- 29 déc. 2011, 13:00
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Mon épouse est une femme qui longtemps à eu une vie sexuelle très classique mais qui à évoluée au fur et à mesure de notre vie, elle est pour moi ma femme, mon amie et mon amante, même si parfois l’amant ou l’amante, nous nous disons parfois que l’attention exagérée que nous attachons à notre travail entrave notre libido plus que de raison. Nous essayons que notre vie commune soit épicurienne, faite d’entente et de découvertes, appréciant en commun la bonne chaire, le vin et les voyages. Aucune lassitude ne doit venir altérer notre vie sexuelle ce qui ne nous empêches pas d’entrer dans d’autres pâturages, si l’herbe y était plus verte. Par nature et éducation, Val plutôt pudique, évitant de choisir des vêtements déshabillés ou de rester nue, même dans l’intimité. Elle porte maintenant volontiers des ensembles plus décolletés qui mettent en valeur un haut de poitrine et des seins qui s’assurent être attirants. Nous sommes allés pendant nos dernières vacances sur des plages naturistes et elle à été conquise par le bien-être éprouvé à se retrouver nue au soleil, dans des endroits où nous bénéficions d’une relative intimité, n’étaient les pitoyables voyeurs qui venaient régulièrement « inspecter » les lieux un peu isolés que des naturistes, souhaitant comme nous éviter la foule, choisissaient. A mesure du temps elle devint étonnamment indifférente à leurs regards insistants et ils finissaient par se lasser et s’éloigner, elle se sentait merveilleusement bien. Ces cajoleries visuelles, jointes à l’effet des rayons du soleil vers lesquels elle orientait son entrejambe, la mettait dans un état de vive excitation, sexe que je comparais à un beau fruit gorgé de sucs. Je suis souvent frustré dans ces moments d’interludes de ne pouvoir, du fait des voyeurs, d’ y faire longuement aller et venir mes doigts ou les siens pour la faire jouir, retrouver une apparence de sérénité est parfois très dure.
Ce sixième soir, après le long récit de ces ébats du jour, nous décidons d’aller dans un club-sauna, le Merrymakers sur Harlemm Rd, comme nous étions arrivés assez tôt, il n’y avait pas encore foule et nous avons entrepris une visite tranquille du club: Les « coins câlins » étaient vides, nous en avons profité pour échanger quelques caresses et sommes revenus sur la piste de danse où se trouvaient un plus grand nombre de personnes. Nous avons dansé tendrement quelque temps jusqu’à ce que nous réalisions que nous étions quasiment seuls. Nous sommes alors allés revoir les coins câlins et avons découvert une pièce dans la pénombre où, au centre, sur une large plateforme octogonale rembourrée, plusieurs femmes sur le dos ou en levrette recevaient des hommages masculins vigoureux, sans que l’on puisse discerner si des mains ne s’égaraient pas au-delà des couples ainsi formés. Tout autour, des spectateurs silencieux et concentrés contemplaient la scène, certains d’entre eux n’hésitant pas à dispenser des caresses aux participants pour apporter leur contribution aux actions en cours. Plus loin diverses petites alcôves, occupées par des couples dénudés, leur offraient le lieu approprié pour former les figures géométriques sophistiquées que leur imagination et leurs envies leur inspiraient. Enfin, dans le fond, il y avait deux grandes salles bien éclairées où des couples s’adonnaient aux mêmes activités. Nous avons ainsi observé une belle jeune femme se faisant prendre de face puis en levrette par un homme très performant ; elle poussait des plaintes lancinantes, d’une voix rendue rauque par le plaisir qui semblait émaner du plus profond de son corps, pendant que son mari ou son compagnon lui pressait tendrement les mains. L’expression de jouissance qui marquait le visage de la jeune femme, les bruits mouillés que provoquaient les allées et venues du pénis de l’homme couvert d’un préservatif, le caractère incroyablement exhibitionniste de cette scène nous firent à tous deux une forte impression et dans les jours qui suivirent, des flash-back de cette vision nous revinrent à l’esprit.
Attenant au club, au travers d’une énorme porte rouillée, le site était différent, rappelant sans équivoque les thermes Romains nous avons été favorablement surpris par l’atmosphère détendue de l’endroit et le comportement de bon ton qui y prévalait, tout au moins au cours de cette soirée réservée aux couples. Si les scènes observées nous sont restées à l’esprit et sur le moment ne nous laissaient pas insensible, je caressai la poitrine de ma douce pendant que nous regardions les ébats, ses seins libres par le soutien-gorge ouvert pointaient en avant. Nous avons ressenti une excitation sexuelle forte au point d’avoir envie de nous joindre à l’activité des participants.
L’accueil a été aussi impersonnel qu’à un guichet d’un quelconque cinéma mais de notre enfance, nous avons reçu des serviettes, une petite et une grande chacun, les dames ayant également droit à un paréo, et une petite pochette comportant, outre la clé d’un casier vestiaire et un préservatif, un bracelet doté d’une attache permettant de la porter au poignet ou à la cheville comme à la piscine. Un bref passage aux vestiaires et nous voilà rapidement revêtus, moi de ma grande serviette et Val de son paréo. Un couloir mène de l’entrée-bar à la salle de douches ouvertes, une flèche indique hammam et sauna. Un escalier que nous avons descendu donne accès à plusieurs alcôves de dimensions différentes avec des coussins. Cela nous rappelle celles du club libertin précédent, mais avec un caractère d’établissement de bains. La lumière est très tamisée.
Jusqu’à présent, nous n’avons entraperçu que quelques clients au sauna, par la porte vitrée, c’est encore tôt. Nous sommes remontés et sommes entrés dans le hammam après avoir pris une douche et accroché grandes serviettes et paréo à des patères extérieurs. Il y faisait une douce et agréable chaleur. Nous avons été aussitôt enveloppés par une vapeur d’eau épaisse qui ne nous permettait pas de distinguer quoi que ce soit malgré la taille réputée petite de la salle, bénéficiant seulement de la faible pénombre provenant de la lumière du couloir filtrée par deux séparations faites de larges lattes en plastique translucide. Nous nous sommes assis à tâtons dans le coin droit en face de l’entrée et avons commencé à nous embrasser et caresser tendrement. Qu’il était sensuel de se câliner nus dans cette atmosphère !
Soudain, nous avons entendu des gémissements. Un couple, que nous n’avions pas remarqué et que nous ne voyions toujours pas, était dans un autre coin, se manifestant des attentions plus avancées que les nôtres. Les gémissements s’accéléraient, l’homme proférait des «Yes, Yes, It's good» et les réitérait de plus en plus fort. Nous étions toujours dans notre coin et l’activité de ce couple, dans la même salle, était troublante. J’ai souri et me suis mis à embrasser mon amante de manière plus enfiévrée et à lui caresser le sexe qui prenait de belles formes, ma douce fermant les yeux,
Alors que nous étions sur notre petit nuage, nous laissant aller aux sensations des baisers et des caresses échangés, Val, tout à coup senti des mains sur son pied droit posé sur la banquette en cuir, l’autre reposant par terre, et à ouvert les yeux pour essayer de comprendre ce qui se passait, nous avons vu dans le brouillard du hammam le couple qui s’était rapproché, l’homme prenant par l’arrière la femme qui était penchée sur elle et poursuivait les premiers contacts en lui passant les mains sur le mollet, la cuisse et la poitrine. La femme, sans doute de son âge, avait de jolies formes, un visage doux et agréable, des seins pleins et ronds. L’homme était bien bâti et avait probablement dépassé la quarantaine.
Sur le moment, elle est restée interdite certainement par l’absence du moindre signe annonciateur, étant à cent lieues d’attendre à une telle initiative de la part de ce couple. Toute décontenancée et n’arrivant pas à se décider, à la repousser tant ses caresses étaient délicates, comme pour éviter de s’effaroucher, elle est restée d’abord inerte. Puis la situation se prolongeant, elle esquissa gauchement une vague caresse sur son épaule. Enhardie, elle s’est penchée plus encore, repoussant son paréo dans le sens attraction terrienne pour lui embrasser la poitrine, le ventre et le haut du pubis, la découvrant à tous, les cuisses de ma femme se sont alors doucement écartées, avec conviction. Puis le compagnon de celle-ci posa à son tour contacte de ses doigts sur la chatte de ma femme, comme pour prendre le relais, au début, les caresses de l’inconnu sur sa vulve ce sont faites un peu trop pressantes mais rapidement se sont faites plus légères avec conviction, geste doux et impérieux. Val a commencé à s’émouvoir sous l’effet de ses attouchements, renonçant de ce fait à tout semblant de résistance. La tentation de vivre la suite des événements devenait irrésistible et j’ai. Je me sentais à la fois dépassé par ce qui lui arrivait et dans l’attente fébrile de ce qui allait s’ensuivre. Un sentiment fugitif de mauvaise conscience m’a effleuré l’esprit mais a été rondement chassé par la sensation de ne pouvoir de toute façon la soustraire aux caresses de l’inconnu.
J’ai alors vu l’homme effleurer les seins de ma femme pendant que celle-ci comme subjuguer leva le bras en direction du sexe, fièrement dressé…Val faisait aller et venir sa main sur sa queue.
Je lui ai dit par la suite qu’elle était si fortement accrochée à lui, que j’ai éprouvé un étrange sentiment d’incrédulité à de la voir toucher cette autre membre que la mien, à la limite, de presque jalousie.
L’inconnu s’est penché sur elle pour lui caresser l’épaule et la poitrine puis lui embrasser le sein droit, pressant la pointe de son sein contre sa bouche. Ce baiser, plus viril que ceux de sa partenaire, m’a fait beaucoup plus d’effet comme à ma femme d’ailleurs, qui laissa échapper un gémissement. Encouragé par ces signes de volupté et d’abandon, il a entrepris de la fouiller de ses doigts, ce qu’elle facilita en écartant un peu plus les cuisses. Mais elle restait encore contractée et serrée, et ce n’est qu’au bout d’un moment qu’il a réussi à la pénétrer complètement. Il y allait avec vigueur, je l’ai sentie s’ouvrir, commencent à éprouver un vif plaisir au contact de ses doigts qui allaient et venaient dans son vagin et massait délicieusement les parois.
J’avais toujours cette impression étrange et envahissante malgré cette délectation visuelle de caresse de cet homme sur ma femme, tandis que la jeune femme surgie de nul part m’étreignait avec vigueur, je savourais malgré moi ces sensations fortes et diffuses avec un sentiment d’irréalité et de plénitude qui me faisait perdre la notion du temps. Tous ces attouchements simultanés venant de quatre personnes différentes me transportaient dans un état second mais mon sexe m’embrasaL’inconnu a penché la tête vers la mienne et m’a embrassé le cou et le visage. J’ai alors quitté du regard mon épouse pour me tourner vers elle, elle s’est aussitôt emparé de mes lèvres et j’ai senti sa langue douce et dure à la fois chercher la mienne.
A un moment, l’être féminin m’a pris la main pour la poser sur sa chatte et porter sa main avec coordination sur ma verge raidie et brûlante. J’avais jusque là passivement subi les caresses de l’inconnu sur mon épouse et me satisfaisais de cet état rassurant qui me paraissait m’exonérer de toute responsabilité dans cette situation singulièrement licencieuse. Aussi ai-je eu des scrupules à prendre un rôle actif vis à vis d’elle tout en étant dans les bras de son amant d’un soir.
Il devait être très remué par le plaisir qu’il lui procurait car il se mit à se masturber vigoureusement tout en continuant d’aller et venir en elle avec ses doigts. J’ai à ce moment là eu des remords de l’avoir délaissé alors que lui ne ménageait pas sa peine pour la faire jouir, et faisant fi de mes réticences malvenues, j’ai répandu mes doigts sur sa moule, toute moite de son jus, de sa propre excitation et d’avoir précédemment été possédée par son compagnon.
Mais je commençais moi-même à partir, le plaisir devenait de plus en plus aigu, j’avais besoin de m’abandonner totalement à ma jouissance. La femme avait ouvert les cuisses autant qu’elle le pouvait, se laissant partir en arrière en me serrant passionnément les yeux mie clos…
Val s’abîmait dans les sensations de son antre enflammé, elle haletait, et ne pouvais retenir de sourdes plaintes. Elle était une source brûlante et jaillissante au gré de ses spasmes de plaisir, j’entendais les clapotis que provoquaient les mouvements sans relâche des doigts dans son vagin, elle se laissait aller sans retenue.
Puis l’inconnue s’est arrêtée de me travailler. J’ai cru tout d’abord qu’elle s’accordait une pause bien compréhensible pour récupérer des efforts qu’elle avait si généreusement déployés et qu’elle allait ensuite reprendre les voluptueux mouvements de ses doigts. Je restais focalisée sur son sexe qui brûlait d’être à nouveau comblé de trois de mes doigts, quand j’ai senti un souffle chaud sur mon gland, ce qui m’électrisa, et lui créa de légers soubresauts.
Je l’ai vu accroupi entre ses cuisses tout ouvertes après l’avoir posé dos sur la banquette en plaçant une petite serviette pliée sous sa tête. L’inconnu a commencé à effleurer l’intérieur de ses cuisses de doux baisers puis a pressé sa bouche contre ses lèvres ruisselantes, la faisant tressaillir et gémir.
Par le fait d’un demie-orgasme émanant de ma queue, j’ai cherché du regard celle qui avec ferveur me prodiguait tant de plaisir, la jeune femme pleines d’initiatives était alors à califourchon sur mes cuisses et qui effectuait des va-et-vient sur mon membre. Val me précisa par la suite que la jeune femme, probablement et non sans raisons envieuses de la jouissance que j’avais exprimée, avait ouvert sa pochette pour se saisir du préservatif et en avait revêtu mon vit sur lequel elle s’était prestement empalée. Elle avait aussitôt entrepris d’énergiques mouvements de bassin, comme pour parvenir expéditivement à une jouissance libératrice de la frustration sexuelle qu’elle avait accumulée jusque là, envieuse et impatiente d’être remplie mais aussi freinant ses ardeurs pour ne pas me faire partir trop rapidement. Je fus ému, d’avoir été le spectateur engagé de ma propre jouissance.
Cela n’empêchait pas la jeune femme de pousser de petits cris déchirants de jouissance qui témoignaient de sa frénésie sexuelle et j’ai éprouvé alors un réel pincement au cœur d’observer pour la première fois le vif plaisir que mon amante pouvait me donner, je luis pris ses seins entre mes doigts.
Son compagnon fourrageait toujours la vulve de ma femme de ses lèvres et de sa langue, se mettant à laper bruyamment le jus qui giclait par à-coup, passant sa langue sur le pourtour extérieur et intérieur de ses lèvres et sporadiquement l’enfonçait dans son vagin en la faisant vibrer, ce qui lui déclenchait des spasmes de plaisir. Parfois aussi, il commençait à lui lécher depuis le bas de ses lèvres et remontait lentement mais implacablement vers son clitoris qui en frémissait d’impatience. Arrivant à destination, il soufflait un air chaud sur son petit bouton, attention dont Val était frémissait, passait quelques coups de langue sur le capuchon, puis de ses pouces, découvrait la tête et la suçait doucement comme un bonbon qu’on ne voudrait pas sentir fondre trop vite. Ces caresses subtiles la replongeaient dans un état de jouissance incandescent, elle gémissait de nouveau, serrant frénétiquement le bras de l’homme et de son autre main pressait la tête de l’inconnu contre son sexe.
Calée dans l’angle, les fesses près du bord, l’inconnu lui souleva les cuisses vers la poitrine et lui pris les mains pour les poser derrière tes genoux, lui signifiant ainsi son désir de maintenir ses cuisses contre elle, bien ouvertes, Val étais résolu et concentrer sur son sort. L’inconnu lui posa ses mains de part et d’autre de la fente qu’il écarta avec détermination et j’ai eu le sentiment que jamais tu n’avais eu un sexe aussi béant, offert et inondé. Il quitta ton clitoris pour descendre le long de ta fente, non sans que parfois il s’amuse à revenir un peu en arrière, en jouant adroitement de sa langue. Il laissait comme par négligence la courbure de son nez lentement passer sur ton clitoris et entre tes lèvres, ce que je ressenti pour toi comme la plus douce des caresses.
Je m’attendais à ce qu’il s’arrête au bas de ton sexe mais qu’il remontait sa langue poursuivant inexorablement sa progression, te léchant le périnée et se concentrant ensuite sur ton œillet. Dans la position où l’inconnu t’avait mise et qu’il avait accentuée en plaçant ses mains sous tes reins et en les soulevant, tu étais totalement offerte de l’anus au clitoris et il ne se privait pas de butiner là où sa fantaisie ou sa perception de l’acuité de tes réactions le lui soufflait. Tes gémissements se sont transformés en râles de plaisir d’une voix que je ne reconnaissais pas…
L’épouse de ton amant se redressa sur moi maladroitement, ankylosé par la position accroupie qu’elle avait tenue, et se pencha vers moi en s’appuyant sur un bras placé près de mon épaule. Tout de suite après, je sentis ma verge couverte qui commençait à s’enfouir d’elle, guidée par son autre main. Puis ses mains s’abandonnèrent autour de mon cou posant sa tête sur mon épaule dans la direction de son époux œuvrant sur la mienne. Seuls mon sexe fléchissant avaient visiblement joui et reprenaient son esprit à côté de moi tous en continuant à bénéficier des attentions de la main de l’amante.
De votre côté, la réaction instinctive de contracter ton vagin et d’émettre un regard presque implorant, qu’il esquissa, un sourire narquois, faisant mine d’une pause, comme s’il lui suffisait d’attendre patiemment la chute imminente d’un fruit bien mûr. Il aurait pu aisément passer outre à cette dérisoire opposition et s’immiscer car ton sexe était grand ouvert, baillant à l’extrême, lèvres rabattues sur chaque coté, excessivement lubrifié, ce n’était assurément pas les faibles contractions de ton vagin qui auraient pu opposer une quelconque résistance à une verge aussi rigide, appendice du rude gaillard.
Toutes ces considérations m’ont traversé l’esprit en un éclair et l’inanité, la stupidité de ce simulacre de baroud d’honneur me sont enfin apparues comme une évidence. Et, tu ne pouvais plus le dissimuler, brûlant d’assouvir enfin le désir sexuel ardent que l’inconnu avait savamment instillé en toi et qui maintenant te dévorait.
Val s’est alors détendue en poussant un soupir de résignation apparente qui dut lui paraître hautement comique. Comme pour s’assurer que sa capitulation était sans conditions, il commença par frotter son phallus sur le sillon et quand il sentit que tu projetais ton bassin en avant pour tenter de le retenir, il arbora sans vergogne un humiliant sourire de satisfaction et s’enfonça en toi allègrement, telle une troupe assurée d’investir sans résistance une place forte désertée par ses défenseurs, Tu sentis en suffoquant qu’il butait au fond de toi, te laissant du répits, il resta comme cela quelques instants, savourant sa victoire. Mais il savait que la couronne du conquérant requérait encore des efforts. Il posa ses bras tendus près de tes épaules et commença à te besogner par cercles concentriques. Ton vagin s’élargissait sous ses assauts, ton clitoris dardé frottait contre la base de son sexe, cela t’électrisait, tu te liquéfiais littéralement. Il se pencha plus encore en se mettant sur les coudes et t’embrassa d’abord les seins, suçant goulûment tes pointes durcies, puis pénétra ta bouche d’une langue experte qui en explorait tous les recoins.
Moi qui lors de tes premiers baisers un peu passifs, te contentant de me recevoir dans ta bouche sans réagir, tu te mis à répondre activement en venant sucer sa langue et forcer sa bouche, occupant à ton tour le terrain de l’agresseur. Il n’en fut manifestement pas tari car il poussa un grognement de contentement sans équivoque. Il se remit alors sur ses bras tendus et commença à aller et venir en toi fougueusement. Je compris qu’il voulait clore sa campagne sur une victoire triomphante que pour ta part, tu appelais certainement de tes vœux. Le plaisir devenait tellement aigu que tu poussais maintenant à haute voix les cris que tu ne pouvais plus contenir et aspirais bruyamment. Entre tes cris, de l’air à grandes goulées entrait dans ta gorge. Les mouvements en piston de son sexe venaient ébranler le fond de ton vagin, ton clitoris malmené envoyait dans tout ton corps des vibrations jouissives extraordinairement, tu bougeais ton bassin pour butter à sa rencontre. Tu ne pouvais plus retenir tes cuisses de ses mains et tes jambes vinrent se nouer autour de l’inconnu, l’enroulant comme une liane. Celui-ci glissa ses propres mains sous tes reins et les souleva, tu étais complètement arquée, tu t’agitais de façon incohérente ta tête qui reposait à peine sur la petite serviette et crispais tes mains sur le rebord de la banquette quand brusquement ce fut l’explosion, toutes les vannes s’ouvrirent, laissant passer un flot tumultueux ; tu poussai un dernier grand cri et te perdis dans un orgasme prodigieux. Tu restais quelque temps inanimé, reprenant lentement ton souffle et tes esprits jusqu’à ce que tu émerges de ta petite mort. Tu sentais brièvement quelques doux baisers sur ton visage et sur tes lèvres, ton amant t’aidait à revenir à la réalité. Mais le diable d’inconnu n’avait toujours pas joui et restait fermement planté dans ton antre, tout en te soutenant les cuisses que tu avais desserrées, te voyant peu à peu reprendre conscience, il s’activa pour réveiller complètement la belle endormie.
Comme certaines autres femmes, tu es capable d’enchaîner des activités sexuelles dans la foulée d’un orgasme, ce qui te value de la part de ton amant d’être tendrement traitée d’insatiable, de petite cochonne. Quand l’inconnu reprit avec douceur ses mouvements de va-et-vient, ta tension sexuelle rebondit, ce que tu manifestais en accrochant de nouveau tes jambes autour de lui. Il se pencha alors pour te prendre dans ses bras et d’un coup de reins, te souleva en te mettant debout. Tu te tenais à son cou, les jambes toujours serrées et son sexe bien fiché en moi. Il descendit ses mains sous tes fesses ; tout en marchant à petits pas, il te soulevait et te laissait retomber sur sa verge qui te perforait jusqu’au fond, laissant voir la base de son sexe couronné de ta cyprine et engluée ces grosses testicules.
Il ne manquait pas de venir embrasser tes seins qui étaient à portée de ses lèvres. Cette position te faisait défaillir, ta bouche ressemblait à ta chatte, ouverte et baveuse, c’en était trop pour toi, la jouissance te frappa une nouvelle fois, dans un cri qui déchira l’air.
Mais aussi fort qu’il fût, il ne pouvait pas porter indéfiniment une femme qui n’était plus une gamine et il te reposa debout. Quand tu émis une exclamation, il me semble de déception en le sentant se retirer de toi, il te prit par la main, s’assit dans le même coin en se calant contre la paroi et te fit asseoir sur lui, le dos contre sa poitrine. Il écarta les cuisses, mit tes jambes de part et d’autre des siennes et enfouit son sexe toujours vigoureux en toi. Il te pétrissait à son gré les seins, le ventre, les cuisses et la fente, en accordant une attention particulière a ton clitoris toujours aussi réactif, et donnait de petits coups de rein qui se répercutaient dans tout ton ventre.
D’autres couples entrèrent à ce moment là dans le hammam. Sans doute, l’heure avançant, l’établissement commençait-il à se remplir. Peut-être aussi le cri d’orgasme que tu avais poussé il y a peu, avait-il rameuté les badauds. Après un bref moment d’aveuglement lors de leur entrée, ils te voyaient, l’inconnu et toi, dans cette situation d’une indécence fascinante et formaient un cercle pour vous contempler.
Il continuait de plus belle à te caresser tout le corps, avec une lenteur délibérée, comme s’il voulait dispenser aux spectateurs captivés un cours magistral de caresses. Il t’embrassait le dos, le cou, te détournait le visage pour s’emparer de ta bouche qu’il fourrait de sa langue et ses doigts, et imprimait un rythme soutenu à ses coups de rein. Tu étais là, nue et prise devant ce public, devant ton mari, complètement ouverte par tes cuisses, ta cyprine évacuante de trop plein hors de ta fente, gagnant l’intérieure de tes hanches. Comme une poupée qu’un marionnettiste manipule à volonté et cette exhibition de tout ton corps, malgré ton fond pudique, te et me, remplissait de fierté et aiguisait ton excitation. Pour ajouter au caractère théâtral de la scène, il commença, comme au début avec sa compagne, à exhaler bruyamment des plaintes de plaisir.
Tu n’est pas, sauf aux moments les plus intenses, portée à de grandes effusions vocales quand tu fais l’amour, tu n’étais pas enclin à lui donner la réplique sur le même registre et tu aurais certainement souhaité plus de discrétion de ta part. Mais tu sentis ton plaisir s’amplifier à un point tel que tu ne pouvais le retenir et tu te laissas aller, sous l’aiguillon de la jouissance, à l’accompagner dans ses gémissements sonores. Ton amant te raconta que du tableau et du chœur acap pella que vous formiez se dégageait une telle intensité érotique que les virilités présentes s’érigeaient toutes comme par magie et les femmes les pressaient fébrilement de leurs mains.
Pour ta part, après avoir été le jouet docile de ses jeux qui t’avaient menée exactement là où il le voulait, tu tenais absolument à prendre ta revanche sur l’inconnu en le faisant jouir ; tu voulais l’avoir sous toi vidé de sa substance, annihilé, anéanti à son tour. Tu fermais les yeux, te calais bien contre lui, te concentrais sur ses mouvements que tu accompagnais en te dressant en rythme sur les bras, et contractais de ton mieux ton vagin pour le faire venir. Tu sentais l’inconnu soulever et écarter encore plus tes cuisses de ses mains, puis une bouche se colla à ton sexe, la langue venant lécher à grande lampée le haut de ta vulve, son épouse vous avait rejoint se délectant de vos liqueur commune, pendant que la verge de son homme poursuivait inlassablement ses mouvements. Sa main fourrée entre ses propres cuisses, deux doigts inquisiteurs…
En même temps, d’autres mains te caressaient, tu renonças à ouvrir les yeux, ouvrant les cuisses de cette manière, avait en quelque sorte un faite d’offrande de ton corps à l’assistance dont certains hommes et femmes, mus par un irrésistible désir, s’étaient avancés pour te caresser, te palper. Mais cette dernière initiative fut fatale pour ton amant et toi même, car tu t’est mis à pousser des cris stridents de jouissance et cela, joint à ce spectacle diaboliquement érotique, prenant le dessus sur son endurance phénoménale. Je perçus une brusque accélération de son rythme, suivie d’un arrêt subit de son sexe au fond de toi et il proféra alors une sorte de feulement sauvage et explosa en toi, et toi avec lui dans un millième orgasmes. Et moi une giclée de longs jets interminables frappant le vide, de ma masturbation.
Quand je revins à la réalité, le petit cercle s’était dispersé. L’inconnu qui avait débandé était affalé contre la paroi et reprenait avec peine son souffle ; sa compagne l’a tiré par la main, je me suis levée pour me blottir dans les bras de mon amour.
Avec eux, nous avons eu un long échange sur ce qui nous était arrivé et ce récit sans fard de ce qui s’est passé, de la façon dont j’ai réagi et de ce que j’ai éprouvé, en est le reflet.
Alors que je n’avais jamais fantasmé de participer à des jeux d’amour en groupe, je n’ai été à aucun moment inhibée ou heurté par le caractère scabreux de cette expérience, la première réaction de stupeur passée. Sans doute parce que celle-ci a été si inattendue, si fulgurante que ma capacité de réagir en a été paralysée. L’autre couple, clairement des libertins avertis, avait une stratégie à la fois « soft » et à la hussarde conçue pour prévenir toute propension à se rebiffer. Sans doute aussi, une irrépressible curiosité m’a amené au début à laisser les événements suivre leur cours et la situation est devenue par la suite si érotiquement envoûtante qu’elle a annihilée toutes velléités de résistance de notre part, pour autant qu’il y en ait réellement eu. Mais la raison majeure de notre faculté à assumer avec aisance une situation aussi impudique a tenu au fait que pendant cet épisode, ou du moins jusqu’à ce que l’inconnu te prenne, tu t’agrippai à ton amant, ce qui m’a permis de vivre sans appréhension ni retenue de ce qui nous arrivaient.
Une fois le couple disparu après avoir échangé nos coordonnées, nous nous sommes, toi et moi, retrouvés dans les bras l’un de l’autre, nous étreignant fiévreusement, transportés d’avoir vécu cette expérience. Je t’ai dit avoir adoré ce sentiment étrange de contempler en spectateur extérieur ta jouissance et de la partager pleinement avec moi, te tenant toute pantelante et gémissante dans mes bras et recevant mes baisers les plus fusionnels, jamais donnés. Tu avais absolument besoin de me dédier ton plaisir, tu m’as dit l’avoir ressenti comme cela et il te fallait me serrer très fort dans tes bras pour ce faire.
Pour ma part, ce fut une révélation stupéfiante que de vivre ce que je n’avais encore jamais expérimenté, l’ardente volupté éprouvée sous les assauts d’un inconnu, en symbiose avec son amante, dans une atmosphère purement sexuelle exempte de tout sentiment. Te sentir te laisser aller à cette merveilleuse jouissance, sans l’avoir recherchée, a été une sensation fabuleuse. Mais ce qui m’a le plus marqué, ce n’est pas tant les gestes sexuels eux-mêmes, somme toute assez classiques, que la nouveauté et l’étrangeté des situations exaltantes vécues qui m’ont permis d’éprouver des sensations érotiques inconnues et magiques. Je t’ai trouvé encore plus belle, je t’aime encore plus.