- 24 août 2012, 18:06
#1181829
Après cela, je n'ai pas débandé tellement je la trouvais salope et j'imaginais toutes les pipes qu'elle avait déjà faites à des mecs, à commencer par Philou qui avait du se régaler aussi.
J'ai déshabillé Claire, je l'ai retournée et mise à 4 pattes. Même à cet âge là, elle avait déjà un cul de jument et des mamelles de laitière. Pour rester dans l'allégorie de la ferme, moi je bandais comme un âne. Je l'ai prise vigoureusement en levrette, en faisant danser dans tous les sens ses gros nichons. Comme elle m'avait déjà vidé une première fois, j'étais très endurant, je l'ai fait jouir bruyamment dans cette position, puis j'ai ressorti ma bite et j'ai attaqué son "petit trou" qui a capitulé sans aucune résistance et je me suis retrouvé d'un coup coulissant dans son cul de rêve.
Je n'en croyais pas mes yeux, de voir disparaître toute ma colonne de chair au fond de son anus. Et elle, au lieu de protester, me disait, oui viens, lâche tout. Je fus pris d'un noeud de jalousie en pensant que peu de temps avant, elle avait dû dire exactement la même chose à mon ami, sur le même ton et dans la même position. La pensée déclencha une jouissance terrible chez moi, je la pistonnais frénétiquement en la traitant de salope (chose que je n'avais jamais dite à une fille) et lâchai ce qu'il me restait de semence entre ses grosses fesses. En me retirant, je constatai que la capote avait explosé. Je n'osai pas le lui dire tout de suite. On se coucha côte à côte et elle me regarda dans les yeux un long moment.
J'ai déshabillé Claire, je l'ai retournée et mise à 4 pattes. Même à cet âge là, elle avait déjà un cul de jument et des mamelles de laitière. Pour rester dans l'allégorie de la ferme, moi je bandais comme un âne. Je l'ai prise vigoureusement en levrette, en faisant danser dans tous les sens ses gros nichons. Comme elle m'avait déjà vidé une première fois, j'étais très endurant, je l'ai fait jouir bruyamment dans cette position, puis j'ai ressorti ma bite et j'ai attaqué son "petit trou" qui a capitulé sans aucune résistance et je me suis retrouvé d'un coup coulissant dans son cul de rêve.
Je n'en croyais pas mes yeux, de voir disparaître toute ma colonne de chair au fond de son anus. Et elle, au lieu de protester, me disait, oui viens, lâche tout. Je fus pris d'un noeud de jalousie en pensant que peu de temps avant, elle avait dû dire exactement la même chose à mon ami, sur le même ton et dans la même position. La pensée déclencha une jouissance terrible chez moi, je la pistonnais frénétiquement en la traitant de salope (chose que je n'avais jamais dite à une fille) et lâchai ce qu'il me restait de semence entre ses grosses fesses. En me retirant, je constatai que la capote avait explosé. Je n'osai pas le lui dire tout de suite. On se coucha côte à côte et elle me regarda dans les yeux un long moment.
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