- 10 oct. 2009, 23:57
#3372
Après le déjeuner, fort agréable au demeurant bien que plus simple que la veille au soir, il vous a fallu revenir à son bureau. Eh oui, pendant que tu suces, ton travail n'avance pas, lui. Aussi, c'est fort studieusement que vous avez repris le cours du dossier durant les deux heures suivantes. Vers 17 heure tu refermais le classeur, en affirmant que les choses étaient dans l'ordre et que s'il le désirait, vous pouviez en arriver à la conclusion et donc, signer le protocole d'accord concernant le budget et le contrat approprié. Il se lève et se dirige vers le mini-bar, en disant que vous pouviez effectivement signer et aussi arroser le travail accompli, et la collaboration à venir. Ce faisant, il s'empare d'une bouteille de champagne et de deux flûtes qu'il te tend et il débouche le nectar. Il se rapproche de toi afin de trinquer et en profite, avec sa main libre, pour te caresser les fesses. Tu lui demandes de t'excuser un instant, reposes ton verre sur le bureau et t'éclipses vers les toilettes. Tu pensais bien soulager une envie , mais surtout tu présages de l'avenir proche et tu décides ne pas remettre les objets qui t'obstruaient les trous. Tu reviens dans le bureau soudain guillerette. Ce n'est pas la gorgée de champagne qui a pu te faire cet effet, mais plus certainement l'idée que tu te fais des minutes qui vont suivre. Et curieusement, ça t'excite. Après tout cet homme n'est pas mal du tout. Il est très gentleman. Il est cultivé. Il n'est pas mal monté, ce qui ne gâche rien et tu commences à prendre de plus en plus goût à ces "contraintes", Serais-tu vraiment une grosse salope comme le prétendent ton homme et ton patron? De plus, te dis-tu, il ne faut pas désobéir à ton patron sous peine de nouvelle punition, surtout que tu ne sais pas encore ce que sera celle qui t'est promise pour ce week-end sans doute. Aussi te diriges-tu vers le bureau où est posé ta flûte de champagne. Tu la prends délicatement entre tes doigts et la portes à tes lèvres, lorsque tu sens la présence du gentleman en question dans ton dos. C'est d'abord son souffle que tu perçois, mais rapidement il se colle à toi. La chose dure au niveau de tes fesses, tu te dis que ça ne doit pas être son téléphone mobile puisque tu le vois devant toi, sur le sous-main directorial. Sa poitrine est maintenant contre ton dos et il t'embrasse dans le cou. Il pose sa flûte et prend aussi la tienne qu'il met également sur le bureau. Avec ses deux mains libres désormais, il s'empare de tes seins qu'il malaxe par dessus ta robe et se frotte allègrement le sexe sur ton postérieur que tu t'appliques d'ailleurs à ressortir, afin de bien le sentir. Vous êtes tous les deux hyper excités. Tu parviens à te retourner et à t'écarter de lui quelque peu. Tu remontes ta robe et la fais passer par dessus ta tête. Tu es nue devant lui, tu t'appuies sur le bord du bureau. Il se met à genou et s'emploie à te bouffer la moule à pleine bouche. Tu gémis déjà et tu coules sur sa langue. Il a l'air d'apprécier. Il te tient à deux mains par mes fesses et tu ne vois plus son visage, enfouit entre tes cuisses. Alors que sa langue te pénètre la chatte, tu sens le bout de son nez sur ton clito. Quelle douce sensation penses-tu, pourvu qu'il continue. Et il continue en effet. Une de ses mains quitte la fesse qu'elle tenait fermement et vient t'écarter un peu plus les jambes. Il peut maintenant mieux te lécher et surtout il t'enfonce deux doigts dans la vulve qui ruissèle de cyprine parfumée. Puis après avoir lubrifiés ses deux doigts de ta mouille, il te les enfonce dans le cul. Tu plies légèrement les genou sous les caresses. Ainsi il peut mieux enfoncer sa langue dans ta chatte qui s'ouvre, et ses deux doigts s'enfoncent à fond, évasant ta rondelle. Tu lui appuies sur la tête. Mais quelques minutes de ce traitement ont raison de toi, tu ne peux retenir un orgasme qui te fait trembler de la pointe des pieds aux racines de tes cheveux. Un cri contenu sort de ta bouche à demie-ouverte. Tu n'as même pas le temps de reprendre ton souffle qu'il se relève, te retourne face au bureau, baisse son pantalon et son caleçon et t'enfonce sa trique dans la chatte. Sous son coup de rein tu manques t'affaler sur le sous-main, alors tu te cramponnes avec tes deux mains sur le rebord, cul en arrière. Il te laboure le con en se tenant à tes hanches, à grand coups de boutoir. Parfois il ralentit et vient se coller à toi. Il t'embrasse, le cou, les épaules, le dos ou il mordille ta nuque. Puis il reprend ses va-et-vient. Tu sens ses couilles qui battent ton clito tout raide. Soudain il ressort entièrement de ta chatte et tu sens aussitôt le gland appuyer sur ta rondelle. Elle ne tarde pas à céder d'ailleurs, le gland disparaît dans ton trou du cul. Après quelques secondes, c'est tout le reste que tu prends à fond. C'est sur tes grandes lèvres cette fois que tu sens battre ses couilles. Il te tient par les nibards, pince les bout puis redescend à tes hanches. Sa verge grossit en toi, tu sens les veines gonfler et palpiter dans ta cavité. Il ressort complètement et regarde son œuvre, un gros trou du cul béant que sa bite à dilaté. Il replonge dedans et accentue encore ses coups de rein. Tu entends son souffle court, ses ahanements, Tu sens la sève monter dans sa tige, et soudain, c'est l'explosion! Plusieurs jets de liquide chaud et visqueux t'emplissent le fion, tandis qu'un son rauque sort de sa gorge. Il ne bouge plus mais reste dans toi. De nouveau il se colle à ton dos, t'embrasse le cou. Il se retire enfin et un filet de foutre sort de ton trou du cul dilaté. Je ne sais pas si on te l'a déjà dit, dit-il en se rajustant, mais t'as un sacré putain de bon trou du cul. C'est un bonheur de t'enculer. T'es vraiment super bonne et si je ne m'abuse, il me semble que tu as bien pris ton pied, non? Oui Monsieur. Assures-tu, moi aussi j'ai beaucoup aimé. J'avoue que j'en avais très envie. D'autant que vous savez pas mal utiliser votre engin, complimentes-tu. Je te remercie, dit-il, mais avec toi, tout est facile, tu es magnifique. Et si tu veux bien, lorsqu'on sera seuls tous les deux, tu peux me tutoyer, ok? OK Monsieur, si vous voulez, heu…. Si tu veux, bégaies-tu maladroitement. Bon, et bien maintenant, dit-il en se rasseyant, signons ces paperasses qu'on en finisse.
Quelques minutes plus tard, il te raccompagnait à la maison. Bonne soirée te souhaite-t-il et merci pour cette bonne journée, à bientôt j'espère.
Lorsque tu es rentrée, je t'ai ordonnée d'aller prendre ta douche, que tu viendrais après me retrouver au salon pour notre rituel et que tu devras me raconter ta journée en détail. Je crois que tu a bien profité de la douche pour te délasser de cette journée, car ce n'est que 30 minutes plus tard que tu m'as retrouvé sur le canapé. Tu est vraiment belle nue. Tu t'es aussitôt mise à quatre pattes en me présentant tes fesses. Je t'ai retiré le "plug" et je l'ai remplacé par le gros gode noir comme j'en avais pris l'habitude désormais. Je t'ai ensuite ordonnée de te mettre accroupie et de faire en sorte de l'enfoncer au maximum en t'asseyant sur le bout dépassant encore de ton cul. Par à-coups, tu l'as fait entrer de quelques centimètres supplémentaires lorsque le téléphone a sonné. C'était ton patron. Il voulait lui aussi, connaître le déroulement de ta journée. J'ai mis le haut-parleur et tu nous as raconté par le menu, les évènements qui s'étaient succédés en gardant bien entendu le meilleur pour la fin, à savoir que tu avais emporté le contrat et son budget. Bravo! Nous sommes nous écriés en chœur. Je suis fier de toi! Ajouta ton patron, mais cela ne t'évitera pas la punition pour autant. Ton mari est au courant pour ça, il te dira en temps voulu. Bonne soirée à vous deux, conclut-il. Une fois raccroché, je te félicitais aussi. Je suis vraiment fier de toi aussi mon amour. Tu arrives à faire des choses que tu ne soupçonnais même pas. Comme tu nous l'as dit d'ailleurs, tu y prends même plaisir. Peut-être vais-je te faire découvrir encore de nouvelles facettes de toi. En attendant, viens me sucer, salope!
Quelques minutes plus tard, il te raccompagnait à la maison. Bonne soirée te souhaite-t-il et merci pour cette bonne journée, à bientôt j'espère.
Lorsque tu es rentrée, je t'ai ordonnée d'aller prendre ta douche, que tu viendrais après me retrouver au salon pour notre rituel et que tu devras me raconter ta journée en détail. Je crois que tu a bien profité de la douche pour te délasser de cette journée, car ce n'est que 30 minutes plus tard que tu m'as retrouvé sur le canapé. Tu est vraiment belle nue. Tu t'es aussitôt mise à quatre pattes en me présentant tes fesses. Je t'ai retiré le "plug" et je l'ai remplacé par le gros gode noir comme j'en avais pris l'habitude désormais. Je t'ai ensuite ordonnée de te mettre accroupie et de faire en sorte de l'enfoncer au maximum en t'asseyant sur le bout dépassant encore de ton cul. Par à-coups, tu l'as fait entrer de quelques centimètres supplémentaires lorsque le téléphone a sonné. C'était ton patron. Il voulait lui aussi, connaître le déroulement de ta journée. J'ai mis le haut-parleur et tu nous as raconté par le menu, les évènements qui s'étaient succédés en gardant bien entendu le meilleur pour la fin, à savoir que tu avais emporté le contrat et son budget. Bravo! Nous sommes nous écriés en chœur. Je suis fier de toi! Ajouta ton patron, mais cela ne t'évitera pas la punition pour autant. Ton mari est au courant pour ça, il te dira en temps voulu. Bonne soirée à vous deux, conclut-il. Une fois raccroché, je te félicitais aussi. Je suis vraiment fier de toi aussi mon amour. Tu arrives à faire des choses que tu ne soupçonnais même pas. Comme tu nous l'as dit d'ailleurs, tu y prends même plaisir. Peut-être vais-je te faire découvrir encore de nouvelles facettes de toi. En attendant, viens me sucer, salope!
