Madame se leva pour aller aux toilettes. Je la regardais sans aucune discrétion, bavant presque à la vue de ses fesses sous la nuisette.
Zozo s'en amusa et me dit alors : "J'aimerais que tu la baises"
Je dévisageais Zozo avec des yeux ronds, étonné par la demande qu'il venait de me faire.
Il se répéta, en rajoutant qu'il souhaitait la voir prendre du plaisir, la sentir s'abandonner, l'entendre gémir avec moi. Il lui avait promis un jeune amant génial, et pour l'instant, elle était plutôt déçue. Il voulait se rattraper grâce à moi, estimant que je lui plaisais beaucoup, et qu'elle n'aurait aucun mal à se lâcher.
Lui se contenterait de regarder, dans son coin, et profiterait de l'étreinte.
Rapidement, sans plus réfléchir, j'enlevais mes chaussures pour me mettre à l'aise, et m'allongeais sur le lit. Lui s'était levé, attendant sa femme à la sortie de la salle de bain.
Lorsqu'elle sortit, il lui prit les mains et lui dit, les yeux pleins d'amour :
"Mon coeur, pour me faire pardonner, je t'offre la chaleur de notre ami. Ce beau jeune homme a très envie de toi".
Elle me regarda avec un ravissement qui faisait plaisir à voir. Comme une gourmande à qui on offrait le plus sucré des gâteaux.
Il la guida jusqu'au lit, puis alla dans le fond du salon s'asseoir.
Elle s'approcha de moi, dans sa tenue ultra sexy. Je voyais par transparence ses seins magnifiques commençant à poindre d'excitation.
Elle posa un genou sur le lit, face à moi, puis avança à 4 pattes en ma direction.
Sa lourde poitrine m'offrait un décolleté immanquable; je m'en régalais d'avance.
Elle avança sur moi, pour venir m'embrasser. Elle me chevaucha, s'asseyant sur mon sexe qui grossissait à chacune de ses ondulations de bassin. Seules trois couches de tissu empêchaient un contact charnel.
Sensuellement, elle déboutonna ma chemise, écartant chaque côté pour découvrir mon torse.
Par petits gestes, elle bougeait son bassin, frottant ainsi son sexe contre le mien.
Je posais les mains sur ses cuisses, pour caresser à nouveau sa peau si veloutée. Au travers de sa nuisette, je dessinais le contour de ses hanches, pour remonter jusqu'à ses seins dont j'effleurais délicatement les tétons.
Elle se pencha à nouveau sur moi, m'embrassant à pleine bouche, tandis que d'un geste, elle dégrafait ma ceinture.
Puis, lentement, elle m'embrassa dans le cou, sur le torse, caressant les pectoraux velus qui se contractaient.
Arrivant au nombril, elle joua un moment avec sa langue, juste le temps d'ouvrir mon pantalon. Elle le baissa jusqu'à mi-cuisse, juste pour pouvoir sortir confortablement mon sexe du caleçon.
Elle regarda son mari, sexe en main, et lui dit : "Tu vois, je ne t'avais pas menti". Zozo la contemplait, commençant à se caresser lui aussi.
Elle me regarda à nouveau, et engloutit mon sexe d'un coup d'un seul, me tirant une aspiration d'extase. Sans ménagement, elle entreprit de pomper de façon énergique, tout en me masturbant frénétiquement.
De ce traitement, je poussais des râlements de plaisir. Elle ralentit alors, sentant sûrement venir le moment de changer un peu de position. Reprenant mes esprits, je la remontais à ma hauteur, l'embrassant, puis je nous fis rouler sur le côté, me retrouvant alors dessus.
D'un coup de rein, j'enlevais le pantalon, tandis que je me débarrassais de la chemise devenue encombrante.
Je vins, au niveau de la taille, caresser sa peau en relevant la nuisette. J'embrassais son cou, sa gorge, tandis que mes mains remontaient le long de son ventre jusqu'aux seins, soulevant d'autant sa lingerie. J' effleurais ses seins, puis les embrassais, léchant ses pointes rougies par le sang.
Je descendais lentement en embrassant son ventre, tout en continuant mes caresses.
Arrivant au niveau de son string, j'embrassais son sexe, bouche grande ouverte. J'eus la surprise de sentir toute l'humidité du tissu, au bout de ma langue. Maniant celle-ci, et avec le concours de mes lèvres, je parvenais à soulever légèrement son string, pour dévoiler son intimité.
Aidé alors de mes mains, je lui enlevais alors entièrement.
Elle se trouvait alors ainsi offerte, cuisses écartées, nuisette bloquée au dessus des seins, le sexe déjà bien lubrifié.
Je regardais d'un oeil furtif Zozo, qui se paluchait dans son coin.
Je pris les jambes de ma partenaire, que je levais en l'air, formant un angle droit avec le reste de son corps. Je vins caresser son sexe, puis je le léchais délicatement.
D'abord les grandes lèvres, que j'écartais doucement; puis les petites, en prenant soin de ne pas oublier son bouton au dessus. Elle se mit alors à gémir et à haleter. Alors que je jouais du bout de ma langue sur son clitoris, je stimulais l'entrée de son vagin avec deux de mes doigts. Je les introduisais pas, je caressais simplement l'entrée, ce qui semblait l'exciter encore plus.
Prenant conscience que la position n'était peut etre pas confortable pour elle, je redescendais ses jambes que je reposais sur le lit. Je pris un coussin assez gros, que je lui mis sous les fesses, de façon à surélever son bassin. J'écartais ensuite ses cuisses, et reprenais mon massage buccal.
Je l'observais de temps en temps, pour la voir agriper les draps, où mordre un bord de son coussin. Cela m'incita à aller plus loin. Je descendis ma langue le long de ses lèvres, jusqu'à son vagin, et y introduis ma langue sur deux bons cm. Elle cessa de respirer un instant, avant de pousser un gémissement de satisfaction. Elle commença alors à se caresser elle même les seins, pendant que je m'occupais de son sexe...