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Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

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par zztop
#1688942
Tu es une bonne petite soumise qui force son caractère pour devenir une jolie dominatrice...tu vas besoin très souvent d'être à nouveau dominer car cela va te demander beaucoup de forces de jouer ce nouveau rôle.. Ce jour là je te baiserai comme tu le mériteras...et tu en redemanderas....
par manukib56
#1695855
Entrée en matière

01 octobre 2014

Hasard du calendrier me direz vous, mais quoi de mieux comme entrée en matière que de commencer au sein de l’agence un mercredi.

Il avait été convenu avec Maxime, qu’il commencerait donc ce jour à 9h, rendez vous à l’agence. Cette journée close à la clientèle nous permettrait de prendre le temps nécessaire pour sa bonne intégration et pouvoir se consacrer à lui pour ses questions et la bonne passation des dossiers sur lesquels je voudrai qu’il travaille.

J’arrivai comme à mon habitude à l’agence, aux alentours des 8h00, Émilie commençait à 8h30. Comme chaque mercredi moi non plus ne manquait pas à la règle et allait me dévêtir dans la salle de pause avant de rejoindre mon bureau.

J’étais en train de consulter mes mails quand Emilie arriva et vint se présenter à mon bureau.

« Je vous serre votre café ? »
« Non on va attendre Maxime, nous le prendrons tous les trois. Tu te charges de l’accueillir et on fait un point dans mon bureau tous ensemble ? »
« Entendu »

9h00 :

La ponctualité chez lui était une de ses qualités. Émilie l’accueilli en tenue d’Eve dans le hall et l’invita à la suivre.

« Voilà, c’est ici où tous les mercredis il faut venir avant de pouvoir faire quoi que se soit au bureau. On peut se tutoyer ? »
« Heuuu oui » tout penaud encore de son premier jour.
« Voilà, ici tu as un cintre pour accrocher tes vêtements et le porte manteau pour les vestes. Après ici c’est la salle de pause aussi, où tu trouveras la machine à café. Tiens d’ailleurs quand tu auras fini de te déshabiller, tu m’aideras pour le café. On va aller le prendre chez la patronne. Tu bois du café ? »
« Heu oui de temps en temps »
« Tu verras ici le café coule par litres ! »

Il se retourna d’Émilie et commença très timidement à ouvrir sa chemise et déboutonner son pantalon. Il lui fallut un long moment et de bonnes inspirations pour se prendre du courage pour entamer la descente de son caleçon. Emilie observât avec intérêt son fessier musclé. Il se retourna enfin devant elle et son sexe pointait déjà vers le haut. Assez petit en taille, il était tout du moins assez bien bâti pour sa corpulence, son jeune âge lui offrait encore de généreux abdominaux et le surf lui avait affuté ses pectoraux. Il était très légèrement poilu du torse qui accentuait sensuellement sa masculinité.

Ils arrivèrent à mon bureau, Émilie tenait le petit plateau tandis que derrière elle suivait Maxime la cafetière à la main et le sexe édifié.

« Quelle vigueur du matin dites moi. Regardez moi ce sexe dressé, et bien ca te fais si plaisir de venir travailler chez nous ? »

Il n’osa répondre, gêné d’être nu devant moi, mais aussi gêné par ma nudité. Sans vouloir me jeter des fleurs mon physique ne le laissait pas de marbre, il n’arrivait pas à se dégager de mon corps.

Ils s’assirent sur le canapé tandis que j’optai pour le petit fauteuil. Nous buvions nos cafés en énumérant les différents dossiers auquel j’aurai besoin de sa valeur ajoutée. Lui expliquai un peu le fonctionnement de l’agence, sa création, le groupement d’agences auquel nous appartenions avec comme gros patron Marc.

Après avoir tout passé en revue, il était maintenant fin prêt pour commencer sa mission de stagiaire. Mais avant de l’envoyer à son bureau, je le questionnai plus intimement.

« Et sinon, envers la gente féminine. As-tu eu beaucoup d’expériences ? »
« Non Madame, seulement deux. »
« Deux ? Racontes moi »
« Une c’était juste un soir au camping où je travaillais comme surveillant nageur .Elle était Anglaise, ivre elle m’est sautée dessus et ce fut la première fois pour moi. Dans sa toile de tente, le lendemain elle retournait à Plymouth et je ne l’ai jamais revu. Ensuite j’ai rencontré Estelle avec qui je suis resté un an et demi. Nous nous sommes quittés en juin dernier, elle est partie en Erasmus en Norvège pour ses études de commerces. Voilà vous savez tout. »
« Mmmmh intéressant ! Un petit novice alors. Bon baiseur ? »
« J’en ai pas la prétention Madame. Et je ne pense pas non. »
« Nous verrons çà en temps et heure. Sache qu’ici qu’en plus de ta nudité je peux disposer de toi comme bon il m’enchante. Ai-je été claire ? »
« Oui je l’ai bien compris »
« Bien, que je n’ai pas à te redire par la suite. Sinon quoi de prévu pour lui aujourd’hui Emilie ? »
« J’ai pris son rendez à vous à 10h30 ce matin au centre d’analyses ? »
« Ok ne traine donc pas trop »
« Un rendez vous au centre d’analyses ? »
« Ben oui, tu crois tout de même pas qu’on va gaspiller des préservatifs avec toi. Donc on t’a prit un rendez vous an centre d’analyses biologiques à 10h30 pour un dépistage au HIV. Par contre Emilie tu feras en sorte qu’il n’y aille pas avec une bosse dans son pantalon, cela ferait mauvais genre. »

Il n’en fallut pas plus pour la motivée. Elle s’agenouilla en face de lui, de sa main droite saisit son sexe et le prit en bouche dans la foulée. Sa bouche faisait plaisir à voir tellement son sexe la remplissait bien. A peine avait elle commencé à jouer de sa langue et entamé des va et viens entre ses lèvres, qu’elle sentit déjà le sexe se gonfler, elle se dégagea très vite pour venir le coller sur son sein gauche tout en continuant à le masturber, en un éclair un puissant jet de sperme de couleur blanc immaculé vint se déposer sur le mamelon de la jeune fille, avant que de puissants jets ne viennent toucher le haut de la poitrine.

« Et bien il était temps que tu craches la vache, j’en ai même dans le cou. »
« Oh je suis désolé, je n’ai pas pu me retenir. Navré ! »
« Quoi ce n’est pas la première fois que tu éjacules sur une fille dis moi ? » le questionnai je.
« Si Madame, avant j’ai toujours éjaculé dans un préservatif. »
« Mais tu t’es déjà fais sucé au moins. »
« Oui une fois ou deux par mon ex, mais elle n’aimait pas trop elle disait. Donc je n’osai pas le lui demander. »
« Bon file à ton rendez vous, on s’occupera de toi après. »

Le fil de la matinée se déroula normalement, une demi-heure après il était revenu et avait pris place à l’accueil. Émilie et lui se répartissaient les deux bureaux. Pendant qu’Émilie faisait de l’administratif il serait à l’accueil, le mercredi donc et le reste du temps il investira le bureau de la jolie rousse.

J’étais assez surprise des progrès qu’avait fait le dépistage du SIDA, maintenant il faut seulement quelques heures pour avoir les premiers résultats. A 15h donc notre stagiaire s’éclipsa pour aller chercher son résultat. Sans grande surprise il était négatif.

Il arriva à l’agence et alla se dévêtir dans la salle, je le hélai au passage.

« Tu passeras me voir dans mon bureau après ?»

Nu il passa le pas de ma porte.

« Oui madame. »
« Alors ce test ? »
« Tenez, les résultats » en me tendant la feuille.
« Bien c’est déjà un bon début. Alors comme ca tu n’as jamais éjaculé en dehors d’un préservatif ? »
« Non madame. »

« Émilie !!!! Peux-tu venir ici cinq minutes s’il te plait. »
« Oui madame ? »
« Notre cher ami n’a jamais honoré une fille sans préservatif. Veux-tu bien te mettre en position pour lui offrir cette primeur ? »
« Bien madame »
Elle alla se mettre à genou sur le canapé accoudée au dossier, je m’approchai d’elle pour la faire écarter un peu plus et ainsi ouvrir un peu plus sa croupe à ce jeune garçon. J’attrapai l’œuf qui pour le coup ne servirait pas. La tête de Maxime quand il aperçut qu’elle était appareillée.

« Ben approche toi donc, ce n’est pas comme çà que tu vas pouvoir l’honorer. Allez ne reste pas planter là. Tu as déjà léché une chatte ? »
« Non madame. Enfin pas vraiment. »
« Et ben vas y. Ne vois tu pas qu’elle n’attend que çà. »

J’appuyai sur son épaule pour le faire comprendre, qu’il devait avant tout se mettre à la bonne hauteur. A genoux entre les cuisses d’Émilie il vint plaquer son visage contre son sexe et commença à chatouiller tout ce qu’il pouvait avec de grands coups de langues. Je le laissai faire, en tout cas si cela ne semblait pas produire de grand plaisir à mon assistante çà aura eu le mérite de le faire durcir.

Je dus l’aider voyant comment il était perdu pour orienter sa verge. Je pris donc son organe en main, ce qui provoqua un sursaut chez lui. Il était tout tremblant me sentant ainsi en train de le prendre par le sexe. Et positionna son sexe à l’entrée de l’assistante.

« Allez vas y, honore là. Bascule bien ton bassin pour la pénétrer d’une seule traite. » Il n’eut pas le temps, Émilie effectua une brève reculée pour venir s’empaler sur l’édifice du jeunot. C’est elle qui menait la cadence et venait branler Maxime entre ses cuisses. Il était tout décontenancé devant cette prise d’initiative féminine. Elle ne voulait pas l’économiser et voulait tirer maximum profit de cette érection. Elle avait vu juste, ce jeune homme, sans doute du fait de son inexpérience, ne tenait pas le rythme et son endurance était de courte durée. Son visage se crispa, il me regarda affolé comme si il me demandait l’autorisation de jouir. Je passai ma main entre ses jambes pour venir lui saisir ses bourses. Les maintenant bien fermement et je commençais à les malaxer. Cette stimulation fut le coup de grâce à sa jouissance, par des jets puissants il vint inonder l’intérieur de la jeune.

« Ne t’arrête pas de la baiser, continue ! Vas-y pousse ton foutre bien en elle. »

Il se donna comme je l’exigeai à des allers et venus dans le sexe rempli d’Émilie, sa verge se dégonflait au fur et à mesure, le liquide blanchâtre sortait de temps à autre. Il venait d’atteindre pour sa première fois l’extase !
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par sergio
#1695860
Très sympa de retrouver ces récits. :P
par manukib56
#1698517
Le débarquement

Lundi 10 novembre 2014

Marc n’avait toujours pas vu mon stagiaire en personne, bien qu’il fût au courant de ses faits et gestes par mon rapport quotidien de l’activité de l’agence.

Son intégration au sein de ma petite équipe commençait à se détendre, il prenait de plus en plus d’assurance dans son éducation sexuelle. Son endurance commençait même à devenir acceptable.

Chaque mercredi, je lui demandais de baiser Émilie en travaillant les positions : levrette, missionnaire, couché sur le coté etc… A en discuter avec mon assistante ce jeune homme commençait à devenir un bel étalon. Elle ne simulait quasiment plus.

Cette simulation du désir était imposée par mon autorité, pour qu’il se sente en confiance. Ca en était même devenu un petit jeu avec Émilie qui avait l’impression de faire l’actrice de films pornographiques.

Marc nous invita tous les trois à diner chez lui afin que je lui présente mon petit protégé.

C’est donc tous les trois dans ma voiture que nous nous rendions à notre rendez vous chez notre patron respectif. Maxime était anxieux de rencontrer le grand responsable de l’agence, je ne sais qu’elle idée il pouvait s’en faire, mais une chose est sure il appréhendait cette rencontre.

Nous arrivâmes dans la cour de la demeure de Marc et la voiture de Jean Pierre y était garée. Cela faisait une éternité que je ne l’avais revu et j’étais excitée à l’idée de le revoir.

« Hey salut mes chéries ! Quel plaisir de vous revoir. Ca fait une éternité. »
« Ben c’est ce qu’on se disait avec Émilie dans la voiture. Très heureuse de vous voir. »
« Ma parole ma petite Manue mais tu es devenue une véritable femme en quelques mois. Quelle métamorphose ! Tu es sublime »
« Je suis touchée merci »
« Alors où est ce petit stagiaire ? » Marc fit irruption dans le hall d’entrée de sa grande maison en tendant la main vers Maxime.

« Bonsoir Monsieur, Maxime. Ravis de vous rencontrer. »
« Bon c’est bien mon garçon. Ravi de même. Allez entrez, on va prendre l’apéritif au bord de la piscine. Les autres nous rejoindrons. »

Quand il parlait des autres, je su quelques minutes après notre arrivée, qu’il avait aussi convié Mathias, Audrey et Frédéric. Comme pour renouer avec le bon vieux temps comme il disait.

Je n’avais pas revu Frédéric depuis ma petite mise en scène avec le type d’internet. Il évitait mon regard et baissait les yeux à chaque fois que nous nous croisions.


Mathias et Audrey étaient contents de me revoir aussi, c’est vrai que depuis mes nouvelles fonctions je les avais un peu délaissé au profit de mon travail.

Tous autours du bar nous échangions nos dernières actualités, l’ambiance détendue et conviviale étaient de mises.

Les bouteilles de champagne se succédèrent et l’ivresse de ces petites bulles commençait à se faire sentir.

Il était temps que nous passions à table pour éponger ce spiritueux, mais bien entendu le repas que nous avait concocté Marc était aussi grassement servi en vin.

Les explosions de rire et les haussements de voix témoignaient de l’ivresse de la tablée.

« En tout cas les amis ca me fait plaisir de nous voir tous réunis. Cela devenait trop rare ! » Il attrapa la main au passage d’Émilie qui s’était levée pour aller chercher une bouteille d’eau dans la cuisine.

« Hein et toi tu es heureuse chez ta nouvelle patronne ? »
« Oh oui, mais vous resterez toujours mon patron aussi. » lui répondit elle en s’asseyant sur ses genoux pour l’embrasser langoureusement.

Ses mains se baladaient sur le corps de la jeune fille, il était en train de reprendre ses marques. Il la pelotait pendant nous spectateurs continuions à vider nos verres de vin.

La tentation d’Audrey commençait à se faire sentir, cela faisait longtemps que nous nous n’étions pas câlinées et le désir était là. Je me levai donc de ma chaise pour aller me lover à elle, elle m’amena dans le salon pour prendre nos aises dans le grand canapé. Très vite rejoint pas Mathias.

Pendant qu’il se dirigeait vers nous, il fît un petit signe de tête à Jean Pierre.

« Tu viens JP, je crois qu’on ne sera pas trop de deux pour elles. »
« Comment refuser cette si belle invitation. » Il aurait fallut être aveugle pour ne pas voir que son pantalon était déjà sur le point d’exploser tellement son sexe hors norme était déjà tendu par l’excitation du moment.

Maxime et Frédéric restèrent en retrait ne sachant vraiment où se situer. Frédéric ne cessait de regarder en ma direction, je voyais bien que cela l’enquiquinait de me voir ainsi libre maintenant. Et je dois dire que le fait de me sentir ainsi épiée ne faisait qu’accroitre mon désir d’en faire plus.

Je déboutonnai le pantalon devenu trop petit de Jean Pierre et le sexe à peine sorti l’avala au fond de ma gorge. C’était la première fois que Maxime me voyait en action et cela semblait lui plaire aussi.

Ma bouche ne cessait d’aspirer le membre dur et épais du sexagénaire, ma mâchoire s’essayait d’être la plus grande possible pour qu’elle puisse en prendre le maximum.

Maxime était terré dans son coin voyeur et admirateur du spectacle auquel il était en train d’assister. Qui de sa promotion allait connaître cela pendant son stage ? C’est à cet instant où il mesura la chance qu’il avait d’être tombé dans cette agence.

L’idée de le faire participer me vint pour deux raisons : la première, parce qu’il n’y avait pas de raison que ce ne soit qu’Émilie qui puisse le consommer et la deuxième, de voir Frédéric ainsi trépigner je savais que çà allait encore plus lui en mettre un coup.

Je m’accordai donc une petite pause pendant ma caresse buccale pour m’adresser à lui.

« Approche toi ici, je vais te montrer comment on suce. »

Ne comprenant pas tout de suite que c’était à lui que je m’adressai il tourna la tête vers Frédéric, qui venait de se liquéfier à cette annonce. Ce petit jeunot allait baiser devant lui son ex tandis que lui resterait là les bras croisés.

Le stagiaire s’approcha timidement ne comprenant pas trop où il devait se positionner.

« Bah si tu restes habillé comme çà, cela va être difficile. Allez retire moi tout çà. »

Il se dévêtit dans la minute. C’est Audrey qui prit la relève pour s’occuper à son tour de Jean Pierre et de son homme. Je me déplaçai donc pour leur laisser un peu d’espace et surtout pour être bien en vue de mon pauvre cocu.

Il n’osait me toucher, c’est donc moi qui due aller à lui, je le pris en bouche sans même y poser une main. Mes lèvres l’aspirèrent et sa verge finit de gonfler instantanément au fond de ma bouche. La taille de son sexe était sensiblement la même que Frédéric, comble du hasard. Pas de quoi en avoir peur donc. Je m’amusai à le prendre en gorge profonde en gardant bien les yeux ouverts pour tenir fixée mon jaloux.

« Hey voilà comment j’aime voir le travail accompli. Tu t’es bien assumée dis moi ma petite Manue. » me félicita Marc en me voyant entreprenante ainsi. Il savait que je faisais çà pour rendre jaloux celui qui m’avait mise dans l’engrenage du sexe assouvi.

« Reste pas planté là Fredo, tu vois bien que tu n’as plus la main mise sur elle. Viens je te file un bout de la rousse ! Vient lui prendre son petit cul elle n’attend que çà ! »

Par dépit il accepta l’invitation de l’hôte et se déshabilla et quelle fut pas ma surprise de voir son sexe ainsi édifié. Même jaloux, cette situation l’excitait toujours autant. Entendu, çà l’excitait et bien continuons alors.

« Toi aussi tu vas me prendre par derrière. Et tu as tout intérêt à assurer. »

Je me retournai, pris la position et me cambrai pour lui ouvrir mon entre jambe.

« Allez, vient doucement me la mettre. »
« Mais je n’ai jamais fait çà Madame. Ne va t’il pas être douleur pour vous. »
« Arrête avec la sémantique Maxime. Je te dis tu m’encules alors tu m’encules. T’occupes pas de moi t’es pas le premier à me la foutre et tu ne seras pas le dernier. »

Voyant le jeune décontenancé par mon ton autoritaire, Jean Pierre quitta un instant le sexe d’Audrey pour venir en aide au petit nouveau.

« Ne me dis pas que tu n’as jamais sodomisé une fille ? »
« Non monsieur, je ne savais même pas que ca se faisait dans la vrai vie. Je croyais que ce n’était que dans les films X. »
« Et bien mon garçon, même si les films X sont des fois déconnectés de la réalité, sache que certaines choses y sont tout de même fortement inspirés. Bon commence par lui lécher la petite rondelle, prends bien soin de saliver abondamment. Normalement il faudrait du lubrifiant pour faciliter la pénétration et que cela soit moins douloureux. Mais crois-moi ta patronne en a déjà vu. Tu vois ma bite ? Et bien je l’ai déjà enculé plusieurs fois à sec. Allez vas y lèche là. »

Il s’agenouilla à son tour derrière moi et colla son visage entre mes cuisses, sa langue sortie timidement de sa bouche et commença à me fouiller gentiment mon petit orifice. En bon élève, il écoutait consciencieusement les conseils de son professeur du soir et m’inonda de sa salive.

« Voilà, c’est bon pour la salive. Vas-y maintenant glisse lui un doigt. Pas l’index, vas y avec le majeur ! »

Son majeur me pénétra et des légers allers retours se fissent sentir.

« Comme çà, fouille la bien. Fait en sorte que son petit trou s’élargisse à chaque passage. Cherche bien à ouvrir le passage. Voilà comme çà, c’est bien. Tu la sens se décontracter sous l’effet de ton doigt. »
« Oui, monsieur. »
« Et bien très bien. Vas-y mets lui l’index maintenant. Mais non ! Garde ton majeur aussi. Elle va bientôt prendre ta queue, elle peut donc se prendre deux doigts en même temps. »
Ses deux doigts étaient maintenant en moi et me fouillaient de manière très maladroitement. Ce qui n’avait rien pour me déplaire. Je tournai des fois mon regard vers Frédéric qui n’y était pas du tout à ce qui l’était. Il assistait à se dépucelage avec attention et envie. Bien qu’il était en train de baiser en levrette Émilie, pendant que Marc se faisait longuement sucer, son esprit était totalement détaché.

« Allez vas y mets toi en position. Tu vas la sodomiser. Prends ton sexe en main et viens le poser devant son petit trou. Voilà comme çà, pas trop vite. Prends ton temps. » Il était maladroit.
« Vas y commence un peu à appuyer, doucement laisse le temps à son cul de s’ouvrir »
« J’y arrive pas »
« C’est normal, tu es trop incline. Essaye de mettre ton bassin plus à sa hauteur. » Malgré ma cambrure on ne peut plus accentuée, l’écartement de mes jambes je ne pouvais l’aider plus.
« C’est çà essaye d’y aller le plus droit possible. Vas-y pousse maintenant. »
« Je comprends pas ca ne veut pas rentrer. »
« Attends laisse moi garçon, décale toi un peu. C’est pas compliqué pourtant, regarde. Tiens bien ton sexe en main pour pas qu’il se plie, tu auras comme çà plus de force ? Et avec ton gland tu pousses bien au centre. Tiens regarde ca commence à s’écarter ! »
Effectivement la vigueur de Jean Pierre faisait, que mon petit orifice commençait à céder sous sa pression. Ma petite rondelle se dilatait pour s’ouvrir à son imposant engin. Je m’efforçai ne pas gémir, ni même crier, il fallait que je fasse bonne figure devant mon stagiaire. Je mordais donc ma lèvre inférieure. Mais Jean Pierre s’arrêta net avant même ne m’avoir complètement pénétrée.

« Allez garçon, vas y reprend. Tu as compris ? »
« Oui, monsieur ! Je pense »
Il s’y reprit. Écoutant les bons conseils, il retenta l’expérience. Cette fois-ci semblait être mieux, mais sa maladresse et son trac l’empêchait d’aboutir. Était il suffisamment en érection, était il suffisamment aligné, bref à n’y rien comprendre.

« Bon laisse moi, ouvrir le passage. » Jean Pierre reprit sa place de tout à l’heure, prit soin tout de même de crachez à nouveau sur l’entrée qu’il voulait forcer. Et entama sa pénétration. Son expérience et sa vigueur n’en eurent pas longtemps avec moi. Quand son gland eu fait le premier poinçon, c’est tout son membre qui glissa à la suite à l’intérieur de moi. Il me pénétra jusqu’à la garde.
Ses grosses mains empoignèrent mon bassin pour bien me caler, et commença à me limer d’abord de manière douce et sa cadence s’accéléra au fil du temps.

« Mmmmmh c’est vrai que tu es bien serrée aujourd’hui ! La vache quel plaisir d’être si à l’étroit. Tu verras petit, la sodomie à l’avantage de t’offrir une pénétration des plus serrées et cela n’a que effet d’accroire ton plaisir. » Ses coups étaient rapides, il se dégageait totalement pour me repénétrer aussitôt. Mes gémissements ne faisaient qu’accroitre sa cadence.

« Oh nom de dieu, je vais déjà jouir ! » De ses mains il me recula le bassin contre lui, pour s’assurer d’être ancrer au plus profond de moi. Je sentais sa verge se gonfler et par à-coup de puissants jets de sperme me remplissaient.

« Oahhhh que c’est bon de jouir dans ton petit cul ma Manue. Ca faisait bien longtemps. C’est comment ton prénom déjà ? »
« Maxime, monsieur »
« Ok Maxime, maintenant tu peux revenir tu n’auras plus aucune difficulté. Avec tout ce que je lui au mis, je peux te dire que ca va coulisser. »
Sur le visage du jeune étudiant on pouvait lire le certain dégout face à cette obligation de devoir me pénétrer alors qu’un homme vient à l’instant de se lâcher. Mais il était trop avancé pour dire non. Il en était du même de celui de Frédéric mais dans un autre registre, il rageait à l’idée que ce petit allait enfin pouvoir m’honorer.

Maxime dans une parfaite imitation de Jean Pierre m’agrippa par les hanches et de sa main droite vint guider son sexe dans mon trou béant. Sa verge s’engouffra d’une traite, il recala sa main droite sur mon bassin et commença à me baiser énergiquement. Les bruits de succion de son sexe nageant dans le sperme se faisaient entendre, mais ne semblaient le gêner. Il était dans l’euphorie du moment. Il était en train de sodomiser pour la première une fille et de plus est sa Maître de stage. Ses mains se baladaient partout sur mon corps, elles agrippèrent ma poitrine. Il me la malaxait fermement, je sentais bien qu’il prenait son pied.

« Essaye maintenant de t’accroupir un peu au dessus d’elle. N’hésite pas à prendre appui sur son bas du dos. Et accélère la cadence tu vas voir ! » Jean Pierre savait comment me baiser avec le temps et il savait surtout comment faire pour m’entendre. Maxime se leva sur ses jambes, s’accroupi en pointant bien son sexe versa sa cible et me repénétra. Il y prenait gout le gamin. Sa vitesse s’accéléra et pour la première fois je le senti enfin bien au fond de moi et mes gémissements commencèrent à s’intensifier pour laisser place à quelques petits cris.
« Tiens tu entends, elle couine maintenant. »
« Je vais jouir Monsieur ! »
« Mais vas y mon garçon. Lâche-toi ! »
Une nouvelle rafle de foutre m’envahie, je le sentais trembler d’excitation derrière moi. Je n’étais pas fâcher de lui, il avait réussit malgré moi à me faire jouir.

Il se retira de moi pour me rendre ma liberté, j’allais me redresser quand soudain …

« Attends Manue, j’aimerai bien voir ton ex se vider en toi parmi le foutre de Jean Pierre et celui de ton stagiaire. » me demanda Marc. Il savait pertinemment qu’en me demandant çà, il rabaissait Frédéric comme le moins que rien juste bon à passer à la fin de tout le monde.

« Excusez moi Marc, mais je crains ne plus pouvoir en recevoir. Par contre je n’ai rien contre un petit nettoyage. » Son rictus en dit long !

Frédéric rageait d’être aussi humilié publiquement et surtout devant ce petit jeunot pré pubère.
Mais la tentation de pouvoir me toucher une nouvelle fois lui était trop grande, et tout penaud il vint se glisser derrière moi pour s’abreuver de foutre male !

Audrey le prit un peu en pâtit, et une fois qu’il eu terminé de me nettoyer intégralement en ayant profité pour me caresser le moindre centimètre carré de ma peau, elle s’agenouilla face à lui pour le prendre en bouche afin que lui aussi puisse avoir sa part de jouissance.

Il explosa une quantité fascinante de sperme dans la bouche de la jolie brune pulpeuse, elle faillit même s’étouffer en avalant de travers.

Je dois l’avouer que ce petit débarquement de mes amis à cette soirée fut pour le moins le plus agréable.
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par sergio
#1698695
Voila un dépucelage des plus sympas. :P
par zztop
#1698774
Parfait petite soumise, tu n'es pas prête à t'arrêter de sitôt... Continue intensément et dis le que tu aimes ça..pas de photos de toi encore? C'est prévu un jour?
par manukib56
#1701982
Le salon de l’assuré

Vendredi 14 novembre.

La fédération nationale des agents généraux d'assurance, que nous appelons plus communément l’Agéa organisait le week-end le premier salon de l’assuré.

Cette rencontre se tenait sur un week-end au Palais des Congrès de Paris et allait rassembler tous les acteurs principaux de la profession.

En rendez-vous immanquable pour Marc qui souhaitait vraiment y jouer une carte commerciale pour des fusions acquisitions et en marge de son projet d’holding pour l’Est de la France.

Il nous mobilisa donc tous à venir monter à Paris avec lui, ce salon se déroulait sur 4km², dans un temps très court donc fallait que nous y soyons tous pour ratisser tous les contacts potentiels.

Nous partîmes donc dès le vendredi soir pour y passer la nuit en se garantissant d’y être aux aurores le matin devant l’entrée.

Pour la petite anecdote le salon était présenté par Julien Lepers, le présentateur de Questions pour un Champion. C’était marrant de le croiser en vrai.

Toujours est-il : Émilie, moi même et Maxime étions montés de Vannes et logions dans un hôtel non loin du Palais. Jean Pierre était venu pour l’occasion nous prêter main forte ainsi que Camille. Tout le Staff de l’équipe de Marc était présent pour ce grand rendez-vous.

La journée du samedi s’annonçait rythmée.

Samedi 15 novembre 2014, 5h00 du matin.

Le réveil matinal était douloureux, mais il était nécessaire pour que nous soyons tous fins prêts. Nous nous n’étions pas vu la veille, chacun étant arrivé à des horaires décalés. C’est donc autour du petit déjeuner que l’équipe était réunie.

« Camille, je te présente Maxime. Le petite dernier qui vient de rejoindre l’équipe. Un peu dans la même lignée que Manue, il vient d’intégrer l’agence de Vannes en alternance et traite essentiellement de tous les projets particuliers. Manue gère l’agence dans sa globalité et accentue sa présence aux niveaux des professionnelles. »
« Salut Maxime, enchantée. Moi c’est Camille de Bordeaux. Je gère l’agence du sud ouest avec essentiellement des professionnelles du vin. »

Elle faisait aussi son effet à Maxime. Quel homme pourrait rester insensible face à cette beauté naturelle. Il était tombé sous le charme et je ne pouvais lui en vouloir au combien j’étais sous le charme aussi de cette golden woman. Elle avait toute mon admiration.

Marc nous briefa chacun de nous sur notre rôle précis et quelles infos il avait besoin que nous lui remontions.

Le compte à rebours était lancé.

Les gars étaient fins prêts, costard, cravate et le tour était joué. Pour nous les filles notre préparation nécessitait plus de temps et de moyen. C’est donc dans la chambre de Camille que nous nous sommes toutes réunies, toutes les trois pour nous préparer ensemble.

Le tailleur était de mise et la mode était à la businesswoman. Tout naturellement Camille sortait encore une fois du lot en dégageant une certaine sensualité. Son chemisier blanc légèrement entre ouvert augmentait son coté désirable. Et sa petite jupe trois quart galbait à merveille son magnifique fessier.

Nous étions fin prête pour entrer dans l’arène et soudoyer des informations auprès de nos confrères sur des marchés potentiels.

8h00 du matin :

Agglutiné devant la porte du salon, nous attendions l’heure fatidique. Et chacun de nous partait dans son sens.

La matinée fut éreintante. Les piétinements dans les rangées, la foule oppressante dont certain ne se gênait pas pour y laisser glisser quelques mains baladeuses prétextant d’avoir été poussé.

J’étais tout de même fière de moi, j’avais établie une petite stratégie d’approche qui me permettait de mettre ma proie en confiance, pouvais ainsi aisément leur glaner des informations sans qu’ils s’en aperçoivent. Je prétextais que j’étais encore en stagiaire et que je ne connaissais trop les rouages des assurances. Et c’est étonnant de voir à quel point un homme peut être vulnérable face à une jeune fille.

Ma matinée se résuma à aller chercher des informations sur les prétentions d’évolutions des grands groupes avec leurs cibles de clientèle.

C’est Jean Pierre qui flaira le meilleur coup.

Sur l’heure de midi nous nous étions tous retrouvés pour déjeuner ensemble et ainsi faire un premier débriefing. Jean Pierre venait de discuter avec un assureur de soixante cinq ans, implanté depuis trente ans à Epinal près de Strasbourg. Ce monsieur voulait arrêter son activité et vendre son affaire. Une aubaine pour Marc qui voulait s’implanter dans l’Est de la France. Il fallait qu’il rencontre cet homme pour une éventuelle négociation.

Le déjeuner se fît sur le pousse et nous repartîmes chacun de notre coté.

18h30 :

Le salon fermait enfin ses portes, je ne sentais plus mes pieds. Autant maintenant j’ai l’habitude de marcher en talons, que là une journée complète à piétiner …

Nous nous rendîmes tous à l’hôtel pour nous reposer avant diner. Marc voulait qu’on aille tous manger dans un restaurant dont il avait l’habitude sur Paris, non loin de Saint Michel.

20h00 :

L’heure de rendez vous avait sonné, nous devions aller diner. Je m’étais fait belle pour l’occasion. La robe de soirée noire échancrée et décolletée était de rigueur, et une nouvelle fois des talons. La lingerie était très sommaire, un petit string noir léger pour éviter toute marque au travers du tissu m’habillait seulement. Chaudement enveloppée dans un manteau, je rejoignis mes collègues dans le hall. Jean Pierre et Marc étaient habillés en véritable hommes d’affaires, Maxime avait aussi fait l’effort du costume ma sa jeunesse lui pardonne le non port de la cravate. Émilie avait opté pour un déshabillé noir fuchsia absolument magnifique. Parole de filles !

Et l’incontournable Camille sublime à souhait dans une magnifique robe de soirée Gucci. Elle allait en faire des envieuses mais aussi des envieux ! Ses longs cheveux blonds détachés tombaient sur ses épaules à demi nues par la fine bretelle unique du coté gauche. La robe était bustier et venait se poser sur sa poitrine et semblait tenir comme par miracle.

Le galbe de son corps donnait une silhouette parfaite, sa légère cambrure ne mettait qu’en valeur son joli fessier. Bref on aurait pu l’imaginer actrice américaine sur la croisette.

Les couples se formèrent : tandis que Marc prit le bras de la belle, Jean Pierre, dont j’ai toujours été sa préférée m’accorda sa compagnie, et nos deux jeunes nous suivirent.

Paris était fluide ce soir là, et de la fenêtre de notre taxi nous pouvions admirer la ville avec des amorces de décorations de Noël. C’était paisible.

Arrivés à la porte du restaurant, un homme âgé habillé d’un costume noir nous attendait patiemment.

« Mes amis, je vous présente Monsieur R…. Monsieur R… tient un cabinet d’assurances sur Epinal. Je l’ai convié ce soir à rejoindre notre table, pour parler affaires. »

L’homme nous salua et semblait ravi d’être en si bonne compagnie.

« Je vous présente Camille, ma responsable d’agence sur Bordeaux, Emmanuelle de l’agence de Vannes, son assistante Émilie, et notre dernière recrue Maxime qui est en stage. Je ne vous présente pas Jean Pierre, que vous avez déjà rencontré ce matin. Jean Pierre a été mon premier client, il a su me faire confiance et depuis une amitié très forte s’est liée entre nous. Il m’accompagne maintenant sur de grands évènements comme aujourd’hui pour me donner son analyse, beaucoup plus pragmatique que la mienne. »

Une poignée de mains respectives et nous entrâmes dans le grand restaurant, où deux serveurs se tenaient à notre disposition pour nous débarrasser de nos manteaux, écharpes et autres artifices de saison hivernale.

Le restaurant était chic et accueillait une clientèle bourgeoise de Paris intra-muraux.
L’ambiance snob donnait une dimension à faire des affaires dans ce lieu. Notre table était réservée et se situait au milieu de l’unique salle. Elle était ronde et pouvait accueillir huit couverts.

Nous nous installâmes tous autour. C’était Marc qui animait la soirée par de longs discours commerciaux et de questionnement envers de cher Monsieur.

Ce qui me frappa chez ce monsieur R…. ce n’est même pas ses cinq années qui le séparaient de notre ami Jean Pierre mais leurs physiques qui étaient diamétralement opposés. Tant Jean Pierre malgré ses soixante ans arpentait une carrure encore bien solide que cet homme d’affaires

J’étais fasciné de voir Marc à l’œuvre, son discours était clair et se voulait engager dans ses propos. Ses arguments pour que cet homme accepte de lui céder son cabinet étaient toujours argumentés et chiffrés. Son raisonnement semblait tenir la route du fait de l’attention que lui portait le vieil homme.

Mais il était encore septique à l’idée de lui laisser les reines de son agence, surtout qu’il n’était pas la région. Marc joua la carte de l’équipe et du lien social qui nous unissait dans notre travail.

« Regardez l’équipe que j’ai constitué autour de moi, des jeunes à qui j’ai donné leur chance et qui ont su évoluer avec moi. Je peux vous dire quand j’entreprends je créer une cohésion et une fidélité dans le groupe. (…) »

L’homme marqua son premier signe de faiblesse.

« Effectivement je ne peux que vous féliciter de votre équipe, vos collaboratrices sont toutes les trois aussi ravissantes les unes que les autres. » Sans s’en rendre compte il venait d’ouvrir grand la porte à Marc. Depuis que je suis dans le monde professionnel, je n’ai pas encore vu un homme d’affaires qui se refusait le plaisir de la chair pour honorer un contrat. Et le vieux sexagénaire venait une nouvelle fois de démontrer cette théorie. C’était à tous leur point faible.

Le repas continua dans ce dialogue commercial et glissait peu à peu dans le coté un peu sombre de l’affaire.

Au moment de sortir de table, Marc convia notre homme d’Affaires à prendre un dernier verre à notre Hôtel. Qui je vous le rappelle n’est pas non plus à cinq minutes de là où nous sommes. Mais casse la tienne, l’homme se laissa convaincre et comptait bien profiter encore de cette soirée.

Répartis dans plusieurs taxis, nous arrivâmes à notre hôtel et montâmes à la chambre de Marc, qui pour le coup c’était fit plaisir en c’étant octroyé une des plus grandes. Ce mini appartement offrait un salon d’affaires avec un mini bar très bien fournit.

Marc sortit une bouteille de Cognac et une bouteille de champagne. Inutile de vous faire un dessin pour qui étaient destinées ces boissons. Nous étions toutes les trois sur le canapé pendant que ces messieurs se partageaient les fauteuils restant et les chaises de la chambre. Au final tout le monde y trouva son compte. Nous nous servions du champagne pendant que ces hommes boivent leur cognac. C’était marrant de voir Maxime en plein mimétisme mais la grimace à chaque gorgée le ramenait à la réalité.

Camille se lovait doucement à moi, et sa main glissait le long de ma cuisse, ce qui provoqua chez le vieil homme la déportation de son attention sur nous.

Elle passa à l’étape supérieure, et vint langoureusement m’embrasser dans le cou.

« Hey mais je croyais que ces jeunes filles étaient vos collaboratrices et non pas des Escort girls ! »
« Je vous rassure Monsieur R… ceux sont bien mes collaboratrices, mais quand je vous disais que l’esprit d’équipe était primordiale chez nous. Mais je vous en prie … »

Camille commençait à me dévêtir, très vite venu en aide par Émilie. Toutes les trois nous nous retrouvèrent ainsi entièrement nues devant ce public masculin. Comme trois parfaites lesbiennes nous nous lovions sur le canapé. Le vieil homme n’est croyait pas ses yeux et était totalement subjugué par le spectacle devant lui.

« N’hésitez pas ! Vous savez elles ne sont pas farouches et n’y verront pas d’inconvénient à vous y voir participer. »
« Oh vous savez je ne pourrai pas leur faire grand mal ! J’ai perdu toute ma hargne de jeune trentenaire. Mais par contre je dois dire qu’elles sont drôlement excitantes et qu’elles sont belles à voir. » Il se leva de son fauteuil pour venir en notre direction, même s’il se caractérisait d’impuissant il comptait bien tout de même se rincer l’œil d’un peu plus près.

Il avait les mains baladeuses et de temps à autres venait me caresser un sein, ou celui d’Émilie ou de Camille. Il nous pinçait durement les tétons. Sa vieille main prit de l’assurance au fil des minutes et se glissa entre nos cuisses pour venir palper l’humidité ambiante.

« Mon dieu, mais elles sont trempées ces gamines ! Putain cette petite rousse là. Ses petits seins sont excitants ! » Il s’acharnait dessus en tirant toujours un peu plus sur ses tétons pour les faire ressortir un peu plus. Pendant qu’il paluchait les petits seins, sa bouche vint s’accoler sur le sein droit de Camille et avec sa langue vint titiller le petit bout.
« Approche toi aussi, que je te goute. » s’adressait il à moi.
« Mhhh ils sont bon les tiens aussi »

Pendant que le vieillard était en train d’aspirer mon sein, Marc capta ce moment avec son téléphone pour envoyer la photo à Frédéric.

« Elle a eu raison de te quitter, regarde comment elle s’amuse maintenant » c’était le message qu’il lui avait adressé pour illustrer sa photo. Après s’être amusé de cela, il nous envoya Maxime pour venir en aide à ce vieux monsieur.

« A mon garçon, vient par ici ! » Maxime s’était déjà dévêtu et s’approcha sagement de ce monsieur pour attendre les consignes. Le sexe déjà bien tendu, il était fin prêt pour venir nous honorer.
« Allez mesdemoiselles montrez moi comment vous faites avec un beau sexe comme çà. » Tous les trois nous descendirent du canapé pour venir à quatre pattes encerclé notre verge. Camille au milieu, moi à sa droite et Émilie à sa gauche nous nous passions son sexe pour l’alterner à chaque fois dans nos bouches. Monsieur R… profita de nos croupes en l’air pour venir nous chatouiller l’entre cuisses à chacune de nous. Il alla même jusqu’à m’introduire deux doigts.

Les gorges profondes s’enchainèrent pour nous et Maxime semblait être aux anges.

« Je voudrai bien te voir les baiser maintenant. Je suis sur qu’elles n’attendent que çà. Hein ? Ca te dirait de les baiser pour moi ? »
« Oui »
« Allez vous mettre sur le canapé, je veux voir vos petits culs en l’air. » Il dégrafa son pantalon pour en extraire un petit sexe mi dur, mi mou. Mais cela lui semblait suffisant pour pouvoir se branler devant cette situation.

Toutes les trois nous grimpèrent sur le canapé et alignées l’une à coté de l’autre nous attendions les jambes bien ouvertes que mon stagiaire veuillent bien nous pénétrer de son sexe. L’invité se tenait sur le coté et se masturbait énergiquement. Maxime commença par celle la plus à gauche et c’est donc Émilie qui eu l’honneur d’être prise la première. Il passa très vite à moi. Je sentais qu’il prenait de l’assurance en s’accrochant bien à moi pour venir me pénétrer le plus profondément possible. Mais comme ma compère son passage entre mes jambes fut bref et alla assouvir Camille.

Il sentait qu’il n’allait pas tenir longtemps une nouvelle fois et nous signala qu’il était prêt à venir. C’est donc dans un mouvement de panique que nous descendirent vite du canapé pour l’encercler à nouveau afin de recevoir son foutre généreux sur nous.

Ce fut moi qui eu l’honneur d’être immaculée de son sperme. Il visait bien mon visage et ma bouche. Son liquide avait bon gout mais j’essayais de le recracher aussitôt pour le faire partager à mes copines qui consciencieusement venaient le laper sur mes joues et mes seins.

Cela en était trop pour notre homme d’affaires qui à son tour voulu se décharger.

« Allez Monsieur, faites vous plaisir. Vous n’en ferez que des ravies »

Son sexe demi mou se dirigea vers Émilie et un liquide blanchâtre jaunâtre très liquide en sorti. Il visait essentiellement sa toute petite poitrine qui l’excitait depuis le début. Nous vinrent en aide à notre amie pour la soutenir dans ce moment.

L’homme était satisfait au plus au point de cette soirée qui selon lui était concluante et gage d’une collaboration qui partit sur des bases saines.
par manukib56
#1703939
Le salon de l’assuré 2

Samedi 15 novembre 2014, 23h30

L’homme nous remercia de l’hospitalité et nous quitta après ce petit moment de soulagement.

Nous nous dirigions vers la douche quand Marc mon interpella.

« Faites vite les filles parce que je ne sais pas vous mais moi ca m’a bien donné envie de me défouler moi ce petit spectacle. En tout cas un grand bravo, encore une fois vous avez su briller de vos talents ! Et toi Maxime tu as intérêt de reprendre du poil de la bête. Va falloir apprendre qu’ici on ne tire pas qu’un seul coup. »

Je suis la première à la douche, après mettre largement savonnée et shampooinée, je sortie de la douche pour me sécher, mes les garçons étaient trop impatients qu’ils me demandèrent de venir comme çà. Pas grave si j’étais encore toute mouillée.

C’est donc entièrement nue et toute dégoulinante que je fis mon appariation dans le salon pendant que mes copines se lavaient à leur tour. Jean Pierre et Marc avaient quitté leurs habits d’hommes d’affaires pour édifier leur sexe à l’air libre. Maxime se tenait entre eux le sexe toujours ramolli de son éjaculation précédente. C’est donc tout naturellement vers lui que je me positionnai à quatre pattes. Sa verge sentait encore le sperme et avait un petit gout de cyprine. Je l’avalai tout entier en prenant soin de bien l’aspirer pour favoriser sa nouvelle érection. Les mains de Marc et Jean Pierre se baladaient sur tout le long de mon corps s’arrêtant sur mes seins, mon sexe, mes fesses et de tant à autre ma tête pour bien venir l’appuyer contre le ventre du jeune homme afin de s’assurer que je ne puisse aller plus loin.

Après de longues minutes et une forte énergie à le garder en bouche, son sexe voulu bien se redresser enfin. Je pouvais maintenant m’occuper de mon chef et de son ami. Jean Pierre m’enfonça son volumineux organe au fond de la gorge, l’impression n’était plus du tout la même que le sexe précédent. Cette sensation étouffante de se voir ainsi si remplie de la bouche. Vint le tour de Marc de jouer aussi avec mes lèvres buccales et se livrer à un délicieux ballait d’allers et venus tout en prenant soin de bien me malaxer les seins. J’appréciai ce moment d’être ainsi à la merci de trois hommes. L’excitation m’envahissait au plus haut point. Jean Pierre me fit comprendre qu’il en avait assez d’attendre et ce qu’il voulait c’était de me baiser.

Je me mis donc à quatre pattes toujours en alternant les sexes de Marc et Maxime dans ma bouche pendant que le sexagénaire me préparait. Son sexe se posa à l’entrée du mien et quand il senti l’humidité résiduelle de tout à l’heure il m’éventra de son gros sexe. Il tenait écarter mes cuisses bien ouvertes pour bien admirer son sexe glisser dans le mien. Il le ressortait pour le renfourner aussitôt. Il prenait plaisir cela s’entendait.

Marc quitta ma bouche pour prendre la relève son ami et tous les deux se succédèrent entre mes reins.

Les filles arrivèrent entièrement nues dans l’arène prêtent à se lancer dans effervescence du moment.

Camille alla à l’encontre de Maxime, elle voulait gouter au petit jeune comme elle disait. Intimidé par cette beauté naturelle il se laissa faire comme à son habitude. Camille lui prit son sexe en bouche et son expérience fit parler les résultats, en quelques secondes le membre avait reprit une réelle raideur.

« Mhhh on m’a dit que tu n’arrivais pas à sodomiser ta patronne. Comment çà se fait ? Une si désirable demoiselle. Allez montre moi comment tu t’y prends avec ton sexe. »

Elle s’agenouilla devant lui en se cambrant au maximum pour lui ouvrir au mieux le passage. Maxime se souvenait des conseils prodigués par son aïeul. Il saliva d’abord abondamment sur le petit orifice et pris même le soin de lubrifier son sexe avant. Cette fois, il était bien décidé à y arriver tout seul. Il tenait fermement sa verge et vint la plaquer contre la petite rondelle rose. Il fléchit légèrement ses jambes pour venir à la perpendiculaire parfaite. Il commença sa poussée, tout d’abord un peu brutalement et puis de manière plus douce et plus précise. Son sexe commença à s’enfoncer petit à petit, il tenait bon. Son gland commença enfin à être recouvert et finit par s’y enfoncer entièrement. Le plus dur venait de passer, il s’arma de patience et au final c’est tout son sexe qui disparu dans les entrailles de la jolie blonde. Camille se coucha sur le ventre pour ainsi lui permettre de bien la baiser énergiquement.

A même le sol les deux corps s’animèrent dans une étreinte torride. Maxime se sentait pousser des ailes et ses gémissements faisaient penser à ceux d’un acteur de film X. Il était pris au jeu et avait pour mission de ne pas en ressortir d’aussitôt de ce cul magnifique.

Marc s’amusait à le regarder pendant que je le suçais goulument.

« Ben dis donc notre petit jeunot à prit du galon dites moi. Allez les filles ne l’arrêtez pas en si bon chemin, allez lui proposer vos culs. » ni une ni deux Émilie et moi allions nous poster à coté de notre amie, le fessier redressée nous attendions le messie.

Maxime se retira de Camille et vint de mettre derrière moi. Il me cracha dessus et entama sa pénétration. Je sentais ses gestes plus affirmés et sa volonté de me conquérir plus grande. Enfin sa queue eu raison de ma petite entrée, il me pilonnait maintenant comme un pro. Il s’arrêta net pour aller me cocufier avec Émilie. Dans la même étreinte que nous deux précédentes il la pénétra avec assurance.

Nous en voulions toutes les trois toujours un peu plus de son sexe, et il s’attardait maintenant un peu plus sur nous. Il sentait qu’il avait de la réserve.

Marc et Jean Pierre arrivèrent à sa rescousse, tandis que Maxime continuait à s’acharner sur moi, mon patron prit par derrière sa collaboratrice de Bordeaux tandis que son ami s’occupait de l’administratif. Émilie qui avait à faire au plus membré des trois était beaucoup plus expressive que nous.

« Ca vous plait comme çà Madame ? Je vous ai bien sodomisé hein ? »
« Ne parle pas et garde ton énergie à me faire jouir. »
A ma réaction Marc m’adressa un sourire, il approuvait ce que j’étais en train de devenir une vraie pute assumée qui utilise le sexe de l’homme comme mon bon vouloir. Il s’accorda un instant de pause pour une nouvelle fois immortaliser le moment et envoyer un message à Frédéric.

« Après un vieillard, c’est son stagiaire qui passe dessus. » Il s’en amusait de faire le reporter témoin de la scène. Mais je dois dire que ce n’était pas pour me déplaire. Même si je sais que cela blessait Frédéric, mais d’un coté c’est lui qui m’a amené à cette débauche. Et combien de fois cela le faisait bander de me voir ainsi livrer à ces autres hommes avec lui.

Je sentais mon amant à bout de course, il était prêt à en finir. Et pour le coup il avait prévu de finir en apothéose, son rythme s’accéléra entre mes cuisses, son souffle se faisait sentir jusque sur mon dos. Je sentie les derniers instants mon petit orifice s’élargir encore un tout petit peu. Signe que sa verge se gonflait prête à imploser à l’intérieur de moi. Il se retira juste à temps, contrôla son éjaculation pour me laisser le temps de m’accroupir et de le prendre en bouche pour le sentir se déverser au fond de ma gorge. Ses jets étaient puissants, pour limiter cette abondance je m’efforçais de le prendre bien au fond pour recueillir tout son nectar.

Une fois ma bouche pleine de son foutre, je relevai la tête en le regardant bien dans les yeux, ouvrit très légèrement ma bouche pour le faire voir que j’avais tout conservé de son jus chaud. Et d’un filet continu le fit couler le long de ma bouche, pour suivre mon menton et venir finir sur mes seins.

Je me redressai à sa hauteur, l’embrassa à pleine bouche. Pendant le baiser j’accolai mes mains sur ses épaules et lui fit comprendre que je voulais qu’il se baisse.

« Allez nettoies moi de tout çà. »
« Mais je ne peux pas ! »
« Comment tu ne peux pas ? C’est juste nous les femmes qui sont justes bonnes à bouffer votre sperme ? C’est çà ? Allez … ! »

Il s’exécuta avec un air de dégout affirmé.

Marc était encore une nouvelle fois amusé de voir à quoi je confrontais mon stagiaire. Cela le ramenait à mes débuts avec lui.

Il se retira de Camille et en regardant fixement se soulageait sur l’anus de la belle blonde. Son jus coulait le long des cuisses à en venir se rependre sur le sol. Jean Pierre arriva à son tour et immacula la petite et jeune poitrine de la rousse.
par zztop
#1704176
T'es une bonne petite soumise, tu viens raconter rapidement la suite de la soirée.. Mais ne t'arrête pas en si bon chemin et continue ton récit, petite "pute"....
par manukib56
#1706008
Le retour de Frédéric mais suivant quelques conditions

Mercredi 19 novembre 2014,

Mardi soir juste avant de quitter mon travail j’ai reçu un texto de Frédéric qui me demandait si je lui accorder un peu de temps pour que nous puissions boire un verre ensemble.

Comme c’était touchant de le voir ainsi ramper le sexe entre les jambes, je ne savais pas que les deux photos que Marc lui avait envoyées le week-end dernier l’avaient beaucoup travaillé.

Audrey m’avait déjà mise en garde, qu’il était au bord de la déprime et qu’il rongeait son frein à ne plus pouvoir me voir.

J’acceptai donc son invitation en lui répondant de manière très vive :

« Ok demain 18h. Soit à l’heure je suis pressée. »

J’étais à la bourre, 17h45 s’affichait en bas à droite de mon écran et je n’étais toujours pas habillée et je devais encore envoyer deux trois mails pour avoir le sentiment du travail parfaitement abouti.

Depuis ce petit week-end à Paris j’avais moi aussi tergiversée sur ce que nous étions devenus et pourquoi étions nous si éloignés maintenant. J’avais toujours autant d’estime pour Frédéric qui certainement s’apparentait à des sentiments mais je n’arrivais plus à les exprimer. J’étais en perpétuelle confrontation et surtout provocation. Et aussi étrange que cela puisse paraître j’y trouvais un certain équilibre.

Je me hâtai donc pour ne pas être en retard, j’étais excitée autant que si c’était mon premier rendez vous.

J’arrivai enfin devant le bar lounge où nous avions rendez vous. Il avait choisit celui où nous aimions y venir car souvent l’été il organisait de petits concerts dans le grand jardin juxtaposé à la rivière.

Nous nous fîmes la bise et il m’ouvrit la porte.

« Je suis content de te voir. Ca me fait du bien de nous retrouver tous les deux. »
J’essayai de rester dans mon rôle.
« Oui, bon on sort les mouchoirs tout de suite ou tu vas droit au but. Je t’ai dis je n’ai pas que çà à faire. »
Pour être encore plus hautaine, je pris la liberté de commander une coupe de champagne, comme pour lui montrer qu’il n’avait pas plus à faire à la même jeune fille qu’il avait connu. Que maintenant j’étais une femme, d’affaires qui plus est, et que mon standing de vie avait changé. Il se résigna à un hochement de tête envers le garçon pour valider ma commande.

« Alors dis moi pourquoi me fais tu venir ici ? »
« Ben je pensais qu’on pourrait peut être reparti sur de bonnes bases. Tu me manques Manue, j’ai besoin de toi. Tu es vitale pour moi. »
« Quoi tu veux baiser ou tu es en train de me supplier de bien vouloir revenir avec toi ? Dois-je te rappeler qui m’a fait rencontrer Mathias. Qui à manigancé avec lui ensuite notre rencontre avec Marc et Jean Pierre. Dois-je te remémorer la fois où tu m’as prostitué au propriétaire pour quelques centaines d’euros. Tu prenais ton pied à me voir ainsi, n’ayant pas assez de cran pour te dire non. Tu te sentais fort ? Et bien écoute moi, ok pour te reprendre. Parce qu’après tout, je te le dois bien. Mais les règles ont changé, toi tu me dois fidélité, tu ne coucheras plus jamais avec une autre fille que moi. Ai-je été claire ? »
« Oui. Je te le promets. »
« Mais par contre tu vas assumer ce que je suis devenu maintenant. Et tu accepteras tout de moi. Si je décide de voir quelqu’un, je vois quelqu’un. Ai-je été suffisamment claire ? »
« Mais tu (…) »
Je ne lui laissai pas le temps de finir sa phrase que j’étais déjà debout et quittai la table avant même avoir été servie de ma coupe de Champagne.
« Tu peux t’installer chez moi dès ce soir si tu veux. Voici ma nouvelle adresse » Sur un bout de papier trouvé au fond de mon sac j’écrivis ma nouvelle adresse, je m’imaginais déjà la tête qu’il ferait quand il découvrirait mon nouveau chez moi.

Je le laissai là planté sur sa chaise et quitta le bar. Notre rencontre avait duré en tout et pour tout cinq bonnes minutes.

Je regagné ma voiture et rentra chez moi.

Émilie m’attendait et essaya d’avoir des informations. Je lui expliquai brièvement ma rencontre avec Frédéric et lui annonça qu’il s’installait à l’appartement.

« Allez pour fêter çà on va s’offrir une petite partie de jambes en l’air. Qu’en dis tu ma belle ? » je l’embrassai à pleine bouche tout en posant ma main sur son sein gauche.
« Appelle Maxime, on n’aura pas de trop de deux sexes. »
Émilie s’exécuta et envoya un texto à Maxime.
« La patronne veut te voir maintenant chez elle. Rapplique vite ! »

Il n’eut pas fallut plus de quinze minutes pour Maxime de traverser Vannes et être dernière ma porte en train de sonner.

« Quelle réactivité garçon ! »
« J’ai fait le plus vite possible Madame. Quand j’ai lu le message d’Émilie je suis parti aussitôt, je ne sais même pas si j’ai fermé ma porter derrière moi pour vous dire. »
« Très bien Maxime. Allez mets toi à l’aise tout de suite. »

Il quitta tous ses vêtements alors qu’il avait à peine passé le pas de la porte. Le sexe déjà édifié, il était fin prêt à passer à l’action. J’avais envie de confort et décidai de les amener avec moi dans ma chambre. Quoi de plus agréable que de le faire dans un lit. Je fis allonger Maxime sur le matelas et me glissa à genoux au sol entre ses jambes et commença une fellation. Émilie vint s’accoler à moi pour faire le relai. Pendant que l’une suçait le stagiaire l’autre entamait son déshabillage et en quelques minutes nous étions tous les trois totalement nus.

On frappa à la porte. Je fis signe à Émilie d’aller ouvrir j’étais occupée avec le sexe de Maxime en bouche. Elle s’excusa de nous pour aller ouvrir. Se doutant bien qui cela pouvait bien être, elle ne prit même pas la peine de se vêtir de quelque chose. Un coup d’œil dans le juda pour confirmer ses dires et elle ouvrit la porte à Frédéric.

« Bonsoir Fred, contente de te voir de retour. Vas y je t’en prie entre. » Il passa la porte et tout en la dévisageant pour bien s’assurer de sa totale nudité, il découvrit l’amas de vêtements au sol qui étaient loin d’être ceux d’une fille.

Vient on est dans la chambre. Elle lui prit la main et le dirigea dans le long couloir jusqu’à la chambre, où il eu le spectacle de me voir entre les jambes de mon stagiaires la tête couchée sur son sexe.

« Manue, c’est Fred. »
« Mmmh » Volontairement je ne dégageai pas ma bouche qui encerclait la verge pour répondre.

« Vas y rentre fait comme chez toi. » Tout en s’adressant à lui elle commençait à le déshabiller. Une fois totalement nue elle voulu s’agenouiller devant lui mais il la stoppa nette dans sa descente.

« Non Émilie, je suis désolé. C’est fini çà pour moi. » il avait écouté mes recommandations et même dans notre cercle proche il s’interdisait un petit adultère. Il vint donc docilement s’asseoir au coin du lit assistant à la scène et attendant sagement que je décide de son sort.

Je m’efforçai de bien le regarder pendant que je suçai Maxime.
J’avais envie maintenant d’autre chose, je me levai et fit comprendre à maxime de faire de même. A mon tour je m’allongeai sur le lit et demanda à mon stagiaire de venir me baiser dans la plus simpliste des positions : le missionnaire. Il vint s’allonger de tout son poids sur moi, son sexe trouva maladroitement l’entrée de mon vagin et ses coups de reins de voulaient saccadés. Qu’en bien même, il était en train de me baiser tandis que mon petit ami assistait jalousement à la scène. Je jouais la scène en lâchant des cris simulés de plaisir.

« Oh oui c’est bon. Vas y continue. Je te sens bien là. » ces commentaires avaient l’avantage de mon motiver mon petit jeune et d’accroitre encore plus la situation de malaise de mon compagnon. Émilie vint se joindre à nous, positionnée entre les jambes de Maxime elle avait une vue imprenable sur son sexe qui pilonnait le mien. De sa main elle lui caressait les testicules et quand sa verge sortait de son fourreau elle profitait du moment pour la prendre en bouche avant de lui remontrer le chemin de ma caverne. Sa langue venait même titiller mon petit orifice qui accentuait encore plus mon excitation.

Émilie voyait au rythme du jeune homme qu’il était arrivé à son point de non retour. Elle le prit par le sexe pour le prendre toujours en bouche et le faire exploser entre ses lèvres. Je crois que c’est la seule fille que je connaisse qui aime autant le gout que peut avoir le sperme. Moi j’aime la sensation de boire le jus de l’homme, j’aime la sensation chaude mais y trouver un réel gout était encore très lointain pour moi. Elle, elle s’en régalait.

Ce n’est qu’à ce moment toujours allongée les jambes écartées que je daignai me soucier lui.

« Allez viens ! »

Tout timide, il s’approcha de moi osant à peine me toucher de peur de ma réaction. Il vint s’allonger sur moi en prenant soin de ne pas m’écraser. Il prenait son temps et se voulait doux et tendre. Ses lèvres commencèrent à m’embrasser le cou, les épaules, me mordiller l’oreille. Il se risqua à descendre pour venir saisir mon téton, qu’il ne mordilla pas mais sa langue venait comme une caresse s’enrouler autour. Il abaissa son bassin pour venir faire glisser son sexe juste à l’entrée du mien. Il s’y engouffra sans peine et sans résistance. Il avait été bien travaillé avant par mon stagiaire.
Je retrouvai enfin ses gestes doux, tendres, marqués de t’en d’affection. Le plaisir m’envahissait et cette fois ci nul besoin de simuler quoi que ce soit. Je remuai mon bas ventre comme pour le caresser de l’intérieur. C’était l’une des rares fois où je sentais qu’il pensait à mon plaisir avant le sien.

Je l’encourageais par des caresses sur son dos et des mots plus doux.

« Oh oui comme çà ! Mmmh c’est bon de te sentir ! »

J’agrippai ses fesses pour accentuer le contact de son corps sur le mien, par une synchronisation parfaite c’est à ce moment précis qu’il jouit bien au fond de moi. Ses saccades délivrant à chaque fois une quantité de son précieux liquide. La sensation de chaleur ne faisait qu’accroitre le désir déjà présent.

Je crois que nous avions trouvé notre équilibre, il avait besoin de me voir m’exprimer dans les bras d’autres hommes quitte à se ronger le sang. Mais cela décuplait son désir et je dois dire que moi j’aimais être à ce rôle où c’est mon plaisir qui prône avant tout.
par cffj14
#1707188
Tout timide, il s’approcha de moi osant à peine me toucher de peur de ma réaction. Il vint s’allonger sur moi en prenant soin de ne pas m’écraser. Il prenait son temps et se voulait doux et tendre. Ses lèvres commencèrent à m’embrasser le cou, les épaules, me mordiller l’oreille. Il se risqua à descendre pour venir saisir mon téton, qu’il ne mordilla pas mais sa langue venait comme une caresse s’enrouler autour. Il abaissa son bassin pour venir faire glisser son sexe juste à l’entrée du mien. Il s’y engouffra sans peine et sans résistance. Il avait été bien travaillé avant par mon stagiaire.
Je retrouvai enfin ses gestes doux, tendres, marqués de t’en d’affection. Le plaisir m’envahissait et cette fois ci nul besoin de simuler quoi que ce soit. Je remuai mon bas ventre comme pour le caresser de l’intérieur. C’était l’une des rares fois où je sentais qu’il pensait à mon plaisir avant le sien.

Je l’encourageais par des caresses sur son dos et des mots plus doux.

« Oh oui comme çà ! Mmmh c’est bon de te sentir ! »

J’agrippai ses fesses pour accentuer le contact de son corps sur le mien, par une synchronisation parfaite c’est à ce moment précis qu’il jouit bien au fond de moi. Ses saccades délivrant à chaque fois une quantité de son précieux liquide. La sensation de chaleur ne faisait qu’accroitre le désir déjà présent.

Je crois que nous avions trouvé notre équilibre, il avait besoin de me voir m’exprimer dans les bras d’autres hommes quitte à se ronger le sang. Mais cela décuplait son désir et je dois dire que moi j’aimais être à ce rôle où c’est mon plaisir qui prône avant tout.[/quote]


Voici un retour tout en douceur et cela permetde decouvrir tes 2 personnalités en ce qui concerne le sexe et plaisir
par manukib56
#1709866
Pour la bonne cause

Mardi 09 décembre 2014,

Cela allait faire presque un mois que Frédéric et moi étions à nouveau ensemble. Depuis ce soir de novembre il s’est installé chez moi et accepte sans mots dire mes désirs sexuels maintenant assumés.

J’invitai régulièrement Maxime à la maison et n’hésitait à convier Émilie lors de nos moments intimes. Je voyais bien en lui qu’il brulait d’envie de la toucher, de l’embrasser voire même de la baiser. Mais il en connaissait les conséquences, c’était maintenant moi la seule maitre à bord et seul mon plaisir comptait. Bien avant le sien.

Marc m’appela ce soir là tandis que nous allions passer à table. Je quittai la pièce afin de n’être dérangée par le bruit.

« Dis moi, tu fais jeudi prochain ? »
« La soirée ou la journée ? »
« J’aurai besoin de toi fin d’après midi et sans doute une bonne partie de la soirée »
« J’ai deux rendez vous jeudi après midi mais que je peux décaler si nécessaire. »
« Oui, si cela ne te dérange pas. J’ai deux trois collaborateurs avec qui j’aimerai signer un contrat sur les prévisantés mais ils sont assez durs en affaire. Je vais avoir besoin d’un coup de pouces. »
« Entendu »
« T’es toujours avec ton gigolo ? »
« Frédéric ! »
« Oui pour moi c’est pareil. Amène le, y’a moyen qu’on s’amuse. »
« Ok »
« Ah oui et n’oublie pas de t’habiller en véritable pute ! »
« Vous en auriez douté ? »
« Allez à jeudi, je passerai vous prendre vers 15h30 au bureau. »

Il raccrocha.

Je retrouvai mes colocataires à la cuisine.

« C’était Marc, il veut que nous allions avec lui à une réunion affaire jeudi après midi. »
« Mais qu’est ce que j’ai à voir la dedans. »
« J’en sais rien mais il veut que tu viennes alors tu viens. »
« J’aime pas trop çà ! »
« Je ne te demande pas d’aimer non plus, je te demande de venir. »

Jeudi 11 décembre 2014

Quand je me préparai pour aller au bureau je sentais bien chez Frédéric un sentiment de tiraillement. Comme l’avait demandé Marc, je m’étais habillées de circonstance. Ma jupe droite noire était volontairement courte pour à chaque levée de jambe faire apparaître la dentelle de mes bas et les bretelles de mes porte-jarretelles. Mon chemisier blanc soie transparaissait sur ma lingerie rouge. Trois boutons étaient volontairement omis pour ouvrir un joli décolleté sur mon petit 85b. La forme push-up de mon soutien gorge, donnait un semblant de volupté et donnait l’illusion d’une poitrine généreuse.

Mes cheveux tirés en arrière me donnait un air sévère et me vieillissait légèrement. Une petite paire de lunettes à branches larges finissaient d’habiller ma tenue d’assistante de direction sensuelle et sexuelle.

Quand Marc vint nous chercher à l’agence, il semblait satisfait des efforts vestimentaires.

« Et bien voilà une petite pute comme on les aime. Montre-moi çà » il glissa sa main sur mon fessier en dessous de ma jupe et tâta mon fessier.
« Il a intérêt à bien servir ce soir. Y’a des gros sous en jeu ! Tu vas comment elle défend un dossier ta belle ! »

Nous montâmes dans sa grosse berline et allions au rendez vous. Il nous fallut, pas loin, d’une petite heure de route pour arriver enfin dans un domaine assez retranché en campagne. La grosse demeure avait des allures de Manoir. Construite sur une petite bute surplombant des grands espaces de verdures. La grande allée de gravier blanc était longue et droite. La nuit commençait légèrement à s’installer et le froid dehors était pinçant. Ma tenue vestimentaire n’allait pas me réchauffer.

Il se gara au plus près de la grande porte d’entrée où un homme nous y attendait.

Il se pencha au dessus de moi pour accéder à la boite à gants. Il l’ouvrit et en sorti un petit collier en cuir avec seulement une petite boucle en inox comme bijou.

« Tiens mets toi çà autour du cou, ca finira ton accoutrement de pute ! » je saisi son collier et le passa derrière à Frédéric pour que ce soit lui qui me le mette.

Marc était toujours penché à fouiller dans la boite où il dénicha une longue chainette en inox, à la façon laisse de chien. Plus de doute ce soir j’allais être chienne !

Quand Frédéric eu fini d’attacher le collier à sa petite amie (moi en l’occurance), Marc accrocha à la boucle la chaine.

« Allez, on y va, ils nous attendent »

A peine la portière ouverte

« Marc, mon ami. Je t’en prie entre vite nous vous attendions. Ne restez pas dehors il fait un véritable froid de canard. » Le vieil homme salua par deux bises Marc et d’une poignée de main ferme Frédéric. Il m’ignora totalement et daigna, même pas, m’adresser le moindre regard. Pourtant trainée par la chaine à la main de Marc je faisais une entrée pour le moins spectaculaire il me semblait.

L’homme était vieux et bedonnant. Grisonnant sur les tempes le reste de son crane était totalement dépourvu de cheveux. Malgré ce froid sec, le fait de se mouvoir semblait lui provoquer des bouffer de chaleurs sans doute à cause de sa surcharge pondéral. En rien l’envie ou le désir ne pouvait se prétendre de cet individu.
« Tenez Marc, si vous voulez bien le lui passer. »

Il lui tendit un foulard noir. Marc me fît un petit rictus avant de me plonger dans la pénombre.
Je sentais la laisse se tendre, on était en train de me diriger vers l’endroit des hostilités. Je ne sais plus combien de pas j’ai pu faire mais les virages semblaient nombreux et le passage de portes aussi. Une dernière porte s’ouvrit et un long escalier s’en suivait. Ils me firent descendre dans ce que je compris être une cave ou du moins un garage. La pièce n’était pas chauffée et une humidité résiduelle se faisait sentir.

Nous étions enfin arrivés, où je ne le sais, mais nous avions arrêté de marcher. Je ressentais la présence de d’autres individus mais impossible de dire combien.

Une main agrippa mon chemisier et défis les quelques boutons qu’il y avait. Une autre main s’acharnait avec la fermeture éclaire de ma jupe. Cela ne faisait pas cinq minutes que j’étais dans cette pièce que j’étais déjà à demi-nue. Seuls mon soutien-gorge, mon string et mes porte-jarretelles m’habillaient et réchauffaient le semblant de corps qu’ils recouvraient.

Je sue après que cette pièce était habitée par six hommes d’affaires qui avait conclu avec Marc la signature d’un gros contrat de parts prévi-santé. Mais avant d’officialiser cet accord cadre, sa réputation d’avoir des assistantes et collaboratrices très investies dans leur métier l’avait devancée et ils avaient tout naturellement demandé de se voir offrir les services d’une bonne et jeune soumise.

Marc et Frédéric avaient été mis de coté dans cette cave, où deux chaises avaient été mis à leur disposition pour qu’ils puissent sagement attendre que ces gentlemen fassent leur affaire avec leur revendication.

Frédéric était rongé par la jalousie, la frustration, l’excitation et tant d’autres sentiments de me voir ainsi livrée à ces inconnus dans cette posture. Il voyait sur moi que cela ne semblait pas me rebuter de me sentir ainsi soumise. Et je dois dire, que j’étais même plutôt excitée. Même si je me doutais bien que les physiques de ces hommes devaient certainement s’apparenter avec celui qui nous a accueillis à l’entrée. Cela n’en restait pas moins des hommes avec de la virilité et des hormones à revendre.

Une main froide mais moite attrapa un sein dans mon soutien-gorge et le sorti à la vue de tous. Pour le coup mes tétons étaient déjà bien dressés par le froid mais cela ne semblait pas encore lui convenir tellement il s’acharnait dessus à le tirer dans tous les sens. Il sorti mon deuxième sein au dessus de ma lingerie et réserva le même sort au deuxième.

Une autre main me malaxait le fessier, tandis qu’une autre me fessait. Un moyen comme un autre de me réchauffer. Des doigts s’inséraient dans mon sexe, je ne pourrai vous dire combien. Toujours est-il, ils essayaient d’en mettre un maximum. D’autres vinrent me titiller l’anus. Et forçaient le petit passage.

Une chose est sure ils n’étaient pas ici pour être tendre, et je priai pour que cela ne s’éternise pas dans le temps.

Quand ils eurent bien prit leurs marques sur mon corps et tâtés les moindres centimètres carrés, je senti qu’on tirait sur la chaine pour me faire mettre à quatre pattes. Il m’était impossible de résister et je crois qu’il ne valait mieux pas non plus. Celui qui me tenait en laisse me fit me balader à la manière d’une chienne qu’on promène dans un parc. Des voix se firent entendre.

« Quelle jolie chienne vous avez là mon bon monsieur. »
« Oui n’est ce pas ? »
« Elle n’est pas méchante on peut la caresser ? »
« Je vous en prie, faites ! »

Ils se livrèrent à une vraie scène d’improvisation qui semblait les faire horriblement rire.

« Elle a déjà eu des portées votre chienne ? »
« Non, d’ailleurs il serait temps de lui montrer comment faire. »

Pendant que j’étais occupée à me faire balader, mes genoux s’esquintaient sur la dalle de béton froide, mes bas n’avaient pas résisté aux frottements et se déchiraient à chaque fois un peu plus. J’étais vraiment dans une situation d’inconfort total.
Les mains disgracieuses ne cessaient de me caresser à la façon obscène. Une d’entre elles écarta mon string pour venir à nouveau titiller mon petit orifice. Mes seins étaient tirés comme de vulgaires mamelles.

Frédéric était démuni devant ce spectacle désolant et n’arrivait pas à tenir en place. Marc n’était pas là pour le rassurer.

« T’as vu ce que tu en as fait de ta copine ? Tu as vu la petite chienne qu’elle est devenue ! Va falloir faire avec maintenant. Cette trainée est juste bonne à recevoir des bites. » Il se voulait brutal avec lui pour être encore plus choque. L’entendre ainsi parler de moi tout en imaginant le mal être dans lequel pouvait être Frédéric accentuait encore plus à me laisser ainsi dominer à ces individus de la manière dont ils le souhaitaient.

Ma chaine se tendit à nouveau mais par le haut cette fois. Je me redressai donc sur mes genoux. Un moment de calme me fut accordé.

Mon corps frissonna quand tout à coup de senti un élément froid sur ma peau. Au même moment que ce bout de métal se posa entre mes seins, je perdis mon soutien-gorge. C’est ensuite entre les fesses qu’il se retrouva pour découper mon string. Ces hommes ne prenaient même pas le temps de me dévêtir ils découpaient ma lingerie au couteau. Un des hommes laissaient trainer la lame sur mon corps comme pour m’intimider. Ils arrachèrent de leurs mains les derniers lambeaux de tissus qui me restaient.

Un premier vint forcer ma bouche m’obligeant à le sucer. Je fus surprise les premiers instants mais ne montrai aucune résistance face à cette intrusion. Suivirent ensuite toutes les autres, y’en avait de toutes les tailles, des grosses mais aussi des petites. Bien heureusement pour aucune ne semblait hors normes. Par contre certaines avaient une hygiène douteuse et sentait terriblement forte. Il m’arrivait d’avoir quelques relents tellement le gout fort m’insuportait.

Ils s’essayaient tous à la gorge profonde, chacun essayant de battre l’autre à qui la mettrai le plus profonds.

« La vache elle a du coffre cette gamine. C’est bien la première que je vois avaler des bites de la sorte. »
Les hommes me biflèrent, certain allait même jusqu’à cracher sur leur sexe pour rendre encore plus odieux la scène. Mes seins me faisaient mal tellement ils étaient malaxés.

« Regardez-moi ces nibards de jeunette. Tout ferme ! » l’homme qui parlait de mes seins les gifla un à un pour les voir rougir sous ses coups. Un sexe s’apposa entre pour ce qu’ils appellent une branlette espagnole. Cette verge glissait entre ma poitrine qui était maintenue collée par la pression de grosses mains. Le gland venait taper sur mon menton, ma bouche était toujours occupée à administrer du plaisir à un autre.

Une main caressait mon entrejambe et passait de mon sexe à mon anus de façon désordonnée.

Ils me mirent à nouveau à quatre pattes, un homme s’allongea en face de moi afin que je puisse continuer ma fellation.

« Putain moi je n’attends pas plus longtemps je vais lui pêter son cul à cette petite salope. Phil ! Passe moi une capote, on n’est jamais sur avec ces chiennes. Va savoir où elles ont trainé avant ? » A peine eu t’il le temps de mettre un préservatif que déjà plusieurs doigts essayaient de s’introduire pour ouvrir le passage. Inutile de vous dire qu’il ne fallait pas espérer de leur part quelque lubrification qu’il soit. Un vulgaire filet de salive fera l’affaire.

Le premier sexe s’appuya sur mon petit orifice et poussa de manière brutal pour s’y insérer.

« Bon dieu les gars, regardez çà comment on y accède du premier coup dans cette putain. Oh ma salope ! » et il me lima comme jamais on avait pu me limer. A chaque coup de reins mes genoux glissaient toujours un peu plus sur le sol.

« Montre voir » un deuxième investit la place
« La vache t’as raison. Mais on y est bien. » il gifla mes cuisses tandis qu’un autre essayait de tenir mon fessier le plus écarté possible.
« Attends vas y laisse moi. C’est mon tour. »

Ils se succédèrent ainsi sur moi pendant un temps qui semblait interminable. Quand un émit l’idée de me prendre vaginalement mais les autres ne semblaient si près à me lâcher le petit orifice.

On m’invita donc à me mettre à califourchon sur celui qui voulait me prendre de manière plus conventionnelle pendant que les autres continueraient à se succéder par derrière. Ainsi en sandwich, quand ma bouche n’était pas investit elle aussi par une verge, j’étais prise de tous les bords.

Certains tiraient sur mes cheveux, d’autres me giflaient les fesses, d’autres me biflaient le visage, bref tout leur était due et surtout permis.

Ils marquèrent une pause et dans un brouhaha de paroles je ne saisi pas très bien ce qu’ils attendaient de moi.

Un autre homme s’allongea sur le sol et une nouvelle fois je du m’empaler sur sa verge à la différence cette fois si, c’est que j’étais dos à lui. Les hommes m’allongèrent sur le lui et s’assurèrent que je gardai bien les cuisses ouvertes. Un deuxième homme s’allongea sur moi et son sexe glissant sur celui de son compère il vint à son tour me pénétrer vaginalement.
Ce n’était pas la première fois que je me faisais pénétrer ainsi, mais je dois l’avouer que cela datait un peu. La sensation de se sentir ainsi ouverte ne m’était plus familière. Même si les débuts étaient difficiles je dois l’admettre que j’y trouvais tout de même un certain plaisir.

Enfin le temps du soulagement arriva. Toujours tirée par la laisse, ils me firent à nouveau me mettre à genoux. J’imagine au milieu d’eux.

Les premiers râles masculins bourdonnaient à mes oreilles. Le premier qui gicla venait de droite et m’aspergea le visage : des cheveux jusqu’au menton. Un second arriva presque aussitôt qui essayait de viser au plus au juste ma bouche. Son foutre était épais et le goût fort m’empêchait de l’avaler. Mais je dus m’y soumettre quand il força ma bouche de son sexe à demi ramolli pour bien venir me le faire nettoyer.

Le troisième comme son prédécesseur en voulait à ma bouche et m’inonda les lèvres de son liquide chaud. Pendant que ce temps là un autre se vidait sur mes seins.

Le quatrième mit plus de temps à venir mais cela en valait la peine vu la quantité qui en sortie de son sexe. Jamais je n’avais senti autant de sperme couler sur moi. Etait ce le fait d’être plongée dans le noir, j’en sais rien mais une chose est sure j’en étais recouverte. Et lui aussi il vint se faire nettoyer pour finir dans ma bouche.

Le dernier qui avait su se faire attendre, s’engouffra au fond de ma bouche et m’explosa de l’intérieur. Son foutre était immonde et j’ai faillit à plusieurs reprises rendre tellement le gout était fort, son sexe était odorant et en plus sa quantité importante. Par saccade j’arrivai à faire couler le long de mes lèvres une quantité m’économisant ainsi à en avaler moins, mais cela restait tout de même difficile. Ceci me valut une grosse bifle de sa part.

« Allez étale moi tout se foutre là. »

Avec mes mains, je tapissais mon corps de tout le sperme qu’il avait pu récolter. Mes seins en étaient littéralement enduits. Sur mes joues de longues coulées descendaient.

Mes cheveux étaient collants et je sentais fort la jouissance masculine. J’en étais presque à me dégouter.

La chaine se tira à nouveau pour me faire me balader dans la pièce à nouveau. Je ne sentais plus mes genoux. La chaine changea de Maitre et on me fit remonter par où j’étais arrivée. Ce n’est qu’arrivée en haut qu’on me retira le bandeau des yeux où il n’y avait que Marc, moi, Frédéric et l’homme qui nous avait accueillit.

« Bon mon cher Marc tu n’avais pas menti. Tes collaboratrices sont de qualité à la hauteur de la réputation de ton sens des affaires. C’est donc entendu, passe demain à mon bureau je te signerai ces promesses d’actes. Bonne soirée. »

Entièrement nue et recouverte de sperme d’inconnus je quittai cette demeure pour rentrer dans la voiture de mon patron. Qui ne cessait de ma féliciter sur la qualité de mon service rendu.

Frédéric était plus dans un état de jalousie complète, il ne décrocha aucun mot de la soirée.
par manukib56
#1723253
L’arbre de Noël de l’entreprise.

Vendredi 19 décembre 2014

Comme notre année 2014 était très bonne en chiffre d’affaires et les perspectives de 2015 s’annonçaient être aussi très fructueuses Marc voulait marquer le coup en organisant pour la première fois un arbre de Noël entreprise. Il convia donc toute l’équipe : Emilie, Camille, Maxime, moi, et Frédéric. Étant la seule à avoir un conjoint.

Camille fit expressément le déplacement pour cette occasion. Elle quittait la douceur Bordelaise pour la fraicheur bretonne. Mais elle avait prévu de quoi nous réchauffer les cœurs, elle était venue avec des caisses de vin en cadeau, des très grands crus de la région Bordelaise.

Marc avait géré le champagne.

Il nous amena diner dans un petit restaurant de Vannes où nous avions nos habitudes. Jean Pierre était naturellement convié ainsi que Maxime et Frédéric.

Chacun était habillé sur son trente et un, et aussi classe les uns et les autres nous avions plaisir à nous regarder.

Nous faisions bonne figure tout au long du repas et l’ambiance conviviale était de la partie. Marc nous contait des petites anecdotes de ses premières expériences professionnelles et quelques cas rares de clients. Les fous rires et la bonne humeur allaient de bon train.


Après avoir délicieusement dîné, je proposai une fois n’est pas coutume de les inviter chez moi pour la dégustation œnologique des crus Bordelais de ma consœur du sud Ouest.

Nous arrivâmes donc tous les sept chez moi. Habitant non loin du cœur médiéval de Vannes, nous ne nous sommes pas risqués à prendre nos véhicules. Une petite marche dans la fraicheur allait nous redonner du baume au cœur.


Ce petit bain de frais nous avait redonné à chacun des couleurs et avait attisé notre excitation.
Je fis visiter aux nouveaux arrivants les différentes pièces de mon appartement de standing.

Mais nous n’étions pas ici pour l’immobilier, nous investissions donc le grand salon et Émilie se chargea de nous apporter de quoi nous abreuver. Elle avait prit soin en disparaissant dans la cuisine d’ôter tous ses vêtements pour se mettre en conformité avec les règles de la maison ?

Nous commencions notre dégustation de vins rouge, à la base je ne suis pas une grande fane de ce type de vin mais pour le coup et avec les bonnes explications j’ai pu apprendre en toute modestie à apprécier ce spiritueux.

Nos discussions s’entremêlaient entre les odeurs de tanins et les avis controversé sur quelle cuvée était la meilleure etc …
Les choses prenaient une allure toute différente au fil des verres. Je me lovais du plus en plus sur Frédéric et son sexe devenait une véritable obsession. Mais l’envie de le voir à nouveau me jalouser m’excitait encore plus. C’est donc vers Maxime que mes caresses s’orientèrent. Il n’eut pas fallut plus pour mettre mal à l’aise mon compagnon, et mon stagiaire par la même occasion qui n’arrivait toujours pas à s’y faire à ma façon de l’entreprendre.

Camille se tourna vers Jean Pierre et Émilie gravit les échelons en s’approchant de Marc.

Je déshabillai Maxime et m’occupa de sa verge instantanément. Elle était raide depuis un moment. Toutes les trois nous étions occupées à prendre en bouche nos hommes respectifs tandis que le mien une nouvelle fois était spectateur. A mon grand regret Maxime ne fut pas très endurant et m’explosa en quelques minutes dans la bouche. Pour ne pas tacher mes habits je pris bien soin de l’avaler entièrement pour ne voir son liquide tacher mes tissus.

Voyant le stagiaire en berne, cela réveilla chez Marc une idée de jeu.

« Dites les filles nous allons faire un petit concours. Déshabillez vous ! » Il saisit sur la table trois bouteilles vides et ôta la partie aluminium de chaque goulot. Camille nous expliquer plus tard que cette partie qui habille le goulot s’appelle la « coiffe ». Il alla les déposer sur le sol suffisamment espacé.

« Allez, approchez vous » Toutes les trois entièrement nues nous nous dirigeâmes vers lui sans trop savoir ce qu’il avait encore derrière la tête. Camille alla se positionner devant le Lafite, Emilie eu droit à la cuvée Margaux, et moi douce comme un agneau alla me mettre devant mon Mouton Rothschild. Le hasard fit bien les choses c’était sans doute celui que j’avais apprécié le plus.

« Allez préparez vous et montrez nous celle qui aura le plus d’ambition. » Jusqu’à maintenant j’excluais cette idée en me disant que ce n’était pas possible. Et je me suis souvenue de la fois où il avait baisé Audrey à coup de bouteille de champagne. Cette fois ci c’était à nous de nous mettre en scène avec ces spiritueux.

Toutes les trois écartions légèrement les cuisses pour accéder à notre petit bouton. Devant l’assemblée masculine nous nous masturbions afin de nous préparer au mieux à cette intrusion.

Aussi étrange que cela puisse paraître j’en étais amusée du jeu et prenait le défis à cœur. Cela m’aidait grandement dans mon excitation. Mon doigt caressait mon clitoris de manière très intense pour bien ressentir le plaisir. Je n’y manquais pas non plus à glisser quelques doigts dans mon sexe pour sentir ma jouissance.

Les quatre hommes nous regardaient avec intérêt et se livrèrent à quelques paris.

Nous étions toutes les trois fins prêtes et suffisamment excitées pour venir s’empaler sur ces bouteilles. Je ne cessais de porter le regard sur ce goulot et l’envie de m’y accroupir dessus se faisait sentir au plus profond de moi. Marc nous donna le signal. Je m’avançai d’un pas pour me poster juste au dessus. J’écartai mes jambes suffisamment pour ouvrir au mieux mon entrecuisse et ainsi permettre une meilleure intrusion. J’entamai la descente. Arrivée presque au niveau du goulot, je saisis la bouteille de la main gauche pour assurer une bonne assise de ce sextoy et avec la main droite j’écartai très légèrement mes lèvres pour faciliter les premiers centimètres.

Je viens enfin me positionner sur le verre et lentement commence à m’empaler dessus. La matière était froide et contrastait avec la température de mon sexe. Ma cyprine coulait abondamment sur le goulot et la partie la plus étroite s’inséra aisément.

Je marquai une pause pour voir où en était mes copines. Camille était arrivée au même stade que moi et me donna un sourire.

« Ca va toi ? »
« Oui ca va. Mais la suite va être rude ! »
« Pas pour tout le monde on dirait »

Émilie était déjà passée à l’étape supérieure et la bouteille la pénétrait maintenant au deux tiers. Elle était totalement accroupie dessus sans même s’assurer de ses mains qui elles étaient occupées à se caresser sa toute petite poitrine.

J’optai pour la même position et relâcha mes deux mains que je posai sur mes seins et entrepris une descente plus énergique. Je sentais au fil des centimètres mon sexe s’écarteler pour épouser la forme de la bouteille. Le goulot doit faire dans les dix centimètres de circonférence tandis que la bouteille en elle même doit osciller dans les trente.

Je pense n’avoir jamais été aussi élargie, la douleur se mêlait au plaisir. Camille semblait rencontrer plus de difficultés à cette intrusion. Mais dans le même mimétisme que nous deux, elle se caressait les seins et de temps à autre le clitoris pour toujours essayer de grappiller quelques centimètres.

Nous étions maintenant toutes les trois empalées sur nos bouteilles respectives, quand Marc et Jean Pierre viennent vers nous pour nous faire sucer leur sexe.

« Reste pas planté là Maxime, vient donc avec nous. Va te présenter à Camille. »

Pour le coup c’est Marc qui vint à moi et m’offrit son sexe à sucer. Devant cette attention, je me devais d’être irréprochable. C’est donc tout entier que je le pris au plus profond de ma gorge. Ses assauts entre mes lèvres me déstabilisaient sur mes jambes. Toujours accroupie sur la bouteille, je commençais dangereusement à perdre l’équilibre. Je ne sais pas ce qui pourrait m’arriver si mes jambes ne pouvaient plus me retenir. Pour ne pas que je m’enfonce, il agrippa mes cheveux et à la manière d’un pantin me tenait en lévitation aux deux tiers de la bouteille.

Son autre main saisit son sexe et il s’amusait à plaquer son gland contre l’intérieur de ma joue.

Quand son sexe venait taper ma glotte, il profitait d’avoir la main libre pour venir malaxer mon petit téton, qu’il tirait énergiquement.

Ses coups au fond de mon palet étaient tellement fort qu’il me manquait des fois de tout rendre. Des larmes coulaient le long de mon visage et cela semblait renfoncer son désir.

« Allez vient de foutre à quatre pattes. Je vais te baiser le cul, ta chatte n’a plus aucun intérêt maintenant. Regarde comment tu es écartelée ! Un vrai garage à bites ! »

Soulagée de pouvoir enfin poser les genoux au sol, j’eu à peine le temps d’y poser les mains, qu’il était déjà en train de se frayer un chemin dans ma petite intimité. Ses testicules venaient en contact avec le cul de la bouteille qui sortait de mon vagin. A l’aide de sa main il s’essayait de le pousser encore plus au fond pendant que son sexe investissait ma petite auréole.

Bien éduquée à la sodomie maintenant, cela m’était devenu plus facile d’être ainsi pénétrée. Non pas que cela ne faisait plus rien, mais j’avais surtout appris à ne plus me contracter et accepter ce corps étranger s’introduire en moi.

Frédéric était en train d’assister à la scène ne pouvant toujours pas assister. Il était partagé par l’envie d’y participer et la frustration de voir un autre que lui disposer ainsi de moi.

Marc me sodomisait avec énergie et quand il eut passé quelques minutes à me pilonner, il décida de passer à autre chose.

« Allez les gars, on tourne. » vint pour moi le tour de Maxime de disposer de mon cul. A la manière de son chef il me pénétra en une seule fois et pour le coup ne prit même pas la peine de savoir si çà allait passer ou non.

Ses mains s’agrippaient à mes hanches et ses couilles vinrent en butée contre moi. Il s’amusait à ressortir son sexe pour aussitôt revenir.

Marc demanda une nouvelle fois à changer et Jean Pierre prit place derrière moi. A la différence des autres son sexe rencontra plus de difficulté. Il faut dire que je n’avais pas été préparé. Seule quelque salive avait fait office de lubrification.

C’est tout naturellement qu’il vint cracher sur mon petit trou béant et essaya une nouvelle fois sa percée anale. Millimètre par millimètre, centimètre par centimètre sa verge imposante s’imposa en moi. Lui aussi me tenait fermement par les hanches de peur que je ne fuis. Ses allers et venus étaient rapides et mon petit 85b ballotait à son rythme.

Toutes les trois à quatre pattes nous étions en train de nous faire sauvagement sodomisées par les trois hommes tandis que mon compagnon n’était que simple spectateur.

L’étreinte des hommes touchait à sa fin et le désir commençait à leur monter.

Nous nous retirions et nous dégagions de nos bouteilles respectives pour venir se mettre en position afin de recevoir notre gelée royale. A genoux, les bras en arrière contre le sol j’offrais à ces trois hommes ma petite poitrine comme point de chute à leur jouissance. C’est Maxime qui honora le premier, son jet n’étais pas précis et oscillait entre mon nombril avec de temps en temps quelques petits jets sur mon menton. Vint ensuite Marc qui s’agenouilla pour bien prendre en considération mes petits seins et s’assurer de les immaculer le plus de son foutre. A la manière d’un pinceau il utilisa son sexe à demi mou pour venir tartiner mon corps de son sperme et de celui de Maxime. Arriva le tour de Jean Pierre, j’avais un pressentiment, sa sodomie avait été sportive ce qui m’avait mis la puce à l’oreille sur le fait qu’il n’avait pas du avoir de rapport sexuel depuis un petit moment.
Quand il commença à gicler sur moi, mes doutes étaient maintenant fondés. La quantité était importante. Et son sexe semblait n’avoir jamais terminé de déverser ce précieux liquide. Les premiers jets fussent d’abord liquides pour ensuite devenir plus pâteux.

Camille, s’amusait à étaler toute cette jouissance sur mon corps tandis qu’Emilie jouait de sa langue sur mes petits tétons et tentaient de les nettoyer au mieux.

Nous restâmes ainsi de longues minutes pendant que ces messieurs se rhabillaient et se servaient un autre verre.

Mes convives prirent congés de mon appartement même pas une heure après cette effusion de sperme. Nous étions maintenant plus que trois à l’appartement : Frédéric, Émilie et moi-même.

Émilie s’excusa et nous quitta pour prendre une douche et se coucher. Tous les deux dans le salon, je comptais bien profiter de cet instant.

J’étais encore entièrement nue et toujours collante du cadeau des messieurs.

« Tiens viens me baiser maintenant. Tu l’as bien mérité. Tu as vu comment ils m’en ont mis ! »

En missionnaire et vint s’allonger sur moi et vaginalement il me pénétra. Malheureusement pour lui j’étais encore dilaté de mon Rothschild et sa sensation devait être très réduite. Toujours est il son excitation était là, et il ne lui fallut pas plus de cinq minutes pour exploser en moi dans un râle très masculin.
par manukib56
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Baisée malgré moi

Mercredi 07 janvier 2015

Avant de commencer ce récit pour vous conter mes aventures, je voulais vous souhaiter à tous et toutes une bonne et heureuse année 2015 à vous, vos familles et vos proches. Que vous projets les plus fous se concrétisent.

Je n’avais pas revu Marc depuis cet arbre de Noël, un message le nouvel an pour me souhaiter la bonne année et rien de plus.

Ce mercredi était particulier, les rues de Vannes étaient très calmes et l’effervescence des fêtes de fin d’année était maintenant terminé chacun était retourné dans sa vie professionnelle et quotidienne.

J’arrivai ce matin à l’agence assez tôt. Mes deux semaines de congés avaient été bénéfiques mais de nombreux mails s’étaient accumulés que je devais traiter rapidement. J’adorai ces mercredis où l’agence était fermée, cela me permettait d’avancer considérablement dans toute ma partie administrative. Mais ce jour avait un petit gout amer : Maxime était en cours pour sa formation en alternance et Emilie m’avait demandé sa journée en abordant une raison personnelle.

Bref, j’étais aujourd’hui assignée à être toute seule dans l’agence.

J’ouvris la porte d’entrée, sombres et silencieux les locaux ne faisaient paraître âme qui vive.

Sans allumer la lumière je me dirigeai vers la salle de pause pour y déposer mes affaires et alla aussitôt à mon bureau.

Le temps d’allumer mon ordinateur, je retournai dans la salle pour me servir un café.

Le calme étant ambiant mais très lourd. J’aimais travailler au contact des gens, voir Maxime débarquer dans mon bureau pour me poser dix milliards de questions. Entendre Émilie au téléphone etc … Le brouhaha du travail me motive.

Casse la tienne ce jour là j’avais une montagne de travail, et je n’avais pas de quoi chômer.

Je m’installai à mon bureau et commença à répondre aux différentes sollicitations de mes clients. Plongée dans la vague submergeant des courriers électroniques j’avais fait totale abstraction du temps.

Quand soudain, j’entendu au niveau de la porte d’entrée un petit bruit. Je ne réagis pas tout de suite. Un bref regard en bas à droite de mon écran et m’aperçois qu’il était déjà 10h30, cela faisait plus de deux heures que j’étais au travail.

La porte claqua ! Quelqu’un était entré dans l’agence. Cela ne pouvait être Maxime, il était en cours et Emilie était sur Nantes (si ma mémoire est bonne).

J’essayais de me souvenir si j’avais bien fermé derrière moi la porte. Un doute subsiste. Non, impossible je n’avais pas pu oublier. Étant mercredi, la coutume de travailler nue m’imposait un réflexe de toujours fermer à clé derrière moi.

Je ne pouvais sortir ainsi de mon bureau, tous les habits étant dans la salle de pause. N’ayant rien allumée dans l’agence, seule ma lampe de bureau éclairait ces murs, je n’arrivai à distinguer qui s’était introduit.

Hasard du calendrier, cette intrusion intrigante survenait au même moment ou Charlie Hebdo était attaqué par deux forçats.

Je suivais en parallèle de mon travail, l’actualité sur BFMTV depuis mon deuxième écran de l’ordinateur. Tous les pires scénarii catastrophes viennent s’entre choquer dans ma tête.

J’en étais tétanisée. Impossible de faire quoi que ce soit, ni même de crier. Pour quoi faire crier, je savais que j’étais seule dans ces locaux.

Des pas se rapprochaient de ma porte, lentement mais très déterminés. Ma poignée s’abaissa et la porte s’entrouvrit.

Un premier pied passa le seuil et soulagement total quand je vis que c’était Marc.

J’allais me lever pour l’accueillir, quand il surgit sur moi sans mots dire. Il m’appuya sur mon épaule pour me faire rester assise.

Il flanqua plusieurs dossiers de mon bureau par terre, crayons, biblo etc .. Il fît de la place.

Il saisit par le bras et me monta sur le bureau. Son mutisme me faisait peur.

Entièrement nue allongée sur mon bureau, il m’avança jusqu’à mettre mon bassin juste au bord de la table. Il releva mes jambes tout en les écartant bien pour s’y glisser entre. J’étais prise au piège et incapable de résister. Il déboutonna son pantalon et dégrafa sa ceinture. Son sexe était en érection.

Sans aucun échange, il me pénétra vaginalement. Ses mains agrippaient mes cuisses. Comme il était venu, il me baisa lentement et sans brutalité. J’entendais son souffle. Son sexe se retirait de temps à autre, mais il n’attendait pas pour me repénétrer. Ses testicules venaient en contact avec mon entre cuisse.

Son visage se crispa et un râle de plaisir sorti de sa bouche. Je crois bien que c’était la première fois que je l’entendis jouir.

Je sentais au fond de moi qu’il était en train de se propager, son foutre chaud inondait mon bas ventre. Tout d’abord de longs jets qui donnèrent place ensuite à un filet plus intense. Il me remplissait littéralement d’une quantité importante de sperme.

Il resta toujours en moi, et se pencha vers mon visage pour venir m’embrasser. Sa main droite caressait mon sein pendant ce baiser. Nos langues s’entre mêlèrent et os lèvres étaient collées, un vrai baiser d’adolescent mêlant maladresse et tendresse. Je ne comprenais pas trop ce qui était en train de se passer ?
Il se redressa enfin tout en remontant son pantalon. Dans sa poche il sorti son téléphone portable et photographia mon entre cuisse d’où son sperme coulait de mon sexe.

A peine la photo prise, qu’il l’envoya à Frédéric :

« Plus qu’un garage à bites ! Un réservoir à foutre ! » Le texte pour illustrer sa photo.

Il remit sa main à la poche et sorti trois billets de 50 €.

« Tiens, pour service rendu ! »

Il fit demi tour et reparti comme il était venu. Avant de claquer la porte derrière lui, il m’adressa :

« Une vraie bonne petite pute ! »

Je n’avais pas bougé du bureau, j’étais toujours dans la position où il m’avait laissé. Il me fallut plusieurs minutes pour reprendre mes esprits tout en essayant de comprendre ce qui venait de se passer.

Son sperme coulait toujours le long de mes cuisses et de mes jambes, c’est cette sensation pas très agréable qui me fît reprendre contact à la réalité.

Je me levai et alla me rincer en salle de pause avant de retourner au travail comme si de rien n’était.
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