec nos verres d’eau. Elle revient, se recouche sur le lit à coté de lui, me demande de venir aussi.


Mon épouse m’embrasse comme jamais, tenant ma bite ainsi que celle de Paulo. Elle nous fait mettre en position pour nous sucer l’un après l’autre. Puis quand je la sens prête à recommencer je m’écarte. Elle continue à sucer le jeune noir, lequel remet une capote, la prend à nouveau mais en levrette, les mains agrippant son gros cul. Il écarte ses fesses, dégage le petit trou, qu’il caresse, d’une manière manifestement intéressée mais ça ne va pas plus loin car Nicole n’est pas d’accord.


Paulo est prêt à jouir, il se retire du con de Nicole, laquelle à son tour fait volte face et se jette sur son sexe afin qu’il éjacule dans sa bouche comme elle aime. Sauf qu’en l’occurrence, il y a beaucoup de foutre, elle hoquette, s’étouffe, ce qui l’oblige à avaler. Lui est aux anges, son sourire dit tout son plaisir.


Voilà c’est fini, après une douche et quelques blablas Paulo nous quitte, gardant à l’esprit l’espoir de bientôt renouveler l’expérience car la semaine n’est pas terminée.


- Maintenant c’est à moi de te faire l’amour.

- Oui, oui, j’ai envie de toi et je vais te faire un cadeau.

- Tu me l’as déjà donné.

- Non, je vais te donner mon petit trou.

- Tu veux vraiment que je te sodomise.

- Oui ce soir je veux tout connaître, je veux que tu m’encules.


La fin de la nuit se passe comme dans un rêve mais pas sans difficultés, j’arrive malgré tout à lui prendre sa rosette. J’ai attendu ce moment depuis si longtemps. Eh oui ! C’est une première, pour elle et pour moi aussi, à soixante ans passés. Ce séjour au caraïbe est vraiment plein de surprises heureuses...


L’après midi du lendemain, nous allons à la plage et avons la surprise de voir venir Paulo. Il nous raconte qu’il est pêcheur mais que la pêche étant médiocre en ce moment il a préféré prendre sa journée. Nicole est ravie de le revoir, je la sens fébrile.


- Tu as envie de faire l’amour cette après midi.

- J’ai un peu honte, mais oui, j’ai envie. Vois donc comme il regarde mes seins.

- Pour pimenter le jeu, je vais vous laisser seuls. Emmène-le dans la chambre, je t’attendrai sur la plage et tu me raconteras.

- Mais je ne parle pas sa langue.

- Le sexe est universel, mon amour.

- Mais de cette façon, c’est te tromper.

- Non, non, prends du plaisir. Ton plaisir est le mien : « Jouis et fais jouir sans faire de mal ni à toi ni à personne,… » a écrit Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort.

- Je ne pourrais pas te prêter, moi.

- Je n’en ai pas envie, tu me donnes beaucoup, profite de l’instant présent.

- Merci ! Je t’aime.


Quelques explications à Paulo sont encore nécessaire, il est lui aussi très surpris mais accepte le deal. Après cela, ils partent ensemble vers l’hôtel.


J’en suis à mon deuxième apéritif quand ils me rejoignent à la terrasse de l’hôtel. Nicole est tout sourire, éblouissante. Paulo, toujours un peu gêné, me remercie de cette heureuse après midi. Avant de nous quitter, il nous embrasse tous les deux parce que nous ne nous reverrons pas, nous partons le lendemain même.


Nicole me raconte :


- Merci mon amour, je ne me suis jamais sentie aussi libre. J’ai joui en pensant à moi, à toi, à nous. Si tu veux vraiment tout savoir, le fait que tu ne sois pas avec nous l’a libéré, débridé je dirais.

Une fois arrivés dans la chambre, il m’a embrassée bien plus goulûment que hier soir puis il m’a dévêtue, puis il s’est mis nu à son tour. Je l’ai longuement sucé, léché et j’ai gobé ses énormes couilles. Ensuite c’est lui qui m’a mangé la minette et même l’anus. J’ai joui sous sa langue, c’était très fort.

Il m’a encore fait languir avant de me pénétrer, me caressant partout sur tout le corps, s’attardant sur mes seins, me pinçant les tétons… J’avais pourtant très envie qu’il me prenne. Il a enfin pénétré ma chatte, doucement, lentement, puis de plus en plus vite.

Au bout d’un moment, il m’a fait changer de position, de celle du missionnaire nous sommes passés à celle de la petite cuillère puis à celle d’Andromaque. J’ai pris mon pied maintes fois. À la fin, il est venu éjaculer sur mes nichons et il m’a fait avalé son sperme jusqu’à la dernière goutte.

Nous étions en nage, lui comme moi. On a pris une douche ensemble. Après que je lui ai lavé la bite, il a voulu sortir mais je l’ai retenu, il s’est alors mis à uriner, me forçant à m’agenouiller de telle sorte que j’ai reçu le jet sur mes nichons, sur mon visage et dans la bouche. C’était très bizarre et très excitant ; c'était chaud et très odorant ; je n’ai pas détesté le goût de son urine.

Puis nous sommes revenus au lit et je me suis endormie dans ses bras jusqu'à ce qu’il me réveille. Il avait à nouveau envie, j’ai pris la pose de la levrette, il m’a prise ainsi, me donnant de grandes claques sur le cul.

Paulo parlait espagnol, je ne comprenais pas mais je devinais qu’il me traitait de « grosse vieille salope ». J’ai senti son membre buter sur le fond de mon vagin. J’ai mouillé, abondamment.

Ensuite, il m’a sodomisé d’abord avec douceur puis avec plus de brutalité. J’avais mal mais il a malgré tout continué jusqu’au bout, jusqu’à ce qu’il ait rentré toute sa grosse pine dans mon cul, puis il s’immobilisa un moment. Mon sphincter et tous mes muscles ont alors relâché, la douleur s’est faite supportable. Il a commencé à me pistonner dés que j’ai été plus détendue ; c’était bon. Dans le même temps, je me suis masturbée, jusqu’à la venue de l’orgasme. Il fut fulgurant, j’étais terrassée, du liquide giclait de ma chatte comme jamais.

Paulo aussi se préparait à jouir. Il s’est retiré, a ôté sa capote puis est venu se finir dans ma bouche, inondant ma gorge de sperme que j’ai avalé jusqu’à la dernière goutte.

Je ne sais pas comment j’ai pu faire tout ça… J’étais dans un état second, jusqu’à me faire enculé par un noir… jusqu’à avoir aimé ça… et tout te raconter en plus.


Je la vois émue, j’éprouve le besoin de la rassurer, de prendre ma part de responsabilité.


- Je t’ai libérée et tu as profité de ta liberté. C’est pour ça que je te l’ai proposée, mais je vais quand même te donner la fessée, mon amour de libertine.

- En rentrant en France, euh… on pourrait rencontrer une femme ?

- Pour moi ?

- Non, pour moi !

j'ai publié cette histoire deja sur http://revebebe.free.fr/

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