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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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par Sophie973
#877281
Et bien me voilà devenue "grande" et j'ai pris mon propre nom de domaine pour mon blog !!!

Retrouvez maintenant mes récits à cette adresse : http://www.sophie-de-rawensky.fr

Il est toujours bien sur 100% gratuit, et vos écrits y sont les bienvenus ! Même si vous faites des fautes énooooooooooooormes, que cela ne vous freine pas, je vous corrigerai !



De plus, j'ai enfin trouvé le compagnon candauliste de mes rêves, et nous filons le parfait amour, en jouant de plus en plus à nos jeux de coquins... Mais de coquins complices....

A très vite sur mon blog, avec vos commentaires, et vos histoires !
#877286
Pour vous donner un aperçu de notre nouvelle vie de candaulistes, voici une aventure arrivée cet été...

Samedi soir, vingt-trois heures, rues de Cayenne.
Nous faisons une balade en voiture, avec mon chéri, Fritz, après un diner romantique au restaurant. Nous passons devant quelques bars, et là, je lui dis :
« stoooooooooooop ! »

Il stoppe aussitôt et m’interroge du regard.
« Tu n’as pas vu le mec, sur la terrasse ? Il est comme j’aime !
- Non, mais si tu veux, on va prendre un verre…
- Oui, avec plaisir. Tu iras le chercher pour moi ?
- Tout ce que tu veux, ma chérie… »

D’un seul coup, la soirée vient de prendre une tournure nouvelle.
Nous nous garons, et nous installons à la terrasse, à deux tables du jeune homme. Décidément, il me plait : un beau black, crane rasé, des bras fermes et musclés comme je les aime. Il est uniquement avec des amis masculins. C’est bon signe, pas de petite amie jalouse pour l’empêcher de venir… A moins qu’il ne soit gay. Ce qui n’arrangerait pas mes affaires ! Mais je vais être vite fixée.

Firtz se lève et se dirige vers lui. Je n‘entends pas leur conversation, à cause du bruit de la rue. Mais je la devine aisément. Le jeune homme a l’air tout à fait incrédule, mais me regarde avec un sourire. Un nouveau bon point !

Et il avance vers moi :
« Bonsoir Madame, est-ce que votre mari dit vrai ?
- C’est à dire, repondis-je, voulant faire durer le plaisir…
- Ben, il me dit que... enfin, que vous... bon vous voyez ce que je veux dire ?
-Oui… lui souriai-je, amusée de son embarras. Je voudrais bien te connaitre de façon plus intime !
- Ah bon, mais pourquoi ? On ne se connait pas !
- Justement, c’est l’occasion. Je t’ai vu, tu m’as plu, on vient te parler !
- Ok, mais vous attendez quoi de moi ?
- Je voudrai que tu me fasses l’amour devant mon mari. Rassure-toi, il ne te touchera pas !
- ….
- Tu ne dis rien ? »

Il est vraiment interloqué, ne sachant si je suis sérieuse, ou si je me moque de lui. Il regarde Fritz, qui approuve :
« Oui, je veux que tu baises ma femme devant moi. Elle adore ça, et moi aussi. Nous sommes très très sérieux. Et si tu es d’accord, on y va dès maintenant.
- En fait, je ne sais pas, je ne suis pas habitué à ça. Vous êtes une belle femme. J’aimerai prendre une blanche…
- Eh bien, allons-y ! Tu n’as rien à perdre !
- Ok, je vous suis, ma voiture est là-bas. Au fait, moi, c’est Driss.
- Enchantée. Moi c’est Sophie et mon mari, Fritz. »

Nous finissons nos verres en vitesse, le temps qu’il parle à ses amis. Ils ont l’air aussi stupéfaits que lui quelques minutes avant. Ils lui donnent une grande claque sur le dos comme pour l’encourager. Cela me fait sourire…

Nous remontons en voiture, et l’attendons. Il nous fait un appel de phares. Nous démarrons en direction de la plage. L’endroit idéal est près des Salines, même s’il y a souvent des homos qui cherchent l’aventure.
Après quinze minutes de route, où nous discutons des détails de ce qu’il va se passer, nous arrivons enfin.

Fritz sort du coffre une grande couverture, et je le vois glisser un paquet de capotes dans sa poche.
Driss s’approche de nous, un peu intimidé :
« Vous savez, on ne m’a jamais fait une telle offre ! Il n’y a pas de piège ?
- Mais non, lui répondis-je, amusée. Je veux juste que tu me fasses l’amour devant mon mari. Il aime me voir jouir, et j’aime voir ses yeux me dévorer de désir quand je suis avec un autre. Tu dois juste faire comme s’il n’était pas là !
-Ok, mais je ne sais pas si… »

Je lui cloue le bec avec un baiser. Je l’attrape par la main, et me dirige vers le sable. Fritz étend la couverture sous des palétuviers, un peu à l’abri des éventuels regards. Nous nous laissons tomber dessus, Mon chéri un peu en retrait. Je continue d’embrasser ma proie de ce soir, en ne lâchant pas mon homme des yeux.

Il s’enhardit, et commence à me caresser les seins. Je frémis sous sa grande main puissante. Il me malaxe comme si j’étais de la terre glaise. J’adooooooooooore !
Sans perdre de temps, il descend une main vers mon bas-ventre, se glissant dans l’élastique de ma jupe ample.
D’un geste expert, il écarte le coté de mon string, et pousse un petit soupir :
« Mhumm C’est bien humide tout ça… J’en boirais bien un peu…
-Mais vas-y, je ne demande que ça…
-Je vais te boire jusqu’à la dernière goutte. Enfin, si ton homme veut toujours… »

Il a un regard encore u peu inquiet vers Fritz.

Celui-ci l’encourage :
« T’en fais pas, je monte la garde ! Fais tout ce qu’elle veut ! »

Je m’allonge sur la couverture, admirant au passage un ciel superbe, avec une lune qui nous éclaire comme en plein jour…

Driss retrousse ma jupe, et se penche, pour me faire retirer mon string. Il se recule, et m voilà allongée sur le sable, éclairée par cette lune, les jambes écartées, offerte aux regards des deux hommes, visiblement « en forme ». Une belle bosse fort prometteuse déforme le Jean de Driss... Je suis de plus en plus excitée…

Enfin, il se couche entre mes cuisses, et pointe une langue ferme sur le coté de mon clito. Je sursaute, tant la décharge électrique qui me parcourt est puissante… il continue sa caresse, commence à passer sa langue dans tous mes recoins intimes..
« Nooooooooooon, je ne veux pas jouir tout de suite », me dis-je, déjà au bord de l’explosion…

Dans ce genre de situation, il m’arrive de jouir une première fois très vite, bien trop vite à mon gout !!!

Mon chéri s’approche de nous, s’assoit près de moi. Il m’embrasse fougueusement, les yeux rivés sur la bouche qui me fouille. Il encourage le jeune homme :
« Vas-y mon vieux, mange-là partout, ouvre-là pour aller bien profond… »

Pour l’aider, il glisse deux doigts dans ma chatte, et écarte les petites lèvres bien grand. Driss en profite pour enfourner sa langue encore plus loin. De son autre main Frit commence à me branler le clito. Il ne m’en faut pas plus pour hurler de plaisir. J’explose en criant… Peu importe s’il y a du monde !!!

Driss semble surpris par l’ampleur de mon orgasme… Fritz lui fait signe de continuer, et le jeune homme fourrage de plus belle dans ma grotte détrempée. Il lape ma mouille comme un chiot son lait. Il ne m’en faut pas plus pour jouir encore. Je sens mes deux hommes stopper net, l’oreille aux aguets. En effet, des bruissements de feuilles se font entendre… Et deux silhouettes masculines se découpent sur le ciel clair.
« Eh ben, on s’ennuie pas ici !!!
- Si vous voulez mater, vous pouvez rester. Sinon dégagez, leur intime Fritz.
-Vrai, on peut mater la cochonne ?
- Un peu de respect, s’il te plait, gronde mon chéri. Vous pouvez rester, mais pas touche, et pas d’insultes !
- Ok, on, on regarde… » murmure l’autre.

Ils se reprochent un peu. Je vois un qui déjà masse sa braguette. Décidément, ce soir, c’est ma fête !! Deux hommes pour moi, plus deux voyeurs !!! Je suis comblée !

Je m’adresse à Driss :
« Eh, viens-donc un peu par là… je veux voir cette belle bite que tu caches…
- Tout ce que ut veux, ma belle. Tu as envie de me sucer ?
- Ca dépendra de ce que je verrai ! lui repondis-je en riant.
- Voilà… »

Le temps de se rapprocher de mon visage, il a sorti son engin de son jean. Une belle queue noire, brillante de son excitation… il bande comme un turc, le gland touchant son nombril.
« Whoua, le mec, quelle bite ! s’exclame un des voyeurs. Dis, tu veux aussi voir la mienne ?
- Vas-y, sors-là, j’aime voir des grosses queues de blacks. »

Aussitôt dit, aussitôt fait, je vois jaillir deux pieux massifs, l’un plus court que l’autre, mais plus large. Je me pince les seins tant je suis excitée par cette vue. Mon homme ne veut pas être en reste, et sort la sienne. Me voilà cernée par quatre superbes organes virils, dressés et dur comme l’acier... Quel régal !

Les deux voyeurs entament une lente masturbation à un mètre de moi, pendant que je me saisis du pieu massif de Driss. Il doit bien faire dans les vingt-deux ou vingt-trois centimètres. J’en fais à peine le tour avec mes doigts !


Je le branle avec douceur, puis de plus en plus fort. Il s’approche plus de moi, et je peux enfin gouter ce gland rose foncé et massif... Ma petite bouche ne peut qu’avaler cette grosse partie. Il est trop gros pour moi !!!
Du coup, je fais aller et venir ma langue le long de la hampe raide, gobant les couilles massives au passage… je tourne ma langue tout autour de ce dard de légende.

Les mateurs m’encouragent de la voix, et je vois du coin de l’œil qu’ils s’astiquent de plus en plus vite. Mon homme se glisse entre mes cuisses, et me dévore sauvagement. Je jouis encore, sous sa langue experte, une belle bite dans la bouche, et deux autres tout près de moi…
Ce soir, le paradis existe !

Je me laisse aller, pantelante, mais pas encore rassasiée. Il me manque ce bel engin tout au fond de moi…

Fritz a compris, et sort de sa poche quelques capotes. Driss s’est retiré doucement, il est assis à coté de moi, jouant avec mes tétions... Cela suffit à m’électriser encore plus. Je le vois saisir le capuchon offert, et l’enfiler prestement. Visiblement, il a m’habitude, le bougre !

Les voyeurs s’agitent :
« Baise là en levrette, cette garce, qu’on voit bien son cul !
- Arrêtez de parler comme ça de ma femme, s’insurge mon homme.
- Laisse-les, tu sais que ca m’excite, dis-je doucement à mon chéri.
- Driss, ouvre ton chemin en missionnaire, demandai-je à mon amant du soir. Gros comme tu es, il vaut mieux que tu me dilates en douceur… »

Il obéit, et vient se positionner entre me jambes ; Je les relève pour les accrocher à sa taille. Il avance et me tire vers lui. Je sens son gland massif à l’entrée de mon abricot trempé. Le temps est suspendu, même les mateurs se sont tus, comme avant un assaut généralisé…

Et lentement, comme dans un film au ralenti, il pousse, force l’entrée de mon intimé… Je sens ce formidable engin qui prend possession de moi. Sans heurts, avec délicatesse, il s’insinue en moi, me remplit, m’habite totalement. Il continue de pousser, et mon vagin se dilate sans fin pour absorber ce pieu massif.

Il bute au fond, enfonçant ma matrice. Ca y est, je suis pleine…
Il me dit en souriant :
« Ca va ma belle ? Tu sais qu’il en reste pas mal dehors ?
- Ah bon ? Pourtant, je suis bien remplie, là...
- Donne ta main, tu vas voir… »

Je redresse un peu mon bute, pour attraper sa bite. En effet, avec quatre doigts, j’entoure le braquemart. Il dit vrai, il reste presque dix centimètres dehors !
Alors, il entame de longs va et viens, lents et forts, pour s’enfoncer davantage dans mes chairs intimes… Rarement, j’ai été aussi dilatée, envahie, par un sexe mâle ! J’ai l’impression d’être fistée…

Je souffle de plus en plus fort, j’halète en rythme. Quand vraiment il ne peut aller plus loin, il se retire, et me fait mettre en levrette. Je suis bien comme ça, le cul en l’air, offert, impudique, la chatte hyper dilatée, indécente au possible…. Les deux mecs s’en mettent plein les yeux. Ils ont repris leurs branlettes avec ardeur.

Fritz vient se mettre plus près de nous, et commence à caresser mon clito. J’adore ! Il va me caresser pendant la pénétration… !

Driss et à genoux derrière moi. A nouveau, son gland est bien posé sur mes lèvres gonflées de désir.. Et il pousse, plus fort que tout à l’heure, à tel point qu’il manque de me faire tomber an avant. Je me redresse bien sur mes bras, me cambre au maximum.

Fritz continue de me caresser mon clito en feu.
Et la « guerre » commence. Driss amorce des allers et retours de plus en plus puissants, de plus en plus loin. Je sens ce mandrin envahir tout mon ventre. Je ne suis plus qu’un sexe, avalant un autre sexe. Il me possède, au sens propre du terme.

Driss va de plus en plus vite, ses cuisses claquent contre les miennes, ses énormes couilles frottent contre mon clito, quand mon homme reitre un peu sa main… Je lutte, je bouge mon bassin pour avaler ce pieu hors-normes, pour le faire pénétrer encore plus loin….

Un cri déchire la nuit. Un des deux voyeurs s’’exclame :
« Whouaaaaaaaaaa !!! La salope, elle a pris la bite en entier ! »

Mon mari se penche ver mon oreille, et me murmure :
« Mon amour, tu es bien, tu la sens, cette grosse bite ? Si tu savais comme tu es belle ainsi…
-Ou… ouiii, je le sens, hoquetai-je entre deux assauts. Il me remplit comme rarement je l’ai été…
-Vas-y ma chérie, fais-toi plaisir, jouis et moi, je te regarde jouir…
- BAISE-MOI ! » criai-je à Driss.

Surpris par mon cri, il accentue se mouvements, et me besogne à fond. Je sens cet engin quasiment m’ouvrir en deux.
Les deux voyeurs nous encouragent de la voix. Et l’un deux, se lâche, jouissant en râlant. Je vois le sperme blanc nacré s’étaler mollement sur le sable. Ca m’excite encore plus, je veux voir l’autre cracher son jus.

« Giiiiiicle, je veux te voir gicler, lui dis-je en criant.
- Ca va venir, ma belle, tu vas me voir juter ! »

Il a à peine fini ses mots qu’il crache un giclée juste à coté de moi. Son foutre est rapidement absorbé par le sable tiède.

Du coup, j’accompagne avec encore plus de vigueur les mouvements de mon baiseur. Et je le sens qui vient, qui approche : l’Orgasme…

Une grande vague me secoue, m’agite, me tord, et du plus profond de mes tripes, il arrive, et me dévaste. Je hurle comme une damnée, je ne retiens pas mes cris, mon plaisir immense. Driss semble être surpris et marque un temps d’arrêt. Fritz lui fait signe de continuer. Alors, il reprend, et accélère, me secouant comme une bouteille d’Orangina. Je le sens durcir encore, et les spasmes de sa bite m’indiquent qu’il va jouir aussi sous peu.

En effet, il crie lui aussi, à gorge déployée, en même temps que je sens au travers du latex un flux tiède qui gonfle, gonfle... Il se retire vivement, juste assez vite pour que je vois son foutre déborder de la capote…

Il tombe assis, visiblement aussi épuisé que moi. Après quelques secondes, il me dit doucement :
« Eh bien, t’es sacrement bonne, toi… on recommence quand tu veux !
- On verra, mais là, c’est tout pour ce soir… »

Pendant quelques minutes, nous échangeons des banalités, avant de repartir chacun de notre coté.
En rentrant, mon homme m’a fait l’amour avec une intensité décuplée…

Bon sang, que c’est bon d’avoir un mari candauliste !!!
#891931
[b]Voilà comment mon homme est devenu candauliste....

Adolescent, j’avais un look plutôt androgyne qui, en son temps, m’avait valu les faveurs d’un « grand ». Ce fut un cours épisode vite oublié dans l’environnement social de mon passage à l’âge adulte. Après diverses expériences où alternèrent jeunes filles et femmes matures, je me suis marié. Nous étions un couple ordinaire, famille, boulot, dodo. Au bout de quinze ans de vie maritale, entrecoupées de quelques rares entorses au contrat, l’enthousiasme de nos débuts avait fait place à des relations sexuelles classiques et rituelles, fellations, cunnilingus, etc.

Pendant toute cette période, en diverses circonstances, j’avais acquis quelques manies.
N’aimant pas porter de socquettes, j’ai commencé à porter des chaussettes fines, noires que je trouvais élégantes. Par inadvertance, un jour j’ai mis des mi-bas de ma femme. Trouvant cela très agréable, j’ai continué en les choisissant de plus en plus fins. J’en suis arrivé à acheter en cachette des bas, dim up d’abord, puis avec porte jarretelles.

Le contact sur mes cuisses me procurait de fortes émotions. J’aimais aussi beaucoup porter des tee-shirts en tissu léger, très fins, près du corps. Je ne me rendais pas bien compte que ce type d’habit révélait les bouts de mes seins, saillants et très pointus. J’aimais bien être sanglé par des larges ceinturons et je trouvais les pantalons amples assez disgracieux. J’ai commencé à porter des jeans de plus en plus étroits à tel point que les slips devenaient gênants. C’est alors qu’un string de ma femme s’est égaré dans ma pile de linge. Il m’allait comme un gant. De plus, j’ai trouvé son contact soyeux des plus agréables. Petit à petit, ma tenue vestimentaire avait perdu son aspect viril.

Dans un domaine plus intime, et sous prétexte de faire durer l’échange plus longtemps, j’avais pris l’habitude d’être sur le dos et lui laisser l’initiative, à cheval sur mon sexe, du rythme de la pénétration.
Et, pour compenser les risques de panne, on a eu recours à l’emploi d’un gode. Lors de 69, il m’arrivait de tenter de lui introduire un doigt dans l’anus mais elle n’appréciait guère. Par contre, croyant peut-être me punir de cette attitude, elle a voulu un jour faire de même.

Non seulement je n’ai pas refusé, mais mon attitude l’encourageait à poursuivre. Cette situation a fini par se reproduire régulièrement, au point que je la réclamais de plus en plus. Puis le moment est venu où je lui ai suggéré de se mettre contre mon dos au prétexte de pouvoir mieux m’introduire son ou ses doigts et d’utiliser un lubrifiant. Elle n’a pas hésité longtemps. Cette position lui permettait de prendre de plus en plus d’ascendant sur moi, au point qu’elle s’est mise à me caresser les seins, à les pincer, à forcer l’écartement de mes cuisses avec un genou et a commencé à me traiter de véritable « pédé ».
Loin de m’en plaindre, j’en redemandais. Sans trop le savoir, j’avais beaucoup de prédispositions pour devenir bi, homo, passif, soumis.

Le jour où son gode a remplacé ses doigts, elle a conclu que c’était avec un homme que je devrais assouvir complètement mes penchants. Je n’ai pas dit non et, plus ou moins sérieux, j’ai rajouté que cela ne pouvait pas se passer sans elle, et qu’elle aurait à choisir l’élu. En plaisantant à demi, j’ai même évoqué que mon fantasme était de la voir faire l’amour à un autre ou d’être pris en sandwich entre elle et lui.

Ces évocations revenaient régulièrement sans que je puisse imaginer, malgré mon très fort désir, que cela devienne réel. Jusqu’au jour où elle m’a annoncé avoir invité pour la soirée un ami de sa famille que je ne connaissais pas encore. Sans y voir autre chose qu’une rencontre cordiale, j’ai accueilli un homme un peu plus âgé que nous, d’aspect sympathique, plutôt costaud et look viril. Pendant que ma femme servait les apéritifs, j’ai remarqué qu’elle s’était maquillée et avait mis une tenue inhabituelle.

Chemisier noir assez transparent, et il me semblait qu’elle n’avait rien dessous. Jupe légère portefeuille plutôt courte qui paraissait pouvoir s’ouvrir facilement sur ses cuisses. Talons très hauts. Perplexe, je constatais qu’elle se comportait comme si elle voulait le draguer alors que je la savais, jusqu’à ce jour, sérieuse. Je n’osais pas croire ce que je voyais surtout quand elle s’est assise très près de lui et que, machinalement, elle a mis une main sur sa cuisse. L’alcool aidant, la discussion devint grivoise, puis orientée sur le sexe.

Elle lui chuchotait plusieurs fois dans l’oreille des propos que je n’entendais pas. Il a fini par acquiescer à ce qui semblait être une proposition en disant :
« Bien sur, je suis là pour ça.»

Alors, ma femme m’a dit qu’elle savait depuis longtemps que je mettais des sous-vêtements féminins en cachette, et que son ami aimerait bien me voir avec. Face à cette révélation, très gêné, rougissant, j’ai compris que je ne pourrais pas me dérober et suis allé me travestir.

Quand je suis revenu, ils étaient en train de s’embrasser goulûment, une main avait disparue dans les plis de la robe de ma femme, l’autre dans son chemisier. Subjugué par cette audace, debout devant eux je ne savais plus que faire. Alors, il m’a demandé de me rapprocher. Prétextant de tester l’effet cela faisait, il s’est mis à me caresser les jambes, puis l’entrecuisse, puis les fesses. Enfin il a posé une main sur mon string et a constaté mon début d’érection. S’adressant à ma femme, il lui dit :
« Il a l’air d’aimer ce genre de caresses. Il me plait assez. Je sens que je vais le baiser avec plaisir. »

Constatant un léger recul de ma part, ma femme me dit :
« Tu ne vas pas faire ton difficile maintenant. C’est ce que tu voulais. Mon ami est d’accord pour nous partager et j’en ai très envie. Ramène les verres à la cuisine et viens nous rejoindre dans le lit ! »

J’étais tétanisé, incapable de réaction, et en même temps troublé au maximum de voir ma femme dans cet état et de penser que j’allais être dans les bras d’un homme.

En arrivant dans la chambre, je les ai trouvés nus, enlacés. Quant ils se sont séparés, j’ai pu voir qu’il disposait d’un sexe de très belle taille. Voyant que j’avais les yeux rivés dessus, il m’a dit de m’approcher et de venir le caresser. En présence de ma femme, je n’osais pas utiliser autre chose que mes mains. Mais pour me montrer l’exemple (et aussi pour se faire plaisir) elle me dit :
« Regarde comme il faut faire. »

Et elle engloutit le membre dans sa bouche sous mes yeux. Elle a commencé une magistrale fellation. Subjugué, je lui caressais les cheveux, le dos. Puis elle m’a ordonné de prendre sa place. En insistant, elle me dit :
« Suce-le bien. Fais comme j’ai fait, à fond … »

Et pour conforter ses propos, elle appuya sur ma tête d’une main, et se branla le clito de l’autre. Aux bruits environnants, j’ai compris qu’ils continuaient de s’embrasser et de se caresser. Puis ma femme s’est levée.

Peu après, tout en continuant à sucer avec enthousiasme, j’ai senti un contact frais et humide entre mes fesses. Elle était entrain de m’enduire l’anus de gel. Puis son premier doigt est entré profondément dans mon fondement, puis un second, puis un troisième, puis, enfin, son gode. J’ai eu un petit gémissement.
« Depuis quand te plains-tu ? » dit-elle.

Je sentais que le sexe de notre ami devenait de plus en plus dur. Enfin, il se dégagea de ma bouche, changea de préservatif et demanda :
« Par qui je commence ?
- Par lui, dit ma femme en me montrant du doigt. Il en a envie et il aimera ça. Cela le fera bander comme un cerf et je pourrais en profiter. »

Positionnée en levrette, tenu par les hanches, ma femme appuyant sur mes épaules pour me faire cambrer le dos au maximum, il s’est présenté contre mon anus et a progressé en moi par pressions successives. Quand le gland a forcé le sphincter, je n’ai pas pu, là aussi, réfréner un léger gémissement. Ma femme, de plus en plus salope, me demandait de me taire en me traitant de pédé, d’enculé et j’en passe.

Enfin, les premières douleurs dissipées, complètement pénétré, « envahi », je me sentais vaincu, dominé. Bizarrement, cela me procura peu à peu un bien être extrême et mon érection était telle qu’elle en était presque douloureuse.

De temps en temps, mon amant ressortait son sexe puis le réintroduisait en laissant son gland à la hauteur du sphincter pour reproduire cette légère douleur que j’avais connue au début de sa pénétration. Il voulait me soumettre complètement à son emprise, sous les yeux de ma femme, en me faisant un peu souffrir et il y réussissait.

Je m’abandonnais complètement, formulant des propos à peine audibles tels que « oui, encore, mon chéri, encule moi bien, vas au fond… »

Et ma femme surenchérissait en continuant de me traiter d’enculé, de belle salope, de chienne en chaleur … Puis elle s’est glissée sous moi en écartant au maximum ses cuisses jusqu’à ce que son sexe arrive à la hauteur du mien. C’est son amant qui m’a introduit dans sa chatte tout en continuant à me limer. J’étais sur le point d’exploser comme je ne l’avais encore jamais fait.
« Retiens-toi me dit-elle, où il va t’en cuire … Attends que je jouisse ! »

J’ai à peine eu le temps de me rendre compte de ce qu’il se passait, qu’ils jouirent en même temps et j’ai explosé. Je ne me souviens vaguement que d’une vision de « feu d’artifice ».
Étendus tous les trois côte à côte pour reprendre nos esprits, c’est ma femme qui s’exprima la première :
« Te voilà dépucelé mon chéri. Tu seras dorénavant à mes ordres et à ceux de mes futurs amants car je vais rattraper mon retard en la matière. C’est toi qui les recruteras et ce sont eux qui me baiseront. Tu assisteras en te masturbant avant qu’à leur tour, ils t’enculent, si tu leur plais aussi. S’il t’arrivait de me désobéir, le martinet que je vais acheter te remettras dans le bon chemin. »

Tout était dit. Je ne me suis pas rebellé. Nous avons légèrement réorganisé notre vie et j’ai commencé à voir défiler des hommes dans notre lit nuptial. Sans excès, en pleine acceptation de la situation.


Maintenant, il a changé, et a heureusement perdu cette habitude de sous vêtements féminins... mais il est resté bi...

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