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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#876940
C’était au mois de Septembre dernier… Mon épouse et moi avions décidé de prendre des vacances bien méritées, loin de tout, loin du travail et des orages passagers, pour enfin se retrouver et profiter pleinement l’un de l’autre. Nous nous décidions donc pour une contrée lointaine, destination New York quelque peu hétéroclite mais ville terriblement excitante.
Curieux de nature, nous sommes aussi très complices, tant dans notre vie coutumière que sexuelle. Un tantinet hédonistes, nous aimons profiter de la vie et des plaisirs qu’elle nous offre.
Ma femme, Val, 42 ans, a de yeux en amande malicieux et tendres à la fois, de jolies petits seins , épilée parfaitement ,un corps de finesse que j’adore caresser, et de jolies fesses rondes et musclées. Moi, Phil, j’ai 45 ans, les cheveux châtain gris, un corps avec quelque kilo en trop mais qui fut sportif dans le passé.

Val ouvrit les yeux, au moment où l’avion entamais sa phase d’atterrissage, elle n’a plus vu la lumière du jour depuis notre départ, elle s’émerveilla devant tant de clarté, toute opposée à la grisaille du décollage. Le joli hâle de son corps relatais le séjours naturiste que nous venions de passer en Provence quelques semaines plus tôt.
Quelques heures plus tard, nous arrivâmes sur notre lieu de villégiature tant attendu… L’hôtel Tribe...était somptueux, façade simple de brique rouge situé au cœur de Manhattan ,a deux rues de Canal Street, bordé par Church Street, Walker Street et la sixième avenue, une décoration subtile et pourtant luxueuse aux lignes pures et élégantes, mélange de classicisme et de rehauts audacieux de couleur et de style apparaissaient, au sous sol des jardins luxuriants et un spa, des bassins ,des salles de massages pour la plus grande joie de Val ,hammam et sauna. On distinguait au loin des nymphes évoluant à moitié nues dans ce décor naturel, des corps de femmes s’offrant au soleil traversant la verrière, se faisant caresser voluptueusement, c’était pour le moins curieux et intriguant contraste...
Accompagné par notre groom service pour nous guider dans cette visite ,le garçon nous amène à notre chambre, nous sommes au 3e et dernier étage d’une série de chambres. C’est vraiment très beau et le soleil est encore très chaud pour cette fin d’après-midi. Nous pénétrons dans notre chambre et le garçon entre nos valises, ouvre les lumières et nous explique les petites choses à savoir pour le téléviseur et tout le reste. Val me glissant doucement à l'oreille« je n’ai qu’une seule envie, c’est qu’il parte au plus vite et que tu puisse me faire l’amour ».
Enfin, je le regarde quitter la chambre et je ferme la porte derrière lui et je me retourne dans l'idée de défaire déjà nos valises. Tu lève les yeux sur moi, et je te regarde droit dans les yeux et je te voie ôter ta robe par la tête. Tu te redresse ,défait ton ensemble sous vêtement blanc très sexy et distingué à la fois ,qui apprendrons à voler, tu t'avance vers moi et vient m’embrasser. Je te sent nue collée contre moi. Me fais sauter la ceinture et baisse mon Jean , capitulant sans force je me défais du haut, elle me coucha sur le lit et commença à me lécher. Elle me lécha partout ,de mes bourses à mon phallus,dressant ma queue qui coulait déjà de désir. Ne restant pas inerte je la trouvais de mes doigts inquisiteur trempée de désir, son sillon est un fleuve bouillonnant , mais tu désirais de suite que je te prenne. Je commençais à te pénétrer doucement et de plus en plus profondément. Je te sentais maintenant, fiché tous au fond de toi et en apprécient ta douceur, des va-et-vient facile et accélèrent le rythme. Nous étions au 7e ciel , ton visage était radieux. Nos jouissances arrivaient à grands galops, ton sexe frappais le mien sur le point de jouir tous les deux,j' aperçue une ombre au dessus de mon épaule,ce qui attira mon regard, tournant la tête je découvris avec surprise consternante qu'un homme black se tenais dans l'entrée de notre chambre, la bouche ouverte de désolation ,son regard pointé sur nous,ou plutôt sur nos sexes ,ton Vanity à la main ,un homme élégamment habillé ,musclé et d'une certaine opulence... Te temps me paru figé lorsque tes cris de jouissance me frappa les oreilles ,me demandant de te prendre plus fort de te baiser ,ton bassin venant à l'encontre du mien ,je compris qu'il était trop tard pour moi aussi sentant mon sperme monter et envahir ta grotte sulfureuse ,ce qui te déclencha irrémédiablement un nouvelle orgasme... Je me retira presque immédiatement de toi, créant un bruit vulgaire de flop et une incompréhension de ta part ,mon organe devenant flasque et ta chatte laissant échapper mon sperme ,dégoulinant et envahissant entre tes fesses.
Quel tableau offrions nous là ...L'homme se confédéra en excuses ,allant même nous chercher nos peignoirs dans la salle de bain posant ta valisette sur le sol...Tu découvris la scène ,tu rougis de suite et te releva largement honteuse de notre lit les jambes serrés essayant d’interrompre le flot de sperme qui atteignais dés lors le bas de tes cuisses, ce qui me procura un frisson et enfila prestement ton peignoir ,tous comme moi. Ne sachant pas vraiment réagir à cette intrusion voyeur bien involontaire ,nous l'avions bien compris ,je rassurais l' homme par rapport à son employeur et il pris congé avec désolation nous remerciant , mais malgré tous je me posa la question vu l'énorme bosse déformant son pantalon si cela était bien le fruit du hasard et pourquoi vraiment il nous avait remercié...

La journée se termina ensuite par un bon repas en amoureux. Nos vacances commencait très bien.

A suivre......Valphil.
#877584
Val reprend le récit:

Je voyais défiler toutes sortes de personnes dans ce hall d'entrée à l'allure atypique et je me demandais encore ce que je faisais là.
Une part de mystère m'intriguait profondément. Elle m'attirait vers l'inconnu de façon inextricable.
J'attendais sagement que l'on vienne me chercher. J'avais enfin réussi à vaincre mon impatience. Si proche du but, je me sentais pousser des ailes.
J'ignorais si ce moment que Phil avait préparé pour moi ,allait me plaire mais le connaissant je savais dores et déjà que je n'en ressortirais pas indemne ,pensais-je avec un sourire au coin des lèvres...
Quand on vint enfin me chercher, j'étais perdue dans mes pensées. Trouble plaisir, on me fit déshabiller ,je gardais sur moi mes sous vêtement mais la femme qui m'avait amenée dans les locaux massages et bien être ne l'entendit pas de cette oreille ,passa derrière moi ,me dégrafa mon soutien gorge et me descendit en s’accroupissant mon string ,oh combien je trouvais petit de toute façon...
Puis une autre femme s'approcha de moi. Presque nue elle-aussi, une toge à la Romaine. Nous étions à présent seules dans la pièce. Une lumière tamisée offrait à la pièce une ambiance chaleureuse et intime. Quelques bougies ornaient les alentours. Allyson se présenta à moi,elle était d'une grande sensualités, belle et fine ,dégageant un je ne sais pas mais qui me laissa aller dans l'ambiance, elle nous mis une musique de fond Indienne. Je me sentais apaisée. Je m'apprêtais à vivre une séance de relaxation et de bien-être. Mais quoi d'autre encore?
L'odeur qui régnait dans la pièce était à elle seule une invitation aux sens. J'adorais les huiles parfumées et leurs senteurs enivrantes et sensuelles. Allyson s'approcha de moi em me désignant la table de massage,le genre de table avec un trou préformé au niveau du visage. J'étais allongée sur le ventre, les cuisses serrées. La peau de ces mains étaient douces, Je sentis un long frisson parcourir mon corps tout entier lorsqu'elle posa ses mains sur mon dos. Une agréable chaleur m'envahissait subitement. Je fermais les yeux et savourais cet instant. Son souffle caressait délicieusement ma nuque.
Mes bras étaient placés des deux côtés de mon corps, à plat. Je m'abandonnais, sous les mains expertes de cette belle. Ma respiration était fluide. Toute la tension que j'avais accumulée ces derniers jours semblait s'être envolée. Comme par magie. Je sentais chacun de ses doigts sur ma peau. Sensation d'ivresse et tourbillon d'émotions. Allyson prolongea ses caresses jusque sur mes fesses. Elle s'y attarda avec plaisir il me sembla. Elle s'occupait à présent de mes jambes. Ses mains glissaient le long de mes cuisses. Avec une infime douceur et fermeté en union , elle descendit vers mes mollets, pour enfin atteindre mes pieds. Cette zone érogène éveillait tous mes sens. Avec de légères pressions, elle me prodigua un inconditionnel bien-être. Elle m'invita à me retourner. Sans même m'inquiéter de mon état , je m'exécutai, prenant soin de garder les cuisses serrées...
J'adorais enfin pouvoir la regarder à l'ouvrage. Ses yeux pétillants ne me laissaient pas indifférente. Son regard était devenu coquin. Je ne voyais plus que sa bouche. A demi-entrouverte. Ses lèvres m'attirais...
Placée derrière moi, elle avait désormais une vue imprenable sur mon intimité. Les yeux fermés, elle déposa d'abord ses mains sur mes épaules. D'un geste léger mais précis, ses doigts glissèrent entre mes seins. Le mouvement étaient fluide. Je déployais un peu plus d'efforts pour me contrôler. La pression était devenue palpable. Je sentais le désir monter peu à peu en moi. Ses caresses étaient de plus en plus sensuelles. De plus en plus ciblées. Ses mains ne descendaient jamais plus bas que mon ventre . J'avais très chaud. D'un geste lent, elle continua de contourner mes seins. Elle aimait me faire languir, l'orgasme montait peu à peu et bien malgré moi. Mes tétons se dressaient déjà vers le ciel et gonflaient ma poitrine sévèrement, mon corps me trahissait et je ne pouvais rien y faire...
Je sentais à présent les paumes de ses mains, effleurant délicatement mes pointes, jouant avec mamelons ,les pétrissant. Elle se pencha en avant et un de ses seins passa au dessus de sa tunique, je le trouva magnifique, elle ne me le cacha pas,le laissant à ma porter comme par provocation,j'avais très envie de lécher cette poitrine généreuse. Alors qu'elle me caressait les seins, ma main remonta et pris possession de son téton gauche, de ma langue humide et tiède, je caressais la pointe du dôme.. Je mouillais, le bas de mon ventre bouillonnait. Ses longs cheveux bruns caressaient mes épaules alors que je mordillais son téton. J'avais envie de l'aspirer.
Mais elle ne l'entendais pas comme cela et me demanda une nouvelle fois de me tourner sur le ventre ...La tête plongée dans le trous de la table de massage ,je me surpris à m'abandonner, observant les lattes de bois qu'ornais le sol et puis fermais les yeux.
Allyson m'écarta les cuisses et de ses doigts agiles, me pénétra mon intimité. Elle fut surement ravie de constater que son travail m'avait trempée. Je sentais le regard d' Allyson sur ma vulve, des gémissements s'échappaient de ma bouche et ma respiration était devenue haletante. J'avais terriblement envie d'elle, de jouir. Tandis que son autre main s'occupait de ma fente, elle attrapa ma main et me lécha goulument les doigts. Un à un. L'excitation était à son paroxysme.
Puis elle me demanda de l’excuser,me déposant une serviette tiède et parfumée du bassin à la tête , je me retrouvais en complète souffrance avec mon corps qui réclamait plus ,la torture était proche ...Mais je ne dû pas attendre longtemps son retour, je contractais de surprise l'entrée de mon vagin pour mieux sentir ses doigts me pénétrer. Ses doigts allaient et venaient en moi ,comme si elle me passait de la crème sur mes parois intimes,et en un éclair une chaleur embrasa ma chatte, pure délectation, instant de pur érotisme. Alors qu'elle ôtait ses doigts de mon intimité , je l'entendis faire fonctionner la table ,mes deux jambes, mes cuisses s’éloignaient défavorablement de l'une de l'autre, mécaniquement ,comme si cette partie du bas de la table se coupait en deux, je décida de ne pas bouger et de suivre le mouvement ,mon sexe , mes lèvres engluées de mon propre jus ,ouvertes sans que rien ne puisse l'en empêcher ,je sentais ma cyprine sortir comme libérée de son foureau ...Je coulais déjà sur mes babines.
Allyson avait vision sur mon intimité la plus cachée,la plus secrète et je la laissais faire...
Elle embrassa délicatement mes fesse faisant tournoyer sa langue ,puis je sentis une chaleur sur mon sexe, quelque chose de chaud et de doux me massait le clitoris, un sextoys nouvelle génération peut être pensais-je, j'étais au anges, cette chose approcha de mes lèvres déjà ouvertes et se glissa millimètre par millimètre à l' intérieure de ma chatte, ressortant et de nouveau progressant , déclenchant en moi une multitudes d'orgasmes pour lequel je ne pût rien faire,cette chose me pilonnait tendrement désormais ,je me sentais ouverte presque écartelée,faisant des efforts pour reprendre ma respiration à chaque attaque de la chose, ne comprenant pas comment Allyson me procurait ce plaisir si délicieux... Cet alors que je perçu en ouvrant les yeux au contacte d'une mains d' Allyson sur les épaules qu'elle se trouvait face à ma chevelure, jambes légèrement fléchies ,les doits s'agitant sur son clitoris, et de ce fait ,il était impossible qu'elle soit au deux endroits en même temps....Et je réalisais en deux secondes de ce que j'avais dans mon ventre ,sentent butter au fond à présent, palpiter la chose, reconnaissant le contacte de testicules contre mes cuisses...Je me faisais prendre par un autre que mon homme ,c'était sur que cela n'était pas mon maris, une constatation un peu honteuse et paniquante à la fois, sans visu, mais je sentais bien en moi que la taille était trop différente, elle me remplissait complétement ,écartant même les parois de mon vagin....Une jouissance exubérante me frappa alors de nouveau ,je me sentais me liquéfier ,j'avais des vertiges. Une sensation étrange me frappa. J'étais dans une autre dimension. Je n'avais plus conscience du monde qui nous entourait. Une bulle s'était refermée sur nous, nous coupant de l'espace temps. Sa brulure de plaisir glissait vers mon ventre et mes hanches. Je consumais de désir. Mon bassin de souleva de plaisir contre ma volonté ,j'en voulais plus malgré moi,et je sentais bien que cette bite grossissait encore. Entrouvrant délicatement mes lèvres vaginales avec ses doigts, une main titilla mon bouton d'or, une grosse main d'homme...Jamais je n'avais autant jouis ,ma cyprine débordais de toute part ,me découvrant nouvelles,le plaisir était immense... Ma jouissance était maintenant continue, jamais ma chatte n'avait eu un telle traitement ...J'entendis l'homme gémir ,accélérer ses mouvements et me pilonner avec force moi poupée de chiffon sans énergie. Cette chose,cette queue s'extirpa de mes entrailles avec un bruit de ventouse et je sentis sur mes fesses un jet de chaleur d'une grande quantité, m'inondant le creux de mes reins ,mon sillon ,coulant sur ma vulve ouverte ce qui déclencha un dernier soubresaut de mon corps rompu de plaisir...De longues minutes passèrent avant de pouvoir reprendre mes esprits , je sentis bouger derrière moi et releva la tête péniblement afin d'observer et de pouvoir mettre un visage sur l'homme qui m'avait baisée bien malgré moi. Ce que je vis me laissa hébétée , la vision d'un homme très musclé de grande taille..Je n'en revenais pas...Je m'était fais prendre par cet homme ,que j'avais déjà vu...L'homme black de la veille dans notre chambre ,cet homme m'avait possédé...Il s'en alla, la longue queue pandante ,découvrant cette séries de dents blanches dans son sourire.
Allyson me regardait d'un air malicieux, refermant les deux bras de la table à la base de mon bassin, mes jambes se refermèrent doucement, elle me lava le bas du dos avec soin,les parties intimes ,me huila en déposant quelque langoureux baiser...Je sentais que mes dernières forces n'allaient pas tarder à me lâcher. Comment j’allais pouvoir définir l'histoire à mon maris... Elle continua à me caresser avec douceur de plus en plus tendrement. Sans me rendre compte ma légèreté me pris et je m'endormis profondément.

A suivre....Valphil
#880217
Phil reprend l'écriture :

Après son réveil elle remonta rejoindre son maris dans la chambre qui l' accueillis avec tendresse et sourire sur ces lèvres, ne lui posant pas de question ,ils s' embrassèrent juste passionnément et quand elle voulu lui raconter comme une confession ,il lui mis le doigt verticalement sur ces lèvres en lui murmurant un chut ,un chut d'amour...
Elle passa la journée dans un état second et sentait une boule de chaleur irradier son ventre chaque fois qu’elle se remémorait la scène de la matinée. Elle n’en revenait pas du fait que ce garçon ait pu réveiller aussi fortement sa sensualité. Mais avec un peu de recul, son éducation reprenait le dessus et elle était un peu effrayée par la violence ,des sensations ressenties et la facilité de son abandon. Aussi refoula-t-elle son désir insidieux de retourner dans les sous sol de l’hôtel, aidé en cela par la présence de son mari à ses côtés pour leur deuxième journées de vacances.
New York City depuis le sommet de l'Empire State Building, voilà une visite incontournable!
Nous passions la journée à flâner, entre musées et galeries ,je la trouvais belle, heureuse de vivre...
Le soir ,habillées chiquement ,j'avais revêtu mon costume Hugo B. et mon épouse était resplendissante une longue robe de soirée noir satin fendu longuement sur le coté style porte feuille d'un très belle effet, je constata par une caresse naissante de sa nuque à sa croupe que nul sous vêtement n'étaient présent sur son corps ,je l'embrassa tendrement répondant à son regard malicieux et scintillent ,fière de son initiative... Notre hôtel appela un taxi jaune au pare-chocs chromé ,un jeune chauffeur au volant ,Look Pokora , un Marcelle blanc sur les épaules, nous conduisait à l'embarquement ou nous devions prendre le bateau. Mon épouse est moi ,étions proche de l'un et de l'autre ,d'une main je repoussa délicatement le bas de son manteau pour déposer ma main sa contact de sa robe soyeuse , les yeux de notre chauffeur attentif à son rétros intérieure, réglé de façon à pouvoir observé les clients derrière lui, alors que le taxi tentait de se faufiler dans les embouteillage.
Ce qui ne dérangea pas mon épouse qui pris ma main et la passa par l’échancrure de sa robe fendue, avec un regard très provocante et ostensoir. Le touché du galbe de sa peau douce me procura un frisson ,ma main remonta libérant par la même sa cuisse entière arrivant a son bassin ,effleurant chaque centimètre mes doigts remontèrent et plongèrent dans le creux de ses cuisses, tu écartas suggestivement tes cuisses me laissant libre accès , une sensation moite atteignis mes doigts au contacte de tes douces et fines lèvres imberbes, je les trouvais gonflées, puis passa mon index dans le creux de ton sillon ,tu étais trempée de désir, ta cyprine t'envahissait...
Notre chauffeur ne perdais pas une miette ,ses yeux rivés à chaque arrêt sur le miroir qu'il changeait de position maintenant sans relâche. Je retirais mes doigts et avec délectation je les portais à la bouche, ta main remplaça la mienne ,écartant un peu plus des cuisses ,me regardant avec provocation, tu titillas ton petit bourgeon qui sortit de son capuchon...
Notre voiture approchant du quai du fleuve Hudson ,mon épouse ajusta sa tenu, nous descendis ,je payais le taxi qui me remercia avec insistance et me glissant sa carte ,me faisant comprendre dans un Anglais de la cote est son attachement à vouloir nous servir...
Le dîner-croisière à New York de nuit est une idée luxueuse de sortie nocturne à l'ambiance de la Big Apple. longeant le à la lueur des lumières de Manhattan! Notre diné se passa merveilleusement bien ,sourires et rigolades mêles de sous entendus sexuels , la soirée était très chaude.
Le son de l'orchestre nous annonça le début des danses qui donna occasion de nous lever et à plusieurs reprises entrecoupé de cocktails bien relevé et de mets somptueux, combinaison unique d'ambiance romantique.
Un homme,la trentaine se présenta à notre table pour te demander avec élégance une danse ,tu te retourna vers moi mais je te pris de court en t'encourageant sur ça demande ,tu plissa tes lèvres dans un sourire distinct dû à mon assentiment, répondant à sa main tendu vers toi et te laissa entrainée dans la pénombre de la piste. Je remarqua, dès que tu te levas, que certains hommes posaient immédiatement leur regard sur toi, mais tu ne semblas ne même pas t’en soucier… Je vis dans leurs yeux une immense convoitise tant tu respirais le désir et le plaisir. Tellement tu est belle!
Ton cavalier t'entrainait te tenant par la taille , il avait une parfaite maîtrise de la chose, et te faisait tourner et revenant se plaquant à ton corps ,sa main au départ posée sur tes reins ,descendis progressivement vers la naissance de tes fesses, par moment et surtout dû au passe qu'il effectuait, te caressais par effleurement ,par contacte ,posant les mains à la naissance de tes seins,tes seins qui sous certaines lumières de la piste laissaient dévoiler leurs pointes durcis au travers du tissus de ta robe, l' homme ne pouvait nier ton absence de sous-vêtementsd...
Je te devinais bouillonnante, ton antre humide , tu transpirais ,je te trouvais étincelante...
Puis vint un slow, tu me regarda, répondant à ton sourire, tu continuas. Il t’enserra, vos corps s' emboîtaient l’un dans l’autre, tu te laissais porter par ces larges épaules, ses mains étaient perpétuellement en mouvement, tes seins bombés étaient compressés sur son torse, la main du jeune homme te tenait fermement contre lui, .Tu disparaissais et apparaissais de ma vision régulièrement mêlé aux autres couples, je te détaillais fermer les yeux, tu étais bien, j'imaginais que tu devais commencé à ressentir un gonflement perceptible car il me semblait frotter tous en le collant son bassin à toi. Le fait de penser que mon épouse pouvait sentir avec son ventre le sexe de l’homme, me troubla et m’excita encore plus... Il me semblait qu' il te parlait et tu riait. Il s’approchait à chaque fois de ton oreille et tu souriait accrochée par les charmes du type...Je surveillais ses mains, elles finirent par descendre sur les fesses de ma femme et si attarder,découvrant ses formes. Tu resta sans réaction visible de là où j’étais, hormis le fait que ta tête était maintenant posée sur son épaule. Une érection fulgurante prenait le dessus sur la jalousie de voir un type toucher ma femme, te peloter là devant moi. Val me jeta discrètement un sourire et un clin d’œil, elle savait que j'avais tout vu et cela me rassura un peu car elle jouait toujours avec moi. La danse finie tu l'attira vers moi à notre table,tu m'embrassa en me prenant dans tes bras ,glissant rapidement ta langue humide sur la mienne...

A suivre...valphil
#884272
Il se présenta à moi, et nous proposa très gentiment verre .
Pour cela John,le prénom de notre hôte voulu nous entrainer dans un autre endroit du bateau par une coursive et quelques portes ou il était indiqué « Not Enter, Private » ,Il nous fis rentrer dans un petit salon ,très chic ,la moquette épaisse ,musique discrète et lumière tamisée .
Quelques banalités échangées entre deux gorgées d’alcool et nous allons nous asseoir sur un des canapés installés de part et d’autre de la pièce Val entre John et moi. La conversation prie un ton badin et entre deux fous rires, John posa volontiers, comme par inadvertance, sa main sur la jambe de mon épouse, je posais aussi ma main sur l'autre cuisse, comme affiliation, tu te laissis faire t’enfonçant un peu plus dans le canapé, je repoussais délicatement un pan de ta robe ,laissant dévoiler un magnifique point de vue sur le haut de tes jambe et te glissais à l'oreille mon amour tu est belle, tu me répondis en prenant ma bouche de tes lèvres et enroulant ta langue autour de la mienne. Se sentant bien encouragé, la main de John partie à la découverte de ta cheville remontant le long de tes jambes jusqu’à trouver la chaleur de ta peau de ta cuisse. De mon coté je continuais mes caresses en remontant sur ta poitrine ,libérant au passage le nœud de ta robe , glissant entre les deux ouvertures , je rejoignis tes pointes tendues à l' extrêmes, tu gémissais doucement des prémices du plaisir ,j' abandonna ta bouche , regardant et observant notre invité, manifestement la situation n’avait pas l’air de lui déplaire ! Tu étais maintenant offerte sous ses mains pratiquement nue les deux pans de ta robe sur les cotés,je me retirais un peu pour vous regarder . John pris un de tes sein en bouche faisant virevolter sa langue sur des auréoles brune, puis tirant sur tes tétons ce qui les hérissa un peu plus ,puis remonta vers ton coups te couvrant de baisés passionnés tous le long ,sa main jouant avec tes pointes,te palpant, tu tournais la tête vers lui au moment ou ces lèvres arrivèrent à ta hauteur et naturellement se soudèrent aux tiennes , tu t'abandonnas à lui ,le désir si fort.
Tes cuisses s'ouvraient largement au contacte de ces doigts ,il s' immisça dans ton intimité, te fouillant , son index commence sa sarabande sur ton clitoris, vous faisiez danser vos langues au même tempo. Tu arrêtas un instant son baiser pour laisser un soupir sortir de ses lèvres en te cabrant légèrement ,lorsque son majeur se glissa à l’intérieur sans difficulté .
L’endroit était si accueillant chaud et très humide que son annuaire s’invita à rejoindre son frère. C’était maintenant de délicieux gémissements qu’exprimait ma belle, ma complice, ainsi encouragé, John fit pivoter son corps vers le sien ce qui libéra pour sa main droite l’accès à tes fesses et qui fit glisser ta tête vers son bassin, doucement ,te rapprochant inexorablement…Mon cœur battait la chamade, osera-t-elle? Jamais nos jeux ne nous ont conduits à aller aussi loin devant un inconnu… Sans même une hésitation, tu lanças tes mains vers la fermeture du pantalon de smoking, tu ressortit tenant cette nouvelle hampe et, fiévreusement fière de l'avoir délivré,lui qui ne demandait qu’à jaillir bien trop à l’étroit dans cette étoffe,
. Tandis que tu le caressais,le développant un peu plus, tu approchas ta langue rejouant au contact de son gland les arabesques identique à ces quelques heures plus tôt sur la glace de ton dessert. Puis elle lécha minutieusement la longueur de sa hampe, ses bourses tous lisses, de haut en bas et de bas en haut. Mon regard n’en perdait pas une miette. Val pris possession de cette queue fièrement dressé dans sa bouche ,suçant le bout bien renflé violacé goulument ,le pompant parfois bruyamment ,crachant dessus pour l'humidifier . Un océan de volupté le gagna assez vite sous ce traitement il s’occupait aussi de ton plaisir. Sa main droite à lui, flattait les fesses de ma délicieuse suceuse et ses doigts rejoignant ceux de sa gauche qui s’activait déjà dans ta chatte, te fouillant, te titillant ton bourgeons écartant ton sillon ,cette source qui trempait ton trou, réclamait plus, tu poussais ton bassin à son contact,ondulais ta croupe, il glissa un doigt dans ta grotte,puis deux sans aucune difficultés ,te mordant la lèvre ,tu gémissais de ce spasme comme ivre de plaisir.....
Mon sexe à moi avait la rigidité d’une statue et je me caressais sans honte, les yeux rivés sur le spectacle. puis reportai mon attention sur sa langue qui lapait un gland turgescent et coulant. Ma délicieuse salope glissais sa bite au plus profond de sa gorge, le buvant avec délice, faisant descendre tes lèvres jusqu’à ses couilles les avalant complètement puis tu remontais prendre un peu d’air et recommencer, tournoyant autour de son gland en le décalottant. Val était déchaînée...
John tous en se déshabillant me dit:« you to see how she loves my cock? I fucked your bitch, she is waiting for my cock ...»En lui souriant ,je lui répondis :«kiss well, let's enjoy and get a hit ...» en me dévêtissant moi aussi.
Il te stoppa délicatement de la pipe que tu lui prodiguais et te releva sur le canapé tendrement, il t'embrassa également, puis souleva ton bassin pour l'amener au bord du canapé, tu me regardais pendant cette manœuvre me masturber devant ce tableau idyllique, en passant ta langue sur tes lèvres, ton regard flamboyant se tournant maintenant vers la queue de John ,tu étais désireuses, je te vis, impatiente, de te faire baiser, de te délivrer des orgasmes qui te chatouillent...
La douce et lente intrusion d’un sexe est toujours une sensation divine. Cette fois-ci ne fait pas exception à la règle. La verge du dévoué John recouverte , te parût brûlante, malgré la chaleur de ta fente humide. Il approcha son gland de ton sexe et il le posa entre les lèvres et tout doucement, avança, je vis comme en gros plan, le fruit rouge s'ouvrir la chatte trempée et disparaître, se faire happer. La hampe disparut à la suite complétement. L’homme qui te baisait était planté tout au fond de ton ventre. Alors, il commença à aller et venir en elle ,un tendre et langoureux va-et-vient. Il savait ce qu’il fait. Il s’enfonça en toi, jusqu’à ce que ses hanches et ton pubis ne fassent plus qu’un .Tu étais comme une femelle en chaleur, râlant, gémissant, hoquetant. Tes fesses tremblaient un peu sous les assauts de ce mâle, tes seins tendus par le plaisir ballottaient. Puis John ressortit presque entièrement, te laissant croire à chaque fois que cela cessera. Sa joue est collée à la tienne ,il te parla , : «you are too good, little slut in heat ...!»,son souffle chaud te caressent l’oreille. Tu sentais ses mains retenant fermement tes hanches qui forment un appui naturel, de par leur légère rondeur. Au même rythme que la montée de notre plaisir, ses mouvements se font peu à peu plus rapides, tout en restant longs et doux. Tu sentais son gland qui écartait tes lèvres et pénétrait en toi, et je vis tes lèvres se refermer autour de son vit, et tu ressentis la douce sensation du frottement de son gland sur tes parois de ton intimité, s’enfonçant jusqu’à tendre le fond de ton vagin, juste ce qu’il faut entre l’exquise douleur et le plaisir fulgurant. L’homme donna des coups de reins de plus en plus violents, te faisant délirer...Regardant son sexe perforer ton ventre offert, tu sentais la pression exercée par son sexe sur ton petit point sensible à l’entrée de mon vagin. Le plaisir montait en toi et l’orgasme te frappait en continu, tu te sentais transportée...Les mains expertes de John se mirent à caresser ton corps, des hanches jusqu’aux seins qu’il palpait avec lenteur, faisant tourner son doigt autour de ton mamelon dressé. Soudain, il se retira en te tenant les seins fermement entre ses mains, écrasant sa bouche contre tes petites aréoles de chair brune. Ton regard croise le mien et je vois toujours cette lueur d’envie briller au fond de tes yeux. Malgré sa jouissance imminente, tu désire lui faire plaisir.
Il retire le condom couvert de tes sécrétions et découvre sa queue qui et enduite de son propre désir,se mit sur le coté et tu glissa son membre dressé turgescent et coulant, entre tes lèvres que tu referma, emprisonnant du même coup sa queue luisante . Tu adore avoir de l’emprise sur un homme. La meilleure façon de t’en rendre compte est de le prendre en bouche et de contrôler .
Je pris la place qu'il occupais précédemment ne pouvant plus freiner le désir monté en moi, je présente ma queue découvrant ta chatte inondée aux lèvres gluantes restée béante , elle m'absorba comme par aspiration ,je la découvris soyeuse ,ne voulant plus jamais la quitter tant l’accueil fût chaleureux.
Au même rythme que la montée de notre plaisir, les mouvements de Val se font peu à peu plus rapides, tout en restant longs et doux, tu tressaillais sous nos pénétration...
. Je regardais l'organe écarter tes lèvres et pénétrer en toi ,admirant la pointe de ta langue sous sa hampe, plaisir monte en elle-aussi et l’orgasme se rapproche. Je la découvre ce soir aimer la courbe du gland de notre compagnon, la peau lisse qu' il frotte sur sa joue, les veines sur lesquelles tu laisses courir le bout de tes doigts, puis le bout de ta langue et tes lèvres se font pulpeuses. Tu apprécies du goût enivrant de son pénis ...
La vision du visage de ma femme déformée par la recherche du plaisir et la danse de ses seins provoquèrent en moi une jouissance qui me fit vibrer tout le corps et me libéra de toute la tension accumulée lors des fellations, masturbations et autres caresses qui m’avaient maintenus sous pression jusqu’à ce point de non-retour, tu respirais bruyamment et ton orgasme m’avait comprimé mon pénis et quelques ondes de plaisir te parcouraient encore dans le corps. Les jambes écartées à l' extrêmes et sans aucune pudeur, tu se caressait le sexe qui luisait de mouille, ma queue en toi. La bite de John dans la bouche, tu la sentais gonfler de plus en plus par pulsion. À ce moment tu as sus qu' il allait jouir, mais tu ne t'échappas ,en me regardant droit dans les yeux, tu sentis de longs jets frapper le fond de ta gorge pendant que le liquide chaud t' emplissais la bouche, avalant une bonne partie, tandis que le reste s’échappait par les commissures de tes lèvres luisantes.
Passant ta main sous tes fesses, tu trouvas mes bijoux et, constatant que lorsque tu les caressais cela provoquait un durcissement accru de ma queue, se qui provoqua en moi quelque chose d'indescriptible, je m'enfonça au plus profond de ton gouffre, retenant mon souffle, ne bougeant plus, un dernier tressaillement me frappa pour finalement décharger ma semence avec violence au fond de ta grotte à l’instant même où , après quelques soubresauts, tu lâchas un dernier cri de délivrance suivi de plusieurs convulsions ,orgasme après orgasme, des orgasmes ce soir qui n’en finissaient plus.
Regardant John se masturbant depuis le moment ou il avait quitté ta bouche ,il explosa une nouvelle fois dans un long grognement de volupté, de grands jets frappèrent tes seins ,laissant de grande trainé blanche , tu caressas les seins les yeux clos ,éreintée de tant d'amour...
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#891986
Val reprend le récit:
Cinquième jours, Phil est partit tôt ce matin, pour une invitation professionnelle dans une caserne de Pompier étant lui même de la branche.
Il est neuf heures du matin ,je me prélasse dans notre lit seule et du temps devant moi ...Je m’ennuie de toi, de ta bouche, de tes mains, de ton corps. Depuis ton départ, je me sens délaissée, prisonnière que je suis dans mon isolement...Je suis songeuse et je repense à tous ce qui nous est arrivé...Relatant dans ma tête les grands moments de ces derniers jours...Ce qui éveille en moi des sensation pas désagréable. Au fur et à mesure de mes pensées je sent arriver ma bulle au bas ventre. J’ai envie de toi, de tes mains sur mes fesses, de ta bouche sur ma chatte et de ton bâton dans mon ventre. Je me met à penser que mes jouets intimes vont me manquer, et glisse ma main sur mon corps nu ,ce qui éveilles mes tétons se mettant à pointer au quart de tour, je me souris à moi même. Je repense à la photo que je t'ai envoyée ,celle de mon Iphone, dans les toilettes pour filles de mon bureau, photos de ma chatte ouverte et mouillé...Pour t' exciter.
Ma main se dirigea sur mon sexe juste constater l'étendue des dégâts, glissant l'index dans mon sillon et découvrant sans surprise ma liqueur, poussant un peu plus l'inquisition ,découvreuse de ma grotte inondée et de mon clitoris déjà décapuchonné, j'écarte les cuisses comme je fais avec toi...Je ne jalouse pas mes seins en les caressant, insistante sur les auréoles, très sensible ce matin...Mes deux doigts vers le clitoris. Ces deux doigts qui me servent toujours pour mes masturbations. Mon désir montait et ma cyprine envahissait mes fesse, je sentais l'orgasme arrivé....
La sonnerie de la porte retentit, j'ai fais un bon dans notre lit, car jamais, depuis notre arrivée, personne ne l’avait activée. Elle fait en plus un bruit épouvantable et lui reproche de gâcher mon rêve de douceur, mon désir s'échappant me laissant pour trace ma moule toute trempée.
J'enfile rapidement mon peignoir et machinalement, j’ouvre la porte et là mes yeux se posent sur deux ouvriers, d’allure assez douteuse qui me saluent en souriant. Le premier s’adresse à moi dans un français hésitant et avec un fort accent, il me parle de la terrasse, de travaux et de je ne sais quoi encore. Je me dis que je dois sans doute leur laisser l’accès à quelque chose pour faire leur boulot. C’est quand le plus costaud et le plus jeune des deux passe devant moi avec son sourire enjôleur que j’ai le déclic. Un très bref instant de trouble, l'homme qui ma prise deux jours plus tôt dans le salon de massage.. Je dois reconnaître qu’il est vraiment beau gosse, jeune, fort, souriant et avec des yeux très séduisants. Il sent l’homme qui travaille dur et son compagnon de besogne n’est pas mal non plus, dans le style plus typé hispanique et plus fin de corps. Il tente de m’expliquer dans un français très maladroit qu’ils sont les garçons à tout faire pour les trois immeubles de vacances dont le mien et qu’ils interviennent sur tous les petits travaux d’entretien. Le grand continue de me regarder, droit dans les yeux. Le petit salaud m’allume. Ce qu’il ne sait pas c’est que j’ai très chaud et très envie d’un homme. Lui joue les dragueurs de passage, moi j’ai envie de virilité, d’une toute petite entorse aux lois du mariage, sans mon mari pour une fois de plus.
Je constate que ces yeux me matent et que je suis peu habillée, juste mon peignoir, laisse entrevoir la naissance de mes seins toujours tendus et le bas de mes fines cuisses bronzées. Ses yeux courent sur mes jambes , déplorent sans doute mes petits seins qui déforment légèrement le coton mais se satisfont, je l’espère de mes hanches et de ma chute de reins parfaites. Là c’est moi qui lui souris, histoire de voir ce qu’il a dans le ventre. Le plus petit a ouvert sa caisse à outils et commence à vérifier le mécanisme de clôture des stores. Le grand lui n’a pas bougé, notre jeu de séduction et de défi réciproque se prolonge. Il passe négligemment une main dans ses cheveux, la lumière du jour accentue le charme de ses yeux. Il révèle une attractivité et un charisme étonnant pour son âge. Il ouvre, tout en faisant mine de le faire par habitude, son bleu de peinture et je vois jaillir du vêtement maculé, un maillot de corps très serré. Il cache à grande peine une belle peau bronzée et des muscles saillants aussi bien au niveau de bras puissants, que du torse gonflé et fier. J’ai du mal à ne pas regarder ce corps d’homme. La chaleur qui tenaille mon corps depuis mon réveil ne fait qu’être attisée, sublimée. Sans même m’en rendre compte, j’ai légèrement cambré mes reins en arrière. Je suis perdue, une partie de mon cerveau me commande de m’approcher de lui, d’embrasser à pleine bouche ces muscles saillants. L’autre envoi des signaux d’alerte pour dire qu’il est encore temps de passer dans la pièce d’à côté, de préparer un verre pour faire diversion. Mais je suis comme aimantée par son charme, son charisme et son sourire de jeune arrogant. C’est un désir de femme qui m’envahit, pas un désir primaire de jouvencelle apeurée ou de jeune amante, mais un désir profond de femme mûre, stable, mais qui veut exorciser son désir sans plus attendre. J’ai le vertige. Heureusement, il fait deux pas vers moi, il a réduit la distance de moitié et n’est plus qu’à deux ou trois mètres de moi, il continue à détailler mon corps. Je sens ses yeux sur mon ventre et un joli sourire s’est dessiné sur son visage. Je fais à mon tour un pas en avant, comme une acceptation, une révérence. Il est enfin juste devant moi, à quelques centimètres, je sens une petite odeur d’homme, je me sens soudain fragile, comme une fleur épanouie qu’on viendrait cueillir après l’avoir entretenue et préparée.
Puis il lève le bras ,pointant notre lit, je ne comprend pas , alors il s'avance touchant l'auréole sur le drap d'un doigt et le porte à sa bouche... Je ne sais pas comment réagir ,découverte et honteuse, un grand besoin de trou de souris...Prise comme une collégienne.
Je le vois revenir vers moi, il glisse une main dans mon dos et la passe entre mes fesses, il a une force incroyable et il me colle à lui en faisant une pression sur mon entrejambe. Je glisse mes mains au niveau de ses hanches et nos deux bouches se trouvent. C’est un baiser plein, avec la langue, charnel et terriblement érotique, déjà mon corps m’abandonne, je vais me donner à lui. Une deuxième main passe entre mes fesses et il me soulève. Je passe mes jambes de chaque côté de son bassin pour garder une prise et l’équilibre. Ses mains fortes malaxent mes fesses à travers le petit short, il m’embrasse fougueusement dans le cou et sur les épaules. Il me porte doucement et m’assoit sur la table, juste à la bonne hauteur. Ses mains attaquent la ceinture du peignoir et trouvent très vite mes seins. Il les prend sans peine à pleine main à travers le coton entre-ouvert. Il me sourit. Mes tétons durcissent incroyablement et je sens avec délice la légère brûlure du bronzage matinale. Sa langue remplace ses mains pour flatter mes petits seins arrogants et fermes. Il les lèche et les mordille un peu jusqu’à ce que je couine, simulant la douleur. Il me couche à moitié vers l’arrière et écarte un peu mes jambes pour se coller à moi. Sa langue parcourt mes épaules, mes seins et mon ventre qu’il gobe avec délices et attention. Chaque parcelle de ma peau goûte avec délice sa langue chaude et râpeuse.
D’une main habile, il ouvre son pantalon de travail, le laisse tomber sur ses genoux et m’invite à me relever. Pour m’ajuster et répondre à ce que je devine être une invitation, je m’accroupis un genou au sol et finit de dégager son sexe de sa prison de tissu. On ne peut pas être un beau jeune homme musclé avec autant de charme et d’assurance et manquer de ce qui est essentiel. Je constate avec malice que son sexe est de bonne taille, mais surtout bien épais comme je les aime, se qui éveille en moi des souvenirs,. Doucement je le flatte, il est bien raide, je caresse doucement ses bourses sans poils et intime un petit va-et-vient provocateur. Il a basculé la tête en arrière et glissé ses mains dans mes cheveux. Doucement la pointe de ma langue embrasse son ventre dur et je descends centimètre par centimètre vers ses atouts prometteurs. Le premier contact de la pointe de ma langue sur son gland est électrique, et je l’enfourne bientôt. Comme tous les hommes, cela l’excite terriblement et il a cet habituel empressement en appuyant sur ma tête. C’est inutile, j’ai l’expérience de ce type de plaisir et je fais disparaître la plus grosse partie de sa belle verge jusqu’au fond de mon palais, ma langue essaie de se frayer un chemin pour une caresse exquise. Bien sûr, la pression sur mes lèvres est maximum pour enserrer son sexe et maximiser son plaisir. Je le garde un long moment bien au fond en le regardant, il est aux anges et, dès que le souffle me manque, je recrache sa virilité en l’embrassant. Il en redemande et je prolonge son plaisir par un doux va-et-vient plus classique et moins exigeant pour ma bouche. Il est terriblement dur et je m’attaque à ses couilles. Je les gobe partiellement en bouche et les suce un peu, de taille sympathique. Ma langue excite ses testicules, je les lèche, les reprends en bouche et les cale au fond pour l’exciter au maximum. Il est un peu surpris par cette attention, mais nullement réticent. J’ai maintenant les deux mains sur ses fesses et je suce à fond son sexe par des mouvements rapides et une succion appliquée de son gland. Il m’invite à me relever et il fait définitivement glisser son pantalon. Il a vraiment un joli corps, musclé de partout, mais très viril et velu, ses fesses sont magnifiques. Doucement, il me tourne et siffle entre ses dents. Ses yeux se portent sur mon dos nu, mes fines hanches galbées et mes fesses fermes et arrogantes à la fois. Il me soulève une nouvelle fois et me re-déposant sur la table, il écarte doucement mes cuisse et avec les deux pouces mes lèvres intimes... J'ai une pensé honteuse mais furtive de ce qu'il découvre, mais déjà sa langue me lèche doucement mon entrejambe, c’est délicieux et j’adore cela! Cette langue chaude vient caresser de sa pointe l’échancrure de mes lèvres souillées de plaisir, elle force l'entrée et tente de s’insinuer dans mon sexe. La caresse est adorable, à la fois torride et câline avec le frottement sur mon sexe échauffé. Je ferme les yeux et commence à gémir doucement. Il accompagne bientôt la langue de ses doigts qui caressent mon petit anneau et mon clitoris. Un doigt dans chaque orifice et il accélère le va-et-vient. C’est à la fois un peu vulgaire, mais terriblement efficace pour voir céder mes dernières résistances au plaisir. Je ne peux plus feindre en jouant le rôle de la femme habituée et exigeante. Je n’y tiens plus, je le veux en moi, je veux tout simplement qu’il me baise. Il le sait et fait durer le plaisir, caressant mes cuisses, mordillant doucement mes fesses. Il me dit que j’ai un cul génial, que je suis belle, qu’il a envie de moi. Que ma chatte est fine, douce et soyeuse. Que je suis une vraie femme, une invitation au plaisir sans limite. Sa bouche plonge entre mes fesses. Il me dévore littéralement, alternant des plongées vertigineuses entre les lèvres pour lécher mon vagin avec un suçon gourmand sur mon clitoris. J’ai chaud, j’ai envie d’une bonne queue pour me calmer. Quand va-t-il me soulager? l donne enfin des signes d’impatience et m’accompagne en me plaçant dos à lui, penchée contre la table et les fesses bien arquées en arrière. Il chausse un préservatif et passe plusieurs fois son sexe entre mes fesses en jouant avec mes lèvres pour bien le lubrifier. Il prend position dos à moi, son sexe collé contre le mien. Il ploie sur ses jambes musclées et entre en moi d’un coup jusqu’au fond, mon sexe et délicieusement accueillant, chaud et humide, avide d’être rempli et brusqué. Les premiers aller-retour profonds et puissants sont un vrai soulagement, tant mon sexe le désire, il commence à me pilonner gentiment, ses lourdes couilles viennent taper contre mes fesses arquées. Il pose les deux mains sur mes épaules pour bien prendre appui et accentuer sa pénétration. Il trouve son rythme maintenant et, à la façon d’un harder de film X, me bourre sans retenu en serrant les dents. Il transpire, mais il semble prendre un pied pas possible, car il gémit plus fort que moi. Ses mains tentent de rejoindre mes seins pour les pincer doucement puis c’est ma bouche dans laquelle il veut fourrer ses gros doigts pour l’écarteler et faire mine de me violenter. Chevauchant fièrement et bruyamment, il se vide une première fois dans le préservatif dans un long grognement. Son collègue, curieusement absent jusqu’alors s’est rapproché, plus timide, je me demande même s’il va oser entreprendre quelque chose. Mon amant s’adresse à lui dans sa langue puis il me susurre à l’oreille en m' indiquent le lit. Il me prend dans ses bras et sur mes indications, me porte jusque là. Il m’allonge et m’écarte grand les cuisses. Son collègue entreprend prestement de se déshabiller entièrement. Il se couche à côté de moi. Son corps est beaucoup plus svelte, mais il arbore une longue queue fine et nerveuse. Il est imberbe, mais assez musclé. Un joli jeune homme à croquer à pleine dent. Il est moins expérimenté et commence à me rallumer à l’aide de quelques coups de langue désordonnés entre mes cuisses, puis il me fait mettre en levrette, accompagnant sa demande de quelques petites fessées. Il veut jouer les hommes durs, son compère se fend d’un petit clin d’œil moqueur. Rapidement, il me pénètre et commence à me faire l’amour et calant bien mon fessier entre ses deux grandes mains. Il a moins d’expérience et est plus maladroit, mais je suis bien bloquée et il me lime méthodiquement. Son collègue a repris consistance en nous matant et il s’impatiente. Il décide que je vais me mettre à califourchon sur son compère qui commence juste à gémir. C’est chose faite et je suis maintenant bien assise à onduler sur la plus fine et la plus longue des deux verges. C’est agréable et mon désir commence à monter dangereusement. J’ondule et je descends régulièrement sur ce sexe qui vient bien me fouiller jusqu’au fond, c’est une sensation différente d’un gros sexe bien épais comme je les aime, mais pas désagréable. Insidieusement, le plus beau des deux apollons est passé derrière moi et il tente de lécher mon arrière-train malgré le va-et-vient imposé par son collègue, il se cale enfin et commence à lécher méthodiquement mon petit anneau, je devine où il veut en venir. J’ai pour habitude d' interdire ce chemin même à mon mari pourtant il est doux et habile. Mon premier amant a été habile dans les choses du sexe et je décide de laisser faire pour le moment. Il accompagne ses caresses buccales d’un petit doigt, qu’il fait entrer progressivement dans mon anus avec sécurité et précaution. Avec étonnement cela rentre assez facilement, j’ai aussi envie de ce côté là aujourd’hui pour la première fois, décidément cette semaine de vacances se promet d’être décadente et cette journée amorale. Il m’embrasse dans le cou, dans le dos et demande ma permission à l’oreille d’une voix hispanisante, mais suave. Après avoir simulé une brève réflexion, je lui donne mon accord, mais pas trop longtemps. Il a craché dans ses mains et malaxe la pointe de son sexe, je lui dis qu’il a un tube de gel sur l’étagère de la salle de bain. En moins de temps qu’il n’en faut, il revient et étale généreusement le gel sur toute la surface de son sexe. Il entreprend ensuite de caresser mon petit trou doucement et dépose une généreuse quantité de gel autour de mon anneau. Ses doigts, gros, mais habiles, le préparent avec application. Son collègue transpire maintenant abondamment et il semble avoir du mal à garder la mesure. Mes instincts me commandent de retenir mon plaisir qui commence à monter, je sais que le plus excitant est à venir, à condition de tomber sur un homme expérimenté et généreux. Il recommence à m’embrasser, à caresser mes épaules, à flatter mes fesses. Le premier homme s’est bloqué au fond de moi, pour laisser mon deuxième amant prendre place. Doucement, il intime une infime pression à l’entrée de mon anus et pousse progressivement, sans brusquerie. Mon orifice étoilé se détend petit à petit et une bonne moitié du gros sexe est entré,je ne me reconnait pas, il fait une petite pause et continue à m’embrasser, le deuxième homme me prend par les mains et enserre les doigts à mesure que je serre les dents. Doucement, ce ballet de corps s’organise, trouve sa cadence et entame sa longue marche vers le plaisir et l’orgasme. Le bel hidalgo tient ses promesses, à la fois fort dans l’allure et doux avec ses attentions. Lentement une onde de chaleur s’est nouée dans mon ventre, ces deux queues qui s’activent l’une contre l’autre éveillent mes sens et me transportent petit à petit vers l’orgasme. Le plus petit des deux hommes est au bord de la rupture, l’effort physique fait se crisper son visage et il émet des grognements mêlant fatigue et jouissance. Le plus fort, lui, reste dans le rythme, ses deux larges mains calant bien mes fesses qu’il lime avec puissance et cadence. Mon plaisir monte irrésistiblement et je ne peux plus retenir mes cris, annonciateurs d’un plaisir pervers. J’ai planté mes ongles dans les épaules de celui qui s’active sur mon vagin et il ralentit sa cadence, extenué. Il reste cette jolie queue entre mes fesses qui ne faiblit pas. Il lâche mes fesses et me prend par les cheveux. Ce geste plus viril est annonciateur d’un baroud final. Il se crispe à son tour et donne de grands coups de reins en me pilonnant frénétiquement jusqu’à la gaine. Son sexe entre et sort de mes fesses et mon anneau est maintenant complètement rougi et écartelé. J’ai posé mes mains sur ses hanches pour accompagner son pilonnage et nous explosons ensemble comme à l’unisson. Sa grosse queue crache son plaisir. Les deux garçons déchaussent les capuchons de plastique. Doucement mon sodomiseur approche le sien de ma bouche et le retourne avec un air provocateur. Je me plie de bonne grâce à ce petit fantasme d’homme. Doucement son sperme gras coule et glisse au fond de ma bouche. Je ferme les yeux et avale sa semence âcre avec un sensuel mouvement de langue et me précipite pour l’embrasser. Nous rions de bon cœur quand un filet de semence réunit nos deux bouches. Comme pour confirmer ma bonne impression sur cet homme, il congédie le second et nous glissons sous les draps. Je suis étonnement bien et ce qui a démarré comme un plan cul une matinée de chaleur se transforme en un après-midi de caresses et de baisers. Je l’invite une dernière fois entre mes cuisses et dans ma bouche pour goûter au plaisir d’un rapport plus calme et plus intime, dans un lit, en prenant son temps comme à la maison. Vers 17 heures, je l’accompagne vers la porte et lui dis adieu avec un dernier baiser baveux. Moins d’une heure après, mon beau Phil est de retour, je vais lui raconter et il s’occupera de sa jolie petite femme. Je lui souris, car c’est lui mon amour même si j’espère qu’il se contentera de mon entrecuisse.
#917479
Mon épouse est une femme qui longtemps à eu une vie sexuelle très classique mais qui à évoluée au fur et à mesure de notre vie, elle est pour moi ma femme, mon amie et mon amante, même si parfois l’amant ou l’amante, nous nous disons parfois que l’attention exagérée que nous attachons à notre travail entrave notre libido plus que de raison. Nous essayons que notre vie commune soit épicurienne, faite d’entente et de découvertes, appréciant en commun la bonne chaire, le vin et les voyages. Aucune lassitude ne doit venir altérer notre vie sexuelle ce qui ne nous empêches pas d’entrer dans d’autres pâturages, si l’herbe y était plus verte. Par nature et éducation, Val plutôt pudique, évitant de choisir des vêtements déshabillés ou de rester nue, même dans l’intimité. Elle porte maintenant volontiers des ensembles plus décolletés qui mettent en valeur un haut de poitrine et des seins qui s’assurent être attirants. Nous sommes allés pendant nos dernières vacances sur des plages naturistes et elle à été conquise par le bien-être éprouvé à se retrouver nue au soleil, dans des endroits où nous bénéficions d’une relative intimité, n’étaient les pitoyables voyeurs qui venaient régulièrement « inspecter » les lieux un peu isolés que des naturistes, souhaitant comme nous éviter la foule, choisissaient. A mesure du temps elle devint étonnamment indifférente à leurs regards insistants et ils finissaient par se lasser et s’éloigner, elle se sentait merveilleusement bien. Ces cajoleries visuelles, jointes à l’effet des rayons du soleil vers lesquels elle orientait son entrejambe, la mettait dans un état de vive excitation, sexe que je comparais à un beau fruit gorgé de sucs. Je suis souvent frustré dans ces moments d’interludes de ne pouvoir, du fait des voyeurs, d’ y faire longuement aller et venir mes doigts ou les siens pour la faire jouir, retrouver une apparence de sérénité est parfois très dure.

Ce sixième soir, après le long récit de ces ébats du jour, nous décidons d’aller dans un club-sauna, le Merrymakers sur Harlemm Rd, comme nous étions arrivés assez tôt, il n’y avait pas encore foule et nous avons entrepris une visite tranquille du club: Les « coins câlins » étaient vides, nous en avons profité pour échanger quelques caresses et sommes revenus sur la piste de danse où se trouvaient un plus grand nombre de personnes. Nous avons dansé tendrement quelque temps jusqu’à ce que nous réalisions que nous étions quasiment seuls. Nous sommes alors allés revoir les coins câlins et avons découvert une pièce dans la pénombre où, au centre, sur une large plateforme octogonale rembourrée, plusieurs femmes sur le dos ou en levrette recevaient des hommages masculins vigoureux, sans que l’on puisse discerner si des mains ne s’égaraient pas au-delà des couples ainsi formés. Tout autour, des spectateurs silencieux et concentrés contemplaient la scène, certains d’entre eux n’hésitant pas à dispenser des caresses aux participants pour apporter leur contribution aux actions en cours. Plus loin diverses petites alcôves, occupées par des couples dénudés, leur offraient le lieu approprié pour former les figures géométriques sophistiquées que leur imagination et leurs envies leur inspiraient. Enfin, dans le fond, il y avait deux grandes salles bien éclairées où des couples s’adonnaient aux mêmes activités. Nous avons ainsi observé une belle jeune femme se faisant prendre de face puis en levrette par un homme très performant ; elle poussait des plaintes lancinantes, d’une voix rendue rauque par le plaisir qui semblait émaner du plus profond de son corps, pendant que son mari ou son compagnon lui pressait tendrement les mains. L’expression de jouissance qui marquait le visage de la jeune femme, les bruits mouillés que provoquaient les allées et venues du pénis de l’homme couvert d’un préservatif, le caractère incroyablement exhibitionniste de cette scène nous firent à tous deux une forte impression et dans les jours qui suivirent, des flash-back de cette vision nous revinrent à l’esprit.
Attenant au club, au travers d’une énorme porte rouillée, le site était différent, rappelant sans équivoque les thermes Romains nous avons été favorablement surpris par l’atmosphère détendue de l’endroit et le comportement de bon ton qui y prévalait, tout au moins au cours de cette soirée réservée aux couples. Si les scènes observées nous sont restées à l’esprit et sur le moment ne nous laissaient pas insensible, je caressai la poitrine de ma douce pendant que nous regardions les ébats, ses seins libres par le soutien-gorge ouvert pointaient en avant. Nous avons ressenti une excitation sexuelle forte au point d’avoir envie de nous joindre à l’activité des participants.
L’accueil a été aussi impersonnel qu’à un guichet d’un quelconque cinéma mais de notre enfance, nous avons reçu des serviettes, une petite et une grande chacun, les dames ayant également droit à un paréo, et une petite pochette comportant, outre la clé d’un casier vestiaire et un préservatif, un bracelet doté d’une attache permettant de la porter au poignet ou à la cheville comme à la piscine. Un bref passage aux vestiaires et nous voilà rapidement revêtus, moi de ma grande serviette et Val de son paréo. Un couloir mène de l’entrée-bar à la salle de douches ouvertes, une flèche indique hammam et sauna. Un escalier que nous avons descendu donne accès à plusieurs alcôves de dimensions différentes avec des coussins. Cela nous rappelle celles du club libertin précédent, mais avec un caractère d’établissement de bains. La lumière est très tamisée.
Jusqu’à présent, nous n’avons entraperçu que quelques clients au sauna, par la porte vitrée, c’est encore tôt. Nous sommes remontés et sommes entrés dans le hammam après avoir pris une douche et accroché grandes serviettes et paréo à des patères extérieurs. Il y faisait une douce et agréable chaleur. Nous avons été aussitôt enveloppés par une vapeur d’eau épaisse qui ne nous permettait pas de distinguer quoi que ce soit malgré la taille réputée petite de la salle, bénéficiant seulement de la faible pénombre provenant de la lumière du couloir filtrée par deux séparations faites de larges lattes en plastique translucide. Nous nous sommes assis à tâtons dans le coin droit en face de l’entrée et avons commencé à nous embrasser et caresser tendrement. Qu’il était sensuel de se câliner nus dans cette atmosphère !
Soudain, nous avons entendu des gémissements. Un couple, que nous n’avions pas remarqué et que nous ne voyions toujours pas, était dans un autre coin, se manifestant des attentions plus avancées que les nôtres. Les gémissements s’accéléraient, l’homme proférait des «Yes, Yes, It's good» et les réitérait de plus en plus fort. Nous étions toujours dans notre coin et l’activité de ce couple, dans la même salle, était troublante. J’ai souri et me suis mis à embrasser mon amante de manière plus enfiévrée et à lui caresser le sexe qui prenait de belles formes, ma douce fermant les yeux,
Alors que nous étions sur notre petit nuage, nous laissant aller aux sensations des baisers et des caresses échangés, Val, tout à coup senti des mains sur son pied droit posé sur la banquette en cuir, l’autre reposant par terre, et à ouvert les yeux pour essayer de comprendre ce qui se passait, nous avons vu dans le brouillard du hammam le couple qui s’était rapproché, l’homme prenant par l’arrière la femme qui était penchée sur elle et poursuivait les premiers contacts en lui passant les mains sur le mollet, la cuisse et la poitrine. La femme, sans doute de son âge, avait de jolies formes, un visage doux et agréable, des seins pleins et ronds. L’homme était bien bâti et avait probablement dépassé la quarantaine.
Sur le moment, elle est restée interdite certainement par l’absence du moindre signe annonciateur, étant à cent lieues d’attendre à une telle initiative de la part de ce couple. Toute décontenancée et n’arrivant pas à se décider, à la repousser tant ses caresses étaient délicates, comme pour éviter de s’effaroucher, elle est restée d’abord inerte. Puis la situation se prolongeant, elle esquissa gauchement une vague caresse sur son épaule. Enhardie, elle s’est penchée plus encore, repoussant son paréo dans le sens attraction terrienne pour lui embrasser la poitrine, le ventre et le haut du pubis, la découvrant à tous, les cuisses de ma femme se sont alors doucement écartées, avec conviction. Puis le compagnon de celle-ci posa à son tour contacte de ses doigts sur la chatte de ma femme, comme pour prendre le relais, au début, les caresses de l’inconnu sur sa vulve ce sont faites un peu trop pressantes mais rapidement se sont faites plus légères avec conviction, geste doux et impérieux. Val a commencé à s’émouvoir sous l’effet de ses attouchements, renonçant de ce fait à tout semblant de résistance. La tentation de vivre la suite des événements devenait irrésistible et j’ai. Je me sentais à la fois dépassé par ce qui lui arrivait et dans l’attente fébrile de ce qui allait s’ensuivre. Un sentiment fugitif de mauvaise conscience m’a effleuré l’esprit mais a été rondement chassé par la sensation de ne pouvoir de toute façon la soustraire aux caresses de l’inconnu.
J’ai alors vu l’homme effleurer les seins de ma femme pendant que celle-ci comme subjuguer leva le bras en direction du sexe, fièrement dressé…Val faisait aller et venir sa main sur sa queue.
Je lui ai dit par la suite qu’elle était si fortement accrochée à lui, que j’ai éprouvé un étrange sentiment d’incrédulité à de la voir toucher cette autre membre que la mien, à la limite, de presque jalousie.
L’inconnu s’est penché sur elle pour lui caresser l’épaule et la poitrine puis lui embrasser le sein droit, pressant la pointe de son sein contre sa bouche. Ce baiser, plus viril que ceux de sa partenaire, m’a fait beaucoup plus d’effet comme à ma femme d’ailleurs, qui laissa échapper un gémissement. Encouragé par ces signes de volupté et d’abandon, il a entrepris de la fouiller de ses doigts, ce qu’elle facilita en écartant un peu plus les cuisses. Mais elle restait encore contractée et serrée, et ce n’est qu’au bout d’un moment qu’il a réussi à la pénétrer complètement. Il y allait avec vigueur, je l’ai sentie s’ouvrir, commencent à éprouver un vif plaisir au contact de ses doigts qui allaient et venaient dans son vagin et massait délicieusement les parois.
J’avais toujours cette impression étrange et envahissante malgré cette délectation visuelle de caresse de cet homme sur ma femme, tandis que la jeune femme surgie de nul part m’étreignait avec vigueur, je savourais malgré moi ces sensations fortes et diffuses avec un sentiment d’irréalité et de plénitude qui me faisait perdre la notion du temps. Tous ces attouchements simultanés venant de quatre personnes différentes me transportaient dans un état second mais mon sexe m’embrasaL’inconnu a penché la tête vers la mienne et m’a embrassé le cou et le visage. J’ai alors quitté du regard mon épouse pour me tourner vers elle, elle s’est aussitôt emparé de mes lèvres et j’ai senti sa langue douce et dure à la fois chercher la mienne.
A un moment, l’être féminin m’a pris la main pour la poser sur sa chatte et porter sa main avec coordination sur ma verge raidie et brûlante. J’avais jusque là passivement subi les caresses de l’inconnu sur mon épouse et me satisfaisais de cet état rassurant qui me paraissait m’exonérer de toute responsabilité dans cette situation singulièrement licencieuse. Aussi ai-je eu des scrupules à prendre un rôle actif vis à vis d’elle tout en étant dans les bras de son amant d’un soir.
Il devait être très remué par le plaisir qu’il lui procurait car il se mit à se masturber vigoureusement tout en continuant d’aller et venir en elle avec ses doigts. J’ai à ce moment là eu des remords de l’avoir délaissé alors que lui ne ménageait pas sa peine pour la faire jouir, et faisant fi de mes réticences malvenues, j’ai répandu mes doigts sur sa moule, toute moite de son jus, de sa propre excitation et d’avoir précédemment été possédée par son compagnon.
Mais je commençais moi-même à partir, le plaisir devenait de plus en plus aigu, j’avais besoin de m’abandonner totalement à ma jouissance. La femme avait ouvert les cuisses autant qu’elle le pouvait, se laissant partir en arrière en me serrant passionnément les yeux mie clos…
Val s’abîmait dans les sensations de son antre enflammé, elle haletait, et ne pouvais retenir de sourdes plaintes. Elle était une source brûlante et jaillissante au gré de ses spasmes de plaisir, j’entendais les clapotis que provoquaient les mouvements sans relâche des doigts dans son vagin, elle se laissait aller sans retenue.
Puis l’inconnue s’est arrêtée de me travailler. J’ai cru tout d’abord qu’elle s’accordait une pause bien compréhensible pour récupérer des efforts qu’elle avait si généreusement déployés et qu’elle allait ensuite reprendre les voluptueux mouvements de ses doigts. Je restais focalisée sur son sexe qui brûlait d’être à nouveau comblé de trois de mes doigts, quand j’ai senti un souffle chaud sur mon gland, ce qui m’électrisa, et lui créa de légers soubresauts.
Je l’ai vu accroupi entre ses cuisses tout ouvertes après l’avoir posé dos sur la banquette en plaçant une petite serviette pliée sous sa tête. L’inconnu a commencé à effleurer l’intérieur de ses cuisses de doux baisers puis a pressé sa bouche contre ses lèvres ruisselantes, la faisant tressaillir et gémir.
Par le fait d’un demie-orgasme émanant de ma queue, j’ai cherché du regard celle qui avec ferveur me prodiguait tant de plaisir, la jeune femme pleines d’initiatives était alors à califourchon sur mes cuisses et qui effectuait des va-et-vient sur mon membre. Val me précisa par la suite que la jeune femme, probablement et non sans raisons envieuses de la jouissance que j’avais exprimée, avait ouvert sa pochette pour se saisir du préservatif et en avait revêtu mon vit sur lequel elle s’était prestement empalée. Elle avait aussitôt entrepris d’énergiques mouvements de bassin, comme pour parvenir expéditivement à une jouissance libératrice de la frustration sexuelle qu’elle avait accumulée jusque là, envieuse et impatiente d’être remplie mais aussi freinant ses ardeurs pour ne pas me faire partir trop rapidement. Je fus ému, d’avoir été le spectateur engagé de ma propre jouissance.
Cela n’empêchait pas la jeune femme de pousser de petits cris déchirants de jouissance qui témoignaient de sa frénésie sexuelle et j’ai éprouvé alors un réel pincement au cœur d’observer pour la première fois le vif plaisir que mon amante pouvait me donner, je luis pris ses seins entre mes doigts.
Son compagnon fourrageait toujours la vulve de ma femme de ses lèvres et de sa langue, se mettant à laper bruyamment le jus qui giclait par à-coup, passant sa langue sur le pourtour extérieur et intérieur de ses lèvres et sporadiquement l’enfonçait dans son vagin en la faisant vibrer, ce qui lui déclenchait des spasmes de plaisir. Parfois aussi, il commençait à lui lécher depuis le bas de ses lèvres et remontait lentement mais implacablement vers son clitoris qui en frémissait d’impatience. Arrivant à destination, il soufflait un air chaud sur son petit bouton, attention dont Val était frémissait, passait quelques coups de langue sur le capuchon, puis de ses pouces, découvrait la tête et la suçait doucement comme un bonbon qu’on ne voudrait pas sentir fondre trop vite. Ces caresses subtiles la replongeaient dans un état de jouissance incandescent, elle gémissait de nouveau, serrant frénétiquement le bras de l’homme et de son autre main pressait la tête de l’inconnu contre son sexe.
Calée dans l’angle, les fesses près du bord, l’inconnu lui souleva les cuisses vers la poitrine et lui pris les mains pour les poser derrière tes genoux, lui signifiant ainsi son désir de maintenir ses cuisses contre elle, bien ouvertes, Val étais résolu et concentrer sur son sort. L’inconnu lui posa ses mains de part et d’autre de la fente qu’il écarta avec détermination et j’ai eu le sentiment que jamais tu n’avais eu un sexe aussi béant, offert et inondé. Il quitta ton clitoris pour descendre le long de ta fente, non sans que parfois il s’amuse à revenir un peu en arrière, en jouant adroitement de sa langue. Il laissait comme par négligence la courbure de son nez lentement passer sur ton clitoris et entre tes lèvres, ce que je ressenti pour toi comme la plus douce des caresses.
Je m’attendais à ce qu’il s’arrête au bas de ton sexe mais qu’il remontait sa langue poursuivant inexorablement sa progression, te léchant le périnée et se concentrant ensuite sur ton œillet. Dans la position où l’inconnu t’avait mise et qu’il avait accentuée en plaçant ses mains sous tes reins et en les soulevant, tu étais totalement offerte de l’anus au clitoris et il ne se privait pas de butiner là où sa fantaisie ou sa perception de l’acuité de tes réactions le lui soufflait. Tes gémissements se sont transformés en râles de plaisir d’une voix que je ne reconnaissais pas…
L’épouse de ton amant se redressa sur moi maladroitement, ankylosé par la position accroupie qu’elle avait tenue, et se pencha vers moi en s’appuyant sur un bras placé près de mon épaule. Tout de suite après, je sentis ma verge couverte qui commençait à s’enfouir d’elle, guidée par son autre main. Puis ses mains s’abandonnèrent autour de mon cou posant sa tête sur mon épaule dans la direction de son époux œuvrant sur la mienne. Seuls mon sexe fléchissant avaient visiblement joui et reprenaient son esprit à côté de moi tous en continuant à bénéficier des attentions de la main de l’amante.
De votre côté, la réaction instinctive de contracter ton vagin et d’émettre un regard presque implorant, qu’il esquissa, un sourire narquois, faisant mine d’une pause, comme s’il lui suffisait d’attendre patiemment la chute imminente d’un fruit bien mûr. Il aurait pu aisément passer outre à cette dérisoire opposition et s’immiscer car ton sexe était grand ouvert, baillant à l’extrême, lèvres rabattues sur chaque coté, excessivement lubrifié, ce n’était assurément pas les faibles contractions de ton vagin qui auraient pu opposer une quelconque résistance à une verge aussi rigide, appendice du rude gaillard.
Toutes ces considérations m’ont traversé l’esprit en un éclair et l’inanité, la stupidité de ce simulacre de baroud d’honneur me sont enfin apparues comme une évidence. Et, tu ne pouvais plus le dissimuler, brûlant d’assouvir enfin le désir sexuel ardent que l’inconnu avait savamment instillé en toi et qui maintenant te dévorait.
Val s’est alors détendue en poussant un soupir de résignation apparente qui dut lui paraître hautement comique. Comme pour s’assurer que sa capitulation était sans conditions, il commença par frotter son phallus sur le sillon et quand il sentit que tu projetais ton bassin en avant pour tenter de le retenir, il arbora sans vergogne un humiliant sourire de satisfaction et s’enfonça en toi allègrement, telle une troupe assurée d’investir sans résistance une place forte désertée par ses défenseurs, Tu sentis en suffoquant qu’il butait au fond de toi, te laissant du répits, il resta comme cela quelques instants, savourant sa victoire. Mais il savait que la couronne du conquérant requérait encore des efforts. Il posa ses bras tendus près de tes épaules et commença à te besogner par cercles concentriques. Ton vagin s’élargissait sous ses assauts, ton clitoris dardé frottait contre la base de son sexe, cela t’électrisait, tu te liquéfiais littéralement. Il se pencha plus encore en se mettant sur les coudes et t’embrassa d’abord les seins, suçant goulûment tes pointes durcies, puis pénétra ta bouche d’une langue experte qui en explorait tous les recoins.
Moi qui lors de tes premiers baisers un peu passifs, te contentant de me recevoir dans ta bouche sans réagir, tu te mis à répondre activement en venant sucer sa langue et forcer sa bouche, occupant à ton tour le terrain de l’agresseur. Il n’en fut manifestement pas tari car il poussa un grognement de contentement sans équivoque. Il se remit alors sur ses bras tendus et commença à aller et venir en toi fougueusement. Je compris qu’il voulait clore sa campagne sur une victoire triomphante que pour ta part, tu appelais certainement de tes vœux. Le plaisir devenait tellement aigu que tu poussais maintenant à haute voix les cris que tu ne pouvais plus contenir et aspirais bruyamment. Entre tes cris, de l’air à grandes goulées entrait dans ta gorge. Les mouvements en piston de son sexe venaient ébranler le fond de ton vagin, ton clitoris malmené envoyait dans tout ton corps des vibrations jouissives extraordinairement, tu bougeais ton bassin pour butter à sa rencontre. Tu ne pouvais plus retenir tes cuisses de ses mains et tes jambes vinrent se nouer autour de l’inconnu, l’enroulant comme une liane. Celui-ci glissa ses propres mains sous tes reins et les souleva, tu étais complètement arquée, tu t’agitais de façon incohérente ta tête qui reposait à peine sur la petite serviette et crispais tes mains sur le rebord de la banquette quand brusquement ce fut l’explosion, toutes les vannes s’ouvrirent, laissant passer un flot tumultueux ; tu poussai un dernier grand cri et te perdis dans un orgasme prodigieux. Tu restais quelque temps inanimé, reprenant lentement ton souffle et tes esprits jusqu’à ce que tu émerges de ta petite mort. Tu sentais brièvement quelques doux baisers sur ton visage et sur tes lèvres, ton amant t’aidait à revenir à la réalité. Mais le diable d’inconnu n’avait toujours pas joui et restait fermement planté dans ton antre, tout en te soutenant les cuisses que tu avais desserrées, te voyant peu à peu reprendre conscience, il s’activa pour réveiller complètement la belle endormie.
Comme certaines autres femmes, tu es capable d’enchaîner des activités sexuelles dans la foulée d’un orgasme, ce qui te value de la part de ton amant d’être tendrement traitée d’insatiable, de petite cochonne. Quand l’inconnu reprit avec douceur ses mouvements de va-et-vient, ta tension sexuelle rebondit, ce que tu manifestais en accrochant de nouveau tes jambes autour de lui. Il se pencha alors pour te prendre dans ses bras et d’un coup de reins, te souleva en te mettant debout. Tu te tenais à son cou, les jambes toujours serrées et son sexe bien fiché en moi. Il descendit ses mains sous tes fesses ; tout en marchant à petits pas, il te soulevait et te laissait retomber sur sa verge qui te perforait jusqu’au fond, laissant voir la base de son sexe couronné de ta cyprine et engluée ces grosses testicules.
Il ne manquait pas de venir embrasser tes seins qui étaient à portée de ses lèvres. Cette position te faisait défaillir, ta bouche ressemblait à ta chatte, ouverte et baveuse, c’en était trop pour toi, la jouissance te frappa une nouvelle fois, dans un cri qui déchira l’air.
Mais aussi fort qu’il fût, il ne pouvait pas porter indéfiniment une femme qui n’était plus une gamine et il te reposa debout. Quand tu émis une exclamation, il me semble de déception en le sentant se retirer de toi, il te prit par la main, s’assit dans le même coin en se calant contre la paroi et te fit asseoir sur lui, le dos contre sa poitrine. Il écarta les cuisses, mit tes jambes de part et d’autre des siennes et enfouit son sexe toujours vigoureux en toi. Il te pétrissait à son gré les seins, le ventre, les cuisses et la fente, en accordant une attention particulière a ton clitoris toujours aussi réactif, et donnait de petits coups de rein qui se répercutaient dans tout ton ventre.
D’autres couples entrèrent à ce moment là dans le hammam. Sans doute, l’heure avançant, l’établissement commençait-il à se remplir. Peut-être aussi le cri d’orgasme que tu avais poussé il y a peu, avait-il rameuté les badauds. Après un bref moment d’aveuglement lors de leur entrée, ils te voyaient, l’inconnu et toi, dans cette situation d’une indécence fascinante et formaient un cercle pour vous contempler.
Il continuait de plus belle à te caresser tout le corps, avec une lenteur délibérée, comme s’il voulait dispenser aux spectateurs captivés un cours magistral de caresses. Il t’embrassait le dos, le cou, te détournait le visage pour s’emparer de ta bouche qu’il fourrait de sa langue et ses doigts, et imprimait un rythme soutenu à ses coups de rein. Tu étais là, nue et prise devant ce public, devant ton mari, complètement ouverte par tes cuisses, ta cyprine évacuante de trop plein hors de ta fente, gagnant l’intérieure de tes hanches. Comme une poupée qu’un marionnettiste manipule à volonté et cette exhibition de tout ton corps, malgré ton fond pudique, te et me, remplissait de fierté et aiguisait ton excitation. Pour ajouter au caractère théâtral de la scène, il commença, comme au début avec sa compagne, à exhaler bruyamment des plaintes de plaisir.
Tu n’est pas, sauf aux moments les plus intenses, portée à de grandes effusions vocales quand tu fais l’amour, tu n’étais pas enclin à lui donner la réplique sur le même registre et tu aurais certainement souhaité plus de discrétion de ta part. Mais tu sentis ton plaisir s’amplifier à un point tel que tu ne pouvais le retenir et tu te laissas aller, sous l’aiguillon de la jouissance, à l’accompagner dans ses gémissements sonores. Ton amant te raconta que du tableau et du chœur acap pella que vous formiez se dégageait une telle intensité érotique que les virilités présentes s’érigeaient toutes comme par magie et les femmes les pressaient fébrilement de leurs mains.
Pour ta part, après avoir été le jouet docile de ses jeux qui t’avaient menée exactement là où il le voulait, tu tenais absolument à prendre ta revanche sur l’inconnu en le faisant jouir ; tu voulais l’avoir sous toi vidé de sa substance, annihilé, anéanti à son tour. Tu fermais les yeux, te calais bien contre lui, te concentrais sur ses mouvements que tu accompagnais en te dressant en rythme sur les bras, et contractais de ton mieux ton vagin pour le faire venir. Tu sentais l’inconnu soulever et écarter encore plus tes cuisses de ses mains, puis une bouche se colla à ton sexe, la langue venant lécher à grande lampée le haut de ta vulve, son épouse vous avait rejoint se délectant de vos liqueur commune, pendant que la verge de son homme poursuivait inlassablement ses mouvements. Sa main fourrée entre ses propres cuisses, deux doigts inquisiteurs…
En même temps, d’autres mains te caressaient, tu renonças à ouvrir les yeux, ouvrant les cuisses de cette manière, avait en quelque sorte un faite d’offrande de ton corps à l’assistance dont certains hommes et femmes, mus par un irrésistible désir, s’étaient avancés pour te caresser, te palper. Mais cette dernière initiative fut fatale pour ton amant et toi même, car tu t’est mis à pousser des cris stridents de jouissance et cela, joint à ce spectacle diaboliquement érotique, prenant le dessus sur son endurance phénoménale. Je perçus une brusque accélération de son rythme, suivie d’un arrêt subit de son sexe au fond de toi et il proféra alors une sorte de feulement sauvage et explosa en toi, et toi avec lui dans un millième orgasmes. Et moi une giclée de longs jets interminables frappant le vide, de ma masturbation.
Quand je revins à la réalité, le petit cercle s’était dispersé. L’inconnu qui avait débandé était affalé contre la paroi et reprenait avec peine son souffle ; sa compagne l’a tiré par la main, je me suis levée pour me blottir dans les bras de mon amour.
Avec eux, nous avons eu un long échange sur ce qui nous était arrivé et ce récit sans fard de ce qui s’est passé, de la façon dont j’ai réagi et de ce que j’ai éprouvé, en est le reflet.
Alors que je n’avais jamais fantasmé de participer à des jeux d’amour en groupe, je n’ai été à aucun moment inhibée ou heurté par le caractère scabreux de cette expérience, la première réaction de stupeur passée. Sans doute parce que celle-ci a été si inattendue, si fulgurante que ma capacité de réagir en a été paralysée. L’autre couple, clairement des libertins avertis, avait une stratégie à la fois « soft » et à la hussarde conçue pour prévenir toute propension à se rebiffer. Sans doute aussi, une irrépressible curiosité m’a amené au début à laisser les événements suivre leur cours et la situation est devenue par la suite si érotiquement envoûtante qu’elle a annihilée toutes velléités de résistance de notre part, pour autant qu’il y en ait réellement eu. Mais la raison majeure de notre faculté à assumer avec aisance une situation aussi impudique a tenu au fait que pendant cet épisode, ou du moins jusqu’à ce que l’inconnu te prenne, tu t’agrippai à ton amant, ce qui m’a permis de vivre sans appréhension ni retenue de ce qui nous arrivaient.
Une fois le couple disparu après avoir échangé nos coordonnées, nous nous sommes, toi et moi, retrouvés dans les bras l’un de l’autre, nous étreignant fiévreusement, transportés d’avoir vécu cette expérience. Je t’ai dit avoir adoré ce sentiment étrange de contempler en spectateur extérieur ta jouissance et de la partager pleinement avec moi, te tenant toute pantelante et gémissante dans mes bras et recevant mes baisers les plus fusionnels, jamais donnés. Tu avais absolument besoin de me dédier ton plaisir, tu m’as dit l’avoir ressenti comme cela et il te fallait me serrer très fort dans tes bras pour ce faire.
Pour ma part, ce fut une révélation stupéfiante que de vivre ce que je n’avais encore jamais expérimenté, l’ardente volupté éprouvée sous les assauts d’un inconnu, en symbiose avec son amante, dans une atmosphère purement sexuelle exempte de tout sentiment. Te sentir te laisser aller à cette merveilleuse jouissance, sans l’avoir recherchée, a été une sensation fabuleuse. Mais ce qui m’a le plus marqué, ce n’est pas tant les gestes sexuels eux-mêmes, somme toute assez classiques, que la nouveauté et l’étrangeté des situations exaltantes vécues qui m’ont permis d’éprouver des sensations érotiques inconnues et magiques. Je t’ai trouvé encore plus belle, je t’aime encore plus.

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