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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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par cavalier
#1176302
J'ai rencontré Claire il y a 17 ans. J'étais en vacances sur la côte Atlantique avec un copain. Parmi d'autres nanas, il y avait cette fille au joli sourire et à l'esprit vif, elle était pulpeuse, comme j'aime, avec des seins lourds et des larges hanches, elle me plaisait. Mais plus rapide que moi, c'est mon ami qui l'a eue dès le deuxième soir.
Les jours suivants, je l'interrogeais régulièrement et il me disait de manière très crue que "c'était un super coup". J'en étais malade d'excitation et de jalousie.
Au bout d'une semaine, il a commencé à s'intéresser à une autre fille et a proposé de "me filer Claire". J'étais choqué et je lui ai répondu qu'il fallait peut-être lui demander son avis. Il m'a dit qu'il voulait bien parier une bouteille de champagne que si un jour je me présentais à sa place, elle ne dirait pas non.
Le lendemain, troublé et excité, j'ai tenté le coup et je suis allé frapper à sa porte à l'heure où elle avait rendez-vous avec lui. Lorsqu'elle m'ouvrit, elle eut un moment d'étonnement et puis partit d'un éclat de rire et me fit entrer.
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par cavalier
#1178877
Elle m'a fait entrer dans son bungalow et m'a offert un rafraîchissement. Elle était habillée en jupe assez courte laissant voir ses cuisses fermes et un top noué négligemment sur ses gros seins. Elle m'a d'abord demandé si j'étais venu lui porter un message de la part de mon copain.J'ai bafouillé quelque chose en rougissant. Puis on a échangé quelques banalités en buvant un verre. Je n'arrivais pas à ôter mon regard de son profond décolleté. Elle l'a remarqué et a ri une seconde fois mais n'a fait aucun effort de pudeur, au contraire. En se penchant pour me resservir, j'ai eu une longue vision hallucinante de ses énormes nibards qui produisit chez moi une érection difficile à dissimuler. L'instant d'après, elle ouvrait mon short et en sortait ma bite pour la sucer goulument. Je me souviendrai toujours de la douceur de ses lèvres sur ma hampe et l'habileté de sa langue sur mon gland. Je ne tardai pas à jouir dans sa bouche et elle n'en perdit pas une goutte. Ensuite je me rhabillai et terminai le verre qu'elle m'avait offert. Elle me raccompagna ensuite à la porte en me disant de transmettre à mon copain qu'elle voulait lui parler.
Je rentrai les couilles vides et la jalousie au ventre en pensant qu'ils allaient encore se revoir en privé. Je ne savais pas encore que ce serait pire que je ne le pensais.
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par Cocolight
#1178983
xgreg038 a écrit :MErci pour ce très beau récit de votre rencontre si habillement illustré.

Je confirme....

On a envie de la suite... 8-)
par cffj14
#1179119
cavalier a écrit :Elle m'a fait entrer dans son bungalow et m'a offert un rafraîchissement. Elle était habillée en jupe assez courte laissant voir ses cuisses fermes et un top noué négligemment sur ses gros seins. Elle m'a d'abord demandé si j'étais venu lui porter un message de la part de mon copain.J'ai bafouillé quelque chose en rougissant. Puis on a échangé quelques banalités en buvant un verre. Je n'arrivais pas à ôter mon regard de son profond décolleté. Elle l'a remarqué et a ri une seconde fois mais n'a fait aucun effort de pudeur, au contraire. En se penchant pour me resservir, j'ai eu une longue vision hallucinante de ses énormes nibards qui produisit chez moi une érection difficile à dissimuler. L'instant d'après, elle ouvrait mon short et en sortait ma bite pour la sucer goulument. Je me souviendrai toujours de la douceur de ses lèvres sur ma hampe et l'habileté de sa langue sur mon gland. Je ne tardai pas à jouir dans sa bouche et elle n'en perdit pas une goutte. Ensuite je me rhabillai et terminai le verre qu'elle m'avait offert. Elle me raccompagna ensuite à la porte en me disant de transmettre à mon copain qu'elle voulait lui parler.
Je rentrai les couilles vides et la jalousie au ventre en pensant qu'ils allaient encore se revoir en privé. Je ne savais pas encore que ce serait pire que je ne le pensais.



pire que tu ne le pensais!!!!!!!
on attend la suite avec impatience
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par floflo93
#1179210
cavalier a écrit : Je ne savais pas encore que ce serait pire que je ne le pensais.


Super excitant ton histoire. On attend la suite de l'histoire avec interêt.
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par cavalier
#1179519
Oui, histoire vraie, je précise.
Quand j'ai transmis le message de Claire à mon copain (Philou), il s'est mis à me poser des questions sur ce qui s'était passé entre nous, mais je n'ai pas voulu entrer dans son jeu et je suis resté assez évasif. Ensuite il m'a demandé si elle avait compris qu'il avait des plans avec une autre nana. Je lui ai dit qu'il n'avait qu'à faire ses messages lui-même et que d'ailleurs, elle attendait qu'il le fasse. L'après-midi, nous sommes allés à la plage où nous sommes tombés sur Claire. Elle était magnifique et débordait de son bikini. Elle m'a souri de cette jolie bouche qui m'avait si bien sucé quelques heures plus tôt. Puis elle a dit à Philou: "faudrait peut-être qu'on se parle, non?". Là dessus, ils sont partis dans les dunes et je ne les ai plus revus avant le soir. Quand elle est revenue avec lui, j'ai proposé à Claire de m'accompagner à une soirée dansante qui se passait au village voisin. Nous avons passé la soirée et la nuit ensemble. Je lui ai demandé ce qu'ils s'étaient raconté dans les dunes mais elle s'est contentée de glousser en me disant que j'étais trop curieux. Elle était d'une sensualité que je n'avais encore jamais connue, ses seins me rendaient fou, sa chatte coulait comme une fontaine d'amour et son vagin me pompait avec grâce et habileté. Cette nuit-là, je suis tombé amoureux de Claire.
Le lendemain matin, mon euphorie a disparu d'un seul coup lorsque j'ai retrouvé Philou et que je lui ai demandé ce qu'ils avaient fait dans les dunes.
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par cavalier
#1180056
Effectivement, dans les dunes, Philou et Claire ne se sont pas contentés de discuter. Il m'a expliqué qu'elle l'avait tout de suite mis à l'aise en lui disant qu'elle n'avait aucun problème à ce qu'il s'intéresse à une autre qu'elle et que leur "flirt" pouvait s'arrêter là parce qu'il n'avait pas vraiment d'importance pour elle. Elle lui a aussi dit qu'elle était plus attirée pas moi que par lui et qu'elle ne comptait pas passer le reste de ses vacances à se morfondre.
Jusque là, tout allait bien. Et puis lorsqu'il m'a expliqué la suite, tout a basculé .

Pour conclure leur conversation, Philou lui a dit qu'en tout cas, il avait vraiment bien aimé les moments passés avec elle et qu'il voulait juste l'embrasser une dernière fois avant de me céder sa place.
Mais ce qui devait n'être qu'un baiser s'est vite transformé en pipe, puis en soixante neuf et enfin en "sodo d'adieu". Sonné, j'ai commencé à le presser de questions et j'ai appris que dès la première fois, il l'avait prise par derrière sans qu'elle proteste et qu'ils avaient remis ça chaque fois qu'ils s'étaient vus. Il avait déjà essayé, me disait-il, de me parler auparavant de son " divin gros cul" mais j'avais chaque fois coupé court au récit de ses exploits.
J'avais au ventre une boule de jalousie qui me dévorait les tripes. La nuit précédente, j'avais fait l'amour à Claire pour la première fois pensant qu'elle allait couper les ponts avec Philou. Je me sentais amoureux d'elle. Maintenant j'apprenais que pendant que je lui prenais la chatte, son cul devait encore être dilaté par le dernier passage du mec qui venait de la laisser tomber.
Je me suis immédiatement dit que c'était fini avec elle, que je ne pourrais jamais entamer une relation avec ce genre de nana. Que malgré ma terrible attirance physique et la complicité que nous nous étions découverts cette première nuit, il fallait que je l'oublie. J'avais déjà connu des filles qui couchent dès le premier soir mais je vous pose la question: quel type de femme se laisse enculer par le mec qu'elle quitte alors qu'elle a déjà commencé une relation avec un autre?
Réponse: la mienne, que j'ai fini par épouser et avec qui je partage ma vie encore 17 ans plus tard.

Si vous voulez, je vous raconterai la suite
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par cavalier
#1181607
Curieusement 'étais à la fois terriblement jaloux, blessé mais aussi terriblement excité à l'idée de ce qui s'était passé. J'étais décidé à laisser tomber cette fille que je connaissais à peine et qui de toute évidence n'était qu'une trainée. Mais je ne voulais pas le faire sans en avoir bien profité avant et, en quelque sorte, eu ma part. Moi qui n'avais jamais sodomisé une fille sauf une fois, avec une petite amie conciliante mais qui m'a demandé d'arrêter parce qu'elle avait trop mal, j'allais pouvoir essayer dans un cul de rêve, même si ce cul appartenait au premier venu. Toute la journée, j'ai bandé comme un âne en pensant à la "revanche" que j'allais prendre le soir. Pour ne pas souffrir, j'ai occulté toutes les images de ce qui m'avait charmé chez Claire, hormis celles de son corps à baiser, j'ai pensé à elle comme une pute gratuite dans laquelle j'allais me vider les couilles.
Evidemment, ces résolutions furent ébranlées lorsque je la revis le soir même. Son sourire n'avait rien de faux, de désabusé ou de cynique, il était éclatant et naturel, comme l'étaient ses formes sous sa robe. Je recommençai à basculer, d'autant plus qu'elle me parlait avec enthousiasme et que, dans ma timidité un peu lâche, je n'arrivais pas à amener le sujet sur la table. Quand elle m'a embrassé, je me sentis fondre, mais je me concentrai sur l'image de son gros cul coulissant sur la bite de Philou et je sentis remonter en moi la rage et l'excitation. Sentant que je bandais très fort, elle descendit sur ma bite. je lui pris la tête sans brutalité, mais fermement et je commençai à baiser sa bouche. Je suis assez bien monté, aussi je fus très étonné d'arriver à la rentrer jusqu'aux couilles. Décidément cette fille était une véritable salope. Elle se laissa faire et le bruit de mes couilles claquant sur son menton me fit jouir comme jamais auparavant. Elle ne put tout avaler et une bonne partie de ma semence coula sur son menton et sur ses seins.
J'étais provisoirement soulagé mais loin d'être apaisé ou rassasié.
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par floflo93
#1181813
Ici depuis le début du post, et j’attends toujours avec impatience chaque nouvelle partie de ton récit. En 17 ans de mariage tu doit en avoir de bien croustillant à nous raconter.

continue de nous faire bander avec ton récit.
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par cavalier
#1181829
Après cela, je n'ai pas débandé tellement je la trouvais salope et j'imaginais toutes les pipes qu'elle avait déjà faites à des mecs, à commencer par Philou qui avait du se régaler aussi.
J'ai déshabillé Claire, je l'ai retournée et mise à 4 pattes. Même à cet âge là, elle avait déjà un cul de jument et des mamelles de laitière. Pour rester dans l'allégorie de la ferme, moi je bandais comme un âne. Je l'ai prise vigoureusement en levrette, en faisant danser dans tous les sens ses gros nichons. Comme elle m'avait déjà vidé une première fois, j'étais très endurant, je l'ai fait jouir bruyamment dans cette position, puis j'ai ressorti ma bite et j'ai attaqué son "petit trou" qui a capitulé sans aucune résistance et je me suis retrouvé d'un coup coulissant dans son cul de rêve.
Je n'en croyais pas mes yeux, de voir disparaître toute ma colonne de chair au fond de son anus. Et elle, au lieu de protester, me disait, oui viens, lâche tout. Je fus pris d'un noeud de jalousie en pensant que peu de temps avant, elle avait dû dire exactement la même chose à mon ami, sur le même ton et dans la même position. La pensée déclencha une jouissance terrible chez moi, je la pistonnais frénétiquement en la traitant de salope (chose que je n'avais jamais dite à une fille) et lâchai ce qu'il me restait de semence entre ses grosses fesses. En me retirant, je constatai que la capote avait explosé. Je n'osai pas le lui dire tout de suite. On se coucha côte à côte et elle me regarda dans les yeux un long moment.
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par pierrotmartine01
#1181842
voilà une belle histoire et une belle rencontre merci!!!!
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par floflo93
#1181954
C'est clair, c'est une histoire extraordinaire. Mais j'espère qu'il ne vas pas s'arrêter en si bon chemin et qu'il vas continuer de raconter ces recits. Je pense qu'avec son pot, ce n'est pas fini encore.
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par cavalier
#1182587
Après l'orgasme, je me sentis provisoirement soulagé de ma rage et de ma frustration. Je m'étais déchainé entre ses fesses, comme pour me venger, lui adressant des mots que je n'avais jamais dit une fille. Je n'y avais rencontré aucune résistance et cela m'avait troublé. Jusque là j'ignorais totalement qu'un anus puisse être aussi accueillant qu'un vagin.
Maintenant je reposais à côté d'elle, scrutant son visage pour y chercher les confirmation que c'était bien une fille vicieuse et dépravée, mais je n'y voyais qu'un regard limpide où il me semblait même lire un amour naissant. Les rondeurs voluptueuses de son corps lui donnaient une aura de santé et de fécondité qui ajoutaient à son charme, elle semblait d'une innocence parfaite.
Je lui dis "Pourquoi tu fais ça avec tout le monde?"
Elle se raidit: "Qu'est-ce que tu veux dire?"
Je lui dis "Tu me prends pour un imbécile? Je sais très bien que Philou ta encore baisée, et même par derrière, après que nous ayons passé la nuit ensemble"
Elle me répondit un peu sèchement: "D'abord, c'est pas tes affaires, mon corps n'appartient à personne à part moi et tu n'as aucun droit de me faire une crise de jalousie. D'ailleurs, tu viens de me traiter de grosse salope, alors assume. Moi j'ai pas de problème avec ça, mais toi oui apparemment. Je croyais qu'avec toi ce serait différent, mais c'est pareil que les autres, il n'y a que le cul qui vous intéresse". Puis elle se leva d'un bond et dit "Merde! Ca coule! C'est malin..." elle se précipita à la salle de bains et me cria "il faudra faire un test". Je lui répondis "moi je suis safe en tout cas" et elle me lança "oui, moi aussi, en principe... mais on ne sait jamais... ". Puis elle se rhabilla en me demandant de la laisser un peu seule pendant quelque temps. Je fis pareil en lui disant que ça tombait bien parce que moi aussi, j'avais besoin de prendre mes distances.
Comme j'ai regretté ce sursaut d'orgueil déplacé dans les jours qui suivirent...
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par floflo93
#1182656
cavalier a écrit :Comme j'ai regretté ce sursaut d'orgueil déplacé dans les jours qui suivirent...


ET comme on va aimer la suite de ton récit. continue stp à nous raconter votre histoire. C'est extra
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par cavalier
#1183525
gbfirechief a écrit :Humm super. on attend la suite car tu dois en avoir à raconter depuis 17 ans ;)


Oui, en effet, j'ai un vrai roman à écrire sur les frasques de ma femme, mais je reviendrai sur la suite après...

Je termine d'abord le récit de ces vacances où j'ai rencontré Claire et m'en suis tout de suite séparé après une nuit et deux après-midi en sa compagnie.

Après ma "scène de jalousie" et ma déclaration hâtive, Claire m'a battu froid pendant le reste du séjour. Ou plutôt, elle a essayé sans cesse de me provoquer, adoptant une attitude aguicheuse avec plusieurs autres mecs, affichant avec eux une familiarité qui me laissait supposer le pire. Je n'arrivais plus à penser à autre chose, je l'observais, la regardais se conduire comme une gourde (et pourtant, je savais qu'elle était loin de l'être, dans le fond), rire à des blagues stupides ou à des réflexions macho, se laissant facilement toucher par l'un ou l'autre. Régulièrement, je voyais une main sur son bras, ou sur son épaule, ou dans le creux de ses reins. Je voyais les regards plonger entre ses gros seins. J'en étais malade, surtout à imaginer ce qu'elle faisait de ses nuits dans le bungalow qu'elle occupait, en principe, seule. J'en rêvais la nuit, me masturbais en pensant à sa chair pénétrée par de nouveaux partenaires.
Un matin, voyant approcher la fin des vacances, je surmontai ma blessure d'orgueil et je demandai à lui parler. On se fixa un rendez-vous dans les dunes. Je me demandai un instant si notre conversation allait tourner comme celle qu'elle avait eu avec Philou et je ne pus m'empêcher de bander à cette idée. Mais je me retrouvai à balbutier des excuses pour mon attitude, tout en ayant une furieuse envie de lui poser mille questions sur ce qu'elle avait fait avec les autres mecs qui lui tournaient autour. Je ne lui pas posé la question, bien sûr, et je ne l'ai su que des années plus tard, bien après notre mariage.
Dans les dunes, je lui ai pris la main, de manière assez romantique et je lui ai dit que je pensais que j'étais en train de tomber amoureux d'elle. Elle me regarda et me dit:
"Moi aussi, je t'aime bien, mais on ne se connait vraiment pas. Et je n'ai aucune envie de m'enfermer dans une relation. J'ai déjà connu ça et ça ne m'intéresse plus"
Alors, je lui demandai si on pouvait au moins passer la nuit ensemble. Alors, elle me fit cette réponse que je reçus comme un coup à l'estomac: "non cette nuit, c'est pas possible, demain si tu veux".
Et ravalant toutes mes frustrations et jalousies, je résistai à l'envie furieuse de lui poser des questions et je lui dis sur le ton le plus léger possible "Ok, d'accord pour demain"
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