- 17 oct. 2011, 16:15
#810345
C'est une vieille histoire mais qui me réveille toujours la même émotion. Nous sommes un vieux couple (aujourd'hui 60 ans pour moi et 48 pour elle). Nous sommes libertins depuis très longtemps (elle avait 20 ans quand nous avons étés à notre première partouze). Nous avons tout essayés : trios, échangisme, partouzes, même gangs il y a peu.
Mais le candaulisme c'est autre chose ....
C'était donc il y a plus de 15 ans (en 95 je pense) - nous allions de temps à autre sur Clichy acheter de petites robes "pute" pour sortir en clubs, mais elle n'aimait pas ces magasins. Je précise que si elle est toujours une très belle femme, a l'époque c'était un canon. Fine, grande, cambrée, super poitrine... tout, quoi !
Je tombe donc sur une publicité pour le salon de l'érotisme de Paris (pas loin du Stade de France). Je lui en parle et le vendredi soir après la fermeture de sa boutique (ah, oui, elle tenait une petite boutique vers Nanterre, je ne vous en dirait pas plus par discrétion), elle enfile quand même une petite robe plus que sexy et très courte, avec de petites bottines, un manteau pour la bienséance, déposé au vestiaire à l'entrée, et nous voilà partis.
Nous commençons à tourner entre les stands. Beaucoup d'hommes seuls qui sont là pour se rincer l'oeil, mais aussi pas mal de couples, presque toutes les femmes habillées sexy. Beaucoup de gadgets sexuels et énormément de vêtements. Du un peu sexy à l'indécent en passant par la tenue parfaite pour les putes.
Elle achète quelques petits trucs pas mal et pas très chers, et tombe en arrêt devant un stand qui ne présente que du très haut de gamme. Des trucs "pousse au viol" mais de superbe qualité et bien taillés, mais .... avec des tarifs en rapport malheureusement.
Il y avait une vendeuse, charmante, et comme sur beaucoup de stands, une actrice du X qui faisait des présentations assez osées entre deux autographes.
On fini par se retrouver avec un gobelet de jus de fruits en train de causer avec les deux femmes. A la remarque sur les tarifs élevés, la fille du X, à laquelle ma femme avais confiée acheter ces vêtements pour aller dans des partouzes lui dit : "fait donc le concours exhibition sur le podium central. Toutes les participantes amatrices reçoivent un bon d'achat de 500,00 Francs (eh oui, il y a longtemps), et la gagnante a un bon d'achat de 2000,00 Francs.
Nous continuons notre promenade, et tombons sur le podium central. En fait, de grandes bâches délimitent une sorte de salle de spectacle d'environ 400 places sur des gradins, devant une scène très éclairée, ou des mannequins défilent pour l'instant en montrant toutes les lingeries imaginables.
Nous nous asseyons pour regarder et grignotons les sandwichs achetés à une buvette.
A la fin du défilé, un animateur très bonimenteur annonce pour 22h30 l'exhibition sexe des amatrices. Il explique le règlement (il faut être une visiteuse du salon, signer une décharge, et venir sur la scène avec un acteur masculin du X faire l'exhibition la plus chaude que possible (en fait chaque candidate, en coulisse, se met d'accord avec le gars sur ce qu'elle accepte de faire). Un jury choisira la grande gagnante.... (un beau bon d'achat plus quelques cadeaux et un bon repas pour deux dans un bon resto).
Moi, bêtement, je la met un peu au défi "et bien les voilà les fringues que tu voulais, facile, tu va baiser sur scène".
Elle me regarde bizarrement, me dit "ça va pas, non ?", puis ajoute :"exhib ne veux pas dire baise ...faut pas exagérer", puis "attends moi, je vais me renseigner".
Elle revient dix minutes après et me dit "toi qui veux toujours que j'en fasse plus, j'ai vu les quatre autres candidates et je me suis inscrite".
Le "spectacle" commence. La scène ne comporte qu'une suite de cubes de plusieurs tailles recouverts de moquette. Une belle brune suivie d'un très beau mec en string entre .... ils dansent plus que serrés, se caressent ... le gars la déshabille .... et quand il enlève le petit string les lumières s'éteignent sous les hurlements du public.
Trois autres couples passent .... c'est de plus en plus chaud. La dernière fille fait glisser le string du gars sur ces genoux et, pendant cinq minutes, lui fait une fellation, puis, debout, nue les jambes écartées devant le public, se fait branler par le gars qui de l'autre main, montre bien qu'il la doigte pour de vrai . La foule hurle et trépigne. Les lumières s'éteignent.
Joëlle, ma femme, après un bisous, est descendue derrière les rideaux, dans les coulisses. Dernière inscrite, elle passe la dernière .... et je m'inquiète quand même un peu. Je quitte ma place et viens me mettre debout contre les barrières qui empêchent de monter sur la scène.
Les lumières se rallument avec une musique douce ... Joëlle entre. Elle porte juste un mini string et un soutif très petit avec des hauts talons aiguilles. Le gars qu'elle tiens par la main est une sorte de bête qui doit passer son temps dans les salles de culturisme. Sous ces "tablettes de chocolat", il ne porte qu'un boxer short très moulant, noir brillant.
Ils dansent un slow, langoureux et mouillés. Ils se roulent des pelles qui de là ou je suis ne font pas du tout bidon. Elle passe sa main entre eux, et l'on voit bien qu'elle lui carresse le sexe ... qui prend de plus en plus de place. Ila arrêtent de danser. En deux secondes, il lui enlève string et soutien gorge. Il la fait asseoir sur un cube, jambes écartées, se met à genoux et entreprend de la sucer ..... Je remarque que la salle est silencieuse et, pour la première fois, je me sent gèné. Il se relève, d'un geste enlève son boxer d'ou sa queue sort toute bandée, très bandée. On sait tout de suite pourquoi il est dans le porno : quel engin ! Il s'approche d'elle et lui présente son membre à la bouche. Aucune hésitation : elle l'enfourne et se met à le sucer de façon très gloutonne. De près on vois bien sa langue, on vois bien que la queue tendue est luisante. Cela dure de longue minutes. Les lumières se sont éteintes à l'exception d'un projecteur de poursuite blanc dans le rond duquel seuls leurs deux corps nus et brillants se trouve.
Il la fait relever avec douceur, la fait lui tourner le dos .... elle baisse sa tête qu'elle pose sur la moquette du cube, et elle écarte les jambes... La voilà offerte, sa tête un peu de biais, les yeux grands ouverts, à moins de deux mètres de moi. Ces fesses bien relevée et ces jambes très écartées. Je sais que ceux qui sont un peu plus loin à ma gauche voient son sexe ouvert en attente .... justement, le gars est passé derrière. Sa queue à l'horizontale est juste au niveau de la belle chatte que je connait si bien. Dans un grand silence, sous la lumière du projo, il l'enfile sans à coups. J'entends distinctement le soupir de ma femme. Mon regard capte le sien, nos yeux sont liés, et son amant d'un soir commence un lent, long et puissant mouvement de piston.
Et là, la catastrophe ... quelques personnes bougent près de moi, tendent le cou pour mieux voir, me dérangent. Je suis obligé de tourner la tête un instant sur ma gauche et .... là, à moins de deux mètres de moi ... notre voisin d'en face. Je veux dire le gars qui en face de la boutique de Joëlle, tiens un magasin de fruits et légumes, ou nous faisons des achats très souvent. C'est un "vieux" d'environ cinquante ans qui vis seul. Et là, il a les yeux rivés sur la queue qui pilonne la chatte de ma femme .... et celle-ci commence à jouir. Dans le silence de cette salle de voyeurs, elle halète de plus en plus fort, recule brusquement pour qu'il s'enfonce bien et finie par un cri que je connait bien quand elle s'envoie en l'air de façon somptueuse .....
Et moi, liquéfié, rouge comme une tomate, je sens la sueur de la panique couler entre mes omoplates .... et en même temps je bande comme ça ne m'est pas arrivé depuis longtemps ..... et je joui, fort, très fort, dans mon slip .......
C'est ce soir là que j'ai compris être candauliste, aimer voir ma femme avoir une vie sexuelle aussi pleine que possible sans moi, en avoir honte, se sentir un moins que rien ... une lopette comme disent certains et en jouir ....
J'ai conscience que mon texte est long -- j'écrirais la fin si elle intérresse quelqu'un, mais ça m'a fait du bien de l'écrire ...
Mais le candaulisme c'est autre chose ....
C'était donc il y a plus de 15 ans (en 95 je pense) - nous allions de temps à autre sur Clichy acheter de petites robes "pute" pour sortir en clubs, mais elle n'aimait pas ces magasins. Je précise que si elle est toujours une très belle femme, a l'époque c'était un canon. Fine, grande, cambrée, super poitrine... tout, quoi !
Je tombe donc sur une publicité pour le salon de l'érotisme de Paris (pas loin du Stade de France). Je lui en parle et le vendredi soir après la fermeture de sa boutique (ah, oui, elle tenait une petite boutique vers Nanterre, je ne vous en dirait pas plus par discrétion), elle enfile quand même une petite robe plus que sexy et très courte, avec de petites bottines, un manteau pour la bienséance, déposé au vestiaire à l'entrée, et nous voilà partis.
Nous commençons à tourner entre les stands. Beaucoup d'hommes seuls qui sont là pour se rincer l'oeil, mais aussi pas mal de couples, presque toutes les femmes habillées sexy. Beaucoup de gadgets sexuels et énormément de vêtements. Du un peu sexy à l'indécent en passant par la tenue parfaite pour les putes.
Elle achète quelques petits trucs pas mal et pas très chers, et tombe en arrêt devant un stand qui ne présente que du très haut de gamme. Des trucs "pousse au viol" mais de superbe qualité et bien taillés, mais .... avec des tarifs en rapport malheureusement.
Il y avait une vendeuse, charmante, et comme sur beaucoup de stands, une actrice du X qui faisait des présentations assez osées entre deux autographes.
On fini par se retrouver avec un gobelet de jus de fruits en train de causer avec les deux femmes. A la remarque sur les tarifs élevés, la fille du X, à laquelle ma femme avais confiée acheter ces vêtements pour aller dans des partouzes lui dit : "fait donc le concours exhibition sur le podium central. Toutes les participantes amatrices reçoivent un bon d'achat de 500,00 Francs (eh oui, il y a longtemps), et la gagnante a un bon d'achat de 2000,00 Francs.
Nous continuons notre promenade, et tombons sur le podium central. En fait, de grandes bâches délimitent une sorte de salle de spectacle d'environ 400 places sur des gradins, devant une scène très éclairée, ou des mannequins défilent pour l'instant en montrant toutes les lingeries imaginables.
Nous nous asseyons pour regarder et grignotons les sandwichs achetés à une buvette.
A la fin du défilé, un animateur très bonimenteur annonce pour 22h30 l'exhibition sexe des amatrices. Il explique le règlement (il faut être une visiteuse du salon, signer une décharge, et venir sur la scène avec un acteur masculin du X faire l'exhibition la plus chaude que possible (en fait chaque candidate, en coulisse, se met d'accord avec le gars sur ce qu'elle accepte de faire). Un jury choisira la grande gagnante.... (un beau bon d'achat plus quelques cadeaux et un bon repas pour deux dans un bon resto).
Moi, bêtement, je la met un peu au défi "et bien les voilà les fringues que tu voulais, facile, tu va baiser sur scène".
Elle me regarde bizarrement, me dit "ça va pas, non ?", puis ajoute :"exhib ne veux pas dire baise ...faut pas exagérer", puis "attends moi, je vais me renseigner".
Elle revient dix minutes après et me dit "toi qui veux toujours que j'en fasse plus, j'ai vu les quatre autres candidates et je me suis inscrite".
Le "spectacle" commence. La scène ne comporte qu'une suite de cubes de plusieurs tailles recouverts de moquette. Une belle brune suivie d'un très beau mec en string entre .... ils dansent plus que serrés, se caressent ... le gars la déshabille .... et quand il enlève le petit string les lumières s'éteignent sous les hurlements du public.
Trois autres couples passent .... c'est de plus en plus chaud. La dernière fille fait glisser le string du gars sur ces genoux et, pendant cinq minutes, lui fait une fellation, puis, debout, nue les jambes écartées devant le public, se fait branler par le gars qui de l'autre main, montre bien qu'il la doigte pour de vrai . La foule hurle et trépigne. Les lumières s'éteignent.
Joëlle, ma femme, après un bisous, est descendue derrière les rideaux, dans les coulisses. Dernière inscrite, elle passe la dernière .... et je m'inquiète quand même un peu. Je quitte ma place et viens me mettre debout contre les barrières qui empêchent de monter sur la scène.
Les lumières se rallument avec une musique douce ... Joëlle entre. Elle porte juste un mini string et un soutif très petit avec des hauts talons aiguilles. Le gars qu'elle tiens par la main est une sorte de bête qui doit passer son temps dans les salles de culturisme. Sous ces "tablettes de chocolat", il ne porte qu'un boxer short très moulant, noir brillant.
Ils dansent un slow, langoureux et mouillés. Ils se roulent des pelles qui de là ou je suis ne font pas du tout bidon. Elle passe sa main entre eux, et l'on voit bien qu'elle lui carresse le sexe ... qui prend de plus en plus de place. Ila arrêtent de danser. En deux secondes, il lui enlève string et soutien gorge. Il la fait asseoir sur un cube, jambes écartées, se met à genoux et entreprend de la sucer ..... Je remarque que la salle est silencieuse et, pour la première fois, je me sent gèné. Il se relève, d'un geste enlève son boxer d'ou sa queue sort toute bandée, très bandée. On sait tout de suite pourquoi il est dans le porno : quel engin ! Il s'approche d'elle et lui présente son membre à la bouche. Aucune hésitation : elle l'enfourne et se met à le sucer de façon très gloutonne. De près on vois bien sa langue, on vois bien que la queue tendue est luisante. Cela dure de longue minutes. Les lumières se sont éteintes à l'exception d'un projecteur de poursuite blanc dans le rond duquel seuls leurs deux corps nus et brillants se trouve.
Il la fait relever avec douceur, la fait lui tourner le dos .... elle baisse sa tête qu'elle pose sur la moquette du cube, et elle écarte les jambes... La voilà offerte, sa tête un peu de biais, les yeux grands ouverts, à moins de deux mètres de moi. Ces fesses bien relevée et ces jambes très écartées. Je sais que ceux qui sont un peu plus loin à ma gauche voient son sexe ouvert en attente .... justement, le gars est passé derrière. Sa queue à l'horizontale est juste au niveau de la belle chatte que je connait si bien. Dans un grand silence, sous la lumière du projo, il l'enfile sans à coups. J'entends distinctement le soupir de ma femme. Mon regard capte le sien, nos yeux sont liés, et son amant d'un soir commence un lent, long et puissant mouvement de piston.
Et là, la catastrophe ... quelques personnes bougent près de moi, tendent le cou pour mieux voir, me dérangent. Je suis obligé de tourner la tête un instant sur ma gauche et .... là, à moins de deux mètres de moi ... notre voisin d'en face. Je veux dire le gars qui en face de la boutique de Joëlle, tiens un magasin de fruits et légumes, ou nous faisons des achats très souvent. C'est un "vieux" d'environ cinquante ans qui vis seul. Et là, il a les yeux rivés sur la queue qui pilonne la chatte de ma femme .... et celle-ci commence à jouir. Dans le silence de cette salle de voyeurs, elle halète de plus en plus fort, recule brusquement pour qu'il s'enfonce bien et finie par un cri que je connait bien quand elle s'envoie en l'air de façon somptueuse .....
Et moi, liquéfié, rouge comme une tomate, je sens la sueur de la panique couler entre mes omoplates .... et en même temps je bande comme ça ne m'est pas arrivé depuis longtemps ..... et je joui, fort, très fort, dans mon slip .......
C'est ce soir là que j'ai compris être candauliste, aimer voir ma femme avoir une vie sexuelle aussi pleine que possible sans moi, en avoir honte, se sentir un moins que rien ... une lopette comme disent certains et en jouir ....
J'ai conscience que mon texte est long -- j'écrirais la fin si elle intérresse quelqu'un, mais ça m'a fait du bien de l'écrire ...