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par manukib56
#1944736
(…)

« Votre histoire aussi étrange que cela puisse être ne m’étonne en rien. Il a un pouvoir sur les femmes qu’il est difficile de résister. Et que s’est-il passé après ? »

« Je ne l’ai pas revu pendant quelques mois. Mais un jour j’ai reçu un mail sur ma messagerie avec un lien. Quand j’ai cliqué sur le lien je suis tombée sur une vidéo où l’on pouvait m’apercevoir entre ses jambes en train de le sucer. La vidéo n’était pas de bonne qualité mais n’importe quel proche de mon entourage pouvait me reconnaitre aisément sur cette vidéo.

C’est à ce moment-là que je me suis souvenu qu’avant de se lever de son bureau il avait cliqué sur son ordinateur. J’ai compris maintenant qu’il allumait sa webcam et qu’en m’amenant à sa chaise de bureau, nous serions dans les champs de caméra.

Nous étions en arrêté comptable et en fin d’année civile, pour cela je dois réactualiser tous les certificats pour la nouvelle année. Je devais donc faire établir des nouveaux pour nos contrats d’assurances, surtout la décennale qui est primordiale dans nos métiers.

Je lui adressai un mail lui demandant de m’envoyer mes attestations d’assurances. Sa réponse ne tarda pas.

« Elles sont prêtes vous pouvez passer à l’agence mercredi »

Je savais au fond de moi que c’était un nouveau guet-apens mais elles étaient importantes et avec la vidéo il pouvait me soudoyer comme il voulait. Je n’avais d’autres choix que de m’y rendre.
J’arrivai devant l’agence mais elle était fermée au public. Je frappai timidement à la porte en espérant fortement qu’elle soit vide. Malheureusement non, il ouvrit la porte.

« Ma chère, je vous en prie entrez. Vous quitterai bien votre manteau ? »
« Oh merci mais je ne resterai pas longtemps. Je passais simplement prendre les attestations. »
« Venez-vous poser quelques instants. Avez-vous bien reçu ma petite vidéo souvenir ? Je trouve ça toujours agréable d’immortaliser des moments aussi importants n’est-ce pas ? »

Je ne savais quoi répondre.

« L’avez-vous partagée avec votre mari ? »
« Je vous en prie, il ne doit rien savoir ! S’il vous plait ! »
« Cela dépend de vous ! Il faudra vous montrer plus coopérative »
« Mais que voulez-vous au juste ? »
« Rien de bien désagréable. Si ce n’est réveiller en vous la femme que vous êtes vraiment. »
« Que voulez dire ? »
« Vous êtes un vraie salope mais vous ne le savez pas encore. Je suis sûr que pendant que vous me suciez votre chatte était trempée. N’est-ce pas vrai ? »

Je n’osai répondre quoi que ce soit.

« Nous allons maintenant passer à l’étape supérieur. Retirez-moi tous ces habits. Je veux vous voir à poil. Maintenant que vous savez sucer, je vais vous apprendre à baiser ! »
« Vous ne pouvez rien m’obliger »
« Non bien sûr, mais je peux simplement transférer la vidéo à votre mari. Et dans l’extrait que je vous ai envoyé vous ne semblez pas si contrainte que çà. Allez fous toi à poil et vite ! »

J’étais dans une impasse, je ne pouvais plus faire demi-tour et je le savais capable de tout dévoiler à mon mari pouvant mettre en péril mon couple et ma famille. Honteusement je quittai mes vêtements un à un pour me retrouver totalement nue devant cette crapule.

« Regardez-moi çà ces seins biens lourds ! Et ces tétons qui ne demandent qu’à être redressés »

Avec ses deux mains il vint les pincer fortement. Il les tournait dans tous les sens pour les faire pointer.

« Et cette chatte mais bordel quelle touffe ! L’épilation tu connais ? »

Sa main venait fouiller ma toison et son index cherchait l’entrée de mon sexe.

« Ma parole tu caches bien ton jeu petite salope, regardes comme tu dégoulines ! Une vraie fontaine ! Ca t’excite de te retrouver ainsi à poil devant un étranger. Ton mari ne doit pas te troncher souvent hein ? »

Là il n’avait pas tort cela faisait plusieurs moi que Bertrand et moi n’avions pas eu de moments intimes. Le travail et le stress avait totalement pris le dessus sur notre libido. Et n’arrivant pas à me contrôler je mouillais devant ce type.

Il ouvrit son pantalon le retira complètement et son caleçon avec.

« Allez viens me sucer. Montres-moi comment tu as retenu la leçon. »

Docilement je viens m’agenouiller devant lui et entrepris une fellation comme selon ses désirs.
« Mmmmh c’est mieux ! Voilà comme j’aime ! »

Mes apnées étaient maintenant plus longues et je toussotais beaucoup moins quand il enfonçait son sexe. Des fois il sortait sa verge et venait me gifler avec.

« Allez, maintenant je vais te baiser. Tu vas voir ce que c’est d’être baisée comme une vraie chienne. Fous toi à quatre pattes, des salopes comme çà on les baises à même le sol »

Il ramassa son pantalon et extirpa un préservatif, le temps que je me mette à quatre pattes il s’était déjà manchonnée du capuchon plastique.

« Cambre toi bien, montre-moi ta croupe ! »

Il avait une vue imprenable dans sur mon entrecuisses, il était maintenant au-dessus de moi. Ses doigts venaient se frayer une ouverture, il allait me pénétrer quand soudain il s’arrêta net à l’entrée de mon sexe.

« Dis moi Maman, est ce que ton mari t’a déjà prise par derrière ? »
« Oh non s’il vous plais je vous en prie. Faites tout de moi mais pas çà. »
« C’est bien ce qui me semblait, j’ai à faire à une vierge du cul. Ma pauvre comment peux-tu vivre sans connaitre la sensation d’avoir une bonne bite dans ton cul ?
« Je vous en prie !!! »
« Oh oui tu fais bien de te faire prier. » Son index vint se poser sur mon petit orifice. Il força le chemin et s’essaya à une première intrusion.
« Mon dieu que c’est serré tout çà. » Ses crachas viennent éclabousser mon encablure et avec son doigt amena le liquide sur ma rondelle. Il venait de temps à autre prendre de la mouille de mon sexe pour tapisser l’orifice.
« Allez Maman, grand moment pour toi. Je vais te sodomiser. »

Il s’agenouilla derrière moi, glissa son sexe de mon sexe à mon petit trou en essayant de récolter le maximum de mouille avant la plongée dans le grand noir. Il commença à appuyer doucement, il maintenant la pression constante.

« Ne lutte pas ! Laisse toi baiser. Tu peux crier t’inquiète nous sommes seuls. Allez savoure ma bite, viens t’empaler »

Les premiers millimètres étaient maintenant passés, mes gémissements et mes supplications ne le ralentissaient en rien.

Ses mains s’agrippaient à mes fesses en essayant de les écarter au mieux pour favoriser le passage.

« Voilà ça y est tu commences à te relâcher, mon gland vient de passer. Encore quelques instants pas très faciles et tu verras après. Ahhhhhhhhhh ça y est ma belle, te voilà enculée bien profond. Tu la sens ma queue en toi. Elle t’écarte bien là. Mmmh comme tu es serrée c’est bon çà. Je crois que je ne vais pas tenir longtemps serré comme çà. Comme je te l’explose ton cul. Tu entends cette succion, tu m’aspires là. »

Il se redressa légèrement, pour quitter la position à genoux, et venir au-dessus de moi accroupie. Cet angle d’attaque lui permettait de venir me pénétrer plus en profondeur. Je sentais son sexe venir taper mon bas ventre. Son rythme était soutenu. Plus mes cris lui résonnaient à ses oreilles plus son rythme s’intensifiait.

« Ah ma salope tu vas me faire jouir » Il se retira, resta au-dessus de moi et retira son préservatif. Il approcha son sexe de mon anus encore ouvert et gicla dedans, dessus à grande quantité de foutre.
« Allez viens me nettoyer comme tu sais bien faire. »

Je me redressai et pris son sexe en bouche pour le nettoyer de son sperme. Pendant que j’étais occupée à le lécher, j’étais en train de prendre conscience que je n’avais jamais été excitée autant.

Cet homme venait de réveiller en moi quelque chose de terrible.
par manukib56
#1945124
(…)

« Et vous avez continuez à le voir après cela ? »

« Oui. Un jour, je reçois une notification de ma banque me disant que le virement que j’effectuais chaque moi pour payer les trêves des assurances ne pouvait aboutir. J’appelle à l’agence pour m’assurer qu’ils n’aient pas changé leurs coordonnées bancaires. Marc me répond que maintenant chaque mois, je devrais moi-même lui porter le chèque. Les rendez-vous été pris.
Ce petit jeu a duré un long moment. Tous les mois, je devais me rendre le dernier mercredi de chaque fin de mois à l’agence pour aller payer ce que je devais.

Après lui avoir déposé le chèque, il me baisait violemment suivant son envie du moment. C’était devenu un rituel. Par contre, jamais il ne me baisait vaginalement, il s’était proclamé propriétaire de mon cul !

Aussi étrange que cela puisse paraître, au fil du temps j’ai commencé à m’émanciper. A accepter ma féminité et mes envies. Je gagnais en assurance et en confiance en moi.

J’attendais ces mercredis avec impatience. J’aimais ce sentiment d’appartenance à un homme. J’osais plus de chose et assumais mes envies sexuelles.

J’avais trouvé mon équilibre, je me faisais baiser sauvagement une fois par mois, et j’avais toute la tendresse que je souhaitais avec mon mari.

Bertrand me trouvait étrange ces derniers temps, j’étais beaucoup plus avenante et beaucoup plus demandeuse sexuellement. J’aimais le sucer longuement avant qu’il puisse me baiser.

Mais un soir, je m’en souviens encore c’était un week-end. Notre grande fille était partie chez une amie et notre dernier chez ma sœur pour le week-end. Nous avions profité de ce petit week-end sans enfants pour nous faire une petite soirée romantique à la maison.

Nous avions commandé un diner chez un traiteur et nous étions mis sur notre trente et un.

La soirée était calme, nous avions débouché une bouteille de champagne comme apéritif et pendant le repas un merveilleux vin rouge comme nous aimons. Nous étions tous les deux un peu épris de l’alcool. L’alcool aidant je sentais monter en moi l’excitation, j’étais devenue câline envers mon mari.

Tous les deux dans le canapé nous commencions à nous lover tendrement. Ma main caressait son entre jambe, je le sentais raidir. Je lui ouvris son pantalon et commença à lui masser le sexe. Comme Marc me l’avait appris, je me glissai entre ses genoux devant lui et commença à le sucer avec toutes les techniques que maintenant je connaissais. Ma salive enveloppait sa verge qui coulissait aisément entre mes lèvres. Chaque va et vient étaient l’occasion de l’enfoncer encore un peu plus au fond de ma gorge.

« Oh mon dieu ma chérie !!!! » Il était en totale extase, jamais je ne l’avais entendu rugir ainsi. Ceci me motivait à continuer.

Ma langue jouait avec son gland, je crachais sur son sexe pour accenteur l’effet de mouille. Ma main le branlait.

« Chérie, arrête s’il te plaît je n’en peux déjà plus. » Je l’enfonce une dernière fois dans ma bouche, il essaye de basculer ma tête en arrière mais je tiens bon. Il ne peut plus se retenir et explose dans ma bouche. J’avale son sperme à chaque jet, je laisse sortir volontairement quelques gouttes pour accentuer l’effet salope sur mon visage. Je le nettoie, il est au septième ciel.

Je continue ma fellation pour le refaire gonfler. C’était une grande première, après seulement quelques minutes de succion, mon mari pu reprendre de la vigueur.
Très vite j’abandonnai mes habits de soirée pour lui dévoiler ma nouvelle lingerie. C’était la première fois que mon mari me voyait en string avec une paire de bas.

« Mais chérie … »
« Quoi ca ne te plait pas ? »
« Oh si terriblement ! »
« Alors qu’attends tu pour venir ? »

Il s’approcha de moi et m’embrassa langoureusement. Sa main caressait mon sein et glissa le long de mon corps pour venir dans mon entre jambes. Il glissa sa main sous le petit tissus de mon string et là surprise !!

« Mais tu es totalement épilée ? »
« Tu n’aimes pas ? »
« Heu si bien sur ! Mais tu me surprends c’est tout. »
« Non c’est à toi de me surprendre. Viens me gouter maintenant. » Je m’allonge sur le canapé et lui offrit ma croupe à lécher. Il me fît un cunnilingus comme jamais il m’en avait fait. Je compris que mon excitation avait des répercutions sur la sienne. Nous étions en extase.
Il me pénétra, son rythme et pour une fois soutenue.

« J’en ai marre que tu me baises comme une bonne mère de famille. Allez vas-y bouscule moi ! »
Je m’échappai du canapé pour venir sur le tapis du salon me mettre à quatre pattes.
« Viens me prendre par derrière, je veux te sentir. Arrêtes avec les retenues, baises moi ! »
Il m’agrippa par les hanches et s’introduisit à la manière d’un mâle en rut.

« Ohhh oui comme çà fais-moi jouir »
« Ohhh chérie qu’est-ce que tu m’excites. Je crois que je vais jouir »
« Non pas avant ne m’avoir sodomisé. Je veux te sentir dans mon cul »
« Comment ? Mais je croyais que tu ne voulais pas »
« Arrêtes de parler et encule moi. »

Il s’y prenait comme un manche, c’était pour lui sa première sodomie. Je mouillai quelques doigts et moi-même dû me préparer à le recevoir. Me sentant suffisamment dilaté j’écartai mes fesses et l’invita à me pénétrer.

Son sexe se posa contre ma petite rondelle et il vint appuyer doucement. Son sexe s’enfonça comme par enchantement. Il n’osait bouger. C’est donc moi par des coups de reins et hanches qui venai me culbuter contre sa bite.

« Ohhhh c’est serré, c’est trop bon. »

Il ne lui fallut pas plus d’une minute pour venir m’inonder de son foutre. Mon cul en était rempli. Quand il eut repris ses esprits, je le suçai doucement pour le nettoyer de tout son foutre.
Il m’apposa un baiser doux et câlin sur le front.

« Je t’aime »

A la suite de cette soirée, nous avons beaucoup discuté. Bertrand avait besoin d’être rassuré sur ce changement radical. Il voulait comprendre. Ne pouvant rien lui cacher je lui ai avoué tout en lui relatant tous les moindres détails.

Au début il s’est trouvé trahi et a eu beaucoup de mal à l’accepter. Je lui ai promis de ne plus retourner.

Mais au bout de quelques semaines, notre libido était à nouveau revenue quasi inexistante et les rares fois où nous faisions l’amour, le classique avait repris sa place. Nous n’étions plus autant épanouis que cette fameuse soirée.

Nous en avons longuement discuté, et il fallait se l’avouer nous y avions trouvé notre équilibre. Bertrand arrivait même à être excité par l’idée qu’un autre homme pouvait profiter de moi sans aucune limite.

Et c’est depuis çà, que nous avons commencé se partage. Bertrand me laissait aller chez Marc et je lui revenais plus excitée que jamais.

Mon éducation était donc commencée.
par manukib56
#1945783
La fin de la séance venait de sonner. Notre masseurs sont venus nous rechercher pour nous retirer notre couverture chauffante et nous enduire d’un lait soin du corps.

Après ces derniers moments de tendresse il était temps pour nous de rejoindre nos conjoints réciproques.

Jean Pierre m’attendait dans le petit salon de l’hôtel tandis que Bertrand était parti faire un tour dehors sur le bord de mer pour s’aérer.

« Ca va ma chérie, comment c’est passé la séance ? »
« Relaxant à souhait ! Merci mon amour. Ton ami Céline a été d’une agréable compagnie. Nous avons beaucoup discuté. »
« Tu ne m’en veux pas de t’avoir mis sur le fait accompli ? »
« Non, t’inquiète. »
« Je suis content. Ne te sens jugée et forcée de rien surtout. Je veux juste que tu puisses échanger avec eux de leur expérience. »
« T’inquiète » je l’embrassa tendrement.

Bertrand rentra de sa balade.

« Ah vous voilà ! Alors cette séance massage ? Céline est montée dans la chambre ? »
« Magnifique, oui elle est montée s’assoupir un instant. »
« Dites, nous avons réservé le sauna pour dans trente minutes. Si vous le souhaitez, vous êtes les bienvenus. »

Je regarde Jean Pierre qui attendait un retour de ma part.

« Oui avec grand plaisir ! Merci à toute l’heure donc. »

Après mettre désaltéré au bar, d’un thé senteur cannelle. Il était maintenant l’heure de rejoindre notre couple d’amis.

Nous arrivons dans l’espace privé du Spa et des peignoirs étaient déjà accrochés aux portes manteaux. J’ouvris la porte du Sauna, et entra dedans suivi de Jean Pierre. Je n’avais pas cas tout de suite mais Bertrand et Céline étaient totalement nus.

J’étais un peu décontenancée par ce fait accompli. Je m’installai. Céline était allongée sur la paillasse du bas tandis que Bertrand était sur l’estrade du haut adossé au mur.
Jean Pierre retira son maillot pour adopter la tenue d’Adam. Seule encore en maillot de bain, je devenais un peu la brebis galeuse du troupeau. Je défie le nœud du haut de mon maillot et offrit la vision de mes petits seins. Ma culotte glissa le long de mes jambes, nous étions maintenant à égalité.

J’étais un peu gênée, et alla m’assoir sur la première estrade. Je n’arrivais pas à retenir mon regard, il se posait systématiquement sur le corps, ma foie, assez athlétique de Bertrand. Son sexe n’était pas aussi bien membré que celui de mon sexagénaire mais il n’avait pas à en avoir honte. Il avait le torse musclé et viril.

J’avais déjà pu voir Céline, au détail près c’est qu’ici elle était totalement nue. Son sexe était bien entretenu avec le fameux et irremplaçable ticket de métro.

Mon épilation intégrale quant à elle semblait faire le bonheur de Bertrand. Son regard se montrait insistant sur mon corps. Je sentais bien qu’il était en train de m’analyser de bas en haut et sous tous les angles.

Fallait bien me l’avouer cette situation ne me laissait pas insensible, je sentais le vice revenir en moi.

Je préférai m’isoler, je fermai les yeux et essayais de penser à autre chose. Enfermée dans ma bulle, les yeux de Bertrand et Céline posés sur moi, ne cessaient de me hanter et commençaient à sérieusement m’exciter.

L’image de ces deux inconnus totalement nus hantait mes esprits.

Notre séance tourna à sa fin.

« Dites, voulez-vous vous joindre à notre table ce soir ? Nous pourrions faire plus amples connaissances avec vous ma chère Emmanuelle. »
« Avec joie. »
Nous remontions chacun dans nos chambres.
« Comment trouves tu mes amis ? »
« Physiquement ou en général ? »
Jean Pierre en était amusé « En général, quoi que je serai intéressé d’avoir ton avis sur le deuxième cas de figure. »
« Ils sont tous les deux très gentils et surtout très courtois. J’ai beaucoup apprécié passer du temps avec Céline. Et la petite séance Sauna, malgré notre nudité je ne me suis pas sentie obligée de quoi que ce soit. Quant à leur physique, pour des personnes de leur je les trouve très élancé. Ils sont très bien conservés. J’ai remarqué que Bertrand me regardait beaucoup à ce propos. »
« Je ne suis pas étonné. Bertrand a tout aimé les belles et jolies choses. Il m’en aurait été navrant que ta nudité n’ait pas causé d’effet. Et crois-moi pour Céline ce devait être de même. Je voudrai qu’à l’occasion tu les rencontres seules. Je pense qu’ils ont des choses à te faire découvrir. Depuis un petit moment je ne te trouve plus épanouie, tu vis renfermée sur toi-même. Je sais qu’au fond de toi tu as ce besoin d’adrénaline. »
« Pourquoi seule ? Pourquoi pas toi ? »
« Je veux que tu vives ta propre expérience, avec tes propres limites. Et puis on se dit tout … »
« Je ne sais pas. C’est trop tôt pour moi, je suis encore fragile »
par MKL
#1947143
bjr
très heureux de votre retour votre histoire est toujours aussi passionnante.
merci
en attendant de vous lire pour la suite de votre aventure
par manukib56
#1949878
Elle me raconta un autre jour, une autre histoire assez rocambolesque de Marc.

Un jour Bertrand lui demande si ça ne nous dirai pas d’aller à la piscine ce samedi ? Ce genre d’activités n’était pas dans nos habitudes. Je n’étais pas très chaude pour y aller surtout plus un samedi où l’on sait que les bassins sont pris d’assaut avec les familles et qu’un brouhaha de cris d’enfants raisonne en permanence dans l’enceinte du complexe aquatique.

Mais voyant que cela lui tenait à cœur et que pour une fois mon mari voulait faire du sport, peut être une bonne résolution, j’acceptai.

14h nous sommes au guichet de la piscine, les bassins étaient bondés.

Bertrand me guida dans les vestiaires.

« Tiens attendons que celui-ci se libère et nous le prendrons. »
« Mais il y’a pleins d’autres de libres »
« Oui mais celui-là est pour handicapés ou familles, nous serons moins à l’étroit »

La cabine se libère, une petite famille y sortie. Nous prime leur place.

Nous commencions à nous changer, quant au moment où je voulu prendre mon maillot de bain dans le sac.

« Non reste comme çà. Tu es pressée d’aller dans l’eau ? » Il sorti du sac un masque de nuit comme on trouve dans les avions.

« Tiens passes çà sur tes yeux. »

Il étendit une serviette de bain sur le carrelage froid et humide de la piscine, et me fit mettre à quatre pattes.

« Cambre toi bien ma chérie ! » Il me doigta un instant, me lécha le sexe en prenant bien soin de saliver. Je sentis quelque chose de froid couler le long de mon petit orifice. Ses doigts vinrent maintenant s’y glisser. C’était du lubrifiant.

« Mais que fais-tu ? »
« Crois-moi tu en auras besoin. »

Je l’entendis prendre toutes les affaires de la cabine et la quitter. J’étais seule, en levrette dans un vestiaire. J’avais peur.
Quelqu’un s’approche de moi.

« Alors, ma petite pute préférée. Comme çà on se laisse manigancer par son mari ? » Je reconnue la voix, c’était Marc.

« Ecoute moi bien, tu n’es pas toute seule ici. Il y a plein de monde et notamment des enfants. Peu importe ce qui va t’arriver je ne veux pas t’entendre. Ai-je été clair ? »

« Où est Bertrand ? Qu’est-ce que vous voulez de moi ? »

« Tu ne dois pas bouger, ne retire jamais ce masque ! Tu m’entends ? Ne t’inquiète pas ton mari n’est pas très loin. Et crois-moi ce petit l’amuse tout autant que moi. Maintenant fais-moi honneur ! »

Je l’entendis partir. Je suis restée comme çà de longues et interminables minutes. J’étais tétanisée à l’idée que quelqu’un puisse entrer par inadvertance et me découvrir ainsi.

Des pas m’encerclèrent. Le cliquetis de la porte s’abattit. J’étais maintenant isolée avec des gens autour de moi dont je ne connaissais leur identité. Je me laissai à penser qu’il s’agissait de Bertrand et Marc.

Quelqu’un s’agenouille derrière sans rien dire. Même pas une caresse, un toucher, rien, il me pénétra sauvagement. Il ne comptait y passer des heures. Il se dégagea de moi et je sentie son sperme chaud couler le long de ma fente. Il venait de jouir sur mon cul.

Un autre prit le relais. Pendant qu’il me baisait sauvagement, des mains vinrent me traite la poitrine. Mes tétons étaient tirés dans tous les sens. Une bite força le passage dans ma bouche.
Ils étaient au moins trois voire quatre sur moi à ce moment-là. L’individu quitta mon sexe pour venir me sodomiser.

Il se retira. Quelqu’un me souleva pour qu’un autre individu s’allonge sous moi. Il m’empala sur un sexe, et mon cul fut à nouveau investi. Des sexes s’alternaient dans ma bouche. Et de temps en temps de fortes giclées venaient frapper mon visage, ou mes seins, et même ma gorge.
Certains spermes avaient même un gout très âpre mais j’essaye de ne pas montrer le moindre dégout.

Jamais autant je n’aurai été baisée. Les sexes se succédèrent dans ma bouche, mon sexe, mon cul. Mes seins étaient meurtris de toutes les maltraitances possibles. Il n’y avait plus un centimètre carré de moi qui n’était pas recouvert de sperme. Mon visage collait et je sentais le foutre.
J’étais épuisée de toutes ces sollicitations. Je ne ressentais plus rien, mon corps tout entier était endolori.

Ca y est, ils avaient tous déchargés. On me rendait mon corps. La cabine se vida aussi vite qu’elle s’était remplie. J’agonisais allongée essayant de reprendre mon souffle.

Marc et Bertrand étaient dans le vestiaire d’à côté et avaient été les témoins de cette orgie.

Bertrand me retrouva allongée totalement nue dégoulinante de foutre masculin. Une once de pitié pouvait se lire sur son visage mais une grande excitation était visible dans son maillot.

Encore endolori par les secousses bestiales, je m’agenouillai devant lui, baissa son caleçon de bain et le pris en bouche.

Sa main caressait mes cheveux tandis que ma langue parcourait son sexe. Ces aventures aussi particulières qui soient avaient réveillé en nous une véritable soif de sexe.

Quelques instants passèrent et son doux liquide chaud inonda ma bouche. Je l’avalai avec délectation.

Une nouvelle fois Marc avait eu raison de nous …
par manukib56
#1951796
D’autres histoires m’ont été contées depuis.

Une qui m’a marquée.

Marc appela un midi Bertrand.

«Salut Cocu, faut que tu me donnes ta femme ce soir. Je passerai la prendre devant chez toi. Fais en sorte qu’elle soit sur le trottoir à 18h00 pétante habillée comme une pute. » Il raccrocha.

Bertrand avait un peu de mal avec le ton et la hauteur dont le prenait Marc, mais il savait qu’à chaque fois elle lui revenait encore plus excitée. Et depuis le temps, Marc avait en sa possession suffisamment de preuves compromettantes qu’il n’hésitera pas à se servir s’ils n’acceptaient pas ses conditions.

Cette histoire, aura été une des dernières avec Marc.

18h00. Céline est habillée d’une courte jupe noire, d’un chemisier blanc très ouvert sur son décolleté.

Elle avait choisi un ensemble de lingerie rouge dentelle et des portes jarretelles dans la même teinte.

Elle avait froid à l’attendre seule sur le bord de la route, avec la crainte qu’un de ses voisins ne la surprenne ainsi.

Roger, un vieux sexagénaire veuf depuis maintenant près de 5 ans, trouva le moyen de déposer sa poubelle à ce moment-là. Céline s’était toujours méfiée de ce petit homme, pas très causant mais au regard très sournois. Elle se voit encore en train de dire à sa fille de ne pas trop s’approcher de ce monsieur et de garder ses distances. Tout en continuant à le saluer si elle le croisait.
Roger, remarqua Céline et la dévisagea. Il marqua une très longue pose et ne se cachait pas de l’observer avec insistance.

Heureusement la grosse berline noire de Marc s’approcha et se gara à côté d’elle.

« Allez, monte ! Dis-moi tu racoles les petits vieux maintenant ? »
« Non c’est mon voisin Roger, il est un peu bizarre. »
« Mmmh on verra ! »

Marc roula à vive allure et ne parla pas du tout pendant le trajet. Céline n’osait rompre ce silence.
Ils roulèrent pendant un peu plus d’une heure. Ils étaient maintenant arrivés en pleine campagne.

« Au fait rappelles-moi ton âge ? »
« 48 ans ! Pourquoi cette question ? »
« Non rien, ils seront contents »

Ils arrivèrent enfin. La voiture se gara devant une bâtisse désaffectée. A part ces murs qui tenaient on ne sait comment, il n’y avait rien d’autres à un kilomètre à la ronde.

Ils passèrent la porte, la maison était vide depuis des années et était devenu un squatte, à en voir le nombre de cadavres de bouteilles qui jonchaient le sol.

« Attends-moi ici. » Céline se trouvait dans ce qui devait être le salon. Il faisait noir, et l’odeur était nauséabonde.

Marc arriva les bras chargés. Il avait avec lui une couverture et quelques lampes électriques pour donner un peu de visibilité à cet endroit.

« Montons, nous serons plus tranquille en haut. Fais attention l’escalier ne semble pas être en très bon état. »

Ils montèrent à l’étage et entrèrent dans la première chambre. La pièce n’était pas très grande, l’atmosphère était poisseuse et l’odeur d’urine bien présente.
Les murs étaient ornés de Tag. Pleins de débris et cadavres de bouteilles tapissaient le sol.
Marc balaya du pied ces encombrants, sans doute pour matérialiser ce qui allait devenir le ring !
Des bruits de moteur se firent entendre, une petite lueur commençait à se faire apercevoir entre les persiennes moisies de la maison.

« Ce doit être eux »

Ce n’était pas des moteurs de voitures, mais plutôt des scooters. Des voix se firent entendre.

« Montez nous sommes en haut. »

Trois jeunes arrivèrent dans la pièce.

« Vous ne deviez pas être que deux ? »
« Si M’sieur, mais on s’est dit que Bouly pourrait venir avec nous. Vous savez il est encore puceau alors c’était l’occasion. »
« Ok, c’est bon pour cette fois. Bon les jeunots voici votre pute. Je veux que vous vous lâchiez ok ? Faites pas vos timides. Vous qui êtes des grands consommateurs de film pornos et autres je vous que vous la considériez comme la plus grosse des salopes. Je peux vous garantir que dans votre vie vous n’êtes pas prêt d’en croiser une comme çà. »

Un des garçons murmura « Putain elle a l’âge de ma mère »

Les trois individus avaient certainement l’âge de sa fille, 17 – 18 ans. Un était assez grand et très maigre et semblait plus décontracté. Celui du milieu au physique plus banal était plus sur la réserve. Tandis que le fameux Bouly était totalement tétanisé.

« Mais Marc vous n’y pensez pas ceux sont des gamins ! »
« Justement tu vas voir ce que c’est de baiser avec des gamins de l’âge de ta fille ! »
« Non je ne peux pas ! »

Marc se montra plus direct : « A moins que tu préfères que tes enfants reçoivent les vidéos et les photos de sa mère en train de se faire baiser par des inconnus pendant que leur père regarde ? J’ai été clair ? Allez, retire-moi tout çà ! »

Il tendit la couverture à un des jeunes qu’il l’installa par terre, pendant qu’il arrachait le chemisier de Céline et lui défit sa jupe.

« Regardez-moi çà les gamins, elle s’est mis en beauté pour vous. Fous-toi à genoux là ! Ils vont venir te dire bonjour ! »

A genoux dans son déshabillé rouge dentelle, elle n’en menait pas large. Le plus décontracté des trois s’approcha d’elle et vint la peloter.

« Putain, elle est bonne la Cougar ! La paire de seins qu’elle se tape. Viens Raph, allez quoi ! »
Le fameux Raphaël en question, s’approcha de son ami. Une érection était déjà descriptible à travers son pantalon. Sa main vint agripper le deuxième sein.

Tous les deux la pelotèrent ahuris d’être ici dans ce trou pommé en train de ce taper une quinqua.
Le plus grand ouvrit son pantalon et dégagea son sexe.

« Tu aimes les bites de jeunes ? » Résignée et ne voyant d’autre issue, Céline prit en bouche le jeune garçon. Elle le suçait avec réserve. Mais à chacun de ses allers et venues, la verge de l’adolescent se durcissait.

« La vache, putain elle suce du feu de dieu ! » Le jeune garçon se croyait dans un film pornographique et se prenait pour un acteur. Ses gestes étaient encore approximatifs et semblaient reproduire plus des scènes qu’il avait vues que des situations qu’il avait déjà vécues.
Il l’agrippa par les cheveux et la força à la gorge profonde.

« Putain mec mate çà, ma bite s’enfonce totalement dans la bouche. La pute !!!!!!! »

Raphaël était occupé à essayer de lui ôter son soutien-gorge. Encore une fois, les gestes n’étaient pas précis et démontraient bien que lui aussi n’avait pas dû en retirer plusieurs.
Une fois avoir réussi, il lui malaxait les seins avec ardeur.

« Wouahhh, ils sont gros ses seins ! » Sa bouche vint lécher un téton. Sa barbe naissante piquait légèrement la peau douce du mamelon.

Il sorti son sexe aussi et le présenta à Céline. Elle avait maintenant deux verges à s’occuper.

« Je me suis jamais fait sucer de cette manière. Putain Math merci pour le plan ! »

Le grand avait maintenant son prénom. Ils n’étaient plus aussi inconnus que çà essayait-elle de se convaincre. Après tout, ceux sont des jeunes qui n’ont pas l’air si mal élevé que çà. Ils ont juste sauté sur l’occasion de pouvoir se taper une femme mure. Qui à son âge n’aurait pas fantasmé sur cela. Elle arrivait à se donner bonne conscience. Et cette acceptation de la situation se ressentait dans sa fellation. Elle se donnait plus à la tâche. Ca y est l’excitation était en elle, sa soif de sexe était maintenant bien là.

Le Mathieu de la bande, se dégagea d’elle pour aller derrière elle. Il lui écarta la ficelle de son string et commençait à palper son entre-jambes.

Céline se mit d’elle-même à quatre pattes pour offrir un meilleur accès au jeune homme. A peine installée, son string glissa le long de ses cuisses et des doigts venaient fouiller son sexe.
Le compère revint se mettre devant pour continuer à se faire sucer.

« Les garçons vous n’oubliez pas notre deal. Vous la baisez par tous les trous, je n’en ai rien à foutre mais vous mettez des capotes. »

Marc était toujours là pour contrôler la fougue des jeunes majeurs.
Mathieu attrapa à la hâte un préservatif. Il lui fallut un bon moment pour réussir à l’enfiler. Mais aussitôt encapuchonné il pénétra Céline.

« Putain, je la baise. Ooooh la vache elle est bonne. Regarde Raph comme un clébard je la baise ! »
Le partenaire de baise voulait aussi son moment de gloire, et s’encapuchonna à son tour d’un préservatif avant de prendre la place de son copain d’école.

A son tour il la pénétra et s’amusa dans un va et viens infernale. Il prit un peu de hauteur en se redressant sur ses jambes et s’accroupi au-dessus pour la pénétrer de manière plus axiale.
Céline ressentait le sexe du jeune homme venir taper au plus profond elle, ce qui déclencha chez elle une jouissance non dissimulable.

Elle gémissait à chacun de ses assauts. Mathieu s’agenouilla devant elle pour venir à nouveau se faire sucer, il se penchait pour venir prendre en main ses seins pendant. Agrippé aux seins, il s’assurait une bonne prise pour venir s’aider dans la pénétration de la bouche. Il était littéralement en train de lui baiser la bouche.

« Eh mec mate ça je la biffle ! » Il s’amusait à lui donner des gifles avec son sexe et s’engouffrait à nouveau dans sa gorge.

Ces jeunes hommes étaient endurants et ne semblaient pas vouloir la laisser tranquille de sitôt.
Ils alternèrent ainsi entre sa bouche et son sexe, chacun à leur tour. Céline sentait son corps frissonner de désir, ces enfants n’étaient peut-être pas les meilleurs baiseurs qu’elle est rencontrée mais leur endurance la retranchait dans quelque chose de nouveau pour elle.

Le plus grand s’allongea sur la couverture et la fit passer sur lui. C’était elle maintenant qui était accroupie au-dessus de sa verge. Elle s’empala sur le sexe édifié pour elle.

Elle contrôlait maintenant le rythme. Elle basculait son bassin d’avant en arrière et essayait de dessiner des huit pour bien sentir le sexe dans la globalité du sien. Le jeune homme massait les seins de la quinqua pendant cette chevauchée. Raphaël, quant à lui présenta son sexe à sucer.

« Hey Math, tu penses à ce que je pense ? »
« Yes, carrément je pense qu’il y a moyen ! »

Raphaël passa derrière Céline et appuya sur son dos pour la faire se courber. Le sexe de son ami continuait à la limer.

« Arrête de bouger mec ! Je ne vais jamais réussir sinon. » Il posa son sexe à l’extrémité de celui de son ami et le fît remonter lentement pour arriver à l’entrée de la femme.

Il força légèrement pour rentrer son sexe. C’était leur première double. Une fois les deux biens lotis en elle, chacun y allait de bon cœur pour la secouer le plus possible. Céline ressentait chacun de leur mouvement et n’était pas loin de l’extase. Ces gamins n’étaient quand même pas si mal.
Elle criait de jouissance, allant même jusqu’à s’adresser à Marc.

« Ils vont me faire jouir ces petits morveux ! »
« C’est bien, il t’aura fallu du temps mais tu vois bien qu’au final tu n’es qu’une petite salope. N’est-ce pas ? »
« Oh oui je suis une petite salope. »

Il sorti son iphone de la poche et photographia Céline prise en double pénétration par ces deux gamins.

« Il va faire une drôle de tête ton mari quand il va voir sa femme se faire troncher de la sorte par deux branleurs. »

« Il n’avait qu’à savoir mieux me baiser. Aaahhhhhh Ils me font du bien ces bébé. Allez les garçons, continuez ! Vous allez me faire jouir. »

Motivés par les sollicitations de Céline, les deux adolescents se sentaient pousser des ailes et augmentaient chacun à leur tour leurs poussées dans son sexe.

« Dis-moi ma petite salope pourquoi ne demanderais tu pas à un de ces jeunes de te prendre par le cul. Tu aimes çà pourtant. Hein ? N’as-tu pas envie qu’il te défonce par derrière ? »
Ah cela les deux garçons arrêtèrent net leur étreinte. Ils n’arrivaient pas à réaliser ce que l’homme était en train de demander. Pour eux la sodomie n’était qu’une fiction de film porno et pensait qu’aucune fille ne voudrait ce genre de pratique. Là, ils étaient sur le point de réaliser leur première sodomie.
« Oh oui les garçons, sodomisez moi. Je veux sentir vos queues dans mon cul. Venez m’enculer ! »
Le trio se sépara. Céline reprit sa place à quatre pattes, ouvrant bien les cuisses à son futur fornicateur.

C’est Mathieu qui passa le premier. Comme dans ce qu’il avait pu voir dans les films x sur internet. Il cracha abondamment sur la petite rondelle de la future enculée. Avec son doigt, il la pénétra. Il cracha sur son sexe et commença l’intrusion annale.

Céline se cambra au maximum pour bien lui ouvrir sa petite porte, il poussait sauvagement ne sachant pas trop comment si prendre. Heureusement que ce n’était pas la première pour Céline. Elle ondulait ses hanches pour toujours se positionner dans l’axe du jeune homme.

« Arrête de bouger ! » Lui dit-elle. Elle prit les devants et appuya elle-même sur le sexe en basculant en arrière son fessier. C’était elle qui venait s’empaler sur le sexe. Son auréole s’écarta doucement, les premiers centimètres du sexe commencèrent à entrer.

Raphaël restait immobile, observant chaque étape. Mathieu lui aussi été concentré. Bientôt son sexe disparu dans le fessier de cette parfaite inconnue qui avait pas loin l’âge de sa mère.

« Oh la vache, c’est serré. Putain je suis dedans. »
« Vas-y baise maintenant »

Mathieu commença son va et viens mais devant l’étroitesse de cette pratique, il était dur pour lui de se retenir de jouir.

« Ohhhhh putain je vais jouir »
« Pas dans la capote gamin ! Repeints la. »

Il se dégagea et dans le même mouvement retira le préservatif. A peine retiré les premiers jets de sperme viennent couler sur les reins de Céline. Il se masturba pour bien s’assurer de se vider complètement en s’amusant à viser le trou encore béant de sa pénétration.

« J’ai jamais jouis autant. J’adore la sodomie ! »

Raphaël ne tarda pas à prendre la place de son ami. Aidé par le foutre, il pénétra Céline plus aisément.

« Ah oui c’est vrai c’est beaucoup plus serré. Putain, c’est carrément plus bandant. »

Pour lui aussi le point de non-retour était annoncé. Il se dégagea précipitamment et alla se positionner devant elle et lui gicla son foutre sur le visage.

Son jet était chaud et la quantité abondante. Céline ouvra la bouche pour essayer d’en recueillir une quantité. Elle prit le sexe du jeune majeur pour le nettoyer.

Elle s’appliquait à la tâche et veillait à ne plus laisser une trace de sperme sur la queue de Raphaël.
Les deux jeunes gens étaient maintenant rassasiés.

L’excitation retombant Céline reprit conscience avec la réalité. Elle se rappela que le troisième compère était resté en retrait pendant toute cette chevauchée. Intimidé et recroquevillé sur lui-même, Bouly avait assisté en silence à ce mini gang bang.

Céline eu pitié de lui, et lui fit signe de s’approcher. Tête baissée et encouragé par ses amis, le jeune adolescent s’approcha de la femme encore enduite de sperme.
Elle avait beaucoup empathie pour ce jeune homme, un peu rondelet mais au visage tellement gentil.

Elle s’approcha à genoux de lui et passa sa main sur son pantalon au niveau du sexe. Elle sentit que la scène bestiale ne l’avait pas laissée insensible.

« Et bien mon coquin, je vois que je ne te laisse pas indifférente. T’es-tu déjà fais sucer par une fille ? »
« Non madame, »
« Mmmmh une petite queue de puceau alors ? » Elle déboutonna son pantalon et en extrait un sexe à demi dur. Le sexe n’avait pas une taille très importante.

Avec sa main, elle le masturba et le plus délicatement vint toucher son gland avec sa langue. Avant de le prendre en bouche. Elle y allait par étape et faisait en sorte de ne pas brusquer ce jeune timide.

Le sexe gonflait dans sa gorge mais elle devait casser sa cadence de peur de le voir jouir précipitamment. Ça se sentait il n’avait pas la même endurance que ses compagnons de classe.

« C’est quoi ton petit prénom »
« Jules, madame »
« Tu aimes te faire sucer Jules ? »
« Oh oui madame. Merci Madame. »

Céline reprit de plus belle sa fellation et fit découvrir à son petit protégé les joies de la gorge profonde.

Elle se releva.

« Allez garçon, prends mes seins, viens les embrasser. »

Jules était doux. Ses mains tremblaient sur les mamelons encore durs de Céline. Sa langue timidement vint titiller ces petites protubérances.

« Tu veux me baiser ? »
« Oh oui Madame. »

Marc tendit à la belle un préservatif, qu’elle équipa aussitôt.

Elle se mit à quatre pattes et invita le jeune garçon à la prendre en levrette. Elle l’encouragea et le mit en confiance.

« Allez viens mon chéri. »

Bouly s’agrippa aux hanches de Céline et vint glisser son sexe entre ses lèvres. La sensation était nouvelle. Il avait tellement fantasmé devant des films X qu’il n’arrivait pas à réaliser que cette fois, il était bien à la place de l’acteur.

Céline avait été éprouvée par les deux autres garçons que malheureusement elle ne sentait pas beaucoup le jeune puceau. Mais pour ne pas gâcher son moment, elle simulait ses cris pour donner confiance à son nouveau baiseur.

Jules était aux anges et son rythme jovial devenait soutenu. Céline comprit qu’il fallait couper cours au risque de voir son jeune étalon éjaculer précipitamment.

Elle se dégagea de lui et retira son préservatif. Elle le prit à nouveau en bouche et comptait bien lui faire connaitre le plaisir de la jouissance.

Elle mit en œuvre tout son savoir-faire pour lui offrir la plus belle et inoubliable fellation. Quelques minutes suffisent pour qu’elle ressente un doux liquide chaud couler au fond de sa gorge. Elle l’avala en gardant une petite quantité qu’elle extirpa de sa bouche pour laisser dégouliner le long de ses lèvres pour l’exciter encore plus. N’est-il pas excitant pour un homme de voir son foutre répandu sur le visage ou le corps d’une femme ?

Arrivée chez elle encore dégoulinante de sperme, Bertrand l’attendait avec impatience pour se faire conter cette nouvelle aventure à laquelle il avait pu assister grâce aux témoignages de Marc par texto et photos.
par manukib56
#1955813
Le week-end dans ce spa hôtel, c’était déroulé à merveille. La compagnie de Bertrand et Céline était très agréable. Aucune fois ils n’ont été trop entreprenants. J’étais très heureuse de cette tournure.

Le lundi qui suivi ce week-end je reçu un texto d’un numéro qui n’était pas enregistré dans mon répertoire.

« Nous avons été très heureux d’avoir fait ta connaissance et avons été charmés par ta compagnie. »
Bien entendu ce message était fort gratifiant et je m’empressai d’y répondre.
« Merci, le plaisir était partagé »
« Jean Pierre, nous avait parlé d’une compagnie charmante, mais j’étais loin de me douter qu’elle serait exquise »

Je trouvais ce Bertrand plus entreprenant que pendant le week-end. Mais cela m’amusait.
Nous avons échangé de longs moments, où dans chacun de ses messages une petite flatterie venait enjoliver son contenu.

Il aimait me demander comment j’étais habillée, savoir ce que j’étais en train de faire. Jusqu’au jour un message me porta dans la confusion.

« J’ai aimé le moment que nous avons passé toutes les deux. Avoir parlé de Marc avec toi m’a fait beaucoup de bien. »

Depuis quelques jours, j’étais en train de communiquer avec Céline pensant que c’était son mari. J’en étais toute retournée.

Notre correspondance dura quelques temps. Nous nous revîmes plusieurs à l’occasion de diner chez les uns et chez les autres et notre relation tendait vers une grande amitié.

Jean Pierre me parlait souvent d’eux et n’hésitait pas à me questionner sur l’avis que je leur porte.

« Bertrand est quand même pas mal conservé pour son âge tu ne trouves pas ? »
« Tu trouves pas qu’ils font un beau couple ? »
« Je pense que tu as tapé dans l’œil de Bertrand »
« Tu as vu comment il t’a dévisagé pendant le repas ? »
« Il ne te plait pas physiquement Bertrand »

Autant de questions, qui n’arrêtaient pas t’attiser en moi ma curiosité. Je sentais bien que Jean Pierre provoquait la chose bien que chez lui il se dégageait une petite jalousie. Mais cette jalousie se traduisait aussi par une forme d’excitation. Aussi étrange que cela puisse paraitre.

Il avait envie de m’offrir à ce couple mais ne savait pas comment le formuler.

Vendredi 19 Février 2016 :

Nous étions invités pour l’anniversaire de Bertrand. Jean Pierre m’avait demandé si je pouvais mettre une tenue en particulier. Que ça faisait longtemps qu’il ne m’avait pas vu en robe.

Avait donc été retenue une robe noire cintrée et bustier. Elle était assez décolletée. Mes dessous devaient être le plus discrets possibles quant à l’épaisseur du tissu. J’optai donc pour un ensemble de lingerie en dentelle très fine. Son string était orné d’une fine et belle dentelle rouge qui je le savais saurait se faire discrète sous ma tenue de soirée.

Un petit châle en voile pour couvrir mes épaules et me voici pimpante pour notre diner chez nos amis.

Je sortie du travail vers 18h00 et retourna chez nous pour nous préparer. Sortie de la douche, j’étais en train de m’habiller de ma tenue de soirée, je reçu un texto.

« Excuse-moi ma chérie, je ne suis pas en avance. Peut-on se retrouver directement chez Bertrand ? »

Même si depuis quelques années, Jean Pierre avait vendu son entreprise, il avait gardé pour quelques-uns de ses amis la carte de consultant. Cela lui arrivait que deux trois jours par semaine, il aille dans des CCI, ou des foyers de jeunes entrepreneurs pour aider des futurs chefs d’entreprises à monter leur affaire. Il a toujours aimé le contact humain et la pédagogie, ce petit mi-temps lui donnait la sensation d’être toujours utile. Même si il n’a vraiment pas besoin de travailler, sa société lui avait offert une assurance de n’avoir à manquer de rien.

Un peu déçue, je pris donc ma voiture pour me rendre chez Céline & Bertrand.
Céline m’accueillit.

« Emmanuelle, comme nous sommes contents de te voir. Vas-y rentre. Jean Pierre n’est pas avec toi ? »
« Non, il était sur Brest pour un colloc de la chambre des métiers. Il m’a dit que nous nous retrouverions ici. »
« Ce n’est pas grave, installe toi. »
« Bonsoir Emmanuelle. »
« Bonsoir Bertrand. Heureux anniversaire. »
« Je te remercie. Malheureusement, nos anniversaires ne sont plus une fête maintenant, nous vieillissons bien tristement. »
« Céline et toi avez gardé un bel esprit ne t’inquiète pas là-dessus. »
« Tu es gentille. »

Nous nous installâmes dans le salon, où du champagne et des petits fours nous attendaient.

« J’adore ta robe Emmanuelle. Tu es resplendissante. »
« Merci » Céline avait toujours le mot pour me faire rougir.

Les discussions allaient de bon train et la bouteille de champagne a dangereusement se vider. Je sentais ma tête tourner et l’ivresse timidement se laissait paraitre chez moi. Céline alla chercher une deuxième bouteille.

Bertrand n’arrêtait pas de poser son regard sur moi, c’était la première qu’il était aussi marquant. Je sentais bien que ses yeux glissaient sur mon décolleté et essayaient d’entrevoir un peu plus que ma robe ne pouvait lui montrer.

L’alcool aidant, je m’en amusais et n’hésitait à me pencher de manière plus significative sur le plateau de petits fours pour lui offrir ce qu’il désirait. J’étais entrée dans un jeu de séduction.
Je sentais bien que Bertrand avait de la difficulté à se contenir.

« Dis-moi ma chérie, ce ne serait pas l’heure d’ouvrir les cadeaux ? »
« Mmmmh quelle impatience ! Malgré ton âge tu restes un grand enfant. » Elle se leva et en quittant la pièce elle me frôla en posant sa main sur mon épaule pour me donner une caresse.
Elle revenu quelques instants après avec une petite boite entourée d’un ruban.

« Tiens mon chéri, et très bon anniversaire. »

Impatient, il fit tomber le ruban et ouvrit la boite, qui contenait une petite fiole avec écrit dessus :
Elixir de jouvence.

« Merci ma chérie, mais je ne comprends pas. »
« Ce petit breuvage n’est qu’une partie de ton cadeau. Bois ce précieux cadeau, la suite ne devrait plus tarder. »

La fiole contenait un liquide en très faible quantité, seulement quelques millilitres. A première vue cela semblait être tout simplement de l’eau. Bertrand dans une infime confiance déboucha le flacon et dans une petite gorgée la vida.

« C’est de l’eau ! »
« Si on peut dire. La deuxième phase de ton cadeau vient de la part de ton ami Jean Pierre. Il a voulu t’offrir un cadeau dont tu ne t’y attendais certainement pas. La Tant Désirée comme tu aimes l’appeler. Il te souhaite un très joyeux anniversaire et espère que tu lui feras honneur. »

Céline s’approcha de moi et m’invita à me lever.

« Emmanuelle, si Jean Pierre n’est pas ici ce soir. Ce n’est pas que pour son travail. Il a voulu t’offrir à son ami pour son anniversaire. Il sait que Bertrand ne t’ai pas indifférent et regarde mon mari. Toi non plus tu ne le laisses pas indifférent »

Une érection impressionnante se laissant entrevoir dans l’entre jambes de Bertrand.

« Ma chérie qu’était-ce donc cette fiole ? »
« La jouvence mon amour » Je l’apprendrai plus tard que la fiole ne contenait qu’une pilule de viagra diluée dans un peu d’eau. Mais cela provoquait l’effet escompté.
« Regarde mon chérie, c’est Jean Pierre qui a choisi sa tenue. N’est-elle pas belle dans sa robe noire ? »
Je n’osai rien dire. Elle posait ses mains sur mes épaules et me guida jusqu’aux pieds de son mari, toujours assis dans son canapé, une flute de champagne à la main.

Ses mains descendirent lentement et vinrent se poser sur ma poitrine.

« Mmmh regarde chéri, comme ses seins sont beaux et fermes. Tu te souviens comme nous les regardions quand nous étions dans le sauna. Regarde, aujourd’hui ils sont à toi. »

Sa main droite descendit le long de mon torse, effleura mon ventre et alla se glisser sous ma robe pour remonter délicatement mon entre jambe. Elle caressait ma lingerie et de son index vint écarter le tissus pour venir en contact avec mon sexe. Son doigt se posa sur mon clitoris et doucement vint le masser dans le sens des aiguilles d’une montre. Elle sentit que cela provoquait un moi des frissons, lisible sur ma peau. Son index abandonna mon petit bouton pour se glisser entre mes lèvres.

« Mmmmh comme son sexe est chaud et humide. Tu y seras bien mon chéri. Fais-y honneur à ton ami. »

Sa main délivra mon sexe. Elle agrippa ma fermeture éclair dans le dos et l’abaissa délicatement. Elle retira ma robe pour la laisser tomber à mes pieds.

J’étais maintenant en sous-vêtements au milieu du salon, debout devant cet homme pendant que sa femme m’effeuilletait comme une rose.

Elle dégrafa mon soutien-gorge, et retira mon petit string.

« Mmmmh regarde ce sexe imberbe. Comme tu les aimes. »

Son érection en était tellement devenue gênante qu’il se trouva dans la nécessité d’ouvrir son pantalon pour laisser libre son sexe.

Pendant que sa femme faisait l’éloge de mon corps, il commençait lentement à se masturber devant moi.

Elle m’appuya sur les épaules pour me faire comprendre qu’il fallait me mettre à la hauteur de son mari. J’étais maintenant à genoux, devant lui. Elle le masturba quelques instants avant de me tendre le sexe de son conjoint pour que je le prenne en bouche.

« Elle te suce bien mon chéri ? »
« Oh oui ! »

La main de Céline était apposée sur ma tête et me donnait le rythme de comment je devais prendre son mari en bouche.

« Mon ange ! Tu n’imagines pas comment elle suce à merveille. Sa langue rooooahhh ! »

Devant ce râle, elle appuya un peu plus sur ma tête pour que j’enfonce son sexe plus dans ma gorge.

« Et bien, elle est forte cette petite dis-moi mon chéri. Ton sexe est totalement dans sa bouche. »

Elle commençait à m’imposer un rythme plus soutenu. La main de Bertrand vint maintenant se poser sur celle de sa femme guidant aussi mes va et viens sur son sexe.

« J’ai envie de la baiser ! Chérie, crois-tu que je puisse ? »
« Bien entendu. »
« A-t-on un préservatif quelque part ? »
« Non, c’est vu avec Jean Pierre. Pas de çà entre nous a-t-il dit. »

Je me redressai et face à lui vint m’assoir. Je pris son sexe entre mes mains et le guida à l’entrée du mien. Lentement, je me laissai glissée le long de sa verge. Je m’amusai à décrire de petits ronds avec mes hanches pour donner plus de contact.

Ses mains s’agrippèrent à mes seins et le plus sensuellement possibles il me les malaxait. Sa bouche en saisit un, et de sa langue il venait titiller le téton pour le faire durcir.
Pendant que sa bouche embrassait mes seins, ses mains vinrent se poser sur mes fesses et me donna le rythme avec lequel il voulait que je le baise.

Son sexe coulissait à merveille entre mes cuisses. Je devais me l’avouer cet homme était un très bon coup.

« Elle te baise bien mon chéri ? »
« Oh oui ! »

Mes mains se posèrent sur ses genoux et me cambrai en arrière pour le sentir encore plus. Notre rythme était maintenant devenu intense. Mes fesses claquaient contre ses jambes à chaque fois qu’il s’enfonçait un peu plus en moi.

Céline observait avec délectation ce spectacle et venait quelque fois me caresser un sein, ou embrasser son mari.

« Mmmh vas y lève toi ! Viens te mettre à quatre pattes par terre, je veux te prendre en levrette. »
Ni une ni deux, je quittai son sexe et ses genoux pour me mettre à quatre pattes sur le tapis du salon.

Il vint se positionner derrière moi et me pénétra aussitôt. Ses mains s’agrippaient à mes hanches de peur que je ne parte.

« Oh ma chérie, quel merveilleux cadeau ! Elle est magnifique cette petite. Il doit bien s’amuser avec toi Jean Pierre. Il en a de la chance. »

Je commençais à gémir très fort sous les assauts du mari.

« Oh mon chéri on dirait qu’elle n’est pas insensible à ton petit coup de rein ravageur. Il te baise bien mon mari ? »
« Oooh oui. C’est bon. »
« Chéri, pourquoi n’offrirai tu pas à cette jolie demoiselle un plaisir autre ? »
« Je comprends bien ce que tu me demandes ? »
« Tu sais elle a été à la bonne école. Je crois que tu n’es pas prêt de la choquée. »
« Oh, je n’ai jamais sodomisé une petite jeunette comme çà. Tu veux te faire sodomiser ? »
« Oui ! »
« Tu aimes çà la sodomie ? »
« Oui, j’aime la sodomie. Viens me sodomiser. »
« Wouahhhh quelle gonzesse ! Je n’ai pas été aussi excité depuis bien longtemps. Il me faut du lubrifiant. Attends … »
« Chéri, dois je te rappeler comment est monté Jean Pierre, je crois qu’Emmanuelle n’est pas à son premier sexe dans le cul. » Céline, vint saliver sur ma petite auréole et me glissa un doigt.
« Ne t’en fais pas chéri, tu ne lui feras pas grand mal. »

Il cracha dans sa main et s’enduit le sexe de salive. Il vint délicatement s’apposer contre moi. Et avec grande prudence s’enfonça en moi. C’est la première fois qu’on me sodomisa ainsi avec autant de retenu et de bien vaillance.

« J’y crois pas, je m’enfonce comme çà. Ahhhhh c’est trop bon. Elle n’est ni trop serré, ni trop souple. Le pied ! »

Il prenait de plus en plus d’aisance et me baisait avec ardeur. Céline saisit son téléphone et me prit en photo en train de me faire sodomiser par son mari. Elle envoya la photo à Jean Pierre avec pour légende.

« Ton ami ne te remerciera jamais autant ! Dans le cul de ta petite amie, il se sent pousser des ailes. »

Mes gémissements se transformèrent en cris. Il était en train de me faire jouir.

« Regarde chéri cette gamine est en train de jouir du cul. Oh mon dieu elle est bonne. Je crois que je vais jouir à mon tour.»
« Jouies en elle mon chéri. Laisse ta marque pour ton ami. »

Il se retira de moi pour me pénétrer de manière plus conventionnelle. Après quelques va et viens, il s’arrêta bien enfoncé en moi. Son râle grave en voulait dire long.
Je sentais au fond de moi son sperme se déverser. Son sexe tressautait à chaque jet.

« Wouahhh quel pied. Je l’ai rempli comme jamais. »

Il retira son sexe, encore enduit de son foutre. Céline saisit le sexe pour le nettoyer. Une fois avoir récolté le sperme de son mari dans sa bouche. Elle vint m’embrasser langoureusement pour que moi aussi je puisse gouter au jus de son homme.

Nos langues s’entrechoquèrent et le foutre se baladait de bouche en bouche se mélangeant à notre salive.

Il fallait que je me rende à l’évidence, j’étais à nouveau en train de doucement sombrer dans l’univers du no limit.

Jean Pierre arriva même pas cinq minutes après cet ébat. A peine rhabillée je montai dans la voiture. Au début, personne n’osait parler. Et la glace commença à fondre.

« Alors cette soirée ? »
« Tu m’as bien eu mon chéri. Je ne m’y attendais pas. »
« Désolé, de m’avoir provoqué ainsi mais sinon tu n’aurais jamais franchi le pas. Tu m’en veux ? »
J’écartai délicatement les jambes et lui offrit mon entre cuisse. Sa main s’y glissa et découvrit mon sexe encore gluant.
« Ah oui je vois que Bertrand n’a pas été avec le dos de la cuillère. »
« Oui je crois qu’il est content de sa petite soirée d’anniversaire. »

Excité par cette situation, Jean Pierre se gara un peu à l’abri à l’orée d’un bois. Il faisait nuit noire.
Il dégagea son sexe en érection de son pantalon.

« Regarde ma chérie l’effet que tu me fais. » Je m’empressai de le prendre en bouche.

Après avoir gouté son sexe, je passai sur lui en relevant ma robe pour venir m’enfourcher sur son organe.

Son sexe glissait entre mes lèvres aidées par le sperme encore tiède de son ami qui était toujours en moi.

Mon bassin dansait sur ses cuisses pour lui offrir le maximum de plaisir. Mon sexe encore excité de tout à l’heure m’inonda rapidement de plaisir. J’allais jouir une deuxième fois.

Jean Pierre dans un râle bien masculin se répandu à son tour en moi venant se mélanger au sperme du cocufieur.
(…)
par manukib56
#1959573
Voilà des semaines que ma petite histoire avec Bertrand et Céline a eu lieu. Jean Pierre en était transcendé. Je retrouvai la vigueur de notre début de relation. M’imaginer avec Bertrand au service de Céline avait réveillé en lui sa libido.
Il était devenu plus tactile et était très demandeur en termes de sexe.

Cela faisait des mois que nous n’avions pas pratiqué la sodomie tous les deux, mais depuis que Jean Pierre a su que son ami m’avait sodomisé lors de notre dernière rencontre, mon amoureux voulu reprendre sa place.

C’était incomparable, le sexe de Jean Pierre étant bien plus épais que celui du cocufieur, le plaisir était inégalable.

« Ah mon chéri, comme je te sens bien. Tu es bien mieux monté que Bertrand … »
J’étais loin de m’imaginer que cette phrase aurait eu son importance.
Je n’ai pas revu Céline & Bertrand pendant de longues semaines, j’en arrivai même à me dire que notre petite expérience de leur avait pas plus.

Vendredi 21 mars 2016 :

Je reçu un message de Céline.
« Rejoins-nous chez nous ce soir. Prévois une valise tu resteras le week-end. A tout à l’heure. »

Ce message eu au moins l’intérêt de me rassurer que j’existais toujours pour eux.

Excitée à les revoir, j’étais comme une gamine un soir de Noël attendant son cadeau.

Je montai à la chambre pour préparer mes bagages et fila à la douche pour être la plus pimpante possible.

Jean Pierre était absent de la maison. Je l’averti par texto que je ne serai pas là à son retour. Je me doutais bien qu’il était déjà au courant. Ca réponse resta néanmoins très évasive.

« Ok à dimanche. Profite bien de ton week-end. »

Je sautai dans ma voiture et me dirigea vers ce nouveau couple d’amis.
Arrivée chez eux, je sonnai à la porte. Céline m’ouvrit.

« Ma petite Emmanuelle ! Quel plaisir de te revoir. Vas-y entre. »
« Bonsoir Céline, je suis contente de vous revoir aussi. Ca faisait longtemps. »

Elle referma la porte derrière moi. Il faisait bon dans la maison et l’odeur du feu de cheminée embaumait la demeure. Dans cette ambiance feutrée, nous entrâmes dans le salon. Cette pièce m’était quasi familière avec nos aventures de la dernière fois.

Elle m’invita à me mettre à l’aise. Bertrand était parti faire une petite course, il n’allait pas tarder. Nous échangeâmes quelques banalités sur notre quotidien, comment se passait mon travail, etc …

« Ecoute ma chérie, ce soir nous voudrions passer avec toi à l’étape supérieure. Je te rassure avec tout le respect que nous avons pour toi. Mais voilà, nous souhaiterions en accord avec Jean Pierre, qui en aparté est très excité par cette situation, tu nous sois prêtée à notre guise par ton Jean Pierre.

Et que ces temps où tu nous es prêtée nous puissions disposer de toi comme bon il nous semble. Nous avons longuement discuté avec Jean Pierre et nous pensons que tu dois être prise à nouveau en main. Bien entendu, du moment où tu acceptes cette mise à disposition tu ne pourras plus faire marche arrière. Ce contrat moral qui nous lie sera irrévocable. Tu comprends ? »

« Oui, mais je ne suis pas sure de vouloir revivre ce que j’ai connu avec Marc. Je ne suis pas prête. »
« Bien sûr que si tu es prête, mais tu te préserves trop. Regarde la dernière fois comment tu as aimé être ainsi à la merci de Bertrand et moi. Tu as besoin de cela, c’est en toi. »
« Je ne sais pas …. »
« De toute manière si tu es ici, ce n’est pas pour rien. Tu le savais qu’en acceptant cette invitation sans Jean Pierre nous nous ne serions pas restés nous regarder dans le blanc des yeux. » Sa voix devenait plus ferme et son visage se refermait.
« Donc il en sera ainsi. Suis-moi, tu vas te préparer pour la soirée. »

Nous montions à l’étage, et allons dans la salle de bain.

« Attends-moi ici, je reviens. Commence à te déshabiller intégralement, je ne veux plus rien voir sur toi. »
Elle sortit de la salle d’eau d’un pas décidé. Je savais que je n’avais d’autre choix que de répondre favorablement à Céline et indirectement à Jean Pierre. J’avais pleinement conscience que cela l’excitait et fallait bien que je me l’avoue moi-même, cela m’excitait aussi terriblement. Je retirai donc tous mes vêtements et l’attendit sagement.
« Bon, je vois que tu as trouvé la voie de la raison. Mmmmh un sexe parfaitement épilé, tu as été à bonne école avec Marc on dirait. Tiens enfile çà ? »
Elle me tendit un tablier blanc de cuisine. Très vite enfilé, je nouai la ceinture par le devant. Les seins étaient tout juste cachés par l’encolure du tablier et mon sexe frôlait avec la limite du tissu. Quant à mes fesses, elles étaient parfaitement à l’air libre.

« Très bien, retourne-toi s’il te plait et cambre toi bien. »

Accoudée au lavabo, je m’aperçus dans le miroir. Céline se tenait derrière moi et posa ses mains sur mes hanches.

« Cambre-toi mieux que çà. Montre-moi tes fesses ! »

Je reculai les jambes pour descendre un peu plus mon dos, écarta mes cuisses.

« Voilà, comme çà » disait-elle tout en tripotant mes cuisses et mon entre-cuisses. Je n’avais plus accès au miroir, tellement penchée je ne pouvais plus voir ce qui se passait derrière moi. Elle m’écartela les fesses et je senti quelque chose s’appliquer contre mon anus. D’abord une sensation de visqueux et ensuite quelque chose de dur en forme d’ogive.
« Alors comme çà on reste sur sa faim quand mon mari te prend par derrière ? Ne le cache pas, Jean Pierre nous a tout raconté. »

Cela m’apprendra à ne pas tourner ma langue sept fois dans ma bouche avant de dire des choses que je regretterai après.
Céline appuya sur l’objet, qui sous la pression de sa main entravait un peu plus mon petit orifice. Je ne ressentais que quelques millimètres à l’intérieur de moi, je me doutais bien que le plus dur n’était pas pour tout de suite.

« Ben alors ma chérie, je croyais que ton joli petit cul avait l’habitude ? On dirait qu’il fait de la réticence là. Mais faudra bien pourtant que mon petit jouet rentre. »

Elle appuya toujours un peu plus, ne cessant de relâcher la pression. Elle était décidée à faire le faire passer et ne comptait pas en rester là.

J’écartai légèrement un peu plus mes jambes et me cambra au maximum pour offrir un meilleur axe. Je n’avais d’autre choix que d’aider cette OPNI (objet pénétrant non identifié) à s’introduire en moi.

Je ne pouvais contenir mes cris tellement cette pénétration était douloureuse. L’objet hors norme m’écartelait l’anus comme jamais.

« S’il te plait arrête. C’est trop gros je ne pourrai pas. Je suis désolée d’avoir dit çà. »

Elle ne me répondit pas et continua à forcer le passage. Je sentis enfin, ma peau se détendre et l’ogive s’insérer doucement en moi. J’avais mal et quelques larmes perlaient sur ma joue.

Je sentis enfin quelque chose venir en butée. Ca y est, elle y était arrivée.

« Voilà ma chérie, ton plug pour ce soir. Je n’ai pas trouvé pus gros désolée. Rejoins-moi en bas pour que je te dicte ce que tu auras à faire. »

Il me fallut un long moment pour reprendre mes esprits, j’étais essoufflée autant que si j’avais couru un semi-marathon. Ayant repris mes esprits, je décidai de rejoindre Céline au rez de chaussée, seulement quand je voulu me déplacer, le rose-bud était tellement énorme que je n’arrivai pas à marcher. Chaque pas le faisait bouger à l’intérieur de moi et m’écartelait encore un peu plus.

Je ne vous parle même pas de la douleur ressentie quand je dû descendre les marches d’escaliers.
Arrivée non sans peine au rez de chaussé, je retrouvai Céline dans la cuisine. Elle avait un air amusé à me voir me déambuler ainsi avec tant de difficultés.

« Et ben alors ma belle, on a perdu sa grâce ? » Je ne répondis que par un bref sourire forcé.
A ce moment-là Bertrand arriva, il rentrait de sa course.
« Ah tu es déjà arrivée Manue. » Il ne semblait pas étonné de me voir ainsi vêtue dans sa cuisine. Il me fit la bise comme si de rien.
« Chérie, je suis passé chez le traiteur. On a à manger pour tout un régiment. Je vais décharger la voiture. A quelle heure ils arrivent ? »
Mon inquiétude se lisait sur mon visage.

« Nous recevons un couple ce soir à dîner. Tu verras ils sont très sympathique. Par contre elle, elle est peut-être un peu trop sur la réserve. Si nous t’avons fait venir ce soir, c’est pour que tu nous rendes la soirée plus agréable. Il te suffira juste de nous servir comme si nous étions au restaurant ou dans un grand hôtel. Bien entendu nous exigeons un dressing code comme tu peux le voir. Bon je te laisse, je vais aller me préparer. » Céline quitta la cuisine et monta à l’étage pour se faire belle pour le diner.

Bertrand déchargeait la voiture de nombreux plateaux et récipients qui sentaient bon l’odeur des épices et de la cuisine raffinée.

« Ça va ? Dis-moi ça fait longtemps qu’on ne c’était pas vu. Content que tu es acceptée notre invitation ? Tu es blessée ? »
« Non !? »
« J’ai l’impression que tu boites »
« Heu non, c’est Céline … » Je me retournai timidement. Sa main froide vient caresser ma fesse droite et délicatement l’écarta.
« Wouahhhh, c’est Céline qui t’a mis cela ? »
« Oui »
« Mais ça parait énorme. »
« Ça l’est ! »
« Tu as mal ? »
« Ça a été douloureux mais je commence à m’y habituer. C’est surtout quand je marche que je le sens. »
« Tu m’étonnes. » Même si je sentais de sa part de la compassion, je voyais bien que la scène l’excitait aussi.
« Tu sais où est Céline ? »
« Oui, elle est montée se préparer. »

Il s’approcha de moi et posa sa main sur ma fesse.

« Tu sais que tu as été le plus beau cadeau d’anniversaire qu’on ne m’ai jamais offert. J’ai beaucoup apprécié. J’envie beaucoup Jean Pierre. » Le compliment me touchait, même s’il n’avait pas trop à se plaindre, beaucoup d’hommes aimeraient être à sa place. Céline était une femme extrêmement jolie et qui ne devait pas être timide non plus lors de moments intimes.

« J’ai hâte que les invités arrivent mais j’ai aussi hâte qu’ils repartent pour que nous soyons entre nous. Je compte bien te libérer de ce petit jouet ! » Sa main caressa l’épaulement du rosebud qui eut pour effet de le faire très légèrement bouger. Même si ce n’est que de quelques millimètres, la petite sensation qui se provoqua me rappela qu’il était toujours bien en moi.

« Je ne tiendrai pas tout le repas comme çà à te voir déambuler autour de nous dans cette tenue. » Pouvions-nous parler de tenue quand une fille est seulement habillée d’un tablier blanc, qui ne cache à peine son anatomie ?

Il déboutonna son pantalon est dégaina son sexe à moitié dur. Je compris tout de suite que ce qu’il me demandait était en catimini de Céline. Je m’accroupie devant lui. Cette abaissement fît bouger à nouveau l’ogive et provoqua chez moi un petit gémissement. Je le regardai droit dans les yeux et de ma main le masturba lentement. Ma bouche vint déposer un petit filet de salive pour gagner en efficacité. Une fois la bonne dureté obtenue, je le pris en bouche et m’attela à lui faire une fellation digne de ce nom.

Sa main caressait mes cheveux. Ses yeux se fermèrent pour profiter pleinement du plaisir que je lui prodiguais.
Ses caresses étaient douces. Je prenais soin de m’appliquer dans ma caresse buccale pour lui donner le maximum de plaisir. Ma langue ne cessait de le chatouiller et ma salive abondait pour donner plus de glisse.

« Tu suces divinement bien ma Manue. » Je sentais son sexe gonfler dans ma bouche, nous étions arrivés au point de non-retour. Il sorti sa verge de ma bouche et se masturba devant mon visage. Sa main gauche apposée sur l’arrière de ma tête me faisait comprendre qu’il souhaitait me voir le visage relevé. J’ouvris grand ma bouche prête à servir de réceptacle à foutre. Son geste manuel était maintenant rapide, le sperme n’allait pas tarder à j’ailler. Il s’approcha de ma bouche, posa le bout de son sexe sur ma lèvre inférieur et dans un râle, bien à lui, gicla son liquide au fond de ma gorge.

Il secoua son sexe au-dessus de ma bouche pour me donner les dernières gouttes de son liquide chaud. Je le repris en bouche pour lui faire la toilette.

Nous étions dans un excellent timing, juste le temps de remonter son pantalon que Céline descendait les escaliers.
(…)
par manukib56
#1964416
(…)

Habillée d’une robe de soirée noire prêt du corps, elle était chaussée d’une paire de chaussure à talons qui renforçait sa longiligne.

Maquillée très sobrement et coiffée, elle était magnifique. En tout cas elle fît son effet à moi mais aussi à son mari.

« Ca se passe bien ? Tu n’es pas encore prêt ? »

« Oui, non ! Désolé je me hâte. Je file sous la douche. » Il embrassa Céline et monta à son tour se préparer.

J’aidai Céline à dresser la table et à préparer les plats du traiteur. Un feu de cheminée crépitait, la lumière tamisée et quelques bougies venaient compléter la mise en scène de la soirée.

« Quand nos invités arriveront, je ne veux pas qu’ils te voient tout de suite. Tu nous attendras dans la cuisine et tu viendras que quand nous te le demanderons. »

20h00 :

Nous étions tous fins prêts et attendions les invités. On sonna à la porte. Je m’éclipsai dans la cuisine pour ne pas me montrer. J’avais une petite boule au ventre de qui étaient ce ces gens, de pourquoi j’étais totalement nue pendant cette soirée avec en plus un plug anal. Avec toutes ces interrogations je n’en menai pas large.

Je les entendais parler. Bertrand les firent entrer dans le salon. Ils s’installèrent.

« Comme je suis contente de te revoir cela fait si longtemps. Alors raconte-nous tout. »

« Oui ça fait maintenant 6 mois que je suis rentré des Etats Unis. Comme je vous disais j’ai repris une petite société de consulting en média. Je travaille essentiellement dans le secteur du Nautisme. Je suis donc basé à Lorient au niveau du Port. »
« Et ? »
« Oui, Marion aussi est nouvelle. Nous nous sommes rencontrés lors d’un salon nautique pour le Vendée des Globes. Cela fait maintenant 4 mois que nous sommes ensemble. »
« En tout cas très enchanté de vous connaitre Marion, même si votre relation n’est que de quatre mois Thierry nous a déjà parlé beaucoup de vous. En fait même quand tu étais aux Etats-Unis nous avons toujours gardé le contact. »
« Oui c’est vrai, merci internet. »
« Et que faites-vous dans la vie Marion ? »
« Je suis assistante de direction dans une société qui conçoit des logiciels de marine : GPS, météo. Nous équipons 80% des grands coureurs au large. »

A sa voix calme et posée je me faisais déjà à l’idée d’une jeune femme timide et très réservée. L’opposée du ton de Thierry, qui lui semblait plus à l’aise et plus affirmé.

« Je reviens je vais chercher l’apéritif. Tout le monde prendra du champagne. Thierry as-tu parlé d’Emmanuelle à Marion ? »

« Oui, oui. Elle est avisée. »
« Très bien, il serait mal venue que la situation vous choque. Je reviens de suite. »

Céline vint à ma rencontre dans la cuisine. J’avais présagé la chose et tenais dans mes mains le plateau avec les flutes et les amuses bouches. Céline se chargea de la bouteille de champagne.

Je rentrai dans le salon en tenue quasi d’Eve, Bertrand semblait amusé, son ami aussi d’ailleurs quant à l’invitée elle était plus gênée et n’osait regarder en ma direction.
Je posai délicatement le plateau. Bertrand m’invita à m’assoir avec eux.

« Reste avec nous. Même si tu es là pour le service, une petite coupe de champagne ne devrait pas être de refus ? »

Je m’installai silencieusement à coté de Bertrand. Le fait de m’assoir me fit plaquer l’ogive contre mes fesses. Il me transperçait maintenant dans toute sa longueur. Je réussis à contenir un petit cri de gémissement mais ma grimace était bien visible.

« Emmanuelle nous a été confiée par son conjoint. Que tu dois connaitre, Thierry ? Jean Pierre, l’entrepreneur de Lorient ? »
« Oui ca me dit quelque chose vaguement mais je ne vois plus trop qui c’est exactement. Entendu, et donc elle reste chez vous pour combien de temps ? »
« Le week-end. Nous voulions vous la présenter, voilà pourquoi nous vous invitons à diner ce soir. »
« Vous allez toujours dans les clubs échangistes ? »
« Non, cela fait des années que nous avons arrêté. Tu as connu Marc ? »
« Oui l’assureur ! Aux meurs étranges ? »
« Oui c’est cela. Nous l’avons côtoyé quelques temps et depuis nous volons de nos propres ailes. Mais de manière plus raisonnée. »

La discussion s’éternisa et dévia de temps à autres sur Marc, sur le couple Bertrand Céline.
Je sentais bien que Marion était devenue absente, elle posait des regards furtifs en ma direction sans trop s’éterniser. Cela se voyait pour elle, cette situation était entièrement nouvelle. Thierry était plus décontracté et quand il avait acquiescé connaitre Marc, je me doutai bien que pour lui ce genre de situations était déjà connue.

Thierry était un homme approchant de la cinquantaine, je lui donnerai quarante-huit ans. Il était assez grand, habillé d’un costume gris et d’une chemise blanche. Il n’était pas forcément beau, un physique que je qualifierai de banal, classique. Marion était grande et très fine. Elle était blonde avec des cheveux assez longs. Sa tenue vestimentaire était aussi classique et ne mettait pas forcément en valeur ses formes. De ce que l’on pouvait apercevoir, elle était très longiligne. Elle était plus dans la trentaine, trente-cinq ans peut-être.

Je quittai l’assemblée pour aller servir le repas. Thierry remarqua quelque chose briller derrière moi.

« Joli bijou que vous avez là dites-moi ! »

Comme à l’apéritif, j’ai été conviée au diner où plusieurs questions m’étaient directement adressées de la part de Thierry. Sur ce que je faisais dans la vie, mes passes temps, où j’avais rencontré Jean Pierre, si ma nouvelle activité et nouveau cadre de vie me plaisait etc …

De banalités, cette interview était devenue un véritable interrogatoire. J’avais l’impression de passer un entretien d’embauche voir un casting à en juger comment il me dévisageait.
Le repas suivi son cours, jusqu’au moment où vers les 1h du matin le couple prit congé.
J’étais épuisée de ma soirée et les verres de vin et de champagne commençaient à avoir raison de moi.

En tout cas, je ne sais pas si c’était par la fatigue où les longues heures qui ont découlées mais le plug anal était maintenant supportable. Restée assise un long moment sur une chaise pour diner, mon intérieur c’était accommodé de ce corps étranger qui maintenant épousait la forme de mon petit orifice.

Nous débarrassâmes tous les trois la table. Céline était curieuse d’avoir mon sentiment sur ce nouveau couple.

« Alors comment tu les trouves ? »
« Charmant ! Ils ont l’air gentil. Elle, je ne sais pas, elle ne parlait pas beaucoup. »
« Oui Marion est très timide selon Thierry. C’était un peu la raison de pourquoi tu étais là. Thierry est en train de mener un travail sur elle pour, comment dire, la décoincer un peu. Il voudrait l’offrir à un autre homme que lui. Lui faire découvrir d’autres univers de la sexualité de couple. »
J’acquiesçai.
« En tout cas merci pour ton service, tu as été parfaite. Faut dire que ce petit tablier te va à ravir. Et dis-moi mon petit cadeau, tu l’as toujours ? »
Je me retournai pour lui montrer que son jouet était bien toujours à sa place.
« Alors, on s’y habitue ? »
« On peut dire çà »
« Retire le tablier, ce serai dommage de ne pas profiter de ce petit cul bien ouvert non ? Je vois bien que Bertrand ne tient plus en place. »

Je défie le nœud du tablier et le plia pour le poser sur la table. Entièrement nue, Bertrand nous rejoignit dans le salon.

« Ahhhhhh présenté comme çela, je ne dis pas non pour reprendre du dessert moi. »

C’était Céline qui était une nouvelle fois aux commandes.

« Viens te mettre à quatre pattes, je vais lever ta peine. »
Je m’accroupis devant elle et comme une chienne à sa maitresse vient me coller à ses pieds.
« Ecarte bien ! Mais dis-moi il a bien trouvé sa place au final. On n’aura pas été sans peine à le mettre mais on dirait que tu t’y es fait ? Non ? »
« Oui. » répondis-je timidement.

Elle glissa ses doigts entre l’épaulement et ma peau, agrippa l’ogive et le sorti de son fourreau avec grande minutie. Son extrusion était aussi douloureuse que l’intrusion, voire même pire. Mon bassin se relevait tellement l’objet était coincé. Je me cambrais le plus que je pouvais pour ne causer aucune entrave à sa sortie. J’avais mal.

« Doucement, j’ai mal. Aïe ! » Je mordis ma lèvre inférieure pour m’éviter de crier.
Bertrand restait là, témoin de la scène.
« Allez courage Emmanuelle. Tu y es presque. »
Ma tête posée à même le tapis, j’aplatissais mon dos et relevais au mieux mon bassin. Un dernier écartement des cuisses et enfin le plug voulu bien sortir.
Je sentais un courant d’air entrer. Je n’osai imaginer comment je devais être dilaté. A en croire leur réaction cela devait être énorme.
« Et ben voilà ! Je suis qu’après cela la sodomie ne te posera plus jamais de soucis. Qu’en penses-tu mon chéri ? Elle disait ressentir plus de choses avec Jean Pierre et bien après cela notre ami n’a qu’à bien se tenir. » Elle alla prendre son téléphone portable et envoya une photo de mon trou béant à Jean Pierre.
Bertrand était en train de se déshabiller, il comptait bien profiter de l’occasion pour finir ce qu’il avait commencé avec moi dans la cuisine avant l’arrivée des invités.
« Mon chéri, pourquoi ne profiterais tu de l’occasion ? »

Toujours à quatre pattes au sol, Bertrand passa au-dessus de moi et s’accroupie. En extension sur ses jambes, il s’abaissa et vint sans sommation me pénétrer. Il attendait cela avec tellement d’impatience.

« T’as vu cela chérie ? J’y suis rentré comme ça ? Impressionnant. »
Il venait de me sodomiser sans ressentir la moindre réticence. Je le sentais à peine en moi, à se demander si son sexe touchait quelque chose de moi.

En tout cas, cela n’enlevait pas son ardeur à la tâche. Il me baisait avec un rythme soutenu. Les rares pauses qu’il s’octroyait il prenait mes seins pour les malaxer.
Céline jouait la reporter armée de son téléphone où elle tenait informé Jean Pierre de mes ébats avec son mari.

Il fit me lever pour m’allonger sur le canapé, il leva mes jambes pour les mettre sur ses épaules et me pénétra vaginalement. Il m’envoyait des coups longs et forts de tout son poids.

Je ressentais enfin son organe en moi. Il ne me fallut pas longtemps pour commencer en sentir la jouissance en moi. Bertrand était un bon amant. Céline marque une pause dans son reportage photo et vint se mettre à côté de moi. Elle se plaçait au premier pour voir le sexe de son mari pénétrer le mien. Sa main caressait mon sein, qui ballotait sous les coups de son mari.

« Alors mon chéri, tu aimes la baiser cette petite hein ? »
« Oh oui mon cœur, on est bien dedans. »
« Tu aimes la baiser devant moi hein ? »
« Oui. »

Ils étaient tous les deux dans leur délire, et se parlaient comme si je n’étais pas là. Alors que mes gémissements de plaisir devaient certainement s’entendre à dix mille lieux !

« Faudra qu’un jour, tu te fasses une petite double avec la petite. Tu aimes bien çà, non ? »
« Oh bien sur ma chérie tu sais combien j’aime cela. Oooooh je crois que je vais jouir ! »

Il se retira précipitamment de moi, se leva et se mit à côté de moi au niveau de mon visage. Se masturbant énergiquement il éjacula sur mon visage dans un premier temps et se termina au-dessus de mes seins que Céline continuait à peloter. Elle était en train d’étaler le sperme de son mari sur moi.

« Et bien quelle giclée ! » complimenta la femme à son mari.

Bertrand me tendit son sexe mou et gluant pour le faire nettoyer.
Mon travail terminé je quittai le couple pour aller me doucher et retirer tout le sperme collant de ma peau.

Sortie de ma douche, j’entendais Bertrand et Céline discuter dans le couloir.

« Ca ne te dérange pas chérie si je dors avec la petite ce soir ? »

Je sentais bien au son de la voix de Céline une petite pointe de jalousie.

« Tu veux qu’elle dorme dans notre lit ? »
« Oui, j’ai envie de profiter d’elle. »
« Comme tu veux, j’irai dormir dans la chambre du fond »
« J’aimerai voir la tête de Jean Pierre quand il va savoir cela. »
Je sorti de la salle de bain.
« Manue, tu passeras la nuit avec Bertrand. Je crois qu’il n’en a pas fini avec toi. Pensez tout de même à dormir un peu. Tu auras besoin de forces demain. »

Je ne compris pas trop où elle voulait en venir, mais les choses étaient claires. Ce soir en plus de découcher de chez moi, je passai la nuit avec un autre homme. C’était la première fois que je passerai la nuit avec quelqu’un autre que mon conjoint. Et il comptait bien profiter de la situation et de moi en conséquence.
par manukib56
#1971498
(…)
Nous quittions Céline pour aller dans la chambre parentale. J’attrapai au passage ma valise.

« Tu n’auras pas besoin de ça. Restes nue, je préfère. »

Céline embrassa Bertrand pour lui souhaiter bonne nuit et alla se coucher. Avant tout, elle prit le soin d’envoyer un petit message à Jean Pierre pour lui annoncer que sa petite amie était en train de se coucher avec son mari. Et que la nuit pour eux n’était qu’en train de commencer.

J’étais déjà au lit, pendant que Bertrand se déshabillait pour venir me rejoindre. Il se mit aussi dans la tenue d’Adam, son sexe était à nouveau en érection.

Bertrand n’était pas très endurant comparativement à d’autres hommes que j’ai pu connaitre ou même par rapport à Jean Pierre, mais il avait une qualité rare c’était de pouvoir retrouver une excitation très vite. Je n’étais donc pas prête à pouvoir dormir d’aussi tôt.

A peine m’avait-t-il rejoints dans le lit, qu’il m’embrassa à pleine bouche. C’était la première fois, je crois bien, que nous nous embrassions. Sa langue venait fouiller la mienne. Son souffle sur son visage en disait long sur son degré d’excitation. Sa main vint se glisser entre mes cuisses et avec son doigt venait titiller mon clitoris. Sa bouche descendit sur ma poitrine et vint l’aspirer. Sa langue dessinait des huit sur le pourtour des tétons tandis que ses doigts essayaient de s’introduire dans mon sexe.

Passive jusqu’à ce moment, j’entrepris à mon tour de jouer un rôle dans ce câlin nocturne. Doucement ma main glissa le long de son torse et descendit jusqu’à son sexe où doucement je commençai à le branler. Je sentais entre mes doigts sa peau se calotter et se décalotter au rythme que je lui imposais. L’envie de le prendre en bouche était maintenant belle et bien là. Je quittai ses lèvres pour venir m’abaisser à lui. Mon visage s’approcha doucement de son bas ventre, son sexe n’était maintenant plus qu’à quelques centimètres de ma bouche. Au moment au j’entrepris enfin de le prendre entre mes lèvres, il reteint ma tête.

« Non attends pas comme çà. Viens au-dessus de moi. » Guidé par lui, je passai au-dessus de lui, mes jambes se posèrent au niveau de son visage, et ma tête surplombait maintenant sa verge toujours en attente d’être sucée. Nous nous livrions à un soixante-neuf des plus torrides.

Tandis que je m’afférai à lui faire une fellation dont j’en avais le secret, sa langue fouillait mon sexe lisse et venait titiller avec intérêt mon petit bouton. Cette caresse buccale réveilla en moi un désir jouissif, ma bouche glissait plus en avant sur son sexe. J’essayai de le prendre au mieux au plus profond de ma gorge. Mon sexe quant à lui coulait du plaisir qu’il était en train de me donner. Des doigts se glissèrent dans ma fente et vinrent constater cette humidité.

Une autre main se glissa en dessous de moi, à la recherche d’un petit sein pendant. Il trouva mon sein droit et venait tirer sur le téton comme s’il voulait en faire sortir quelque chose.

J’ondulais mon bassin au-dessus de sa bouche pour bien faire glisser l’intégralité de ma fente sur sa langue.

Je salivai abondamment pour rendre la caresse encore plus douce. Ma main le branlait doucement tandis que ma langue ne cessait de parcourir sa verge et son gland ainsi découvert.

La caresse de trop eu raison de lui, je sentais entre mes mains une sorte de contraction. Il était sur le point lui aussi de jouir. Je savais qu’arrivé à ce stade, il n’aurait pu se retenir. Il était donc de mon devoir de lui offrir la plus belle explosion de plaisir.
Mes lèvres descendirent le long de son sexe essayant de venir toucher la base. Ma main massait ses testicules comme si je voulais en extraire le jus. Sa verge ainsi calée au fond de ma gorge, je donnai un dernier coup de grâce par un mouvement de tête.

Il quitta instantanément mon entre cuisse, reposa sa tête sur le lit, lâcha tout ce qu’il avait entreprit et dans un long gémissement très grave explosa dans ma bouche.

Malgré nos ébats de tout à l’heure il réussit tout de même à remplir ma bouche, me forçant à ne pouvoir tout avaler et laissé dégouliner le long de son sexe son doux et épais liquide blanchâtre.

Je continuai à le branler lentement, continuant ainsi à faire sortir encore les quelques millilitres de foutre qui lui restaient.
Son sexe se ramollissait petit à petit. Ma main ne pouvant le prendre, je pris le relai à nouveau avec ma bouche. J’aspirai fortement pour maintenir sa verge entre mes lèvres.

Voyant qu’il ne pouvait repartir d’aussitôt, il m’allongea sur le lit et vint glisser son visage entre mes jambes pour continuer son cunnilingus. Ses doigts venaient me doigter en même temps que sa langue se baladait sur tout mon sexe.
Il s’accordait quelques poses en venant sur moi pour m’embrasser. Sa langue avait le gout de ma jouissance. Pendant qu’il m’embrassait ses mains attrapaient mes seins ou caressait mes cuisses.

Cette étreinte était la plus douce qu’il soit. Je sentais sur mon ventre son sexe durcir lentement.
A moitié dur, il glissa légèrement en arrière pour venir frotter sa verge contre mes lèvres encore humides. Dans un basculement de bassin, il la fit entrer tout doucement dans mon sexe.

Couché sur moi, il me pénétra à la manière la plus câline qui soit. Je me rendais compte que cela faisait une éternité qu’on ne m’avait pas faite l’amour en missionnaire.

J’étais aux anges, mon corps exaltait de plaisir. Mes mains agrippaient ses fesses pour donner la mesure. Il ne cessait de m’embrasser. Nos langues s’entrechoquèrent avec une fougue d’adolescents.
Je levai délicatement mes jambes pour lui donner plus de place et le sentir ainsi toujours un peu plus en moi. Je veux sa jouissance en moi, je veux sentir son liquide chaud m’inonder.

Son souffle s’accéléra, avec son bassin il appuya un peu plus pour pousser son sexe au plus profond. Je sentis la chaleur inonder mon ventre, il était en train de se répandre en moi.
Exténués nous nous endormîmes quelques instants après.
par manukib56
#1989060
(…)

Nous avons passé la nuit collés l’un contre l’autre comme un nouveau couple d’amants. En position fœtus, il était derrière moi collé contre moi, m’enlaçant de son bras. Nous étions totalement nues.

Céline fit irruption dans la chambre et nous trouva ainsi lovés l’un et l’autre.

« Et bien là, tu vois, je rentre dans la chambre et je les trouve enlacés comme de jeunes amoureux. Je peux te dire que je les ai entendus couiner cette nuit. »
Elle était au téléphone.

« Ils ont dormi à poils. Si si je te jure, je les vois je suis devant. » Elle alla tirer la couverture.
« Et je peux même te dire que mon cher Bertrand est bien en forme ce matin ! »
L’érection du matin de Bertrand était difficilement dissimulable.
« Oui oui je te la passe. »

Encore endormie, Céline me passa le téléphone. Dans une voie roque je m’adressai au combiné.

« Oui allo ? »
« Chérie ? C’est Jean Pierre. Ça va ? Je venais aux nouvelles ? Tu as passé la nuit avec Bertrand à ce que m’a dit Céline. »
A moitié endormie je lui répondis succinctement « Mmh » je sentais dans sa voix une certaine gêne. Etait-il en train de regretter de m’avoir faire connaitre ce couple ?
« Et ça va cela c’est bien passé ? Ils ont été gentils avec toi ? »
« Mmh » pendant que Jean Pierre me parlait la main de Bertrand me caressait le corps. Sa main qui m’enlaçait empoignait mon petit sein gauche.
Sa main glissa entre mes seins et descendue au niveau de mon ventre et vint toucher mon entrejambe. Son doigt vint délicatement toucher mon petit bouton et le massa dans un mouvement circulaire. Mon souffle s’accentuait au rythme de ses caresses, de petits gémissements faisaient échos dans le combiné.
« Manue ça va ? »
« Il est en train de me caresser. C’est bon … J’aime ses caresses, il est si doux. Oh mon chéri si tu savais comme j’aime être dans ses bras. Je sens son sexe durcir. Il est derrière moi. » J’en rajoutai volontairement pour accroitre la jalousie naissante de mon conjoint. Mon amant semblait excité par la scène.

Son sexe se faufila entre mes fesses et vint trouver mon sexe. Son doigt laissa la place à sa verge.

Il allait lentement, il rentrait et sortait son sexe.
« Oh mon chéri !! Il est en moi. Il me baise. Mmmh je sens sa queue me pénétrer. Elle bonne sa queue. »
« Ma chérie … »
« C’est tellement bon … Il augmente le rythme. Il commence à me baiser fort. Oh je crois que je vais jouir. Mon chéri, il est ton copain est en train de me faire jouir. Ohh oui c’est bon … »
Bertrand se sentait pousser des ailes. Sa cadence était marquée il voulait aussi montrer à sa femme de quoi il était capable.
Il ne put se retenir plus longtemps et dans un cri sourd éjacula en moi.
« Oh lui aussi il jouit. »
« Il est en toi ? »
« Oui, il m’inonde. Je sens son foutre chaud me remplir. Comme c’est bon…. » Je raccrochai.
Céline semblait amusée de la tournure que prenait notre petit jeu. Mais si elle n’était pas non plus sans une petite pointe de jalousie par notre ébat amoureux.
« Va à la douche. Prépare-toi et rejoints nous en bas pour le petit déjeuner. Nous allons t’expliquer le programme de ta journée. ».
(…)
par manukib56
#2014364
(…)

Sortie de ma douche, je retrouvai le couple en bas attablé au petit déjeuner.

« Comment as-tu trouvé Thierry et Marion, hier soir ? » m’interrogea Céline.
« Très sympathique, comme je disais à Bertrand hier soir. »
« Ah vous avez réussi tout de même à discuter » lança-t-elle à son conjoint, amusée.
« Tu vas les rejoindre ce midi. Ils sont partis passer le week-end sur la presqu’île de Crozon. Je t’ai noté le téléphone de Thierry sur ce post’it. Une fois arrivée là-bas tu l’appelleras et il te donnera ses directives. »

Intriguée par ce qui m’attendait j’avais du mal à me concentrer sur le reste de la discussion.

Il était venu pour moi le temps de quitter mes hôtes. Au volant de ma voiture je faisais route sur Camaret sur mer.
Le temps était gris et pluvieux. J’augmentai le chauffage dans ma voiture. Cette atmosphère lourde, cela ne m’aidait pas à me détendre.

Après un peu plus d’une heure et demie de route, j’arrivai enfin dans ce petit port breton.
Garée, j’appelai Thierry pour connaitre ma mission. Ma voix était tremblante au téléphone.

Il me demanda de me rendre à l’hôtel qui était sur le Port. De monter directement chambre 105. Il y serait.
Je frappai à la porte, il m’ouvrit.

« Entre Manue. Content que tu sois venue. Marion est sortie pour faire une course. Nous avons très peu de temps pour te préparer. J’ai tout mis dans la salle de bain. Prépare-toi vite et je t’explique tout. »

La rencontre fut brève cela faisait à peine deux minutes que j’étais arrivée que me voici parquée dans la salle de bain. Par terre un sac de voyage jonchait sur le sol, je compris qu’il était à ma destination. Je l’ouvris et découvris un ensemble de lingerie noire, une paire de bas, une paire de chaussures noires à talons et surprise !!!! Un gode ceinture. Jamais je n’avais vu cela auparavant. Cet élément phallique en plastique était noir et comprenait une ceinture nylon pour l’accrocher autour de la taille. Et comme un gilet de sauvetage une sangle sous cutale venait maintenir stable cette protubérance.

Je me déshabillai, et m’habillai du mini string, du corset noir. Venait ensuite les artifices : porte-jarretelles, bas, talons.
Une fois n’ai pas coutume je me maquillai pour l’occasion.

« Tu es magnifique comme çà. Tu pourras attacher tes cheveux aussi ? » Thierry avait entre-ouvert la porte pour venir constater de l’état d’avancement de ma préparation

A l’aide d’un élastique je tirai mes cheveux en arrière dégagea ainsi ma nuque et me donna un côté un peu austère

« Parfaite. Bon pour faire bref, car Marion devrait arriver d’une minute à l’autre maintenant. Je voudrai ouvrir un peu l’esprit de Marion et l’amener comme toi à un certain lâcher prise sur le volet du sexe. Mon fantasme serait de la voir coucher avec un autre homme. L’entendre jouir sous les assauts d’un autre. Elle a un fort potentiel j’en suis sûr et ne demande qu’à éclore. »
« Mais pourquoi faire appel à moi ? Je suis une fille ! Vous dites vouloir voir un homme avec elle. »
« Oui je sais. Mais je pense qu’avec une fille c’est déjà une première étape moins traumatisante. »
Je commençais à comprendre l’utilité du gode ceinture.

Il l’entendit passer sa carte dans la porte, Marion était arrivée. Il me poussa vite dans la salle de bain pour me cacher le temps de mettre en condition sa petite protégée.

« Ah ma chérie, alors tu as trouvé ? »
« Oui y’avait une petite superette d’ouverte, j’ai trouvé une bouteille de champagne. Par contre en verre, je n’ai trouvé que des coupes en plastiques. »
« Ça fera l’affaire ! T’inquiète. »
« En tout cas c’est super mignon comme petit Port. Tu as bien fait de nous y amener. »
« Tu sais chérie, ce soir je voudrai que ce soit une soirée inoubliable. » Tout en débouchant la bouteille de champagne Thierry essayait d’amorcer la chose avec la plus grande délicatesse.

La bouteille débouché il servit le précieux liquide dans une flûte, puis une deuxième, et enfin une troisième.

« Mais, tu es dans la lune tu viens de servir dans une troisième coupe ? A moins que nous attendions du monde mais je ne vois que nous deux mon chéri ici ! » S’amusa Marion.
« Et si une troisième personne venait nous rejoindre, ça te dérangerait ? »
« Que veux-tu dire par là ? »
« Tu sais je t’ai déjà parlé de çà. Avec mon ex, nous avions comme qui dirait une sexualité un peu plus cool et moins sur la retenue. »
« Pourquoi tu ne te plais pas avec moi ? »
« Si, bien au contraire. Je me sens tellement bien avec toi que j’en veux plus. Je voudrai te voir jouir plus souvent. Tu sais hier quand nous sommes allés dîner chez Bertrand et Céline ? Je voulais te montrer qu’en vivant ce genre d’expériences cela pouvait renforcer la complicité de couple. La preuve en est avec Bertrand et Céline. Je t’en ai souvent parlé. Tu te souviens aussi de la jeune fille qui était chez eux ? »

« Comment l’oublier, ça n’est quand même pas courant d’être invité chez des gens et être servi par une gamine complètement nue »
A sa voix on entend un certain agacement. J’essayai de ne pas faire de bruit bien cachée dans la salle de bain.

Ils restèrent discuter ainsi un long moment. Thierry prêchant le pour et Marion campant sur la réserve.

J’entendis enfin mon prénom. Thierry m’invita à rentrer dans la chambre. Habillée en sous vêtement portant à la main un gode ceinture. Je fis une nouvelle fois mon effet devant cette femme.

Une coupe de champagne m’attendait. Assise sur le lit coupe à la main, je m’assieds à mon tour à côté d’elle. Thierry restait debout, ne cessant de tchacher. Le stress de la situation ne lui avait en tout cas pas coupé la parole.

Le champagne et ses fines bulles commencèrent à me fait l’effet escompté. Le contact passait bien avec Marion. Elle était gentille, douce. Au fil de nos discussions je m’approchai doucement. Nos épaules sont maintenant affleurantes. Thierry est spectateur de ce qui est en train de se passer sur le lit de cette chambre d’hôtel. Je tente un premier baiser dans le cou, la jeune femme ne semble pas hostile. Ma main se pose sur la cuisse et je l’embrasse à nouveau mais de manière plus marquée.

Mon baiser est plus appliqué et son visage se tourne. Elle m’embrasse. Nos lèvres se touchent. Je sens ses épaules se détendre. Elle ouvre délicatement sa bouche pour accueillir ma langue qui vint s’entrechoquer avec la sienne. Le baiser est langoureux et extrêmement sensuel.

Thierry est bouche bée devant cette scène improbable il y a encore quelques minutes. Ma main remonte sa cuisse et le plus délicatement possible vint d’abord sur son ventre et remonte jusqu’à son sein. Je la sens fébrile mais elle se laisse faire.
Elle s’habitue petit à petit à mon toucher, à mon baiser. Je saisis son habit et le fait passer au-dessus de sa tête. Elle porte de la lingerie raffinée, en dentelle.

Je lui dégrafe son soutien-gorge et doucement fit tomber ses bretelles une à une. Elle avait une poitrine aussi menue que la mienne. Ses seins étaient d’une toute beauté, arrondie, ferme avec une douce auréole rose où pointait légèrement un petit téton. Son sein gauche était délicieusement habillé d’un petit grain de beauté.

A son tour elle osa enfin me toucher, sa main caressait le dessus de ma poitrine, encore caché par mon bustier. Je le dégrafai à mon tour, pour lui donner l’entier accès. C’est sa bouche qui vint la première s’y poser dessus. Sa langue pudiquement vint jouer avec mon téton lui aussi durcit par l’excitation du moment.

Elle m’avoua enfin dans un murmure que je suis la première fille qu’elle embrasse et touche ainsi. J’en suis tellement flattée.
Nous nous lovions donc toutes les deux découvrant une à une nos corps respectifs. Marion était belle, fine, élancée. Ses formes étaient harmonieuses et son grain de peau pastel invitait à la caresse.

Je lui déboutonnai son pantalon et dans un mouvement très lent le fit descendre le long de ses jambes. Sa culotte était assortie à son haut. Une jolie lingerie dentelée cachait son petit triangle. Ma main la caressait par-dessus le tissu. Je ne voulais en rien brusquer quoi que ce soit. Mon doigt se glissait entre ses lèvres. Le voile de dentelle qui frottait contre son sexe s’humidifiait à chaque passage, sa respiration se faisait plus saccadée, son baiser était plus intense. Elle ne se décollait plus de ma bouche de peur de laisser s’échapper le moindre gémissement.

Ma main agrippa l’élastique de la culotte et le plus délicatement découvrit le fruit défendu. Son sexe apparaissait maintenant à moi. Il était minutieusement épilé, seul un petit trait à peine plus large que mon doigt dessinait l’échancrure de son sexe.
Elle était maintenant totalement nue. Je l’allongeai sur le lit. Je m’allongeai sur elle et l’embrassa fougueusement. Ma bouche quitta la sienne pour venir dans son cou, de son cou je descendis à sa poitrine, embrassa ses seins, puis son ventre. Pour venir au niveau de son bassin, et doucement son entre jambe.
D'abord le dessus de son sexe, les abords de sa vulve. Ses jambes s’écartèrent très lentement, m’invitant à venir la goûter. D'abord des baisers furtifs, puis plus appliqués. Vint alors ma langue qui se posa sur ses lèvres inférieures cherchant son petit bouton.
Il était là, mon petit bout de langue le trouva, le toucha, le titilla. Cela déclencha chez elle un électro choque, son bassin décolla du matelas, ses mains se crispèrent sur la couverture, sa tête bascula en arrière et un petit sorti enfin de sa bouche. Elle venait totalement de lâcher prise. Plus rien n’avait d’importance maintenant que son plaisir.

Ma caresse buccale s’intensifia, ma langue jouait maintenant avec son sexe. D’abord un doigt puis très vite un deuxième entrèrent dans son sexe. Nous restions ainsi un très long moment. Ses gémissements à peine perceptibles au début donnèrent place à de véritables petits cris de plaisir maintenant.

Thierry restait en retrait, contemplatif. Il savourait ce moment tant désiré.

Je lui murmurai à l’oreille que j’avais envie de lui faire l’amour comme un homme. Je m’apprêtai du du gode ceinture. Cette protubérance noire était de très belles dimensions, que ce soit dans la longueur mais aussi dans la largeur.

« Viens me prendre en bouche, comme tu prendrais un homme en bouche ! »

Elle s’agenouilla. Intimidée par la situation, elle essayait de ne pas croiser le regard de son chéri. Elle savait qu’elle était en train de glisser vers quelque chose de nouveau mais ne souhaitait pour l’instant se rattacher à quelque chose. Elle savourait cet instant sans trop se poser de questions.

Agenouillée devant moi, elle me regarda avec insistance recherchant un peu de complicité et d’assurance. Ma main saisit sa tête, d’une douce caresse je l’amène sans forcer à ma verge plastique.
Elle entrouvre ses lèvres et fit glisser l’objet dans sa bouche. Elle ferma les yeux pour sans doute s’imaginer qu’il s’agissait d’un vrai sexe. Mais l’illusion et la magie n’opéra pas.

Elle eut un recul franc.

« J’y arrive pas je suis désolée. Me mettre ce truc en plastique pensant être le sexe d’un homme, non franchement je n’y arrive pas ! »

(…)
par manukib56
#2018681
(…)

Elle était désolée de pouvoir continuer, mais cela était vraiment trop difficile pour elle. Cette mise en scène était trop brutale. Même si l’excitation était bien présente la situation l’incommodait trop.

Thierry la rassura sans porter de jugement. Il lui montra comment il était fier d’elle, à quel point il avait aimé la voir prendre du plaisir avec une personne que lui.

Mais il savait qu’il ne fallait pas s’arrêter là, la barre était franchie et un retour en arrière serait irréversible.
Tout en rassurant sa compagne, il ouvrit son pantalon. Le baissa pour en sortir son sexe déjà durcit par la scène qu’il avait assisté au premier rang.

Restée agenouillée tout ce temps, elle était prédisposée à pouvoir prendre son homme en bouche. Mais l’envie n’y était peut-être plus si intense.

Avec quand même une certaine délicatesse Thierry su se montrer insistant et plaqua son sexe contre les lèvres de son amie. Doucement il força sa bouche. Sa main retenait sa tête pour s’assurer qu’elle ne recule pas devant cette intrusion. Contrainte à le sucer, elle se laissa faire et ouvrit machinalement sa bouche suffisamment pour que la verge en érection s’y engouffre.
Elle resta très passive devant cette fellation imposée, Thierry prit par l’excitation était plus occupé à lui baiser la bouche qu’à se soucier du plaisir de sa chérie.

Je m’agenouillai derrière elle, passa mes mains devant pour lui saisir ses seins. Je lui embrassai le creux du cou et ses épaules pour essayer de donner un peu de sensualité à cette situation.
Mes bisous de compassion devaient faire leur effet, car je sentais une sorte de petit frisson sur le dessus de sa peau. Un mélange de chatouille et de plaisir agréable.

Thierry était très excité par cette situation où enfin il commençait petit à petit à pouvoir profiter de sa belle comme il l’entendait.
Cette fellation imposée, agrémentée de ma présence, l’amenaient doucement vers le vice. Elle commençait, sans réellement s’en rendre compte, devenir la petite soumise de ce monsieur. Elle allait comprendre que l’excitation de son homme allait devenir pour elle sa seule préoccupation.

Thierry poussait toujours un peu plus sa verge dans la bouche de sa demoiselle. Sa main agrippait maintenant fermement ses cheveux. Jamais auparavant il ne s’était fait sucer de la sorte. Tellement excité qu’il en oubliait ses codes de bonne conduite. Il sortit sa queue de la bouche et biffla pour la première fois Marion.

« Tu vas voir, on va te faire aimer la bite ! Ta bouche je vais te la baiser, comme on va te baiser après. Allez prends ma queue et suce moi ! »

Marion stoppa nette sous les coups de bite que lui affligeait son compagnon, d’ici là, toujours très courtois et attentionné envers elle. Elle découvrait le nouveau visage de Thierry.

Terriblement intimidée et aussi un peu apeurée, elle n’ose dire quoi que ce soit. Elle baissa les yeux et reprit le sexe en bouche. Elle manquait à chaque fois de s’étouffer tant cette bite s’enfonçait plus profondément. Il lui malaxait les seins comme jamais il ne l’avait fait avant. Il était devenu viril et insistant.

Il me fit signe de me tenir prête. Je saisi mon attirail et m’harnacha le gode ceinture autour de la taille.
« Allez, tu vas te faire baiser maintenant ! Tu n’attends que çà hein ? Qu’une bonne grosse bite vienne te baiser. Mais aujourd’hui ce ne sera pas la mienne. Tu vas voir je vais te faire aimer celles des autres aussi. »

Il dégagea son sexe de sa bouche. Elle ne répondit pas. Il appuya sur ses épaules pour lui faire comprendre qu’elle devait se mettre à quatre pattes à même le sol. Jamais avant cela elle n’avait été mise dans cette situation. A genoux derrière elle, appariée de mon sexe en plastique, je posai mes mains sur ses hanches. Avec ma main droite je guidai la verge vers ses lèvres inférieures et le plus doucement possible entama la pénétration. Son visage était baissé face au sol, honteuse d’être dans cette situation.

« Tu la sens ma chérie, cette queue qui est en train de te baiser. Comme tu es belle ! Vas-y ma chérie prend le plaisir où il est. Enlève toute la culpabilité que tu peux ressentir, vis ce moment. »

Pendant qu’il était en train de l’encourager, je commençai à mon tour mes vas et viens. Je sentais au fur et à mesure moins de résistance, l’outil coulissait de mieux en mieux. Son plaisir était en train d’inonder son sexe et favorisait le glissement du jouet en plastique.

Des tous petits gémissements à peine perceptibles commençaient à se faire entendre. Son front se décolla du sol. J’accélérai la cadence. Ses cris devinrent plus audibles. Elle se redressa sur ses bras et commençait à suivre mes battements par son déhancher.

« Oh oui ! »

D’un mouvement de rein bref elle s’enfonça le gode jusqu’à la garde. Elle était maintenant bien prise par celui-ci. Elle releva sa tête pour regarder enfin Thierry, qui lui répondit par un sourire.

Il était aux anges de la voir ainsi petit à petit prendre véritablement conscience du bien fait de cette nouvelle expérience.
Excité au plus haut point, il s’avança devant elle, l’embrassa avant de présenter son sexe à nouveau pour se faire prendre en bouche.

La belle Marion le prit aussitôt entre ses lèvres tandis que je continuais ma chevauchée. Elle le suça cette fois si avec beaucoup de vigueur. Il n’avait plus besoin de lui tenir la tête ni même de forcer pour l’infliger de tout prendre son organe en bouche.
Elle était totalement métamorphosée. Dans un état second, enivrée par le désir et le sexe. Jamais elle n’avait fait cela avant mais tout lui venait d’instinct. Sa langue le lécher comme jamais. Elle venait elle-même tapoter sa langue avec le sexe qu’elle tenait en main.

Tout en prodiguant une fellation hors norme à son ami, c’était maintenant elle qui tenait la cadence de la pénétration. Dans un mouvement de balancier elle venait elle-même coulisser le long du gode.

Je me retirai pour venir m’allonger sur le lit. Elle passa au-dessus de moi, accroupie au-dessus du gode, elle le prit en main pour venir se l’introduire elle-même. Hissée sur ses jambes elle commença ses montées et descentes. Ses seins remuaient à chacun de ses mouvements. Elle les prit même en mains pour se les malaxer. Thierry monta sur le lit et profita une nouvelle fois pour se faire sucer. Plus rien ne pouvait l’arrêter. Ses cris étaient maintenant très marqués, elle jouissait au-dessus de moi. A entendre sa voix, on croirait même qu’elle n’ait jamais connu avant tel plaisir.

Sa main branlait énergiquement le sexe de Thierry, tout en s’afférant à le sucer avec insistance.
Thierry la pelotait en même temps et s’avouerait ce moment magique. Lui aussi sentait monter en lui le plaisir.
Jusqu’à aujourd’hui il avait toujours jouit en elle. Jamais il n’aurait osé lui jouir sur le corps et encore moins dans la bouche. Mais cette fois c’était différent, il comptait bien profiter de cette occasion.

Il sorti son sexe de la bouche de Marion. Tout en la complimentant, il se masturbait juste à côté d’elle.

« Oh ma chérie, comme tu es belle ainsi, pleine de plaisir. »
Il approcha son sexe juste au-dessus d’elle. Elle le regardait avec inquiétude ne comprenant pas trop ce qu’il était en train de faire.
« Oh ma chérie, regardes comment tu me fais jouir. » De son sexe sorti un jet de sperme qui vint s’étaler sur ses petits seins. Le liquide était épais et en quantité.

Il continuait à se branler tout en déversant son foutre chaud sur sa peau. Il l’étalait à mesure sur la poitrine.
Une fois terminé, il releva la tête de Marion et l’embrassa fougueusement. Ils avaient totalement fait abstraction à ma présence.
Je quittai donc la demoiselle et alla à la salle de bain laissant les deux tourtereaux reprendre leurs esprits. Je les entendais discuter.

L’heure était venue au débriefing. L’excitation retombée c’était maintenant un petit sentiment de honte et d’incompréhension qui était en train de reprendre le dessus. Thierry faisait tout en sorte de rassurer Marion.

« Mais pourquoi m’as-tu éjaculé dessus ? »
« N’as-tu pas aimé ? »
« Je sais pas »
« En tout cas moi ca m’a beaucoup plus. J’ai aimé aussi te voir prendre du plaisir avec Manue. Tu aimerais qu’un autre homme prenne sa place un de ces jours ? »
« Je ne sais pas … »

Je quittai la chambre le devoir accompli et heureuse d’avoir pu contribuer à ce bonheur.
par manukib56
#2020433
L’accompagnatrice.

Un mois après ma petite escapade sur la presqu’île de Crozon, Thierry contacta Jean-Pierre pour lui faire part de son immense gratitude. Et que sans son aval et ma participation à ce rendez-vous jamais il n’aurait pu franchir ce cap avec Marion.
Ils restèrent un long moment au téléphone à échanger leur point de vue et conseils pour bien réussir cette transition.
Thierry ne manquait pas d’éloges envers moi qui ravissaient l’égo de mon homme. Et ne voulait pas s’arrêter en si bon chemin dans l’éducation sexuelle de son amie. Aussi il demanda la permission à mon homme de pouvoir une nouvelle fois avoir recours à mes services.

Le projet qu’il comptait à nouveau mener serait porté par Céline. Après avoir beaucoup discuté avec Marion, il s’avèrerait que Bertrand répondait pleinement aux critères de l’homme avec qui elle s’imaginerait bien cocufier son partenaire. Mais toujours autant sur la réserve quant à ce passage délicat, elle évoqua que la présence ma présence lui permettrait peut-être de la rassurer.
Jean Pierre était mitigé sur cette sollicitation, autant il trouvait çà important pour mon épanouissement d’attiser toujours ce désir sexuel autant il commençait timidement à ressentir une forte jalousie envers Bertrand, avec qui je commençais à prendre du plaisir non dissimulable.

Pour mon petit sexagénaire, cela devenait dangereux de me laisser continuer mais à contre cœur il accepta.

C’était donc Céline qui avait l’entière responsabilité de l’organisation de cette nouvelle rencontre.

Deux semaines après ce coup de téléphone, Jean Pierre m’annonça que nous serions pris ce week-end. Céline aurait réservé quelque chose près de Carnac et que nous étions conviés. Thierry et Marion seraient bien entendu de la partie.

Pour cela, je devais m’y rendre avant pour les « préparatifs » comme le disait Jean Pierre.

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