©FORUM CANDAU - N'oubliez pas de liker !
A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par jabac76
#745835
ou comment ma femme a recruté ses deux premiers clients...

J’entendais ses talons claquer dans l’escalier, qu’elle devait descendre à toute allure. Natacha et moi venions encore de nous pouiller. Pour des conneries, comme d’hab. La faute à mon frère, ou à sa sœur, ou à sa mère, je ne sais plus et on s’en fout. Elle allait encore faire la gueule, et j’avais horreur de çà. Avant, c’était une fois par mois, maintenant, ça pouvait arriver n’importe quand. Parfois par jeu, parfois plus sérieux. Bref : chiant ! Je décidai de filer au lit pour bouquiner.

J’entendis la porte s’ouvrir au bout d’une demi-heure, trois quarts d’heure. Elle avait dû fumer un peu, ou faire le tour du pâté de maisons. De deux choses l’une : ou ça allait être l’auberge du cul tourné, ou elle allait tout mettre en œuvre pour se faire pardonner. Je priai le ciel que ce soit la deuxième solution. Quand elle entra dans la chambre, je levai les yeux de mon livre en souriant :

- Ca va?
- …
- Qu’est-ce que tu as fait ?
- Deux passes.

Elle avait dit ça avec le plus grand sérieux, je n’en crus donc pas un mot.

- Tu me tentes. Viens donc ici. C’est combien ?
- 50 la pipe, 100 l’amour. Payable d’avance.

Le jeu commençait à m’exciter : je pris mon portefeuille dans le tiroir de la table de nuit et lui donnai deux billets de 50 €. Elle tira le drap d’un mouvement sec. Je bandais honteusement. Elle enleva chaussures et jupe et vint s’installer à califourchon sur moi. Comme je commençais à déboutonner le chemisier, elle ajouta

- A poil, c’est 150 !
- OK. Je repris le portefeuille d’où je tirai quarante euros. 140 : je ne peux pas faire mieux sans passer à la banque.
- Ca ira.

Elle rangea ses sous dans le paquet de clopes qu’elle posa sur la table de nuit, puis enleva lascivement chemisier et soutien-gorge. Je dois reconnaître qu’elle m’en donna pour mon argent. Les débats achevés, elle fila prendre une douche.

Je tendis la main vers son paquet de clopes. Qui contenait, soigneusement roulés, deux billets de 50, sept de 20 et cinq de 10. La salope ! Quand elle revint, je lui demandai si la soirée avait été bonne.

- Dispute mise à part, excellente, pourquoi ?
- Sur le plan comptable, veux-je dire ? Je tirai de sous l’oreiller le paquet de billets, que je jetai en l’air.
- Ah ! Deux passes, je te l’ai dit. Trois avec toi… 300 €, non, 290, net d’impôts.
- Comme mac, j’ai droit à la moitié. Je te fais un prix : je ne reprends que mes 140 €. Et tu reviens ici tout de suite me raconter la chose.

Quand nous eûmes finis de baiser, elle me raconta l’histoire suivante :


En sortant de l’immeuble, la température l’avait surprise : l’orage du début de soirée avait dû la faire baisser de dix bons degrés.. Il avait fait lourd toute la journée, aussi était-elle habillée d’une jupe aussi courte que légère et d’un chemisier. Un bref frisson la secoua. Maintenant qu’elle était dehors, il fallait bien y rester au moins un peu : remonter aussitôt aurait trop ressemblé à une capitulation.

A 23 heures, la circulation sur le boulevard était encore intense, même pour un samedi. Mais à cause des vacances il n’y avait presque pas de voitures garées sur la contre-allée. Elle s’appuya contre un platane, tira un paquet de cigarettes de sa poche de chemisier, en prit une et l’alluma. Finalement, elle trouva finalement qu’il faisait bon. Elle leva les yeux sur la fenêtre de leur appart’. La lumière était éteinte : Greg avait dû se coucher pour lire ou regarder la télé. Perdue dans ses réflexions, elle entendit derrière elle le chuintement de pneus mouillés sur l’asphalte sans y prêter attention. Elle sursauta et se retourna quand elle réalisa qu’on lui adressait la parole. Une voiture était arrêtée derrière elle. Le chauffeur, vitre ouverte et bras à la portière lui dit à nouveau quelque chose en souriant. S’imaginant qu’il cherchait une adresse, elle s’approcha.

- Pardon ?
- Désolé de te tirer de ta rêverie, ma jolie. Je te demandais seulement : combien ?

Elle comprit immédiatement qu’il la prenait pour une pute, mais au lieu de lui coller une baffe, elle sentit monter en elle une incroyable excitation et s’entendit répondre :

- 50 pour une pipe.
- OK. Monte. On va où ?
- Tu tourne à droite.
- C’est une impasse…
- Y’a un parking.

Elle le savait : c’était celui de son immeuble, et elle était sortie avec les clefs de l’appart’ et la télécommande. Elle le conduisit à la place réservée aux « invités ». Elle lui demanda de sortir et de contourner la voiture. Elle baissa sa vitre, défit la ceinture du type, fit glisser son zip et tira son sexe d’un caleçon à fleurs. Puis elle tendit la main. Il fouilla dans une poche et en tira les 50 € réclamés, qu’elle roula avant de les glisser dans son paquet de cigarettes. Puis elle commença son ouvrage.

Dix minutes plus tard, elle avait regagné l’air libre. Après avoir consulté sa montre, elle décida de s’accorder encore un clope. Elle songeait encore à son aventure qui l’avait laissée toute excitée quand une seconde voiture s’arrêta. Cette fois-ci, elle comprit la question du premier coup.

- 100 € l’amour.
- OK. Monte. Où va-t-on ?
- Tut tournes à droite…
- C’est une impasse.
- Y’a un parking. La répétition des échanges la fit rire.
- J’ai horreur de çà. On va baiser dehors, puisque c’est une impasse, il ne passera personne. Il arrêta la voiture le plus loin possible du boulevard.
- Tu as des capotes ?

Il lui montra la boîte à gant. Elle en prit un, qu’elle lui tendit pour qu’il la mette. Elle avait horreur de ces machins-là. Il glissa vers elle sur la banquette. Elle enleva sa petite culotte, tendit la main, roula et prit le temps de ranger les billets dans leur coffre-fort avant de venir se planter sur lui. Elle joua son rôle à la perfection, un peu trop bien, même, puisqu’elle n’eut là encore pas le temps de jouir.

Il n’y eut pas de troisième clope. Elle regagna sans attendre son quatrième étage.

Elle ne sait pas pourquoi cette histoire l’a pareillement excitée. Mi non plus. Je pense que nous allons recommencer…

Notre boutique candauliste 100% sécurisée