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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

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Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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par Lynx33
#823401
Ce récit est celui de mes conversations avec une jeune femme du prénom de Sophie. J'ai fait sa connaissance sur internet. Je cherchais des confidences, elle avait envie de parler d'elle et de ses aventures. Nous avons ainsi eu de longs échanges avant même de nous rencontrer.
Besoin de se confier ou exhibitionnisme? Réalité ou fiction?
Au moment où débutent ces échanges, Sophie est une très jolie brune de 32 ans. Elle est mariée et maman d'un petit garçon de neuf ans



CHAPITRE I
1ère partie



Bonsoir Sophie. Alors tu n'as pas eu peur de m'appeler ?
Peur? Non. Pourquoi, je devrais? Ca m'amuse et toi ça t'excite, je suppose

Ainsi-tu trompes ton mari ?
Oui et non.

Comment ça ?
J'ai des aventures avec d'autres hommes, mais je ne lui cache pas.

Souvent ?
Assez, oui.

Et il l'accepte ?
C'est lui qui, au début, m'a poussée vers d'autres hommes. Ça ne s'est pas arrêté là où il croyait.

Il n’est pas jaloux ?
Il me dit que non, mais je crois bien qu’il l’est un peu.

Comment en es-tu arrivée à prendre des amants ?
C’est une longue histoire. Quand je mes suis mariée, j’avais 22 ans. J’étais très éprise de mon mari. Il était beau, gentil, attentionné, tendre. Mon enfance n’avait pas été très drôle et je découvrais avec lui la quiétude et la stabilité.

C’était ton premier homme ?
(Rire) Non, bien sûr. J’avais connu six hommes avant lui. Le premier était un copain du lycée l’année du bac. Puis des amis de fac. J’ai vécu un an avec un homme plus âgé que moi. C’est le premier qui m’a vraiment fait découvrir le plaisir. Mais il était instable et coureur. Il me trompait et je n’ai pas accepté.

Et avec ton mari, comment c’est ?
Quand je l’ai rencontré, j’étais folle amoureuse. Physiquement c’était bien moins fort qu’avec l’homme que je venais de quitter, mais il était si affectueux, si sensuel. Je n’ai pas hésité quand il m’a proposé de l’épouser. Aujourd’hui, il est toujours aussi attentionné et je me sens bien avec lui.

Alors pourquoi le tromper ?
Les choses ont été progressives. Nous avons eu un enfant qui m’a pleinement occupé. Quand il est allé à l’école, il y a eu comme une rupture. Mon mari était souvent en voyage pour son travail et je me suis sentie seule. J’avais une amie d’enfance avec qui je partageais tout. Elle venait de divorcer car son mari était violent. Elle s’est mise à la recherche d’un autre homme. Elle multipliait les aventures et me racontait toutes ses découvertes. Au début, j’écoutais sans plus. Puis je mes suis rendu compte que ça ne me laissait pas indifférente. Magali, c’est le nom de ma copine, n’était pas une très jolie fille. Pourtant elle rayonnait et les hommes lui tournaient tous autour. C’est à ce moment que j’ai pris l’habitude de me caresser en m’imaginant à sa place. Lorsque mon mari était là, nous faisions l’amour. J’y prenais de moins en moins de plaisir et j’en venais à regretter les soirs où j’étais seule et où je me caressais longuement.

Ton mari s’en rendait compte ?
Oui. Il me disait que je n’étais pas satisfaite. Depuis quelques temps, il me parlait de son fantasme de me voir faire l’amour avec un autre homme. Il m’avait demandé de lui raconter mes aventures avant de le connaître et ça l’excitait. Lorsque je lui ai raconté les aventures de Magali, il a été très troublé. Lui qui ne la supportait pas est devenu très attentionné. Il voulait tout le temps que je l’invite. J’ai fait une petite crise de jalousie. C’est là qu’il m’a confié sa fascination pour les femmes qui ont des amants. Il m’a proposé de sortir avec elle.

Tu as accepté ?
Je n’avais pas envie de tenir la chandelle ! Et il n’était pas question que je prenne un amant. J’étais mariée, donc fidèle… Pourtant nous faisions de moins en moins l’amour. Mon mari n’arrêtait pas de me dire qu’il ne mes satisfaisait pas, qu’il me fallait un homme plus endurant. C’est vrai que mon mari savait me caresser, me donner du plaisir avec sa langue, mais il était trop rapide pour me faire jouir avec son sexe. Il en était presque plus malheureux que moi.

Comment en es-tu venue à avoir un amant ?
C'était pendant les vacances, il y a deux ans. Nous étions assez proche sur le plan sexuel pendant cette période et nous avons parlé de nos fantasmes et de notre plaisir. C'est là qu'il m'a reparlé de son désir de me voir avec un autre homme et que je lui ai confié que je me masturbais en m’imaginant à la place de Magali

Que t'a proposé ton mari ?
Rien directement. Il m’a seulement dit qu’il avait plaisir à m’imaginer me rendant avec lui un soir dans une boîte, habillée très sexy. Dans son fantasme, j’allumais les hommes qui me plaisaient. Lui était là, mais comme s'il ne me connaissait pas. Lorsque je trouvais un homme qui me plaisait vraiment, je devais le vamper à mort et j'avais carte blanche pour la suite. Si je voulais, il aimerait voir.
Tu as réagi comment ?
Je lui ai dit que je me doutais qu’il aimait que je provoque le désir d’autres hommes. Dès que nous sortons, il me pousse toujours à porter des tenues suggestives. Mes jupes ne sont jamais assez courtes ou mes seins assez moulés ! Mais, de là à me voir faire l’amour avec un autre, il y a un grand pas. Je lui ai demandé s’il serait sûr de le supporter.

Et alors ?
Il m’a répondu que son désir était si fort qu’il surpasserait ses éventuelles réactions de jalousie.

Et toi, cette idée te plaisait ?
Elle faisait son chemin. Mais je n’imaginais pas faire l’amour avec un homme sans qu’il y ait une dimension sentimentale. Tu te doutes que je me fais souvent draguer. A cette époque, j’étais souvent troublée lorsque des hommes me faisaient des avances. J’aimais minauder avec eux avant de les éconduire au nom de la fidélité conjugale. Mais après, je continuais à penser à eux. Je m’imaginais faisant l’amour avec eux.

Et tu l'as faite cette sortie en boîte ?
Oui, nous l'avons fait. Nous étions très proche à ce moment et c'était un jeu qui se promettait d'être agréable. Nous étions très excités en le mettant au point. Nous n’avions pas fixé de limite. Je pensais que si je trouvais un homme à mon goût, je l’allumerais devant mon mari. Peut-être même que je le laisserais me tripoter comme le fait Magali. Et un soir nous y sommes allés. Il faisait très chaud. J'avais choisi avec lui une petite robe blanche à bretelles très légère et très très courte et des chaussures à talons.

Tu étais nue dessous?
Non, je portais une toute petite culotte blanche. Par contre, mes seins étaient libres et très provocants sous ma robe.

Comment cela s'est-il passé dans la boîte?
Nous sommes entrés séparément comme si nous ne nous connaissions pas. Il y avait du monde. Je suis vite allée sur la piste pour danser. Pas mal de mecs me regardaient et plus ils me regardaient, plus je bougeais. Quand sont venues des danses plus "intimes", je n'ai eu que l'embarras du choix. J'ai fait traîner les choses, donner des signes de disponibilité à plusieurs.

Tu dansais serrée, serrée?
Pour ça oui ! Et tu sais, dans cette situation, les mecs ont du mal à cacher ce qu'ils ressentent (rire). Il y en avait deux particulièrement "virils" lorsqu'ils me tenaient dans leurs bras. Moi, je ne faisais rien pour calmer le jeu, au contraire. De temps en temps je croisais le regard de mon mari qui se doutait de la situation.

Et alors ?
J'ai accepté de boire un verre avec le plus grand. Il s'appelait Gilles et était super beau. Il m'a sérieusement draguée. Je n'étais pas insensible à son charme. Il était très masculin, tu vois, très sûr de lui. Nous sommes retournés danser. C'était très rythmé, et je bougeais pour lui. Je savais que mes seins se balançaient, que mes hanches provoquaient, que ma robe n'était pas assez longue pour cacher mes cuisses bronzées et que de temps en temps elle remontait bien trop haut... Bref il était fasciné.

La musique a ensuite changé de rythme ?
Bien sûr... C'est la règle dans ce genre de boite. Alors là, je ne le tenais plus. Il m'aurait fait l'amour sur la piste. Ses mains étaient partout sur moi et je sentais son sexe si dur et si gros contre moi. Je fondais. A un moment il a fait glisser la bretelle de ma robe et me caressait carrément un sein dénudé. Heureusement qu'autour de nous ça chauffait aussi !

Et quand la musique s'est arrêtée ?
On s'embrassait sans aucune retenue. La piste s'est vidée, il m'a prise par la main et m'a entraînée à l'écart. On s'est retrouvé dans un coin sombre où il n'y avait que des couples qui, comme nous, recherchaient un peu d'intimité.

Là, je suppose que vous n'avez pas été sages ?
Pas vraiment, non. Il a recommencé à m'embrasser et à me caresser. J'étais bien. Je me suis vite trouvée à nouveau avec un sein à l'air. Il l'a porté à sa bouche. Ses mains étaient partout. Elles se sont faites plus insistantes sous ma robe, je sentais avec délice ses doigts à travers le coton humide de ma culotte. J'espérais que mon mari pouvait me voir ainsi abandonnée. Nous nous sommes laisser aller comme ça pendant un long moment. Durant ces étreintes ma main s'est retrouvée posée sur la bosse que faisait son sexe. Ca m'a fait comme un choc et je me suis mise à mouiller terriblement. Je palpais son sexe à travers son pantalon, pensant que s'il était dans cet état c'était pour moi... Cette caresse ne l'empêchait pas d'être de plus en plus entreprenant et un de ses doigts s'est glissé en moi, titillant avec habileté mon petit bouton. Son geste se faisait plus précis, plus rapide et moi je me laissais aller sans retenue. Je ne sais pas combien de temps ça a duré, tout ce dont je me souviens c'est que mon ventre s'est embrasé et que je me suis mise à jouir. J'ai dû crier car il m'a donné son doigt à mordre. Je suis revenue à moi doucement, sur son épaule, en me laissant câliner comme un bébé.

Et après ?
Je suis restée un long moment dans cette position. La musique était loin, j'étais si bien. Je me suis aperçue que ma main droite était crispée sur son sexe toujours aussi dur. Il ne m'avait pas accompagnée. Un peu gênée, j'ai regardé autour de moi. Juste en face, à l'ombre d'un pilier, j'ai croisé le regard de mon mari. Il était apparemment le seul à s'être aperçu de nos caresses. Cela m'a fait sourire. Revenue tout à fait sur terre, je me suis excusée auprès de Gilles et me suis dirigée vers les toilettes. Je titubais un peu. Je sentais ma culotte trempée entres mes cuisses et j'avais l'impression que tout ceux qui me regardaient se rendaient compte de mon état!

Et ton mari ?
Il m'a suivi. Je me suis enfermée dans les WC avant qu’il me rejoigne. J’ai retiré complètement ma culotte l’ai glissée dans ma pochette, fait un petit pipi et suis ressortie sans rien sous ma robe. Je l'ai retrouvé dans le couloir. Il m'a prise dans ses bras, m'a embrassée et m'a demandé si j'étais bien. Lui aussi était terriblement excité. Je lui ai dit que oui. Il m'a alors demandé si je voulais continuer et j'ai répondu que j'en avais très envie. Alors j’ai fait un truc que je savais fatal pour lui. Je lui ai donné ma culotte en lui disant que je n’en avais plus besoin pour ce que j’allais faire ! Il l'a portée à ses lèvres et a voulu m’attirer à lui. Je lui ai dit "tu l'as voulu" et me suis échappée.

Pour retrouver Gilles ?
Oui, bien sûr. Il m'attendait.

Qu'avez-vous fait alors ?
Il m'a regardée m'approcher. Son regard était toujours aussi brillant... Il s'est levé, m'a enlacée et longuement embrassée. Puis il m'a à nouveau entraînée sur la piste.

Vous avez à nouveau dansé ?
Oui. C'était une série très douce. Je me suis retrouvée collée à lui, sentant à nouveau son désir contre moi. La piste était devenue très sombre et les couples autour de nous n'étaient pas plus sages que nous. Il me serrait, me murmurait des mots gentils. Son attitude a changé quand il a glissé sa main sous ma robe, en remontant lentement le long de ma cuisse. Il s'est aperçu que je n'avais plus de culotte, a rapidement vérifié que rien ne protégeait mon intimité. Sa main a enveloppé ma chatte trempée et il a dit, je m'en souviens parfaitement tant c'était intense "tu es une sacrée salope toi !". Ca venait du fond du cœur !

Vous êtes restés comme ça longtemps ?
Non, on en pouvait plus tous les deux. Il m'a dit "si on sortait". Et, sans me laisser le temps de répondre, il m'a entraînée. Nous sommes sortis de la boîte. Il faisait un peu frais dehors, mais mon cavalier me serrait si fort que je ne m'en rendais presque pas compte. On s'est éloigné vers la plage.

Tu savais que tu allais y passer ?
Jusque là, je dois te dire que tout cela allait si vite et étais si excitant que je ne pensais à rien. J'ai réalisé quand nous nous sommes retrouvés un peu à l'écart et que nos gestes n'ont plus eu d'ambiguïté. Il avait troussé ma robe et m'embrassait goulûment en me palpant mes fesses nues.

Et ton mari ?
Je l’avais complètement oublié ! J’ai pensé à lui en pensant qu’il aimerait voir la main de Gilles palper ainsi mes fesses. Je me suis arrêtée à la fois pour me serrer contre Gilles en l’embrassant et pour regarder si mon mari nous avait suivi. Il était à une quinzaine de mètre. J’ai pensé qu’il n’allait pas être déçu…

Gilles te caressait les fesses, et toi ?
Moi, je m'étais attaquée à son pantalon et avais glissé ma main sous son slip. Je tenais sa queue chaude et battante. A ce moment j'ai réalisé qu'il allait me prendre comme çà et que je n'arriverais pas à résister.

Parce que tu pensais résister ?
Non, mais j'ai eu peur à cause des maladies. Je lui ai demandé s'il avait des préservatifs. Il m'a dit non, pas sur lui. Alors j'ai dit que je ne voulais pas aller plus loin. Nous avons marché encore un peu et je me suis assise sur un petit banc de pierre

Comment a-t-il réagi ?
Il a souri et s'est agenouillé devant moi. Et là, il a enfoui son visage entre mes cuisses et sa langue s'est mise à me fouiller, à me lécher. Il m'a aspirée, mangée... Je devenais folle et m’ouvrait de plus en plus. J'ai hurlé quand mon plaisir est venu, mais il continuait encore... Et une nouvelle fois j'ai joui... Alors il s'est redressé, a approché son visage encore tout barbouillé de moi et m'a murmuré "c'est si bon" et m'a embrassée.

Vous en êtes resté là ?
Non, il n'était pas rassasié évidemment. Il m'a dit "suces moi". Tous les mêmes ! Je ne pouvais pas lui refuser ça, il avait été tellement efficace avec sa langue... Il s’est appuyé contre un mur. J'ai dégrafé son pantalon et libéré son sexe. Une belle queue bien dure, bien plus grosse que celle de mon mari. En me faisant cette remarque j'ai pensé à lui. Il ne devait pas être loin, et même s'il faisait noir, la pleine lune nous éclairait suffisamment pour qu'il suive nos étreintes. J’espérais qu’il m’avait entendu crier sous les caresses de Gilles.

Tu l'as sucé ?
Ah ça oui. Quand j'ai eu cette queue devant moi, si grosse, si dure, je l'ai prise à pleines mains. Ca faisait si longtemps que j'avais envie d'un autre sexe que celui de mon mari. Et là, j'avais pour moi un sexe magnifique. Je l'ai léché et embrassé partout, d'abord doucement, puis de plus en plus frénétiquement. Puis, lentement, je l'ai pris dans ma bouche. Son désir sentait fort et cela m'excitait encore plus. Je l'ai doucement enveloppé et commencé un mouvement de va et vient. Il était vraiment énorme et je n'arrivais pas à l'engloutir totalement.

Tu l'as pompé jusqu'au bout ?
Oui. Je l'ai pompé longtemps. Plus je l'avalais, plus je sentais l'excitation monter en moi. Je poussais des cris de satisfaction et lui rythmait le mouvement de ma bouche, ses mains dans mes cheveux. Il me murmurait des mots crus, me disait que j'étais une suceuse, que j'aimais la bite, me traitait de salope, de chienne. Et moi je redoublais d'ardeur dans mes sucions et mes mouvements. Je l'avalais, le léchais, le pompais. J'étais comme folle quand je l'ai senti se tendre encore plus. Il criait "je vais gicler", "avale salope, avale tout". Et j'ai senti son premier jet chaud dans ma bouche. Les jets se succédaient au rythme de ses spasmes et moi, j'avalais! Je n'ai laissé échapper aucune goutte. Quand j'ai été sûre qu'il n'y en avait plus, je me suis redressé et l'ai embrassé longuement, la bouche encore pleine de lui !

Ca ne s'est pas terminé comme ça?
Je crois que nous n'en avions pas vraiment envie. Il m'a proposé de l'accompagner jusqu'à son hôtel et je n'ai pas dit non. On a regagné le parking de la boîte pour prendre sa voiture. Lorsque nous avons quitté notre petit refuge, j’ai vu mon mari un peu en retrait. Nous sommes passé assez près de lui. Nos regards se sont croisés. Même s’il n’avait pas tout vu, il savait ce que nous venions de faire. Je me suis resserrée contre Gilles. Sa main, qui était toujours sur mes fesses, s’est faite plus entreprenante. J’ai pensé que ça devrait plaire à mon mari. Nous sommes arrivé à la voiture et nous sommes partis. Je ne savais pas si mon mari avait pu nous suivre.

Il t’a emmenée chez lui ?
Pas chez lui, à son hôtel car il était lui aussi en vacances. Ce n’était pas tout près et nous avons roulé dans la nuit. Gilles n’était pas très attentif à la conduite. Mes cuisses offertes l’intéressaient plus que la route. A un moment j’ai cru que nous allions dans le décor. Je lui demandé de s’arrêter.

Pourquoi ?
Parce que je suis soucieuse de la sécurité routière… Nous nous sommes embrassés, il a promené ses mains partout sur moi. C’était reparti. Il bandait joliment ! Il a ouvert son pantalon et m’a attiré vers sa queue. Décidemment il appréciait ma bouche.

Tu as remis ça ?
Je l’ai un peu sucé, mais je ne voulais pas qu’il ait du plaisir. Je le voulais autrement. Je lui ai demandé de nous amener à son hôtel sans quitter la route des yeux. J’ai serré mes jambes et tirer sur ma petite robe pour qu’elle dissimule (un peu) le haut de mes cuisses. Quand il a voulu y replacer sa main, il a eu droit à une tape. « Sage » je lui ai dit… Nous avons alors rejoint son hôtel assez vite. Il a récupéré sa clé et nous sommes montés au sixième. Dans l'ascenseur, il m'a serrée avec fougue contre lui et j'ai senti que son désir était toujours aussi très fort.

Et la nuit fut chaude ?
Ce qui restait de la nuit, oui, très chaude. Il avait des préservatifs, alors plus rien ne nous retenait.

Il t'a beaucoup fait jouir ?
Je ne saurais te dire combien de fois. Il a été très vaillant! Le matin, nous avons ri en voyant les préservatifs qui jonchaient le sol. J'en ai compté trois !

Comment ça s'est passé le matin ?
Après tant d'ardeur, nous nous sommes endormis. C'est lui qui m'a réveillée vers 9h en me caressant les fesses. Il était prêt. Je me suis offerte, et la journée a commencé comme la nuit avait terminé. Tu sais, j'étais comblée. Jamais je n'avais connu des moments aussi intenses, jamais je n'avais autant joui. Ca m'a beaucoup troublée par la suite et c'est sans doute cela qui m'a conduite à multiplier les aventures.

Et ton mari, tu as pensé à lui ?
Je sais que ce n’est pas bien, mais non. Je l’ai complètement oublié durant cette folle nuit. J’étais toute à mes sensations, mes découvertes, mon plaisir. Je me sentais libre et repue.

Tu l'as quitté facilement ?
Non, évidemment. Je savais que c'était une aventure sans lendemain, mais j'étais si bien. J'ai pris une longue douche, j'ai passé ma petite robe toute chiffonnée et lui ai demandé de me raccompagner. Il avait encore envie, mais je n'ai plus voulu. C’est à se moment qu’il m’a proposé qu’on se revoit. Ce n’était pas évident car c’était mon dernier jour de vacances et il fallait remettre la villa en ordre et faire les bagages. D’un autre coté, je me disais que ce serait dommage de ne pas en profiter. C’est seulement à ce moment que j’ai pensé à mon mari en me demandant ce qu’il penserait si je le laissais encore une fois. Je ma suis demandée quel état j’allais le retrouver. J’ai dit à Gilles que je lui passerai un texto, mais que je ne pensais pas qu’on se reverrait. Il m'a déposée devant notre villa après un très long baiser et des caresses qui m'ont fait regretter de la laisser comme ça. J'étais toute excitée quand je me suis arrachée à ses bras.

Et tu es rentrée comme si rien ne s'était passé ?
Non, pas vraiment. Mon mari m'attendait…

Comment ça c'est passé?
Il m'a carrément sauté dessus, il était comme fou. Il a glissé une main entre mes cuisses et l'a plaquée sur ma chatte. Il me questionnait sans me laisser répondre, avec des mots, des phrases que je ne lui connaissais pas. Habituellement il est très réservé.

Quels mots?
"Alors tu t'es bien fait sauter?", "Tu es une vraie salope", "Tu es encore trempée de lui, hein? ", "Tu l’as laissé fourrer sa queue partout » et plein de trucs comme ça. Il était terriblement excité. Il m’a inspectée de partout. Il a soulevé ma robe et a regardé ma chatte. Ca lui a fait comme un choc.

Pourquoi ?
Il a dit qu’elle était toute gonflée, qu’il ne l’avait jamais vue dans cet état. Perverse, j’ai dit que c’était normal vu ce qu’elle avait enduré. Puis il a vu une tache suspecte sur ma robe et m’a demandé ce que c’était. Je lui ai répondu ce qu’il avait envie d’entendre et qui était probablement vrai.

C'est-à-dire ?
Que Gilles avait frotté sa queue contre moi et qu’il devait avoir très envie…

Et puis ?
Tout cela le rendait fou. Il a dégrafé son pantalon et m'a plaquée contre le mur.

Tu l’as laissé faire ?
Je lui ai dit que je ne voulais pas, que j’étais trop fatiguée. Je comprenais son envie, mais le souvenir du sexe de Gilles était encore si présent et je n’avais aucun désir pour lui à ce moment. Et puis ma chatte était effectivement un peu irritée. Je crois que j’avais trop baisé.

Alors ?
J’ai vu sa déception. Il voulait m’enfiler sans ménagement. Alors je me suis forcée, je l’ai pris dans ma main et en quelques mouvements je l’ai fait jouir. Ma petite robe en était trempée, mais de lui cette fois ! Il m'a couvert de baisers, m'a dit des dizaines de fois qu'il m'aimait. Nous sommes allés nous coucher. Lui non plus n'avait pas dormi de la nuit. Il s'était branlé plusieurs fois en m'imaginant avec mon amant...

Et après, que s'est-il passé ?
Nous avons dormi jusqu’en début d’après-midi. Dès que nous nous sommes réveillés, il m'a demandé de lui raconter. Il voulait tout savoir dans les moindres détails

Quel genre de détails ?
Comment il m'avait prise, combien de fois nous avions joui, si j'avais avalé son sperme la première fois..., tous nos gestes les plus intimes. Moi je lui ai tout dit, c'était notre accord. Ça l'excitait terriblement. Il bandait à mort et moi je le branlais en parlant. Il y a un truc qui le chagrinait et sur lequel il revenait tout le temps.

Lequel?
Le sexe de mon amant. Je lui avais dit qu'il était assez gros. Alors il a voulu savoir s'il était plus gros que le sien. Là j'ai hésité car il était vraiment beaucoup plus gros et je ne voulais pas lui faire de peine. Comme il insistait, alors je lui ai dit. Il a accusé le coup, puis m'a demandé de lui montrer la taille, de lui dire ce que ça me faisait lorsqu'il me prenait, si la taille avait vraiment une importance...

Et que lui as-tu répondu ?
Ce que les femmes répondent toujours dans ce cas, que la taille n'a pas d'importance... Il n'a pas été vraiment convaincu. Je ne pouvais pas être convaincante car c’était tout le contraire. Son sexe m’avait impressionné visuellement et bien plus encore quand il m’avait pénétrée.

Il en a été affecté ? Vous en avez reparlé ?
Oui, je crois. Nous avons souvent reparlé de ma rencontre avec Gilles. Lorsque nous faisions l'amour, il lui arrivait de me dire, lorsqu'il me prenait, "dis moi si tu jouis aussi bien qu'avec Gilles". A chaque fois il était excité, mais il fallait aussi que je le rassure sur sa virilité. Il voulait que je compare, mais vivait mal que le résultat ne lui soit pas favorable.

Tu as revu Gilles ce jour là ?
FranclovX78 a liké
par Vincent35
#824717
Un récit qui ne laisse pas indifférent...
Pour ma part j'ai découvert l'existence de Sophie avant hier.. Tu imagines mon bonheur en voyant la reprise de ces confidences d'une femme infidèle... Au delà du plaisir que procure la vision de madame se dévoilant devant l'objectif, ce récit fantasmé renforce l'attraction pour cette superbe femme... Hâte de découvrir la suite et l'évolution des aventures de Sophie.
Avatar de l’utilisateur
par Lynx33
#825763
CHAPITRE I
2ème partie


Tu as revu Gilles ce jour là ?
L’après-midi je me suis affairée à mettre de l’ordre dans la maison et à faire les valises. Mon mari était toujours à tourner autour de moi et à me regarder comme s’il découvrait une femme différente. Il était très attentionné, bien plus qu’à son habitude, un peu comme au début. Il m’a proposé de m’inviter à dîner dans un beau restaurant pour notre dernière soirée de vacances, en ajoutant « comme ça nous pourrons parler un peu ». A ce moment j’ai pensé à Gilles et je me suis dit que je resterais sur le souvenir d’une unique et merveilleuse nuit. Puis, vers 18h, mon portable a sonné. C’était Gilles. Rien qu’au son de sa voix, j’étais toute émoustillée. Je suis sortie pour lui parler. Il me disait que j’étais la plus belle, que je l’avais rendu fou et qu’il me voulait encore. Il me disait qu’il bandait rien qu’en entendant ma voix… Il m’a supplié pour j’accepte qu’on se voit une fois encore. J’ai senti une bouffée de désir m’envahir avec une drôle de sensation au ventre. Moi aussi je bandais ! J’ai dis que je verrai et que je le rappellerai.

Qu’as-tu fait ?
Quand je suis rentré, j’étais toute troublée. Mon mari a perçu ce trouble et m’a dit : « c’était lui ». Je lui ai dit que oui et qu’il voulait me revoir. Il m’a répondu : « Et toi, tu en as envie ? ». J’ai été sincère en lui répondant oui, puis ça se voyait tellement ! Mais je lui ai dit que je voulais qu’on dîne ensemble comme prévu. Tout allait si vite, je ne voulais pas trop tirer sur la corde et mettre notre couple en péril pour un moment de folie, fut-il des plus prometteurs.

Joli dilemme !
Je suis plus finaude que tu ne crois. Je me suis dit que les deux choses étaient possibles et que je pouvais satisfaire pleinement mes deux hommes et moi aussi. Il n’était pas question que Gilles et mon mari se rencontrent, mais je pouvais jouer sur les fantasmes de mon mari. Je lui ai proposé de m’emmener à l’hôtel de Gilles et de m’y attendre au bar pendant que « m’amusait un peu » et ensuite il m’emmènerait dîner. Pour achever de le convaincre, je lui ai dit que je lui raconterais tout ce qu’il voudrait savoir pendant le repas.

Il a accepté ?
Sans un moment d’hésitation. Il m’a serrée contre lui et m’a couvert de baisers en me disant que je lui faisais le plus beau cadeau du monde. C’est pas si compliqué les hommes…

J’ai l’impression que tu raisonnes comme un homme.
En apparence oui. Cette aventure m’a permis de mieux me connaître et, c’est vrai que je me suis découvert des envies sexuelles assez proches de celles des hommes. Mais ne t’y trompe pas, ce qui se passait dans ma tête était très ambiguë. Au départ, je voulais simplement jouer le jeu de mon mari et me laisser draguer devant lui. Pas seulement pour satisfaire son fantasme, mais aussi pour exciter un peu sa jalousie et lui faire comprendre mes insatisfactions. Je n’avais pas prévu que Gilles m’exciterait autant et que j’irais aussi loin avec lui. Quand Gilles m’a fait l’amour, j’ai retrouvé des sensations enfouies depuis longtemps. Son endurance, sa « présence » en moi ont fait remonter le souvenir d’un de mes premiers hommes, bien avant mon mariage. C’était le premier, et le seul jusqu’à Gilles, qui m’avait fait jouir aussi intensément. A l’époque, je l’avais dans la peau. Puis ça a cassé entre nous car c’était un coureur qui me trompait avec ma meilleure copine. Mais j’ai eu beaucoup de mal à me passer de sa queue. Les autres hommes que j’ai connus ensuite ne m’ont pas procuré les mêmes sensations. Puis il y a eu mon mari. Avec lui, il y a eu de la tendresse, de l’amour. Le plaisir physique était moins fort, mais nous étions tellement complices par ailleurs. Mais avec le temps, la routine s’est installée et j’ai éprouvé de moins en moins de plaisir. Il ne me faisait pratiquement plus jouir. Alors, tu comprends, Gilles a réveillé en moi un besoin très fort que je me cachais depuis longtemps.

Pourquoi allais-tu le rejoindre ce soir là ?
Pour ce que je viens de te dire : jouir et le faire savoir à mon mari.

Vous êtes partis tous les deux ?
J’ai pris le temps de prendre une douche et de me faire belle. Il fallait que je sois au top. J’ai choisi une petite culotte noire transparente. Je l’ai passée devant mon mari en lui disant : « tu crois que je vais lui plaire comme ça ?». Je savais que ça le mettait en transe. Il a voulu me toucher, mais je l’ai repoussé. Comme il s’en offusquait, je lui ai dit que j’étais à Gilles. J’ai passé une mini robe noire à bretelles, laissant mes seins libres sous l’étoffe. Mon mari en bavait et ça me plaisait. Je l’ai un peu excité en soulevant ma robe de loin… Puis je lui demandé de m’emmener. Dans la voiture, il pouvait voir mes cuisses bronzées, mais n’avait pas le droit de les toucher. Il m’a demandé combien de temps il aurait à attendre.

Et ?
Je lui ai répondu : « Le temps que je sois comblée, tu auras largement le temps de prendre l’apéritif…. »

Comment ça s’est passé à l’hôtel ?
Mon mari a voulu monter avec moi. J’ai refusé tout net. Comme il avait l’air très malheureux, je lui ai dit qu’il pouvait m’accompagner jusqu’à l’étage de Gilles mais qu’après il me laissait.

Et il t’a laissée ?
Nous avons pris l’ascenseur jusqu’au sixième. Il est sorti avec moi sur le palier. Il m’a serrée très fort contre lui. J’ai eu l’impression qu’il était inquiet, même si je le sentais bander. Je l’ai rassuré en lui disant que je le retrouverais bientôt et que je serais toute à lui. Je n’ai pas voulu qu’il m’embrasse à cause de mon rouge à lèvre, mais je ne l’ai pas empêché de glisser sa main dans ma culotte. Il a pu se rendre compte de mon excitation. Puis je l’ai laissé et je suis allé jusqu’à la porte de Gilles.

Ton mari est parti ?
Non il me regardait depuis le palier. Je lui ai fait un petit signe et j’ai frappé à la porte.

Et tu as retrouvé Gilles…
Il m’attendait. Il a ouvert, m’a pris par la main et m’a serrée contre lui. Nous nous sommes longuement embrassés. Il me faisait sentir son désir. En moins d’une minute, deux hommes me prouvaient que je les faisais bander pratiquement sans rien faire. Tu ne peux pas imaginer la sensation de puissance que cela me procure de sentir un homme me rendre ainsi hommage. J’aime qu’un homme bande pour moi rien que parce qu’il me voit. Cette fois encore, j’ai laissé agir mes pulsions. Sans rien dire, j’ai ouvert son jean et saisi sa queue. Elle était à moi, soumise à mes envies.

Gilles était impatient ?
Gilles m’a plaquée contre le mur, me débarrassant de ma culotte. Ça aurait été si bon qu’il vienne en moi à cet instant, mais nous avons été raisonnable. Je suis allée dans la chambre et Gilles m’a suivi, le sexe dressé, impatient. Je l’ai récompensé en le prenant dans ma bouche. Il avait beau être très long, je l’avalais presque entièrement. J’aime la sensation que procure sur ma langue la fine peau tendue d’un sexe d’homme. Nous ne nous sommes pratiquement rien dit et pas seulement parce que j’avais la bouche pleine. Nous étions là pour faire l’amour et rien d’autre. Nos désirs parlaient pour nous. Gilles a mis un préservatif et m’a attiré sur lui sans même prendre le temps de retirer ma robe. J’ai glissé sa queue en moi et je l’ai sentie m’envahir. J’ai crié. Notre quête du plaisir commençait et elle allait être fructueuse.

Tu pensais à ton mari ?
Absolument pas. Ce que je vivais était trop bon et trop précieux pour penser à autre chose. Par contre, lui pensait à moi.

Il te l’a dit ?
Il n’avait pas besoin de me le dire. Mais, quand nous nous sommes retrouvés, il m’a longuement parlé de ce qu’il avait ressenti. Tu sais que je l’avais laissé dans le couloir. Il avait donc repéré la chambre de Gilles. Il m’a avoué être remonté un peu plus tard pour écouter à travers la porte.

Et il a entendu quelque chose ?
Il paraît qu’il n’y avait pas besoins de coller l’oreille contre la porte pour comprendre que Gilles me faisait du bien. Il ne nous a pas écouté en continue car il y avait des aller et venues dans le couloir et il ne voulait pas trop attirer l’attention. Il changeait d’étage et revenait à son poste. Il a dit qu’il reconnaissait mes cris, mais ne les avaient jamais entendus aussi forts et continus. Malgré la porte et les bruits de fond du couloir, il suivait le cycle de mes orgasmes. Il dit que ça n’arrêtait pas. Il s’est même caressé plusieurs fois devant la porte !

Voici un extrait de ce que mon mari a pu entendre depuis le couloir. Malgré les bruits de fond, il a pu se faire une idée…
(fichier à la fin du message)
sophie4.mp3


Tu avais l’air de bien en profiter
Gilles n’a pas arrêté. Il est superbement endurant. Il ne s’est arrêté qu’une fois pendant une dizaine de minutes pour reprendre son souffle et changer de préservatif. Il disait qu’il avait trop chauffé ! J’ai eu un moment de frayeur à ce moment là quand j’ai senti ma chatte toute trempée, pensant que Gilles avait joui et que le préservatif était percé. Mais non, ce n’était que moi. On a bien ri ! Puis Gilles a remis ça…

Vous avez fait ça longtemps ?
Jusqu’à ce que Gilles me demande s’il pouvait jouir. Tu te rends compte, il m’a demandé la permission pour être certains que j’étais satisfaite. Avec mon mari c’est bien plus rapide, moins de dix minutes et il ne peut pas se retenir plus longtemps. Gilles m’a prise pendant au moins 1h30. Pour être satisfaite, j’étais satisfaite. Je l’ai senti avoir du plaisir, regrettant de ne pas sentir son sperme s’écouler en moi.

Pendant ce temps là, ton mari attendait
J’y ai pensé quand je me suis rendue compte de l’heure. Il avait eu le temps de prendre plusieurs apéros. J’ai pensé qu’il allait râler, puis je me suis dit qu’il avait accepté et que c’était un peu pour lui que je l’avais fait.

Là tu exagères un peu, ce n’est pas que pour lui !
Bien sûr que non. C’était surtout pour moi et je n’étais pas déçue.

Que s’est-il passé alors ?
J’ai dit à Gilles que je devais partir. Je suis aller prendre une douche rapide pour me rafraîchir de partout. Gilles est venu m’aider pour ma petite chatte. Si on avait eu le temps, la douche aurait sans doute été plus coquine… J’ai remis ma robe un peu froissée, mais je ne trouvais plus ma culotte. C’est Gilles qui l’a retrouvée dans l’entrée de la chambre, là où il me l’avait retirée. Il m’a accompagné à la porte. Nous nous sommes longuement embrassés. Pendant ce baiser j’ai senti un élan de tendresse m’envahir. J’avais été si bien avec lui, il était si attentionné pour mon plaisir. S’il m’avait demandé de rester avec lui à ce moment, j’aurais craqué. Je me sentais amoureuse comme à seize ans ! Mais il a fallu revenir à la réalité. Je lui ai promis de garder le contact, mais hélas pas physiquement et je suis sortie. Je me suis trouvée devant l’ascenseur. J’avais l’impression que tout le monde pouvait voir que je venais de baiser. J’étais un peu dans les vaps, épuisée, les jambes flageolantes et les muscles des cuisses douloureux tant je m’étais ouverte.

Et tu as rejoins ton mari comme si de rien n’était ?
Je l’ai retrouvé au bar de l’hôtel. Je me suis assise sur un tabouret à côté de lui. Il me fixait sans rien dire, comme s’il me voyait pour la première fois. Innocemment, je lui ai dit « Je t’ai fait un peu attendre, tu ne m’en veux pas ? ». Son regard s’est porté sur le haut de mes cuisses découvertes où il voyait ma petite culotte noire. Il était dans un état second. D’une voix étranglée, il a dit en fixant le haut de mes cuisses : « Elle a eu sa dose. Je t’ai entendue dans le couloir. Comme tu as joui ! C’est merveilleux ». Il était très ému. J’ai pris sa main tendrement. Ensuite je lui ai demandé de m’offrir à boire car j’étais assoiffée. Il s’est étonné que Gilles ne m’ait pas offert à boire. Coquine, je lui ai répondu qu’on n’avait pas eu de temps à perdre…

Que s’est-il passé alors ?
Nous sommes allé sur la terrasse pour boire un verre. Mon mari avait retrouvé ses esprits et se faisait très entreprenant. Il voulait que je lui raconte. Je lui ai dit d’attendre un peu, en ajoutant que je n’avais jamais joui comme ça et que c’était merveilleux qu’il m’ait permis de vivre un tel moment. Puis il m’a proposé d’aller dîner. Nous sommes allés jusqu’à la voiture sur le parking. Là, il ne tenait plus. Il faut dire que je n’ai rien fait pour le calmer. J’ai écarté largement les jambes en lui disant : « Regarde ta petite femme, elle devient une autre »

Comment a-t-il réagi ?
Comme un taureau devant qui on agite un chiffon rouge. Il m’a répondu « Tu deviens toi-même, une belle salope » Il était terriblement excité. Il m’a demandé de lui montrer ma chatte. J’ai écarté ma culotte. Il l’a trouvée rouge et gonflée, mais a regretté que j’aie pris une douche et qu’elle soit refermée. Je lui ai dit qu’elle était encore en feu malgré la douche. Je l’ai ouverte. Elle était toute humide tant j’étais encore excitée. Il a même cru que Gilles avait joui en moi ! Je lui ai dit que non, que j’aurais aimée mais qu’il fallait être raisonnable. Il bandait. Comme nous étions presque seul sur le parking, j’ai ouvert son pantalon et j’ai caressé sa queue. C’est le moins que je pouvais faire pour lui…

Comment s’est terminée la soirée ?
Nous sommes allés au restaurant. J’avais faim. Ca creuse de se dépenser à ce point ! Mon mari lui n’avait pas d’appétit. Je lui ai dit tout ce qu’il voulait savoir. Il voulait toujours plus de détails, comme si j’avais eu l’esprit à ça. Il était très troublé, toujours excité, mais il m’a paru angoissé. Mon enthousiasme semblait l’inquiéter. La suite de notre histoire montre qu’il avait raison de se montrer préoccupé. Nous sommes rentrés. Il voulait faire l’amour. Je l’ai laissé me prendre, même si je n’en avais pas l’envie. Il a eu très vite du plaisir et nous nous sommes endormis.

C’était la fin des vacances. Comment ça c’est passé à votre retour ?
Nous avons pris la route le lendemain matin, récupéré notre fils chez sa grand-mère et sommes rentrés à la maison. En apparence, je suis redevenue une petite femme modèle. Mais ce qui c’était passé avec Gilles était omniprésent dans notre vie de couple. Mon mari y faisait allusion dans l’intimité. Il fallait toujours que je lui raconte. Mais il vivait mal certaines choses.

Quel genre de choses ?
Par exemple, je crois aussi qu’il m’en voulait un peu d’avoir pris tant de plaisir à sucer Gilles alors que j’étais plutôt réticente à le faire avec lui. C’est vrai que sa queue me fait moins fantasmer et que son odeur me gène. Il voulait tout savoir, alors je le lui ai dit. Je crois que ça lui a fait mal. Lorsqu’il y avait de la tension entre nous, il a plusieurs fois eu des accès de jalousie vite maîtrisés. Après tout, c’est lui qui l’avait voulu et je ne me privais pas de lui rappeler.

Et toi, comment le vivais-tu ?
Assez mal. J’avais pleinement pris conscience de mon insatisfaction sexuelle. Un jour où nous faisions l’amour, je commençais à sentir le plaisir monter quand il a joui. J’ai très mal réagi et je lui ai dit que j’en voulais encore, que j’aime être pilonnée très longtemps, que Gilles faisait ça si bien alors que lui ne me faisait plus jouir. Même si c’est la vérité, le coup a été rude pour lui. Il m’a dit que je n’avais qu’à aller voir ailleurs.

Et alors ?
J’étais embarrassée, car même si je suis réellement frustrée sur le plan sexuel, j’éprouve beaucoup de tendresse pour mon mari. Je lui ai dit que j’adorais sa langue et que même Gilles ne m’avait pas donné autant de plaisir avec sa bouche. Il n’y a plus que comme ça que mon mari me fait jouir. Mais hélas, c’est bien moins fort que ce que m’avait donné la queue de Gilles. Il m’a proposé d’avoir d’autres aventures comme celle que nous avions vécu pendant les vacances en disant que nous prendrions tous les deux du plaisir.

Tu as accepté ?
Non. C’est vrai que Gilles est un excellent souvenir et que je ne regrette pas cette aventure. C’était un jeu dans lequel je me suis laissée entraîner. Mais je n’imagine pas multiplier ce type de rencontre. Pour moi, si je vais avec un homme c’est qu’il m’attire sur tous les plans. Une rencontre ne peut pas être que sexuelle. Je l’ai dit à mon mari. Si je vois un autre homme, nous prenons un risque pour notre couple et je ne veux pas briser ce qui nous uni si fortement.

Pourtant, tu as eu d’autres aventures
Beaucoup, oui. Toi aussi tu es comme mon mari, tu veux tout savoir !

FIN du CHAPITRE I
Modifié en dernier par Lynx33 le 08 nov. 2011, 16:24, modifié 1 fois.
FranclovX78 a liké
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par Lynx33
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CHAPITRE 2 « Recherches et expériences »
1ère partie



Allo Sophie. Je suis content de te retrouver. C’est vrai que j’ai envie d’en savoir plus. J’ai hâte de poursuivre notre conversation. Tu es tellement troublante par tes révélations. Veux-tu que nous reprenions là où nous nous étions arrêtés avant ton départ ?
C’est pour ça que tu m’appelle, non ?

C’est vrai et c’est aussi pour ça que tu me réponds. Alors, dis-moi, comment as-tu basculé une nouvelle fois vers l’infidélité ?
Ce n’est pas de l’infidélité, puisque mon mari a toujours su !

Tu lui as toujours tout dit ?
Je lui dis toujours la vérité. Mais c’est vrai que je ne lui dis pas toujours toute la vérité !

Pourquoi ?
Pour préserver une part d’intimité et aussi pour ne pas trop lui faire trop de mal. Je t’ai dit que j’aime mon mari et que je ne veux pas lui faire de mal. Je sais ce qu’il peut accepter et qui va l’exciter et ce qui le mettrait vraiment mal. Alors, je lui raconte les choses à ma façon, avec des oublis volontaires…

Quels genres d’oublis ? Donne moi un exemple.
Ben, par exemple, la fois où je suis allé dans un club échangiste avec mon amant. C’était une expérience que mon mari aurait aimé vivre. Je l’ai faite avec un autre. Le soir là, je voulais juste voir comment c’était. Puis je suis laissée entraîner. C’était une folie. Il y a eu tous ces hommes… Je ne me croyais pas capable de ça. Quelque part ça me gène de m’être laissée aller ainsi. Je n’ai pas voulu en parler à mon mari, car il n’aurait pas compris que je ne n’y sois pas allée avec lui. Mais surtout parce que je ne suis pas tellement à l’aise avec ce qui s’est passé. Je ne me reconnais pas dans cette fille qui s’est abandonnée totalement. Ca me fait peur d’en être arrivé à une telle extrémité. J’ai un peu honte et je préfère l’enfouir en moi. Un jour, peut-être…

Raconte cette soirée.
Pas si vite. C’était bien après les vacances, après un long cheminement.

Alors suivons ton cheminement.
Si tu veux. Je t’avais dit que les relations avec mon mari s’étaient dégradées. Je n’avais plus envie de faire l’amour avec lui car je n’éprouvais plus rien. Il le savait et savait aussi que c’était mon aventure avec Gilles qui avait tout fait basculer, même si mon insatisfaction était bien antérieure. Il faisait des efforts, mais quelque chose s’était cassé.

Quel genre d’efforts ?
Il était très attentionné, me faisait plein de cadeaux. Un soir il est rentré avec une surprise. J’ai ouvert le paquet cadeau : c’était un god. Il m’a dit en souriant qu’il devait ressembler à la queue de Gilles parce qu’il l’avait choisi à partir de mes descriptions détaillées… J’ai souri car il était bien plus gros, mais je n’ai pas dissuadé mon mari. Il aurait été déçu !

Pourquoi un god ?
A ton avis qu’est ce que je pouvais faire d’un god ? En fait mon mari voulait s’en servir pour me donner du plaisir une fois qu’il avait joui puisqu’il n’arrivait pas à tenir assez longtemps. Nous avons essayé plusieurs fois. Il me disait que c’était Gilles en m’enfilant le god. Mais c’était trop artificiel et je n’arrivais pas à jouir. On ne remplace pas une vraie queue comme ça ! Pour tout te dire, le god, je m’en suis servie quand mon mari était absent. Je savais mieux que lui comment m’en servir, comment et quand varier la cadence. Et là, ça marchait !

Votre couple battait de l’aile.
Oui. Nous approchions d’un point de rupture. L’insatisfaction sexuelle rejaillissait sur le reste et il y avait souvent de la tension. Mon mari insistait pour que je prenne un amant. Cette idée l’excitait toujours. Progressivement je me suis laissée aller à cette idée, mais je ne voulais pas que se soit uniquement un jeu pour doper notre couple. Je pensais à un vrai amant pour le sexe et pour le cœur…

Tu ne lui as pas caché ce que serait pour toi un amant ?
Non. Il fallait qu’il sache vraiment quels étaient les risques et qu’il comprenne que je ne pouvais rien lui promettre. Son désir le rendait inconscient. Il n’imaginait pas que je pouvais m’envoler et ne plus revenir dans la cage dorée qu’il m’offrait. Son désir était devenu obsessionnel. Il était prêt à faire n’importe quoi pour que je me montre accro d’un autre homme.

Cette obsession ne te faisait pas peur ?
C’est sa sexualité et je la comprenais. Toute passion sexuelle devient obsession. J’étais aussi obsédé que lui quand je pensais au plaisir que m’avait donné Gilles. J’ai vite compris que sa dépendance me donnait un pouvoir. Il était prêt à tout accepter pour une bribe de confidence sur mes aventures. Un jour où il insistait pour que je lui décrive avec encore plus de détail comment Gilles m’avait fait jouir sur la plage, je testé ce pouvoir. Je lui ai promis de lui raconter s’il s’engager à débarrasser la table et à s’occuper de la vaisselle tous les soirs. Il a accepté sans hésiter. Il a eu sa récompense et moi je suis tranquille tous les soirs !

Que s’est-il passé ensuite ?
Je lui ai dit que j’aurais peut-être une aventure, mais que moi seule déciderai quand et que je serai seule maîtresse de son déroulement. Je lui ai proposé une sorte de contrat entre nous pour que tout soi clair.

Un contrat ?
Oui afin que la situation soit claire entre nous. Je ne voulais ni minimiser les risques, ni le laisser partir dans des fantasmes qui le conduiraient à de cruelles déceptions face à la réalité.

En quoi consistait ce contrat ?
J’ai fixé mes conditions et lui ai demandé les siennes.

Quelles étaient ces conditions ?
Je devais être totalement libre dans mes aventures, sans aucune intervention de sa part. En contrepartie, je m’engageais à lui dire quand j’avais eu une aventure. Il ne le saurait en principe qu’après, mais il le saurait. Il devait se montrer patient et n’avoir aucun accès de jalousie. Mes rencontres devaient être des moments d’intimité auxquels il n’aurait pas accès sauf si j’en décidais autrement.

Il a accepté de telles conditions ?
Il a réagi en me demandant de lui raconter mes aventures comme je l’avais fait pour Gilles. Il m’a rappelé que son fantasme était de me voir faire l’amour avec un autre homme. Je lui ai répondu que je lui raconterai des choses, mais seulement quand j’en aurai envie. Quant à me voir avec un autre, je n’étais pas prête. Un jour peut-être, ou peut-être jamais. A ce moment il m’a demandé si j’avais fait une rencontre avec un autre homme. Je lui ai dit « peut-être ». Alors il s’est jeté à mes genoux et m’a dit, tout ému : « C’est vrai ? C’est super, je t’adore ». Il était vraiment troublé. Il a ajouté la voix tremblante : « J’accepte toutes tes conditions. Fait toi sauter autant que tu veux, je te le demande. Je te promets de ne pas être jaloux et de me contenter de ce que tu voudras bien me donner, mais sache que je ne serai jamais rassasier. Je serai ton esclave si tu le veux, tu seras ma drogue ». Une fois encore je mesurais son état de soumission dès qu'il était question de me savoir avec un autre. C'était fou.

Il y avait effectivement un autre homme ?
Rien de sérieux encore, mais ça prenait tournure. J’allais à la gym trois fois par semaine. C’est là que j’ai fait la connaissance de Yann. Il faisait de la musculation et me draguait sérieusement. C’était un beau mec et toutes les filles de la gym avaient un faible pour lui. Au début je l’ai laissé faire sans imaginer donner la moindre suite. Mais plus les relations avec mon mari se dégradaient, plus nous devenions complice. J’ai commencé à penser à lui comme amant.

Il a réussi ?
Après la longue conversation que j’avais eu avec mon mari et son acceptation des termes du « contrat », je me sentais libre. Alors, puisqu’un bel homme me draguait, pourquoi ne pas vivre mes pulsions. J’ai accepté de boire un verre après le cours de gym du mardi soir. Nous avons longuement parlé. Il était célibataire, ce qui me gênait un peu. J’aimais son approche assez cool de la vie. Bref, je me sentais bien avec lui. Tout naturellement, nous nous sommes retrouvés dans le même bar le jeudi soir. C’est là qu’il m’a pris la main, a planté ses yeux dans les miens et m’a dit « j’ai envie de t’embrasser ».

Et ?
Il m’a embrassée sans réserve aucune de ma part. C’était bon. Il m’a demandé quand j’étais libre. Je lui ai répondu « le mercredi après-midi », consciente de ce que cette réponse allait entraîner. Il m’a dit qu’il se libérerait et qu’il m’appellerait pour fixer un rendez-vous.

Je suppose qu’il t’a rappelée
Le soir même. Il ne pouvait pas se libérer le mercredi après-midi, mais il voulait me voir à 13h pour « passer un moment ensemble ». Il me fixait rendez-vous sur le parking d’un centre commercial. J’étais un peu déçue car je m’imaginais un après-midi d’amour, mais j’ai accepté. Ce mercredi là je suis rentrée de mon travail peu avant midi. J’ai passé trois quarts d’heure à me faire belle. Il faisait un peu froid, mais je n’ai pas hésitée à mettre des dim’up noir. J’ai choisie des sous-vêtements également noirs, une jupe courte et un chemisier dont les premiers boutons ouverts offraient une jolie vue sur ma poitrine.

Et tu es allée à ton rendez-vous
Oui. Je retrouvais l’excitation de ma rencontre avec Gilles. J’avais du mal à me concentrer sur la conduite de ma voiture Je retrouvais cet état second où mes sens prennent le dessus sur la réalité. Il était au rendez-vous. Il est venu dans ma voiture et m’a longuement embrassé. Je lui ai demandé où on allait. Il m’a dit qu’il me guidait. Pendant que je roulais, sa main gauche était posée sur le haut sur ma cuisse. C’était bon. Nous avons pris les boulevards extérieurs, puis il m’a fait tourner et nous nous sommes retrouvés sur le parking d’un hôtel 1ère classe. Je n’étais qu’à moitié surprise, mais pour sauvegarder les apparences, je lui ai dit qu’il était rapide. Il a souri et il est vraiment beau quand il sourit. Il s’est occupé de prendre une chambre. On faisait vraiment couple adultère !

Et là, comment ça c’est passé ?
Il y a d’abord eu un problème pour la chambre. Le système par carte bancaire était arrêté et il n’y avait personne à la réception ? Yann a fini par trouver le mec de la réception qui me regardait comme si j’étais une pute. Une impression de sordide est venue contrarier mon enthousiasme. Yann était énervé. Nous sommes montés à la chambre.

Et ce fut l’extase…
Tu parles ! A peine entré, Yann m’a demandé de mes déshabiller sur un ton assez autoritaire. Pendant que je m’exécutais, il s’est lui aussi débarrassé de ses vêtements. Tout cela n’était pas très romantique et je ressentais une fois encore un côté sordide qui me gênait. J’étais nue, sauf mes bas. J’aurais aimé des compliments, des caresses. Il m’a fait signe de m’allonger sur le lit. Je l’observais. Il était musclé, mais sa queue n’était pas proportionnelle à ses muscles. Elle était comme celle de mon mari, mais semblait moins dure. Pour moi, un homme qui va me faire l’amour doit bander très fort sans la moindre assistance. C’est la moindre des choses. Sans le moindre geste de tendresse, il a approché sa queue un peu molle et m’a dit « suce moi ». Il me prenait lui aussi pour une pute. Je l’ai pris dans ma main et l’ai caressé un peu, puis je l’ai prise dans ma bouche. Là il est devenu honorablement dur ! Il avait préparé un préservatif qu’il a enfilé tout seul. Puis il est venu sur moi. Avec lui, c’est la position du missionnaire. Il est venu en moi et s’est agité. Je me demandais ce que je faisais là. Au bout de moins de cinq minutes, il a grogné et s’est effondré. Ça ne faisait pas un quart d’heure que nous étions dans la chambre. Il s’est retiré. Je pensais qu’il allait être embarrassé, mais non, pas du tout. « Alors tu as aimé ? ». Je n’ai pas répondu, mais je me suis levée brutalement et j’ai commencé à me rhabiller. Il avait l’air surpris. Je lui ai dit « On se tire ». » J’étais terriblement frustrée et déçue. Je suis sortie de la chambre avant qu’il soit prêt et je l’ai attendu dans le voiture. Un moment j’ai même songé à le planter là.

Il a fini par comprendre ?
Il a vu que je n’étais pas contente. Je lui ai dit que ce serait mieux qu’on ne se revoit jamais, que je n’étais pas le genre de fille à aimer les relations à la va-vite. J’ai ajouté : « Moi, il me faut des mecs qui assurent ! ». J’ai l’impression qu’il me prenait pour une folle. Pourtant, je ne devais pas être la première à m’être fait piéger. Pas étonnant qu’il soit toujours célibataire ! Mon petit mari est un Casanova à côté de lui ! Je l’ai largué sur le parking et tchao. Le seul ennui c’est que j’ai été obligé de changer les heures de mes cours de gym pour ne plus croiser ce nul.

Tu devais être frustrée.
Frustrée et passablement écoeurée. Quand je suis rentrée, je me suis mise sous la douche longuement, comme pour laver un affront. Je me suis dit que j’allais arrêter tout ça et rester une gentille petite femme fidèle. Puis la rage m’a prise. J’ai recherché l’adresse du site où ma copine Magali allait pour draguer et je me suis connectée. J’ai pianoté pendant une heure, assaillie par toutes sortes d’obsédés, puis j’ai fini par tomber sur un type plus engageant. C’était un commercial qui faisait étape dans notre ville et qui cherchait comment se distraire le soir. Nous avons échangé des confidences. Grâce à sa webcam, je trouvais son physique à mon goût. C’était réciproque, mais ça je m’en doutais !

Modeste je vois.
Réaliste ! Je sais que je suis une belle femme, on me le dit tout le temps…

Alors, ce commercial ?
Nous avons décidé d’un rendez-vous à son hôtel, juste pour boire un verre. Lui c’est un Novotel, ça fait moins sordide qu’un 1ère classe !

Juste pour boire un verre ?
Oui, je sais. C’était très probable que ça aille plus loin et nous le savions bien tous les deux. Il m’a fixé rendez-vous vers 19h. J’ai eu juste le temps d’appeler Magali pour lui demander de garder mon fils. J’ai eu droit à un commentaire salace et j’ai du lui promettre de lui dire s’il était bien. Il faut dire que c’est moi qui garde la fille de Magali quand elle est de sortie.

Et ton mari ?
Mon mari était en déplacement pour plusieurs jours. J’avais oublié de te dire qu’on lui avait proposé un nouveau poste avec de nombreux déplacements. C’était au moment où ça n’allait pas fort entre nous. Il pensait qu’un peu de distance pouvait nous faire du bien. La preuve, c’est que je suis plus libre… Mais je le soupçonne d’y avoir pensé. Il est un peu manipulateur.

Tu es allée à ce nouveau rendez-vous ?
Bien sûr. Même cérémonial de préparation, presque la même tenue. J’ai juste choisi un string noir cette fois. C’est celui que je portais pour aller voir Gilles, tout un symbole !

Et alors ?
Je l’ai retrouvé dans le hall du Novotel. Je les aime grands et bruns... Il était brun et faisait bien 1m90 ! Il m’a proposé un verre, mais dans sa chambre. Direct lui aussi, mais avec plus de classe. Je n’ai pas fait la mijaurée, je venais pour ça ! Nous sommes montés. Il m’a fait asseoir dans un coin salon et m’a parlé de son travail. Il avait l’air gentil. Je voyais bien qu'il n'osait pas faire le premier pas. Moi j'avais très envie. Il s'est enfin aventuré à me poser la main sur l'épaule, à m'embrasser la tempe! Il était si fort, mais tellement doux.

C’est bien romantique tout cela !
Ca se concrétise rapidement, rassure toi. Il me déshabille sensuellement, appréciant mon string noir et mes dim’up. Je m'allonge sur le lit. Alors il se déshabille et se met près de moi. Il a gardé son caleçon. En voilà une idée ! Je le caresse et je sens son sexe très dur à travers son caleçon. Je suis pas pressée: il sera pour moi. Lui me fera l'amour doucement, tout ne sera que caresses... Je me mets à son pas... Il m'a laissé mon string et mon soutien-gorge, ses doigts glissent sur mon sein pour le dégager un peu, il pose ses lèvres, puis ses doigts glissent sur ma fente. Il me sent trempée et pousse un soupir, cela l'excite. Il me caresse légèrement... Je voudrais tellement plus fort, mais je laisse faire à sa façon. Alors je sens mon plaisir qui monte. Il m'entoure de douceur. Je le caresse et je me décide à lui enlever ce qui lui reste... Je cherche son sexe. Surprise, il est aussi grand que celui de Gilles, mais plus gros. Je le regarde. Ce n'est pas possible, j’ai du mal à l’enserrer. Il ne tient pas dans une main. Tout à coup, je sens une chaleur intense qui envahit mon ventre. Cela m'excite terriblement. Je le veux, il est si grand, si gros que j'ai envie de me l'enfourner tout de suite. Lui n'existe plus, je ne vois, je ne sens que son sexe. Il veut que je prenne son sexe dans ma bouche. Je m'exécute, il est si tendre et sa peau si fine et si douce. Je prends plaisir à lui mettre un préservatif. C’est un peu délicat tant il est large. Quand, enfin, il pénètre en moi, j'ai presque envie qu'il me fasse mal. Il glisse sur le côté de mon string, et se met à aller et venir... Je ne me reconnais plus. Il me remplit, j'ai envie d'être écartelée, labourée. Rien que de penser à ces moments là, je sens mes cuisses brûler...Il m'entoure de caresses, de douceur. J'aimerais que cela dure toute la nuit comme cela. Mais je l'ai senti plus dur, alors j'ai senti mon plaisir qui montait... On s'est serré très fort. J’ai retiré mes sous-vêtements et je me suis collée nue contre lui. On est resté longtemps sans bouger. Puis j’ai senti son sexe reprendre de la vigueur. Je l’ai caressé avec douceur. C’est si bon de le sentir se raidir sous mes doigts. Je me suis offerte. Il m’a prise longtemps par derrière, comme j’aime. Il m’a fait jouir en douceur, mais intensément. Puis il m'a demandé: "tu veux dormir avec moi?", je lui ai dit "il faut que je rentre". Il m'a raccompagné jusqu’à ma voiture

Pourquoi n’es-tu pas restée ?
C’est difficile à dire. J’étais bien avec lui, mais rester voulait dire découcher. Je sais que ça te fait sourire, mais je n’y étais pas prête. J’aurais eu l’impression de tromper mon mari.

Parce que te faire sauter deux fois dans la journée c’est pas le tromper ?
Ce n’est pas pareil… Pour un homme, c’est peut-être simple, mais pas pour moi. Je dois quand même t’avouer que j’ai un peu regretté de ne pas avoir passé la nuit avec lui ! Quand je suis rentrée, j’étais un peu étourdie, mais bien. Mon aventure sordide avec ce Yann était vengée et bien vengée. J’avais eu du plaisir, mais ce n’est pas ce que je cherchais. Je voulais un prince charmant qui me câlinerait autant qu’il me ferait jouir.

Qu’as-tu raconté à ton mari ?
Il m’avait appelée sur mon portable lorsque j’étais au Novotel, mais j’étais sur répondeur pour ne pas être dérangée. Il m’avait laissé un message banal. Je ne l’ai pas rappelé, mais je lui ai passé un texto : « Mon petit mari chéri, ta petite femme n’a pas été très sage. Elle aura des choses à te raconter vendredi si tu es très gentil avec elle… Ce soir elle est épuisée… Bisous ». J’ai ensuite coupé le téléphone car il allait vite réagir en lisant ce texto. En plus c’est vrai que j’étais épuisée.

Et le lendemain ?
Le lendemain j’ai retrouvé Magali qui s’était occupée de mon fils. On travaille ensemble. Je lui ai raconté mes aventures. On se raconte tout avec Magali. On a bien ri quand j’ai parlé de la piteuse performance de Yann. Elle, qui a bien plus d’expérience que moi, dit qu’il y en a beaucoup comme lui et que j’ai eu de la chance avec mon commercial.

Tu es très intime avec Magali ?
C’est une amie d’enfance avec qui j’ai toujours tout partagé. Nous n’avons pas de secrets et nous parlons très librement de notre sexualité.

Tu as couché avec elle ?
Tu veux savoir si on est une peu gouine ? Ce n’est pas notre truc, on aime les hommes toutes les deux. Quand nous avions 15 ans, on jouait un peu ensemble quand Magali venait passer la nuit chez nous. A tour de rôle nous étions un des garçons qui nous faisait fantasmer et on se faisait du bien. Mais ça n’a pas duré car nous sommes passées très vite à la réalité. Déçu ?

Non, mais avec toi on ne sait jamais ! Que t’a dit Magali à propos de tes aventures ?
Elle m’encourage à poursuivre. Elle dit que pour trouver ce que je cherche, il me faudra chercher longtemps. Elle a eu un amant qui était très endurant et très physique, comme j’en rêve. Il est sur le site de rencontre internet. Elle a proposé de nous mettre en relation. Je n’ai pas répondu.

Comment ça c’est passé le vendredi au retour de ton mari ?
Il n’a pas attendu le vendredi. Il n’a pas arrêté de m’appeler au téléphone pour que je lui parle de ce qui s’était passé. Mais je ne lui ai rien dit jusqu’à son retour. Là je lui ai raconté pour Yann. Il était déçu car je crois sincèrement qu’il a envie que je sois sexuellement satisfaite. Il a aussi été un peu rassuré quand je lui ai dit que c’était bien mieux avec lui. Mais là où il a été surpris c’est quand je lui ai parlé de la suite. Il avait du mal à y croire, mais ça le faisait bander à mort. Il m’a sautée deux fois de suite et la deuxième fois ça commençait presque à être bien ! Peut-être avons-nous trouvé un remède à nos problèmes… Il m’en a reparlé tout le week-end et me suppliant de suivre les conseils de Magali. Je ne lui ai rien promis. Le samedi, je l’ai traîné dans les magasins pour acheter des fringues. Je me suis fait offrir de très jolis sous-vêtements. Il était tout excité car il savait qu’il ne serait pas le seul à en profiter. J’aurais pu tout acheter, il était prêt à tout m’offrir !

Tu as continué sur cette lancée ?
J’ai poursuivi mes dialogues sur Internet, mais sans chercher à aller trop vite. Nous approchions des fêtes de fin d’année, je me disais que je pouvais attendre un peu. Et puis mon mari n’avait pas de voyages programmés pour son travail et rentrait tous les soirs. Pourtant je sentais que je devenais accro de ces échanges sur la messagerie. Je découvrais les hommes tels qu’ils sont.

C'est à dire?
Complètement obsédé et ignorant tout de la psychologie féminine. Dès que j’engageais un dialogue, on arrivait inévitablement à mon tour de taille ou à mes positions préférées, sans parler des détails anatomiques de mon correspondant. Je pense que ces gars font l’amour comme ils dialoguent, sans tendresse ni romantisme.

Aucun ne trouvait grâce à tes yeux ?
Si, il y en avait quelques uns avec lesquels j’avais des échanges plus réguliers. Il y avait Didier qui avait très envie d’aller plus loin avec moi et aussi Matthieu, celui que Magali m’avait recommandé. Je passais beaucoup de temps devant mon clavier et ces échanges m’excitaient. Ah j’oubliais, il y avait aussi Gilles. J’étais resté en contact avec lui par mail. Je lui avais suggéré de venir sur cette messagerie pour que nous puissions nous laisser des messages ou parler en direct. Notre courte aventure de l’été l’avait particulièrement marquée et nous nous parlions souvent. Il me parlait de ses rencontres, moi des miennes. Souvent nous parlions de nos envies et notre dialogue devenait très chaud. Ma Webcam avait une résolution minable et ne pouvait pas répondre à ce que nous voulions.

Que vouliez-vous ?
Partager nos gestes quand notre dialogue nous donnait envie de caresses.

Ton mari savait pour tes dialogues ?
Oui, il savait que j’étais sur une messagerie. Je lui ai dit pour Gilles et pour ce que nous faisions. Ca lui a plu. Il m’a proposé de m’offrir une superbe Webcam pour Noël afin que je puisse aller au bout de mes envies sur net. Super mon petit mari, non ?

Super intéressé sans doute ! Ces échanges sont restés virtuels ?
Rien ne me laissait préfigurer le prince charmant de mes rêves, sauf peut être Didier. Alors je minaudais, me laissant désirer. J’étais à un carrefour dans ma vie et je voulais prendre le temps avant de m’engager dans une voie. Ce qui était certain, c’est que la nouvelle année qui arrivait serait celle du deuxième homme de ma vie. Par contre, je me demandais combien je devrais tester avant de le trouver… En attendant, je me préparais doucement.

Tu te préparais ?
Des petits changements accompagnaient mon évolution et ma recherche.

Comme ?
Pour trouver un amant de qualité, il fallait que je sois au top. J’ai renouvelé ma garde robe, dessous compris, pour être toujours très sexy. Je me suis mise à porter des talons tous les jours. Les talons, comme les strings, faisaient sourire mon mari car je lui avais toujours dit que je ne les supportais pas. J’ai aussi décidé de me faire épilée régulièrement par une esthéticienne. Jusque là je le faisais moi-même, en particulier pour mon minou. Mais maintenant, je devais être la plus belle de partout. Je me suis mise à éviter les collant pour privilégier les bas. Cela aussi étonnait mon mari qui m’avait toujours entendue dire que je n’aimais pas sortir avec des bas !

Tu t’es faite épiler complètement ?
Pour mon minou ? Non j’ai gardé un petit rectangle. Plus tard je suis passée plusieurs fois à l’épilation totale, mais pas à cette période. J’ai dit à mon mari que ce n’était pas pour lui, mais qu’il en profitait aussi. Il m’a photographié pour garder trace de mes « états » successifs, c’est amusant !

L’année s’est terminée comme ça ?
Presque, sauf que je me suis engagé avec Romain, le copain de Magali. Nous dînons ensemble le 3 janvier. Puis il y a eu le nouvel an. Nous étions invité chez des amis. Je me suis habillée super sexy et j’ai vampé mon mari toute la nuit. Je lui ai promis que j’aurai un deuxième homme dans ma vie cette année, un homme que j’aimerai car je me sens capable d’aimer deux hommes, un homme qui me fera jouir comme jamais. Pendant que nous dansions l’un contre l’autre, je lui ai murmuré qu’il devra me partager puisqu’il l’a voulu. En me frottant à lui, je lui ai dit que d’autres hommes poseraient leurs mains sur mes seins, que d’autres hommes lécheraient mon minou, que d’autres hommes enfonceraient leur queue en moi. Il bandait à mort et me disait qu’il ne demandait pas autre chose. Pour les autres couples, nous paraissions terriblement amoureux, ce qui était un peu vrai. C’était une vraie complicité que la nouvelle année allait mettre à l’épreuve.

La nouvelle année promettait d’être intense. Elle a tenu ses promesses ?
Bien plus que mon mari et moi pouvions l’imaginer dans nos fantasmes les plus fous. Ce sera l’année de ma renaissance. En ce début janvier, je suis encore très naïve. Un an plus tard je serai une femme épanouie, comblée, experte, sans tabou et très amoureuse.

Tu vas tout me raconter…
par Vincent35
#827935
Un récit de plus en plus excitant. Je te tire encore mon chapeau pour l'intensité et la richesse des thèmes abordés au travers des confidences de Sophie. Je prends plaisir à découvrir ses photos, en fantasmant pour cette superbe femme que l'on devine. Très excitant d'essayer de deviner a quel stade de son évolution les photos correspondent...
Au plaisir de la voir se dévoiler à nouveau.
Avatar de l’utilisateur
par Lynx33
#829229
CHAPITRE II
2ème partie


Tu vas tout me raconter…
J’avais été relativement sage en décembre, mais j’avais décidé de me rattraper dès le début de l’année. Mon mari avait installé ma nouvelle Webcam et mes relations avec Gilles sont devenues très intenses. On jouait souvent et longtemps. Le god que m’avait offert mon mari avait trouvé sa place.. J’en pinçais toujours pour Gilles et lui était très accroché. Quand je le voyais gicler pour moi, je pensais que c’était du gâchis et qu’il serait bien mieux en moi. Nous avons décidé de tout faire pour nous revoir et concrétiser notre passion malheureusement virtuelle. Puis j’ai rencontré Romain comme prévu. Ce n’est pas vraiment mon type, mais il a du charme. Un petit repas dans un restau sympa puis il m’emmène chez lui. AHHHHHH! Il m'a littéralement épuisée. C'était un mardi soir heureusement, je ne travaillais le lendemain ! Il était grand et d'une anatomie très très impressionnante. Je n'en pouvais plus, mais j'en voulais encore... J'ai dû le "crever" aussi. Je lui ai pris toutes ses forces. Magali avait raison, il est très physique. Quand je suis partie vers 2 heures du matin, je n'en pouvais plus... J’ai cru que je n’aurais pas la force de rentrer. Il m'a fait jouir je ne saurais plus te dire combien de fois. De tous, c'est lui le plus vigoureux. Il a bien tenu et s'est bien retenu. Je ne savais pas si j’allais le revoir. Peut-être pour passer un bon moment en attendant le prince charmant. J’ai aussi échangé avec Didier. Ces messages sont très coquins sans être triviaux. Lui c’est un vrai libertin qui me propose de participer à mon épanouissement. Il ‘a invité à découvrir sa « garçonnière ». Tu vois, le mois de janvier commence fort.

J’ai presque du mal à suivre… Ton mari sait pour tes jeux avec Gilles ?
Oui, je te l’ai dit. Comme ça se passe à la maison, dans ma chambre, je luis dit tout. Il aimerait me voir. Je lui ferai peut-être ce cadeau un jour. Après tout c’est lui qui m’a offert la Webcam et le god alors…

Et pour Romain ?
J’ai vu Romain le mardi soir. Mon mari était absent jusqu’au vendredi soir donc je ne lui ai rien dit tout de suite. Je ne lui ai jamais promis de le tenir au courant au jour le jour. Et puis, il y a eu du nouveau avec Romain. Il m’a recontactée pour me dire qu’il aimerait me revoir. On a pris rendez-vous pour le jeudi à 18h.

Finalement tu l’as revu rapidement.
Oui, j’en avais envie. Le jeudi je suis rentrée vers 17h et je me suis longuement pomponnée. Puis je suis allée chez lui. J'avais très envie, et la pensée de la nuit qu'il m'avait fait passer m'excitait d'avantage. Il est grand brun. Il était un peu moins timide que la dernière fois. On a parlé un peu, et il m'a enfin prise dans ses bras... Ma bouche avide... J'aime ses baisers... Moi qui aime être déshabillée doucement, me voilà déshabillée avec frénésie. Je respire sa peau, caresse son torse. Il me demande si on reste là. Et alors, dans la chambre, c'était vraiment comme la première fois, un peu animal, pas violent du tout, mais de fortes étreintes, des baisers très avides, des mains impatientes et nos sexes infatigables... Et sa façon de me dévorer la chatte... Rien que d'y penser! Parce qu'il me la dévorait, et moi je m'écartais toujours plus, et il revenait en moi, infatigable. Lequel des deux allait épuiser l'autre? Avec lui ce n'est pas un tourbillon de volupté, c'est une vraie tornade... Et moi, je m'agrippe à lui, je me plaque contre lui, je prends sa cadence. Je la voudrais plus forte encore. Je me mets à le chevaucher... Là son sexe va si loin en moi... Et moi, je brûle, je brûle... Et cette fois ci c'est moi qui l'ai épuisé... La dernière fois, il m'avait littéralement crevée...Et moi, lionne, assouvie, repue...

Tu ne l’as plus revu par la suite ?
J’avais été bien avec lui. Un moment très intense. C’est un beau souvenir, mais ce n’est pas ce que je cherchais dans une relation avec un amant. J’avais la tendresse avec mon mari. Ce que je cherchais ailleurs, je dois bien l’avouer, était à la fois plus érotique et plus passionné, mais pas seulement sur le plan sexuel. D’ailleurs je me demandais si l’amant attentionné et insatiable dont je rêvais n’était pas qu’un pur fantasme et si je n’embellissais pas mes souvenirs de cette nuit d’été avec Gilles. Je l’ai expliqué à Romain et il a très bien réagi.

Retour à la case départ alors.
Pas tout à fait, je te rappelle que j’avais ce contact avec Didier. Son côté libertin m’intriguait. Peut-être avais-je besoin d’un initiateur. Puis il y avait un autre homme auquel je pensais de plus en plus.

Un autre homme ?
Oui, un père d’élève. Il faut que je te dise que je suis prof dans un collège privé. Juste avant les vacances de Noël, nous avions une réunion de rencontre avec les parents d’élèves. C’est là que je l’ai vu. C’est le père d’un de mes élèves. Je l’ai tout de suite reconnu, il a les mêmes yeux que son fils, d’un vert intense. J’ai rarement vu un homme aussi séduisant. Quand il est venu me voir, je lui ai dit qu’il avait les mêmes yeux que son fils, et j’ai ajouté, emportée par mon trouble, qu’ils étaient très beaux. Je crois que j’ai un peu rougi. Il a souri, un sourire magnifique et m’a remerciée. Puis il m’a dit : « Moi aussi, je vous avais reconnue. Mon fils m’a dit qu’il avait une très jolie maîtresse et je vois qu’il était en dessous de la vérité ». Nous avons ri, puis nous sommes revenus aux choses sérieuses, peut-être parce que sa femme venait de nous rejoindre. Depuis je pense souvent à lui. En plus sa femme n’est vraiment pas terrible !

Et alors ?
Et alors c’est tout. Il ne s’est rien passé d’autre et il ne se passera probablement jamais rien. Quand je pense à lui, je pense à un lynx. Je serais celle qu’il a sauvée dans la jungle, qu’il défend et qu’il aime… Bon, je sais, je n’ai plus quinze ans !

Romain, Gilles, Didier… Ton mari accepte-t-il toujours bien ?
Il m’a fait une petite comédie pour Romain parce que je ne lui ai rien dit tout de suite. Il a fallu que je lui rappelle notre contrat. Il m’a demandé de tenir un journal intime de mes aventures pour que je n’oublie rien. Il faut dire que je ne lui ai pas raconté grand chose à propos de Romain et c’est ce qui l’a un peu énervé. Mais je tiens à garder une part de mon intimité.

Et pour le journal ?
J’ai dit que j’y réfléchirais, mais qu’il ne pourra le lire que lorsque j’en aurai décidé. J’ai ajouté « pour te faire bander quand tu seras vieux ».

Tu n’es pas commode !
Juste excessive en tout…

Comment te sentais-tu par rapport à ces changements dans ta vie ?
Je rayonnais, j’étais sur un petit nuage. Les problèmes du quotidien étaient loin. Je me sentais femme et libre. Quand je voyais mes collègues au travail, Magali exceptée, je les trouvais ternes, coincées, vieilles avant l’âge. Jamais elles n’auraient pu imaginer que je m’envoyais en l’air comme je l’avais fait avec Romain ou Gilles. Contrairement à elles, j’ai une vocation de maîtresse dans tous les sens du terme ! Moi je vivais et j’avais envie de vivre encore plus. La complicité de mon mari était un support qui m’aidait à me libérer. Elle était importante et ma tendresse pour lui s’en trouvait renforcée.

Et tu as poursuivi ta quête ?
J’avais de temps en temps des échanges avec Didier. Chaque fois il me demandait quand on allait se voir. Je l’ai fait un peu attendre, lui laissant entendre qu’il n’était pas le seul à me proposer le septième ciel. Un soir, fin janvier, je tombe sur lui en me connectant. Non, plutôt, c'est lui qui me tombe dessus. "Tu devais me rappeler" me dit-il. Il veut m'inviter à boire un verre chez lui. A ce moment, une très forte envie me prend. Je ressens à nouveau ce trouble qui me prend le ventre comme lorsque j’étais allée voir Gilles. Pourquoi pas ? Mais je ne suis pas prête. Je lui propose de le retrouver dans une heure dans un café de centre ville. Pour m’emmener chez lui, il faudra qu’il rame un peu. J’ai juste le temps de prendre une douche et de me faire belle. Je choisi des sous-vêtements noirs assez transparents, histoire le faire saliver. Je m’étonne moi-même de cette perversité latente...
Je le retrouve à 21h. Il est déjà arrivé, voilà un bon point. Il a entre 30 et 40 ans. Hum, il sent bon. Il est marrant et... charmant. Nous parlons. Je sais que s'il pose sa main sur moi, je ne l'enlèverai pas. J'aime ces instants où j'écoute à peine ce qu'ils disent et où je sais qu'à un moment ou un autre, je sentirai une main douce et légère se poser sur moi, encore hésitante... Je savoure l'instant... Ça y est, il se décide, sa main sur ma cuisse, doucement... Il a peur que je l'enlève... Mes yeux qui ne quittent pas sa main... Le courant passe. Il me propose d’aller chez lui. Il habite à deux pas. Nous voilà sur son canapé devant un verre. De deux doigts, il effleure ma jambe, comme un papillon. Je pensais qu’il serait doux. J'avais tort, il est très très très doux... Et me voilà prise dans le tourbillon de mes sens... Je n'ai été que peu active et je me suis laissée faire... Il m'a déshabillée sans hâte, ses mains habiles, douces, légères; sa bouche délicieuse; son étreinte... Il a de l'expérience... Je n’avais plus que ma culotte et mon soutien gorge. Il me regardait ainsi offerte. Il n’était pas pressé et savourait ce moment. Ses yeux brillaient. En voilà un qui aime la lingerie! Il m’a retiré doucement mon soutien-gorge et m’a caressé les seins avec beaucoup de douceur. Puis il m'a caressée à travers ma culotte... Ce qu'il est habile... Je sentais s'écouler de moi mon envie, de plus en plus... Je voulais ses doigts sur ma fente et plus en moi... Mais il n'était pas pressé, et il savait exacerber mon désir... Quand j'ai senti sa main se glisser sous mon slip trempé, j'ai poussé un soupir de soulagement... Et là, comment ne pas trouver le chemin tout seul... Caresse délicate de ses doigts... Il a enlèvé mon slip trempé, l'a embrassé puis il a posé sa bouche sur mon sexe brûlant. Ses doigts allaient et venaient en même temps... Il n’a pas fallu longtemps pour que j'explose... Alors moi, je veux le toucher, sentir son odeur, sa peau douce... Je lui enlève son pantalon. Il n'a pas de slip, il est nu sous sa chemise et son pantalon. Son sexe a jailli. C’est comme si j’ouvrais un cadeau. Je le prends dans ma bouche, car il m'a donné le désir de lui faire cette caresse... Il me tient doucement la tête et va et vient dans ma bouche... Ses mains se crispent... Je le sens se durcir plus encore... Et là... On s'allonge, il me caresse toujours doucement... On parle. Je suis un peu frustrée, j'ai encore envie... Je le laisse parler, se détendre. Puis ma main s'aventure... Hum, il ne lui a pas fallu longtemps pour être dans de bonnes dispositions! Il est devant moi, me caresse... Je m'écarte devant lui et le mets devant le fait accompli... Il ne peut reculer... Il se penche et prend l'objet scellé, l’enfile et enfin me transperce d'un coup de rein. Et Dieu sait qu'il a un bon coup de rein! Et là, il se déchaîne, il me retourne et me prend en levrette. J'adore ça... Plus loin encore... Il tape, je sens que je me serre malgré moi, je le sens se durcir... et on explose... Quand je suis reparti, il m'a serrée tendrement dans ses bras, m'a embrassée doucement. Peut-être que moi, je lui redemanderai...

Une agréable soirée somme toute et l’envie d’y revenir si j’ai bien compris
Oui très agréable. C’était un peu comme une friandise. Oui c’est ça. Une glace italienne dans un cornet qu’on lèche avec plaisir jusqu’à la dernière goutte. C’était bon, mais ça ne rassasie pas. On a envie d’y revenir, rien que par gourmandise. Oui j’ai encore envie de lui, rien que pour le déguster encore. Il a beaucoup d’aventures, c’est sa nature. Il aime ça et on voit qu’il est expérimenté. Quand je t’en parle, je revois sa queue qui a jaillie quand j’ai fait glisser son pantalon. J’ai aimé ce moment, j’ai tout de suite aimé la prendre en main et dans ma bouche. Pourtant, elle n’est pas énorme. Elle est comme lui, douce et mignonne. Et puis, en moi, elle était très présente. Finalement, je me demande si la taille est si primordiale, la façon de s’en servir est bien aussi importante. Je ne te dis pas non plus qu’elle est ridicule. Non, une belle queue à sucer comme une glace italienne… Tu me trouves délurée ?

Délurée ? Je ne sais pas. Je constate que tu aimes parler de sexe. Toujours avec une petite réserve, mais c’est excitant. Et ton père d’élève, Didier te l’a fait oublier ?
Didier m’a tout fait oublier pendant un temps. Quand je pense à lui, j’ai envie de sa sensualité et je résiste pour ne pas l’appeler et lui dire que je viens pour qu’il me gâte encore comme il l’a si bien fait. Je sais aussi que Didier a beaucoup d’aventures, qu’il voit d’autres femmes, qu’il participe à des soirées libertines. Il me fascine un peu, mais je cherche une relation beaucoup plus exclusive. Quant à mon lynx, il a fallu attendre un peu pour que je le revoie. L’école où je travaille a organise tous les ans une grande fête pour la mi-carême avec des spectacles dans l’après-midi et une soirée avec les parents. Nous avions réuni les parents début janvier pour solliciter leur aide pour cette journée. Malheureusement, mon père d’élève n’y a fait qu’une brève apparition. Sa femme est restée. Mais il a eu le temps de m’adresser un petit signe comme si nous étions de vieux complices, en prenant bien soin de le faire à l’abri des regards de sa femme. J’ai pris cela comme un message. Et puis, fin janvier, mon élève m’apporte un billet. C’est un mot de son père qui me propose d’organiser un petit numéro d’illusionnisme pour la fête de l’école avec des enfants de la classe et avec moi si j’en suis d’accord. Il indique son numéro de portable personnel pour le rappeler si je suis intéressée.

Tu n’as pas dû tarder à l’appeler.
Bien sûr. Je l’ai rappelé de chez moi le soir même. J’étais toute excitée en l’entendant au téléphone. Il était charmant et un peu baratineur. Il m’a dit qu’il connaissait quelques tours et que ça l’amuserait de les présenter avec moi. Je lui ai demandé de préciser quel serait mon rôle. Il a ri et m’a dit que dans tous les spectacles il y avait une superbe jeune femme qui assistait le magicien. Puis, il s’est arrêté et m’a proposé de nous voir pour en parler. Malheureusement (j’ai pensé heureusement), il ne pouvait pas se libérer pour la sortie des classes et me demandait si je pourrais le voir plus tard. J’ai pensé qu’il n’avait pas envie que cette rencontre se passe à l’école et qu’il avait certainement une petite idée derrière la tête. Peut-être aussi que je prenais mes fantasmes pour des réalités ! Finalement nous sommes convenus de nous voir le jeudi soir à 18h dans un café près de son cabinet. Je ne te dis pas mon état d’excitation quand j’ai raccroché. J’en étais certaine, je lui plaisais et l’histoire du spectacle n’était qu’un prétexte pour me voir en tête à tête. J’allais le voir dans deux jours ! Je ne te dis pas dans quel état j’étais. J’ai appelé Magali pour lui raconter et elle pensait comme moi qu’il y avait autre chose que le spectacle. Avant ce coup de téléphone, j’avais pensée appeler Didier pour qu’on se voie. Du coup, j’ai renoncé à Didier, préférant fantasmer sur mon lynx. Au fait, j’ai regardé les fiches de l’école, mon lynx s’appelle Vincent et il est médecin…

Comment s’est déroulée la rencontre avec ton « lynx » ?
Je ne savais pas du tout ce qui allait se passer. Peut-être que je m’étais fait des idées et qu’il voulait seulement me parler du spectacle. Je suis rentrée chez moi le jeudi vers 16h30. Je me suis préparée comme si j’allais retrouver un amant. On ne sait jamais. J’ai rigolé en choisissant de jolis sous-vêtements en me disant que peut-être Vincent… Pour faire bonne mesure, j’ai choisi un tailleur BCBG, mais assez sexy. Ma tenue était aussi ambiguë que le rendez-vous. Je suis arrivée au café un peu avant l’heure du rendre-vous. Il était déjà là. Il m’a fait un grand signe et m’a adressé son plus beau sourire. Il m’a complimenté sur ma tenue, tout en fixant mes jambes assez découvertes de toute l’intensité de ses yeux verts. Il a commandé à boire. Nous avons parlé du spectacle. Le temps passait et rien de ce que j’espérais n’arrivait. Tout à coup il s’est tu et m’a regardée intensément. Sa main s’est posée sur la mienne. Je n’ai pas cherché à la retirer. Il m’a dit : « J’ai envie de vous dire que vous me troublez, que je pense à vous à vous depuis la première fois que je vous ai vu à cette réunion avant Noël ». Puis il s’est repris, me demandant de pardonner ce moment d’égarement. Mon cœur battait fort. J’ai serré sa main très fort et j’ai trouvé la force de dire « Je n’ai rien à vous pardonner. Continuez à me parler comme ça ». La porte de l’inconnu venait de s’ouvrir.

Le courant est passé.
Je te passe les détails. Je me souviens de ses yeux qui brillaient, de ses lèvres toutes proches et puis d’un interminable baiser qui ouvrait la porte à tous les abandons. Quand j’ai repris mes esprits, j’ai réalisé que nous étions dans un café et que les gens nous regardaient. Puis nous avons longuement parlé. Lui de son couple qui s’endormait, de ses envies, moi de mon couple qui ronronnait et de mes pulsions. Nous avions beaucoup de points communs dans nos recherches. Comme moi, il cherchait quelqu’un de bien physiquement mais aussi intellectuellement, quelqu’un avec qui il puisse tout partager. Il avait plein d’envies qui me fascinaient.

Comme ?
Comme vivre toutes sortes d’expériences, d’aller au bout de ses désirs. Il a aussi été clair sur son couple, il ne voulait pas recommencer avec une autre, ce qu’il cherchait était une aventure totale, mais qui resterait parallèle à son couple.

Et toi, que lui as-tu raconté ?
Tout, mais avec pudeur, pas comme avec toi. Il m’a dit qu’il se doutait qu’il se cachait en moi des désirs très forts.

Et après, qu’avez-vous fait ?
Nous avons parlé pendant près de deux heures. Il devait rentrer et moi aussi, car mon fils était resté seul. Il m’a raccompagné à ma voiture, m’a embrassé. Il a dit « Une nouvelle vie commence si tu le souhaite. Prend le temps de réfléchir. Je t’appellerai pour convenir d’un rendez-vous si tu le souhaites. Si tu veux tout arrêter, tu me le diras et nous ferons comme si rien ne c’était passé ». J’ai voulu dire qu’il n’y avait pas à réfléchir, mais il a posé un doigt sur mes lèvre en disant « Prend le temps, car si tu dis oui, nous ne savons pas du tout où ça nous mènera » ; Il m’a serrée contre lui. Malgré nos manteaux, je sentais son désir. J’avais peut-être trouvé mon prince charmant.

Qu’as-tu dit à ton mari ?
Il est rentré le vendredi soir. Moi j’avais encore Didier dans la peau et Vincent dans la tête. Le vendredi soir, je lui ai tout raconté pour Didier et je lui ai dit que j’avais commencé un journal. Comme les autres fois, il était très excité et me posait les mêmes questions. Nous avons fait l’amour et je l’ai renvoyé dans sa chambre. A ce moment j’ai pensé fortement à Vincent, l’imaginant me faisant l’amour. Je me suis caressée et eu le plaisir que mon mari ne m’avait pas donnée. Mais le week-end nous réservait une autre surprise.

Laquelle ?
Mon mari avait décidé d’aller voir un match de foot avec notre fils le samedi soir. Je n’étais pas très contente car j’espérais une sortie au restaurant ou au ciné. J’ai appelé Magali pour lui demander ce qu’elle faisait, mais elle sortait avec un « copain ». C’est alors que j’ai trouvé un SMS de Didier sur mon portable. Il datait de la veille. Il voulait qu’on se revoie et me disait de l’appeler si j’en avais envie. L’histoire du match de foot m’avait un peu agacée et je me suis dit que Didier pouvait rendre la soirée plus agréable. Je l’ai appelé. Il avait quelque chose de prévu le soir, mais il a dit qu’il allait essayer de s’arranger. Il m’a rappelé un quart d’heure après pour m’inviter à passer la soirée chez lui. Je suis allée voir mon mari et je lui ai dit que j’allais voir Didier pendant qu’il allait au foot. L’idée lui a beaucoup plu.

Et ton engagement vis-à-vis de Vincent ?
J’y ai pensé. Mais je ne m’étais engagée à rien. J’aurais bien le temps de lui devenir fidèle, si un jour je le devenais. Puis je me souvenais de Yann. C’est pas le tout d’être beau, il faut assurer. Pour l’instant je savais que Didier assurait alors j’allais en profiter.

Raconte moi cette soirée.
J’avais rendez-vous à 21h chez Didier. Mais la soirée a commencé bien avant. Pour une fois, mon mari était là quand je me préparais pour faire l’amour avec un autre. L’ambiance était chaude et nous rappelait le soir d’août dernier quand je me préparais pour rejoindre Gilles. J’ai passé beaucoup de temps dans la salle de bain, puis je suis sortie nue pour me mettre du vernis sur les ongles. Il était là à me tourner autour. Pour faire mes ongles de pied, j’ai posé un pied en hauteur sur la commande, offrant à mon mari une vue superbe sur ma chatte bien épilée et toute propre. Je savais que ça l’excitait. Je lui ai dit que Didier allait me la manger et que c’est pour ça qu’elle devait être impeccable. Mon mari s’est agenouillé devant moi pour la regarder. Il voulait la toucher. Je lui ai interdit en disant que c’était réservé à Didier. Je lui ai dit qu’il pouvait me mettre ma culotte en pensant que c’est un autre qui l’enlèverait. Il ne tenait plus et s’est branlé devant moi en disant que je le rendais heureux. Je lui ai fait un petit bisou en lui répondant « moi aussi je suis heureuse ». J’ai terminé de me préparer. J’avais un chemisier blanc sans rien dessous, une jupe très moulante, des bas. Au moment de partir, j’ai dit au revoir à mon mari en disant « Pense à moi quand tu vas te geler au stade, moi j’aurai très très chaud ». Il m’a regardé partir comme si j’étais une apparition. Je lui ai dit que je rentrerais sans doute après lui et qu’il ne s’inquiète pas. Je lui ferai un bisou à mon retour. Il m’a suivi des yeux jusqu’à ce que ma voiture s’éloigne.

Comment a été Didier ?
Nous avons un peu parlé. Il m’a proposé à boire, lui a pris un verre d'eau auquel il n'a pas touché. Rapidement, il a pris ma main. Il est toujours aussi doux... Je me suis laissée attirer vers lui. Ses mains me caressaient à travers la soie de mon chemisier et cherchaient à faire sauter l'agrafe du soutien-gorge. Elle a sauté sans problème. J'ai pensé : "Quelle habileté!". Et ses lèvres qui prennent les miennes, délicieux goût du fruit défendu... Le voilà assis, et moi qui lui grimpe dessus sans lui lâcher la bouche. A califourchon, je cherche à me frotter à son sexe. Mon ventre le découvre à travers ma jupe et je me colle, je le sens déjà si dur. Une de ses mains essaie de s'aventurer sous ma jupe. Elle est si étroite qu'il n'arrive pas à la remonter. Il touche la peau juste au dessus de la dentelle de mes bas, effleure mon slip et tire sur mon chemisier. Je passe ma main sous son pull et je le plaque encore plus fort contre moi. D'un saut, je me lève, lui prend la main et l'attire sur le lit. Mes vêtements tombent ici, là... Je lui ôte son pull, fait sauter ses boutons de braguette et souris... Cette fois il a un string! Il tombe sur le dos, m'entraînant dans sa chute. Je le caresse et lui enlève fébrilement la petite chose qui explose sous ce qu'elle renferme. Et je prends son sexe à pleine main, je sens ses bourses si douces sous mes doigts. A ce contact, je retrouve cette sensation agréable éprouvée l’autre soir. "Tu t'épiles?" lui demandais-je. "Oui, tu n'aimes pas?". C'est surprenant, c'est agréable... Et sons sexe darde... Je sais qu'il attend ça. Il prend ma tête et, doucement, l'attire contre lui. Je le gobe. Je souris intérieurement, il devait se souvenir... Ma bouche se fait douce et gourmande. Je le pompe, le lèche, l'aspire et caresse ses deux petites douceurs. J'aime bien et je sens son excitation qui monte. Il commence à donner des coups à m'en faire avoir le hoquet et m'attrape la tête. Je sens qu'il va exploser. A genoux, il s'arc-boute et jouis dans ma bouche. On tombe sur le lit. Je garde son sexe dans ma main, histoire de voir si mes souvenirs sont bons. Il n'a rien perdu de sa "forme". Il commence à caresser ma chatte, entre ses doigts. Je soupire et m'ouvre. Il est agile et je ne tarde pas à jouir. Ses doigts luisants s'attardent plus loin, je crois que ça va être ma fête... J'attrape un préservatif et lui mets. Il est sur le dos et je m'enfile sur lui. Je sens que je vais déjà jouir tellement il est dur. Je me mets à me mouvoir sur lui, la tête au creux de son cou. On se retourne, le voilà sur moi. Il me martèle, commence à moins me ménager. Nous jouissons synchro ! Son sexe toujours "dur" dans la main, je le complimente sur sa santé florissante. Il me dit que je lui fais un de ces effets". Je lui demande : "Tu es en forme? Je te remets un préservatif ?" Et hop, aussitôt dit... Il me retourne sans ménagement et me prend en levrette. Je serre les dents et cherche la position. Lorsque je suis bien mise, je me laisse aller en cadence avec lui. Je jouis de nouveau, il n'arrête pas... Puis je sens qu’il cherche à s’immiscer ailleurs. Je lui dis que non, que je ne suis pas prête pour ça. Juste un peu me dit-il, tout doucement. ET d'un coup, je le sens qui se glisse. J'attrape des sueurs, j’ai un peu mal. Je lui dit d’arrêter, ajoutant « une autre fois, laisse moi le temps », mais je crois que j'aimerai bien... Il revient en moi de manière plus conventionnelle. Je m'écarte et je mords les draps. Je m'agrippe... Il me couche sur le côté sans s'enlever, m'ouvre les jambes et glisse un doigt là où il avait essayé de me prendre, deux autres dans ma bouche. Il me murmure à l'oreille: "Toi, trois hommes, c'est trois hommes qu'il te faudrait!" Il m'excite tellement que mes doigts cherchent mon clito et je me mets à me branler... On crie ensemble... Quelle nuit! Ces quelques souvenirs que je te raconte ont duré au moins trois heures. Là je suis toute excitée rien que d’en parler.

Pourquoi ne pas l’avoir laisser venir en toi comme il en avait envie. Tu avais vraiment mal ?
J’étais presque vierge de ce côté. Les deux expériences que j’avais eues, dont une avec mon mari, ne m’avaient pas laissées un très bon souvenir, bien au contraire. Pourtant j’étais tentée. Je savais par Magali que ça peut être agréable et je suis tentée par des sensations nouvelles. Mais il me faudra le temps et surtout une très forte complicité. Disons que je me réserve pour mon prince charmant. Remarque, Didier se montrait très habile et très patient. Peut-être ce sera lui après tout !

Ton mari a eu son bisou ?
Je suis rentrée vers deux heures. J’ai retiré mon manteau et je suis allée dans la chambre de mon mari. Comme je m’en doutais, il ne dormait pas. Il m’a dit « Alors ? » et j’ai répondu « Didier a été au top, je suis crevée. C’était super ». Il m’a attirée à lui, il a fait glisser ma jupe et ma culotte et il a regardé ma chatte. Je lui ai demandé de ne pas la toucher car elle était un peu sensible car la barbe naissante de Didier l’avait un peu irritée. Il m’a demandé si j’avais pris une douche. Je lui ai dit que non. Il en a été ravi. Ma chatte le fascine toujours quand je viens de faire l’amour avec un autre. Il a pris ma culotte, me faisant remarquer qu’elle était passablement humide, et s’en ai servi pour se caresser devant moi. Il a joui. Je l’ai serré très fort, sa tête contre mon ventre. Il m’a dit « je t’aime » et j’ai répondu « moi aussi ». Puis je suis allée me doucher et me coucher dans ma chambre. Le lendemain, j’ai fait une longue grasse matinée !

Les choses avaient beaucoup évoluées en quelques mois. Comment ressentais-tu tout cela ?
C’est vrai, j’avais eu déjà pas mal d’aventures et il y en aurait encore d’autres, je le savais au fond de moi. Plus je faisais l'amour, plus j'en avais envie, cela devenait une drogue pour moi. A n'importe quel moment de la journée, je sentais et je sens encore ma petite culotte se mouiller parce que je sais que si je voulais, à chaque instant, je le pourrais... Tu sais, j'ai tellement envie de me caresser maintenant et je sais que ce n'est pas pour te déplaire. J'aimerais bien faire avec toi un truc insensé. Il n'y a pas à dire, il me faudrait un "harem". Je ne sens plus mes limites. J'ai encore envie d'être déshabillée, caressée, pénétré, touchée, comme un objet de plaisir...

Tu fais déjà un truc insensé avec moi en me racontant tout, mais je ne dis pas non pour qu’il y en ait d’autres. Mais allons d’abord au bout de ton récit. Ton mari partageait ce plaisir ?
A sa manière oui. Pour son anniversaire je lui ai offert un cadeau très personnel où j’ai dessiné les sexes de mes amants et le sien. C’est un sujet qui le préoccupait beaucoup et je savais que ce petit dessin lui ferait plaisir. Ne me demande pas pourquoi. Je n’arrive pas bien à comprendre pourquoi ça l’excite de savoir que mes amants ont des arguments plus convainquant que lui. C’est comme ça. Il a apprécié mon cadeau.

Tu ne me parles plus de ton docteur. Il t’a rappelée ?
Dès le lundi, sur mon portable. Il m’a dit être encore sous le coup de l’émotion. Je lui ai dit « moi aussi ». Il m’a demandé si j’avais réfléchi et si je voulais qu’on se revoie. Je lui ai proposé le mercredi après-midi s’il était libre. Il m’a dit qu’il s’arrangerait. Nous nous sommes donné rendez-vous pour le déjeuner. Il m’a dit qu’il avait hâte d’être à mercredi. Moi aussi…

Parle moi de ce mercredi. Un moment important dans ton évolution ?
C’est la rencontre avec Vincent qui est importante. Elle a été un véritable tournant, le début d’une nouvelle vie. Il est devenu « mon amant », celui que j’espérais, qui me faisais jouir et qui m’aimait.

Il t'a fait découvrir des sensations que tu ignorais ?
Oh oui ! Au début nos rapports étaient, disons, "classiques". Tu vois ce que je veux dire ? On faisait l'amour normalement, mais si fort. Il était plus libéré que moi et m'a appris à jouir sans retenue, à hurler quand mon plaisir venait, à dire des mots que je m'interdisais.

Il t'a appris d'autres choses?
Oui, plein d'autres choses. Nous avons essayé un peu tout, gardé ce qui nous excitait vraiment... Durant toute cette période passée avec lui, j'ai eu l'impression d'être redevenue une adolescente follement amoureuse et terriblement curieuse. Chaque jour m'ouvrait de nouveaux horizons. Il a été mon initiateur, mon protecteur, mon amour.

Il n’y a plus eu d’autres hommes ?
Si. Je t’ai dit qu’il avait été mon initiateur et cette initiation passait par des expériences un peu folles. Je te raconterai.

Et ton mari
C’est une étape qui l’a beaucoup secoué et qui a fait tanguer notre couple. Quand il a compris que je ne voyais pas Vincent seulement pour sa queue, mais qu’il y avait autre chose entre nous, il a souffert. Il a eu peur de me perdre.

Parle moi de ce docteur qui a bouleversé ta vie.

Fin du chapitre II
Modifié en dernier par Lynx33 le 08 nov. 2011, 13:50, modifié 1 fois.
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par Lynx33
#831889
CHAPITRE III (1ère partie)
"L’amant que j’attendais"



Après avoir cédé au désir de son mari l’été précédent en prenant un amant d’un soir, Sophie prend conscience de sa frustration sexuelle et se met à rêver d’un amant qui la comblerait et dont elle serait amoureuse. Elle se sent capable d’aimer deux hommes car elle tient à son mari, même s’il ne lui donne pas le plaisir dont elle ressent le besoin et dont Gilles, son amant de l’été, lui a merveilleusement rappelé l’existence. Son mari, conscient de ses besoins et poussé par son désir de la savoir prise par d’autres hommes, l’incite à faire d’autres rencontres. Sophie hésite. Elle sait qu’elle a envie d’un amant, mais elle se doute que son couple risque de voler en éclats. Son mari voir les choses en homme. Il ne mesure pas vraiment la nature réelle de sa recherche, l’imaginant purement sexuelle. Sophie se laisse entraîner et rencontre plusieurs hommes. Si Yann, le bel adonis du club de gym, se montre minable, Romain avec sa vaillance et sa belle queue et Didier avec son habileté vont la combler sexuellement. Mais elle cherche autre chose. Est-ce Vincent, le père d’un de ses élève, avec ses yeux de lynx, qui va faire chavirer le cœur et le corps de Sophie ?

Parle moi de ce docteur qui a bouleversé ta vie. Tu l’as vu ce mercredi après-midi ?
Il m’avait donné rendez-vous dans un restaurant chic pour déjeuner. Je me suis faite un peu attendre, pas seulement pour lui montrer que rien n’était joué, mais aussi parce que je n’en finissais pas de me préparer. J’avais choisie un haut assez décolleté, un jean et mon blouson. Il m’a complimenté pour la sensualité qui émanait de moi, sans que je cherche à provoquer. « Je suis toute en contradiction. Une dose de réserve et un zest d’audace ! ». J’ai vite remarqué qu’il n’était pas indifférent à mes courbes, mon décolleté attirait irrésistiblement son regard. Il était face à moi, avec ses yeux verts qui me déshabillaient et son sourire qui aurait anéanti toute velléité de résistance, si j’en avais eu la moindre. Il m’a fait parler de moi. Le vin aidant, je lui ai raconté mes frustrations et mes aventures en évitant de parler du rôle de mon mari. Je ne voulais pas qu’il pense que je faisais de lui l’instrument d’un jeu sexuel avec mon mari.

Comment a-t-il réagi ?
Il m’a pris la main et m’a parlé très doucement. Il m’a dit que son métier lui montrait tous les jours que la vie est bien trop aléatoire pour que je n’en profite pas pleinement. « Tu aimes la vie et tu la croques à pleine dents. C’est quelque chose que j’ai immédiatement remarqué chez toi et qui m’a séduit. » Puis il m’a posé des questions plus précises sur la nature de mes relations avec mes amants. Je le voyais préoccupé. Je lui ai demandé ce qui le chagrinait. J’ai pensé qu’il me trouvais trop légère, pas vraiment le genre de fille qu’il cherchait.

Une fille trop facile, trop « salope » si tu me permets ce mot ?
Oui. Mais comme je le connais maintenant, cette idée était ridicule. J’étais encore une oie blanche pour lui. Non, ce qu’il m’a dit avait trait aux risques liés aux MST, à l’hépatite, au sida. C’est le médecin qui m’a parlé, sans me culpabiliser, en essayant de ne pas me faire peur. Il m’a dit que j’avais eu mille fois raison de n’accepter que des rapports protégés, mais que je n’aurais pas dû accepter si facilement de laisser mes amants jouir dans ma bouche, même si c’était sans doute terriblement agréable pour eux et pour moi.

Comment as-tu réagi ?
Il m’a un peu secouée et je commençais à angoisser. Il m’a rassuré, m’a parlé de probabilité faible et m’a dit qu’il me donnerait ce qu’il faut pour que je fasse les analyses qui me rassureront. Pour changer de sujet, je l’ai fait parler de lui. Il fait un drôle de couple avec sa femme. Elle n’est pas du tout portée sur le sexe. Il a eu pas mal d’aventures depuis qu’il est marié, sans qu’elle n’en sache rien. Il pense qu’elle ne veut pas le voir. Il m’a dit qu’il cherchait une relation moins superficielle que celles qu’il avait eues jusque là.

Et après le repas ?
Comme c’était une belle journée d’hiver, il m’a proposé d’aller faire un tour au bord de l’océan. Le soleil nous réchauffait, mais il n’était pas le seul. Vincent aimait m’embrasser, me serrer. Je me laissais faire, heureuse, confiante. Mes angoisses s’étaient envolées. Je pensais qu’il allait m’emmener dans un hôtel pour me sauter après le déjeuner. Et bien non, c’est un romantique. Je ne lui en veux pas, au contraire. Nous nous sommes assis sur les escaliers au pied d’une dune. Il y avait l’immensité de l’océan, le soleil et la chaleur de Vincent qui me serrait contre lui. J’ai senti la main de Vincent qui se fait investigatrice sur mes seins. Il me complimente encore pour mon corps de rêve, apprécie mes abdominaux, fruit de mes séances de gym, mais il s’intéresse surtout à ma poitrine. Sa main glisse sous mon pull… Il regrette que je porte un soutien gorge me disant qu’il est certain que ma poitrine s’en passerait. Je lui murmure que je veux bien l’oublier pour lui, mais que, vue mes formes, il est préférable que je ne l’abandonne pas complètement. Encouragé par mes propos, il essaye de me l’enlever. Mais ce n’est pas si simple. Je l’aide et je lui offre mes seins. Il les prend goulûment. Je regarde autour de nous, il n’y a personne. Mes mains non plus ne restent pas inactives. Elles parcourent son corps, s’arrête sur son sexe tendu à travers le tissu de son pantalon. Ce que je sens est bien dur et de bonne taille. Je sourie intérieurement. Je pressens qu’il me fera bien l’amour. Pour l’instant, nous n’en sommes pas là. Nous dégustons cet instant hors du monde où nos sens sont en éveil avec la promesse de l’amour quand nous le voudrons. Nous restons longtemps ainsi, à nous embrasser et nous caresser.

C’est effectivement romantique ! L’après-midi se passe comme ça ?
Non. Il me propose de marcher un peu. Nos désirs sont de plus en plus exacerbés. Il dégrafe mon jean et glisse une main sous ma culotte. Je sens ses doigts qui s’aventurent en moi. Je suis trempée. Là il se produit quelque chose d’incroyable.

D’incroyable ?
Oui, je sens ses doigts qui s’activent à un endroit bien précis. C’est terriblement agréable. Je m’écarte et je sens que je mouille énormément. Mon ventre irradie et très vite j’ai un orgasme, puis deux. Je crie, je l’embrasse dans le cou. C’est un Dieu. Il doit vraiment connaître les femmes et leur anatomie pour provoquer ça. Jamais je n’avais joui aussi vite et aussi fort par la seule caresse d’un doigt. Décidemment, Vincent allait m’ouvrir de nouvelles perspectives !

Et ensuite ?
Le soleil baissait déjà sur l’horizon et il faisait plus frais. Vincent m’a proposé de trouver un refuge pour pouvoir me câliner. C’était sa façon de me dire qu’il avait envie de m’emmener dans une chambre pour me sauter. J’appréciais beaucoup. Nous sommes repartis dans sa voiture. Il s’est arrêté devant un hôtel et m’a prise par la main pour me conduire jusqu’à la réception. La chambre était agréable, lumineuse et chaude.
Alors il me prend la main et, doucement, m'attire à lui. Ses lèvres se posent sur les miennes. Tout en lui est douceur, et ce sourire quand il me regarde! Il me caresse la joue et m’entraîne sur le lit. Il soulève mon pull, m'embrasse, me serre contre lui. Il embrasse mes seins, puis descend plus bas. Mon jean devient un obstacle et il me le retire. Je le déshabille à mon tour, je respire sa peau, son parfum m'enivre... Il me renverse sur le lit, me parle doucement comme s'il m'avait toujours connue, ses lèvres s'aventurent sur ma toison brûlante de désir jusqu'à la montée de mon plaisir. Il passe un préservatif apparu sans que je m’en aperçoive. Il se met sur le dos, je m'ouvre et je m'écarte sur lui, et, doucement, lentement, je l'enfonce en moi... J'en avais tellement envie...
Alors, je le sens en moi, attentif à mes moindres frémissements... Je sens son sexe si dur... je me sens clouée à lui... Son sexe me pénètre si profondément. Il est infatigable. Pendant le dîner, je lui avais dit que je cherchais un homme très endurant. Il me prouve que j’ai fait un bon choix. Nous faisons l’amour pendant un temps qui me semble infini. De temps en temps, je le prends dans ma bouche, mais je vois bien qu’il n’insiste pas. « Tu n’aimes pas ? ». Il me dit qu’il adore, que ma bouche est si douce et si chaude, mais que nous devons être prudents. Il est près de six heures quand enfin je le sens se raidir. Je suis allongée, les jambes en l’air, offerte à ses coups de boutoir. Il jouit avec de longues crispations. Nous avons du passer entre deux et trois heures à ne faire que ça ! Nous prenons une douche. Je me rhabille. Il m’attire à lui et me demande si je veux continuer à le voir.

Et tu lui as dit quoi ?
J'étais si tremblante dans ses bras quand j’ai répondu que je ne pourrais plus me passer de lui. Nous étions tous les deux sur un petit nuage. Mais il a vitre repris ses esprits et m’a dit qu’il avait une proposition à me faire.

Proposition ?
Oui. Il avait envie que notre relation soit une relation d’exception, en ajoutant, flatteur, « puisque tu es une femme d’exception ». Il a dit avoir envie de faire l’amour avec moi sans contraintes et m’a proposé de un parcours.

Quel genre de parcours ?
Pas ce que tu crois ! C’était une nouvelle fois le médecin qui parlait. Il m’a fait une ordonnance pour que je fasse tout de suite une série d’analyses pour me rassurer, puis m’ a proposé de faire deux autres tests de dépistage du SIDA, un dans un mois, l’autre dans trois mois. Il a dit qu’il fera les mêmes. Si tout est parfait, dans un mois nous pourrons nous laisser aller plus librement et dans trois mois, nous ferons l’amour sans préservatif. Mais il y avait d’autres conditions. D’une part, il fallait que nous soyons sûrs de nos conjoints, ce qui semblait acquis et que nous ayons une très grande rigueur dans nos rapports avec d’autres partenaires. Il m’a proposé de n’avoir aucun secret l’un pour l’autre. Lui s’est engagé à n’avoir pas d’autre partenaire que moi et son épouse. Il ne m’a pas demandé la même chose, mais a souhaité que j’applique ses recommandations et que je lui dise si j’avais eu des relations avec un autre homme. C’était une sorte de contrat d’exclusivité avec un délai de carence. J’étais retombée sur terre. Mais il était mon lynx et je m’imaginais faisant librement l’amour avec lui, sans la moindre retenue.

Tu as accepté ?
Sans réfléchir. J’étais émue car il avait envie que notre relation soit autre chose qu’une pulsion éphémère. Il m’a embrassé et m’a dit « Je crois que je suis amoureux ». Je me suis nichée au creux de son épaule, mes yeux étaient tout humides. Quand il s’est rendu compte que j’avais taché le col de sa chemise, il a ri et m’a dit que nous devrions éviter ça sinon sa femme se poserait des questions.

Ainsi tu étais engagée dans une autre histoire.
Vincent serait bien mon lynx. Je pensais bien avoir trouvé l’amant que je cherchais.

La suite l’a confirmé ?
Je n’ai pas à regretter la suite. Le seul problème était la disponibilité de Vincent. Il travaillait beaucoup, devait donner le change chez lui et ne disposait pas de beaucoup de temps à me consacrer. Nous avons essayé de nous réserver un mercredi après-midi sur deux ou trois. Il me proposait de passer me voir quand mon mari n’était pas la au cour de ses tournées. Tant que mon mari n’était pas au courant de cette liaison, je ne voulais pas qu’il vienne. Puis mon désir a été le plus fort et il est venu quelques fois.

Pourquoi n’en parlais-tu pas à ton mari ?
Je sentais bien qu’avec Vincent ce ne serait pas une aventure comme les autres. Je voulais prendre le temps de réfléchir pour me situer par rapport à lui et à mon mari. Comment être complice avec mon mari sans trahir la confiance de Vincent ? Quels étaient mes véritables désirs ? D’un côté, j’avais envie de garder Vincent pour moi toute seule et de l’autre il y avait la promesse faite à mon mari. Parfois aussi, je me laissais aller à les imaginer complices, comblant ensemble mes envies les plus profondes. Et la femme de Vincent, quelle serait sa place ? Tu vois, la situation n’était pas claire dans ma tête et je choisis dans un premier temps de garder pour moi ma liaison avec Vincent.

Il ne se doutait de rien ?
Il se demandait pourquoi je ne voyais plus Didier. Il semblait désolé que je lui redevienne fidèle. Je lui disais que je n’avais pas l’intention d’arrêter, mais que les aventures occasionnelles ne me satisfaisaient pas pleinement. Il fallait me laisser le temps. Quant à Didier qui me relançait, je lui ai dit que j’avais fait une rencontre. Pour autant, je n’ai pas coupé les ponts. Le souvenir de nos étreintes était bien trop fort. Même si j’avais accepté la proposition de Vincent, je n’avais pas renoncé définitivement à voir d’autres hommes !
Je n’étais pas certaine que mon mari ne se doutait de rien, car il me trouvait plus distante et souvent pensive. Il me disait souvent « Tu rêves encore à ton amoureux ». Je lui souriais sans répondre. Je n’aime pas lui mentir, même si je ne lui dis pas tout. Les seuls à tout savoir étaient Magali et Gilles.

Tu continuais donc à communiquer avec Gilles.
Oui, très régulièrement. Nous nous racontions nos aventures et prenions toujours beaucoup de plaisir à des moments d’intimité très chauds. L’amour virtuel est sans risque !

Comment ça s’est passé ensuite avec Vincent ?
On se parlait tous les jours au téléphone, mais hélas on se voyait peu. Il me disait qu'il pensait beaucoup à moi, qu'il voudrait me revoir, mais qu'il n'était pas très disponible. Nous nous sommes vu deux fois pour prendre un verre et pour des étreintes rapides dans sa voiture.

Des étreintes rapides, c'est-à-dire ?
On s’embrassait et on se donnait du plaisir. Je t’ai dit qu’il était très habile avec ses doigts, même dans une voiture ! Moi je le soulageais, en essayant d’éviter de laisser trop de traces pour ne pas que sa femme se pose trop de question…

Tu ne devais te satisfaire de ça ?
Tu te doutes bien que non. J’étais en manque et je commençais à me poser des questions. Il s’est rendu compte de la situation et a fini par me consacrer un peu plus de temps un soir. Nous ne savions pas où aller. Finalement ça s’est passé dans son cabinet. Pas très confortable, mais je l’avais enfin en moi. J’en avais tellement envie. Il m’a prise sur son bureau et sur le sol pendant une heure. J’étais toute endolorie pendant trois jours ! Je ne l’ai retrouvé dans de meilleures conditions que trois semaines après, un mercredi après-midi où il avait pu se libérer. Comme pour notre premier rendez-vous, il m’a invité à déjeuner, mais cette fois nous sommes allé directement dans un hôtel après le dessert. Lui aussi n’en pouvait plus et j’avais tout fait pour l’exciter durant le repas. Mes seins nus sous mon pull étaient une véritable provocation. J’avais hésité à sortir ainsi, mais avec Vincent je me souciais moins du regard des autres. D’ailleurs, il n’y avait pratiquement que des hommes d’affaires dans le restaurant et je lisais dans leurs yeux plus d’envie que de réprobation. Leurs femmes n’auraient pas eu la m^me attitude !

Vincent a confirmé l’idée que tu te faisais de lui ?
Dès que nous sommes arrivés dans la chambre, il m'a prise dans ses bras, m'a serrée, m'a embrassée... Toute cette chaleur qui m'envahie, qui me trouble... Il est toujours aussi doux et me parle comme si ça faisait des siècles qu'on se connaissait... Je n'en peux plus de le toucher, de me coller à lui... Il me déshabille, toujours son regard au fond du mien, son sourire pour moi, rien que pour moi. Je n’ai plus que ma petite culotte. Je m’écarte en riant, pour jouer. Je suis sa proie. Il veut se déshabiller... Non, c'est moi... Alors je le déboutonne, je lui embrasse le torse, je le caresse avec ma joue, je reconnais son odeur. J'ai envie de m'écraser contre lui... Pourtant notre étreinte est très douce, mais forte, délicieuse sensation... On se parle doucement, j'aime bien. Nos bouches se réclament, nos mains s'accrochent. J'ai tellement envie de lui en moi. Il m'embrasse la nuque et me murmure "je vais te prendre pendant des heures". Je sens son souffle à la naissance de mes cheveux, près de mon oreille, ses lèvres qui m'effleurent. J'ai tellement envie de lui, mais je bois chaque souffle, chaque murmure, chaque baiser, chaque regard, chaque sourire... Je me délecte de chaque seconde... Je suis prête à le recevoir, je suis trempée... Il entre enfin en moi, à genoux derrière moi, ma tête enfuie dans l’oreiller... Il entoure ma taille, m'attire contre lui, contre sa peau, et me murmure "Plus fort?" Je lui répond : "Plus fort..., plus loin..." Nos mains soudées, crispées... Il va et vient... J'ai tellement envie que mon plaisir ne tarde pas à venir... Il le sent, alors il accélère... jusqu'à mon explosion... Ses mains me caressent doucement... "Je voudrais avoir du plaisir avec toi, comment me veux-tu?" Alors je l'invite à s'asseoir, lui écarte les cuisses. A genoux devant lui, son regard pénètre le mien, il me sourit, je lui caresse la joue. Je retire son préservatif et ma bouche le prend... Il ne fait pas un geste pour m’en empêcher. Sa peau est fine, douce, salée. Seule l’odeur laissée par le préservatif vient contrarier ma délectation...
- Tu aimes le goût du sperme? Tu veux aller jusqu'au bout?
- Oui, j'en ai très envie, mais tu ne vas pas vouloir.
- J’ai les résultats de nos analyses. Il y a encore un petit risque, mais nous pouvons partager ce moment pleinement.
Alors il passe ses jambes sur mes épaules et je ne peux presque plus bouger tellement il me serre... Mais j'aime ça.... Je le déguste, je le lèche, je l'avale... Il me prend la tête, il va exploser... Je le veux... Je le sens durcir... Ses mains se crispent... et dans un gémissement, il m'offre son plaisir... Je ne bouge plus... Je suis bien... Il m'attire vers lui et me prend dans ses bras. On ne dit plus rien. Cet instant est une éternité de bonheur. Ensuite nous restons allongés et nous parlons. Il me dit que nous n’avons pas été raisonnables, mais que c’était si bon. Bientôt il pourra jouir en moi et notre plaisir sera encore plus fort. Je le caresse, il redevient dur. Il me demande si je veux. Je ne réponds pas, mais j’écarte les jambes sans ambiguïté. Il se protège et vient en moi. Là il se met à me donner de grands coups de queue. C’est bon, j’en veux, j’en veux. Il est à la fois doux et fort. Je jouis, mais il ne s’arrête pas. Mon lynx est un lion ! Je hurle, mais ne demande pas grâce. Même si on ne se voit pas souvent, des moments comme celui là valent toutes les attentes.

Tu as continué à voir Vincent de temps en temps. Tu me disais qu’il est venu chez toi ?
Je te disais qu’il n’était pas bien disponible, en tout cas pas assez pour satisfaire mes envies. Quand on a goûté au ce niveau de plaisir, c’est dur de s’en priver. Plusieurs fois il m’avait proposé de passer me voir à la fin à la fin de ses consultations à domicile. Même si j’en crevais d’envie, j’avais toujours refusé.

Pourquoi ?
Parce qu’il y avait mon fils. Imagine, si mes cris le réveillaient et qu’il nous voit en train de faire l’amour ! Déjà que je me pose des questions sur mes aventures vis-à-vis de lui, alors là je serais mal. Puis il y avait mon mari. J’estimais que notre appartement était réservé à notre couple. Si je n’avais pas le sentiment de le tromper en faisant l’amour ailleurs, amener un amant chez nous sans qu’il le sache aurait été très différent pour moi. Je ne lui avais pas encore parlé de Vincent et il viendrait dans notre lit ? Pourtant, plus le temps passait, plus j’étais accro de la queue de Vincent. Quand j’étais vraiment en manque, mes résolutions fondaient. Bientôt je ferais l’amour en toute liberté avec Vincent et j’avais pris la résolution de parler de lui à mon mari à ce moment. D’ici là, j’ai abordé le sujet de l’appartement avec lui.

Tu lui as dit que tu allais inviter ton amant chez vous ?
Pas comme ça ! Je suis plus futée quand même. Je lui ai demandé si, dans ses fantasmes, il m’imaginait parfois faisant l’amour avec un autre dans notre salon ou dans notre chambre. Tu t’imagines venant dans le lits en sachant qu’un autre m’y a prise peu avant ? Je connaissais ses faiblesses et j’anticipais ses réactions. Il m’a demandé si je l’avais déjà fait. Je lui ai dit que non et que je ne le ferais pas s’il n’était pas d’accord. Il a répondu comme je l’espérais : « Si tu en as envie, fait le et surtout, ne change pas les draps ! Mais dis moi si tu le fais. Tu veux peut-être inviter ton amoureux ? ». Il se doutait de ma nouvelle infidélité.

Futée effectivement ! Et tu as profité rapidement de cette carte blanche ?
Pas tout de suite. Ça s’est fait deux semaines plus tard. C’était les vacances de Pâques et je n’avais pas vu Vincent depuis près de trois semaines. A chaque fois nos projets de rendez-vous avaient capotés. Je n’en pouvais plus. J’étais à la fois furieuse et terriblement en manque. Quand il m’a téléphoné le mardi soir pour me dire qu’il ne pourrait pas se libérer le lendemain après-midi, j’étais désespérée et agressive. Il m’a dit qu’il pouvait me voir le matin après ses consultations. On pourrait faire un tour en voiture. C’est là que je lui ai proposé de passer me rendre une visite à domicile. Rien ne s’y opposait. Mon fils était chez ses grands parents, je ne travaillais pas et mon mari était d’accord. Il a été surpris, mais ravi. Il m’a dit qu’il viendrait voir sa jolie patiente après dix heures et qu’il ferait tout ce qui est en son pouvoir pour qu’elle soit parfaitement bien. Il venait à peine de me téléphoner et je n'en pouvais déjà plus. Je tournais en rond, sentant la chaleur entre mes cuisses, celle de mon désir qui emplissait ma chatte. J’aurais tant aimé qu’à ce moment il entre en moi, qu'il me serre. Mais, d'une autre manière, je me dis que c'était bien d'attendre et que le lendemain ce serait sublime, bien au delà que je pouvais imaginer. J’ai eu du mal à m’endormir et je me suis caressée frénétiquement une bonne partie de la nuit. Je ne me reconnaissais plus dans cet état. J’ai essayé d’appeler Gilles pour qu’il me calme, mais il n’était pas chez lui. Alors j’ai passé un texto à mon mari pour lui dire qu’il pense à moi le lendemain matin, lui marquant « si tu as de la chance entre 10h et midi, tu sauras pourquoi… ». Je me suis enfin endormie.

Raconte moi cette matinée. J’imagine déjà des moments intenses.
J’avais mis le réveil à huit heures car je voulais avoir le temps de me faire belle : Douche, complément d’épilage, ongles, maquillage léger... J’ai fait le lit en pensant qu’il serait vite défait. J’ai choisi une robe combinaison rouge à bretelle très moulante sous laquelle je n’avais qu’un string rouge. Je n’aurais pas osé sortir ainsi, mais là je pouvais me le permettre. Mes seins étaient bien visibles, histoire de faire craquer Vincent dès que je lui ouvrirais la porte. A dix heures j’étais prête. Plus le moment approchait, plus je sentais la chaleur envahir mon ventre. Je mouillais terriblement. Je sentais mon string tout imbibé de ce désir. Au moins Vincent verrait combien je l’attendais. Je n’arrête pas d’aller jusqu’à la porte pour voir s’il arrive. J’ai tellement envie que mes mains essayent de m’apaiser. Enfin on sonne à la porte. Je me précipite, toute tremblante. Je m’assure par le judas que c’est bien Vincent et j’ouvre. Il entre, un peu intimidé. Je le fais entrer au salon. Là il m’attire enfin contre lui et m’embrasse. Ses mains se glissent sous ma robe et caressent mes fesses. J’avais préparé du café, mais plus rien ne compte que notre envie. Je l’entraîne dans la chambre. J’ai une pensée pour mon mari. Pour la première fois, je vais faire l’amour avec un autre que lui dans ce lit. Cette pensée est de courte durée. Vincent fait glisser ma robe, puis quitte son tee-shirt. Je le précipite sur le lit. Puis je lui retire son jean et son caleçon. Sa queue est offerte, dure, dressée. Je l’ai tellement désirée. Je glisse au pied du lit pour la sucer longuement. Je n’arrive pas à m’en rassasier. Il me dit qu’il aime la chaleur et la douceur de ma bouche, je lui dis que j’aime sentir sa queue frémir et se tendre sous ma langue. Je fais durer ce moment qui m’excite terriblement, en prenant bien soin de ne pas provoquer l’irréversible. J’ai trop envie de lui en moi ! Il aime ça le coquin ! Imagine notre conversation entrecoupée de bruit de succions :
- C’est bon, continue. Oh oui c’est bon. Aucune femme ne l’a jamais sucé aussi agréablement.
- D’autre me l’on déjà dit ! C’est un don naturel…
- Oh oui, prend la. Ta bouche est chaude et si douce…
- Je ne le fais que parce que j’en ai envie.
- Tu es une « gourmande »
- J’aime ce qui est bon.
A chaque fois que je le sentais sur le point de se laisser aller, je m’arrêtais. Puis il s’est redressé. Il m’a entraînée sur le lit et m’a retiré mon string. Il l’a porté à ses lèvres en me disant que j’avais déjà trop attendue.
Puis il a glissé sa tête entre mes cuisses et commencé à lécher ma chatte. C’était à mon tour de le trouver doux et habile. Sa langue s’insinuait, puis revenait au point sensible me poussant à la limite du plaisir, puis repartait. Je n’ai pas tenu longtemps et j’ai senti monter mon plaisir. C’était des vagues successives de plus en plus fortes. J’ai crié longuement. J’ai dit « Et les voisins, tu vas me faire une de ces réputation ». On a ri. Tu diras que ton mari est rentré plus tôt cette semaine… Mais pour ce qui est de ta réputation, je te promets que ce n’est fini !
- Tu veux que je vienne ?
- Je n’attends que ça depuis des jours
- Ils sont où tes préservatifs
- Je m’occupe de tout. Allonge toi.

Je me suis retrouvée face à son sexe dressé. Je l’ai regardé en me disant qu’il allait me défoncer. J’ai sorti un préservatif et je lai glissé sur sa queue. Il m’a demandé comment je voulais. Il est venu en levrette, comme je préfère. Et comme les autres fois, ce fut un tourbillon de moments de tendresse, de coups de boutoir. J’ai joui je ne sais combien de fois. Les voisins ont été servis ! Comme les autres fois, Vincent est resté maître de lui et n’a eu du plaisir que lorsqu’il a été certain que je n’en pouvais plus. Quel homme ! Quand Vincent est parti, je me sentais vidée. Je suis retournée dans mon lit. Je me suis enroulées dans le drap encore tout imprégnés de son parfum et je me suis endormie, apaisée, repue. Je ne me souviens même à quelle heure il est parti, j’avais l’impression d’avoir fait l’amour pendant une éternité.

Ton mari a voulu tout savoir ?
J’avais allumé la mèche la veille au soir. J’avais coupé mon téléphone pendant que Vincent était là. Je ne l’ai rallumé qu’en me réveillant en début d’après midi. J’avais dix appels de mon mari ! Je ne pouvais pas le laisser dans cet état et je l’ai rappelé. Il était en réunion, mais ne s’est pas fait prier pour sortir. Là je lui ai raconté ma matinée sans vouloir en dire plus sur cet amant qui m’avait comblée dans notre lit. Il m’a dit qu’il allait trouver un prétexte et rentrer le soir même, qu’il fallait absolument qu’il me voit sur le lieu de mon forfait !

Et il est venu ?
Très tard. Il était à 300km et a dû gérer le soir les affaires du lendemain. Il était très excité et très amoureux. Il est venu dans la chambre pour que je lui raconte dans les draps où je l’avais « trompé ». J’ai dû rechercher mon string rouge dans le panier à linge. Il l’a reniflé et a examiné les traces que j’y avais laissées. Je lui ai dit que je mouillais beaucoup avant l’arrivé de mon amant et pendant la fellation que je le lui ai faites quand nous sommes venus dans le lit. Mon mari aime ce genre de détails. Je lui devais bien ça. Il m’a demandé si ma chatte avait été bien remplie. J’ai répondu : « Par sa queue oui, mais pas par son sperme. Il avait un préservatif ». Pendant que je lui parlais, il est venu en moi et il a joui au moment de cette réponse. Je lui ai promis qu’il en saurait bientôt plus sur mon nouvel amant. Il était très ému et m’a dit combien il m’aimait, précisant « Je t’aime comme tu es et pour tout ce que tu fais ». Je lui ai dit que j’étais fatiguée et que je préférais dormir seule. Mais il a insisté, me suppliant de la laisser dormir avec moi dans ce lit qui le faisait désormais terriblement fantasmer. Il est aller se doucher. Plus tard il me dira, un peu confus, qu’il avait regardé dans la corbeille de la salle de bain et qu’il avait trouvé le préservatif. Je m’en doutais. Je commence à bien le connaître et je sais que ça aussi ça l’excite. Quand il m’en a parlé, je lui ai dit que nos sexualités étaient complémentaires et qu’il ne devait pas avoir honte de ses désirs, comme je n’avais pas honte des miens. Il est venu se coucher, m’a embrasser et c’est endormi comme un bébé heureux.

Toi aussi tu as dû bien dormir !
Détrompe toi. C’est vrai que ma journée m’avait épuisée, mais je n’arrivais pas à m’endormir. Je regardais dormir mon mari. Pour lui comme pour Vincent, tout semblait simple. Je satisfaisais leurs attentes sexuelles et ils étaient heureux. Ils ne se posaient pas de questions. Mais pour moi, les choses me semblaient moins claires. Vincent m’aimait-il pour autre chose que le sexe ? Mon mari se rendait-il compte de ma passion pour Vincent ? Serais-je capable d’aimer deux hommes, de leur donner ce qu’ils attendent de moi tout en étant pleinement satisfaite ? L’harmonie à deux est déjà un défi, alors à trois ? Contrairement à eux, je ne pouvais me satisfaire d’un équilibre uniquement basé sur un plan sexuel, même si je dois bien avouer que le sexe tient une place énorme dans ma vie. Je le mesurais de plus en plus à ce moment là.

Quand as-tu décidé de parler plus de Vincent à ton mari ?
La semaine suivante. Les trois mois étaient passés. Vincent et moi avions faits nos prises de sang. Nous devions avoir les résultats le vendredi. C’était l’occasion de faire une surprise à mon mari, du genre qu’il adore et de lui parler de la nouvelle situation avec Vincent.

Une surprise ?
Comme je t’ai dit, j’ai appris à deviner ce qui l’excite. Comme je suis un peu perverse, j’avais imaginé une situation qui nous plairait à tous deux, pour des raisons très différentes. Le vendredi soir, Vincent m’a appelé pour me dire qu’il avait les résultats et qu’on pouvait ranger les préservatifs. Il m’a dit qu’il avait envie de jouir en moi. Comme il consulte le samedi matin, Je lui ai proposé de me prendre un rendez-vous à son cabinet. Ce n’est pas très confortable, mais l’envie était trop forte pour nous deux. Tu ne peux pas savoir l’excitation que provoquait l’idée de le sentir jouir en moi. Pas seulement pour la sensation d’être remplie de lui, mais pour la symbolique de la situation. Vincent serait le seul avec mon mari à avoir ce privilège. Depuis que j’avais décidé de parler de Vincent à mon mari, j’avais imaginé de choisir ce jour pour unir mes deux hommes dans la libre possession de mon intimité. Mon mari allait découvrir la nouvelle situation d’une manière dont j’étais certaine qu’elle allait beaucoup lui plaire.

Parle moi de cette situation qui a du vous plaire à tous les deux.
C’était le grand jour. En plus c’était une des premières journées printanières avec un soleil magnifique. En temps normal, les premiers beaux jours réveillent nos sens, alors avec ce qui allait se passer en plus, je ne te dis pas dans quel état j’étais. J’avais demandé à mon mari de se libérer pour m’accompagner à un rendez-vous chez un médecin en ville. Comme il s’inquiétait, je l’ai rassuré en lui disant que c’était simplement pour une visite de routine, mais qu’après nous pourrions en profiter pour aller faire les magasins ensemble. Il a été d’accord sans discuter. La première partie de mon plan marchait parfaitement. J’ai choisi une tenue très printanière, avec une petite jupe courte en jean que mon mari adorait me voir porter. Il a été un peu surpris que je m’habille ainsi pour aller chez mon médecin, mais comme il adore que je sois provocante, il en a été ravi.
Nous sommes partis en voiture. Arrivé devant l’immeuble où se trouvait le cabinet de Vincent, nous sommes montés au quatrième avec l’ascenseur. Mon mari en a profité pour me caresser les fesses. Décidemment, cette petite jupe lui plaisait et je pensais qu’elle allait plaire aussi à Vincent. Arrivé au cabinet, nous sommes allé à l’accueil où mon tendez-vous était confirmé pour 10h30. Comme c’est un cabinet groupé, il y avait d’autres rendez-vous et la salle d’attente était bien occupée. Nous y avons pris place et j’ai dit à mon mari qu’il m’attende là pendant ma visite et que je viendrais le chercher après. Vers 10h40, la secrétaire m’a appelée. Depuis plusieurs minutes, je n’arrivais plus à me concentrer sur l’article du magazine « Elle » que j’avais commencé tant mes pensées était occupées par Vincent. Je le savais à quelques mètres, attendant comme moi le moment où nous serions ensemble. J’avais envie, très envie. Mon mari ne se doutait de rien, plongé dans un vieux numéros de l’Auto-journal. Enfin la secrétaire m’appelée. Je me suis levée, comme sur un petit nuage, et je l’ai suivie sans même regarder mon mari.
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par Lynx33
#840792
CHAPITRE III (2ème partie)

Parle moi de cette situation qui a du vous plaire à tous les deux.
C’était le grand jour. En plus c’était une des premières journées printanières avec un soleil magnifique. En temps normal, les premiers beaux jours réveillent nos sens, alors avec ce qui allait se passer en plus, je ne te dis pas dans quel état j’étais. J’avais demandé à mon mari de se libérer pour m’accompagner à un rendez-vous chez un médecin en ville. Comme il s’inquiétait, je l’ai rassuré en lui disant que c’était simplement pour une visite de routine, mais qu’après nous pourrions en profiter pour aller faire les magasins ensemble. Il a été d’accord sans discuter. La première partie de mon plan marchait parfaitement. J’ai choisi une tenue très printanière, avec une petite jupe courte en jean que mon mari adorait me voir porter. Il a été un peu surpris que je m’habille ainsi pour aller chez mon médecin, mais comme il adore que je sois provocante, il en a été ravi. Nous sommes partis en voiture. Arrivé devant l’immeuble où se trouvait le cabinet de Vincent, nous sommes montés au quatrième avec l’ascenseur. Mon mari en a profité pour me caresser les fesses. Décidemment, cette petite jupe lui plaisait et je pensais qu’elle allait plaire aussi à Vincent. Arrivé au cabinet, nous sommes allé à l’accueil où mon tendez-vous était confirmé pour 10h30. Comme c’est un cabinet groupé, il y avait d’autres rendez-vous et la salle d’attente était bien occupée. Nous y avons pris place et j’ai dit à mon mari qu’il m’attende là pendant ma visite et que je viendrais le chercher après. Vers 10h40, la secrétaire m’a appelée. Depuis plusieurs minutes, je n’arrivais plus à me concentrer sur l’article du magazine « Elle » que j’avais commencé tant mes pensées était occupées par Vincent. Je le savais à quelques mètres, attendant comme moi le moment où nous serions ensemble. J’avais envie, très envie. Mon mari ne se doutait de rien, plongé dans un vieux numéros de l’Auto-journal. Enfin la secrétaire m’appelée. Je me suis levée, comme sur un petit nuage, et je l’ai suivie sans même regarder mon mari.

Vincent était dans le même état que toi ?
C’est ce qu’il m’a dit. Il a donné le change à la secrétaire en me serrant la main et en me disant de m’asseoir. Mais, à peine la porte refermée, il m’a serrée contre lui et m’a longuement embrassé. « Je ne pense plus qu’à ça depuis hier. Et le patient précédent qui n’arrêtait pas de me poser des questions, j’ai cru qu’il ne partirait pas ! ». Je lui ai dit « Viens » tout en lui retirant sa chemise. Il soulevait ma jupe, palpait mes fesses. J’ai ouvert son jean, laissant échapper sa queue bien raide. Puis il a glissé sa main dans ma culotte, me murmurant « Toi aussi tu ne penses qu’à ça depuis quelques temps ».
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J’aurais eu du mal à le nier tant j’étais trempée ! Il a fait glisser ma culotte, m’a penchée en avant, en appuie sur son bureau et je l’ai senti venir en moi. Il entrait doucement, sans la moindre difficulté, le terrain était bien préparé. « Tu est brûlante, c’est si bon de te sentir ainsi… ». Avec toujours autant de douceur, il m’a pénétrée et il a commencé à bouger.
J’avais envie de hurler, mais il fallait que je me retienne. Il mettait ses doigts dans ma bouche pour me calmer. Au bout de quelques minutes, j’ai senti monter mon plaisir. Il a m’a serrée et m’a fait jouir. Puis il est sorti de moi et m’a déshabillée entièrement. Je me suis mise à ses genoux et je l’ai sucé un moment. Pas pour le faire jouir, bien sûr, mais comme un remerciement pour le plaisir qu’il venait de me donner.

Et ensuite ?
Il m’a relevée, m’a prise dans ses bras et m’a dit « Voilà trois mois que j’attend ce moment. Maintenant je vais enfin jouir en toi. » Il était tendre et troublé en disant cela. Il a ajouté « Je mes suis réservé pour ce jour depuis notre dernière rencontre, pour te remplir à hauteur de mon désir pour toi » Puis il m’a retourné et m’a fait asseoir sur son bureau. Il est venu en moi en me regardant dans les yeux. « Comment tu veux ? » J’ai répondu « Par derrière ». Il m’a retourné et m’a prise ainsi, sur le bureau.
Je lui ai demandé de me mettre de grands coups de queue. Je me sentais partir. Je lui ai dit « Ça monte, ça monte, viens… ». Je l’ai entendu dire « Je viens ». Son sexe s’est encore tendu, puis j’ai senti ses spasmes. Il déchargeait en moi et je crois que c’est ça qui a déclenché ma propre jouissance. Il était toujours en moi, je sentais les contractions de sa queue et ma chatte qui coulait. Il s’est retiré doucement. Je me suis redressée et nous nous sommes enlacés. J’ai murmuré « Mon amour… ». Après quelques instants, il m’a passé un kleenex. J’ai essuyé ce qui coulait le long de mes jambes, mais pas mon minou. Je lui ai demandé de me passer ma culotte qui traînait par terre et je l’ai enfilée. Je lui ai dit « Ce que tu m’as donné est trop précieux, je veux le garder le plus longtemps possible ». Il a souri et m’a embrassée. Puis il m’a passé mon haut et ma jupe. Nous avions déjà dépassé la ½ heure de consultation, il fallait que je parte. Vincent m’a dit qu’il n’était pas rassasié et qu’il me voulait encore. Il m’a demandé si je pourrais me libérer dans l’après-midi. Je lui ai dit que je m’arrangerais et qu’on s’appelait vers midi. Vincent m’a accompagné à porte. Quand je suis sortie, j’avais l’impression que tout le monde savait. Nous avaient-ils entendu ? La secrétaire m’a lancé un regard peu sympathique, puis est allé chercher le patient suivant. C’est à ce moment que j’ai pensé à mon mari. Je suis allée jusqu’à la porte de la salle d’attente et je lui ai fait signe. Il était un peu bougon car il trouvait que ça avait duré bien longtemps. J’ai pensé que bientôt, il trouverait comme moi que ce fut bien court !

Comment lui as-tu annoncé la chose ?
Quand nous sommes arrivés sur le palier, il a voulu appeler l’ascenseur. Je lui ai dit « Nous descendons à pied » et je l’ai pris par la main pour l’entraîner dans les escaliers. Il ne comprenait pas et s’apprêtait à protester jusqu’à ce que je lui dise que c’était pour « sa surprise ». Je ne sais pas ce qu’il a imaginé, mais il s’est laissé entraîner. Nous avons descendu un demi étage, puis je me suis arrêtée en l’attirant contre moi. Je lui ai dit « Touche moi ». Il a saisi mes seins, dont je dois avouer qu’ils étaient bien provoquant sous mon pull. Je lui ai dis « Non pas là », en soulevant légèrement ma petite jupe en jean. Il a glissé sa main entre mes cuisses.
Ma culotte était toute imprégnée du plaisir de Vincent. Il a été surpris, me disant « Tu es toute trempée ». C’est à ce moment que je lui ai dit.

Que lui as-tu dit ?
La vérité, sans nuance : « Je viens de faire l’amour avec mon nouvel amant. Il a joui en moi ».

Comment a-t-il réagi ?
Il était interloqué. Sa main fouillait ma chatte encore emplie de Vincent. Je sentais son sexe dur. Il m’a demandé « Depuis quand ? ». Je lui ai dit la vérité. Il m’a demandé si c’était lui qui était venu dans notre lit la semaine précédente. Je lui ai dit que oui. J’ai ajouté « Tu sais, c’est la première fois qu’on fait l’amour sans préservatif. Nous avons attendu pour être certains qu’il n’y avait pas de risque. Je voulais que tu partages ce moment. Je t’offre mon minou empli de la semence de Vincent. Tu aimes ? »

Il a aimé ?
Il était sans voix et restait sans savoir quoi faire. Il a pris ma main et l’a posée sur son sexe. Il a juste eu le temps de me dire « Mon amour… », et il a eu du plaisir. Ensuite, il s’est ressaisi. Il n’y avait personne dans les escaliers. Il s’est agenouillé devant moi et m’a regardé. Il observait avec fascination ma culotte trempée. Il l’a écartée pour apercevoir ma chatte. Je l’ai entendu dire « Mon Dieu que c’est beau ». Puis il a fait glisser ma culotte. Et il a enfoui sa tête entre mes cuisses. Il n’arrivait pas à se repaître de ma chatte dans l’état où je lui offrais. C’était son plaisir et je le comprenais. Il était à mes genoux, dans une position d’adoration. J’appuyais légèrement sa tête contre mon minou. Je pensais que, quelques instants avant, j’étais dans cette même position en train de sucer Vincent. Le plaisir que j’éprouvais à ce moment n’était pas physique. C’était une grande quiétude. J’étais heureuse de l’harmonie du moment présent avec mes deux hommes. J’avais aussi le sentiment de ressentir ce qu’éprouve psychologiquement un homme lorsqu’une femme lui rend cet hommage. Je prenais conscience que mon comportement vis-à-vis de mes partenaires était de plus en plus masculin. Nous sommes restés ainsi dix bonnes minutes, espérant que personne n’aurait l’idée de prendre les escaliers. Puis il s’est redressé. Il était ému. Une goutte coulait sur sa joue. Je ne saurai jamais si c’était une larme où une trace de mes débordements. Je penche pour une larme compte tenu de la manière dont il m’a dit « Merci ma chéri. C’est le plus beau et le plus inattendu des cadeaux que j’ai reçus ».

Et après ?
Nous ne pouvions pas rester là. J’ai complètement retiré ma culotte et je me suis essuyée avec et je l’ai glissée dans mon sac. Il était fasciné. Alors je lui ai dit « On y va ». Il m’a regardé faire, toujours dans un état second. Nous avons rejoint la voiture dans le parking souterrain. En route, il a fait remonter ma jupe, peut-être pour s’assurer qu’il n’avait pas rêvé. Ma petite chatte jouait à cache-cache… Il m’a demandé ce que ça me faisait d’être ainsi, sans culotte. Je lui ai dit que ça me faisait un peu froid là ! Il m’a demandé si je le faisais avec Vincent ou d’autres. Je lui ai dit que c’était la deuxième fois que je sortais ainsi, lui ai rappelant que la première, c’était en août précédent, le soir où j’avais quitté la boite avec Gilles.

Comment a-t-il a réagi ?
En disant « Je vois que c’est uniquement pour des grandes occasions.» Puis il a ajouté « Mais surtout ne t’en prive pas, maintenant que nous allons vers les chaleurs de l’été ». Puis il m’a proposé de ne pas rentrer à la maison. Il m’a invité à déjeuner en me disant « On va fêter l’événement. On sera plus tranquille pour parler de tout ce qui vient de se passer ». J’ai accepté sans hésiter. C’est vrai que nous devions parler maintenant. Heureusement qu’il y a mon amie Magali. Je l’ai appelée pour lui demander de s’occuper de mon fils. Elle m’a immédiatement demandé comment c’était passé la matinée. J’ai répondu : « Plus tard c’est promis. Je suis avec mon mari ». Mon mari souriait. Il avait compris que Magali savait pour Vincent et pour la consultation un peu spéciale de ce matin. Il sait que je n’ai aucun secret pour Magali, il trouve même qu’elle en sait plus que lui.

Ce qui est vrai ?
Oui. Entre fille on se dit des choses plus intimes.

Ton mari voulait fêter l’événement ?

Chaptre III, à suivre...
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Quel recit !!!

Un regal même si je n'eu pas le temps de le devorer avec l'attention necessaire !

Bravo .... Biz à la belle Sophie, et felicitations à vous pour ce talent d'écriture et de mise en scène par ce journal d'un erotisme candauliste torride
#840877
eric94500 a écrit :Et encore une femme qui se moque de son mari et ne mérite pas sa confiance en vivant une relation amoureuse avec son amant. C'est intolérable a mes yeux, l'interdit absolu a ne jamais franchir.


je ne pense pas que Sophie se moque de son mari ... mais c'est un fait, les femmes ont bcp plus de mal que les hommes à dissocier leur sentiments ! Il leur faut une part masculine assez importante, ou une certaine experience, ou alors connivence avec leur mari pour que ce soit alors un jeu, ou que seules, divorcées,celibataires, elle se disent "basta ! j'en profite ! commme un mec !" (souvent !) pour qu'elle se fasse bai** comme ça, sans autre forme de seduction ou autre ...
C'est ce qui leur rend souvent le passage à l'acte bien plus difficile qu'à nous ! en revanche, quand elles ont decouvert celà, idealement sous ses meilleurs aspects (certains peuvent etre rebutants, quelques experiences menés par des maris trop pressés, ou "abusant" de leur femme, se reveler très traumatisants), alors elles vivent pleinement cette liberté si cherement acquise à balayer les convictions morales, à bousculer les convenances, à s'assumer
Mais elles n'en sont pas necessairement depourvues de sentiments, das toute leur palette, leur variété ... ce qui ne veut pas dire qu'elles remplaceront "l'homme de leur vie " (si c'est le cas !), mais qu'elle prendront plaisir à tisser une connivence amicalo-coquine, dont l'intimité peut conférer au sentiment amoureux mais qui ne l'est pas necessairement (et même idealement pas !!).
A l'homme candauliste d'accepter, de comprendre cette posture, cette situation qui peut effectivement etre destabilsante mais qui n'est que le reflet de la vraie liberté de la femme, qu'on ne peut que souhaiter puisque qu'on l'aime, cette Femme !
Est-ce clair ??? lol

Bon, ceci dit, ce n'est qu'un modeste point de vue .... libre à chacun d'en penser ce qu'il veut, et de le commenter si besoin ou envie
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par Lynx33
#845325
CHAPITRE III
(3ème partie)


Ton mari voulait fêter l’événement ?
Peut-être. Mais il attendait surtout que je lui parle de Vincent. Il devait se poser pas mal de questions compte tenu de ce que je lui avais dit sur mon nouvel amant et de ce que nous venions de vivre. Je devais, moi aussi, lui parler franchement de ce que j’éprouvais pour Vincent.

Où êtes-vous allé ?
Mon mari nous a conduit dans un coin charmant, au bord de l’eau. Attend que je te dise, tu vas penser que je le fais exprès.

Quoi ?
Quand on est arrivé, j’étais encore trempée là, tu vois. Ça avait même coulé sur ma jupe. Alors j’ai demandé à mon mari s’il avait un mouchoir propre. Il m’en a tendu un et je me suis essuyée. Il m’a dit que je devenais perverse. J’ai répondu que c’était la nature et que je ne pouvais pas sortir comme ça. Je lui ai rendu son mouchoir…

Là tu provoquais un peu, non ? Parle moi de ce repas et de vos échanges.
Compte tenu de la météo, les tables étaient dressées à l’extérieur. En arrivant je suis allée au toilettes pour faire un petit pipi et me laver les main. Tu sais, ça fait vraiment drôle de ressortir sans culotte… Lorsque j’ai traversé le restaurant pour regagner notre table, je sentais les regards des hommes sur moi. Ma jupe était vraiment courte, mais allaient-ils jusqu'à imaginer que je ne portais rien dessous ?

Décidemment ça te troublait de ne pas avoir de culotte ?
Un peu, c’est vrai. J’avais l’impression d’enfreindre un tabou et c’était très excitant. Mon mari n’était pas le dernier à m’observer, mais lui savait… Nous avons commandé, puis la conversation s’est portée sur Vincent.

Que vous êtes-vous dit ?
Je lui ai raconté ma rencontre avec lui et nos relations depuis trois mois. A ce stade, mon mari réagissait comme avec mes précédents amants. Des questions intimes, des précisions sur sa manière de me faire jouir. J’ai répondu à toutes ses questions, y ajoutant volontairement les détails dont il était friand. Il semblait heureux de cette nouvelle situation. Alors je lui ai parlé de mes sentiments pour Vincent. Je lui ai expliqué que je pensais à lui tout le temps, que je me sentais irrésistiblement attiré vers lui et pas seulement pour le sexe. Je lui ai dit que j’étais amoureuse de Vincent comme j’avais été amoureuse de lui il y a dix ans.

Il a accusé le coup.
Bien sûr. Pas vraiment parce que j‘avais des sentiments pour Vincent, mais parce que ce que je vivais en ce moment avec Vincent, je ne le vivais plus avec lui. Il m’a dit « Tu ne m’aimes plus ? » Je l’ai rassuré en lui disant que je l’aimais très fort, mais d’un amour différent de celui que j’éprouvais quand nous nous sommes connus. D’un seul coup je l’ai senti effondré. « Tu veux me quitter ? ». Je ne savais pas comment lui faire comprendre que je me sentais bien avec lui, mais que je brûlais pour Vincent. Est-ce explicable ? Je lui ai dit que je ne voulais pas partir, que Vincent était marié et qu’il n’avait pas non plus l’intention de rompre. J’allais avoir deux hommes dans ma vie, un avec qui je me sens bien et avec qui je partage énormément de chose, qui est le père de mon enfant et pour qui j’ai énormément d’affection et un autre qui me fait rêver, qui va m’ouvrir des portes que notre vie routinière ne m’ouvrira pas et avec qui je vais m’envoyer en l’air comme jamais.

Que pensait-il de ce partage des rôles ?
Il l’a résumé de manière caricaturale : A Vincent le sexe, à lui la charge de la famille. Je suis restée calme et je lui ai dit gentiment qu’avec Vincent il n’y aurait pas que le sexe et qu’avec lui nous avions plein de choses à partager et pas seulement des contraintes. Il m’a dit « Le sexe avec Vincent, tu sais bien que je n’ai rien contre, et avec moi, ça se passe comment ? »

Comment voyais-tu les choses ?
Je lui ai redis que je n’avais plus vraiment de désir sexuel pour lui, surtout en ce moment avec ce que se passait avec Vincent. Mais je lui ai promis qu’il pourrait me faire l’amour comme avant et que je n’allais pas l’abandonner à la masturbation. Je lui ai aussi parlé de mon engagement avec Vincent qui impliquait nos conjoints. Je lui ai précisé que s’il avait une aventure, même passagère nous devrions en parler. Il m’a alors demandé ce que serait ma réaction. J’ai dit que je n’étais pas comme lui et que je réagirais certainement très mal.

C’est injuste compte tenu de la liberté qu’il te laisse !
Peut-être, mais je suis jalouse et entière. Je crois que je ne pourrais pas supporter qu’il ait une aventure, ce serait un casus belli.

Il a dégusté !
C’est vrai que j’y suis allée assez fort, mais il fallait que ça soit dit. Il m’a dit alors « Je serai donc un vrai cocu dans cette affaire ».

Il avait raison, non ?
Pas du tout. D’abord je n’aime pas ce mot de « cocu » qui me fait penser aux vaudevilles. Je lui ai dit qu’il n’était pas cocu puisqu’il savait et qu’il l’avait voulu. Il était plutôt mon complice et mon pygmalion.

Pygmalion ?
Oui, celui qui aimait la statue qu’il avait sculptée et quia demandé aux dieux qu’elle prenne vie. J’étais sa statue et il me permettait de prendre vie. Je lui ai pris la main et je lui ai dit combien je me sentais bien avec lui et que jamais je n’avais envisagé de le quitter.

Quelle a été sa réaction ?
Je l’ai rassuré sur ses craintes, mais il m’a expliqué qu’il avait imaginé les choses autrement. Certes il voulait que je fasse l’amour avec d’autres hommes, mais il ne voulait pas être exclu. Pour lui, c’était ça « être cocu ». Je lui ai demandé de préciser ce qu’il entendait par « être exclu », même si je m’en doutais un peu.

Qu’a-t-il répondu ?
Qu’il voulait me voir jouir avec mon amant, me prendre dans ses bras et regarder mes yeux au moment du plaisir, me nettoyer après comme il l’avait fait le matin même. Son attente impliquait une véritable relation à trois. Je connaissais cette attente car il m’en avait déjà parlé, mais je ne lui avais jamais rien promis en ce sens. Je sentais bien que c’était un point délicat. Je lui ai rappelé notre « contrat ».

Et ?
Pour lui, notre « contrat » concernait des aventures éphémères. Pour Vincent, il considérait que c’était différent et que sa place devait être plus active. Je lui ai dit que je n’étais pas prête pour ça. Ce que je vivais et que j’allais vivre avec Vincent impliquait une totale liberté. Je lui ai expliqué que je ne pourrais pas jouir comme je le fais sous son regard, que j’avais besoin de me sentir une autre. Et puis Vincent ne savait rien de notre situation et rien ne dit qu’il accepterait un jeu à trois avec mon mari. Je n’allais pas prendre le risque de briser ma nouvelle relation à ce stade. J’ai donc demandé à mon mari d’avoir beaucoup de patience. Je lui ai dit, et j’étais sincère, que rien était exclu et qu’un jour il aurait peut-être ce qu’il espère. En attendant, je lui ai promis de continuer à être sa complice et de lui raconter ce qu’il voulait savoir, lui rappelant qu’alors c’est Vincent qui serait exclu car lui ne saurait pas. Il a souri en disant « comme ça nous serons tous les deux « cocus » ! ». Puis il m’a demandé si j’excluais aussi qu’il soit parfois voyeur.

Voyeur ?
Il a toujours été assez voyeur, au moins autant que je suis provocatrice. Je lui ai demandé ce qu’il voulait dire. Il m’a répondu : « Vous voir sans que Vincent le sache, ou vous entendre comme dans le couloir avec Gilles. Je serais le plus heureux des maris ». Je lui ai dit que si les circonstances s’y prêtaient, pourquoi pas. Mais je ne voyais pas bien comment et je n’avais pas l’intention de prendre de risques pour ma relation avec Vincent. En riant, je lui ai demandé s’il voulait se cacher dans le placard !

Il a apprécié ton humour ?
Il a souri en disant que le placard était trop petit. Mais il a insisté en disant qu’il se débrouillerait et qu’il faudrait seulement que je l’aide un peu. J’ai dit que je ne voulais pas qu’il m’espionne. C’est à ce moment que mon portable a sonné. C’était la deuxième fois. La première fois, j’avais coupé car je savais que c’était Vincent et que le moment n’était pas bien choisi. Là j’ai répondu, disant franchement à mon mari que c’était Vincent. Vincent voulait savoir quand on pouvait se revoir. Il me disait ne pas pouvoir se libérer dans l’après-midi, mais qu’il pouvait trouver un prétexte pour se libérer le lendemain vers 15h. Alors j’ai répondu, en fixant mon mari « Moi aussi j’ai hâte de te revoir. Je ne peux pas trop te parler, mais je m’arrangerai. Je te rappelle ». Puis répondant à son baiser téléphonique, j’ai ajouté « J’ai très envie, j’ai hâte d’être à demain ». J’ai raccroché et regardé mon mari. Il était une fois encore dans un drôle d’état. J’en ai profité pour lui dire que j’allais voir Vincent demain après-midi vers 15h, lui demandant « Tu n’y vois pas d’inconvénient ? »

Et ?
Voilà à peu près notre conversation :
- Tu sais bien que non. C’est comme une drogue, je ne peux pas y résister. Où comptez-vous aller ?
- Tu voudrais nous voir, c’est ça ?
- Bien sûr, mais je ne rêve pas. Il fait beau, la nature vous tend les bras.
- La nature, oui ce serait agréable, mais j’ai envie de confort pour l’avoir complètement. Ce matin c’était un peu trop rapide. Nous irons peut-être à l’hôtel.
- Pourquoi ne viendrait-il pas à la maison ?
- Je t’ai dit qu’il me fallait du temps !
- J’ai une proposition à te faire.
- Laquelle ?
- Demain j’emmène le petit au cinéma. Il doit bien avoir une séance vers 16h. Je l’emmènerai un peu plus tôt. Tu serais seule jusque vers 18h30.
- Et tu ferais ça pourquoi ?
- Pour fantasmer et pour te retrouver après, comme ce matin.
- Tu ferais ça ?
- J’adorerais faire ça.
- Je ne sais pas si c’est une bonne idée.
- Pourquoi ?
- Parce que je veux être libre, je ne me veux pas que tu t’immisces dans ma relation avec Vincent.
- Comme tu voudras, mais c’était une manière de ne pas me faire cocu.
- Encore ce mot ! En fait, j’ai peur que tu veuilles tout contrôler. Mais pour demain, ce n’est peut être pas une mauvaise idée…
- Alors tu es d’accord ?
- Oui, parce que tu es un mari formidable.
- Merci.

Surprenante proposition, non ?
Non, je crois qu’il est effectivement accro. Mais je crois aussi qu’il avait envie que je joue son scénario, et ça, je ne le voulais pas. Sa proposition et mon acceptation concluaient parfaitement notre longue conversation. Nous savions un et l’autre à quoi nous en tenir et nous restions très complice. Après le repas, nous avons fait une petite promenade en amoureux. Nous nous sommes assis par terre, face au soleil, sans rien dire. Je me souviens l’avoir tendrement embrassé en lui disant que je me sentais proche de lui.

Et le lendemain, tout c’est passé comme prévu ?
Ce fut un dimanche très « sexe ». Ça a commencé dès mon réveil. Mon mari est venu me rejoindre dans mon lit. J’avais pensé à Vincent une bonne partie de la nuit et, ne trouvant pas le sommeil, je m’étais longuement caressée. Si j’en crois ce que m’a dit mon mari, il était lui aussi très excité par ce qui s’était passé la veille et par ce qui se préparait. Il est venu en moi tout en me disant que j’allais me faire sauter par Vincent et qua ça lui plaisait. Vu son état d’excitation, il a joui très vite. Je n’étais pas frustrée pour autant car je savais que je prendrais mon pied l’après-midi. Nous avons encore une fois longuement parlé de mes rencontres précédentes avec Vincent. Puis nous nous sommes levés. Le déroulement de cette journée de dimanche m’a paru totalement artificiel jusqu’en début d’après-midi. Je vaquais à mes occupations de mère de famille modèle comme une parfaite automate, mes pensées étant totalement occupées par la venue de Vincent. Rien la pensée de ce que nous allions faire me mettait dans un état d’excitation terrible. Je sentais ma chatte toute mouillée. Un peu avant midi, je ne tenais plus, je suis allée m’enfermer dans la salle de bain pour me caresser. Mais la jouissance que je me suis donnée n’a pas fait retomber mon excitation. Pendant le déjeuner, j’étais absente. Mon mari n’avait pas d’appétit et me regardait souvent comme pour deviner mes pensées. Seul mon fils semblait dans son état normal, heureux que son père l’emmène au cinéma. Vers 14h30, j’ai commencé à me préparer. Une nouvelle douche pour me rafraîchir un peu et tenter de calmer le désir qui me prenait le ventre, puis une très longue étape de soins à mes cheveux et de maquillage. Mon mari restait près de la porte de la salle de bain et me regardait avec fascination. Il savait pourquoi et pour qui je me faisait belle. A un moment, alors que j’étais entièrement nue, il m’a demandé de me retourner et de le regarder. Je me suis retournée et je l’ai vu qui se caressait. En venant vers moi, il m’a dit qu’il n’en pouvait plus. Je l’ai repoussé en lui disant qu’il pouvait me regarder, mais pas me toucher car je n’étais plus accessible pour lui. J’étais déjà à Vincent. Je suis restée devant le lavabo et je me suis offerte à son regard en disant « Regarde ta petite femme et pense à ce qu’elle va faire. Branle toi si tu en as envie mon chéri »

Il l’a fait ?
Oui, mais je ne sais pas s’il est allé jusqu’au bout. Il ne comptait plus à ce moment et, franchement, j’aurais préférée être seule. Mais j’ai pris sur moi, car je ne voulais pas le brusquer. Après tout, ce qu’il me permettait là était exceptionnel. Il n’y a pas beaucoup d’hommes qui le feraient !

Et ensuite ?
Ensuite est le venu le moment difficile du choix de ma tenue. J’y avais pensé dans la nuit. Je mettais imaginée lui ouvrant la porte toute nue, avec seulement mes chaussures à talon ou en nuisette transparente. Finalement j’ai opté pour une robe fuchsia extrêmement moulante que je portais avec des chaussures à talon qui valorisent bien mes longues jambes. Je pensais ne mettre absolument rien en dessous, puis je me suis laissée tenter par un micro string que mon mari m’avait offert. Un clin d’oeil qu’il a apprécié. Comme cela, il serait un peu présent, au moins au début car je ne pensais pas le garder longtemps ! Jamais je n’aurais osé sortir ainsi. Mon mari me regardait avec fascination, me disant « Tu veux le faire craquer ! Quand je pense qu’il va bientôt te sauter. Je ne te reconnais pas, tu es vraiment devenue une salope. ». Nous avions déjà parlé de ce mot qui, dans la bouche de mon mari, devait être pris pour le plus beau des compliments. Donc, je ne m’en offusquais pas.
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Je me disais intérieurement qu’il avait raison, je devenais bien une salope. Je me rendais compte des changements qui s’opéraient en moi.

Comment t’en rendais-tu compte ?
J’ai toujours aimé le regard des hommes sur moi, ça me rassurait sur ma capacité de séduction. Mais depuis quelques temps, je ressentais quelque chose de plus trouble lorsqu’un homme séduisant me regardait. Je ne baissais plus les yeux en souriant comme avant, j’affrontais son regard et je pensais à des choses.

Des choses ?
Oui, c’était comme un flash, j’imaginais sa queue et je me disais pourquoi pas. Bien sûr, il ne se passait rien, mais je suis certaine qu’il s’en rendait compte. Souvent, le soir, je repensais à lui. Je n’avais jamais été comme ça.

Revenons à ce dimanche. Raconte moi la suite.
Il était près de 15h lorsque j’ai fini de me préparer. Mon mari allait partir. J’ai appelé Vincent pour lui dire que je l’attendais d’ici un quart d’heure, ajoutant que je ne tenais plus.
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Je suppose qu’il n’a pas traîné.
Non, j’ai même eu peur car mon mari ne semblait pas pressé de partir. Il me regardait évoluer dans ma petite robe fuchsia. J’ai pratiquement été obligé de les mettre à la porte. En partant, il m’a redemandé de l’attendre après pour que je lui offre mon minou comme la veille. Je lui ai promis et je l’ai embrassé. J’ai juste eu le temps de remettre du rouge à lèvre que l’on sonnait à la porte. Tous mes sens étaient en ébullition.

La tenue que tu avais choisie semblait être très provocante.
Je le crois. En tout cas elle fascinait mon mari et elle a subjugué Vincent dès qu’il m’a vue. J’aime provoquer. J’avais hésité à acheter cette petite robe, me disant que je n’oserais jamais la porter tant elle moulait mes formes. Je savais que les mains de Vincent apprécieraient mes seins nus sous le tissu et mes fesses pratiquement offertes.
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Et tu as fait entrer Vincent, je suppose ?
On n’allait pas faire ça sur le palier ! Il était habillé cool, chemise verte, pantalon blanc. Ses yeux brillaient quand il a vu la tenue que j’avais choisie pour m’offrir à lui. Il m’a immédiatement enlacé et j’ai senti ses mains se promener partout comme je l’imaginais. Pour autant, il est resté maître de lui. Nous sommes allés au salon où nous nous sommes installés sur le canapé

Voilà qui est bien sage !
Ce n’était sage ni dans les mots, ni dans les gestes. Je sentais sa queue dure sous son pantalon. Il ne résistait à son envie de me tripoter et je l’y encourageais en riant. Puis il a fait glisser ma robe pour découvrir mes seins. Il ne peut pas y résister. Ses mains les palpent, sa bouche suce leurs pointes dressées. Il est comme un enfant. C’est agréable. Alors il relève ma robe, découvrant mon mini string. Il le regarde en souriant « Autant ne rien mettre ! ». Je me retourne et, soulevant ma robe, je me cambre pour lui offrir mes fesses. Il retire mon string qu’il jette sur le canapé où il va former une petite boule noire sur le tissu blanc. Je retire ma robe pendant qu’il se déshabille. Nous sommes nus l’un contre l’autre. Je l’entraîne vers la chambre. Il est temps de passer aux choses sérieuses…

Et là ?
Et là c’est divin. Vincent me caresse avec ses mains douces. Il s’amuse de l’état de ma petite chatte et je le renvoie à la superbe érection qui ne l’a pas quitté depuis qu’il est entré dans l’appartement. Nous sommes bien. Je le prends dans ma bouche. J’aime avec lui. Puis je lui demande de venir, de me prendre, de me mettre cette queue que j’attends depuis trop longtemps. Il ne se fait pas prier. Nous voilà parti pour une explosion interminable de sensations. Je crie, je hurle. Les voisins vont penser quoi ? Je m’en fou. A un moment il n’en peut plus. Je lui dis de venir et il jouit en moi. Mon dieu que c’est bon. On est heureux tous les deux. On reste un peu l’un contre l’autre, puis je lui offre un verre. Il veut de l’eau, il est en nage. Puis nous revenons au lit. Je joue avec sa queue au repos. Même dans cet état, elle est belle et elle m’attire. Je la prend entre mes lèvres et l’aspire. Je l’avale et très vite je la sens durcir. Mon lynx est vraiment le meilleur ! Elle retrouve toute sa grandeur. Je le félicite. Il me dit comment ? Je me retourne. Je le sens entre mes fesses. Que cherche-t-il ? Je lui dis « Pas par là ». Il me demande « Pourquoi ? » et je lui répond : « Une autre fois, je te l’offrirai. Tu devras m’apprendre à aimer ». Alors il suit un chemin plus classique, mais toujours aussi agréable. Nous voilà repartis. C’est un tourbillon. Pendant plus d’une heure, il n’arrête pas et je jouis, je jouis… Lorsqu’il se répand en moi, j’ai perdu tout sens de la réalité depuis un bon moment. Il se retire alors que je plane dans un monde de plaisir. Je voudrais que ce moment ne s’arrête jamais.

Pourtant le moment s’est arrêté.
Oui, assez brutalement. Mon portable sonnait sur la table de chevet. C’était mon mari qui me disait qu’il était sur le chemin du retour. Il me demandait si j’étais seule. Je lui ai dit que non, pas encore. Vincent était au salon pour récupérer ses habits. Comme il me demandait si j’avais pris mon pied, je lui ai dit « Plus que tu ne peux l’imaginer. A une minute près, je ne pouvais pas te répondre ». Il a répondu qu’il aurait préféré m’entendre un peu plus tôt ! Je lui ai demandé de traîner un peu. J’ai dit à Vincent que mon mari allait arriver. Il était habillé, un peu ébouriffé. J’ai vérifié que sa tenue était correcte afin de ne pas alarmer son épouse. Il a fallu que j’enlève une tache de rouge à lèvre sur sa chemise. Puis je l’ai poussé dehors.

Et ton mari est arrivé.
Dix minutes après, ils étaient de retour. Je m’étais allongé dans mon lit, épuisée par la fougue de Vincent. Mon fils m’a appelé pour me raconter le film. Je lui ai dit « Tout à l’heure, je me repose un peu ». Il est allé dans sa chambre. Alors mon mari est entré. Lui, c’était pour que moi je lui raconte le film ! Son regard a balayé la chambre, allant de ma robe gisant sur la moquette au lit dévasté, puis s’est posé sur moi. J’étais nue, allongée sur le dos.
Il tenait dans sa main une petite boule de tissu noir. « Tu as oublié ça sur le canapé du salon ! » J’ai fait un sourire en disant que je ne l’avais pas porté longtemps. Puis je lui ai dit « Déshabille toi et viens. Ta petite femme a été comblée comme jamais » Il a quitté ses habits et je l’ai attiré à moi. Il s’est allongé. Je le voyais scruter les draps comme un chasseur à la recherche d’une trace. Il a vite repéré quelques tâches humides. Que se passait-il dans sa tête ? Sa main a remonté le long de ma cuisse et s’est glissé dans mon intimité, comme pour s’assurer que j’avais bien respecté ma promesse. Ce qu’il constata lui confirma que Vincent n’était pas parti depuis longtemps. Alors j’ai écarté mes jambes et je lui ai dit « Elle est à toi ». Alors, comme la veille, sa bouche s’est emparée de mon minou et sa langue s’est faite gourmande. Après plusieurs minutes, je lui ai demandé de venir en moi.

Pourquoi, je te croyais repue ?
J’avais envie que les spermes de Vincent et de mon mari se mélangent en moi. Je l’ai dit à mon mari. Lui aussi m’a demandé pourquoi. J’ai répondu que c’était important pour moi, ajoutant « Vous êtes tous les deux mes amants, chacun à votre manière. Je vous aime tous les deux ». Toujours allongée sur le dos; je me suis offerte et il est venu me remplir à son tour.

C’est une idée un peu bizarre, non ?
Pourquoi ? Elle n’est pas plus bizarre que la situation que nous vivions. Je ne saurais pas t’expliquer pourquoi c’était important pour moi. Une sorte de rituel symbolique peut-être.

Et après ?
Après ? Je lui ai raconté ce dont je me souvenais. Puis nous sommes revenus à la réalité, nous nous sommes douchés et j’ai préparé le dîner. Le week-end se terminait, un week-end plutôt mouvementé, non ?

Ta relation avec Vincent a évolué comment ?
Ce moment a été un tournant. La digue s’était brisée et nous brûlions de vivre d’autres moments encore bien plus forts. J’avais l’impression d’avoir trouvé une forme d’équilibre avec mon mari, même s’il attendait autre chose. Avec Vincent, nous avions décidé de nous parler de tous les désirs les plus fous que nous avions au fond de nous. Quant à mon mari, je lui avais dit que je tenais à son intention un journal où je relatais mes aventures.

FIN DU CHAPITRE III
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par Lynx33
#857245
CHAPITRE IV : "DECOUVERTES"
1ère partie

AVANT PROPOS.

Sophie s’est attachée à Vincent. Elle connaît une dépendance sexuelle de plus en plus grande à son égard. L’absence de son mari en semaine lui facilite les choses et surtout lui permet de conserver la maîtrise de sa relation. Vincent essaye de lui consacrer un mercredi après-midi sur deux. C’est peu et Sophie s’en plaint. Ils se retrouvent vers 13h pour un déjeuner en tête à tête suivi d’un après-midi le plus souvent à l’hôtel, parfois dans la nature. Ces après-midi sont des moments privilégiés pour Sophie car Vincent est totalement disponible pour son plaisir et ils peuvent prendre le temps d’une relation totale et jamais frustrante. Vincent et Sophie font l’amour pendant des heures sans que ni l’un, ni l’autre ne demande jamais grâce. Les autres rencontres de Sophie avec Vincent sont malheureusement plus irrégulières et plus brèves. Vincent vient parfois tard le soir retrouver Sophie pour une rapide étreinte. Elle est ravie de le retrouver, mais doit se contrôler pour ne pas alerter son fils qui dort dans une chambre voisine. Son plaisir en est diminué. Parfois, lorsqu’elle ne tient plus, elle retrouve Vincent à son cabinet ou pour une bref moment d’intimité dans sa voiture. Fabrice, le mari de Sophie s’est adapté à la situation. Sophie lui téléphone régulièrement dans la semaine et lui parle de ses relations avec Vincent. De plus en plus elle tend à banaliser ses récits, disant à son mari que c’est toujours la même chose. Lui ne se lasse pas de ses descriptions, regrettant toujours de ne pas être spectateur de ces moments intimes avec Vincent. Il lui en veut un peu et connaît parfois des moments de jalousie que les expériences nouvelles que va vivre Sophie vont amplifier. Car Sophie va très vite aller au-delà du plaisir « classique » pour découvrir, grâce à Vincent, de nouveaux horizons dans le domaine des sens.

Sophie tient désormais son journal intime. Au début, elle le faisait pour répondre à la promesse faite à son mari. Puis elle a pris du plaisir à relater ses moments de folie avec Vincent. Le soir, dans son lit, lorsqu’elle retranscrit l’ardeur de Vincent à la combler, elle est souvent si excitée que ses doigts délaissent le stylo pour répondre à l’appel de sa petite chatte en ébullition. Elle décrit parfois cette excitation qui s’empare d’elle à l’évocation de ses souvenirs. Le jour où elle donnera son journal à Fabrice, elle sait qu’il le saura rien qu’en voyant l’écriture ! On peut y lire, un soir où elle pense fortement à Vincent :
« Je viens de relire ces instants très fort passés avec lui hier. Je me demande comment je le préfère, doux et tendre ou un peu brutal. J'aime les deux. Il me faudrait commencer très doucement et tendrement et, insidieusement, laisser une onde de sauvagerie s'installer petit à petit sans que l'on s'en rende compte... Maintenant, moi j'ai envie. J'ai encore envie de sa queue en moi, j’ai encore envie qu’il me fasse jouir. Rien que de relire les récits de nos dernières rencontres, je n'en peux plus. Là, je suis trempée au souvenir de ce mercredi. Et mon ventre qui réclame encore ! »


LA CONVERSATION SE POURSUIT

Tu me parles beaucoup de Vincent, est-ce que cela veut dire que tu avais coupé les ponts avec tes anciens amants ?
La place qu’occupait Vincent dans ma vie n’avait rien à voir avec celle des autres. J’avais gardé le contact avec Didier et avec Gilles. Gilles avait rencontré une fille avec qui il partageait désormais sa vie. Il m’avait dit d’elle qu’elle était très belle, mais moins « gourmande » que moi. Du coup, nous avions renoncé à nos confidences intimes sur Skype, je ne crois pas qu’elle aurait apprécié. Pour autant Gilles parlait toujours de me revoir et me disait de plus en plus souvent qu’il trouverait un prétexte pour faire un tour du côté de chez moi. Je ne l’avais pas dissuadé car l’idée me plaisait, même si je ne savais pas bien comment je le gérerais vis-à-vis de Vincent. Quant à Didier, je lui avais parlé de ma rencontre avec Vincent et je n’avais pas fermé la porte à l’idée de faire se rencontrer ces deux là pour mon plus grand plaisir !

Tu veux parler d’un jeu à trois ?
Oui. Cela faisait partie des idées folles que nous avions concoctées avec Vincent.

Parle moi de ces idées.
Nous étions convenus avec Vincent de mettre en commun tous nos fantasmes. Nous devions y réfléchir chacun de notre côté et lorsqu’il nous venait une idée, nous devions l’envoyer à l’autre par SMS. L’idée du SMS impliquait une immédiateté qui nous interdisait de revenir en arrière, même si ce que nous avions écrit était très surréaliste. Nous nous encouragions ainsi à aller au bout de nos désirs, sans la moindre réflexion sur une possible concrétisation. Nous nous sommes pris au jeu, n’hésitant pas à approfondir nos cogitations par de demande de précisions, toujours par texto. Imagine que quelqu’un soit tombé sur nos messages !

Donne moi des exemples
Comme ça c’est assez difficile. Ce qui était très prenant c’était notre impatience à lire nos textos que nous recevions et surtout la très grande liberté dans les mots que nous utilisions. Vincent est comme moi, il a une certaine réserve. Là nous osions les mots les plus crus.

Comme ?
Par exemple je lui ai dit que j’aimerais qu’il me prenne par derrière. Il m’a envoyé un SMS pour me demander d’être plus précise. Alors j’ai été obligé de lui écrire « dans mon petit cul ». Il m’a répondu qu’il y a un verbe pour ça. Alors je lui ai écrit « enculer », en ajoutant « avec toute la douceur dont tu es est capable ». Voilà comment nous avons progressivement vaincu nos blocages sociaux.

Et quoi d’autre ?
Nous avons évoqué presque tout le catalogue des fantasmes : échangisme, exhibition, double pénétration, soirée en club, faire l’amour avec deux femmes ou avec deux hommes, aller dans un sex-shop, liens et soumission. Enfin, tu vois, des trucs dont j’avais entendu parlé, mais que je n’avais jamais connu. Ça m’a permis de découvrir un autre aspect de Vincent.

Lequel ?
Il avait au fond de lui des désirs que je ne soupçonnais pas. Pour moi, c’était l’homme, le mâle, celui qui assure. Mais il se cachait en lui un autre homme, plus ambiguë avec des désirs inattendus.

Dis-moi
Il avait envie d’être dominé et il m’imaginait l’attachant et le pénétrant. Quand je lui écris un texto pour lui parler de faire l’amour avec deux hommes, je pensais à deux hommes pour moi. Mais il a réagi en disant « Pourquoi pas un autre homme pour toi et moi ». J’ai été surprise, mais très attirée par cette idée. Enfin, tu vois, nous avions envie de dépasser les pesantes limites de notre conditionnement et surtout, envie de le faire ensemble.

Vous l’avez fait ?
Il a fallu beaucoup de temps, mais nous avons réalisé la plupart de nos désirs profonds, parfois avec bonheur, parfois en nous disant qu’il fallait essayé, mais qu’on n’y reviendrait pas !

Par quoi avez-vous commencé ?
Parce qui était le plus facile car nous l’aurions fait de toute manière. Depuis le début, Vincent était attiré par mes fesses. Il avait la même habitude que Didier de toujours essayer de se glisser par là…

Comment ça s’est passé ?
Ça c’est passé un mercredi après-midi de mai. La veille nous en avions parlé au téléphone. A midi, pendant le déjeuner, je lui ai reparlé de cette envie que nous avions évoquée. Je lui ai dit comment j’avais déjà essayé, mais que j’avais eu mal. Il m’a rassuré en me disant qu’il était certain que j’y prendrais du plaisir. J’avais enregistré la chanson de Mylène Famer « Pourvu qu’elles soient douces » sur mon Ipod. Je lui ai fait écouter à table :
« Ton goût du revers
N'a rien de pervers
Et ton bébé n'est pas fâché

Ton kamasutra
A bien cent ans d'âge
Mon dieu que c'est démodé
Le nec plus ultra
En ce paysage
C'est d'aimer des deux côtés »

Il y avait plein de monde autour de nous et je lui disais combien j’avais envie qu’il explore cette voie presque inviolée. C’était excitant au milieu de tout ces gens bien comme il faut ! J’aurais aimé le faire là, sur la table, comme une superbe provocation. Nous n’avons pas traîné au restaurant et nous nous sommes retrouvés dans une chambre d’hôtel. C’est là que j’ai offert mes fesses à Vincent. Il avait prévu ce qu’il fallait pour préparer le terrain. Quant à moi, je me sentais prête, un peu comme si je lui offrais ma virginité. Je retrouvais un peu l’excitation et l’inquiétude de ce jour où j’avais fait l’amour pour la première fois. Vincent le sentait et voulait donner à ce moment une intensité exceptionnelle. Je savais qu’il serait doux et qu’il saurait me rassurer.
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Tu as aimé ?
Il m'a complètement défoncée, et j'ai aimé ça. C'était différent !

Raconte !
Quand nous nous sommes retrouvés dans la chambre d’hôtel, j’ai un peu tempéré le feu que j’avais allumé. Nous avons d’abord fait l’amour de manière « classique ». Je voulais être vraiment bien avant de le faire et il n’y a rien de mieux que l’ardeur et l’endurance de Vincent. Quand nous nous retrouvons comme ça, Vincent me serre fort, puis me plaque contre le mur pour me déshabiller. Alors je le débarrasse de son pantalon et je le prends dans ma bouche. Nous nous retrouvons. Puis c’est le lit. Là, Vincent donne la mesure. Je me laisse faire. Sa bouche, sa queue, ses doigts..., Il joue de tout pour me faire jouir. Après avoir rassasié nos envies, Vincent a joui en moi. Nous avons fait une petite pause. Vincent m’a parlé de m’emmener à Paris pour quelques jours en profitant d’un congrès médical. Nous en avons discuté. Puis je lui ai fait écouter encore une fois la chanson de Mylène Farmer sur mon Ipod. J’avais décidé de me donner à lui de cette manière. Il m’a dit qu’il en avait aussi très envie. Je l’ai senti soudains plus proche et j’ai vu sa queue qui retrouvait une belle forme. C’est vrai qu’il doit aimer ça le coquin ! Il m’a à nouveau longuement caressée, me murmurant à l’oreille qu’il allait m’enculer. C’est drôle comme un même mot peut être odieux dans une bouche et délicieux dans une autre ! Il a sorti de je ne sais où un petit tube de crème et m’a dit : « tourne toi ». J’ai senti ses mains descendre le long de mon dos et se glisser entre mes fesses. La crème était un peu froide, mais la chaleur de ses doigts y a vite remédié. « Par là?" m’a t’il murmuré en me mettant un doigt dans l'anus. La sensation était agréable et une douce chaleur m’a envahie. Ses doigts massaient lentement mon petit trou, y pénétrant sans difficulté. Le voilà qui me masse le dos, puis il s’allonge sur moi. « Maintenant ma chérie ». Je sens alors qu’il met son sexe contre mes fesses et commence à entrer. Malgré la crème, j’ai eu un peu mal. Sa queue était bien plus volumineuse que ses doigts. Il est à peine entré en moi que j'ai eu mal. D'un coup de rein je l’ai fait ressortir. J’ai vu son regard amusé s'allumer. Il est entré en moi à nouveau, doucement. Mais j'avais toujours un peu mal. Mon front s’est mis à perler, ce n'était pas possible. Je sentais chaque millimètre, je ne pouvais bouger, j'essayais de me démener, j'haletais, je serrais les dents. Puis il est venu complètement en moi. Il n'a pas forcé et je le sentais entièrement. Son regard me disait "tu voulais...". Il s’est mis à aller et venir doucement. J'ai eu encore un peu mal, mais ça me donnait du plaisir. Il m’a demandé si ça allait. Je n’ai pas répondu. Alors il m’a dit "Comment me veux-tu?" Je lui ai dit "Plus fort". Je me sentais m'ouvrir. Il a accéléré en me donnant des coups, et moi, je le voulais... Je lui ai dit encore, plus fort, encore... Mon dieu, je me sentais mouiller par là aussi. J’ai senti la chaleur qui irradiait mon ventre et le plaisir qui montait inexorablement. Alors je crois que j'ai pris le pied de ma vie. J'ai dû crier très fort. J’étais en nage. Vincent me couvrait de baisers. Il m’a dit « Je vais jouir là » et il a giclé dans mon petit cul. Notre harmonie était complète. Mon Lynx ! Rien que de te parler de ce moment, je suis toute excitée.

Tu es devenue adepte de cette façon de faire l’amour ?
C’est une forme de complicité que j’ai découverte. Mon plaisir n’est pas plus fort par là, mais c’est à chaque fois la sensation de braver un interdit qui s’ajoute à la jouissance de la pénétration. Je le ferai souvent par la suite avec mon Lynx. Il faut dire que Vincent appréciait énormément. Je me suis même demandé s’il ne préférait pas me prendre de cette manière. Il me disait « Je vais te prendre comme un garçon ».

Il te prend souvent ainsi ?
Assez. Il commence généralement d’une manière puis termine par une autre. Lorsque je suis très mouillée, il n’a plus besoin de crème. Il dit que c’est parce que je m’ouvre sans crainte que je n’ai plus mal. Quand je vois la taille de sa queue, je me demande toujours comment c’est possible !

Et avec ton mari ?
J’ai raconté ce qui c’était passé à mon mari comme je viens de le faire avec toi. Il n’en a pas été trop surpris. Il m’a dit qu’il se demandait où j’allais m’arrêter. Je l’ai rassuré en lui répondant que je n’avais pas l’intention de m’arrêter et que je lui réservais encore bien des surprises. Alors que je pensais qu’il voudrait lui aussi utiliser ce nouveau chemin, il ne m’en a pas parlé. Je crois que ce n’est pas son truc Un peu plus tard, il m’a même dit « Vincent a droit a ses privilège, moi je préfère ta jolie chatte », laissant implicitement la pénétration de mon petit cul à Vincent. C’était mon intention, mais je ne pensais pas que ça se passerait aussi simplement. Décidemment mon petit mari était parfait !

Après la sodomie, qu’as-tu découvert ?
Tout ! Tiens, je vais te raconter un truc marrant qui c’est passé un peu avant.

J’adore tes « trucs marrants » !

à suivre....
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par Lynx33
#864032
CHAPITRE IV
suite


Après la sodomie, qu’as-tu découvert ?
Tout ! Tiens, je vais te raconter un truc marrant qui c’est passé un peu avant.

J’adore tes « trucs marrant » !
Vincent était passé à la maison un soir après ses visites. Il était fatigué et un peu démoralisé par une de ses visites. Je l’ai fait asseoir dans le salon. Je lui ai retiré son pantalon et son caleçon. Je lui ai dit « Je m’occupe de tout ». Il y avait des oranges sur la table et ça m’a donné une idée. J’en ai pris une, je l’ai coupée aux deux extrémités et enlevé un peu du milieu. Puis je lui ai passé le sexe dedans. J’avais un peu de mal, j’aurais du faire un trou plus grand. Le jus coulait partout. Je l’ai masturbé ainsi puis l’orange a éclaté. J'aurais dû prendre un pamplemousse ! Alors, j’ai happé son sexe dur parfumé à l’orange. Je le voulais dans ma bouche le plus loin possible et sentir sa peau si fine à cet endroit. Il a gémi « C'est trop bon » J’avais fermé les yeux. Mes narines palpitaient et essayaient de reconnaître les endroits, ses couilles, ses aines, sa hampe, son gland, sa mouillure... Et ma salive qui se mêlait à son excitation et au jus de l’orange. Tout un dégradé de senteurs d'amour...
Et ma bouche qui se faisait fourreau ;
Et ma bouche qui tétait ;
Et ma bouche qui aspirait ;
Et ma langue qui léchait ;
Et ma langue qui volait toutes ses perles ;
Ma bouche toute imprégnée ;
Ma bouche avide ;
Ma bouche pas assez profonde ;
Ma bouche qui hoquetait ;
Ma bouche trop gourmande ;
J’étais toute trempée. Je me suis caressée en même temps que je le pompais, que je l'aspirais... Je l’ai 'entendu dire "Arrête, je vais jouir". Je n'arrêtais pas. Alors voilà qu'il a giclé dans ma bouche et moi qui n'attendais que ça. J'ai attendu que la sensation de son plaisir s'atténue et que la douce et tiède semence légèrement salée s'écoule dans ma bouche gourmande... Alors je me suis mise à califourchon sur lui et je l’ai embrassé, la bouche dégoulinante de son sperme. Ce soir là, mon Lynx n’a pas su ce qui lui était arrivé, mais quand il est reparti, il avait retrouvé le moral.

Et toi, tu n’étais pas un peu frustrée ?
Je savais que j’aurais sa queue autrement un autre jour… La seule chose qui m’a fait un peu râler, c’était d’être obligée de nettoyer le canapé !

Revenons à tes découvertes. Raconte moi tout ce que tu as découvert avec Vincent.
Je ne sais pas bien par où commencer. Les choses se sont enchaînées progressivement sur une longue période.

Parle moi du début.
Nous étions au printemps et il commençait à y avoir de très belles journées. Quand il faisait beau, plutôt que d’aller nous enfermer dans un hôtel, nous allions parfois faire l’amour dans la nature. Nous nous étions un peu équipé avec une couverture et un tapis de sol de camping.

Un tapis de sol de camping ?
Oui, ce qu’on met sous le sac de couchage et qui permet d’amortir les effets du sol. Quand tu te fais pilonner et que tu es sur le dos, tu apprécies qu’il y ait un peu d’épaisseur ! Vous les hommes, vous avez toujours la bonne place ! Crois-en mon expérience, l’amour dans la nature a son charme, mais n’est pas sans inconvénients. J’avais toujours cet équipement dans le coffre de la voiture. Mon mari avait été surpris en le voyant. Je lui ai fait deviner pourquoi je tenais à les avoir toujours avec moi.

Il a deviné ?
Il savait que je faisais parfois l’amour avec Vincent dans la nature. En hiver c’était dans sa voiture, mais le soleil nous ouvrait d’autres possibilités. Mon mari le savait car je lui racontais. C’est drôle d’ailleurs comme ça l’excitait. C’était peut-être simplement l’influence du printemps… Il considérait la couverture comme une sorte de « relique » portant les marques de mon infidélité et me disait souvent « J’aimerais qu’elle puisse raconter tout ce qu’elle a vu ». Tu sais, pour moi, faire l’amour dans la nature était quelque chose de nouveau. Je l’avais fait un peu quand j’étais jeune et au début que je connaissais mon mari, puis de moins en moins. Avec Vincent, je trouvais ça agréable, même si j’aimais de temps en temps retrouver un vrai lit. Pour faire l’amour pendant des heures, c’est quand même mieux !

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Faire l’amour dans la nature, ce n’était pas une grande révolution !
Tu as raison. Ce qui a été nouveau et qui a eu d’agréables conséquences c’est ce qui s’est passé un mercredi début juin. Nous étions allé jusqu’à l’océan. A cette saison, il y a encore peu de monde, surtout en semaine. Nous profitions de l’isolement pour faire du naturisme sauvage. J’ai découvert avec Vincent le plaisir d’être nue dans la nature. C’est une véritable sensation de liberté et d’érotisme. Nous avons trouvé un coin au pied d’une dune où nous nous sommes totalement déshabillés. Puis avons marché sur la plage, mains dans la main, profitant de l’immensité de l’océan. Nous nous embrassions sans rien dire. Vincent bandait, mais nous retardions le moment de nous abandonner à notre envie. Nous voulions prolonger l’agréable sensation que nous procurait le spectacle grandiose, le bruit des vagues, le soleil sur nos corps nus et le titillement du désir auquel nous allions nous abandonner. Nous nous serions volontiers allongés dans le sable au plus près des vagues pour faire l’amour, mais je me méfiais du sable au contact de ma petite chatte déjà bien émoustillée. Nous nous sommes enlacés et nous sommes restés un long moment ainsi, au soleil. Vincent caressait mes cheveux et m’embrassait. Comme tu t’en doutes, nous avons eu envie d’aller un peu plus loin. Les mains de Vincent se faisaient plus présentes sur mes seins et je sentais son sexe de plus en plus volumineux contre moi. Nous avons rejoint notre abri près de la dune. Il n’y avait personne à moins de 300m. Nous avons étalé nos serviettes de bains et nous nous sommes allongés. Nos caresses ont continué tout naturellement, de plus en plus intimes. Je l’ai longuement sucé. Le rythme de ma bouche était seulement perturbé de temps en temps par la présence d’un grain de sable arrivé je ne sais comment. En fermant les yeux, je n’avais plus que la sensation de son sexe palpitant et du bruit des vagues de l’océan. Puis je me suis allongée en écartant largement les jambes pour offrir mon minou aux rayons ardents du soleil. J’ai demandé à Vincent s’il n’était pas jaloux que je m’offre ainsi au soleil. Il a ri en me disant qu’il était sur que son rayon sera encore plus agréable. Alors je lui ai demandé de me le prouver.

Qui du soleil ou de Vincent a gagné ?
Les deux, car la pénétration a été double ! Mais Vincent reste incomparable. Il m’a prise une première fois, me faisant jouir sans retenue en venant sur moi, puis en finissant en levrette. Ce qui est bon aussi dans la nature, c’est de pouvoir crier sans se soucier des voisins. Après, nous avons fait une pause. Il a fallu que j’essuie soigneusement le sperme de Vincent à cause du sable. Nous avons fait une petite promenade jusqu’à l’océan, histoire de mettre les pieds dans l’eau. Nous avons croisé un couple plus âgé qui n’a pas paru choqué par notre nudité. Il faut dire que le sexe de Vincent était redevenu plus « convenable » depuis qu’il avait joui en moi ! Puis nous sommes revenu à notre dune. Je me suis mise à jouer avec la queue de Vincent. En riant, je lui ai dit que les rayons du soleil, eux, ne faiblissaient pas. Il m’a répondu « Donne moi ta langue et tu verra ». Et j’ai vu, ou plutôt j’ai senti, son ardeur revenir dans ma bouche. J’adore cette sensation et le faire dans la nature en décuple l’effet. Cette fois j’ai pris l’initiative et je suis venue sur lui. Je me suis frottée, puis j’ai enfilé sa queue en moi. Il était à nouveau pleinement en forme. A califourchon sur lui, tantôt je me m’empalais avec frénésie, tantôt Vincent me soulevait la taille et me pilonnait. J’avais les yeux fermés, me laissant aller aux ondulations qui partaient de mon ventre et remontaient tout le long de mon corps. A un moment j’ai rouvert les yeux et c’est là que je l’ai vu.
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Tu as vu quoi ?
Un type assis sur la dune à une dizaine de mètres. Il était assez jeune avec une tenue de surfeur. Il nous regardait depuis je ne sais pas combien de temps.

Comment as-tu réagi ?
Ça m’a fait un choc. Je me suis couchée sur Vincent, me serrant tout contre lui et je lui ai murmuré à l’oreille « Il y a un type qui nous mate ». Vincent était toujours solidement en moi et cette révélation n’a pas affecté son érection, au contraire. Il m’a retenue contre lui en me disant « Si c’est son plaisir, il ne fait pas de mal. Laisse toi aller comme s’il n’était pas là ». Mais moi j’étais complètement refroidie. Mais le pire c’est que Vincent l’avait vu arriver. Il me l’a dit doucement. Je me suis un peu énervée en lui demandant de me passer ma serviette de plage. Je l’ai mise autour de ma taille et je me suis dégagée de la queue de Vincent. Je n’osais pas regarder le type.

Et ensuite ?
Vincent m’a calmée. Je voulais partir. Il m’a dit que ça l’excitait qu’on nous regarde et qu’il était certain que ça m’exciterait aussi si je voyais les choses autrement. Pendant ce temps, le surfeur s’était éloigné. Vincent m’a dit qu’il était là depuis que nous étions revenus de l’océan. D’après lui, cet homme devait éprouver du plaisir en nous regardant et que je devais prendre ça comme un hommage à ma beauté. Pour Vincent c’est aussi un des charmes de l’amour dans la nature.

Tu en pensais quoi ?
Le choc s’estompait un peu. Nous nous sommes rhabillés. Vincent m’a offert à boire dans un petit café. Il a été très tendre et a cherché à me rassurer tout en soulignant son excitation à l’idée que ce type m’avait regardé m’empaler et avoir du plaisir. J’ai réfléchi à ma réaction. Elle se rattachait en partie à mon conditionnement social. C’est vrai que je suis plutôt une allumeuse et que je choisi toujours les tenues qui vont provoquer les hommes. Je le fais naturellement. Je suis flattée et un peu excitée s’ils regardent mes jambes ou ma poitrine lorsqu’elles sont un peu trop dénudées. Vincent avait un peu raison en me disant que j’étais exhibitionniste. Mais j’aimais provoquer, sans jamais aller au bout. Vincent m’a dit que se laisser regarder n’est pas aller au bout, puisqu’il ne se passe rien de concret. Il m’a proposé de tenter l’expérience en sachant que je suis observée et de voir ce que ça me fait.

Tu as accepté ?
Oui, mais du bout des lèvres. Nous en avons beaucoup reparlé au téléphone. J’étais un peu surprise du fort attrait de Vincent pour ce type de situation. Il avait les mots pour me convaincre d’essayer en m’assurant que j’y prendrais plaisir. Je me sentais moins coincée.

Et alors ?
J’ai fini par accepter et nous avons décidé de retourner au même endroit la semaine suivante. Mais rien ne prouvait qu’il y aurait quelqu’un pour nous voir. J’ai raconté cette expérience à mon mari le samedi. Lui est comme Vincent, l’idée qu’un homme me mate l’excite. Il a juste un peu râlé en disant que le surfeur m’avait vu en train de baiser avec Vincent alors que lui n’avait droit à rien. Mais l’histoire du surfeur ajoutée au récit de l’ardeur de Vincent sur la plage l’avait rendu raide dingue. Quand je dis raide, c’est à cause de l’état où ça mettait sa queue… Ils sont tout de même un peu fou mes hommes ! Et moi qui les pousse dans leur folie…

Vous y êtes retourné la semaine suivante ?
Pas la semaine suivante parce qu’il pleuvait. Nous avons attendu quinze jours et Vincent m’a emmené dans un autre endroit. Il m’a dit plus tard que c’était une plage connue pour être fréquentée par des couples exhibitionnistes. Heureusement qu’il me l’a dit après ! D’ailleurs, il ne m’a jamais clairement dit comment il le savait. Il parait qu’il y a aussi des plages pour les homos. Je redécouvre ma région !

Comment ça s’est passé cette fois ?
Toutes les plages de la côte se ressemblent. Comme la fois précédente, nous nous sommes installés près d’une dune. Nous avons quitté tous nos vêtements et nous avons mis les pieds dans l’eau. Il y avait un peu plus de monde à l’horizon, mais personne de proche. Puis Vincent m’a entraînée. Voyeurs ou pas, nous avions envie de faire l’amour. Il m’a allongée sur son sa serviette de bain et nous avons commencé à batifoler. Cette fois, je surveillais un peu les alentours, au moins jusqu'à ce que Vincent vienne en moi et commence à m’envoûter. Après quelques minutes de va et vient, il me dit « Il y a quelqu’un qui s’approche ». J’ai regardé. Un homme entre quarante et cinquante ans était venu s’installer à quelques mètres. Vincent m’a dit « On ne s’arrête pas, viens » et il a recommencé à me pilonner. Vincent me prenait par derrière avec une ardeur redoublée. J’avais du mal à me laisser aller et je regardais de temps en temps vers le type. A part son bob, il était totalement nu et s’était allongé sur une serviette à quelques mètres de nous. Je voyais sa main aller et venir sur son sexe. Il se branlait en nous regardant. Quand je l’ai vu ainsi, je n’ai pas eu la réaction de choc de la première fois. J’étais troublée, pour ne pas dire fascinée. Mon regard ne l’a plus quitté. J’observais sa main qui allait presque en cadence avec rythme de Vincent entre mes reins. Alors j’ai senti mon plaisir qui montait. J’ai crié à Vincent « Vas-y, vas-y » et j’ai joui en criant. Le type a du me suivre. Je ne le regardais plus, tout à la montée de mon plaisir. Quand j’ai rouvert les yeux, il venait de se lever et s’éloignait. J’ai regardé Vincent en souriant et je lui ai dit « Tu avais raison, c’est excitant ». Finalement j’ai un peu regretté mon comportement de la première fois, d’autant plus que le surfeur devait être bien plus beau.

C’est devenu une habitude ?
Non. Avec Vincent, il n’y a pas d’habitude. L’habitude c’est un truc de vrai couple et j’en sais quelque chose. Pour nous, c’était un jeu agréable qui pimentait nos escapades dans la nature. Nous l’avons refait sur la plage par la suite. Mais nous avons dû être plus prudents.

Pourquoi ?
C’était début septembre, sur cette même plage. Nous nous sommes retrouvés avec un groupe de trois hommes qui ne voulaient pas se contenter de regarder.

C'est-à-dire ?
Ils voulaient participer et me sauter. Tu penses bien que je n’étais pas d’accord, pas avec des inconnus dans de telles circonstances. Nous leur avons demandé de s’éloigner, mais ils insistaient et parlaient de moi en disant à Vincent « Ta salope ne demande que ça ». J’ai eu la peur de ma vie. Nous avons pris nos affaires et nous sommes partis. Ils nous ont insulté, mais n’ont rien fait pour s’opposer à notre passage. Voilà, tu comprends que je sois devenue plus méfiante par la suite. Vincent n’était pas plus à l’aise que moi. Il a beau être très sportif, il n’aurait pas fait le poids.

Ne me dis pas que vous avez renoncé à l’exhibitionnisme ?
Je ne t’ai pas dit ça, j’ai seulement dit que nous sommes devenus plus méfiant. Au contraire, nous profitions de toutes les occasions pour jouer à ce jeu de provocation pour lequel il y a beaucoup d’amateurs.

Quels genres d’occasion ?
Par exemple quand nous nous promenions dans la rue. Lorsque je voyais Vincent, je jouais encore plus les allumeuses que lorsque j’étais seule. Mes tenues étaient souvent très excitante. Je profitais de la présence de Vincent car elle m’évitait tous les dragueurs à deux sous qui bavaient devant mes jambes très découvertes sur mes hauts talons ou devant la danse de ma poitrine nue sous un tee-shirt et m’abordait comme si j’étais une pute. Lorsque nous repérions un voyeur qui nous suivait, Vincent profitait de toutes les occasions pour me caresser les fesses ou les seins. Nous allions vers un coin pas trop fréquenté où il m’embrassait et où je caressais sa queue à travers son pantalon. Il ne manquait pas une occasion de soulever ma jupe pour offrir une vue sur mes fesses. Après un moment nous reprenions notre chemin en adressant un petit signe à notre voyeur subjugué. Je me souviens aussi d’une fois quand nous étions dans un hôtel à Paris. C’était la fois où nous avions profité d’un congrès pour partir tous les deux à paris pendant deux jours. Comme souvent à Paris, notre chambre donnait sur d’autres immeubles. Nous étions en fin d’après-midi. Pour profiter de la lumière, nous avions complètement ouvert les rideaux. Alors que j’étais devant la fenêtre pour me déshabiller en émoustillant Vincent, j’ai vu un type qui regardait dans notre direction avec des jumelles. Il était dans un immeuble perpendiculaire au notre, plus haut que nous. Il devait avoir une vue plongeante dans notre chambre et comme il n’était pas très loin, ses jumelles devaient lui permettre de me voir en gros plan. J’ai appelé Vincent pour lui dire de regarder. Il voyait la même chose que moi. Compte tenu de la position du lit presque contre la fenêtre, il devait voir aussi tout ce qui s’y passait. Vincent m’a demandé de rester près de la fenêtre pour retirer mon tee-shirt. C’est ce que j’ai fait, tout en sachant que le gars devait en profiter. Vincent est ensuite venu derrière moi. Il m’a longuement caressé les seins par derrière alors que je faisais face à le fenêtre. Puis il m’a dit « on va lui offrir le spectacle de sa vie » en m’entraînant vers le lit. Il s’est rapidement mis nu et s’est allongé sur le lit et je suis venue vers lui. Nous étions exactement dans sa ligne de mire !

Vous avez fait l’amour sous son regard ?
Longuement, comme d’habitude. J’ai sucé Vincent avec délectation en prenant bien soin de ne rien cacher à notre observateur. Nous nous amusions beaucoup, en rajoutant à nos gestes habituels.

Vous rajoutiez quoi ?
Je jouais les actrices de film pornos, tu dois savoir. Elles font des trucs qu’on ne fait pas vraiment naturellement.

Comme ?
Me masser longuement les seins ou sucer mes doigts. J’ai même demandé à Vincent de se mettre debout sur le lit pour le sucer puis le faire tourner pour lui lécher les fesses. Nous nous prenions au jeu, C’était agréable. Vincent m’a prise en levrette, puis je suis venue sur lui. De temps en temps nous nous assurions qu’il y avait toujours un spectateur.
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Il était toujours là ?
Très attentif. Notre spectacle devait être bon ! Puis nous l’avons oublié un peu pour prendre pleinement notre pied. Lorsque Vincent a joui, j’étais à califourchon sur lui. Les jumelles nous observaient toujours. Le film durait depuis près de trois quarts d’heure. Je me suis lentement retirée et ostensiblement j’ai passé une main entre mes cuisses, puis je l’ai portée à ma bouche comme j’avais vu faire sur un DVD. Vincent s’amusait de cette audace nouvelle. Puis nous nous sommes levés et nous avons tiré le rideau. Fin du spectacle !

Tu as apprécié ?
Nous avons apprécié tous les deux, ou plutôt tous les trois ! C’était la première fois que je jouais les actrices pornos. Je ne les trouve pas naturelles, elles en rajoutent beaucoup. Mais c’était amusant de le faire.

Tu regardes des films pornos ?
Ce n’est pas ma tasse de thé. Magali m’en avait passé quand j’ai fait mes premières rencontres, pour mon éducation disait-elle. Une fois j’en ai regardé un avec Vincent, un jour où je n’étais pas « disponible » pour faire autre chose.

Et alors ?
Ça nous a passablement chauffé, si bien qu’on a craqué. Heureusement, nous étions dans un hôtel et ce n’est pas moi qui ai dû laver les draps !

Tu as d’autres expériences d’exhibition ?
Des expériences « soft » comme celles que je viens de te raconter ? Oui quelques unes. Mais c’est toujours le hasard qui les provoque, comme un plus à nos ébats. Vincent aime bien aussi quand je fais l’amour assez bruyamment quand nous sommes à l’hôtel pour que nos voisins en profitent. Parfois nos ébats sont communicatifs et nous entendons à notre tour des soupirs et des cris suggestifs. Mais généralement, quand nous nous retrouvons le mercredi après-midi, il n’y a personne dans les chambres voisines.

Tu parles d’exhibition « soft », il y a donc des exhibitions « hard » ?
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par Lynx33
#886239
CHAPITRE IV
3ème partie


Tu parles d’exhibition « soft », il y a donc des exhibitions « hard » ?
Il y en aura, surtout sous l’impulsion de Didier.

Didier, ton ancien amant ?
Oui, je t’avais dit que je n’avais pas coupé les ponts. Plus tard, nous nous sommes retrouvés et je l’ai présenté à Vincent. Je t’avais dit que Didier était un vrai libertin. C’est par lui que je découvrirai tout un monde que je ne connaissais que virtuellement.

Un monde dans lequel on trouve quoi ?
Doucement, doucement. Je t’ai dit que j’allais devenir une autre femme, mais progressivement. Didier m’ouvrira des portes comme celle de l’échangisme, du triolisme et d’autres. Mais il faut que tu patientes un peu. Si je t’ai parlé de Didier, c’est parce qu’il me fera découvrir le petit chemin.

Le petit chemin ?
Tu me demandais pour l’exhibition « hard ». Le petit chemin en est un exemple.

Tu ne peux pas me laisser comme ça. Raconte moi ce « petit chemin ».
Tu promets de ne pas me juger négativement ?

Comment le pourrais-je ? Vas-y, raconte moi
Du jour où j’ai fait connaître Didier à Vincent, nous avons ouvert les yeux sur un autre monde. Il ne deviendra pas le nôtre, mais nous y ferons des incursions par curiosité et souvent pour le plaisir. J’avais beaucoup apprécié Didier comme amant. S’il n’y avait pas eu Vincent, nous aurions continué à nous voir très souvent. Même si je savais qu’il fréquentait des milieux libertins, je ne connaissais vraiment de lui que la qualité de son coup de rein et son aptitude à rebander sans délais après avoir joui. Ces deux qualités en faisaient à mes yeux un amant inoubliable. J’allais découvrir d’autres facettes de sa personnalité et retrouver de temps en temps le plaisir de l’avoir en moi, sans aucun sens interdit cette fois. Je te raconterai tout ça plus tard. Avec cette nouvelle relation, qui nous liait Vincent et moi à Didier, est venue le sujet du petit chemin. Didier était aussi très exhibitionniste. En fait, je crois qu’il aime tout ce qui touche au sexe. C’est lui qui nous a parlé un jour d’un endroit où des couples venaient s’exhiber en voiture devant des voyeurs. Ce lieu, il le fréquentait avec son amie et y prenait beaucoup de plaisir. Vincent s’étant montré un peu réticent de peur d’être reconnu par un de ses patients, Didier m’a proposé de me faire découvrir le lieu et ses habitués. Nous étions à la fin de l’été et je m’étais habituée à ces jeux d’exhibition commencés dans les dunes. J’avais découvert leur côté excitant et j’y prenais vraiment du plaisir. Vincent, qui aimait ça encore plus que moi m’encouragea à faire l’expérience avec Didier, disant que si ça me plaisait je l’initierais par la suite. C’est comme ça que Didier me fit découvrir le petit chemin un jour d’août en fin d’après-midi.

Continue, tu me mets l’eau à bouche
Didier est passé me prendre devant chez moi vers 19h30. L'endroit doit être à vingt minutes de chez moi. Didier n’avait pas changé et se montrait toujours entreprenant. Tout en conduisant, il a glissé une main sous ma jupe. Je mes souviens qu’il m’a dit "aide-moi un peu". Alors j'ai enlevé mon slip et je l’ai posé sur le tableau de bord ; de toute façon, là où nous allions je ne l’aurais pas gardé longtemps.
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Et là, il a commencé à me caresser... Je me suis laissée faire, les cuisses largement ouvertes, les paupières closes. Didier savait y faire en matière de mise en condition. Nous étions sur les boulevards et nous roulions sur deux files. A chaque feu rouge, nous avions droit aux regards surpris des autres conducteurs. Quelques uns comprenaient ce qui se passait et klaxonnaient. Toujours en conduisant d'une main, Didier nous a conduit à sortie de la ville, au-delà du parc des expositions. Il a tourné sur une petite route vers le bois. Nous sommes arrivés près d'un chemin, le fameux « petit chemin ». Il continué à rouler un peu plus loin. Quelques voitures étaient garées là. Il a coupé le moteur et m'a prise dans ses bras. J'ai pensé que ça faisait bien longtemps que je n'avais pas fait l'amour dans une voiture... L'endroit était plutôt calme et j'ai pensé que pour un endroit chaud, c'était plutôt loupé! Il a retroussé ma jupe, soulevé mon tee-shirt, libérant mes seins et il a commencé à me caresser. Je me suis laissée faire, les yeux fermés, soupirant d'aise, les cuisses bien ouvertes... Il me caressait le clito et moi je mettais les doigts dans mon minou. J'ai joui comme ça... Lorsque j'ai ouvert les yeux, j'ai vu un mec, le nez collé au pare-brise. Il n'avait pas loupé une miette de ce qui venait de se passer. Il avait la queue à la main et bandait à mort. Il se caressait aussi les bourses, apparemment heureux que mon regard s'attarde sur son anatomie. Il a collé son visage contre la vitre pour regarder ma chatte. Il était comme hypnotisé. Didier m’a soufflé à l’oreille « Il veut voir ta chatte ». J’ai pensé : « S’il veut voir, et bien il va voir! ». Alors je me suis écartée un peu plus et j'ai posé une jambe sur la boîte à gants et je me suis caressée. Didier allait et venait avec deux doigts dans mon minou. Ça m'excitait terriblement de jouir devant un inconnu et de le voir collé à la vitre, la queue à la main. Puis Didier a posé ses lèvres sur mon ventre et il est lentement descendu jusqu’à ma chatte. Il se plaçait de manière à ce que l'autre voit tout. J'avais les deux mains agrippées sur la poignée en haut à droite, juste au dessus de la vitre et j'ai joui encore... Alors Didier a repoussé son siège et a ouvert son pantalon. Sa queue a jailli. Je me suis mise à genoux sur mon siège, les fesses bien en l'air, imaginant la tête de l'autre et je me suis mise à gober cette queue bien dure. Le mec avait fait le tour de la voiture et me regardait pomper Didier. Je ne te dis pas l’état dans lequel était mon voyeur! Didier m’a dit qu’il allait jouir. J’ai retiré ma bouche et je l’ai fait gicler avec ma main. Didier était très excité par la situation. Je crois que c’est vraiment un truc qui le branche terriblement. Il m'a dit: "éclaire lui la queue" en me tendant une petite lampe torche. Alors le mec m'a exhibé son sexe, dont il avait raison d'être fier. Il se branlait vigoureusement... A côté, il y avait un homme que je n'avais pas vu et qui cherchait à entrer dans le faisceau de la lampe pour me montrer aussi ses attributs. Didier m’a dit: "Il vaut mieux ne pas traîner ici, on rentre" et nous sommes partis.

C’est hard. Tu l’as fait qu’une fois où tu as continué ?
Il y en a eu d’autres. J’ai même emmené mon mari un soir !

Alors, raconte moi encore
Ce soir là, c’était plus tard et il faisait presque nuit quand nous sommes partis. Le temps était très lourd et l’orage menaçait. Je me souviens encore Didier me demander : "Tu aimes aller là-bas?" et moi lui répondre : "Oui, sinon je n'irais pas!". Et le revoilà parti, la main entre mes cuisses, et la mienne aussi ! Au vu de la première expérience, je n’avais pas mis de culotte pour faciliter les choses. Il a pris le petit chemin, coupé les phares... Il a repris ses caresses. J'étais très excitée. La jupe troussée, le chemisier ouvert, je m’offrais à lui. Ses doigts caressaient mon clito et mes doigts croisaient les siens. Alors, il a quitté son pantalon, a passé un préservatif et incliné son siège. Je me suis empalée sur lui, enfonçant profondément son sexe en moi. Il s'est mis à me donner de bons coups de queue pendant que je me caressais. Le volant me gênait un peu, mais c’était si bon. J'ai tellement joui que j'ai eu du mal à reprendre ma respiration. Je m'imaginais être prise devant, derrière, par la bouche... Lorsque j'ai ouvert les yeux, personne! Il pleuvait un peu et la voiture était pleine de buée.
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L'orage était proche, mais ça ne faisait rien, car j'étais bien. J’ai regagné mon siège et Didier a commencé à me caresser. J'ai vu arriver une ombre. C’était un des deux hommes de la dernière fois, puis une autre ombre... Didier me caressait toujours. Il m’a dit: "Tu peux ouvrir la vitre si tu veux". J’étais hésitante : « Tu crois?". Il m’a rassurée : « Oui, si tu en as envie, tu peux". J'ai baissé la vitre. J'avais peur, mais j'avais envie de tenir ces belles queues qui se dressaient devant moi. Mon regard ne pouvait se détacher de ces deux sexes si durs. Quand j'ai levé les yeux, j'ai découvert un visage si jeune. Il devait avoir une vingtaine d'années, mais une belle queue d'adulte... J'ai pris sa queue, puis celle de l'autre et je les ai branlées. Didier m'enfilait toujours ses doigts. La main du plus jeune s'est aventurée, avec délicatesse. Sa main maladroite, mais si douce, a cherché mon sein, son regard voulait mais lui n'osait pas. C'est moi qui me sentais déroutée. J'aurais voulu le prendre dans ma bouche... J'en crevais d'envie... Cette belle queue, je la voulais. Mais je pensais à Vincent et à ses recommandations. Pourquoi la nature est-elle si cruelle en glissant le mal au milieu du plaisir ? Il a joui dans ma main lorsqu'il m'a entendue exploser sous les doigts de Didier. Lorsqu’il a giclé, il a eu un mouvement de recul et tout son sperme s'est répandu par terre. J'ai souri en pensant au dieu égyptien Min qui fertilisait ainsi le sol, me disant que cet endroit devait bien "fertilisé". J'étais hypnotisée par les spasmes de plaisir de sa queue toute palpitante sous les jets de sperme. A ce moment j'aurais tellement aimé me l'enfiler, me mettre sa queue bien au fond pour qu'il me fasse hurler! Si j'avais eu un préservatif à la vanille, j’aurais peut-être pompé cette queue si dure. L'autre bandait toujours... Didier m'a dit de refermer la vitre. Lui aussi avait joui, dans sa main... On est reparti et on a terminé la soirée chez lui.

Impressionnant ! J’ai le sentiment de ne pas te reconnaître. Même quand tu me raconte ce moment, je te sens encore prête à tout, totalement envoûtée par cette situation.
Tu as raison. Ces moments étaient très forts. Je n’étais plus moi-même. Chaque fois ça me faisait pareil. Une fois rentré chez moi, je me disais que j’étais devenue folle. Je n’arrivais presque pas à croire que j’avais eu envie de me faire sauter dans ce bois par des hommes inconnus. Je me faisais peur, me disant que dans certaines circonstances, une force irrésistible m’entraînait vers des désirs sexuels fous. Après j’en avais un peu honte. C’est pour ça que je t’ai demandé si tu n’allais pas mal me juger. J’ai même eu du mal à tout raconter à Vincent.

Et à ton mari ?
Je ne lui ai pas tout raconté. Pas parce que je voulais lui cacher, mais pour ne pas l’effrayer et aussi parce que je ne me sentais pas très fière. Avec lui, j’en suis resté aux types derrière la vitre.

Tu m’as dit que tu l’avais emmené dans le petit chemin. Il a aimé ?
Pour lui montrer. Nous y sommes allé un samedi après-midi. Le moment n’était pas propice, il n’y avait personne. De toute façon, je ne crois pas que Fabrice avait envie d’aller plus loin. Il m’a dit qu’il trouvait ça un peu sordide, ajoutant que si ça me plaisait je ne devais m’en priver. Il préférait que je lui raconte plutôt que d’être acteur. Plus tard il m’a dit « Tu t’imagines exhibant ma petite queue devant des mecs qui auraient de quoi te satisfaire bien mieux que moi ». Lorsqu’il me faisait ce genre de remarque, je me sentais toujours un peu coupable, me disant que mes confidences lui faisaient du mal et ébranlaient sa confiance avait en lui.

Que pouvais-tu faire ?
Etre tendre avec lui. Il savait à quoi s’en tenir sur nos relations sexuelles. Parfois je me disais qu’il serait peut-être mieux avec une autre femme, plus clitoridienne. Je suis certaine qu’il y a plein de femmes qui n’ont pas besoin d’un homme hyper endurant et de bonne taille. Je me disais qu’en lui parlant moins de mes jouissances avec Vincent et les autres, je lui ferais moins de mal. Ce n’est pas simple !

Tu es allée encore plus loin avec Didier dans ce genre d’exhibition ?
Oui. Il s’est passé des choses avec d’autres couples. Je te raconterai. Ne pense pas que tout ça s’est fait rapidement. Si tu veux comprendre mon évolution, il faut que tu saches qu’avant ces choses avec des couples, il y a eu des étapes avec Vincent, puis avec Vincent et Didier.

Mais je ne demande qu’à savoir. C’est pour ça que je te pose toutes ces questions. Tu ne me parles presque plus de ton mari. Comment se situait-il au milieu de tous ces changements ?
Je crois qu’il était un peu perdu. Heureusement il y a eu mes retrouvailles avec Gilles et nos vacances. Il a pu enfin être comblé dans ses attentes.

Gilles, ton amant des dernières vacances ?
Oui. Je te raconterai. Avant la visite de Gilles, je le sentais de plus en plus distant. Nous nous parlions tous les jours et je lui racontais mes aventures, mais il se montrait plus réservé. Un soir au téléphone, il m’a dit qu’il ne pouvait se contenter de mes confidences « lacunaires ». Je lui ai demandé ce qu’il voudrait. Une fois de plus il m’a demandé de me voir avec Vincent. Je lui ai dit que ce n’était pas possible maintenant, mais qu’il pouvait me demander ce qu’il voulait, sauf ça.

Que t’a-t-il demandé ?

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par Lynx33
#898598
CHAPITRE IV
4ème partie


Que t’a-t-il demandé ?
Il m’a proposé de me donner son dictaphone pour que je m’enregistre avec Vincent. Il se souvenait de l’épisode du couloir avec Gilles. Faute de nous voir, il voulait nous entendre. Il m’a dit qu’il aurait pu nous enregistrer sans que je le sache, mais il ne voulait pas m’espionner. J’étais réservée car je pensais à mes conversations intimes avec Vincent et je ne m’imaginais pas les livrer ainsi. Ce serait le trahir.

Tu préférais donc être espionnée sans rien savoir.
Certainement pas. Je lui ai dit que s’il faisait une chose pareille, je ne lui dirais plus jamais rien et que je ne savais même pas si je pourrais rester avec lui. Je lui ai dit que j’étais d’accord à condition qu’il m’explique comment je pouvais faire des coupures dans les enregistrements.

Et ?
Il a dit oui tout de suite. Il avait retrouvé toute son excitation du début. Le vendredi suivant, il m’a apporté son enregistreur et m’a fait toute une formation à l’utilisation. Il me suffisait de le mettre dans la table de chevet et il se déclenchait tout seul. Toujours pour lui faire plaisir, je lui ai proposé de recevoir Vincent dans sa chambre plutôt que dans la mienne. Comme ça, il dormirait dans nos draps. Je savais que ça l’excitait beaucoup.

L’idée lui a plu
Je ne m’étais pas trompée sur ce point. Pour être tout à fait franche, il faut que je te dise que ça m’arrangeait aussi.

Pourquoi ?
Ma chambre est à côté de celle de mon fils alors que celle de mon mari est de l’autre côté du couloir. Je n’arrive pas toujours à me contrôler quand Vincent vient me faire l’amour et, une fois nous l’avons réveillé. Dans la chambre de mon mari, nous serons un peu plus isolé et je me sentirai mieux.

Ton fils ne s’est rendu compte de rien ?
Non, heureusement. Il s’était inquiété de m’entendre crier. Je lui ai dit que j’avais fait un mauvais rêve. Tu sais, parfois je me dis que je suis une mère indigne.

Tu t’es servie de l’enregistreur de ton mari ?
Dès la semaine suivante, mais pas dans notre appartement. Je l’ai emmené avec moi à l’hôtel le mercredi. Je l’avais dans mon sac à main.

Ça a marché ?
Non. Je n’avais pas appuyé sur le bon bouton. C’est dommage car Vincent s’était donné à fond et je suis certain que mon mari aurait apprécié mes cris.

Tu as recommencé ?
La semaine suivante. Vincent n’avait qu’une heure de libre le mercredi. Plutôt que d’aller à l’hôtel pour une heure, je lui ai proposé de venir à la maison. Mon fils n’est pas là le mercredi. En général Vincent vient chez moi la nuit, j’évite dans la journée. Il y a toujours des voisins trop curieux. Cette fois j’ai fait une exception.

Raconte moi les circonstances de ce premier enregistrement.
Vincent devait passer vers 16h. J’ai passé tout le début d’après-midi à me préparer. J’ai pris une longue douche, fait un shampoing et enduit mon corps de crème parfumée. C’est tout un rituel de préparation à l’amour. Je ne laisse rien au hasard. Après m’être séché les cheveux et les avoir longuement brossés, vient le temps du maquillage. Il faut absolument que je sois au top quand je vais faire l’amour. Je sais que Vincent ne laissera pas un petit morceau de ma peau sans un baiser. J’y passe un temps fou, mais c’est une manière agréable d’attendre le moment où je vais me donner à lui. J’ai terminé de me pomponner vers 15h30. Une dernière petite touche de parfum et je suis prête.

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C’est à ce moment que je suis allé placer l’enregistreur dans la chambre de Fabrice. Puis j’ai choisi mes habits. Après avoir beaucoup hésité, j’ai passé une robe rouge à bretelles très courte, mais classe. J’ai mis des talons hauts et renoncé à passer une culotte pensant que Vincent apprécierait.

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C’est une véritable fête pour toi ?
Tu as raison, presque une cérémonie. Tu ne peux pas savoir comme j’adore ce moment qui précède l’amour. Mon corps est déjà entré dans une atmosphère de sensualité et de trouble. Ma petite chatte sent que ça va être sa fête et mouille abondamment. Je ne contrôle rien de tout cela, je suis déjà dans l’abandon.

Ensuite ?
Vincent a sonné. Je suis allée lui ouvrir. A peine était-il entré que sa main se glissait sous ma robe. J’aime ce besoin qu’il a de me toucher, j’aime sentir ses mains sur mes fesses. Nos envies étaient au diapason. Lorsque je suis dans cet état, je ne peux pas attendre. J’avais trop envie de sa belle queue. Je me suis agenouillée et j’ai ouvert son pantalon avec fébrilité. J’ai posé mes lèvres sur son aine, retardant un peu le moment de faire jaillir son sexe. Je le sentais palpitant à quelques centimètres, je sentais l’odeur de son désir et je me sentais défaillir… J’ai libéré l’objet de sa cage de toile et je l’ai embrassé. Je crois que je ne pourrai jamais me rassasier de cet instant de délectation et de gourmandise. L’instant me semblait durer des heures et j’aurais aimé qu’il dure encore plus. Nous ne disions rien. Nous savions tous les deux que les mots étaient inutiles. Rien ne devait troubler cet instant sublime. Ma langue parcourue son sexe. C’était un geste d’amour plus que de désir, même s’il annonçait sans ambiguïté ce qui allait suivre. Vincent mis sa main dans mes cheveux et savoura l’instant lui aussi.

C’est une véritable cérémonie !
C’est de la sublimation. Mais rassure toi, s’il y a cérémonie, il y a une maîtresse de cérémonie.

Triplement maîtresses à ce moment : maîtresse de Vincent, maîtresse de cérémonie et maîtresse de maison qui accueille le loup dans sa bergerie !
Eh oui. Donc, en bonne maîtresse de cérémonie, j’ai pris les choses en main. Après avoir débarrassé totalement Vincent de son pantalon, je l’ai attiré dans la chambre de Fabrice. Il s’en est étonné car d’habitude nous allions dans la mienne. Je ne lui avais pas dit que mon mari et moi faisions chambre à part. Il n’a donc pas trouvé bizarre que je l’invite dans la chambre d’ami, pour changer un peu. J’ai souri en pensant à mon mari et à ce que nous avions décidé. Vincent m’a demandé si je pouvais mettre un peu de musique comme nous étions seul. Il aime que fassions l’amour bercés par de la musique. J’ai pensé à l’enregistreur et j’ai fait comme si j’étais trop pressée de l’entraîner sur le lit. D’ailleurs c’était plutôt la réalité. J’avais déjà assez attendu, alors je le voulais sans plus attendre. Nous avons basculé sur le lit.
Vincent m’embrassait et me caressait avec son habituelle douceur. Il aimait jouer avec seins dont il était complètement fou. Je me suis allongée sur le lit et Vincent a mis sa tête entre mes cuisses. Sa langue n’a pas mis longtemps à trouver le chemin de ma source. Je l’ai entendu soupirer de plaisir lorsqu’elle s’est insinuée en moi. Il sait l’endroit où j’aime qu’il s’attarde, mais il me met au supplice et la laisse se promener, s’insinuer un long moment. Puis enfin elle remonte un peu et enveloppe mon petit bouton qui ne demande qu’à éclore. Je ressens comme des décharges électriques. Il le sent et se fait plus insistant. Je me sens déjà partir et nous ne faisons que commencer.
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Je pousse de petits cris qui accompagnent la montée de mon plaisir. Seront-ils suffisants pour déclencher le dictaphone ? Je suis bien loin de cette préoccupation. Je jouis.

Vous n’en restez pas là ?
Même si Vincent avait peu de temps à me consacrer ce jour là, il était évident qu’il me donnerait ce que j’aime tant.

C'est-à-dire ?
Tu me connais assez pour savoir. Ce que j’aime par-dessus tout c’est qu’il vienne en moi longuement et de plus en plus fort. Mais avant, je lui ai fait une gentille fellation pour préparer encore mieux l’apothéose qui allait suivre. Je sais qu’il aime quand je le prends dans ma bouche. Il me dit toujours qu’elle est chaude et douce.
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Depuis quelques temps il s’était enhardi et, pendant que je m’occupais de sa queue, il me disait que j’étais une suceuse. C’est vrai que je dois en être une, ils me le disent tous ! Quand j’ai senti que sa queue commençait à se tendre, j’ai arrêté. Peut-être aurait-il aimé que je le fasse gicler dans ma bouche, mais j’avais envie d’autre chose. Je me suis retournée et je lui ai dit « Viens ». Il sait de quoi j’ai envie à ce moment. Il m’a prise en levrette comme j’adore. Sa queue est venue doucement, puis de plus en plus fort. Je mouillais terriblement. Mon Dieu que j’aime ça. Je lui disais « encore » et il continuait. Il a voulu venir dans mon petit cul. Il n’a eu aucune difficulté tant j’étais mouillée. Comme il y avait l’enregistreur, je me suis encore une fois sentie actrice de porno et j’ai utilisé des mots dont j’avais envie, mais qui restaient un peu bloqué. Je lui ai dit « démonte moi » et il l’a fait. Il me disait que j’étais une salope et je lui répondais que j’étais sa salope. Tu ne peux pas savoir comme c’est bon de se lâcher ainsi.

Et vous avez eu du plaisir !
Moi oui, je ne sais pas combien de fois. Mais lui a tenu bon. C’est fou ce qu’il peut être endurant. Alors je me suis mise sur lui et je l’ai chevauché en lui demandant de jouir en moi. Il s’est répandu en moi par grandes saccades. Chacun de ses spasmes me faisait frémir. Je me suis retirée. Son sperme s’écoulait de moi et tachait les draps. J’ai eu une petite pensée pour Fabrice, c’était son lit ! Nous avions passé plus de temps que prévu ensemble et Vincent devait partir. Il n’a même pas eu le temps de se doucher.

Et l’enregistrement ?
Dès que Vincent est parti, je suis allé dans la chambre pour l’arrêter. J’ai écouté quelques passages. J’ai trouvé que c’était faible et qu’il y avait beaucoup de blanc. J’avais l’impression d’avoir joui tout le temps. Mais c’est vrai qu’on m’entend mal quand j’ai la bouche pleine !

Tu l’as laissé tel quel ?
Oui, il n’y avait rien à couper. Ça m’a fait tout drôle quand j’ai écouté cet enregistrement le soir, dans mon lit. Je revoyais et surtout je ressentais les coups de queue de Vincent et j’en étais toute émoustillée. Je me suis caressée en écoutant. Mon petit mari allait être content.

Tu lui as donné son retour ?
Il m’a demandé dès le mercredi soir si j’avais pu enregistrer. Il avait peur que je me sois encore planté avec le bouton d’enregistrement. Quand je lui ai dit que ça avait marché, il était très enthousiaste. Il voulait que je lui fasse écouter au téléphone, mais j’ai refusé. Je voulais le faire attendre. En fait j’avais une idée en tête.

Laquelle ?
Je t’ai dit que nous avions fait l’amour dans son lit. J’ai décidé de le laisser dans l’état où nous l’avions mis Vincent et moi. J’ai même laissé ma robe rouge toute chiffonnée qui était en boule au pied du lit. J’ai posé le dictaphone sur l’oreiller avec un petit mot à son intention.

Quel genre de petit mot ?
Un petit bristol où j’ai écrit « Mon mari chéri, voici le lit où ta petite femme s’est faite sauter par son amant et où elle a beaucoup joui. Tu rêvais d’être cocu, tu l’es complètement. Tu me pensais salope, je le deviens encore plus que tu ne l’imaginais. J’espère que ce que tu vas entendre tu combleras autant que je l’ai été. Tu vas m’imaginer avec Vincent, tu seras surpris et j’espère ravi. Je t’aime ». Le mot était signé d’un baiser en collant mes lèvres passées au rouge à lèvres. Voilà la surprise que je lui réservais.


A suivre
Modifié en dernier par Lynx33 le 28 déc. 2011, 22:59, modifié 1 fois.

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