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© SpicyBisex
résumé: Eric est fou amoureux de sa Vanessa et nous raconte leur rencontre. Vanessa nous donne sa version.

Un amour fou, par Eric

J’ai rencontré Vanessa par le biais de son père, manager de l’équipe locale où j’étais ¾ aile et buteur star, lors d’une invitation à un banquet dans la propriété familiale, pour fêter la remontée du club en Nationale B et les vingt ans de sa fille unique et adorée.
Les joueurs étaient tous conviés, et je voyais bien la manière qu’ils avaient de tous baver sur la fille du patron, alanguie au bord de la piscine. Nous l’appelions le Patron, car en plus d’être manger/entraineur/sélectionneur de l’équipe, il était aussi PDG du plus gros groupe de BTP de la région. Pas mal de joueurs travaillaient pour lui, j’étais un des seuls à viser une carrière un peu plus ambitieuse.
Comme je le disais, tous la dévoraient, et les commentaires allaient bon train :
- ca fait longtemps qu’elle n’est pas passée dans les vestiaires
- je me rappelle l’époque où elle nous remontait le moral
- ha ha, y’a pas que le moral qui remontait
- y’en a eu combien en tout ?
- tu ferais mieux de demander combien à la fois …
Bref, ils étaient assez vulgaires, et surtout vantards et menteurs, car j’ai bien vu que Vanessa était vierge le jour de notre mariage !
Mais c’est vrai que moi aussi elle me titillait.
Robert, le patron, toujours dans la lune, ne voyait rien des moqueries des joueurs, et convia Vanessa à nous rejoindre, une fois passé une tenue correcte.
Je fus présenter à sa mère, une très belle femme de 50 ans, tellement fière de son unique enfant.
Vanessa fit son apparition une heure plus tard. Blonde, élancée (1.65m pour 49kg), élégante, elle se déplaçait comme un chat. L’assemblée tout entière, composée des notables du coin, du Maire, du Capitaine de la gendarmerie, et des principaux clients de Mr T. fut littéralement subjuguée par son arrivée.
Elle était vêtue d’un robe lamée or, découvrant complètement son dos, décolletée jusqu’au nombril, et fendue du côté droit jusqu’au bassin. Je me fis la remarque, et mes voisin aussi, qu’elle ne pouvait rien porter dessous car on ne pouvait deviner aucun sous vêtement, et que ses fesses étaient tellement moulées par sa robe, que même un string aura été disgracieux.
Les hommes reprirent leur souffle, et les femmes commencèrent les commérages.
Je laissais trainer mes oreilles pour glaner quelques infos de ces dames, qui évitaient soigneusement le sujet devant celle qui allait devenir ma belle-mère :
- il s’en dit de belles sur elle
- oui, apparemment quand elle va sur Toulon c’est pas triste
- oui, mon fils l’a aperçue dans un bar à marin si vous voyez ce que je veux dire
Je n’en croyais rien, et m’étais ça sur le fait que les propres filles de ces dames étaient d’une banalité qui passait pour de la médiocrité à côté de ma future femme.
Vanessa riait, passait de bras en bras, embrassant ces messieurs, complimentant ces dames, s’asseyant sur les genoux des amis de son père qu’elle surnommait tous Tonton.
Je me disais qu’elle avait l’air très gentille et hospitalière. Je ne la vis faire aucune remarque à certaines mains qui s’attardaient trop sur ces hanches ou qui effleuraient ses fesses. Voilà une femme bien élevée me dis-je, un bon parti. Je me mis à l’imaginer à mon bras, et me rendit compte que je tombais amoureux.
Une douleur à l’épaule me sorti de ma rêverie, mon entraineur venait de m’envoyer un coup de poing en riant :
- on dirait un ange, hein, me dit-il
- oh oui, quelle fille superbe, répondit-je, avant de réaliser que je parlais à son père.
- Ne t’inquiète pas, je sais reconnaitre un regard amoureux, je me revois découvrant sa mère la première fois, vient que je te présente.
« Vanouche » cria-t-il, vient voir mon nouveau poulain !
Elle s’approcha en me sautant au cou, elle sentait bon, ses cheveux si blonds, presque platines m’enivraient de leur parfum :
- c’est donc toi la star me lança-t-elle, en m’embrassant à pleine bouche
- Vanouche, tiens toi, rétorqua Mr T.
- Ecoute Papa, une remontée en Nationale vaut bien une récompense non ?
Il ria et acquiesça.
Je rougit, gêné par l’attention qu’elle fit porter sur moi, et je répondi :
- c’est bien trop, je n’ai fait qu’obéir aux consignes de votre père !
- un homme qui obéit aux consignes, ca me plait s’exclama t’elle, faisait tousser de rire la moitié des hommes présents !
Je passai le repas assis à côté d’elle, et ce fut très agréable. Elle était très drôle, très tactile, sa main avait tendance à caresser ma jambe assez souvent, mais je ne m’en offusqua pas quand je vis qu’elle faisait pareil avec son voisin. Elle ne se rendait pas compte que son décolleté laissait entrevoir sa superbe poitrine, et que sa robe tellement fendue dénudait parfois sa jambe bien plus haut que ce qu’il fallait.
« Un ange » me dis-je, elle est si naïve, elle ne se doute pas des idées qui peuvent trotter dans la tête de certains hommes. J’eu honte en me rendant compte que j’en avais moi-même.
L’heure de rentrer se fit, et elle proposa que nous allions en boite de nuit avec tous les jeunes, pour fêter son anniversaire.
Nous arrivâmes donc au Maï Taï, célèbre boite de nuit de Bandol, ou Vanessa fut accueilli très chaleureusement par le videur :
- et ben dit donc ma belle, va y avoir du sport ce soir, je te sens en super forme
- oh oui, dit-elle, on fête mes 20 ans, et la réussite de ces jeunes garçons
- et bonne bourre les gars lança-t-il, et n’oubliez pas de lui faire souffler les vingt bougies !
Vanessa ria et mes compagnons de la nuit aussi.
« Je dois avoir trop bu » me dis-je, ne comprenant pas la blague sur les bougies.
Le patron de la boite avait fait préparer un gâteau spécialement pour elle, et nous passâmes la soirée dans le carré VIP à boire du champagne. La bel ange blond passait de bras en bras, elle rayonnait. Je trouvais qu’elle fumait beaucoup, partant au « fumoir » avec mes coéquipiers, une salle en sous sol, que j’avais remarquée car proche des toilettes. « Quelle drôle d’idée » pensais-je, surtout que les toilettes ne désemplissaient pas. Cela ne doit pas être agréable d’entendre les bruits de chasse d’eau. Pauvre Vanessa elle devait bien être accro pour s’infliger ca !
Les autres avaient l’air de bien s’amuser, mais ils continuaient leur désobligeantes remarques, ce que je trouvais déplacé vu le mal qu’elle se donnait pour que tout ses invités soient comblés :
- ben dis donc, elle a largement dépassé les 20 bougies
- je ne sais comment elle peut autant en avaler.

Mauvaises langues me dis-je, laissons-les dire, de toute façon, mince comme elle est, elle peut en avaler encore !!
Cela me fit rire, et vers 2h du matin, une heure déjà bien avancée pour moi qui suis un « couche tôt », je décidais de rentrer.
« Tente ta chance me dis-je, tente ta chance », et l’alcool aidant, je me risquais à l’embrasser avant de partir.
A ma grande surprise, elle ne refusa pas mon baiser, et elle glissa sa langue dans ma bouche très goulument. Drôle d’haleine pensais-je, peut-être la chantilly + la clope, elle revenait du « fumoir ». Les autres firent une moue dégoutée, certains riaient. Ils riaient surement jaune car je venais d’attraper la belle dans mes filets !
- Tu me ramènes, me lança t’elle
- Ta proposition me flatte, mais j’aurais l’impression d’abuser de toi, tu sembles saoule, réponds dis-je.
Elle ria aux éclats, m’embrassa encore une fois, et je rentrais.
« Elle est entre de bonnes mains » pensais-je, « ils sont un peu lourds, mais ce ne sont pas de mauvais bougres, et maintenant ils savent qu’elle est à moi ! »
Je m’endormais ce soir là le cœur léger !

Trois mois plus tard nous étions mariés.
Mes parents étaient ravis pour moi, surtout ma mère qui se mit à apprécier Mr T. plus encore à chaque rencontre. Ils décidèrent de s’occuper ensemble des préparatifs, pour ne pas trop gêner mon père et ma belle-mère.
« Tu es bien comme ton père » me dit un jour Vanessa en souriant, « brave comme lui ».
Le jour du mariage arrivait, et les festivités qui vont avec.
Je ne voulais pas d’enterrement de vie de garcon, mais mes amis rugbymans, et Julien mon meilleur ami, avaient insistés lourdement, et finalement j’avais cédé. « On aura une surprise avaient-ils dit, tu verras ». Je savais que cela finirai avec une pute, ils avaient plusieurs fois évoqué des soirées où apparemment une nana, qui faisait ca en « amateur », venait mettre l’ambiance.
De son côté, Vanessa voulait rester chez ses parents, sortir ne l’intéressait plus, et puis il est vrai qu’elle n’avait pas d’amies filles.
La soirée arriva donc, nous étions une vingtaine, la bande habituelle, et l’alcool coulait à flot.
Ils m’avaient préparé selon leur dire une soirée « spéciale tournante », avec une strip-teaseuse beurette, dont la spécialité était de cacher son visage derrière une bourqa. « Pourquoi pas », avais-je pensé, au moins personne ne voit son visage à cette pauvre petite, elle fait surement ca pour arrondir ses fins de moi.
Elle arriva enfin, habillée en danseuse du ventre. Sa petit numéro dura quelques minutes, et pour me bizuter, mes amis m’attachèrent à la chaise, de manière à ce que je ne puisse me défiler. C’était de bonne guerre, et je devais en passer par là, c’était la tradition !
Elle s’appelait Vanouche, et je dois reconnaitre qu’elle était superbement foutue. Plutôt blonde pour une arabe, mais j’oubli vite ce détail lorsqu’elle commença à se frotter à moi.
Je me mis vite à bander, et lorsqu’elle se dénuda, je n’en pouvais plus.
Rapidement tous les hommes de la soirée se mire autour d’elle, et ils sortirent leur queue. Je me rendit compte à quel point la mienne était petite par rapport à la leur, et je me mis à débander. C’est vrai que 11cm en érection, c’est pas énorme.
Elle se mit à les sucer les uns après les autres, puis en même temps, elle avait en tout cas l’air d’aimer ca. Cela me rassura, car si au moins elle prenait du plaisir, c’était déjà ça de gagné pour elle. Enfin, ça plus l’argent, car cette « danse » me coutait tout de même 2000 euros, mais il fallait bien faire plaisir à mes amis.
Les queues s’échangeaient dans sa bouche, et certains commençaient à la chevaucher. Elle arrivait à les satisfaire cinq par cinq, un dans chaque main, un dans la bouche, un par devant et un par derrière. Quelle santé ! Je me mis à rebander et attendais mon tour avec impatience.
« Le marié à la fin » avait dis mes potes en rigolant ! J’avais ri aussi !
Au bout de deux heures, ils décidèrent qu’il fallait terminer la soirée, et ils se mirent en rond autour d’elle et éjaculèrent dans sa bouche à tour de rôle. Elle recrachait leur au fur et à mesure vers un bol en verre. « Au moins elle n’avale pas la pauvre puce » avais-je pensé. Mais quand même, vingt mecs l’avaient prise tour à tour, et avaient joui dans sa bouche, quelle pute ! Cela m’excitait, mais je ne pouvais imaginer raconter ça une jour à ma Vanessa, elle le prendrait si mal, mon petit ange si pur.
Quand elle revient, elle baisa mon pantalon, mon slip, et commença à me branler.
Ma queue était si petite par rapport à toutes celles qu’elle venait de purger, je vis qu’elle sourit, et elle balança à l’assistance : « j’en connais une qui ne va pas rire tous les soirs ! », cela fit bien rire tout le monde, et je commençai à débander … Elle se mit à genoux, et la pris dans la bouche … hummm quelle sensation, elle pompait aussi fort qu’un aspirateur, mais la douceur se sa langue rendait le tout si voluptueux. Il fallait se rendre à l’évidence, elle avait du en sucer des queues celle là !
Mes amis revinrent avec le bol du marié, une mixture qu’ils avaient concocté eux-mêmes avec différents alcools. Cela sentait effectivement l’alcool, mais le résultat était plus que douteux. Un mélange entre de la crème de whisky et du sperme avais-je dis en riant.
Cela fit rire tout le monde, y compris Vanouche..
« Bois tout ! Bois tout ! Bois tout » me criaient-ils !
« Vas-y mon beau marié » me glissa à l’oreille ma belle suceuse arabe, « si tu ne fini pas tout, je t’aide, ne t’inquiète pas, c’est la tradition pour la strip-teaseuse … »
Je bu presque tout le bol, non sans un haut le cœur, et elle m’aida à finir, léchant le fond. Elle m’embrassa goulument, en me branlant énergiquement, et je fini par jouir sur mon costume.
Mes potes me détachèrent. Je n’étais pas si mecontent de ma soirée finalement, et je remis l’argent à la belle catin, qui fila se rhabiller dans la salle de bain.
Elle parti sans que je puisse voir son visage, sous nos bravos à tous, elle l’avait finalement bien mérité !
Tout le monde décida alors de rentrer, je pris une douche et je me couchais en attendant le lendemain, jour de mon mariage.

La journée débuta avec un beau soleil, et j’étais encore tout émoustillé de la soirée de la veille. Vanessa n’en saurait jamais rien et c’était mieux comme ca.
Ma mère arriva en Porsche Cayenne avec le père de la mariée.
Mon père, Mme T. et moi-même dans la belle Laguna de mon père.
Vanessa devait être accompagnée à l’Eglise en Ferrari par Marc un ami d’enfance, chirurgien, et ils arrivèrent bien en retard. « Problèmes sur la route » avaient-ils dit. Elle avait du perdre quelque chose, car elle était penchée vers le siège de Marc.
Elle sorti de la voiture, et elle était magnifique : une robe blanche en deux parties, fendu jusqu’au hanches et je devinais qu’elle portait dessous un porte jarretelle blanc assorti. Le haut de la robe était composé d’un voile très léger, qui laissait deviner que ses seins pointaient, « elle doit avoir un peu froid » me dis-je. Une traine complétait le tout.
Marc remonta sa braguette en sortant de la voiture, sous les rires de mes amis, en voilà un qui prenait peu soin de son apparence !
Je m’approchais d’elle et je vis qu’elle avait quelque chose sur la joue, les lèvres et le cou. « Fait attention » lui dis-je, « essuie toi, tu as du recevoir quelque chose sur le visage dans cette décapotable de malheur ». J’essuyai son visage avec mon mouchoir en soie, devant le porter à la bouche pour l’humidifier car une partie avait séché.
Le mariage se déroula sans problème, nous échangeâmes nos vœux, et rapidement, le banquet débuta.
Mon beau père avait tout préparé chez lui, il avait une si grande propriété, avec l’aide de ma mère qui avait l’air de connaitre la maison par cœur maintenant. Il avait pris tout les frais en charge. Mon père avait voulu participer, mais Mr T avait rétorqué que ma mère avait tellement donné de sa personne pour satisfaire le traiteur, les serveurs et les décorateurs, que cela suffisait amplement ! « Soit ! » avait-il dit, c’est vrai qu’elle avait l’air bien fatiguée.
Les invités se régalèrent avec le somptueux repas, et le meilleur champagne coula à flot.
La soirée battait son plein, et Vanessa, en bonne hôtesse, faisait visiter la maison à ces messieurs, tous très curieux des récents travaux qu’avait fait mon beau père, pendant que je tenais compagnie à nos hôtes dans le salon.
Vers 2h du matin, nous nous éclipsâmes dans une chambre d’hôtel qu’ami intime de la famille, un officiel Sénégalais, avait reservé pour nous. Je sentais venir l’excitation en moi, j’allais enfin déflorer la jeune marié. Je devais faire attention de ne pas lui faire mal pour ne pas gâcher la soirée !
Elle se déshabilla devant moi lentement pendant que je dégustais le verre de champagne qu’elle m’avait servi. Elle était superbe. Elle s’allongea sur le lit et me demanda de la rejoindre. Je décidais pour bien lubrifier son minou, de lui faire un cunnilingus. Elle avait du beaucoup transpirer car son entre-jambe sentait très fort, mais je ne fis pas cas de cela et ma langue s’exécuta …
Je me réveillai brutalement le lendemain matin, sans souvenir précis de ce qu’avait été ma nuit de noce. Vanessa était sur la terrasse de la chambre, l’air très fatiguée, nue sous son peignoir, face à la plage. Je me dressais, déposais un baiser sur son front, et m’asseyais à côté d’elle. Elle souriait. J’avais du assurer même si je n’en avais pas de souvenir, l’alcool sans doute. D’ailleurs j’avais trop bu, j’avais, pour être vulgaire, mal au cul.
Je remarquais qu’un groupe de jeunes blacks étaient assis sur un banc en face de nous, et je demandais à Vanessa de se couvrir plus, argumentant que les jeunes devaient bien se rincer l’œil. « Penses-tu ! » répondit-elle dans un sourire, écartant encore plus ses jambes, « pour s’étirer ».
« Bon je rentre me doucher, range le plateau du petit dèj et ensuite prépare toi, j’ai très envie que tu m’emmènes en voyage de noce ! » lança t’elle
- Où veux-tu aller ? demandais-je
- Le Sénégal me dit bien, il parait que c’est très beau en cette saison …

Et voilà comment nous passâmes deux magnifiques semaines de vacances au Sénégal. Mais ça, c’est une autre histoire ….


Enfin mariée, par Vanessa.

J’ai rencontré Eric par le biais de mon père, manager de l’équipe locale où il était ¾ aile et buteur star. Papounet avait invité tout le monde à un banquet dans la propriété familiale, pour fêter la remontée du club en Nationale B et l’anniversaire de mes vingt ans.
Les joueurs étaient tous conviés, ainsi que les contacts professionnels de mon père, et je voyais bien la manière qu’ils avaient de tous baver sur moi, entrain de bronzer top-less au bord de la piscine
Ils étaient tous assez vulgaires, vantards et menteurs, mais ils me tenaient fréquemment compagnie, seul ou à plusieurs, et mon appétit sexuel n’allait pas en se calmant !
Je me disais depuis quelques temps qu’il était temps d’arrêter tout ça. Pas pour devenir une parfaite chrétienne comme ma mère, mais surtout pour trouver un mari !
Mais pour le moment, il fallait que je profite de mon anniversaire.
Mon père me demanda de les rejoindre et de passer une tenue correcte. « Mon cul ! » m’étais-je dit, il allait voir ce que je considère comme une tenue correcte. J’avais acheté dans un sex-shop de Toulon une superbe robe lamée or, découvrant complètement mon dos, décolletée jusqu’au nombril, et fendue du côté droit jusqu’au bassin. Je décidais de ne rien porter dessous, histoire que ces messieurs me reluquent les fesses devant leur bonne femme !
Je fis le tour des invités, passant de bras en bras, embrassant ces messieurs, complimentant ces dames, surnommant Tonton tous ces hommes que j’avais eu en moi, ou en bouche ou moins une fois.
Je sentais toutes ces mains baladeuses, et cela m’excitait au plus au point
« Vanouche » cria mon père, « vient voir Eric, mon nouveau poulain ! »
Je m’approchais et sauta au cou de ce petit nouveau, histoire qu’il soit vite mis en confiance.
- C’est donc toi la star lui dis-je, en l’embrassant à pleine bouche
- Vanouche, tiens toi, rétorqua Papounet.
- Ecoute Papa, une remontée en Nationale vaut bien une récompense non ?
Il ria et acquiesça.
Eric rougit, apparemment gêné, et me répondit :
- c’est bien trop, je n’ai fait qu’obéir aux consignes de votre père !
- un homme qui obéit aux consignes, ca me plait dis-je, ce qui fit tousser de rire la moitié des hommes présents !
Je passai le repas assis à côté de lui, tentant de lui faire du pied, caressant sa jambe. Il louchait sur mes seins et mon cul, mais il ne tenta rien.
Je décidais de m’amuser ave Karim, un autre joueur de l’équipe de mon père. Je passais ma main sous la nappe, la remontais jusqu’à sa braguette, sortait sa queue, et je le masturbai toute la soirée, continuant à parler à Eric.
« Un mari parfait» me dis-je, il est si naïf, et ne se doute pas des idées qui trottent dans ma cervelle de nympho blonde.
La soirée commençait à m’ennuyer, et j’avais fini par faire jouir Karim. Je proposai alors que nous allions tous en boite de nuit pour fêter son anniversaire.
Nous arrivâmes donc au Maï Taï, célèbre boite de nuit de Bandol, où le videur fut encore plus lourdingue que d’habitude :
- et ben dit donc ma belle, va y avoir du sport ce soir, je te sens en super forme
- oh oui dit-je, on fête mes 20 ans, et la réussite de ces jeunes garçons
- et bonne bourre les gars lança-t-il, et n’oubliez pas de lui faire souffler les vingt bougies !
Je rie et mes compagnons de la nuit aussi.
Le patron de la boite avait fait préparer un gâteau spécialement pour moi, et nous passâmes la soirée dans le carré VIP à boire du champagne. Je dansais avec tous mes potes, et leur demandait ce qu’ils pensaient d’Eric. Ils trouvait que c’était un bon parti, le seul con de la région qui ne connaissait pas ma réputation. Contente de cette nouvelle rencontre, je passais la soirée « au Fumoir ». Le Fumoir était une salle en sous sol, que le patron avait installée contre les toilettes. Les initiés avaient une clef , payante, qui permettait d’ouvrir la cloison au fond de chaque cabine. Une fois cette trappe ouverte, les toilettes devenaient un parfait Glory-Hole. Je peux vous dire que cela ne désemplissait pas. De l’autre côté du mur, le « Fumoir » était aménagé de fauteuils pour que les messieurs qui le désiraient puissent assister au spectacle. Des coussins étaient disposés au sol, pour que ces dames puissent rester à genoux sans se faire mal.
J’étais devenue accro en peu de temps. Il m’arrivait de passer des nuits entières à y pomper des queues. Il m’arrivait également de m’y faire prendre en levrette en même temps, et je finissais souvent sur les rotules !
J’avais donc décidé pour mes vingt ans, de faire jouir, d’affilée, au moins vingt queues dans ma bouche ! J’adorais sucer, j’adorai encore plus le sperme, cela ne devait pas être si difficile.
Mes potes se relayait pour compter les mecs qui défilaient, et ils m’encourageaient à tour de rôle. Ca faisait chaud au cœur !!!
Vers 2h du matin mon défit était relevé ! Je décidais de remonter au niveau des pistes de danse, et Eric, que j’avais complètement oublié était encore là.
A ma grande surprise, il s’approcha et m’embrassa. J’avais la bouche encore plein du sperme de ma dernière pipe, et décidait de partager le nectar avec lui. Les autres firent une moue dégoutée, et se mirent à rire. Je l’avais tout de même trouvé bien mignon.
- Tu me ramènes, lui demandai-je
- Ta proposition me flatte, mais j’aurais l’impression d’abuser de toi, tu sembles saoule, me répondit-il.
« Saoule de sperme » pensais-je en riant aux éclats.
Le benêt se retira, et je finissais la soirée à danser. Chacun de mes invités fut remercié en personne dans sa voiture, ce qui fit monter mon record de pipes à 42, et le patron me raccompagna au petit matin.
Je pensais me débarrasser de ce vieux beau en lui faisant une gâterie dans le jardin, mais il en décida autrement, et me sodomisa contre la porte d’entrée. Le majordome qui était déjà présent à une heure aussi matinale n’en rata rien et j’eu droit à un : « Mademoiselle semble avoir passé une bonne soirée » assorti d’un grand sourire lorsqu’il m’ouvrit la porte.

Trois mois plus tard j’épousais Eric. Il m’avait fait sa demande rapidement, et j’avais accepté sur le champ.
Mes parents étaient ravis pour moi, mes beaux parents étaient charmants, et ma nouvelle belle-mère fut tout de suite très complice avec mon père. Ils décidèrent de s’occuper ensemble des préparatifs, pour ne pas trop gêner ma mère et mon beau père. Je soupçonnais mon père de fricoter avec elle, et mes soupçons furent bientôt confirmés.
Un soir que je rentrai de ma gym, j’aperçus mon père, affalé dans son canapé, regardant ma future belle-mère au milieu d’une tournante avec une dizaine d’hommes. Je tendis l’oreille et devinai leur commentaire :
- ca va être un beau mariage
- oui, nous servirons de la caille farcie
- boire au goulot ca ne se fait pas, il faudra se tenir le jour J madame.
« Bien conservée pour son âge, j’espère être comme elle à cinquante ans », avais-je pensé.
En tout cas, tel père, tel fils, j’allais épouser une belle lignée de cocus !

Le jour du mariage arrivait, et les festivités qui vont avec.

Les copains préparaient l’enterrement de vie de garçon d’Eric, et je voulais absolument être le clou du spectacle. J’avais trouvé un excellent stratagème. Quelles sont donc les femmes dont on ne voit jamais la gueule ? Mais oui, les musulmanes en burqa !!! Voila l’idée. Lui proposer un spectacle de danse orientale ! J’étais ravie de ma trouvaille. Me faire baiser par ses potes, devant lui, le soir de son enterrement de vie de garçon, voilà un plan dont je pouvais être fière.
Je m’étais refusée à lui, prétextant être toujours vierge, et j’avais toujours un soucis de ce côté. Heureusement, un amant médecin m’avait convaincu de me faire recoudre l’hymen la veille de la nuit de noce. Cela ne me couterait rien, il me demanderait un service à l’occasion. Super, tout était réglé !

La soirée arriva donc, Eric avait convié une vingtaine de potes à nous, tous étaient dans la combine, même Julien, son ami d’enfance, dont j’allais enfin faire la connaissance.
L’alcool coulait à flot lorsque j’arrivai, et je commençai immédiatement mon petit numéro. Je fus rapidement nue, seul mon visage étant caché derrière le voile.
Eric était attaché au fauteuil, mains dans le dos, super idée, il ne pourrait bouger et decouvrir mon visage.
Rapidement tous les hommes de la soirée se mirent autour de moi, et me sortirent leur queue.
Je me mis à les sucer les uns après les autres, puis en même temps, je prenais mon pied. Et dire qu’en plus cette sauterie lui coutait 2000 euros, faire la pute pour ses copains, et à SES frais, voila qui décuplait mon plaisir.
Les queues s’échangeaient dans ma bouche, et certains commençaient à me chevaucher. Devant, derrière, en double, toutes les acrobaties y passaient. J’arrivais même à les satisfaire cinq par cinq, un dans chaque main, un dans la bouche, un dans la chatte, et un dans le cul. Quelle forme je tenais. Eric commençait à s’impatienter, et je vis qu’il bandait.
Au bout de deux heures, ils décidèrent qu’il fallait terminer la soirée : ils se mirent en rond autour de moi et éjaculèrent dans ma bouche à tour de rôle. Je recrachais leur foutre dans coupelle en verre qui servirait à la surprise finale Quand même, vingt mecs m’avaient prise tour à tour, et avaient joui dans ma bouche, quelle pute je faisais !
Vint le tour d’Eric. Je baissai son pantalon, son slip, et commençai à le branler.
Sa queue était si petite par rapport à toutes celles que je venait de pomper, que je ne pu réprimer un sourire, et j’annonçai à l’assistance : « j’en connais une qui ne va pas rire tous les soirs ! », cela fit bien rire tout le monde, et mon futur mari commença à débander … Je me mis à genoux, et la pris dans la bouche … il avait l’air d’apprécier. Il en avait pour son argent !
Mes amis revinrent avec le bol du marié, une mixture qu’ils avaient concocté eux-mêmes avec différents alcools et le contenu de la coupelle. Cela fit rire tout le monde, moi y compris.
« Bois tout ! Bois tout ! Bois tout » criaient-ils !
« Vas-y mon beau marié » lui dis-je, « si tu ne fini pas tout, je t’aide, ne t’inquiète pas, c’est la tradition pour la strip-teaseuse … ». Je n’allais tout de même pas gâcher une goute de ce précieux liquide.
A mon grand désarroi il bu presque tout le bol, non sans un haut le cœur, et il ne me resta qu’à lecher le fond. Je l’embrassai goulument, en le branlant énergiquement, et il fini par jouir sur son costume. Ejaculateur précoce en plus m’étais-je dit !
Mes potes le détachèrent. Ce con n’avait pas l’air si mecontent de sa soirée finalement, et il me remit l’argent. Je filait à l’anglaise, n’oubliant pas de remettre l’argent à Julien, l’ami d’enfance d’Eric, qui ainsi se remboursait du cadeau qu’il nous avait fait. Je quittai la soirée sous leurs bravos à tous, je l’avais finalement bien mérité !
La nuit allait être courte, je partais à la clinque pour mon opération de l’hymen. Tout devait être parfait pour le lendemain.

La journée débuta avec un beau soleil, et j’étais encore tout émoustillée de ma soirée de la veille.
Mon père arriva avec la Porsche Cayenne, la tête de ma belle-mère sur les genoux à ce qu’on m’avait raconté.
Mon beau-père, ma mère et mon époux arrivèrent eux dans la pauvre Laguna de son père.
Je me pointais en retard, accompagné par Marc, mon ami chirurgien. L’opération s’était bien passée, et il eu droit son remerciement en forme de gâterie juste avant que je descende du cabriolet.
En tout cas ma belle-mère m’avait choisi une belle tenue de salope : une robe blanche en deux parties, fendue jusqu’au hanches. Le haut de la robe était composé d’un voile très léger, qui laissait deviner le bout de mes seins qui pointaient, j’étais si excitée. Je portais en dessous un porte jarretelle blanc assorti. Une traine complétait le tout. Une traine pour la trainée, drôle non ?
Marc reboutonna sa braguette en sortant, sous les rires de mes amis. Même ce con d’Eric riait ! Je m’approchai de lui il m’indiqua des traces sur la joue, les lèvres et le cou. Merde, Marc m’avait inondée. « Fait attention et essuie toi, tu as du prendre quelque chose dessus dans cette décapotable de malheur » me dit Eric. Cet idiot ne comprenait décidément rien. Il essuya mon visage avec son mouchoir en soie, et le porta même à la bouche pour l’humidifier. Il devait aimer le gout du sperme !!!
Le mariage se déroula sans problème, nous échangeâmes nos vœux , et rapidement, il fut l’heure du banquet.
Mon père avait tout préparé chez nous, nous avions une si grande propriété, et ma belle même avait mis la main à la patte si j’ose dire. Père avait pris tout les frais à sa charge. Mon beau père avait voulu participer, mais Papounet avait rétorqué que sa femme avait tellement donné de sa personne pour satisfaire le traiteur, les serveurs et les décorateurs, que cela suffisait amplement ! « Soit ! » avait-il dit. Quel con, il ne se doutait pas que mon père avait filmé sa femme et que des vidéos d’elle avait été vendues à des site pornos amateur. Il avait même fait des bénéfices.
Les invités se régalaient du somptueux repas, et le meilleur champagne coulait à flot.
La soirée battait son plein, et je fis visiter la maison aux invitaient qu’il le demandait. Ou plutôt s’était eux qui me visitaient. Mon père m’avait demandé d’être très gentille avec ses meilleurs clients, et une pipe n’avait jamais tué personne. L’ambassadeur du Sénégal lui-même, Mr Bongo, était présent, ainsi que sa garde rapprochée. Hélas le temps m’avait manqué , et je ne pu m’occuper de tout le monde. Je leur promettais de m’occuper d’eux plus tard.
Vers 2h du matin, Eric et moi-même nous éclipsâmes dans une chambre d’hôtel au bord de la plage que Mr Bongo avait si gentiment réservée pour nous, et je sentais que j’allais devoir y passer avec « mister petit bite ».
Je le faisais languir, et me déshabillait lentement devant lui pendant qu’il dégustait le verre de champagne que je lui avais servi. Au moment où je m’allongeai sur le lit pour qu’il déguste un peu mon minou, il sombrait dans un profond sommeil. Quel con avais-je pensé !
A ce moment précis, on toqua à la porte. C’était monsieur l’ambassadeur et son fils qui me rendaient visite. « Mr a apprécié le champagne ? », demanda t’il, et je compris tout de suite ce qu’il en était !
Il l’avait drogué pour profiter de ma nuit de noce. Il est encore plus machiavélique que moi, avais-je pensé !
- Dois-je satisfaire Mr l’ambassadeur et son fils ?
- Non répondit-il, toi tu t’occupes de ça, sortant une queue avoisinant les 30 cm, et mon fils s’occupe de ton mari, il préfère le cul des petits blancs !
- Super idée !!!
Il me déflora avec vigueur, et passa la nuit à me défoncer le cul dans toutes les positions.
Il m’entraina sur le balcon car il voulait que ses gardes du corps assistent au spectacle.
Pendant ce temps, Eric se fit pilonner le trou du cul toute la nuit par Bongo Junior, et je peux vous dire qu’il n’avait rien à envier à son père !!! Il avait du avoir sacrément mal le lendemain.

Mon mari me rejoignit sur la terrasse à l’aube. Mon amant venait de me laisser, j’étais exténuée, l’entre jambe et le cul dégoulinant de sperme. J’étais nue sous mon peignoir face à la plage. Il me déposa un baiser sur son front, c’était bien le seul endroit où Mr Bongo n’avait pas joui, et s’assit à côté de moi. Je souriais de bonheur et le cocu ne se doutait toujours de rien. Les gardes du corps de Mr l’ambassadeur étaient toujours sur le banc en face du balcon, et ils me faisaient de grands signes, les pouces en l’air. Eric me demanda de me couvrir plus, craignant que ces messieurs ne me voit. Quel con celui-là … ils en ont tellement vu toute la nuit. J’écartais encore plus les jambes, pour qu’ils se rincent l’œil.
« Bon je rentre me doucher, range le plateau du petit dèj et ensuite prépare toi, j’ai très envie que tu m’emmènes en voyage de noce ! » lançai-je
- Ou veux-tu aller ? demanda t’il
- Le Sénégal me dit bien, il parait que c’est très beau en cette saison, avais-je répondu dans un grand rire.

Et voilà comment nous passâmes deux très semaines extraordinaires dans la résidence privée de Mr l’Ambassadeur au Sénégal. Mais ça, c’est une autre histoire ….
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j'adore cette histoire,pour moi,la meilleure du forum!un couple très bien assortis....Mme est une gourmande,comme je les adorent.....et Mr,un cocu exemplaire!je me suis bien branlé,en lisant ton histoire....
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