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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#819822
Revoici mon texte,, corrigé, et complété, et cette fois lu par ma moitié qui offre son "imprimatur" comme on dit au Vatican -- elle e juste dit : tu va voir qu'il y aura bien quelqu'un qui nous reconnaitra



1995 - Le salon de l'érotisme et sa suite
C'est une vieille histoire mais qui me réveille toujours la même émotion. Nous sommes un vieux couple (aujourd'hui 60 ans pour moi et 48 pour elle). Nous sommes libertins depuis très longtemps (elle avait 20 ans quand nous avons étés à notre première partouze). Nous avons tout essayés : trios, échangisme, partouzes, même gangs quelquefois.
Mais le candaulisme c'est autre chose ....
C'était donc il y a plus de 15 ans (en 95 je pense) - nous allions de temps à autre sur Clichy acheter de petites robes "pute" pour sortir en clubs, mais elle n'aimait pas ces magasins. Je précise que si elle est toujours une très belle femme, a l'époque c'était un canon. Fine, grande, cambrée, super poitrine... tout, quoi !
Je tombe donc sur une publicité pour le salon de l'érotisme de Paris (pas loin du Stade de France). Je lui en parle et le vendredi soir après la fermeture de sa boutique (ah, oui, elle tenait une petite boutique vers Nanterre, je ne vous en dirait pas plus par discrétion), elle enfile quand même une petite robe plus que sexy et très courte, avec de petites bottines, un manteau pour la bienséance, déposé au vestiaire à l'entrée, et nous voilà partis.
Nous commençons à tourner entre les stands. Beaucoup d'hommes seuls qui sont là pour se rincer l’œil, mais aussi pas mal de couples, presque toutes les femmes habillées sexy. Beaucoup de gadgets sexuels et énormément de vêtements. Du un peu sexy à l'indécent en passant par la tenue parfaite pour faire le trottoir.
Elle achète quelques petits trucs pas mal et pas très chers, et tombe en arrêt devant un stand qui ne présente que du très haut de gamme. Des trucs "pousse au viol" mais de superbe qualité et bien taillés, mais .... avec des tarifs en rapport malheureusement.
Il y avait une vendeuse, charmante, et comme sur beaucoup de stands, une actrice de films pornos sur un petit podium qui faisait des présentations assez osées entre deux autographes.
On fini par se retrouver avec un gobelet de jus de fruit en train de causer avec les deux femmes. A la remarque sur les tarifs élevés, la fille du X, à laquelle ma femme avais confiée acheter ces vêtements pour aller dans des partouzes lui dit : "fait donc le concours exhibition sur le podium central. Toutes les participantes amatrices reçoivent un bon d'achat de 500,00 Francs (eh oui, il y a longtemps), et la gagnante a un bon d'achat de 2000,00 Francs.
Nous continuons notre promenade, et tombons sur le podium central. En fait, de grandes bâches délimitent une sorte de salle de spectacle de 400 places sur des gradins, devant une scène très éclairée, ou des mannequins défilent pour l'instant en montrant toutes les lingeries coquines imaginables.
Nous nous asseyons pour regarder et grignotons les sandwichs achetés à une buvette.
A la fin du défilé, un animateur très bonimenteur annonce pour 22h30 l'exhibition sexe des amatrices. Il explique le règlement (il faut être une visiteuse du salon, signer une décharge, et venir sur la scène avec un acteur masculin du X faire l'exhibition la plus chaude que possible (en fait chaque candidate, en coulisse, se met d'accord avec le gars sur ce qu'elle accepte de faire). Un jury choisira la grande gagnante.... (un beau bon d'achat plus quelques cadeaux et un bon repas pour deux dans un bon resto).
Moi, bêtement, je la met un peu au défi en rigolant "et bien les voilà les fringues que tu voulais, facile, tu va baiser sur scène".
Elle me regarde bizarrement, me dit "ça va pas, non ?", puis ajoute :"exhib ne veux pas dire baise ...faut pas exagérer", puis "attends moi, je vais me renseigner".
Elle revient dix minutes après et me dit "toi qui veux toujours que j'en fasse plus, j'ai vu les quatre autres candidates et je me suis inscrite".
Le "spectacle" commence. La scène ne comporte qu'une suite de cubes de plusieurs tailles recouverts de moquette. Une belle brune suivie d'un très beau mec en string entre .... ils dansent plus que serrés, se caressent ... le gars la déshabille .... et quand il enlève le petit string les lumières s'éteignent sous les hurlements du public.
Trois autres couples passent .... c'est de plus en plus chaud. La dernière fille fait glisser le string du gars sur ces genoux et, pendant cinq minutes, lui fait une fellation, puis, debout, nue les jambes écartées devant le public, se fait branler par le gars qui de l'autre main, montre bien qu'il la doigte pour de vrai . La foule hurle et trépigne. Les lumières s'éteignent.
Joëlle, ma femme, après un bisous, est descendue depuis le début derrière les rideaux, dans les coulisses. Dernière inscrite, elle passe la dernière .... et je m'inquiète quand même un peu. Je quitte ma place et viens me mettre debout contre les barrières qui empêchent de monter sur la scène.
Les lumières se rallument avec une musique douce ... Joëlle entre. Elle porte juste un mini string et un sou-tif très petit avec des hauts talons aiguilles (le tout prêté par l'organisation). Le gars qu'elle tiens par la main est une sorte de bête qui doit passer son temps dans les salles de culturisme. Sous ces "tablettes de chocolat", il ne porte qu'un boxer short très moulant, noir brillant.
Ils dansent un slow, langoureux et mouillés. Ils se roulent des pelles qui de là ou je suis ne font pas du tout bidon. Elle passe sa main entre eux, et l'on voit bien qu'elle lui caresse le sexe ... qui prend de plus en plus de place. Ils arrêtent de danser. En deux secondes, il lui enlève string et soutien gorge. Il la fait asseoir sur un cube, jambes écartées, se met à genoux et entreprend de la sucer ..... Je remarque que la salle est silencieuse et, pour la première fois, je me sent gêné. Il se relève, d'un geste enlève son boxer d’où sa queue se redresse toute bandée, très bandée. On sait tout de suite pourquoi il est dans le porno : quel engin ! Il s'approche d'elle et lui présente son membre à la bouche. Aucune hésitation : elle l'enfourne et se met à le sucer de façon très gloutonne. De près on vois bien sa langue, on vois bien que la queue tendue est luisante. Cela dure de longues minutes. Les lumières se sont éteintes à l'exception d'un projecteur de poursuite blanc dans le rond duquel seuls leurs deux corps nus et brillants se trouve.
Il la fait relever avec douceur, la fait lui tourner le dos .... elle baisse sa tête qu'elle pose sur la moquette du cube, et elle écarte les jambes... La voilà offerte, sa tête un peu de biais, les yeux grands ouverts, à moins de deux mètres de moi. Ces fesses bien relevée et ces jambes très écartées. Je sais que ceux qui sont un peu plus loin à ma gauche voient son sexe ouvert en attente .... justement, le gars est passé derrière. Sa queue à l'horizontale est juste au niveau de la belle chatte que je connaît si bien. Un assistant arrive en courant et lui tend une capote qu'il enfile très vite. Dans un grand silence, sous la lumière du projo, il l'enfile sans à coups. J'entends distinctement le soupir de ma femme. Mon regard capte le sien, nos yeux sont liés, et son amant d'un soir commence un lent, long et puissant mouvement de piston. De si près, on entend le bruit de succion provoqué par cette pénétration qui la remplie entièrement.
Et là, la catastrophe ... quelques personnes bougent près de moi, tendent le cou pour mieux voir, me dérangent. Je suis obligé de tourner la tête un instant sur ma gauche et .... là, à moins de deux mètres de moi ... notre voisin d'en face. Je veux dire le gars qui en face de la boutique de Joëlle, tiens un magasin de fruits et légumes, ou nous faisons des achats très souvent. C'est un "vieux" d'environ cinquante ans qui vis seul. Et là, il a les yeux rivés sur la queue qui pilonne la chatte de ma femme .... et celle-ci commence à jouir. Dans le silence de cette salle de voyeurs, elle halète de plus en plus fort, recule brusquement pour qu'il s'enfonce bien et finie par un cri que je connaît bien quand elle s'envoie en l'air de façon somptueuse .....
Et moi, liquéfié, rouge comme une tomate, je sens la sueur de la panique couler entre mes omoplates .... et en même temps je bande comme ça ne m'est pas arrivé depuis longtemps ..... et je joui, fort, très fort, dans mon slip .......
Elle a joui, et il semble que lui aussi, il c'est enfoncé une dernière fois à fond, aussi loin que possible dans la chatte offerte, et malgré la taille de sa bitte, ces couilles touchent le cul de Joëlle. Il c'est arrêté là. Ces mains qui la tienne à la taille se sont crispés. Il a fermé les yeux et serre les mâchoires. De longues secondes, ils restent comme ça, sans bouger dans le silence. Elle, les yeux grands ouverts sur moi, lui au contraire les yeux fermés. Tous les deux brillent de sueur dans la lumière du projecteur. Ils semblent ne faire qu'une statue de marbre dégoulinante d'indécence.
Enfin, il se retire lentement en veillant de deux doigts à ce que le préservatif suive et reste sur sa queue.
Tous les deux se sont redressés. Ils se tiennent par la main, et lui tiens sa capote au fond de laquelle sa semence est bien visible dans l'autre main. D'un seul coup, un tonnerre d'applaudissement retentis. Je reste saisi. Notre voisin, le « fruits et légumes », calé contre la barrière, bas des mains avec enthousiasme en parlant à l'oreille de son voisin, ce qui renforce mon inquiétude.
Après un dernier baiser très appuyé, ils sont repartis en coulisse. L'animateur est revenu. Il explique que le jury va donner son verdict avec difficulté (tu parle!), et il rappelle les candidats.
Les cinq couples reviennent en se tenant par la main. Habillée comme au début de son numéro. Joëlle avec son string et son mini soutien-gorge est, de loin, la moins habillée.
L'animateur se fond en compliments sur tous et demande aux compagnons de ces dames de les rejoindre sur scène. Je vois quatre gars qui s'avancent, et je réalise que je suis le seul dont la femme a vraiment baisée sur la scène, devant quatre cent personnes et … le voisin.
La vue brouillée, le dos en sueur, je pense quand même qu'il serait lâche de la laisser tomber, tant pis, je monte sur la scène … bon dernier.
Un tonnerre d'applaudissements m'accompagne quand je me met près de Joëlle, et que je lui prends la main laissée libre par son baiseur, toujours très beau mec dans son boxer brillant et moulant ou la bosse ne laisse aucun doute sur ces dispositions.
Bien sur elle gagne le premier prix, un petit sac de voyage orné de cœurs et chargé de cadeaux et de bons d'achats.
Enfin mon supplice prends fin. Nous nous retrouvons dans les coulisses avec une coupe de champagne en main et tout ce petit monde papote. Une autre candidate viens dire à Joëlle son admiration pour son courage. Un gars de l'organisation engueule à voix basse « notre » baiseur. Il lui dit qu'un pro du porno n'aurait jamais du éjaculer, que cela pourrait leur valoir des ennuis. « Notre » baiseur s'excuse en disant « j'aurais voulu t'y voir, toi, tu a vu la fille, comment elle est faite et comment elle baise ?  Moi c'est quand elle veux, ou elle veux ».
Enfin, Joëlle rhabillée, nous reprenons notre liberté et nous retrouvons, presque anonymes dans les allées du salon. Elle est en pleine forme et va d'un bon pas directement au stand de fringues ou elle dépense rapidement ces bons d'achats en petites robes très courtes, très décolletées et presque transparentes. Je n'ai pas le cœur de lui parler du voisin qu'elle n'a sans aucun doute pas remarquée.
Une annonce préviens de la proche fermeture des portes du salon, nous repassons au vestiaire ou nous récupérons veston et manteau.
Enfin, la voiture, ou nous roulons en silence. La discution a du mal à démarrer. Elle me pose une main sur la braguette, me sourit et me demande : « tu m'en veux ? Tu n'a pas aimé ? Je croyais que tu voulais ». Je suis obligé de la rassurer. C'est vrai que je l'ai poussée, que c'est moi qui lui ai fait découvrir la vie de libertine alors, malgré mes angoisses, ma jalousie aussi, je lui dit qu'elle a été parfaite, belle, désirable et bandante, et que son partenaire a eu l'air de lui faire de l'effet. C'est là qu'elle me dit que oui et qu'elle lui a donnée notre numéro de téléphone (on n'avais pas de portable à l'époque).
C'est seulement à la maison, et alors qu'on est tous les deux sous la douche avant d'aller au lit que je lui dit : « tu n'a rien remarqué quand tu était sur scène ? Tu n'a vue personne qu'on connaît ? » et là, très tranquillement, les yeux dans les yeux, elle me dit « tu parle de notre voisin d'en face ? Je me demandait si tu l'avais remarqué aussi …. oui je l'ai vu quand je me suis installée sur le cube. Je sais, ça va risquer d'être un problème . Mais sur le moment ça m'a terriblement excitée, c'est pour ça que je me suis mise dans ce sens, les fesses vers lui. Tu ne peux pas savoir comme ça a été bon quand Marc m'a enfilée de savoir que l'autre ne pouvais manquer aucun détail, ça m'a rendue folle, je crois n'avoir jamais autant mouillée. Pardonne moi mais je n'ai égoïstement pensée qu'à mon plaisir à ce moment.

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Comme à chaque fois que nous rentrons tard après une sortie, un vendredi soir, comme je ne travaille pas moi-même le samedi, je laisse Joëlle dormir, et sans bruit, je m'éclipse pour, après un café et une douche rapide, aller ouvrir son magasin. Elle viendra me rejoindre quand elle sera bien reposée. Nous habitons à moins de trois cent mètres du magasin, donc c'est à pied que je m'y rends.

J'ouvre le rideau de fer, la porte, allume les lumières, la photocopieuse …... un peu de rangement, de classement. En face, je vois notre cher voisin, désormais complice non choisi de nos turpitudes, installer ses cageots de fruits …. Une sourde angoisse m'étreint. Tout me conviendrai mieux que cette incertitude. Que va t'il faire ? Quels seront les conséquences pour nous, notre couple, ce commerce, voire nos amitiés et notre famille …

Quelques clients défilent, des paquets à donner, quelques photocopies, des commandes, cela au moins m'occupe et m'évite de penser.

Onze heures : fraîche et pimpante dans une petite robe correcte mais plus sexy que ce qu'elle porte habituellement au travail, voici ma femme. Une bise, et entre deux clients elle me demande : « pas de nouvelles d'en face ? » Je lui dit que non et avoue mon inquiètude ; « tu a raison » me dit t'elle, « on ne va pas rester dans l'incertitude, j'y vais. Il me faut des fruits et à cette heure sa boutique est vide …. je vais le voir ». Elle prends un sac dans l'arrière boutique et, plus courageuse que moi, s'en va faire ces courses en face.

Elle revient une bonne demi-heure après, toujours aussi souriante. Rien que ça, je me sent déjà mieux, et elle me rassure. C'est elle qui lui a parlé de la soirée d'hier, lui faisait comme si rien n'était arrivé, et il l'a rassurée : « ma petite dame, hier en me voyant dans ce salon, vous avez découvert mon penchant pour le libertinage. Et moi que j'avais un couple de voisins qui partage mes goûts. En quoi devrait-je mal vous juger puisque nous partageons les mêmes idées ? Soyez sans crainte, vous m'étiez sympathique avant, vous l'êtes pour moi encore bien plus maintenant. Vous êtes tout ce que j'aime, ce que j'admire. J'envie votre mari pour avoir réussi à avoir la femme dont je rêve. Je ne parlerais jamais à quiconque de cette soirée. Cela restera notre secret dont je rêverai longtemps. Quand à l'ami auquel je parlais à l'oreille, c'est juste un vrai libertin qui passe son temps à organiser des soirées privées pour des gens de la haute …. lui, c'est sur aimerait vous faire des propositions. . Mais je ne lui dirait jamais que je vous connaît, à moins que vous le vouliez. »

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Deux ou trois jours sont passés. Cette soirée me semble déjà un rêve qui s'éloigne. Je suis seul à la maison en train de cuisiner pour nous deux. Joëlle ne va pas tarder sans doute puisque l'heure de la fermeture du magasin a sonnée.

Justement, c'est le téléphone qui sonne. Je baisse le gaz, et ma cuillère en bois à la main que je suce pour goûter ma sauce, je vais au salon et décroche :
« Salut, c'est Marc ---- Joëlle est là ? »
« Heu … non pas encore .. qui êtes-vous ? »
« Marc, un ami …. Vous êtes son mari ? »
« oui ! »
« Alors on se connaît, on c'est vu au salon de l'érotisme vendredi – je lui est servi de partenaire »
« Ah … OK »
« Je ne veux pas abuser, elle m'a donnée son numéro, j'ai pensé que vous étiez d'accord »
« Oui bien sur … elle est libre … mais pas encore rentrée ... »
« Ah .. en fait j'étais dans votre quartier, et comme elle m'avais proposée de passer prendre un verre … Bon, je vais vous laisser alors »
« Pas du tout. Si elle a dit ça c'est qu'elle le souhaite. Venez donc, j'ai fait un plat chinois, vous pourrez causer en partageant notre repas à la bonne franquette. Cela lui fera une surprise. Je vous explique le chemin …. »
C'est comme ça, naturellement, sans penser à ce qui pouvais en découler, que j'ai mis le doigt (quand je dis le doigt …) sur ce qui allais occuper notre hiver.
J'entends la porte du garage qui se referme. Joëlle est là. Je lui annonce que nous avons un invité qui sera là dans dix minutes. « C'est sympa de l'avoir invité. Je me demandais s'il appellerai. Bon alors je te laisse mettre la table, je vais me faire belle ». Et elle disparaît vers la salle de bains.

Vite fait, je mets les couverts dans le séjour, allume la stéréo en sourdine, baisse le gradateur d'éclairage et allume les bougies des deux chandeliers. C'est vite fait mais l'ambiance est agréable. Tiens c'est vrai, j'avais garnie de bois la cheminée … une allumette et hop ! Ambiance chaude et intime.

Petit coup d’œil à ma cuisine. Il n'y aura pas d'entrée mais j'ai de bonnes glaces au congélateur. Je débouche une bouteille de Saumur et met une roteuse au frais, on ne sait jamais.

Ding-dong !!!! déjà ? Et bien j'ai fini à temps. J'enlève mon tablier et je vais ouvrir. Je le reconnaît à peine. C'est vrai que je ne l'ai vu qu'en boxer short et nu et … occupé. En fait je n'ai pas trop regardé sa figure.

Grand, pas gros et très bien proportionné, il est souriant. Belle figure sympathique, cheveux bruns assez courts et bien coiffé. Il tiens d'une main un bouquet de roses rouges – treize roses, un connaisseur galant, dans l'autre une bouteille de champagne d'une bonne maison. Je le débarrasse de son blouson. Il porte une chemisette blanche malgré que dehors c'est frisquet, largement ouverte sur sa poitrine lisse, et un pantalon noir, en cuir moulant. Décidément, il aime mettre son corps en valeur.

Il me serre la main, et je le conduit au salon, je le déleste de sa bouteille, lui dit « fait comme chez toi » et retourne en cuisine, mettre sa bouteille au frais, et préparer le seau à glace.

Je reviens au salon pile au moment ou Joëlle y entre aussi, par l'autre bout. Mazette, elle a mis une des robes achetée si chère au salon (enfin achetée gratuitement avec ces bons d'achats). C'est une mini-robe toute blanche presque transparente, assez pour voir qu'il n'y a rien dessous. La partie jupe est très courte, plissée, pas plus de vingt centimètres, et ne cache que la moitié de la hauteur de ses fesses. Le haut sans manches comprends un décolleté qui descend pile jusqu'à son nombril, les deux cotés faisant soutien-gorge mais plus fait pour les mettre en valeur, un peu comme présentés sur un plat, que pour les cacher. Le dos, bien sur, est nu jusqu'à la naissance des fesses. Une chaîne en or décore son cou, avec, perversion suprême, une croix catholique juste à la naissance de ces seins.. Elle a enfilée une paire de bottes en cuir souple comme la peau. Blanches elles aussi, elles montent au dessus des genoux., son bronzage magnifiquement entretenu fait contraste avec le blanc claquant de sa robe. Très bien maquillée, elle rayonne dans la lueur des bougies.

Marc émet un petit sifflement admiratif, s'approche d'elle, lui offre ces fleurs qui la fond un peu rougir et lui fait des bises, très chastes, sur les deux joues. Une fois à droite, une fois à gauche, une fois à droite, une fois à gauche …. comme de tradition dans notre famille. S'il ne l'avait pas un peu trop serrée dans les bras dans sa tenue si suggestive, on pourrait croire qu'ils sont parents. Elle me passe le bouquet, à charge pour moi d'en enlever l'emballage et de le mettre dans un vase. Tâche dont je m'acquitte en mari dévoué, avant de les mettre sur la table en verre ou nous dînerons tout à l'heure.

Nous prenons place au salon, ils s'installent sur le canapé pendant que je retourne à la cuisine chercher le seau à champagne dans laquelle je place notre bouteille – la sienne n'est pas assez fraîche encore, trois flûtes, et une petite assiette d’amuse-gueules.

Je reviens avec mon plateau en me demandant si je vais les trouver en train de baiser. Mais non, mauvaise langue que je suis. Tournés l'un vers l'autre, ils discutent, parlent de nos vies respectives. En fait au salon de l'érotisme, s'ils ont fait intimement connaissance, ils ont peu parlés et on peu dire qu'on ne se connaît pas encore vraiment.

Ce garçon est étonnant, acteur de films pornos, il considère que ça n'est pas son métier. En fait, il est étudiant en dernière année de médecine. Il est libertin et orphelin. C'est ce qui l'a amené dans le porno, pour avoir les moyens de vivre et de terminer ces études. Très amateur de sexe, il est aussi très exhibitionniste, il n'a aucune famille. Ce « travail » qui finalement lui prends peu de temps lui convient très bien. Il arrêtera dès qu'il sera en mesure d'ouvrir son cabinet, dans un an ou deux. A part ça, comme je l'avais pressenti, il fréquente une salle de culturisme en faisant attention à ne développer son corps que juste assez pour plaire et se plaire mais pas plus.

Joëlle lui raconte notre vie, notre mariage, nos occupations professionnelles, et bien sur notre goût pour des aventures sexuelles variées et nombreuses.

Nous sirotons ainsi la bouteille. Je participe en pointillé à la conversation. La bouteille terminée, la cheminée qui crépite près de nous, on se sent bien là. Je les laisse cinq minutes pour aller réchauffer mon plat.

A mon retour, ils sont debout en train de se diriger vers la porte qui donne sur notre chambre. Joëlle a le haut de sa robe descendue sous ses seins dressés, lui a une main sous sa robe, dans la raie de ces fesses. Au léger bruit que j'ai fait en entrant, ils se sont tournés vers moi, et elle me dit  avec un petit sourire: « mon chéri, tu nous laisse seuls un moment ? ». Comment pourrais-je m'y opposer, à supposer que je le veuille ? D'ailleurs elle n'a pas attendue de réponse, c'est aussitôt tournée vers la porte en le tirant par la main, et ils ont disparus dans la chambre, en la laissant grande ouverte.

Que faire en attendant ? Je fait rapidement un aller retour à la cuisine pour mettre mon plat juste à réchauffer. Il ne manquerait plus que je le brûle. Je reviens m’asseoir dans mon fauteuil, rêveur avec à portée de main la télécommande de la chaîne hi-fi. Pris d'une inspiration, je coupe la musique et change de fauteuil, me rapprochant ainsi de la porte de la chambre. Rien ….. je me relève et éteint toutes les lumières. Il ne reste que les bougies et … le silence..... Je ramasse le tabouret du piano et vais m’asseoir carrément contre le chambranle de leur porte. Mon cœur se calme et j'entends maintenant le moindre bruissement.

Des bruits imperceptibles, des draps froissés sans doute, des souffles légers, des bruits de succion : des baisers, une fellation, un cuni ou autre chose ? L 'incertitude est stressante.

Je respire doucement pour ne pas faire de bruits, et ouvre grand mes oreilles. Oh bien sur, il me suffirai de passer la tête pour tout voir, puisque la porte est grande ouverte et que la lueur qui sort de la pièce prouve que les lampes des tables de nuits sont allumés. Mais elle m'a demandée de les laisser et je lui ai toujours dit qu'on ferai en ce domaine, exactement comme elle voudrait. Donc, je joue le jeu.

D'ailleurs pour moi, cela est très valable.. Bien sur j'ai des frustrations, mais aussi que d'excitations, que de compensations.

Ils font plus de bruit, j'ai entendu distinctement un bruit d'élastique … une capote qui se déroule et que l'on tends, tel une chaussette. Un bruit de chuintement, puis un halètement sourd. Sur que c'est ma femme, femelle lubrique qui d'un coup feule « plus loin, à fond ». Je sent que je bande mais m'interdit de me toucher. C'est Marc que j'entends maintenant respirer si fort …. Un cri, pas original mais ces Ah ! … Ah ! … Ah ! répétés m'enthousiasment. Quelle salope quand même. ! Une reine du cul, la mienne, et que j'aime de telle façon que je renonce à décrire cette sensation d'adoration que je ressent à cet instant. Un dernier cri sourd : ça c'est Marc qui se vide. Tant mieux pour lui.

C'est fini. Je les entends respirer plus calmement, puis un échange de phrases, même pas chuchotées mais avec la voix haute de ceux qui ne se cachent pas :
« Il y a longtemps qu'un mec ne m'a pas baisée comme ça »
« Merci, mais moi aussi je suis étonné du plaisir que j'ai en toi. Ta chatte est faites pour ma queue, c'est sur »
« J'ai faim : allons voir si Jean a bien travaillé »

Ils ont sautés du lit si vite que je n'ai pas eu le temps de m'éloigner de la porte. Marc le premier, la capote avec sa dose de jus a moitié sortie encore de sa queue à peine débandée, Joëlle qui le suit de près en lui caressant le dos.

J'ai l'air idiot ainsi, juste debout devant mon tabouret, tout habillé avec la bosse très visible de mon érection sur mon pantalon, devant ce couple d'amants nus qui sentent le sexe …. Joëlle rigole : « mon chéri, tu aurais du te branler. Pas raisonnable de rester avec ton jus qui te monte à la gorge ». Je bredouille et m'éloigne vers ma cuisine pendant qu'ils vont à la salle de bains.

Dans ma cuisine, je prends mon temps. D'abord, le temps qu'ils prennent une douche et se rhabillent, pas la peine de courir, ensuite je veux reprendre mon sang froid.

Je transfère mon petit ragoût exotique dans un plat de service, je découpe du pain dans la panière et met le tout sur un plateau en compagnie de ma bouteille de Saumur à peine fraîche comme il se doit. Il me reste bien deux minutes. Face à l'évier, je descend mon pantalon et mon slip et passe un peu d'eau sur ma queue. J'ai mouillé et des traces sont visibles. Cela fait jeune ado qui a trop de rêves érotiques. Tout est en ordre, je suis à nouveau très présentable. Je prends mon plateau et retourne vers mes invités.

Je pensais que j'avais bien préparé la table, et bien non. Joëlle (je suppose) a modifiée mon agencement. Il faut vous dire que nous avions, à l'époque une table de séjour ronde en verre. Le plateau fumé assez foncé ayant été cassé, nous en avions fait faire un autre en verre parfaitement clair. Moi j'avais mis trois sets de tables bien répartis avec assiettes et couverts. Et bien, plus de sets de tables. Les assiettes, elles mêmes en verre pyrex transparent sont posées directement sur le plateau. Il y en a une directement devant moi, et les deux autres côte à côte de l'autre coté. De chaque coté un chandelier trois branches avec les bougies allumées et au milieu le petit vase avec les treize roses.

Assis côte à côte face à la place qui me reste, ma femme et son amant sont assis, leurs épaules se touchant. Contrairement à ma prévision, ils sont tous les deux entièrement nus comme au jour de leur naissance. Même pas la chaîne autour du cou, aucune bague, même pas l'alliance avec les petits diamants que j’ai eu tant de mal à payer, pas de boucles d'oreilles, rien.

Je ne fait aucune remarque, j'ôte les fleurs que je vais poser sur le piano, et pose sur la table le contenu de mon plateau. Quand je pose ma bouteille de vin, Joëlle me dit « chéri, tu veux bien plutôt nous servir du champagne ? C'est fête ce soir, j'en ai envie. Mais si tu veux, tu peux, toi boire le vin rouge ».

Bon, je sais ce qui me reste à faire. Aller-retour à la cuisine, nouveaux glaçons dans le seau, la bouteille au milieu et juste deux flûtes. J'ai pensé que son autorisation de boire, moi, le vin rouge, était plutôt un désir de m’empêcher d'être avec eux en partageant le champagne.

Me voilà de retour. Ils se sont servis du plat. Bon, il ne me reste qu'à me servir aussi. Je fait le service du champagne et, enfin, après m'être servi un verre de rouge, je m'assois face à eux.

Impressionnant ! Devant mon assiette, sans le chercher, je vois tout sous et sur la table. Ils discutent tranquillement de cul. Je veux dire qu'alternativement ils se racontent leur vie de débauchés (je n'ai même pas l'impression d'être partie prenante de celle de Joëlle). Ils se racontent les bons coups, les séances les plus hard. Joëlle a les jambes bien ouvertes. Et lui aussi. Entre deux bouchées et la fourchette posée au coin de l'assiette, ils se touchent. Deux trois aller retour pour masturber ce membre (vous ai-je dit qu'il est impressionnant de taille aussi bien en longueur qu'en diamètre. Et qu'il semble dur comme une matraque ? On ne dirait vraiment pas qu'il vient de baiser), puis elle le lâche pour manger une bouchée. Pendant ce temps, c'est lui qui lui introduit un doigt et le fait doucement manœuvrer dans sa chatte. Il ressort brillant. Il le suce avant de reprendre à son tour sa fourchette. Leur conversation, de plus en plus hachée, ne parle que baise, chatte, jouissances.

Ils ont finis leurs assiettes alors que la mienne est à peine entamée. Pourtant c'est bon, très bon même.

Seule phrase qui m'est destinée, c'est quand, suite à une question de Marc, elle me prends à témoin : « hein qu'il y avais beaucoup de mecs au gang du mois dernier ? » Je suis bien obligé de confirmer.

Je me lève et débarrasse les assiettes après les avoir resservis en champagne. Ils sont trop occupés à se rouler des pelles baveuses et à se masturber mutuellement pour se servir. Pourtant quand je reviens, les verres sont vides, et moi je fait immédiatement demi-tour pour ranger ma glace rhum- raisins au congélateur avant qu'elle ne fonde.

En effet, Marc toujours assis a encore plus écarté les jambes et Joëlle, à genou sous la table est en train de le sucer.

Cette fois et une fois assis à ma place, j'ai une place d'enfer. Imaginez !! Ce gars magnifique assis en face de moi et ma femme tout aussi magnifique qui me tourne le dos entre mes jambes en train de lui administrer une fellation de spécialiste. N'oubliez-pas que la table est complètement transparente et vide et qu'ils sont nus, archi-nus.

Je me relève quand même pour déplacer ma chaise. Au lieu d'être derrière Joëlle, je me rassoit sur le coté. Là je vois la super pipe dans toute sa splendeur. Joëlle a écartée les jambes pour être plus stable, ce qui fait que je vois sa chatte béante et brillante de mouille qui tombe, goutte à goutte sur la moquette. Elle l'engouffre lentement, le plus loin possible. De temps en temps sa langue joue avec le méat, fait le tour du gland, descend jusqu'aux couilles et remonte pour que sa bouche engloutisse à nouveau cette queue si dure.

Marc halète. Deux fois il a soufflé « arrête » mais je vois bien qu'elle n'en a nulle intention. Elle-même dégouline .. je suis bon pour un nettoyage de moquette. Un râle de Marc, je pressent la suite, elle aussi. Elle ferme sa bouche sur la queue qui est entrée de seulement quelques centimètres dans la bouche, de façon à ce que les lèvres de cette femelle entourent bien serré le gland : elle ne bouge plus. Je vois distinctement les muscles des cuisses de ce mâle superbe se contracter violemment et il jouit violemment en poussant un cri de bête qui ne sait plus ou elle est. …. on ressent bien les puissants jets successifs en le voyant faire de petits sauts sur sa chaise. Joëlle tiens fort d'une main ferme la queue qui se vide en elle. Manifestement elle veux tout, ne rien perdre. Il faut savoir qu'elle n'aime pas ça, parait-il … sans commentaires !

C'est fini, je crois, mais non. C'est juste fini pour Marc. Elle le lâche et se retourne, elle se laisse tomber sur le dos a coté de la table, et là, vite, elle se met deux doigts dans la chatte et se met à se branler, très vite et très fort. Sa bouche c'est ouverte, sa tête est sur le coté. Un filet de sperme en coule, bien vite capturé d'une langue gourmande. Sa gorge déglutit, elle avale jusqu'à la dernière goutte. Ces doigts humides s'activent et dans un cri elle joui à son tour, très fort.




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#820122
Merci -- je ne fait qu'écrire selon ma mémoire - ça fait un bail. Joëlle me dit que ce serait plus simple d'écrire nos petites aventures actuelles (Vendredi nous étions en club libertin - le Liberty pour ceux qui connaissent, et elle a trouvée un gars qui lui plait bien. On va voir s'il y a une suite) - de toute façon je vais écrire la suite de cette aventure car cette balade à ce salon a eu des conséquences longtemps

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