- 04 mai 2012, 17:23
#1083576
Bonjour à tous,
Je suis en couple avec ma copine depuis plusieurs années... Et depuis quelques temps je me plais à l'imaginer dans des jeux sexuels entourées de plusieurs hommes. Je lui en ai parlé mais cela reste du fantasme, et c'est très bien ainsi. Seulement j'aime cultiver ce fantasme et l'imaginer dans les postures les plus diverses... C'est pour ça que j'ai décidé de partager avec vous les situations dans laquelle je la vois qui me tiennent le plus à coeur, celles que je lui chuchote à l'oreille lorsque nous faisons l'amour...
Si au bout de votre lecture vous pouviez me suggérer de changer un détail, un complément...voir d'en proposer une, cela enrichirait ce fantasme
. N'hésitez pas à me dire quelle scenette est la plus excitante selon vous, et pourquoi.
Mais avant tout, une petite description de la belle, plutôt qu'une photo, place à l'imagination, certains pourront imaginer leur dame à la place d'ailleurs
.
Imaginez donc une jeune fille, l’air classique et bien sous tour rapport, bien plus innocente qu’l n’y paraît. Chatain, bouclée ondulés, ses cheveux long s’accordent avec ses yeux marrons. 1m65 pour 52kg, un gabarit passe partout ne serait ce ces jambes fines, souvent mises en valeur, tout comme ce généreux 85C, contrastant avec un visage enfantin, bouche fine et petit nez, qui lui donne bien moins que ses 26 ans.
Situation 1 :
Elle est en talons, hauts, noirs, semelles rouge, ses louboutins pour l’occasion. Ses bas couture sont complétés par un porte jarretelle et au dessus un corset assorti, noir à motifs dorés. Le string est porté par-dessus le porte jarretelle pour être retiré sans peine, bien que dans l’empressement il ne suffirait qu’a en écarter la ficelle. Bien maquillée, presque vulgairement pour exalter le stupre. Ses cheveux sont tirés en arrière prêts à être saisis, ses ongles manucurés, prêts à crisser sur le sol, un collier en cuir autour du cou, prêt à recevoir une laisse.
Dans un parking privé mal éclairé, aux néons blafards. Il est désert, seuls y attendent les deux gardiens en uniforme, et deux de leurs amis. Ils y sont assis sur des chaises métalliques autour d’un matelas sur le sol. Ils fixent leur regard sur elle avec patience et envie contenue, alors qu’elle approche lentement à quatre pattes, tirant presque sur sa laisse.
Situation 2 :
Dans la suite d’un hôtel chic, tapis sur le sol, tapisseries aux murs, dominante rose pastel, fond sonore jazz loundge. Elle y pénètre vêtue d’un imper noir, cheveux détachés ses boucles châtain tombent sur ses épaules. L’imper ne laisse deviner que le ruban noir en dentelle porté autour du cou, ses lèvres rouge vives contrastent avec son teint pâle. En bas, ne dépassent que ses jambes en bas résille. Ses escarpins marquent trois pas vers les trois hommes en costard qui la suivent du regard depuis qu’elle a franchi la porte. Devant eux elle fait tomber l’imper au sol, il glisse le long de ses épaules fines révélant qu’elle ne porte en dessous qu’ un ensemble string soutien gorge en satin rouge à délicieux rubans. Elle se mort les lèvres regardant uns à uns les trois mâles, avant de continuer son chemin vers le lit à baldaquin. Ceux-ci tournent le cou sans bouger alors que féline, elle se glisse sur les draps de soie avant de se figer dans une pose tant gracieuse qu’obscène leur étant destinée, cambrée, figée, à quatre patte, jambes légèrement écartées.
Situation 3 :
Chaussures compensées, mini jupe en jean, jambes graciles nues et débardeur mauve laissant déborder sa poitrine pourtant tenue par un soutien gorge blanc, tout comme le string qu’elle a mis en accord assorti à son sert-tête et à ses boucles d’oreille d’ailleurs.
Elle vient me chercher au sport, ingénue. Elle entre dans le vestiaire alors que tous les mecs du club sont en train de se changer. Elle met un temps à le remarquer, dans la moiteur du vestiaire et les vapeurs des douches. Sa gorge se sert en même temps que son intimité s’humidifie d’un coup alors que la porte claque derrière elle. Elle s’y résout devant les regards dominateurs et affamés qui se tournent vers elle.
Situation 4 :
Elle n’y a jamais porté attention, voulant juste être féminine et vue avec bienveillance. Pourtant ce sont des regards avides qui se portent sur elle alors qu’elle fait claquer ses talons dans les couloirs du lycée ou elle enseigne. Elle n’y a jamais porté attention, mais elle roule bien du cul dans sa jupe noire moulante et son chemisier blanc est trop entrouvert. Elle ne les voit jamais à travers ses lunettes, accordé avec son chignon de professeur sage, mais elle sent bien aujourd’hui les regards des ados aux hormones en folie et des collègues plus âgés en manque de chaire fraiche qui se posent et suivent son cul dans les coursives de l’école.
Dans une salle de classe elle doit se résoudre à s’offrir à un groupe surveiller l’heure de colle d’un groupe d’élèves un peu voyous en retenue. Ils la chahutent un peu verbalement, leurs sous entendus grivois de moins en moins déguisés. Ce n’est que lorsque qu’un CPE pervers arrive dans la pièce et les encourage que ceux-ci se lèvent de leur chaise. Et que pour elle l’excitation submerge la frayeur à laquelle elle se mêlait jusqu’alors.
Je suis en couple avec ma copine depuis plusieurs années... Et depuis quelques temps je me plais à l'imaginer dans des jeux sexuels entourées de plusieurs hommes. Je lui en ai parlé mais cela reste du fantasme, et c'est très bien ainsi. Seulement j'aime cultiver ce fantasme et l'imaginer dans les postures les plus diverses... C'est pour ça que j'ai décidé de partager avec vous les situations dans laquelle je la vois qui me tiennent le plus à coeur, celles que je lui chuchote à l'oreille lorsque nous faisons l'amour...
Si au bout de votre lecture vous pouviez me suggérer de changer un détail, un complément...voir d'en proposer une, cela enrichirait ce fantasme
. N'hésitez pas à me dire quelle scenette est la plus excitante selon vous, et pourquoi.Mais avant tout, une petite description de la belle, plutôt qu'une photo, place à l'imagination, certains pourront imaginer leur dame à la place d'ailleurs
.Imaginez donc une jeune fille, l’air classique et bien sous tour rapport, bien plus innocente qu’l n’y paraît. Chatain, bouclée ondulés, ses cheveux long s’accordent avec ses yeux marrons. 1m65 pour 52kg, un gabarit passe partout ne serait ce ces jambes fines, souvent mises en valeur, tout comme ce généreux 85C, contrastant avec un visage enfantin, bouche fine et petit nez, qui lui donne bien moins que ses 26 ans.
Situation 1 :
Elle est en talons, hauts, noirs, semelles rouge, ses louboutins pour l’occasion. Ses bas couture sont complétés par un porte jarretelle et au dessus un corset assorti, noir à motifs dorés. Le string est porté par-dessus le porte jarretelle pour être retiré sans peine, bien que dans l’empressement il ne suffirait qu’a en écarter la ficelle. Bien maquillée, presque vulgairement pour exalter le stupre. Ses cheveux sont tirés en arrière prêts à être saisis, ses ongles manucurés, prêts à crisser sur le sol, un collier en cuir autour du cou, prêt à recevoir une laisse.
Dans un parking privé mal éclairé, aux néons blafards. Il est désert, seuls y attendent les deux gardiens en uniforme, et deux de leurs amis. Ils y sont assis sur des chaises métalliques autour d’un matelas sur le sol. Ils fixent leur regard sur elle avec patience et envie contenue, alors qu’elle approche lentement à quatre pattes, tirant presque sur sa laisse.
Situation 2 :
Dans la suite d’un hôtel chic, tapis sur le sol, tapisseries aux murs, dominante rose pastel, fond sonore jazz loundge. Elle y pénètre vêtue d’un imper noir, cheveux détachés ses boucles châtain tombent sur ses épaules. L’imper ne laisse deviner que le ruban noir en dentelle porté autour du cou, ses lèvres rouge vives contrastent avec son teint pâle. En bas, ne dépassent que ses jambes en bas résille. Ses escarpins marquent trois pas vers les trois hommes en costard qui la suivent du regard depuis qu’elle a franchi la porte. Devant eux elle fait tomber l’imper au sol, il glisse le long de ses épaules fines révélant qu’elle ne porte en dessous qu’ un ensemble string soutien gorge en satin rouge à délicieux rubans. Elle se mort les lèvres regardant uns à uns les trois mâles, avant de continuer son chemin vers le lit à baldaquin. Ceux-ci tournent le cou sans bouger alors que féline, elle se glisse sur les draps de soie avant de se figer dans une pose tant gracieuse qu’obscène leur étant destinée, cambrée, figée, à quatre patte, jambes légèrement écartées.
Situation 3 :
Chaussures compensées, mini jupe en jean, jambes graciles nues et débardeur mauve laissant déborder sa poitrine pourtant tenue par un soutien gorge blanc, tout comme le string qu’elle a mis en accord assorti à son sert-tête et à ses boucles d’oreille d’ailleurs.
Elle vient me chercher au sport, ingénue. Elle entre dans le vestiaire alors que tous les mecs du club sont en train de se changer. Elle met un temps à le remarquer, dans la moiteur du vestiaire et les vapeurs des douches. Sa gorge se sert en même temps que son intimité s’humidifie d’un coup alors que la porte claque derrière elle. Elle s’y résout devant les regards dominateurs et affamés qui se tournent vers elle.
Situation 4 :
Elle n’y a jamais porté attention, voulant juste être féminine et vue avec bienveillance. Pourtant ce sont des regards avides qui se portent sur elle alors qu’elle fait claquer ses talons dans les couloirs du lycée ou elle enseigne. Elle n’y a jamais porté attention, mais elle roule bien du cul dans sa jupe noire moulante et son chemisier blanc est trop entrouvert. Elle ne les voit jamais à travers ses lunettes, accordé avec son chignon de professeur sage, mais elle sent bien aujourd’hui les regards des ados aux hormones en folie et des collègues plus âgés en manque de chaire fraiche qui se posent et suivent son cul dans les coursives de l’école.
Dans une salle de classe elle doit se résoudre à s’offrir à un groupe surveiller l’heure de colle d’un groupe d’élèves un peu voyous en retenue. Ils la chahutent un peu verbalement, leurs sous entendus grivois de moins en moins déguisés. Ce n’est que lorsque qu’un CPE pervers arrive dans la pièce et les encourage que ceux-ci se lèvent de leur chaise. Et que pour elle l’excitation submerge la frayeur à laquelle elle se mêlait jusqu’alors.
