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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#728115
Première expérience candauliste
© lomanbo
Résumé : La rencontre inattendue entre un couple candauliste et un jeune homme très curieux... Quand la sensualité s'éveille aux plaisirs de la chair et du verbe.






Bonjour à toutes et à tous !

Je viens à mon tour vous raconter ma toute première expérience avec un couple, qui est le point de départ de mes aventures, et mon premier face - à - face avec le candaulisme :

La soirée se passe il y a 3 ans, un samedi lors des vacances de la Toussaint. Le temps commence à devenir frais, la nuit tombe très rapidement.

A l'époque, j'ai donc 26 ans, et je travaille comme maitre d' hôtel dans le restaurant d'un grand Hôtel. Ce week end là, l' établissement est presque vide; il n'y a qu'une dizaine de chambres réservées.
L'hotel se trouvant à proximité d'une grande zone commerciale, il y a donc très peu de chances que nous fassions beaucoup de monde au restaurant.

A 19h, mon chef de rang me rejoint, nous nous partageons les tâches pour la soirée. Je m'occupe du bar et du restaurant; lui s'occupera du nettoyage, et du rangement de nos réserves.

Une demi-heure après, un couple de retraités (ma seule réservation!) arrive. Je les installe tranquillement, prend leur commande, et retourne au bar.

Un couple, vient de s'y installer. Les lumières sont tamisées, la nuit tombe doucement, j'ai du mal à bien les distinguer. Je remarque en revanche une très belle mini-jupe rouge, des tallons-aiguilles assortis, et un bustier noir au décolleté très plongeant.
Je les accueille bien chaleureusement, et leur sers 2 coupes de champagne. Nous discutons très brievement de tout et de rien, juste pour savoir qu'il viennent d' Ardeche, et qu'ils viennent ici passer un petit week end de détente.

Je retourne m'occuper du couple au restaurant, lorsque le telephone du restaurant sonne. La réception me demande de monter dans une chambre pour y changer une télécommande.

Je rappelle alors mon chef de rang, pour qu'il reste à l'accueil du restaurant, au cas où.
Je prends le pass de l'hotel qui sert à ouvrir les chambres (les clients étant sortis), et monte avec une autre télécommande de secours.

J'entre dans la chambre 412, sans calculer, et me dirige vers la TV. Après quelques essais, je remplace tout simplement les télécommandes, et me dirige vers la sortie.

C'est alors que je remarque plusieurs objets auxquels je n'avais pas preté attention en entrant.
Il y avait , sur le lit, un ensemble bustier-porte jaretelles lilas et noir , une paire de bas, un loup, et posé sur la table de chevet, une boite de préservatif, du lubrifiant, des menottes "douces" et un mini-vibro...

Un peu étonné par tout cet attirail, je souris alors en pensant que ces deux là allaient bien s'amuser^^.

Je redescends au restaurant, je croise le couple qui avait fini de diner, et m'aperçois que mon collègue a installé le couple qui était au bar.
Je reprends la main, renvoie le chef de rang briquer le bar, et vais prendre la commande.

Avec les lumières du restaurant, les visages se dessinent plus nettement. Ils ont la cinquantaine, environ. Lui est bien habillé, un peu dégarni, 1m70 environ, très avenant; elle est très jolie, une chevelure ondulée ténébreuse, très légèrement ronde ( mais ce n'est pas pour me déplaire), et plutôt discrète.

Ils sont installés à une table se trouvant dans le fond du restaurant, sur un balcon surélevé d'environ 30 cm par rapport au reste de la salle. Une balustrade en bois délimite les deux niveaux.

Je retourne prendre la commande, leur conseille un vin blanc harmonieux pour accompagner leur dorade, et leut demande, pour la facturation, leur numéro de chambre.

- " 412 "

Je réprime alors au plus profond de moi l'esquisse de la moindre plissure de lèvre qui aurait pu faire penser à un léger sourire.

Je les laisse diner tranquillement, et commence à transformer ma salle de restaurant en salle de petit dejeuner.

Au moment de les desservir, nous discutons innocemment de leurs dernières vacances, de vin, de la région.
Et au moment de retourner en cuisine, pour commander les desserts, monsieur me dit :

-" En tout cas, Madame vous trouve très charmant "

Sur le moment, sans recul, je ne peux prendre cette réflexion qu'au premier degré, en pensant que sa femme trouve ma présence agréable, et la discussion interessante.

Je me contente de la remercier d'un sourire et du lui répondre modestement " c'est très gentil à vous ".

Je repars en cuisine, me demandant ce qu'ils étaient en train de me faire, si la remarque était réellement innocente ou pas...

Le dessert est envoyé, pas de relance.... Je continue de mettre les tasses à café en place sur les tables...

Je débarrasse les desserts, et Monsieur me demande jusqu'à quelle heure le bar reste ouvert. Je lui réponds que jusqu'à minuit, je reste à disposition.
Il me remercie, et...

- " Vous êtes très serviable. Madame vous trouve extrêmement charmant"
Ban, 2e fois... Là, ce n'est plus innocent. Je ne me démonte pas, et leur renvoie un compliment subtil.

Je leur sers enfin les cafés.

Je finis de dresser mon service petit dejeuner par le fond du restaurant. Je passe alors à la table se trouvant en contrebas de la leur, juste séparée par la balustrade. Je suis face à la femme, à hauteur de leur table.

C'est alors qu'un spectacle étonnant débute sous la table....
zztop a liké
#729539
Bonsoir à tous!

Je finis de dresser mon service petit déjeuner par le fond du restaurant. Je passe alors à la table se trouvant en contrebas de la leur, juste séparée par la balustrade. Je suis face à la femme, à hauteur de leur table.


Alors que je déposais les tasses sur la table, mon regard fut attiré par un mouvement de jambes de la part de Madame.
Face à moi, tout en regardant son mari fixement dans les yeux, elle m'offrait à la vue son entre-cuisses.
Je restais immobile quelques secondes, faisant exprès de réajuster le set de table.

Puis, lentement, pour ne pas attirer l'attention de son mari, elle glissa sa main sous la table, et la posa sur sa cuisse droite. Elle fit remonter un peu sa jupe, exhibant ainsi sa culotte de dentelle rouge.

Toujours lentement, et tout en discutant avec son mari (les femmes savent vraiment faire 2 choses à la fois, indépendamment^^), elle se caressa le sexe au travers de sa culotte.

La table de petit déjeuner n'aura jamais été aussi parfaite! Je me régalais de ce spectacle hypnotisant.

Sentant l'excitation poindre (^^), je m'éloignais, un peu géné, mais sans tourner le dos à la femme.

Celle-ci me jeta un œil furtif et sourit alors en coin. Elle trempa ses mêmes doigts utilisés pour se caresser, pris un peu de mousse de son cappuccino, et porta le tout à ses lèvres.

J'étais fou, au bord de l'explosion ! J' en bavais d'excitation^^.

Ne sachant plus où me mettre, je suis retourné à la caisse pour y préparer mon enveloppe journalière, histoire de me calmer un peu.

Quelques minutes plus tard, ils se levèrent, s'avancèrent vers moi pour payer la note. Le mari me dit alors qu'ils passent au bar boire un verre. Sans hésitation, je les invite alors et leur offre une coupe de champagne.
Nous discutons quelques instants encore, de tout et de rien. Madame est très sage.

Je les laisse tranquilles au bar, et vais finir de nettoyer mon restaurant. J'éteins la salle, il est 22h. Je renvoie mon chef de rang chez lui.
Il ne me reste plus que le bar à gérer, jusqu'à minuit.

De façon innocente, je vois alors la femme venir vers moi, et me demande si nous vendons des cigarettes. Je lui propose 3 paquets différents.

- " je prends celui-ci. Et écrivez moi votre nom et votre numéro dessus, ça peut toujours servir", me dit elle avec un grand sourire.

Je m'exécute avec joie, en lui rétorquant que ce serait plutôt à moi de lui demander un autographe après un aussi joli spectacle...

Elle ria en s'excusant de m'avoir mis dans un état... inconfortable.
En riant sur le même ton, je répondis que fort heureusement, il n'y avait personne d'autre. J'aurais alors été très ennuyé^^.

Elle me demande alors de lui indiquer où se trouvent les toilettes. Je lui dis de prendre simplement le couloir qui longe le restau, et que c'est au bout.

Elle prend le couloir, je la regarde s'avancer, admirant son déhanché ravageur.

Au moment d'entrer, elle se retourne vers moi, marque un temps d'arret, et entre lentement....

Ma curiosité est à son comble, je m'avance à mon tour dans le couloir....
Modifié en dernier par lomambo le 29 août 2011, 12:46, modifié 1 fois.
#729855
lomambo a écrit :Bonsoir à tous!

Je finis de dresser mon service petit déjeuner par le fond du restaurant. Je passe alors à la table se trouvant en contrebas de la leur, juste séparée par la balustrade. Je suis face à la femme, à hauteur de leur table.

.../...

Ma curiosité est à son comble, je m'avance à mon tour dans le couloir....



Magnifique recit qui prouve la forec erotque de l'écrit, de la pensée, de l'imaginaire sur certaines exhibitions par trop crues ....

Bravo ! et merci ...
#730138
Merci à tous, la suite dans quelques heures...


Magnifique recit qui prouve la forec erotque de l'écrit, de la pensée, de l'imaginaire sur certaines exhibitions par trop crues ....


Je pense que "l'imaginaire" intervient dans la phrase comme une idée globale, assimilée à "la force érotique de l'écrit" et à "la pensée".

Si celà s'applique à mon récit, je vous assure que, même si l'on dit que "Chercher à trop se justifier, c'est prouver que l'on ment", l'histoire est réelle.
J'utilise un style qui peut paraitre emphatique il est vrai, mais c'est dû à mes lectures de Hugo, Rousseau, Doyle..., où le détail était soigné, le suspens entier jusqu'à la fin, qui me tenait en haleine tout le long du bouquin.

Merci encore, en tout cas, à tous vos messages. C'est ma contribution perso au site!
#731222
lomambo a écrit :Merci à tous, la suite dans quelques heures...


Magnifique recit qui prouve la forec erotque de l'écrit, de la pensée, de l'imaginaire sur certaines exhibitions par trop crues ....


Je pense que "l'imaginaire" intervient dans la phrase comme une idée globale, assimilée à "la force érotique de l'écrit" et à "la pensée".

Si celà s'applique à mon récit, je vous assure que, même si l'on dit que "Chercher à trop se justifier, c'est prouver que l'on ment", l'histoire est réelle.
J'utilise un style qui peut paraitre emphatique il est vrai, mais c'est dû à mes lectures de Hugo, Rousseau, Doyle..., où le détail était soigné, le suspens entier jusqu'à la fin, qui me tenait en haleine tout le long du bouquin.

Merci encore, en tout cas, à tous vos messages. C'est ma contribution perso au site!


Rassurez vous Lomambo,

la reference à l'imaginaire n'avait pas pour but de jeter le doute ou discredit sur votre récit ... mais à decrire ce qu'il peut faire naitre en nous, qui "nous y voyons", qui imaginons la scène, vos émois, etc ...

Toute la force de l'érotisme, le pouvoir sensuel avant d'être sexuel reside dans la suggestion plus que dans l'exhibition ... ainsi, pour ceux qui pense comme moi, entr'apercevoir le plissé d'un vrai bas nylon, le tendu d'une jaretelle, ou la proéminence de son attache, la dentelle d'une belle corbeille de soutien gorge, l'éclat d'une petite culotte dans la penombre d'une jupe innocemment entr'ouverte ... ont bien plus d'effet qu'une revelation trop directe et parfois trop crue ...

Continuez donc avec plaisirs partagés à nous faire rêver ....

Ce sont de bien belles histoires, joliment racontées, et qui ne peuvent que rappeler à ceux qui ont dejà quelques experiences, de bien beaux souvenirs ;) ....

Merci d'avance ....
#731705
J'avais donc bien compris, Libertins49, et j'adhère tout à fait à votre raisonnement. Je vous remercie de vos compliments.

Continuons donc.

Elle prend le couloir, je la regarde s'avancer, admirant son déhanché ravageur.

Au moment d'entrer, elle se retourne vers moi, marque un temps d'arret, et entre lentement....

Ma curiosité est à son comble, je m'avance à mon tour dans le couloir...


J'ai le coeur qui bat fort. Je me sens porté par l'excitation. Je suis devant la porte des toilettes, planté comme un clou, ne sachant quoi faire, n'ayant aucune idée de ce qu'il va se passer.

Soudain, le doute m'habite (^^). Et si cette femme ne souhaitait que s'amuser à s'exhiber pour me rendre fou?; et si elle prenait le fait que je l'ai suivie jusqu'ici comme un acte pervers et dangereux?; et si son mari.....

Un léger bruit vint rompre ma réflexion anxieuse. La porte des toilettes s'étaient entre baillée. Elle savait d'avance que je l'avais suivie, et que je me tiendrais là.

Sans dire un mot, elle me fit signe de la rejoindre, avec son index...

Je n'avais plus aucune volonté, plus aucune conscience. Mon corps s'avançait vers elle, sans que je n'aie aucun contrôle dessus. J'étais comme hypnotisé par la curiosité et le désir que je ressentais pour cette femme.

Je rentrais dans les toilettes. Elle me demanda de fermer la porte derrière moi à clé...
Elle se tenait droite devant moi, un sourire aux lèvres, dans son ensemble noir et rouge. Elle avait juste enlevé sa veste, et démelé ses cheveux. On dit que (dé)coiffés ainsi, les femmes dégagent mieux leurs phéromones pour attirer les mâles…

J'étais figé, comme un jeune puceau quelques instants avant de connaître les joies de l'amour charnel.

Elle s'avança, toujours en souriant, et vint se coller à moi, face à face. Elle releva la tête, approchant son visage tout près du mien. Elle me prit les mains. Sa peau était douce et chaude.

Elle me chuchota à l'oreille, balayant mon visage de ses cheveux : "Dis donc, toi ... Je te plais on dirait?"

Ces quelques mots, soufflés à mon oreille, sur un ton mielleux eurent un effet immédiat sur certaines parties de mon corps.
J'eus un frisson qui partit de la nuque pour arriver dans les reins, traversant la colonne vertébrale comme un courant électrique très intense.
Mes mains devinrent moites, je sentis une chaleur inhabituelle monter en moi, et bien évidemment, le pensionnaire du rez de chaussée se réveilla d'un coup, et regarda en direction de la personne qui l'avait réveillé...

Collée à moi, elle sentit mon émoi butter contre sa cuisse.

"Même si tu me disais non, je ne te croirais pas ! " me dit elle.
"Il y a des indices qui ne trompent pas" lui répondis je.

Elle baissa la tête, lacha mon bras gauche, et vint poser sa main sur la bosse qui s'était nouvellement formée. Elle commença à la caresser doucement, guettant la moindre de mes réactions. Bouche ouverte, elle semblait se délecter de ce spectacle.

Je pris alors son bras, le caressant jusqu'à épaule. Je laissais ma main balader le long de sa poitrine, caressant sa nuque. Elle tourna la tête, attrapa mon pouce qui passait par là, et le suça sensuellement.

Elle appuyait de plus en plus fort sur mon sexe, le prenant bien en main au travers du pantalon. Elle guidait mon autre main sur ses reins, m'incitant à la promener plus bas.

Une main sur ses fesses, je pus la serrer plus fort contre moi. De la main gauche, je lui maintins le visage, et l'embrassa.
Elle serra si fort mon sexe d’excitation, qu'elle faillit me faire mal!
Je glissais ma main plus bas, arrivant à la naissance de ses cuisses. Je sentais ses bas sous mes doigts, cela m'excitait terriblement.

Je remonte alors ma main sous sa mini-jupe, caressant ses fesses à cru. Elles étaient toutes douces, fermes et délicieusement rebondies. Je les prenais à pleine main, les malaxant avec extase.

Je sentis le délicat travail de la dentelle. Mes doigts le suivirent comme un chemin tracé entre ses fesses. Je passais les doigts sur son sexe, au travers de sa culotte. Ils se trempèrent immédiatement de cyprine. Je la caressais ainsi de longues secondes qui me parurent une éternité.
Je sentais son souffle dans mon cou s’accélérer, et de sensuels soupirs se dégager de ses expirations.

Elle cessa soudain, reprenant ses esprits, et dégrafa ma ceinture. Tout en se mettant à genoux devant moi, elle me dit : « Je vais te montrer ce dont je suis capable quand on me chauffe ! »
zztop a liké
#733891
Elle cessa soudain, reprenant ses esprits, et dégrafa ma ceinture. Tout en se mettant à genoux devant moi, elle me dit : « Je vais te montrer ce dont je suis capable quand on me chauffe ! »


Sans avoir eu le temps de répondre, je me retrouvais pantalon aux chevilles, fesses nues appuyées contre le lavabo de faïence gelé.

Qu'importe ! Il aurait fallu des tonnes de lavabos pour freiner mon excitation.

Ses mains caressaient mon torse, tandis qu'elle descendait tout doucement, embrassant chaque cm² de ma peau, jouant avec sa langue et mon nombril.

Je la retenais par les bras, pour qu'elle ne descende pas trop vite.

Elle se mit à genoux, et s'amusa à mordre mon sexe au travers de mon caleçon. D'une main, elle me caressait les bourses, de l'autre, elle remontait le long de ma cuisse, sous le tissu.

Elle m'attrapa en même temps quelle descendait mon caleçon, sortant de sa cachette mon sexe dur et rouge de plaisir. Elle continua son massage à deux mains, puis y déposa délicatement ses lèvres. Elle suça le gland lentement, en prenant soin de faire tournoyer sa langue sur son extremité. De ses mains, elle continuer à de me caresser les bourses, tandis qu'elle s'appliquait à me faire coulisser entre ses doigts.

Elle alterna ainsi caresses buccales et succions profondes pendant quelques minutes. Au comble de l'excitation, je lui maintenais la tête, accompagnant ses va et vient sans la brusquer.

Elle lécha le sexe sur toute sa longueur, aspirant mes testicules, alors qu'elle me masturbait énergiquement. Je sentais le moment venir où j'allais virer de l'oeil, tant son expertise me faisait tressaillir..

Elle dut s'en rendre compte, car elle repris mon sexe en bouche, me suçant comme une dévergondée, puis se retira et me laissa exploser , tout en m'accompagnant du geste de ses mains délicates.

Elle se releva un grand sourire aux lèvres, alors que ma respiration redevenait normale.
Je la serrais contre moi, l'embrassant à pleine bouche

"Alors?" me demanda t'elle. Je lui répondis qu'elle devrait faire profiter le monde entier de son don aussi ravageur.

Elle me laissa me rhabiller, puis sortit des toilettes rejoindre son mari au bar.

De mon côté, la tête ailleurs, je sortais presque en titubant, riant de ce qu'il venait de se passer.
J'allais au bar me servir un fond de whisky pour me remettre les idées claires.

Le couple était toujours installé au bar, buvant leur coupe de champagne.
Je les observais, me demandant sur quel manège ils 'avaient fait tourner, si le mari était complice, si elle lui avait tout raconté à son retour.

Je repensais à ce moment doux, où collée à moi, j'avais embrassé ses seins et elle embrasé mon désir...

Je fus sorti de mes pensées par le mari qui me demandait de venir les rejoindre.
Un peu étonné, je marchais vers eux, me demandant à quelle sauce j'allais être mangé cette fois.

Il m'invita à m'assoir avec eux, puisque nous étions seul, sans autres clients. Je pris place à côté de sa femme, puisqu'il me parlait, et que je ne voulais pas me tourner pour le regarder.

Il me demanda si j'étais originaire de la région, si j'aimais m'y balader, si je connaissais des coins sympas.. Bref, une discussion d'une banalité ordinaire.

Ils décidèrent enfin de prendre congé de moi d'une façon encore une fois très osée :

Le mari me dit qu'il m'auraient bien invité à boire un verre avec eux dans la chambre, si le frère de sa femme ne les avais pas rejoins plus tard !!

Je les remerciais (encore) de leur gentillesse, leur disant que ce ne serait que partie remise, et que de toute façon, je ne regrattais pas d'avoir eu le privilège de faire leur connaissance.
(Si tous les clients étaient comme eux!^^)

Ils se levèrent, le mari me serra la main, sa femme me fit une bise toute conventionnelle, et s'en allèrent dans le hall attendre le frère.

De mon côté, je nettoyais les derniers verres derrière le bar en attendant l'heure.

Et soudain, je vis entrer le fameux frère de madame, à peine une vingtaine d'années, et qui semblait bien tactile avec eux....
#734439
lomambo a écrit :
Elle cessa soudain, reprenant ses esprits, et dégrafa ma ceinture. Tout en se mettant à genoux devant moi, elle me dit : « Je vais te montrer ce dont je suis capable quand on me chauffe ! »


.../...

Et soudain, je vis entrer le fameux frère de madame, à peine une vingtaine d'années, et qui semblait bien tactile avec eux....



LOL


Que de rebondissements ;)

Toujours fort bien écrit .... Merci à vous d'avoir pris ce temps
#736004
Et soudain, je vis entrer le fameux frère de madame, à peine une vingtaine d'années, et qui semblait bien tactile avec eux....


Le jeune homme les suit dans le couloir qui monte aux chambres. Déjà, devant l'ascenseur, il caresse les fesses de Madame. Drôle d'attitude entre un frère et sa soeur...

Le temps passe... Je clôture. Il est bientôt minuit lorsque les portes de l' ascenceur s'ouvrent.

Le jeune homme en sort, visiblement gêné et pressé de partir. Je le regarde amusé, en me disant qu 'il devait avoir école le lendemain...

Je me préparer à partir, lorsque le téléphone du room service sonna. Pestant contre ces gens qui m'appelaient au dernier moment, alors que je n'avais rien fait de la soirée, je posais mon sac et allais vers le téléphone.

Surprise, vous l'aurez deviné, il s'agissait de la 412 qui apparaissait sur l'écran du téléphone.

"Bonsoir, excusez nous de vous demander ça si tard, mais est il encore possible de commander une bouteille de champagne?"

Ma caisse était fermée, j'étais prêt à partir, mais je leur répondis que la leur montait dans quelques instants.

Je préparais mon chariot, et prenais l'ascenseur pour leur chambre.

Je frappais, et l'instant d'après c'était le mari qui m'ouvrait, en peignoir de bain, tout content..
Il m'invita à rentrer en me demandant de ne pas faire de bruit.

Je fronçais les sourcils, ne comprenant pas sur le moment, mais j'entendis le bruit de la douche dans la salle de bain.

J'avançais le chariot jusque dans le salon, suivi du zozo derrière moi.

Il me dit alors : "Je vous remercie beaucoup. Vous restez boire un verre avec nous, bien entendu?"
Je n'osais répondre non merci, et sur mon hésitation, il rebondit de façon très déconcertante :

"Ma femme m'a tout raconté à votre sujet. Cela m'a excité et j'aimerais lui faire la surprise quand elle sortira de la douche".

Bouche bée, je ne soufflai mot, ce qu'il interpréta comme un "oui".
Je l'occupais de servir le champagne, tandis que Zozo s'installait sur le sofa, toujours en peignoir.

Je restais debout, concentré sur le bruit de la douche, presque angoissé en attendant le moment où elle sortirait.

La douche s'arrêta enfin, on entendit le rideau de douche se tirer, et une voie féminine dire :
"Chéri, où sont les serviettes?"

Zozo souriait en coin, et répondit simplement : " Ici "

Il les avait sciemment sorties, sachant que je serais là au moment où elle sortirait de la douche...

La porte de la salle de bains s'ouvrit, et la belle en sortit, entièrement nue, demandant pour quelle raison les serviettes se trouvaient dans le salon.

Ne s'attendant visiblement pas à me voir, elle eut un mouvement d'arrêt, mais ne sembla pas gênée par la situation.

Elle se contenta de me sourire, saisissant une serviette, et retourna dans la salle de bains "juste pour une minute".

Elle revint en nuisette noire transparente, string assorti, parfumée délicatement.

"C'est une très bonne idée le champagne",dit elle. Rien de tel pour savourer une bien agréable soirée.

Je leur fis la remarque que j'avais croisé son frère il y a quelques minutes, sur un ton ironique.

Elle regarda son mari d'un air mécontente et lui dit : "En tout cas, mon frère baise mal. Je sais pas où tu l'as trouvé encore, mais là, c'est le bouquet..."

J'assistais à la scène effaré. Je venais de percuter un récif dont je ne soupçonnais même pas l'existence la veille. Je pensais simplement au début que Madame se permettait quelques infidélités et aventures avec le consentement plus ou moins explicite de son mari, mais de là à inviter un autre homme pour partager un moment intime, choisi par le mari de surcroît, je tombais de mon nuage d'innocence^^.

Je leur demandais de m'expliquer la situation, car "je n'étais pas certain de tout comprendre".

Autour des bulles de champagne, ils m'expliquèrent leurs aventures, comment ils en étaient arrivés là. Pour la première fois, j'entendais le mot "candaulisme". Ils me parlèrent de leur désir déclinant, qui les avait poussés à emprunter des chemins de séduction différents; leurs sorties en club, au sauna, les annonces sur internet, leurs rencontres.

Le jeune homme de la soirée avait été "choisi", mais submergé par l'émotion, il s'était révélé être incapable de se remettre en de bonnes conditions, après la première fellation qui l'avait fait exploser.

Tout en discutant, la chaleur du champagne que nous buvions assez rapidement m'envahissait, et je sentais que mes paroles étaient moins précises, mon attention plus éparse.

Je m'étais assis sur le lit, à quelques dizaines de cm de Madame, qui était elle allongée sur le lit. Par moments, je la voyais se caresser les jambes et la gorge, ce qui commençait à me travailler.

Zozo discutait aussi, assis dans son coin. Il semblait ravi du tableau.

Madame se leva pour aller aux toilettes. Je la regardais sans aucune discrétion, bavant presque à la vue de ses fesses sous la nuisette.
Zozo s'en amusa et me dit alors : "J'aimerais que tu la baises"
justindom1417 a liké
#736549
lomambo a écrit :testeur : essaie d'imaginer la suite^^


J'ai un afflux important de sang dans une de mes extrémités, le cerveau est passé en mode "repos", et dur dur d'imaginer la suite .. (quoique)
#738913
Madame se leva pour aller aux toilettes. Je la regardais sans aucune discrétion, bavant presque à la vue de ses fesses sous la nuisette.
Zozo s'en amusa et me dit alors : "J'aimerais que tu la baises"



Je dévisageais Zozo avec des yeux ronds, étonné par la demande qu'il venait de me faire.

Il se répéta, en rajoutant qu'il souhaitait la voir prendre du plaisir, la sentir s'abandonner, l'entendre gémir avec moi. Il lui avait promis un jeune amant génial, et pour l'instant, elle était plutôt déçue. Il voulait se rattraper grâce à moi, estimant que je lui plaisais beaucoup, et qu'elle n'aurait aucun mal à se lâcher.

Lui se contenterait de regarder, dans son coin, et profiterait de l'étreinte.

Rapidement, sans plus réfléchir, j'enlevais mes chaussures pour me mettre à l'aise, et m'allongeais sur le lit. Lui s'était levé, attendant sa femme à la sortie de la salle de bain.

Lorsqu'elle sortit, il lui prit les mains et lui dit, les yeux pleins d'amour :

"Mon coeur, pour me faire pardonner, je t'offre la chaleur de notre ami. Ce beau jeune homme a très envie de toi".

Elle me regarda avec un ravissement qui faisait plaisir à voir. Comme une gourmande à qui on offrait le plus sucré des gâteaux.

Il la guida jusqu'au lit, puis alla dans le fond du salon s'asseoir.
Elle s'approcha de moi, dans sa tenue ultra sexy. Je voyais par transparence ses seins magnifiques commençant à poindre d'excitation.

Elle posa un genou sur le lit, face à moi, puis avança à 4 pattes en ma direction.

Sa lourde poitrine m'offrait un décolleté immanquable; je m'en régalais d'avance.
Elle avança sur moi, pour venir m'embrasser. Elle me chevaucha, s'asseyant sur mon sexe qui grossissait à chacune de ses ondulations de bassin. Seules trois couches de tissu empêchaient un contact charnel.

Sensuellement, elle déboutonna ma chemise, écartant chaque côté pour découvrir mon torse.
Par petits gestes, elle bougeait son bassin, frottant ainsi son sexe contre le mien.

Je posais les mains sur ses cuisses, pour caresser à nouveau sa peau si veloutée. Au travers de sa nuisette, je dessinais le contour de ses hanches, pour remonter jusqu'à ses seins dont j'effleurais délicatement les tétons.

Elle se pencha à nouveau sur moi, m'embrassant à pleine bouche, tandis que d'un geste, elle dégrafait ma ceinture.
Puis, lentement, elle m'embrassa dans le cou, sur le torse, caressant les pectoraux velus qui se contractaient.
Arrivant au nombril, elle joua un moment avec sa langue, juste le temps d'ouvrir mon pantalon. Elle le baissa jusqu'à mi-cuisse, juste pour pouvoir sortir confortablement mon sexe du caleçon.

Elle regarda son mari, sexe en main, et lui dit : "Tu vois, je ne t'avais pas menti". Zozo la contemplait, commençant à se caresser lui aussi.

Elle me regarda à nouveau, et engloutit mon sexe d'un coup d'un seul, me tirant une aspiration d'extase. Sans ménagement, elle entreprit de pomper de façon énergique, tout en me masturbant frénétiquement.

De ce traitement, je poussais des râlements de plaisir. Elle ralentit alors, sentant sûrement venir le moment de changer un peu de position. Reprenant mes esprits, je la remontais à ma hauteur, l'embrassant, puis je nous fis rouler sur le côté, me retrouvant alors dessus.

D'un coup de rein, j'enlevais le pantalon, tandis que je me débarrassais de la chemise devenue encombrante.

Je vins, au niveau de la taille, caresser sa peau en relevant la nuisette. J'embrassais son cou, sa gorge, tandis que mes mains remontaient le long de son ventre jusqu'aux seins, soulevant d'autant sa lingerie. J' effleurais ses seins, puis les embrassais, léchant ses pointes rougies par le sang.
Je descendais lentement en embrassant son ventre, tout en continuant mes caresses.

Arrivant au niveau de son string, j'embrassais son sexe, bouche grande ouverte. J'eus la surprise de sentir toute l'humidité du tissu, au bout de ma langue. Maniant celle-ci, et avec le concours de mes lèvres, je parvenais à soulever légèrement son string, pour dévoiler son intimité.
Aidé alors de mes mains, je lui enlevais alors entièrement.

Elle se trouvait alors ainsi offerte, cuisses écartées, nuisette bloquée au dessus des seins, le sexe déjà bien lubrifié.
Je regardais d'un oeil furtif Zozo, qui se paluchait dans son coin.

Je pris les jambes de ma partenaire, que je levais en l'air, formant un angle droit avec le reste de son corps. Je vins caresser son sexe, puis je le léchais délicatement.
D'abord les grandes lèvres, que j'écartais doucement; puis les petites, en prenant soin de ne pas oublier son bouton au dessus. Elle se mit alors à gémir et à haleter. Alors que je jouais du bout de ma langue sur son clitoris, je stimulais l'entrée de son vagin avec deux de mes doigts. Je les introduisais pas, je caressais simplement l'entrée, ce qui semblait l'exciter encore plus.

Prenant conscience que la position n'était peut etre pas confortable pour elle, je redescendais ses jambes que je reposais sur le lit. Je pris un coussin assez gros, que je lui mis sous les fesses, de façon à surélever son bassin. J'écartais ensuite ses cuisses, et reprenais mon massage buccal.

Je l'observais de temps en temps, pour la voir agriper les draps, où mordre un bord de son coussin. Cela m'incita à aller plus loin. Je descendis ma langue le long de ses lèvres, jusqu'à son vagin, et y introduis ma langue sur deux bons cm. Elle cessa de respirer un instant, avant de pousser un gémissement de satisfaction. Elle commença alors à se caresser elle même les seins, pendant que je m'occupais de son sexe...
justindom1417 a liké
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Je l'observais de temps en temps, pour la voir agriper les draps, où mordre un bord de son coussin. Cela m'incita à aller plus loin. Je descendis ma langue le long de ses lèvres, jusqu'à son vagin, et y introduis ma langue sur deux bons cm. Elle cessa de respirer un instant, avant de pousser un gémissement de satisfaction. Elle commença alors à se caresser elle même les seins, pendant que je m'occupais de son sexe...



Ses lèvres rougissaient, se gonflaient de sang. Je sentais son clitoris se durcir de plus en plus au passage de ma langue. Je la maintenais fermement par les fesses, pour pouvoir la pénétrer au maximum avec la langue.

Son sexe était ouvert, parfaitement lubrifié. Je le caressais du bout des doigts, et y insérais l'index lentement. Sa respiration ralentit, gémissante... J'avançais plus profondément, en stimulant chacune des parois de son vagin. Elle se mit à onduler du bassin, afin de guider mon doigt plus profond en elle.
Son corps se cambra, sa respiration devint haletante. Je me tenais à genoux à ses côtés, la pénétrant en un va et vient doux et délicat. Sa main cherchant mon corps se posa sur ma cuisse, puis vint prendre mon sexe qu'elle masturba en même temps.

Nos corps rougissaient sous l'effet de la pression sanguine, nous n'en pouvions plus...

Se reprenant, elle saisit un préservatif sur la tablette, et me le donna.
Puis, se dressant sur ses genoux, elle vint se coller à moi et m'embrassa. Dans un souffle, elle me dit : "J'ai envie que tu me prennes sauvagement".

Elle se retourna, se mit à quatre pattes sur lit, face à son mari qui se régalait toujours.
J'enfilais le latex sans aucune difficulté, et m'avançais vers ma partenaire, dont je voyais la magnifique croupe. Je me mis entre ses jambes, lui caressais le dos. Je pris mon sexe tendu et le frottais contre le sien.

Puis dans un subtil coup de rein, je la pénétrais pour de bon. Durant quelques secondes, je fis exprès de ne rentrer que le gland, ce afin qu'elle me sente bien la pénétrer au fur et à mesure.
"Oh oui, vas y" lâcha t' elle. Un coup de rein plus appuyé, et je rentrais encore plus profond en elle. Dans un va et vient de métronome, sans la brusquer, je parvenais à lui tirer des soupirs de plaisir.

Ses gémissements m'encouragèrent à continuer plus sérieusement, et à me lâcher un peu plus.
Je l' embrochais à présent sur toute ma longueur, butant contre ses fesses. Je la maintenais au niveau des hanches, accélérant progressivement le rythme. Le bruit que faisait mon bas ventre cognant contre ses fesses se faisant plus fort, plus rapide.

Je ralentissais pas moments, changeant d'angle de pénétration, stimulant chaque côté de son vagin. C'est alors elle qui relançait la machine, en se balançant d'avant en arrière, venant chercher mon sexe au plus profond d'elle. Pour la satisfaire, je passais une jambe par dessus la sienne, au dessus de sa hanche. Ainsi, je la pénétrais plus en profondeur, ce qui la faisait crier plus fort.

Très excité, je sentais que je n'allais pas pouvoir tenir longtemps.
Je l'invitais à changer de position, et nous fîmes la posture de l' Amazone. Allongé sur le lit, elle commença à me chevaucher frénétiquement, légèrement penchée en arrière. En même temps qu'elle montait et descendait sur mon sexe, je la sentais onduler d'avant en arrière avec son bassin. Je caressais alors son clitoris apparent, ce qui lui tira des cris encore plus forts.

Après quelques secondes, son corps de raidit, je sentis mon sexe être légèrement comprimé. Je compris à sa respiration qu'elle venait de jouir.

Et bien entendu, à ce moment là, je me suis détendu^^ . Elle se remit à danser sauvagement sur moi, en me malaxant les testicules.

Le cocktail fut explosif, et je jouissais dans un râle d'extase.

Elle s'allongea sur moi, m'embrassant en souriant. Nos respirations revinrent normales, et elle se délivra.

Elle demanda à son mari si ça allait. Celui ci répondit : "Oh oui mon amour. Tu étais tellement belle sur notre invité".
"Oui, tu as eu une très bonne idée de lui dire de venir. Je suis pas déçue!"

Je m'étais assis sur le bord du lit, et avais retiré le latex. Je n'avais aucune idée de ce qu'il pouvait se passer à présent..

Elle lui dit alors : "Allez, viens, à ton tour maintenant !"

Zozo se leva, s'approcha du lit tout en érection, et se fit sucer par sa femme !
Je les regardais, à quelques cm, ne sachant quoi faire. Je n'osais pas interférer, mais ils surent me mettre à l'aise.

Elle me regarda, et me fit signe de m'approcher. Puis elle me masturba à nouveau.

Ce manège ne dura guère, puisque Zozo lui dit se remettre à quatre pattes, et se prépara à la prendre.
"Je vais m'occuper de l'autre, maintenant, il est jaloux", dit il en parlant de son œillet.

Il la prépara très rapidement avec son majeur, et lui enfonça tout droit dans son cul. Il entra dans le vif du sujet, puisque de suite, il adopta une cadence très rapide. Je voyais les seins de sa femme qui se balançaient dans tous les sens, et elle qui poussait de petits cris, toujours en m'agitant la verge.

Dans ce jeu, je me levais, et allais me mettre à l'autre bout du lit, de façon à faire face à Zozo, et donc me retrouver juste devant la tête de Madame. Celle ci m' aperçois et n'hésite pas une seconde. Elle saisit mon sexe, et le suce goulûment. Son mari est aux anges. Il voit sa femme sucer l'homme avec lequel elle vient de coucher, et derrière lequel il passe à présent....
justindom1417 a liké
#746246
lomambo a écrit :

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Dans ce jeu, je me levais, et allais me mettre à l'autre bout du lit, de façon à faire face à Zozo, et donc me retrouver juste devant la tête de Madame. Celle ci m' aperçois et n'hésite pas une seconde. Elle saisit mon sexe, et le suce goulûment. Son mari est aux anges. Il voit sa femme sucer l'homme avec lequel elle vient de coucher, et derrière lequel il passe à présent....



Quelle belle description d'une soirée autour et avec deux amoureux de la vie et du candaulisme .... Un complice attentif, coquin et canaille ....

Une très belle ecriture pour un récit qui nous replonge dans les delices de cette soirée ... et quelques beaux souvenirs qui recoupent certains narrés ici !! lol

Bravo

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