- 30 avr. 2010, 19:50
#35842
Après une période plutôt calme, agrémentée toutefois de rencontres épisodiques
mais forts agréables, histoire de me maintenir dans mon statut de cocu définitif,
B. a repris le chemin de l'adultère.
Et je dois dire que cela a été une semaine faste... Pas moins de 5 cocufiages en 6 jours.
Cela a commencé vendredi dernier au sauna de Bayonne (le V°élément pour ceux qui ne sont pas d'ici)
Ma femme avait donné rendez-vous à un de ses contacts, nous nous sommes retrouvés sur le parking
et après de rapides salutations, nous avons investi le jacuzzi, et pendant que nous discutions les caresses
se sont faites plus pressantes, les mains de B. passaient de mon sexe à celui de F. que j'apercevais tendu, raide
sous les remous de l'eau. J'ai alors relevé le bassin de B. pour maintenir son corps hors de l'eau, son mont de Vénus effleurant la surface.
La tête de son amant s'est engagée entre ses cuisses et il a commencé à lécher son petit clitoris et à s'immiscer
entre ses lèvres que je devinais entre train de se gorger de plaisir.
Je me contentais de maintenir son corps stable et en profitais pour caresser ses seins offerts tout en regardant
le spectacle qui s'offrait à moi. Je vis alors le ventre puis les cuisses de B. commencer à onduler de plaisir...
son orgasme approchait, elle saisit la tête de F. pour la plaquer contre son pubis épilé, signe de sa jouissance.
Après être allé nous désaltérer au bar, B. a emmené son amant ; moi suivant docilement, vers une pièce où elle avait bien
l'intention de reprendre les ébats auxquels, fait qui mérite d'être signalé, j'ai pu participer activement.
Le lendemain soir, nous avons de nouveau retrouvé un jeune amant auquel ma femme s'est fait une joie de faire
découvrir les délices du V°, après quoi ils ont décidé de me laisser seul comme une âme en peine pendant qu'ils
s'en donnaient à cœur joie dans une pièce fermée. Puis ils sont venus me retrouver l' air épanoui et comblé avant
de repartir dans une autre pièce mais celle-ci bien éclairée et dont un mur est aménagé de trous par lesquels j'ai pu
assister parmi d'autres voyeurs à leur partie de plaisir. Je voyais le sexe long et fin fièrement dressé englouti par
la bouche gourmande de B. ainsi que la main de son amant entrer dans son intimité ; puis ils ont changé de position,
j'en ai profité pour bouger un peu, histoire de m'éclaircir la vue, hélas à mon retour les meilleurs trous de vision étaient occupés. Mais, privilège de la jeunesse lol!, B. a été honorée une seconde fois par son jeune étalon qui avait pour le coup oublié sa timidité du début.
Pour finir le week-end en beauté et comme dit le proverbe:" jamais deux sans trois", nous voilà de retour dimanche soir, malheureusement les lieux sont presque désertés et après nous être relaxés dans le jacuzzi nous nous apprêtons à rentrer
lorsque un jeune homme, plutôt mignon nous aborde et nous propose une petite séance à trois, B. me regarde, fait semblant d'hésiter 3 secondes, refuser une telle invitation serait indigne d'une cocufieuse. Et c'est sous mes yeux avides
et ravis que je me délecte du spectacle de B. embouchant ce nouveau sexe pendant que sûr de ses gestes, A. excite cette chatte qui ne demande que ça. Enfin, ravissement ultime, B. se positionne en levrette et reçoit en elle cette bite tant désirée; leur jouissance est quasi simultanée.
Après cette étreinte rapide et torride, nous fumons une cigarette en discutant, A. nous apprend qu'il n'a ( ce n'est pas un défaut, loin de là!)que 21 ans même s'il fait un peu plus. B., surprise, lui avoue qu'heureusement qu'il n'a pas dit son age avant, pour le coup c'est son plus jeune amant mais sans regret, bien au contraire. Comme quoi il vaut mieux éviter de trop discuter avant de passer aux "choses sérieuses".
Lundi, la semaine recommence , B. sur sa lancée se dit qu'une petite escapade l'après-midi serait bien agréable!
Justement maxmax vient de se rappeler au bon souvenir de B., ils s'étaient rencontrés sur ce forum, rendez-vous est pris, ils conviennent de se retrouver sur le parking de l'hyper à proximité de chez nous,
la voilà partie seulement vêtue d'une jupe noire légère sans culotte ni soutien-gorge, prête à s'offrir.
Elle m'a raconté la suite: ils se sont retrouvés et sont partis ensembles, à la recherche d'un endroit tranquille; la journée belle, printanière incite à l'amour. Ils trouvent un petit chemin qui mène à un étang et une maison d'estivants absents bien-sûr: l'endroit idéal. Et là sur l'herbe tendre ils ont baisé sans se soucier d'être surpris tels 2 amants empressés,
elle l'a sucé, il l' a pénétré , sodomisé, ils ont joui tous les deux satisfait de leur rencontre.
B. est revenue, une fois de plus rayonnante, heureuse de m'avoir cocufié de la sorte et,fière d'elle, elle m'a tendu un
préservatif souillé rempli: à moi de m'en contenter en guise de preuve s'il en fallait!
Enfin après un peu de répit, l'envie la reprend, pourquoi se priver! C'est ainsi qu'elle rappelle L., un ancien contact qui habitait trop loin (à Pau) mais qui s'est avantageusement rapproché.
De nouveau rendez-vous est pris, il l'attend chez lui Mercredi soir. L. lui envoie une photo de son sexe dressé,
prêt à l'investir.
Le repas est vite expédié , à 9 heure, une bise, une dernière vue sur sa tenue toujours aussi légère, elle me laisse :
"A tout à l'heure mon chéri, attends moi, il se lève tôt lui aussi, je ne rentrerai pas tard!"
Elle revient effectivement vers minuit encore palpitante. Ils ont réellement baisé comme des sauvages,
il est jeune, vigoureux, il a un corps de rugbyman, musclé, tatoué : le rêve! C'est elle qui le dit pas moi bien sûr !
Elle l'a longuement sucé, pendant qu'il préparait son petit trou, puis une fois détendu, il l'a enculé, c'est le mot, et l'a vraiment prise, elle, offerte comme seule une vraie femelle sait le faire. Après l'avoir fait jouir plusieurs fois sous ses assauts, il a retiré son préservatif, s'est masturbé et a éjaculé sur son visage comme elle adore.
Elle me raconte tout ça, assise sur le canapé face à moi, les jambes écartées, légèrement relevées que je vois bien ses
orifices encore tièdes et dilatés, ce qui a pour effet de m'exciter: nous nous levons, commençons à nous caresser
mon sexe se tend presque malgré lui je l'entraine sur le balcon, la nuit est chaude, elle se retourne et s'offre à moi
encore son corps encore imprégné de l'odeur d'un autre, sa jouissance est fulgurante de savoir que je la prend peu après cet amant qui vient de la combler.
Une fois son plaisir obtenu nous allons nous coucher et c'est alors seulement qu'elle m'autorise à me masturber et
à éjaculer, elle, agenouillée au dessus de mon visage, moi, contemplant ce sexe si désiré.
Si j'ai intitulé ce post ainsi c'est que B. après avoir expérimenté et testé un certain nombre d'amants
commence à avoir une prédilection pour les jeunes mâles. Ce sont souvent de véritables étalons, vigoureux,
pleins d'énergie et avides de découvertes.
Elle aime telle le félin rester à l'affût, choisir sa "proie", attendre le bon moment, et sortir ses griffes (biens inoffensives)
pour saisir le jeune homme objet de son désir et assouvir ses plaisirs avec lui.
Ni elle, ni ses conquêtes, ni moi n'avons jusqu'à présent eu à nous en plaindre.
JPh.
mais forts agréables, histoire de me maintenir dans mon statut de cocu définitif,
B. a repris le chemin de l'adultère.
Et je dois dire que cela a été une semaine faste... Pas moins de 5 cocufiages en 6 jours.
Cela a commencé vendredi dernier au sauna de Bayonne (le V°élément pour ceux qui ne sont pas d'ici)
Ma femme avait donné rendez-vous à un de ses contacts, nous nous sommes retrouvés sur le parking
et après de rapides salutations, nous avons investi le jacuzzi, et pendant que nous discutions les caresses
se sont faites plus pressantes, les mains de B. passaient de mon sexe à celui de F. que j'apercevais tendu, raide
sous les remous de l'eau. J'ai alors relevé le bassin de B. pour maintenir son corps hors de l'eau, son mont de Vénus effleurant la surface.
La tête de son amant s'est engagée entre ses cuisses et il a commencé à lécher son petit clitoris et à s'immiscer
entre ses lèvres que je devinais entre train de se gorger de plaisir.
Je me contentais de maintenir son corps stable et en profitais pour caresser ses seins offerts tout en regardant
le spectacle qui s'offrait à moi. Je vis alors le ventre puis les cuisses de B. commencer à onduler de plaisir...
son orgasme approchait, elle saisit la tête de F. pour la plaquer contre son pubis épilé, signe de sa jouissance.
Après être allé nous désaltérer au bar, B. a emmené son amant ; moi suivant docilement, vers une pièce où elle avait bien
l'intention de reprendre les ébats auxquels, fait qui mérite d'être signalé, j'ai pu participer activement.
Le lendemain soir, nous avons de nouveau retrouvé un jeune amant auquel ma femme s'est fait une joie de faire
découvrir les délices du V°, après quoi ils ont décidé de me laisser seul comme une âme en peine pendant qu'ils
s'en donnaient à cœur joie dans une pièce fermée. Puis ils sont venus me retrouver l' air épanoui et comblé avant
de repartir dans une autre pièce mais celle-ci bien éclairée et dont un mur est aménagé de trous par lesquels j'ai pu
assister parmi d'autres voyeurs à leur partie de plaisir. Je voyais le sexe long et fin fièrement dressé englouti par
la bouche gourmande de B. ainsi que la main de son amant entrer dans son intimité ; puis ils ont changé de position,
j'en ai profité pour bouger un peu, histoire de m'éclaircir la vue, hélas à mon retour les meilleurs trous de vision étaient occupés. Mais, privilège de la jeunesse lol!, B. a été honorée une seconde fois par son jeune étalon qui avait pour le coup oublié sa timidité du début.
Pour finir le week-end en beauté et comme dit le proverbe:" jamais deux sans trois", nous voilà de retour dimanche soir, malheureusement les lieux sont presque désertés et après nous être relaxés dans le jacuzzi nous nous apprêtons à rentrer
lorsque un jeune homme, plutôt mignon nous aborde et nous propose une petite séance à trois, B. me regarde, fait semblant d'hésiter 3 secondes, refuser une telle invitation serait indigne d'une cocufieuse. Et c'est sous mes yeux avides
et ravis que je me délecte du spectacle de B. embouchant ce nouveau sexe pendant que sûr de ses gestes, A. excite cette chatte qui ne demande que ça. Enfin, ravissement ultime, B. se positionne en levrette et reçoit en elle cette bite tant désirée; leur jouissance est quasi simultanée.
Après cette étreinte rapide et torride, nous fumons une cigarette en discutant, A. nous apprend qu'il n'a ( ce n'est pas un défaut, loin de là!)que 21 ans même s'il fait un peu plus. B., surprise, lui avoue qu'heureusement qu'il n'a pas dit son age avant, pour le coup c'est son plus jeune amant mais sans regret, bien au contraire. Comme quoi il vaut mieux éviter de trop discuter avant de passer aux "choses sérieuses".
Lundi, la semaine recommence , B. sur sa lancée se dit qu'une petite escapade l'après-midi serait bien agréable!
Justement maxmax vient de se rappeler au bon souvenir de B., ils s'étaient rencontrés sur ce forum, rendez-vous est pris, ils conviennent de se retrouver sur le parking de l'hyper à proximité de chez nous,
la voilà partie seulement vêtue d'une jupe noire légère sans culotte ni soutien-gorge, prête à s'offrir.
Elle m'a raconté la suite: ils se sont retrouvés et sont partis ensembles, à la recherche d'un endroit tranquille; la journée belle, printanière incite à l'amour. Ils trouvent un petit chemin qui mène à un étang et une maison d'estivants absents bien-sûr: l'endroit idéal. Et là sur l'herbe tendre ils ont baisé sans se soucier d'être surpris tels 2 amants empressés,
elle l'a sucé, il l' a pénétré , sodomisé, ils ont joui tous les deux satisfait de leur rencontre.
B. est revenue, une fois de plus rayonnante, heureuse de m'avoir cocufié de la sorte et,fière d'elle, elle m'a tendu un
préservatif souillé rempli: à moi de m'en contenter en guise de preuve s'il en fallait!
Enfin après un peu de répit, l'envie la reprend, pourquoi se priver! C'est ainsi qu'elle rappelle L., un ancien contact qui habitait trop loin (à Pau) mais qui s'est avantageusement rapproché.
De nouveau rendez-vous est pris, il l'attend chez lui Mercredi soir. L. lui envoie une photo de son sexe dressé,
prêt à l'investir.
Le repas est vite expédié , à 9 heure, une bise, une dernière vue sur sa tenue toujours aussi légère, elle me laisse :
"A tout à l'heure mon chéri, attends moi, il se lève tôt lui aussi, je ne rentrerai pas tard!"
Elle revient effectivement vers minuit encore palpitante. Ils ont réellement baisé comme des sauvages,
il est jeune, vigoureux, il a un corps de rugbyman, musclé, tatoué : le rêve! C'est elle qui le dit pas moi bien sûr !
Elle l'a longuement sucé, pendant qu'il préparait son petit trou, puis une fois détendu, il l'a enculé, c'est le mot, et l'a vraiment prise, elle, offerte comme seule une vraie femelle sait le faire. Après l'avoir fait jouir plusieurs fois sous ses assauts, il a retiré son préservatif, s'est masturbé et a éjaculé sur son visage comme elle adore.
Elle me raconte tout ça, assise sur le canapé face à moi, les jambes écartées, légèrement relevées que je vois bien ses
orifices encore tièdes et dilatés, ce qui a pour effet de m'exciter: nous nous levons, commençons à nous caresser
mon sexe se tend presque malgré lui je l'entraine sur le balcon, la nuit est chaude, elle se retourne et s'offre à moi
encore son corps encore imprégné de l'odeur d'un autre, sa jouissance est fulgurante de savoir que je la prend peu après cet amant qui vient de la combler.
Une fois son plaisir obtenu nous allons nous coucher et c'est alors seulement qu'elle m'autorise à me masturber et
à éjaculer, elle, agenouillée au dessus de mon visage, moi, contemplant ce sexe si désiré.
Si j'ai intitulé ce post ainsi c'est que B. après avoir expérimenté et testé un certain nombre d'amants
commence à avoir une prédilection pour les jeunes mâles. Ce sont souvent de véritables étalons, vigoureux,
pleins d'énergie et avides de découvertes.
Elle aime telle le félin rester à l'affût, choisir sa "proie", attendre le bon moment, et sortir ses griffes (biens inoffensives)
pour saisir le jeune homme objet de son désir et assouvir ses plaisirs avec lui.
Ni elle, ni ses conquêtes, ni moi n'avons jusqu'à présent eu à nous en plaindre.
JPh.
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