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Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#1137479
voici un petit texte que j'ai lu sur un autre site soft mais efficace

Dans ces moments là, on se sent particulièrement coupable. J’essuie mon sexe glabre car je n’ai pas le temps de prendre une douche et je ne voudrais pas éveiller les soupçons. Je cache les draps souillés de semence masculine dans le bac de linge sale. Je suis sûr qu’ils sont bien cachés, mon mari ne s’en approche jamais, il doit en avoir peur. Je cours dans la chambre et enfile une culotte propre. J’ai à peine baissé ma robe que mon mari pénètre dans l’appartement. Il est 20H00 pile.

Je vais à sa rencontre, il tient dans sa main les pizzas que je lui avais demandées de prendre, prétextant une furieuse envie d’en manger. Il me sourit et nous échangeons un baiser. Je sors les couverts et nous nous installons dans le salon devant la télévision. Il me taquine, il me caresse, il est d’un esprit tout à fait coquin. Moi qui pensais passer une soirée calme, je crois que je vais y avoir droit. Ça fait une semaine que nous n’avons pas fait l’amour ; il trouverait bizarre que je me refuse. Pourtant l’après-midi que j’ai passé, m’a quelque peu irrité le vagin. Je n’ai pas l’habitude d’autant de sexe.

Nous finissons notre plat. Il me fixe dans les yeux et me caresse les jambes. Il m’embrasse fougueusement, je réponds à ses baisers. J’ai envie de lui faire le coup de la migraine, mais déjà sa main passe sous ma jupe et s’immisce dans ma culotte. Il se rend compte de l’absence de poils sur ma vulve. Moi qui lui avais toujours refusé, un autre me l’avait mise à nu aujourd’hui. Pour le coup de la céphalée, c’est trop tard. :



— Mais elle est toute rasée ta chatte !
— Oui, mon chéri, c’est pour te faire plaisir, depuis le temps que tu me le demandes.
— Merci mon amour, tu es vraiment merveilleuse. Ça me fait vraiment bander.


Il me déshabille rapidement et m’écarte les cuisses. Il s’agenouille et admire ma petite chatte toute lisse. Il me la caresse. Il glisse un doigt dans mon vagin, je grimace à cause des irritations mais lui ne le remarque pas. Bien sûr, je suis mouillée, mais pas d’excitation, c’est le reste des sécrétions d’un autre homme :



— Tu es bien excitée mon amour.
— Oh! Oui, mon cœur, fais-moi l’amour.
— Je t’aime ma chérie.


Je pense n’avoir aucun problème à le recevoir en moi, étant donné que son sexe est bien plus petit que celui de mon amant de cette après-midi. Il pose son gland à l’entrée de mon vagin et s’introduit profondément. Je ressens alors une vive douleur, comme une brûlure qui enflamme mes chairs intimes et qui me fait cambrer les reins. Je grimace et gémis. Il prend ça comme un encouragement et se prend pour un dieu de l’amour. Il coulisse dans ma matrice. Accélérant la cadence en même temps que ma souffrance et mes gémissements. Je n’en pouvais plus de douleur. Heureusement que concernant les choses de l’amour, il n’a jamais été bien endurant. En tout cas, ce n’est pas pour cela que je l’aime. Je simule un orgasme et il lâche son jus d’homme en moi, le mélangeant à celui de l’autre. Une première pour moi, être porteuse des gènes de deux hommes différents. Il se retire et je me sens soulagée. Je le remercie de m’avoir bien fait jouir. Après deux minutes de tendresse, il s’endort. Je me réfugie dans la salle de bain pour une douche salvatrice et purifiante.

Je passe une bonne vingtaine de minutes sous le jet brûlant, à savonner méticuleusement mon intimité. Sortant de la salle de bain, je choisis de laisser mon mari dormir sur le canapé. Je pourrais profiter de notre grand lit et m’endormir sans l’avoir sur le dos. Je me glisse nue sous les draps, c’est ma tenue préférée, et repense à cette longue après-midi qui m’a laissé le corps fatigué. Un corps qui me signifie son besoin d’un sommeil réparateur par quelques courbatures. Je ferme les yeux et revois le film de ce qui m’a amené à coucher avec un homme de 65 ans.

Michel est un fidèle client de notre boutique. Il y vient régulièrement se fournir en parfum pour lui et sa famille. C’est un homme d’environ 65 ans, marié depuis plus de 40 ans, d’un physique plutôt agréable, taille moyenne, plutôt svelte, cheveux gris, toujours poli et souriant, habillé avec un goût certain. Depuis environ 3 ans, il a pris l’habitude que je le serve. À chaque fois, il me fait demander, il préfère attendre, si je suis occupée, plutôt que de se faire servir par une autre que moi. Il a toujours des mots charmants qui me font rire. Je l’appelais affectueusement mon petit Monsieur. Il me draguait gentiment et je trouvais cela touchant mais n’y prêtais pas vraiment attention. J’ai quand même 36 ans de moins. Il y a quelques semaines, il m’a invitée à déjeuner avec lui. Il m’était déjà arrivé d’être invitée par des clientes et j’accepte toujours, c’est très sympa, on papote de tout et de rien surtout des trucs de fille. J’ai toujours par contre refusé les invitations des hommes. Je ne suis pas naïve et sais très bien ce qu’ils ont en tête, ces petits vicieux. Mais là, c’était différent car il est vieux et je n’ai pas du tout supposé qu’il ait pu avoir des pensées coquines. Je le considérais comme un ami ou comme un oncle. J’ai donc accepté son offre.

Nous sommes allés dans un restaurant cubain. Il m’a proposé de commander pour moi. Il semblait bien connaître ce restaurant et surtout les mets qui y étaient servis, je le laissais donc faire. Puis nous avons commencé à discuter. Il semblait avoir beaucoup de culture. Il me parlait de ses voyages, de ses différents métiers avec une grande richesse de langage. J’étais très intimidée et n’osais plus ouvrir la bouche de peur de paraître bête à ses yeux. Mais il sut m’interroger, me demander mon avis et me laissa raconter ma vie. Il me mettait très à l’aise. Il m’écoutait avec attention. Je me sentais comprise. Mais l’heure de reprendre le travail arriva trop tôt. Je le quittais en le remerciant pour ce moment que j’avais trouvé particulièrement agréable. Il appréciait manifestement mon enthousiasme et me proposa de nous revoir. J’acceptais avec joie cette perspective. Il me demandait si je pouvais avoir un peu plus de temps pour cette future pause repas afin de prolonger nos conversations.

Ainsi, nous déjeunâmes une fois par semaine pendant un mois. Je lui accordais ma plus longue pause de la semaine, c’est-à-dire 1h30. Nos conversations étaient très riches, surtout de son fait. Parfois enflammées lorsque nous n’étions pas en accord pour ce qui concerne la politique, mais toujours courtoises et charmantes. Je n’avais jamais eu de dialogue aussi approfondi avec un homme. À chaque fois, je me sentais grandie à la fin de ces repas. La semaine dernière, j’ai voulu lui rendre la politesse. Je l’ai donc invité chez moi pendant mon jour de repos. Dans la boutique, nous avons un jour de congé en semaine puisque nous travaillons le samedi. Cela allait nous permettre d’avoir de plus longues conversations sans se préoccuper du temps et bien sûr profiter de l’absence de mon mari. Le rendez-vous fut fixé au jeudi. C’est-à-dire aujourd’hui à 12h00.

Il arriva à l’heure convenue avec un superbe bouquet rond et un sourire radieux. Nous nous sommes salués d’un baiser chaste et je lui ai pris son manteau. Il était comme à son habitude, très élégant, tout en restant classique, pantalon de toile noir, chemise blanche de luxe. Moi je portais simplement une robe bordeaux qui descend jusqu’aux genoux, bras nus, pas de décolleté sur la poitrine, mais juste un dos nu plus bas que les omoplates, très sobre et des escarpins à talons. Je l’installais dans le canapé et je lui proposais un alcool. J’avais prévu une bouteille de vin blanc pour le repas, il me proposa de composer l’apéritif avec celle-ci. Notre conversation commença bien sûr, par la déco de l’appartement. Il me félicitait pour mes goûts. Puis nos conversations habituelles reprirent le dessus. Nous parlions de voyages et des modes de vie différentes selon les cultures. Nous passions à la cuisine, je posais les mets sur la table, nous les avalions sans nous en rendre compte, chacun absorbé par les propos de l’autre. Je dus ouvrir une autre bouteille de blanc que nous avons également finie. Je me sentais pompette à la fin du repas. Il me proposa son aide pour débarrasser et faire la vaisselle. J’acceptais avec joie, étant donné l’équilibre précaire que m’imposait cette douce ivresse.

Les tâches ménagères accomplies, nous retournons nous installer dans le salon afin de continuer de papoter devant un bon café.

Je me laissais aller à rire à gorge déployée de ses bons mots. Je me sentais toute émoustillée. Il s’en rendit compte et dans un mouvement de tendresse et de sensualité, il posa ses lèvres sur les miennes. Sa langue s’insinua dans ma bouche, je me laissais faire, appréciant toute la douceur de ce profond baiser. Je lui répondis en activant ma langue sur la sienne. Déjà, je sentais ses mains parcourir mon corps, mes cuisses, mes hanches. Mes seins pointaient du désir d’être caressés. Ce qu’il fit avec une grande adresse. Il baissa la fermeture éclair de ma robe. Je me retrouvais les seins nus dans ses bras. En effet, avec cette robe je ne peux pas mettre de soutien-gorge. Il prit mes seins entre ses mains et me prodigua un délicieux massage. La réaction au niveau de mon bas ventre ne se fit pas attendre. Je ne pouvais m’empêcher de remuer le bassin afin de sentir mon string frotter contre mon clitoris.



— Tu aime mes caresses ?
— Oh! oui Michel, mais vous êtes fou, nous ne devrions pas…
— Tu peux me tutoyer, tu sais !
— Je préfère que l’on continue le vouvoiement je trouve ça tellement exotique !
— Comme vous voudrez ma chère !


Il se pencha et prit mes tétons en bouche, il me les suçait, les mordillait. Il s’occupait tellement bien de ma poitrine. Mon ventre était en feu. Il me retira ma robe et mon string en même temps. Il se recula un peu puis m’admira. Je le trouvais si touchant.



— Vous êtes vraiment belle, Nadine
— Merci, mais je préfèrerais que vous vous occupiez de moi.
— Ecartez vos jambes que je puisse vous admirer, je ne pensais pas que mon fantasme deviendrait réalité, à mon age, pouvoir caresser le corps d’une si belle et si jeune femme.


Je lui obéissais et lui dévoilais mon intimité. Tendant mes jambes je lui offris la vision de ma petite chatte à peine protégée par une toison peu fournie. Il s’agenouilla, ses lèvres se posèrent sur mes genoux, il remonta doucement entre mes cuisses. Je me languissais de le sentir sur mon sexe. Il me fit patienter encore en parcourant mon autre jambe. Puis lentement, sa langue se posa sur mon clito. Toujours avec sa langue, il descendit en écartant mes grandes lèvres et la fit glisser dans mon vagin. Doucement il parcourait tout mon sexe, s’attardant par moment sur mon anus, le dardant, le forçant. Il suçait longuement mon petit bouton d’amour et introduisit un puis deux doigts dans ma petite chatte qui n’attendait que ça. Il me lécha de plus en plus vite le pistil et ses doigts augmentèrent la cadence. Je ne pus retenir plus longtemps mon premier orgasme et exprimais bruyamment mon plaisir. Il continuait encore quelques minutes ses caresses, me laissant profiter au maximum de ma jouissance. J’étais très touchée par cette attention. J’avais envie de lui rendre le plaisir qu’il venait de me donner.



— C’était merveilleux.
— C’est vous qui êtes merveilleuse de me laisser profiter de votre jeunesse.
— Je vais vous le rendre.


Je me redresse et l’embrasse fougueusement. Je commence à lui enlever sa chemise et fais glisser ma bouche sur son torse. Je me retrouve à genoux, les yeux sur son pantalon particulièrement déformé. Je dégrafe la ceinture, défais le bouton et baisse le zip. Je retire doucement son pantalon. Je suis surprise de découvrir un caleçon boxer très à la mode qui, lui aussi, est vraiment tendu. Je passais ma main dedans et me saisis de son sexe. Je le masturbais lentement en le regardant dans les yeux. Puis, je baissais le joli boxer short et un magnifique pénis apparut devant moi. Il était si gros et si dur ; dessous, se balançaient de grosses boules bien rondes, bien pleines et poilues. Je m’étonnais de tant de virilité chez un homme de son age. La question suivante me traversa l’esprit : « Ai-je la chance de tomber sur des amants très gâtés par dame nature ou est-ce ma référence qui est sous-dimensionnée, c’est-à-dire mon mari ? » Je n’ai toujours pas la réponse à cette question.

Je continuais à le branler d’une main et de l’autre, je soupesais ses lourdes réserves de semence que je savais m’être destinées. J’approchais ma bouche de son gros bout violacé. Je le lapais délicatement, insistant sur le méat qui suintait d’excitation. Puis je l’embouchais doucement, prenant bien soin de beaucoup saliver pour rendre ma fellation la plus agréable et la plus chaude possible. J’avançais et reculais sensuellement ma tête en gardant ce bel organe prisonnier entre mes lèvres. Parfois, le libérant, je gobais ses grosses testicules, l’une après l’autre, activant une main sur le mât. Puis, je le reprenais pour le mettre bien au chaud dans ma bouche. Il posa ses mains sur ma tête pour m’imposer son rythme. Il me baisa la bouche.

Je ne pouvais m’empêcher de m’imaginer la scène. Lui un homme de 65 ans, debout, torse nu, pantalon au pied et moi, une jeune femme de 29 ans agenouillée, la tête entre ses mains, entrain de lui faire une gâterie. Cette image m’excita fortement. Il me dit alors :



— J’ai envie de glisser en vous.
— Moi aussi, je veux vous sentir en moi. Comment me voulez-vous ?
— Je veux voir votre si joli et jeune visage lorsque je vous prendrais.
— Je veux vous voir aussi !


Je m’allongeais sur le canapé, j’écartais les jambes comme pour l’attirer en moi. Il ne se fit pas prier. Il se glissa entre mes cuisses, posa son gland à l’entrée de mon vagin luisant qui palpitait d’impatience. Il poussa son vit en moi. Je ressentis comme un immense soulagement de le sentir progresser au fond de mon être. Il s’activa, accélérant progressivement, puis ralentissant, me massant les seins, me torturant les pointes. Reprenant de l’ampleur dans ses va-et-vient, me titillant le clitoris. En moi, montait inexorablement la jouissance. Il s’en rendit compte, en augmenta encore la cadence. Je criais ma jouissance, au bord de l’orgasme. Je lui saisis alors ses grosses couilles et les malaxais vigoureusement. Ses mouvements étaient de plus en plus désordonnés. Il émettait des râles de plaisir, ce qui décuplait ma propre jouissance. Je sentis son pénis grossir encore dans ma matrice, il buta profondément contre mon utérus et expulsa de grandes quantités de foutre dans ma petite chatte, déclenchant un orgasme puissant, suivi d’une vague de multiples petits orgasmes. Il continua à me pistonner doucement et longuement, me laissant descendre tranquillement des cieux où il m’avait amenée. J’étais heureuse d’avoir joui autant. Il souriait, fier de m’avoir donné cette jouissance. Son sexe finit par être expulsé car devenu trop mou. Il m’embrassa passionnément et me dit :



— Je n’aurais jamais cru pouvoir faire l’amour avec une aussi belle et aussi jeune femme.
— Vous n’êtes qu’un vilain flatteur.
— Vous êtes merveilleuse.


Nous échangions des nombreux et tendres baisers. Puis il se redressa et me dit :



— Vous avez un très joli sexe, c’est dommage que vous ne l’épiliez pas. Ce serait encore plus excitant.
— Mon mari me l’a souvent demandé, mais j’ai toujours refusé.
— Et pourquoi ?
— Je ne sais pas pourquoi. La peur de me sentir nue et aussi de me faire mal lors du rasage.
— Je pourrais vous le faire !
— J’aurais bien trop peur que vous me blessiez.
— Je l’ai déjà fait pour ma femme.
— Vous voulez dire que vous rasez le sexe de votre femme. Et vous, pourquoi ne vous épilez-vous pas ?
— Parce que ma femme me préfère avec des poils. Je la rase parfois, c’est un jeu érotique comme un autre. Alors partante ?
— Pourquoi pas, qu’est-ce qu’il vous faut ?
— Allons dans votre salle de bains voir ce qu’il y a !


Nous nous y rendons donc. Après un tour dans les placards, il opta pour un rasage avec la mousse de mon mari. Il n’y avait pas trop de choix, je n’avais rien de mieux. Nous retournions dans le salon afin d’être mieux installés. Il m’allongea sur le dos au sol. Il commença par tailler mes poils aux ciseaux, celui normalement prévu pour la cuisine. Une fois qu’ils furent coupés bien courts, il me les mouilla avec l’eau de la bassine et me les enduisit de mousse à raser. Je sentais les picotements de la menthe sur mes muqueuses. Il s’empara d’un de mes rasoirs jetables qui me servent pour les jambes et commença son œuvre. Je sentais à peine le frottement sur ma peau. Juste la fraîcheur du rasoir lorsqu’il le reposait sur ma vulve après l’avoir rincé. Il s’interrompait parfois pour essuyer le sperme qui s’échappait de mon vagin. Puis il s’attaqua à mes grandes lèvres. J’avoue que j’étais assez anxieuse, mais rapidement, me rendant compte de sa dextérité et de sa douceur, je me détendis. Il allait doucement aux abords de ma fente. Me relevant les jambes, me les posant de droite, de gauche, afin d’atteindre le moindre de mes poils. Il me demanda alors de me mettre à quatre pattes afin de s’occuper des poils de ma raie des fesses. J’obtempérais et lui présentais mon derrière, en l’écartant de mes mains pour lui facilité la tâche. Le même scénario se répéta mais avec mon anus dans le rôle principal. Le travail terminé, il ne put s’empêcher de le gratifier de quelques coups de langue que je savourais à leur juste valeur. J’avais envie de me voir dans la glace. Je le lui signifiais et me précipitais dans ma chambre. Je me mirais, observant mon pubis mis à nu. Je ne pus me retenir de m’allonger sur le lit et de regarder mon sexe, jambes écartées. Cette vision m’excita énormément. Michel me regardait depuis la porte :



— Vous êtes superbe comme ça.
— C’est vrai, je trouve que c’est très excitant.
— Caressez-vous, j’ai envie de vous voir vous faire du bien.
— Mumm ! Vous n’êtes qu’un vieux vicieux et pervers.
— Vous êtes la plus jolie des femmes de ma vie.


Je commençais à faire courir mes doigts sur mon sexe glabre, titillant mon clito, les faisant glisser le long de mes lèvres nues. Déjà l’embrasement de mon bas ventre grondait en moi. Je ne pouvais détacher mon regard de l’image que me renvoyait le miroir. Michel me matait toujours, nu comme un ver mais dur comme du bois. Il se branlait tranquillement. J’avais trop envie de le sentir de nouveau en moi :



— Venez en moi, je veux vous sentir encore !
— Moi aussi, j’en ai trop envie.


Il se glissa entre mes jambes et me pénétra de nouveau. La sensation était très forte. J’avais l’impression de le sentir encore mieux en moi avec mon sexe à nu. Il me lima dans un rythme très régulier, très calculé. Il me faisait monter doucement dans la jouissance. Je lui demandais d’accélérer le mouvement mais lui restait insensible à ma demande et continuait sur la même cadence, tout en profondeur. Ça me rendait folle cette montée lente mais inéluctable. Puis il me mit en levrette, et là il accéléra la vitesse de son pilonnage. Il me bourrait bien la chatte, je le sentais buter bien profond contre le col du vagin, déclenchant une intense montée de mon plaisir. Il commençait à s’exprimer avec des mots crus :



— T’aime ça ! Elle est bonne la queue du vieux. Elle te la bourre bien ta chatte rasée !
— Oh oui ! Michel C’est bon ! Encore ! Encore ! Plus fort !
— Tiens en voila de la bonne bite !


Je devenais folle de tant de plaisir. Il me fit l’amour très longtemps, maîtrisant son éjaculation pour me permettre de jouir d’au moins 3 orgasmes. J’attrapais alors ses couilles entre mes jambes et frottais les lourds organes sur mon bouton d’amour. De nouveau je sentis son foutre emplir ma chatte, ce qui me fit lâcher prise pour un quatrième pic de jouissance. Nous nous écroulions en même temps. Restant sous lui, son torse contre mon dos, j’étais bien. Mon vagin expulsa son sexe ramolli ainsi que du sperme qui souilla les draps du lit conjugal. Mais nous restions là, quelque temps, lui sur moi. Nous somnolions, épuisés par le plaisir. Il devait être 18h00 lorsque nous avons émergé de notre léthargie toujours dans la même position. Nous échangions un baiser langoureux lorsqu’il l’interrompit :



— Votre mari rentre à quelle heure ?
— À 19h45 pile!
— Nous avons moins de 2 heures devant nous alors!
— Vous n’êtes pas fatigué ?
— Votre corps me fait faire des miracles !
— Vous avez su le mettre à votre goût.
— Oui et je vous remercie d’avoir accepté que je m’occupe de votre première épilation.
— Vous êtes vraiment un homme bizarre.
— Je ne suis pas bizarre, je voulais juste vivre mes fantasmes.
— Et depuis quand, échafaudez-vous vos plans pour me mettre dans votre lit ?
— Nous sommes dans votre lit, au cas où vous l’avez oublié. Je caressais l’espoir de vous posséder depuis la première fois où je vous ai vue. Cela fait 3 ans maintenant.
— Et votre femme dans tout ça ?
— Je vous retourne le compliment. Et votre mari dans tout ça ?
— Ne répondons pas ! Chacun ses secrets !
— Comme bon vous semble ! Mais j’ai encore envie de déguster votre sexe nouvellement mis à nu.
— Vous ne vous arrêtez donc jamais ?
— Votre corps m’inspire l’amour, ça fait bien longtemps que je n’ai pas été aussi vigoureux et plusieurs fois de suite.


Sur ces mots, il posa sa bouche dans mon cou et descendit pour butiner mes tétons qu’il fit durcir lentement. Il prolongea son parcours jusqu’à mon petit bouton rose qu’il maltraita avec délice, je sentais sa bouche et sa langue sur ma peau nue, mes sens se réveillaient. Il léchait mes grosses lèvres souillées de son sperme séché, cette image m’excita beaucoup. De son habile langue, il remettait la machine à jouir en marche. Déjà mes sécrétions s’écoulaient en moi, préparant le terrain à ce vit qui me donnait tellement de plaisir. Il vint se placer à genoux au-dessus de mon visage :



— Sucez-moi, belle Nadine.
— Avec plaisir, Cher Michel, lui répondis-je sur un ton rieur.


Je gobais ses grosses couilles, l’une après l’autre, masturbant son sexe qui avait du mal à être tout à fait dur. Je faisais mon possible pour avoir le meilleur de son érection. Je hasardais ma langue sur son anus. Il se contracta et son sexe prit de la vigueur ; encouragée par cette réaction, je me mis à le lécher franchement. Bien sûr l’odeur était des plus désagréables mais à la fois, c’était très excitant, c’était aussi une première pour moi. Je le branlais d’une main et je continuais à darder son petit trou avec ma langue. Lui replongea son nez dans mon sexe et nous sommes partis pour un 69 des plus torrides. Lui me doigtant la chatte et lustrant de sa langue mon clito, moi le sodomisant avec la mienne. Il me priva soudain de mon nouveau jouet. Il me couvrit et me bourra violemment la chatte. Je le sentais toujours aussi profond en moi. Il me lima longuement, puis il me mit en levrette et me pénétra de plus belle. Il allait bien profond dans mon vagin. Un doigt inquisiteur taquina mon anus puis doucement le força, aidé par mes sécrétions vaginales. Puis un deuxième rejoignit le premier, ce qui provoqua le premier orgasme de cette pénétration. Il s’en rendit compte et le prit pour un encouragement. Après en avoir retiré ses doigts, il retira son sexe de ma chatte et le posa sur ma petite fleur plissée :



— Non, je ne veux pas, pas vous !
— J’en ai trop envie. Et puis, je me suis tellement dépensé aujourd’hui qu’il me faudra bien cela pour jouir.
— Non, s’il vous plait !
— J’ai besoin de me sentir serré si je veux jouir.
— Non.


Ne m’écoutant pas, il força le passage, mais le fit en douceur. Son vit, gras de ma mouille, glissait lentement dans mon anus. Je me détendis et j’acceptais dans mon fondement la grosseur de sa queue, sans pratiquement aucune douleur. Ses couilles s’écrasèrent sur ma chatte. Il était entré en entier. Après quelque instant d’immobilité, il ressortit pratiquement tout son sexe, puis le replongea doucement au chaud. Il recommença plusieurs fois, je me sentais de plus en plus dilatée. Il s’activait de plus en plus vite. Puis, il se retira, observait mon anus béant, il remettait son pieu bien au fond et se retirait entièrement de nouveau. À chaque fois qu’il me pénétrait une sensation doux amer m’envahissait, mélange de douleur et de bonheur. Je percevais cette sensation d’être possédée, d’être soumise à son bon vouloir, d’être sa femme. Il reprit son pistonnage, augmentant régulièrement le rythme. Une chaleur irradia mon bassin, montant dans mes seins, dans ma tête et explosa en mille particules de plaisir. Je hurlais mon bonheur d’être ainsi prise :



— T’aime ça la sodo, tu fais ta mijaurée mais un fois que tu l’as dans le cul, tu jouis.
— Oh oui ! C’est trop bon ! Plus fort !
— Tiens prend ça. J’ai jamais enculé une telle excitée du cul !
— Plus fort ! Encore ! C’est bon !
— T’aime ça ! Hein que t’aime ça !


Je ne répondais plus, me contentant de crier. Il me pistonnait de plus en plus vite et soudain se vida dans mon cul en poussant un cri rauque et puissant, tapissant mes intestins de son jus. Il me pistonna encore une dizaine de fois et se retira :



— Excusez-moi, mais j’en avais très envie.
— Vous êtes tout excusé mais vous avez été vilain, car vous m’avez tutoyé.
— Mille excuses ma chère !


Nous éclations de rire. Mais il était déjà 19h30, mon mari n’allait pas tarder. Je l’appelais pour qu’il prenne des pizzas, histoire de le retarder et changeais les draps. Pendant ce temps là, Michel prit une douche rapide pour faire disparaître les odeurs de notre coupable après-midi et me quitta pour rejoindre son épouse. Son sperme s’échappait de mon anus béant et coulait sur ma chatte. Je passais au salon, enfilais ma robe et me réfugiais dans la salle de bain.

Je me retrouvais seule face à ma conscience. Dans ces moments-là, on se sent particulièrement coupable. J’essuyais mon sexe glabre car je n’avais pas le temps de prendre une douche et je ne voulais pas éveiller les soupçons…
#1137480
un autre



Nous sommes un couple, mariés depuis un peu plus d’un an, à la recherche d’un appartement pendant le mois de juillet de cette année 2010. Clémence a 24 ans, elle est assistante commerciale. Physiquement, je la trouve mignonne et bien faite et je sais que ce n’est pas dû qu’à mes yeux amoureux, à voir le regard des autres hommes qui la croisent : elle est brune, cheveux mi-longs, elle mesure 1, 67 m pour 56 kg. Moi, je suis brun, cheveux courts et je me trouve mignon aussi.



Nous avons visité un appartement en direct avec le propriétaire, un retraité de 62 ans, divorcé et vivant seul. C’est un grand costaud avec une belle brioche. L’appartement nous plaisait beaucoup mais à la fin de la visite le propriétaire nous a annoncé un surcoût de 100 € sur la location, prétextant qu’il avait beaucoup de visites. C’était au-dessus de nos moyens malheureusement, donc nous nous sommes désistés. Mais le propriétaire m’a téléphoné en fin de journée en me demandant de passer seul car il nous trouvait sympas et qu’il pouvait faire un geste.



J’y suis donc allé sans Clémence. Le propriétaire m’a proposé de réduire le loyer de 150 € si je lui permettais de voir Clémence en petite tenue régulièrement chaque mois. J’étais très surpris par la demande mais nous étions coincés car nous avions donné notre préavis de là où nous vivions et cet appartement nous plaisait tellement que j’ai accepté sans savoir comment ça aller vraiment se passer.



Nous nous sommes revus le samedi suivant pour signer les papiers. Le propriétaire m’avait demandé à ce que Clémence soit habillée en jupe ou en robe. Vu la météo, ça n’a pas été difficile de convaincre ma femme puisqu’elle s’habille souvent comme ça. Elle a donc mis une petite robe d’été. Lorsque nous sommes arrivés chez le propriétaire, j’ai remarqué son regard vicieux envers Clémence. Elle a dû s’en apercevoir car je la sentais gênée. Après les signatures, le propriétaire nous a offert l’apéritif mais en trinquant souvent, ce qui nous faisait vider nos verres rapidement. Et, à chaque fois, il nous les remplissait.



À moi, il m’a servi trois verres de whisky avec, à chaque fois, plus qu’une simple dose. Clémence a eu le droit à trois verres de Vodka-orange. Nous ne sommes pas habitués à boire, surtout Clémence, ce qui fait que ça me tournait un peu. Le propriétaire, que j’appellerai Monsieur R, a voulu me parler discrètement en prétextant qu’il voulait me montrer une pièce qu’il avait refaite seul. En fait, il m’a dit qu’il allait nous permettre de revoir l’appartement tous les deux dans les minutes qui allaient suivre et que je devrais m’arranger à déboutonner complètement la robe de Clémence et la caresser.



Nous sommes retournés auprès de ma femme. Je lui ai dit que Monsieur R nous permettait d’aller revoir l’appartement. Quand elle s’est levée, j’ai bien vu qu’elle était un peu saoule. Arrivés dans notre nouvel appart, nous étions tout contents en imaginant déjà où irait tel ou tel meuble. Dans la cuisine, j’ai commencé à me coller face à Clémence pour la plaquer contre les meubles bas, au niveau de l’évier, comme me l’avait demandé le propriétaire. J’ai commencé par l’embrasser tout en lui caressant les seins à travers la robe. Très vite, ses tétons se sont mis à pointer. J’ai entrepris de lui déboutonner le haut de sa robe jusqu’au nombril. Elle s’est retrouvée seins nus puisqu’elle n’avait pas mis de soutif. Ses seins que je trouve mignons sont en pomme avec de petits tétons pour un 90b.



Elle a commencé à me dire que c’était risqué, alors je lui ai répondu que nous étions chez nous maintenant. Elle s’est laissé caresser les seins. J’étais très excité de savoir que le propriétaire matait, sans savoir où il était précisément. Je me suis mis à sucer les tétons tout en lui pressant les seins délicatement. J’ai continué à lui déboutonner complètement sa robe tout en lui embrassant les seins. Je me suis reculé pour l’admirer et aussi pour donner une meilleure vue au mateur. Ensuite, je me suis à nouveau collé à elle pour l’embrasser et glisser une main dans son string. Elle était déjà bien mouillée. Clémence a commencé à me tripoter le sexe au travers de mon bermuda. La situation était très excitante. Je lui titillais le clito ce qui commençait à la faire gémir. Je l’ai ensuite doigtée.



Quand elle a voulu sortir mon sexe, je me suis agenouillé pour qu’elle ne le fasse pas afin d’éviter que Monsieur R voie mon engin. J’ai écarté son string pour commencer à la lécher. Elle s’est mise à gémir de plus en plus fort. Après quelques minutes, elle m’a demandé de venir. Mais j’ai continué de la lécher. C’est à ce moment là que Monsieur R est apparu, alors que ce n’était pas prévu, en demandant s’il ne nous dérangeait pas. Nous avons sursauté et je me suis vite relevé en essuyant ma bouche. Clémence a voulu se rhabiller mais il lui a dit qu’il allait s’en occuper. Et très vite, il s’est retrouvé face à elle pour lui reboutonner sa robe en la complimentant sur son ventre plat, sa poitrine et son joli string. Clémence était toute honteuse mais elle s’est laissé faire. Monsieur R a fait ça doucement. Je l’ai vu prendre les seins de Clémence à pleines mains pour les presser avec délicatesse. Il a dit :



— Vous avez les seins fermes et doux et, à ce que je vois, très sensibles, sans se soucier de ma présence.


Il a continué à remettre les boutons tout en descendant petit à petit. Pour le bas, il s’est baissé en mettant un genou à terre. Quand il a voulu écarter le string, Clémence a dit timidement :



— Pas ça.


Alors, lui s’est levé et il a baissé son pantalon et son slip en disant :



— Voilà, vous avez vu mon sexe, comme ça on sera égalité.


Et quel sexe ! Une très grosse queue et assez longue et qui était bien droite en pleine érection. J’étais scotché. Et Clémence aussi, car elle avait un regard ébahi avec la bouche entrouverte. Lui a remis un genou à terre, après avoir rangé son morceau, pour écarter le string de Clémence et il a fait des commentaires du genre :



— C’est très beau une chatte épilée et il n’y avait pas ça quand j’étais jeune.


Il a remis le string en place en touchant sans doute sa chatte, car Clémence a laissé échapper un petit gémissement. Il s’est relevé en nous disant qu’il nous attendait chez lui car il allait mettre une pizza au four. Quand il est parti, Clémence était gênée et un peu en colère du fait que je n’avais rien dit. Je lui ai répondu que j’avais été pris de cours et que je ne m’attendais pas à ça. Nous sommes retournés chez Monsieur R. Il nous a demandé de passer dans le salon.



Quand il est venu nous rejoindre avec une bouteille de champagne, il a demandé à Clémence de s’asseoir dans le petit fauteuil. J’ai compris pourquoi quand elle s’est assise dedans : elle s’est enfoncée car il n’avait pas de tenue. Sa robe s’en est retrouvée remontée sur ses cuisses. Et, au fur et à mesure que Monsieur R proposait des gâteaux apéritifs à Clémence, sa robe remontait de plus en plus car ma femme était obligée de bouger vers l’avant pour attraper ce qu’il lui proposait. Et lui ne se gênait pas pour mater.



À un moment, Clémence a demandé timidement à Monsieur R où étaient les WC. Il s’est levé pour aider ma femme à se relever et il est allé avec elle vers les WC en la tenant par la taille. Clémence avait du mal à tenir debout. Arrivés devant les WC, qui étaient visibles du salon, il lui a mis une main aux fesses en lui disant



— Beau p’tit cul, et bien ferme.


Clémence n’a pas protesté. Il lui a ouvert la porte. Elle est entrée et quand elle a voulu refermer la porte, Monsieur R a dû la maintenir car il lui a dit d’une façon autoritaire :



— Laissez la porte ouverte et faites ce que vous avez à faire.


J’ai vu Clémence honteuse, sans doute baisser son string et s’asseoir, chose que je n’ai pas vue car Monsieur R était devant. Ensuite, j’ai entendu le proprio lui dire :



— Donnez-moi ça et levez-vous en tenant votre robe et tenez-vous à mon bras.


En voyant la tête de Clémence au-dessus de l’épaule légèrement baissée de Monsieur R, j’ai supposé qu’il lui essuyait son intimité. J’étais sur le cul et incapable de réagir. Quand ils sont revenus dans le salon, Clémence était honteuse et j’ai compris qu’elle était excitée en voyant ses tétons pointer. Cette fois-ci, elle s’est assise sans se soucier que sa robe soit remontée. D’ailleurs, à un moment, j’ai cru apercevoir qu’elle ne portait plus de string. J’ai su plus tard qu’il le lui avait complètement retiré dans les WC. Monsieur R a continué à nous servir du champagne. La conversation a tourné sur le sexe et Monsieur R racontait ses exploits qui étaient plus de la baise que de l’amour. À un moment, il a glissé, pendant la conversation, la taille de son sexe, à savoir 25 cm. Clémence m’a surpris en réagissant et en lâchant un :



— C’est pas possible ?


Et là, le proprio s’est levé en disant



— Vous allez voir.


Il a vite baissé son pantalon et son slip. Il ne bandait pas complètement mais c’était déjà impressionnant avec sa grosse paire de couilles. Il s’est dirigé vers Clémence et il lui a demandé de le prendre en main pour le faire bander à fond. Elle a refusé alors il lui a pris la main pour la poser dessus. J’ai vu à nouveau le regard ébahi de ma femme en tenant l’engin. J’ai commencé à dire d’arrêter car nous le croyions sur la taille de son sexe. Mais lui m’a demandé d’une façon autoritaire d’aller chercher, dans son bureau, une règle. J’y suis allé et quand je suis revenu, Clémence était en train de branler doucement Monsieur R qui bandait bien. En me voyant, il m’a demandé de passer la règle à ma femme. Quand je lui ai passé, elle m’a regardé honteusement.



Monsieur R lui a demandé de mesurer et de lui donner le résultat. Clémence a positionné la règle en tenant la grosse queue tout en tremblant légèrement et elle a annoncé 25. Monsieur R a dit à Clémence :



— Vous voyez que je ne mentais pas.


Clémence était toute rouge et elle a esquissé un petit sourire gêné. Lui m’a dit



— À votre tour Julien.


Je lui ai répondu que Clémence connaissait la taille de mon sexe donc ce n’était pas la peine. De ce fait, il a demandé à Clémence la taille. Elle a répondu timidement « 14 cm ». Il lui a demandé si elle me l’avait déjà mesuré. Elle a fait un signe « non » de la tête, toute gênée. Alors, il lui a demandé comment elle était au courant. Elle lui a répondu que c’était moi qui lui avais dit. Il a voulu savoir réellement combien et il a insisté pour que je déballe ma queue. Je n’étais pas fier quand Clémence est venue la mesurer à la demande de Monsieur R. Et quand elle a annoncé 13 cm, j’avais l’air con. Mais je pense que nous sommes tous pareils à vouloir rajouter 1 cm. J’ai remis mon boxer et mon bermuda alors que Monsieur R est resté le sexe à l’air toujours en train de bander.



— Maintenant que vous nous avez mesurés c’est à nous de savoir comment est votre clito.


Il pousse Clémence à se rasseoir dans le petit fauteuil. Il s’agenouille devant elle et il lui déboutonne le bas de la robe. C’est à ce moment là que j’ai la confirmation qu’elle n’a plus son string. Sa chatte est trempée. Monsieur R s’en est aperçu car il lui a dit :



— On dirait que ça vous a plu de mesurer de la queue.


Clémence était honteuse. Et quand Monsieur R a posé son pouce sur son clito, elle a poussé un petit gémissement en fermant les yeux. Lui a continué à bouger son pouce de haut en bas ou en le faisant tourner. Clémence n’arrêtait pas de gémir. Je la sentais pas loin de jouir. Quand Monsieur R s’est penché pour commencer à lui lécher le clito, je me suis mis à éjaculer dans mon boxer sans même me toucher, alors que lui s’était mis à la doigter en même temps ce qui a déclenché l’orgasme de ma femme. Elle s’est cambrée tout en se cramponnant au fauteuil et en criant. Je ne l’avais jamais vu jouir comme ça.



Je suis allé aux WC pour enlever au maximum mon sperme sur moi et sur mon boxer. C’est à ce moment là que j’ai entendu Clémence pousser un râle comme jamais, puis quelques secondes après elle s’est mise à gémir comme une folle. Je me suis dit qu’il l’avait pénétrée mais je ne pouvais pas penser que Clémence ait accepté. Pourtant, quand je suis revenu dans le salon, je vois Monsieur R tenir Clémence par la taille et la faire aller et venir sur sa queue. Clémence a les yeux fermés et la bouche ouverte à gémir à tout va. Elle est dans un état pas possible.



Je ne l’ai jamais vue comme ça. L’enfoiré la baise au moins pendant trente bonnes minutes en la faisant jouir, je pense, encore trois fois au vu des cris que ma femme a poussé par moments. Lui se met à éjaculer sur le ventre et la chatte de ma femme. Elle en reçoit même un peu sur sa robe. Clémence paraît exténuée et elle garde les yeux fermés pendant que Monsieur R se relève pour aller chercher dans un tiroir un mouchoir et essuyer le sperme sur Clémence.



Après ça, il nous propose de dormir ici dans sa chambre car nous ne sommes pas en état de conduire. J’accepte et Monsieur R nous emmène dans sa chambre en prêtant un tee-shirt à Clémence qui se déshabille en étant dans un état second et de fatigue avancée. Elle se couche même sans me faire un petit bisou et Monsieur R me demande de venir avec lui dans le salon et de la laisser dormir.



Je suis encore très excité par ce que j’ai vu mais également ahuri que tout ça soit arrivé. Lui sort une bouteille de digestif et il me parle sans aucune gêne de Clémence et du plaisir qu’il avait eu à baiser une fille aussi jeune et aussi jolie. Malgré ça, je bandais en l’entendant me parler comme ça de ma femme. J’étais aussi très fatigué et je me suis endormi en l’écoutant me parler.



Je me suis réveillé en pleine nuit sans comprendre où j’étais, sans doute dû aux effets de l’alcool. Il m’a fallu plusieurs secondes pour comprendre où j’étais. Je trouve mon portable pour regarder l’heure : il est presque trois heures. Il fait très noir à l’intérieur de l’appart, à part une légère lueur que j’aperçois dans le couloir. Je perçois un léger bruit et au fur et à mesure que je me réveille, je comprends que se sont des gémissements de Clémence. Je me lève pour me diriger vers cette lumière et je comprends qu’elle provient de la chambre.



En arrivant devant la porte ouverte, je suis surpris de voir ma femme à cheval sur Monsieur R. Lui est allongé sur le dos. Ils sont éclairés par la lampe de chevet. J’en reviens pas de la voir bouger sensuellement sur ce vieux en se cambrant en arrière, prenant appui sur les cuisses de Monsieur R, alors que lui, caresse sa jolie poitrine.



Il descend ses mains sur son ventre pour ensuite lui enserrer sa taille. Il aide Clémence à monter et descendre sur sa grosse queue. Et il l’aide encore mieux lorsqu’il glisse ses grosses mains sous son petit cul. Elle pose ses mains sur le torse de Monsieur R en gémissant de plus en plus fort. Il la bascule pour la prendre à la missionnaire. Clémence a les cuisses bien écartées et les jambes en l’air, maintenues par les avant-bras de Monsieur R. Il la baise énergiquement, arrachant de forts gémissements à ma femme qui a l’air de se cramponner aux fesses de cet homme. Il ralentit pour la baiser plus sensuellement. Je vois les mains de Clémence lâcher les fesses de Monsieur R pour aller lui caresser le dos. Ça dure quelques minutes comme ça, jusqu’à ce qu’il reprenne son rythme fou qui, très vite cette fois-ci, fait partir Clémence dans un très gros orgasme.



Il reste quelques instants en elle, sans bouger, pendant que Clémence est toujours en train de jouir. L’orgasme est long. Ensuite, il se retire pour se mettre à genoux. Sa queue est vraiment énorme. Il va s’allonger à coté, à l’opposé de moi, et il fait comprendre à Clémence de se mettre sur le côté, ce qui fait qu’elle se retrouve face à moi. La lampe de chevet éclaire sa jolie poitrine qui semble gonflée. Ses tétons pointent. Je bande comme un malade et surtout comme un con alors qu’elle me fait cocu, même si l’effet de l’alcool y est pour beaucoup. Mais elle est tellement bandante.



Je la vois ouvrir la bouche en même temps qu’elle gémit. Monsieur R l’a sans doute à nouveau pénétrée. Il lui relève la jambe pour la poser sur la sienne tout en la baisant. Clémence gémit de plus en plus fort. Il fait parcourir sa main sur le corps de ma femme en s’arrêtant souvent sur ses seins. Il les presse, pince les tétons ce qui excite encore plus Clémence. Je sens que je vais jouir alors je vais vite chercher un mouchoir en papier. Dès que je l’ai, je me branle pour me faire jouir car je viens d’entendre ma femme avoir encore un gros orgasme. Je m’assois sur le canapé pour récupérer. Quelques secondes après, j’entends à nouveau Clémence gémir en continu. Je retourne voir à la porte de chambre et je la vois à quatre pattes en train de se faire prendre en levrette. Monsieur R la baise sensuellement en la tenant par les hanches. Il fait glisser ses grosses paluches sur le dos de ma femme pour la caresser, puis sur ses seins. Il ramène ensuite ses mains mais sur la taille cette fois-ci. Clémence paraît fragile avec ces grosses mains autour de sa taille fine.



Monsieur R commence un va-et-vient plus viril ce qui déstabilise Clémence qui s’écroule en gémissant de plus belle. Elle a posé sa tête sur ses avant-bras, ce qui fait que son petit cul se retrouve plus cambré qu’avant. Monsieur R la baise longuement dans cette position. Par moment, il la tient par les cheveux en tirant dessus ce qui fait remonter la tête de Clémence en la faisant gémir encore plus fort. Monsieur R commence à parler :



— T’aimes ma grosse bite, salope ?


Clémence ne répond pas mais elle semble apprécier ce qu’il lui dit en gémissant de plus belle.



— Dis-moi que t’aimes ma grosse bite.
— Ouuuuiiii


Je suis surpris qu’elle lui réponde surtout avec ce « oui » langoureux.



— Dis-le-moi mieux que ça.


Il lui dit ça en lui donnant une petite claque sur les fesses. Je n’ai jamais osé lui fait ça.



— Oui, j’aime votre sexe… il est gros… je le sens bien.


J’en reviens pas qu’elle ose dire ça. En même temps qu’elle dit ça, je la vois avoir un orgasme phénoménal : elle se met à crier comme une folle en bougeant la tête. Elle est méconnaissable. Monsieur R se retire rapidement en se mettant à éjaculer sur son petit cul et sur son dos. Ils restent un moment comme ça : Clémence avec son petit cul en l’air et Monsieur R avec la queue à la main qui débande petit à petit.



Clémence s’écroule complètement sur le lit à plat ventre. Monsieur R se lève du lit pour aller fouiller dans une commande. Il en ressort une serviette. Il retourne sur le lit pour aller essuyer le sperme sur le corps de Clémence. Ensuite, il se penche pour faire un bisou sur son petit cul. Il va vers la tête de Clémence et il lui dit quelque chose à l’oreille que je n’arrive pas à entendre. Je vois Clémence faire un signe de la tête en souriant timidement. Quand je vois Monsieur R se lever du lit, je me précipite aux WC pour aller me branler et d’ailleurs je jouis encore assez rapidement avec des images très sexuelles en tête. Quand je sors des WC, je vois Monsieur R assis sur le canapé. Il n’a même pas pris la peine de se rhabiller. Quand j’arrive près de lui, il a le sourire aux lèvres.



— Très bonne à baiser, ta petite Clémence. Une bonne chatte serrée et dégoulinante. En plus, très expressive.


J’étais sans voix, d’autant plus qu’elle n’est pas autant expressive avec moi.



— Allez, va la rejoindre car j’aimerais dormir.


Je suis allé dans la chambre et en me glissant dans les draps, j’ai constaté que Clémence était encore toute nue, en train de dormir. J’ai réussi finalement à m’endormir facilement sans doute dû à mes nombreuses éjaculations.



Le lendemain s’est passé comme si de rien n’était avec Monsieur R. Par contre, Clémence s’est blottie contre moi en pleurant et en me disant qu’elle ne voulait pas me tromper lorsque Monsieur R l’avait pénétrée sur le fauteuil. Je l’ai rassurée en lui disant que c’était à cause de l’alcool. Par contre, j’étais assez mal à l’aise du fait qu’elle ne me parle pas de cette séance très sexuelle dans la chambre. Elle devait penser que je ne les avais pas vus.



Donc, voilà comment a commencé le premier contact en tant que locataire avec notre nouveau propriétaire.
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la suite


Monsieur R nous a invités à dîner un samedi soir, début août. Clémence se prépare en enfilant un shorty en maille et tulle rose avec le soutif assorti. Elle met ensuite un chemisier couleur mauve et une jupe noire ample lui arrivant à mi-cuisse. Moi, j’enfile un caleçon avec un bermuda par dessus et une chemise à laquelle je replie les manches.



Nous nous rendons chez Monsieur R et je suis surpris en voyant un autre homme nous ouvrir. Il est également costaud, un peu plus petit que le proprio. Il se présente en disant qu’il est un ami de Monsieur R et qu’il se prénomme Michel. Je vois bien ce Michel toiser Clémence quand celle-ci lui tend la main pour lui dire bonjour, mais il ne se démonte pas en lui disant qu’ils allaient se faire la bise. Il pose une main sur la taille de ma femme et lui fait quatre bises. Ensuite, il me serre la main avec une bonne poigne dans laquelle ma main est bien compressée. Nous rentrons. Monsieur R fait la bise à Clémence en la tenant, lui aussi, par la taille. À moi, il me serre une bonne poignée de main bien ferme. De l’apéritif au dessert, le repas se passe correctement mais assez alcoolisé. Les deux amis tiennent, par moment, des propos sexuels tout en matant ma femme que je vois sourire en rougissant.



À la fin du repas, Monsieur R nous propose de jouer au Trivial Pursuit, mais en changeant les règles : le premier donnant une bonne réponse donnera un gage au premier répondant mal.



Monsieur R répond correctement à la première question, Michel aussi alors que Clémence ne trouve pas la réponse. Monsieur R se lève en demandant à ma femme d’en faire autant. Il commence à lui déboutonner le chemisier en lui disant que c’était son gage. Elle est intimidée par la situation mais se laisse faire et c’est comme ça qu’elle se retrouve en soutif. Ses tétons pointent. Elle est superbe comme ça. Michel lâche un :



— Jolie lingerie, avec des yeux écarquillés.


À mon tour de répondre correctement. Monsieur R se trompe et Michel lui donne le gage de retirer son bermuda. Monsieur R se lève pour le retirer en ne se cachant pas de son érection débordant de son slip.



— Eh oui Clémence, c’est de ta faute si je suis dans cet état.


Elle rougit encore plus et se trémousse un peu sur le fauteuil.

Clémence ne répond toujours pas à la question suivante. Et, comme tous les gagnants ont tous donné leur gage, c’est Michel qui lui donne car c’est celui, avant Clémence, qui a bien répondu. Il lui demande de se lever et de venir devant lui. Et il lui retire sa jupe. Nous la découvrons en shorty. Elle est vraiment superbe, et très sexy avec ses talons.



Le jeu continue comme ça. Clémence se retrouve seins nus, moi en boxer. Monsieur R et Michel en slip et chemise. Les gages suivants, pour Clémence, ce sont des caresses que lui donnent Monsieur R et Michel, et ceci pendant trois minutes à chaque fois, le temps d’un sablier. Les caresses commencent sur ses seins – en vous rappelant qu’elle adore se les faire caresser – pour ensuite aller sur sa petite chatte, au début à travers son string, puis en l’écartant. Elle a d’ailleurs un premier orgasme avec le propriétaire. Les deux amis perdent rarement alors que nous deux, énormément. Les gages pour moi sont simples puisque je dois faire juste un petit bisou à Clémence, par exemple.



Les gages suivants pour ma femme se corsent puisqu’elle doit commencer à branler Monsieur R, à genoux entre ses cuisses, toujours pendant trois minutes. Ensuite, c’est au tour de Michel de se faire branler. Et à nouveau le propriétaire puis Michel, et ceci plusieurs fois sans qu’ils éjaculent. Alors, lorsque Monsieur R demande à Clémence de me branler, je me mets à éjaculer rapidement car trop excité par tout ça.



Monsieur R se moque en me traitant d’éjaculateur précoce et, comme j’avais joui avant la fin des trois minutes, j’ai dû retourner chez moi, à sa demande, pour prendre ma douche et revenir trente minutes plus tard au minimum.



J’ai dû sortir en boxer dans le couloir pour retourner à notre appartement. J’étais un peu en panique de laisser Clémence seule avec ces deux hommes. J’ai pris une douche vite fait et malgré que quinze minutes seulement étaient écoulées, je suis allé dans le couloir pour écouter. Avant même d’arriver à la porte de Monsieur R, j’entendais ma femme gémir très fort. Je ne savais pas quoi faire et surtout j’avais un peu peur d’être surpris en boxer alors je suis retourné à l’appart et je me suis branlé en imaginant ce qu’il pouvait bien se passer. Les trente minutes écoulées, je suis allé sonner chez le proprio alors que Clémence gémissait toujours comme une folle. Et après quelques secondes, c’est elle qui est venue m’ouvrir. Elle était mal à l’aise, les joues rouges, les seins qui pointaient.



— C’est Monsieur R qui m’a demandé de venir t’ouvrir.
— Que te faisaient-ils pour que tu gémisses comme ça ? (je lui ai demandé ça discrètement)
— Monsieur R me léchait.


Et là, elle est repartie dans le salon et moi je la suivis en matant son joli petit cul. Ça m’a fait un coup en voyant son shorty à l’envers. Plein de choses me sont passées dans la tête. Dans le salon, seul Monsieur R était là, puisque Michel est arrivé ensuite des WC. J’ai constaté qu’il ne bandait plus, contrairement à Monsieur R qui avait même la queue sortie et toute luisante. Je me suis posé la question si elle était luisante de la salive de ma femme ou de sa mouille.



Le jeu a repris et Clémence a perdu de nouveau. Monsieur R lui demande de venir le sucer, chose qu’elle fait sans hésiter pendant trois minutes.



À moi de jouer et de perdre. Mon gage est d’aller laver la vaisselle. Je remplis le bac d’eau mais, avant de commencer, je vais jeter un coup d’œil. Clémence est debout devant Monsieur R qui lui caresse les fesses en l’embrassant sur son shorty. Il s’arrête pour lui parler :



— Enlève ton shorty, ma belle.


Clémence le fait d’une façon sensuelle.



— Regarde Michel comment elle mouille cette jeune salope.
— Oui, tu as raison et c’est très appétissant.
— Tu as envie de ma grosse queue ? lui demande Monsieur R.


Clémence lui fait un signe d’affirmation avec sa tête.



— J’ai envie d’entendre ta jolie voix, alors soit plus expressive.
— Oui, j’ai envie de votre sexe.
— Alors vient t’empaler dessus.


Clémence enjambe Monsieur R et lui prend la queue dans la main pour la guider à l’entrée de sa chatte. Elle se met à gémir très fort en basculant la tête en arrière tout en s’empalant doucement sur la grosse queue. Il la tient par la taille en lui embrassant les seins. Clémence se met à jouir très fort. Ensuite, Monsieur R passe ses mains sous le petit cul de ma femme pour l’aider à remuer sur sa grosse queue, ce qui lui arrache des râles de plaisir. Quand il les retire, Clémence continue à bouger pendant qu’il lui caresse le dos, les seins, le visage. Il passe les mains dans les cheveux de Clémence, en approchant son visage du sien. Il l’embrasse et les gémissements de ma femme sont étouffés. Elle semble apprécier le baiser qui dure jusqu’à ce qu’elle se mette à jouir de nouveau.



Michel se met debout sur le canapé.



— Suce-moi.


Clémence pivote son visage vers lui, et donc n’est plus dans mon champ de vision, et elle doit commencer à le sucer car il lui dit qu’elle a une bouche bien chaude. En même temps, Clémence recommence à bouger sur Monsieur R. Michel commence à prendre son pied.



— Oh putain… quelle suceuse… ouiiii…


Je comprends qu’il éjacule dans sa bouche car il lui tient la tête. Ensuite, il redescend du canapé et se dirige vers la cuisine. Je retourne vite à ma vaisselle. Quand Michel rentre dans la cuisine, il me dit sans détour que ma femme est une très bonne suceuse. Il vient me mettre une tape dans le dos en me disant que j’avais de la chance.



Il continue de me parler alors que moi j’entends surtout les gémissements de Clémence. La présence de Michel ne me permet pas d’aller mater et c’est assez difficile à vivre. Au bout d’une bonne demi-heure, Monsieur R arrive dans la cuisine alors que je suis en train d’essuyer la vaisselle.



— Michel, Julien va te raccompagner chez toi car ta femme va s’inquiéter.
— Clémence vient avec moi ? lui dis-je
— Non, elle va rester ici se reposer, me répond Monsieur R.


Je pars donc ramener Michel sans être très enchanté de la laisser seule avec le proprio.



Arrivés devant chez Michel, il me demande de l’aider à rentrer alors que je ne l’avais pas trouvé si saoul que ça. À l’intérieur, il me propose un verre et devant mon refus il insiste assez bruyamment. C’est ce qui a dû réveiller sa femme qui est venue nous rejoindre dans le salon. En la voyant, j’ai compris encore plus pourquoi il trouvait Clémence si excitante. Sa femme était grosse et n’était pas toute jeune, forcément. Mais elle semblait gentille. Elle m’a proposé de m’offrir un verre. Malgré mon refus, elle m’en servit un, ainsi qu’à son mari. Je suis resté chez eux une bonne heure avec cette angoisse de savoir Clémence seule avec le proprio. Quand enfin j’ai pu partir, j’ai roulé assez vite. En arrivant devant la porte du voisin, j’ai frappé à la porte, plusieurs fois, sans réponse. Après à peu près cinq minutes, la porte s’ouvre. C’est le proprio. Il est à poil et il bande. Sa queue est toute luisante. Elle est vraiment impressionnante. Il a le sourire aux lèvres.



— Clémence est vraiment très bonne à baiser car elle est très expressive et participative. Tu en as de la chance de l’avoir tout le temps avec toi.


Je suis incapable de répondre quoi que se soit car je suis scotché par ce qu’il me dit, car Clémence n’est pas vraiment expressive avec moi lorsque nous faisons l’amour.



— Va discrètement au pas de porte de la chambre pour mater ta femme.


Je m’y rends et je suis sur le cul et je me remets à bander très fort d’un coup car Clémence est sur le lit, à quatre pattes, nue, la tête dans l’oreiller, en train de se caresser la chatte, de se doigter. Et elle gémit. Elle est très bandante comme ça. Je ne l’avais jamais vu se caresser.



Le proprio est derrière moi, à mater aussi :



— C’est moi qui lui ai demandé de se caresser comme ça en attendant que je revienne après t’avoir ouvert la porte. Elle ne voulait pas, de peur que tu la voies comme ça, mais je lui ai dit que je t’interdirai de venir voir.


Il retourne dans la chambre et il se met à genoux sur le lit. Il met les deux mains sur le petit cul de Clémence et il lui écarte légèrement. Il se penche pour mettre le nez entre ses fesses et il commence à la lécher, ce qui fait gémir plus fort Clémence. Sa tête va de droite à gauche, en laissant son visage d’un côté quelques instants à chaque fois, ce qui me permet de la voir quand elle est tournée vers la porte. Elle a les yeux fermés, la bouche entrouverte. Elle paraît radieuse et surtout, ça se voit qu’elle y prend du plaisir. Elle est vraiment mignonne, même comme ça. De temps en temps, le proprio quitte, de sa langue, sa chatte et son petit cul pour se redresser et frotter sa queue sur sa chatte. Clémence bouge plus son petit cul au contact du gland. Le proprio ensuite retourne la lécher. Et il recommence à frotter sa queue ce qui rend Clémence de plus en plus folle. À la troisième fois, elle se lâche, ce qui me surprend de l’entendre parler comme ça :



— Baise-moi !


Entendre ces mots sortir de sa bouche m’étonne un peu. En plus, elle le tutoie, même si c’est vrai que la situation le veut. Et sa façon de le dire en gémissant et d’une façon suppliante me fait bander encore plus. Si elle m’avait parlé comme ça, je n’aurais pas résisté et je me serais enfoncé dans sa petite chatte bien chaude.



— Tu as envie de ma grosse queue, hein, petite salope ?
— Ouuuii !
— Dis-moi de quoi tu as envie.


En lui disant ça, il lui donne une claque sur les fesses ce qui fait gémir Clémence un peu plus fort.



— J’ai envie de ta grosse queue dans ma chatte.


J’en reviens pas qu’elle parle comme ça.

Le proprio continue à frotter sa queue jusqu’à poser le gland à l’entrée de la chatte de ma femme.



— Montre que tu aimes ma queue, ma petite salope, en venant t’empaler dessus.


Je vois Clémence se reculer un peu pour faire rentrer le gland, ce qui la fait gémir assez fort. Elle se relève un peu en prenant appui sur ses mains. Et tout en reculant doucement, sa tête se redresse par à-coup avec la bouche grande ouverte et en gémissant. J’étais en train de me branler et je me mets à éjaculer sur le sol. La scène est trop excitante.



— Huummm, petite salope !… Ta chatte est trop bonne… Tu verrais tes lèvres épouser ma queue… Oooohh !… Ta chatte est faite pour.


Il pose ses mains sur les hanches de Clémence pour commencer un va-et-vient lent et régulier qui fait déjà basculer Clémence dans une légère hystérie. Très vite, elle remet sa tête dans l’oreiller en se cramponnant à la couette.



— Tu sens comme ma queue te remplit ?
— Oh ouiiii…
— Dis-le que tu préfères ma queue à celle de ton mari ?


Clémence ne répond pas et ça me soulage un peu sur le moment. Mais le proprio accélère la cadence ce qui a pour effet d’exciter davantage Clémence qui gémit de plus en plus fort.



— Alors ?
— Ouuiiiii…
— Oui quoi ?
— Oui… je pré… fère ta grosse… queuuuue.
— Pourquoi ?
— Elle… est trop… bonnnnne… et je… je la… sens bieennnn.


Elle se met à crier très fort en ayant un orgasme qui semble dévastateur.



Le proprio sort sa queue et je suis surpris de voir autant de mouille couler de sa chatte. L’orgasme semble durer car elle a des spasmes pendant pas mal de temps. J’ai à nouveau éjaculé devant le spectacle : Clémence est sublime comme ça avec son beau petit cul mis en avant par sa position.



Je quitte le pas de porte pour aller dans le salon pour aller m’asseoir car je suis vidé et un peu blessé d’avoir entendu Clémence prononcé ces mots.



Finalement, je me suis endormi pour me réveiller vers 8 h du matin. Je suis allé voir dans la chambre mais Clémence n’y était pas. Seul le proprio dormait. Alors, je suis retourné à notre appart où Clémence dormait nue dans le lit qui semblait bien défait. Je ne me suis pas posé de question et je me suis allongé près d’elle pour m’endormir à nouveau.



Voilà comment s’est terminée notre deuxième soirée avec le proprio.

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