[xavmart]

Je devais passer la prendre à la sortie de son lycée. Nous étions à quelques jours des grandes vacances. Venant de Toulon j'aurai du partir plus tôt. À cette heure avec la circulation je ne pouvais manifestement pas être à Hyères à 17h. Je composais son numéro de téléphone.
- Allô!
- C'est moi! Je vais être en retard, je suis bloqué dans les embouteillages. Ça n'avance pas.
Nous avons raccroché.
Quelques instants plus tard, elle me rappelait.
- Ne t'inquiètes pas, rentres directement, j'ai trouvé quelqu'un pour me ramener.
J'étais soulagé. Il me fallait juste prendre patience.

[elegantdu12]

et c tout ? c nul ? j'en ai 40 des histoires comme ca mdr

[xavmart]

Un peu plus tard, mon téléphone sonna à nouveau.
- Chéri! je ne rentre tout de suite, si tu arrives le premier tu prépares le dîner?
Sans doute une fausse manipulation ou alors l'a-t-elle fait exprès? Toujours est-il qu'elle oublia de raccrocher et moi je restais à l'écoute. Ce qui se disait n'était pas aisé à saisir. Seuls quelques mots passaient, couverts le plus souvent par les bruits du moteur. Mais manifestement le type la draguait et elle n'avait pas l'air de trop résister. Puis la communication s'interrompit. Dommage!
Ce qui se passait ne me surprenait pas. Ça faisait parti du fonctionnement de notre couple. Nous nous autorisions chacun des écarts ensembles ou séparément. Simplement plus tard en rentrant, elle me ferait un "rapport".

[jerop]

Vite le rapport on est en haleine........

[xavmart]

Une heure plus tard, j'arrivais chez moi quand le portable sonna à nouveau.
- C'est encore moi. Tu es rentré? Je suis à Cavalière au Cannier. Tu connais? Tu peux nous rejoindre?
Nous!.. Elle n'y était pas seule. Sans doute avec le type qui l'avait raccompagnée.
Je ressortais le voiture.
Je les trouvais assis face à la mer sirotant un cocktail de fruit.
À mon arrivée l'homme se leva.
- Xavier je te présente Olivier… Olivier mon mari.
Je lui serrai la main. Grand, la quarantaine sportive. Il semblait mal à l'aise. Son embarra m'amusa.
- Nous sommes allés nous baigner au Layet, dit-elle, puis nous avons fait un tour sur la pointe.
Pour ceux qui connaissent l'endroit ça signifie: nous sommes allés sur la plage naturiste, puis nous avons tiré un coup dans les sous-bois.
- Et vous n'avez pas envie d'y retourner? Je vous accompagne.
L'homme fit une petite grimace. Martine s'en aperçu et le rassura:
- Xavier ne voit aucun inconvénient à ce que sa femme prenne du bon temps. Il apprécie même.
Aller! On y va!

[amilo]

Voilà ce que j'appellerai un Gros fantasme......mais bon ça occupe..!

[xavmart]

À cette heure le parking commençait à se vider et en descendant vers la mer nous avons croisé nombre de baigneurs qui remontaient, mais ce n'est pas vers la plage que nous nous sommes dirigés. Rapidement au lieu de descendre, nous avons obliqué à droite vers la Pointe. Notre trio se glissa par les étroites sentes qui serpentaient entre les bouquets d'arbustes. À certains endroits les passages s'élargissaient formant de petites placettes sous les arbres. On s'est arrêté dans l'une d'elles à l'abri des regards. Autour de nous tournaient des hommes, qui passaient et repassaient. Le public habituel de ces lieux. Homos, voyeurs, mais aussi hommes à la recherche d'aventures. Beaucoup déambulaient entièrement nus, souvent en érection, ou se masturbant.
J'ai toujours aimé ces ambiances un peu glauques, il faut bien le dire, mais très excitante. La présence d'une femme y est rare. Aussi l'arrivée de notre petit groupe fit-il de l'effet.

[xavmart]

Nous avons disposé à même le sol un grand drap de bain. Martine s'y est allongé après s'être mise nue. Le cercle des hommes s'est resserré. Je fis signe à Olivier de se déshabiller tandis que j'en faisais autant. Martine attendait prête à la saillie, cuisses écartées en offrande. Chacun pouvait voir sa vulve émergeant de sa forêt sombre. Sa vulve béante, ouverte pour recevoir celui qui allait la prendre.
Olivier s'était positionné le visage dans la fourche de Martine. Sa langue prenait possession du sexe. De mon côté je lui caressais les seins. Déjà un des assistants excités éjaculait. Un jet de sperme jaillit et se répandit sur le sol. Satisfait le type s'éloigna sans dire un mot, sans un merci pour le spectacle qui lui avait été offert. C'est souvent ainsi il faut l'accepter. Autour de nous la tension montait. Deux hommes se caressaient en nous regardant. Olivier présentait une belle érection. À quatre pattes comme il était installé, les fesses en l'air pour faire un cuni à ma femme, c'était un très beau spectacle que certains ne manquait pas d'admirer. Un type s'est approché et a voulu lui toucher les couilles. Il n'a pas insisté. Manifestement Olivier n'appréciait pas. Je dis au type de venir, il s'est glissé jusqu'à moi et s'est mis à me caresser, puis il a commencé à me sucer. Il se débrouillait bien l'animal… je ne tardais pas à jouir, tandis que Martine en faisait autant sous la langue active d'Olivier. Le groupe commençait à s'éclaircir. Je demandais à Martine si elle désirait être pénétrée et par qui. Elle désigna un des spectateurs. Un bel homme. Sans doute le plus jeune du groupe. La trentaine. Je l'entraînais vers elle et écartant Olivier je l'aidais à s'installer entre les cuisse de ma femme après lui avoir fait enfilé un préservatif.