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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par Corwyn
#674952
Je rediffuse cette histoire qui traine sur le net depuis quelques années et qui m'excite encore beaucoup:

Hello,
Mon nom est Julien et je vais vous raconter l’histoire absolument véridique qu’il m’est arrivé avec ma copine Laura. Laura et moi ça fait un an que l’on est ensemble. On s’est rencontré à l’université car on est dans la même faculté de droit, on a tous les deux 20 ans et on est un joli petit couple comme on nous le dit souvent. Elle est châtain claire, mesure 1 mètre 68, est assez mince, elle a de joli yeux bleus, de joli petit sein et une jolie paire de fesses. Sur le plan sexuel, on s’est tout de suite entendu, j’étais son premier homme et elle est vite devenue accro au sexe.
Ce jour là, on était allé voir un match de hockey, un match important de play-off que je ne voulais louper pour rien au monde. Laura n’aime pas trop venir au match avec moi, « une bande d’hommes stupides bourré de testostérone qui supporte une dizaine de bûcherons patinant après un bout de plastique » dit-elle, elle était donc venue à contre cœur, ou plutôt pour passer du temps avec moi, car c’est vrai qu’a cette époque nous n’avions pas beaucoup de temps à nous, à cause des cours.
Nous avons donc pris le train, puis le bus jusqu’à la patinoire où avait lieu le match. Laura était habillée d’un pantalon noir moulant ses jolies fesses et d’un pull colle roulé car il faisait un peu froid dans la patinoire. Je dois dire qu’elle était très sexy et que beaucoup d’homme l’ont regardé.
Il y avait déjà beaucoup de monde qui faisait la queue pour entrer dans l’enceinte ce qui mit ma douce moitié d’une humeur plutôt mauvaise. C’est pour cela que quand sommes enfin entré, elle voulu directement aller s’acheter des cigarettes et s’acheter à boire. Evidemment qu’il y avait de nouveau la queue, c’est pour cela que nous avons pris directement 3 bières chacun afin de ne pas revenir à chaque pause. Nous sommes ensuite aller dans les gradins, nous étions à des places debout. Vu que le match était important, la patinoire était pleine et nous étions tous serrés.
A côté de nous, il y avait un homme d’une cinquantaine d’année et sa fille qui devait avoir à peu près notre âge, les deux semblaient être de fervents supporters. L’homme semblait déjà avoir un peu bu vu l’enthousiasme avec lequel il parlait à sa fille, mais sans être ivre. Laura, elle de son côté, avait bu ses 3 bières en un peu près 10 minutes et le sourire lui revenait gentiment.
Nous nous fîmes un tendre baiser et la bonne humeur était revenue. Le match commença, notre équipe dominait et le public était très agité. Après une dizaine minute de jeu, le premier but arriva, les supporters exaltaient, les gens se serraient, sautaient, nous étions comprimé les uns contre les autres et c’est à ce moment que je vis l’homme effleurer les fesses de Laura. Il n’a surement pas du faire exprès me dis-je. Je demandais à Laura qui me dit qu’elle pensait également qu’il n’avait pas fait exprès. Nous nous sommes embrassé et le jeu a repris.
Le deuxième but arriva immédiatement après le premier ce qui déclencha une nouvelle cohue. Nous étions à nouveau balancés les uns contre les autres. Je vis à nouveau l’homme effleuré les fesses de Laura comme si c’était involontaire mais cette fois il le fit plusieurs fois de suite. Il n’y avait plus de doute, ce n’était pas tout à fait involontaire. J’étais un peu jaloux mais très excité par la situation, je sentais mon sexe grandir dans mon caleçon. Laura, me regarda et me dit : « on peut échanger de place, le vieux en fait il fait exprès de me toucher les fesses ». Et c’est là que je ne sais pas pourquoi, l’excitation et l’alcool je suppose, mais je lui glissai à l’oreille : « non, reste ! Moi ça m’excite », ces mots sont sortis tout seul de ma bouche comme s’ils s’étaient échappés, je ne revenais pas de ce que je venais de dire. Laura me regarda un peu bizarrement mais resta à sa place.
Le match avait repris, toujours avec autant d’ambiance dans le public. Moi, de mon côté, j’avais de la peine à me concentrer sur le match car je n’arrivais pas à décoller mes yeux des fesses de ma chérie. Je m’imaginais les mains du « vieux » se poser à nouveau sur ces deux formes, Jamais avant je n’aurais crus que de voir Laura se faire tripoter m’aurais excité et en plus à ce point.
Un supporter se frayait un chemin pour aller aux toilettes, ce qui entraina un petit mouvement de foule à notre hauteur. Je fixai les fesses de Laura, et là je vis la main du vieux se poser clairement sur le postérieur de ma copine, cela ne dura pas longtemps mais cette fois il avait fait plus que de les effleurer, il les avait tripotés. Sa main entière s’était posé sur le pantalon moulant et il y avait même eu un minuscule mouvement de ses doigts. La fesse droite de Laura s’était alors légèrement déformée sous l’attouchement de cette main étrangère. L’homme qui avait une trentaine d’année de plus que Laura, faisait comme si rien ne s’était passé et parlait même avec sa fille, qui n’avait, elle, rien vu tout comme le reste du public d’ailleurs. Laura me regarda droit dans les yeux, je lui souris, elle me rendit mon sourire et nous nous sommes embrassés.
J’observais l’homme, je suivais la trajectoire de ses yeux. Il regardait le match mais de temps en temps ses yeux se détachaient du jeu pour plonger sur le petit croupion de ma bien-aimée. L’homme ne savait absolument pas que j’avais remarqué son petit jeu. Je n’en pouvais plus tellement mon sexe était comprimé dans mon pantalon, lui, devait être au moins dans le même état que moi.
La première pause s’approchait, il ne restait que quelques minutes. Le quinquagénaire était toujours à côté de Laura, j’avais l’impression qu’ils étaient collés, ils n’étaient en fait pas plus collé lui et elle que moi à elle, nous étions tous collé à notre voisin en fait. Sa main pendait à coté de Laura, elle s’approchait de plus en plus de ce terrain désormais connu. Ce pervers profita que tout le monde soit attentifs au 30 dernières secondes - sa fille y compris- pour poser sa main une nouvelle fois sur la fesse droite de ma copine, il l’a laissa cette fois quelques secondes et malaxait tout doucement. Laura, elle, se laissait faire et regardait le match. Après 10 secondes de ce traitement, Laura descendit sa main et caressa celle du vieux d’un léger mouvement pour lui signifier cette fois d’une manière certaine son accord. La cloche sonna la pause et l’homme enleva rapidement sa main.
Laura m’embrassa à nouveau et nous décidâmes d’aller nous chercher quelque chose à boire et surtout parler de ce qui s’était passé. Nous avons pris à nouveau 3 bières chacun, sans doute pour pimenter encore un peu ces instants. « Je bande comme un fou » lui ai-je avoué. « Tu as vu comme il m’a touché le cul » me lança-t-elle d’un air excité, je lui fis un hochement de la tête et elle ajouta « je mouille comme jamais mon chéri, surtout ne le prend pas mal. On peut tout arrêter et aller regarder le match ailleurs si tu le veux. Mais la situation m’excite vraiment. » « Tu sais la situation m’excite aussi et je ne le prends pas mal, à près tout c’est moi qui ait voulu ce qui arrive… je t’aime » terminai-je.
Je la pris par la main et l’emmena où nous étions précédemment. Le vieux était toujours là avec sa fille. Nous bûmes rapidement nos bières et le match recommença. Pendant les 10 premières minutes les mains de l’homme restèrent sagement à leur place et mise à part quelques regards furtifs rien ne se passa. J’étais déçu et croyait que le petit jeu était finit. Laura me regarda et me fit une sorte de sourire qui, je ne le compris que après, voulait dire « tu veux qu’on continuer à jouer ? », je le lui rendis. Un court instant après je vis ma chérie faire une sorte de petit mouvement du bassin et se frotter discrètement les fesses contre les jambes tendues de l’homme. Celui-ci a réagit tout de suite et toujours discrètement commença a caressé la cuisse droite de Laura. La fille, qui était de l’autre côté de l’homme et qui regardait le match, ne voyait toujours rien. Moi de mon côté, je regardais du coin de l’œil pour ne pas me faire repérer. Le vieux remontait toujours un peu plus haut sa main et arrivais maintenant vers la braguette du pantalon de Laura. Sa main était toujours collée au pantalon de ma douce et faisait des petits mouvements circulaires. Laura avait fermé les yeux et son visage exprimait la jouissance, elle se mordait les lèvres. Je vis que Laura faisait de petit mouvement en avant pour encore intensifier la jouissance du traitement que ce pervers lui faisait subir. Les doigts du vieux appuyaient sur l’avant du pantalon et ce dernier devait appuyer sur le clitoris de Laura car à chaque mouvement des doigts elle avait un léger spasme. Leur manège commençait à devenir un peu voyant et c’est sans doute pour cela que le quinqua retira sa main.
A ce moment là ma tête allait exploser, ce flot de jalousie et d’excitation me prenait jusqu’au plus profond de mes nerfs. A ce moment là, tout ce passa extrêmement vite. Tellement vite, que je n’eus même pas le temps de me demander si ce qu’il se passa plus tard était réellement ce que je voulais.
L’homme dit quelque chose à sa fille et fit une petite tape sur les fesses à Laura il se dirigea vers la sortie où se trouvait les toilettes… J’avais maintenant tout compris à son plan mais avant même que je puisse réfléchir si je voulais vraiment cela, ma douce moitié était déjà partie en direction des toilettes sans même me consulter, pire, sans même me regarder. J’étais comme paralysé, mes muscles étaient tétanisés, ma tête ne fonctionnait plus, tellement il y avait de questions qui la traversaient. Qu’allaient-ils faire ? A ce moment là est-il à l’intérieur d’elle ? Est-ce qu’elle jouit ? J’étais bouleversé, mais d’imaginer ma petite amie à genoux, tirer une pipe à un homme beaucoup plus âgé qu’elle me faisait bander au plus haut point.
Ils disparurent pendant plus de 10 minutes. Inutile de vous dire que les minutes furent des heures et que je n’étais plus très attentif au match. La fille du vieux regardait toujours le match avait autant de passion et ne semblait pas se soucier de l’absence de son père.
Je vis Laura revenir, le vieux lui n’était pas encore là. Il revint que quelques minutes après avec deux boissons, au cas où sa fille se serait posé des questions sans doute. Laura vint se mettre devant moi, je la pris alors dans mes bras. Il fallait que je sache vite, que je sache enfin ce qu’il avait fait à ma copine. Sa bouche vint se coller à la mienne, nos langues se rejoignirent. Je sentais sa langue tourner autours de la mienne comme si ma langue était un phallus. Nous arrêtâmes de nous embrasser et faisions semblant de regarder le match. Je descendis ma main jusqu’à l’entrée du pantalon de Laura, avec l’autre main je descends au maximum sa veste afin de cacher la pénétration de ma main dans son pantalon. Arrivé à l’intérieur, première surprise, Laura n’a plus de string. J’entre alors 2 doigt dans sa petite fente mouillé afin de trouver d’éventuelle traces de pénétration, Sa petite chatte est trempe mais il ne me semble pas qu’elle soit assez dilaté pour qu’elle ait été pénétré. N’en pouvant plus de douter je lui glisse alors à l’oreille : « tu l’as sucé ? ». Elle met fait alors un signe négatif de la tête. Je décide donc de vérifier la troisième possibilité sans trop y croire, je passe ma main derrière, glisse mes doigts entre ses fesses et son pantalons. Mon index se pose sur son petit trou du cul, je constate qu’il est mouillé, je le fait alors pénétrer quelques centimètre et constate que l’anus de Laura est dilaté, dilaté comme jamais il ne l’a été. Mon doigt n’a aucune peine à entrer jusqu’au fond du cul de ma copine, le canal est gluant et dilaté jusqu’au plus profond. Je retire ensuite mon doigt, un long fil de sperme suit. Laura pousse, joue avec son sphincter afin de vider son rectum bien rempli. Je sens le sperme sortir sous forme de petits pets qui viennent s’écraser dans ma main. Je sors ma main du pantalon, je la regarde, fasciné par ces trainée blanche qui ont envahit ma copine. Laura lèche alors ma main et avale jusqu’à la dernière goutte le sperme du vieux pervers…
Laura me raconta plus tard que le vieux l’attendait devant les toilettes. Qu’ils étaient entrés dans une cabine ensemble, sans se parler. Arrivés dans la cabine il l’avait traité de salope et l’avait sauvagement déshabillé. Il l’a ensuite peloté tellement fort qu’elle en avait mal. Il lui a alors introduit un doigt dans la fente mais ne s’y pas attardé longtemps. « il n’y avait que mon cul qui l’intéressait, il voulait juste m’enculer » m’a-t-elle dit plus tard. Il l’a alors mise à 4 pattes et lui à lécher l’anus en vitesse, lui a inséré directement 2 doigts. L’homme l’insultait tout en lui « travaillant le cul » comme il disait. Il s’assit alors sur les toilettes et demanda à Laura de s’assoir sur lui, tout en écartant ses fesses. Laura m’avoua que l’immense bite du vieux (comme elle l’appelle) eu de la peine à entrer, c’est pour cela qu’il maintenu une pression de ses main sur ma copine pour l’obliger à s’assoir sur sa bite malgré la douleur qui traversait Laura. Ce pervers lui transperça littéralement le trou du cul. Laura au quelques larmes mais l’alcool faisait toujours son effet et l’aida à apprécier cette sodomie. Son anus était maintenant bien dilaté et elle pouvait faire de petits sauts sur son vieux pervers. A ce moment là elle se sentait rempli comme jamais, elle prenait réellement du plaisir. L’homme se contracta et Laura sentie son anus se remplir jusque tout au fond. Jamais elle n’avait connue une telle dose de sperme l’envahir. Le pénis qui était au fond d’elle, lui propulsa une dizaine de jet qui allaient tapisser les parois de son rectum. Après quelques secondes de repos, Laura se leva, se retira du pénis déjà à moitié mou. Le vieux se rhabilla, prit le string de Laura dans sa poche et repartit sans même lui dire un mot.

Voilas notre histoire, elle s’est passé la semaine dernière. J’ai dit à Laura que pour moi elle pourrait recommencer quand elle le voudrait, elle m’a dit que si l’occasion se représentais, peut être…
Ca fait une semaine que nous faisons l’amour comme jamais, j’aime tellement me savoir cocu, j’aimerais bien avoir des témoignages d’autres hommes ou femmes dans ma situation, n’hésitez pas à m’envoyer vos mails de réactions !!!

Julien
par Corwyn
#693041
Bruno voyait les images de la télé sans vraiment les regarder. Il ne faisait pas trop attention à la série TV qui se jouait sur l'écran, le genre de séries médiocres diffusées l'après-midi vers 15-16 heures sur les chaînes hertziennes. Mais pendant l'été, en pleine châleur et pendant les vacances, il n'y avait pas grand chose à faire...

Assise à ses côtés sur le canapés du petit appartement, CYNTHIA, sa copine. 19 ans, brune, cheveux mi-longs, environ 1m70, pas mal roulée. Joli visage, maquillage un peu pouf' mais mignonne. Et belle poitrine.
Bruno avait largué Cynthia il y a trois semaines. Le temps pour Bruno d'aller satisfaire ses envie de mâle en couchant avec deux ou trois filles d'un soir, et le emps pour Cynthia de pleurer sur son AMOUR perdu, et son attentude PAS GENTILLE.
Et puis Bruno avait lancé quelques signes difficilement distinctifs mais que Cynthia avait distingué, pour qu'elle revienne vers lui. Et il l'avait "reprise", à la joie de Cynthia, et à sa crainte que l'humeur de Bruno ne change à nouveau.

Dans le salon avec Bruno et Cynthia, deux copains de Bruno : Adrien et Mehdi. Avachis dans l'autre petit canapé qui fait angle. Quasi inséparable de Bruno, surtout pendant l'été. Et en train de regarder la télé avec un air proche du bovin, en vidant la bouteille de coca tour à tour. Cynthia aurait préféré un moment d'intimité avec Bruno, mais c'était quasi-impossible, sauf quand celui-ci voulait faire l'amour. Cynthia était un peu frustré de ces situations quotidiennes, mais elle préférait ça à être sans lui. Il n'était pas très gentil avec elle, c'était indéniable. On le lui avait fait remarqué et elle le savait. Mais elle l'aimait. Sans trop savoir pourquoi, mais elle le trouvait beau et son charisme lui plaisait beaucoup. Et puis, c'était rare mais il lui arrivait d'être si gentil parfois...

Les heures passaient, les séries TV aussi. Silence, rien à se dire, avachis dans les canapés. Tristesse du spectacle.

Cynthia, qui jusque là était restée collée à Bruno mais sans vraiment le toucher, décida de se rapprocher et de poser sa tête sur son épaule. Acte intime mais banal dans un couple. Mais que Cynthia osait pourtant peu faire en général avec Bruno en présence de ses copains. Cette fois, Bruno la laissa faire.
Bruno resta un moment immobile, puis tourna la tête vers les cheveux de Cynthia. Il sentit son odeur, odeur douce de cheveux propres. A ce moment, ça lui plut. Bruno aimait le côté propre et soigné de Cynthia, son côté fille coquette. Et sur le coup, cette simple odeur l'excita. La main de Bruno vint se poser sur le sein gauche de Cynthia, fermement. Cynthia sursauta presque, étonnée que Bruno fasse ça alors que ses copains étaient en face. Elle fut génée mais se laissa faire. Puis Bruno se mit à pétrir la poitrine dans des gestes vastes et fermes. La gêne et l'étonnement de Cynthia grandirent. En la regardant, Bruno saisit son menton de l'autre main, tourna sa tête vers elle et approcha ses lèvres. Il l'embrassa. Ou plutôt, lui roula une ENORME pelle, en lui pétrissant les seins de plus belle.
Avec le mouvement, l'attention des copains fut attirée, et ils regardèrent ce spectacle inhabituel, interloqués. La langue de Cynthia essayait de suivre le rythme imposé par celle de Bruno. Il l'embrassait et la caressait fougueusement, comme pendant une étreinte sexuelle. Ce n'était pas romantique, c'était très sexuel.

Puis Bruno cessa brusquement son étreinte, et éloigna son visage de celui de Cynthia. Ils se regardèrent, elle était essoufflée. En la voyant il se mit à rigoler, gentiment, et du coup elle sourit, gênée et toujours interloquée.

Les copains sourirent aussi un peu, surpris, et firent mine de ramener leur attention sur la télé.

Un moment passa.

Puis Bruno regarda Cynthia, toujours un peu rouge. Bruno la travait mignonne, non, bonne. Dès qu'il la regardait, une partie de son corps quelconque, il y pensait et l'envisageait dans des situations sexuelles. Sa bouche à pipes, son joli nez sur lequel il avait déjà éjaculé, sa poitrine, ses fesses charnues... Il la trouvait bonne, mais conne. Oui, conne. Mais après tout, Bruno trouvait à peu près toutes les femmes connes, sauf peut-être celles de sa famille. Et ça l'arrangeait. Cela lui permettait de ne les envisager que dans des scénarios de soumission, soit sexuelle soit plus quotidiennes. De les traiter avec supériorité, et de les jetter quand il n'en avait plus envie. Il ne cherchait pas de femme plus intelligente, non. Cela lui convenait tout à fait de passer de fille à fille, bonne et conne selon son point de vue de préférrence, de coucher avec et de passer à une autre. Et le pire ? Le pire c'est qu'elles lui couraient après. Avant qu'il sorte avec, et surtout après qu'ils les ait larguées. Eh oui, en les traitant comme des chiennes, elles revenaient en remuant la queue. Alors pourquoi changer d'attitude ? Il n'en voyait aucune raison. C'était un beau-gosse, il plaisait aux filles depuis sa pré-adolescence, il en profitait et ne se posait pas de questions.

Bruno regarda sa meuf, puis regarda Medhi, qui lui aussi regardait sa meuf puis qui détourna le regard. Bruno sourit, puis un vieux fantasme un peu sadique et voyeur lui revint à l'esprit. Il décida d'en parler aux intéressés :

Bruno (à voix haute)
Cynthia, j'aimerais bien que tu suces Medhi et Mickey, devant moi.

Cynthia tourna la tête, ahurie. Les deux copains regardèrent le couple, eux aussi très étonnés.

Cynthia
Quoi ?!

Bruno
Ca me ferait kiffer de te voir sucer un autre mec. Bébé, franchement c'est trop un fantasme.

Cynthia (un temps)
Eh mais ça va pas, t'es malade ? Pourquoi tu dis ça ?

Bruno
C'est un fantasme ! Regarde ils te trouvent trop bonne, ça se voit. Ca les ferait kiffer, et moi aussi, grave.
(aux copains)
Eh les gars ça vous plairait ? Je sais que vous la trouvez trop belle Cynthia...

Les copains sont interloqués, puis Medhi sourit, avec un air gai et timide.

Medhi
Euh ouais c'est clair... Elle est belle Cynthia.

Bruno
Allez bébé. Tu vas kiffer toi aussi. Fais ça pour moi ok ? T'aimes bien sucer, tu fais ça trop bien...

Cynthia (très génée)
Bruno t'es fou. J'ai pas envie de te tromper !

Bruno
Tu me trompes pas, tu fais ce que je te demande. Au contraire, c'est une preuve d'amour. Moi je prends comme ça, si tu fais ça c'est que tu me kiffes à mort. Moi c'est comme ça que je le prends.

Bruno se fait mielleux et caresse la joue de Cynthia. Puis il sourit, fait mine d'être amusé par tout ça.

Bruno
Allez bébé on va kiffer ! Franchement moi ça va trop m'exciter, et mes potes ça va trop leur plaire. Pense à moi, pense comment tu me kiffes c'est tout.

Cynthia hésite, très troublée. Puis elle regarde les deux copains, visiblement très excités. Pour être clair, elle les trouvait laids, ou très très moyens, contrairement à Bruno qui était beau comme... L'idée de sucer ces deux larves la dégouta presque sur le coup.

Cynthia
Non franchement je peux pas. J'ai envie de te faire plaisir, mais j'aurai l'impression
Bruno
Allez putain Cynthia là tu gâches tout ! Si on en parle trois heures c'est plus spontané, c'est naze !

Un temps.

Bruno
Fais pas ton bébé, y'a plein de meufs qui font ça, l'échangisme, ça c'est rien à côté. (Un temps, doucement) Allez bébé...


Cynthia hésitait. Le tumulte des sentiments dans sa têtes lui dictait plein de choix contraires : obéir et faire ce que son amour lui demandait, partir en claquant la porte pour son respect bafoué...

Finalement, Cynthia décida de jouer le jeu. La moue de mécontentement de Bruno lui faisait trop mal au coeur, de part les conséquences qu'elle risquait d'entraîner - une nouvelle rupture. Cynthia se força à faire mine de prendre ça avec émoustillement.

Cynthia
Ok mon amour... Si tu le veux vraiment, je fais ça pour toi. Parce que je t'aime.

Bruno s'immobilisa un instant. La regardant dans les yeux. Puis il sourit, d'un sourire charmeur dont il avait le secret, qui illuminait son visage et qui faisait craquer les filles, il le savait. Il l'embrassa.

Bruno (un temps)
Merci ma puce, je te kiffe trop.

Cynthia (doucement)
Tu m'aimes ?

Bruno hocha légèrement la tête.

Cynthia
Dis-le. S'il te plait...

Bruno (doucement)
Je t'aime.

Cynthia sourit. Ils se regardèrent un moment, puis Bruno tourna le regard vers ses potes. Il regarda Cynthia puis fit mine d'attendre. Cynthia sentit qu'il fallait y aller, elle se leva.

Bruno (visage changé, devenu sérieux)
Commence par medhi !

Cynthia, debout, regarda medhi, assis sur le canapé et visiblement excité. La vue de ce mec de 20 ans, un peu gros et avachi, la dégouta un peu. Mais elle avança quand même dans sa direction et alla s'assoir à ses côtés, entre Mickaël et lui.

Cynthia le regarda, medhi lui sourit, tout excité et gêné.

Bruno
Vas-y ma puce, occupe-toi de lui ! Montre nous comment tu suces.

Cynthia déglutit, puis passa sa main sur la bosse de Medhi qui pointait derrière son survêtement. Medhi expira une goulée d'air, et déglutit à son tour.

Cynthia (en désignant le survêtement)
Tu l'enlèves ?

Medhi, surpris tout d'abord, s'exécuta vivement. Medhi se leva, baissa le suvet' jusqu'à ses chevilles, retenu par les baskets, et se rassit. Il s'aperçut qu'il avait gardé son caleçon, et le baissa un peu, libérant sa queue droite comme un piquet. Cynthia ne perdit pas de temps, la saisit dans sa main et plongea directement tête dessus sans avoir pris la peine de bien décalotter le gland - peut-être pour ne pas être confrontée visuellement à une hygiène qui, c'est une possibilité, pourrait être douteuse. Cynthia suce. Elle active sa bouche sur la queue de medhi, sans prendre vraiment de soin. Medhi halète. Cynthia effectue sa besogne, sans réellement s'appliquer, ce qui n'échappe pas à Bruno.

Bruno
Allez applique-toi Cyn va pas trop vite, montre à Medhi comment tu suces trop bien.

Cynthia, presque les larmes aux yeux, relève son visage et plonge son regard dans celui de Medhi. Celui-ci halète encore plus, surexcité par la situation. A côté, Mickaël regarde la scène et a sorti son sexe pour se masturber. Bruno a fait de même. La scène fait tourner la tête de Cynthia, c'est surréaliste. Mais elle continue, et s'applique d'avantage. Le gland de Medhi est maintenant bien découvert, Cynthia passe sa langue dessus, l'enroule en sortant sa langue au maximum. Puis elle le branle dans sa bouche, elle aspire fort. Elle pompe véritablement, pressée que l'orgasme arrive pour la délivrer de cette situation.

Bruno
Moins vite bébé, on voit rien c'est nul !

Cynthia ralentit. Elle aspire plus doucement le gland et le tête. Medhi halète. Il regarde Bruno, et les deux rigolent ensemble pendant que Cynthia suce sérieusement. Puis Medhi redevient sérieux, regarde la tête bouger. Il tend une main, il hésite. Puis caresse les cheveux de Cynthia. Contrairement à ce qu'elle aurait pu penser, la calme, et la détend un peu. Elle se sent moins chienne, et le calme amène une légère excitation inattendue. Légère toutefois.
Cynthia continue de sucer, d'aspirer la queue du pote de son chéri. Celui-ci regarde la scène avec un air sérieux et lubrique. En jetant de rapides coups d'oeil complices à Mickaël.

Bruno
Eh Medhi, tu vas cracher ou quoi ?

En effet, Medhi respire de plus en plus vite et fort, et la jouissance semble proche.

Medhi
Ouais je sens que ça vient… ça vien Cynthia !

Bruno
Vas-y chérie avale, en fous pas partout !

Cynthia, n'ayant presque pas le choix, obéit à nouveau. Quand les saccades de sperme viennent éclabousser l'intérieur de sa bouche, Cynthia avale le plus vite possible. En fronçant les sourcils car écoeurée par ce sperme d'un homme qu'elle n'aime pas. Mais qu'elle avale quand même.
Elle relève la tête. Il en reste sur la queue, mais elle ne finit pas. Elle n'est pas devenue folle au point de faire ça spontanément. Elle cherche quelque chose pour lui faire passer le goût, et attrape la bouteille de coca de laquelle elle boit plusieurs gorgées. Medhi est en abasourdi et incrédule par ce qu'il vient de vivre.

Bruno
Wah, c'était génial ! A Mickey maintenant, occupe toi de lui.

Mickaël lui fait signe de venir à genoux entre ses jambes. Cynthia obéit, vient se place dans l'axe visuel de la télé.
Il tend son phallus à Cynthia.

Mickaël
Quand tu veux.

Cynthia s'exécute à nouveau. Plus qu'un.
Elle gobe le sexe de Mickaël, et commence le va et vient de ses lèvres sur son gland.

Mickaël
Hum, regarde-moi. C'est trop bon.

Mickaël saisit la bouteille de coca, et en buva deux gorgées en se faisant sucer.

Bruno
T'es fou de boire ça, ça doit être plein de sperme !

Les trois mecs rirent soudain aux éclats !

Mickaël caresse les cheveux de Cynthia légèrement au debut, puis lui aggripe carrément la tête. Il indique à Cynthia le ryhtme à suivre, la cadence de fellation. Cynthia se contente donc de suivre le rythme, en suçant et en attendant que la jouissance vienne à nouveau la délivrer.
Et elle arriva vite.

Mickaël (doucement)
Ouais ça vient...

Mickaël, moins gentleman que medhi, accéléra le mouvement de la tête de Cynthia et força son étreinte, ne lui laissant aucun loisir de s'enlever. Il appuya un peu sur la tête pour l'enfoncer, et éjacula à la limite de la gorge, ce qui faillit donner un haut le coeur à Cynthia. A nouveau, elle avala ce qui arriva, ajoutant le goût de ce sperme à celui de Medhi et au coca.

Mickaël lâcha la chevelure, Cynthia remonta. Mickaël lui sourit, mais Cynthia ne sourit pas. Elle but à nouveau du coca. Regarda Bruno, qui souriait.
Elle alla à ses côtés, plongea sa tête dans son cou. Il rit un peu, en voyant qu'elle pleurait quelques larmes.

Bruno
Mais c'était bien bébé, j'ai adoré. C'était génial !

Cynthia ne répondit pas.

Les quatre jeunes finirent de passer l'après-midi ensemble, sans en reparler. Cynthia rentra chez elle le soir, après avoir embrassé son amoureux.

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