- 22 juil. 2010, 13:08
#60463
Après l’aveu de sa baise avec le Dr A. et le rappel de s’être fait tirer par André, j’avais compris et admis que ma chérie aimait trop la bite pour se contenter de la mienne. En conséquence je lui avait proposé de coucher avec tous les hommes qui lui font envie et qui lui plaisent, à la seule condition de toujours le faire devant moi, avec ou sans ma participation active... Et pour montrer ma bonne volonté, j’avais commencé à sélectionner sur le Minitel rose des partenaires de sexe pour ma chérie.
Tant qu’à faire à être cocu, autant que je choisisse et que je prenne aussi du plaisir!
Puis un soir, ma femme m’a raconté son entrevue avec son professeur de Lettres qui l’avait convoquée pour un oral. C’était imortant pour obtenir la licence qui lui permettrait de travailler.
Elle y était allé, habillée comme toujours, c’est à dire nue sous une minirobe ... Elle n’avait réalisé la situation que lorsqu’elle a remarqué le regard avide fixé sur ses seins et la braguette de son professeur qui gonflait et moulait son sexe qui se durcissait pour elle.
Alors vu notre accord, ma chérie s’est dit qu’elle pouvait avoir son examen sans efforts ...
Très excité j’ai donc demandé des tas d’explications et si détaillées qu’ Agnès m’a proposé de rejouer ensemble son oral pour que je sois bien au courant de tous les détails.
Elle a donc réenfilé sa minirobe, j’ai mis pantalon et chemise et nous avons commencé. Je tenais le rôle de son professeur, elle jouait bien sûr le sien, en m’expliquant tout ce que je devais lui faire:
Pour commencer Agnès s’est assise ...
- passes derrière moi, et passes ta main sous la robe par en haut
- main droite?
- oui, tu prends mon sein droit et tu me le caresses
- comme çà?`
- non, tu palpes doucement puis tu me titilles le téton, tout en me posant des questions
- et l’autre sein?
- non, pas de suite, oui, tu fais exactement comme lui, c’est délicieux ! c’est ça, et après, il a ouvert la robe, l’a descendue jusqu’à la taille et a empoigné un sein dans chaque main pour me les peloter, tout en me parlant, oui comme ça,
...
- et toi ?
- je bredouillais des réponses en le laissant faire.Puis je me suis tue et j’ai fermé les yeux pour goûter les caresses. Il l’a remarqué et a passé aux tétons, les deux, doucement ....tires dessus ...
oh c’est bon, exactement comme il a fait; tu es doué,.. encore un peu
- et maintenant ?
- mets toi devant moi, tiens moi le sein gauche et otes moi la robe, encore, complètement
- tu es à poil maintenant et tu as les cuisses ouvertes, je vois ta chatte
- lui aussi ça l’a terriblement excité, il a ouvert sa braguette de sa main libre
- et je sors maintenant ma bite ?
- non, la sienne a jailli d’un coup, dirigé vers ma figure
- comme ça ?
- exactement, mais il était circoncis, pas comme toi., et il m’a montré de tout près, longtemps, en se masturbant lentement et en me le présentant de tous les côtés en me tripotant les seins
- je crois que je sais pourquoi ... continue,
- écartes moi en grand les jambes maintenant, non, pas comme ça, plus écartées et places toi entre, plus près. J’ai vu sa bite juteuse descendre vers ma chatte ouverte et senti frôler les lèvres de mon sexe....; arrêtes de me tripoter les seins, et ouvres moi le sexe Mets un doigt dedans et fais moi plaisir
- le clitoris aussi?
- je ne sais pas, là il m’a fait du bien
.... oui, encore, c’est ça, continue... elle gémit et se tortille ...
je la fais se lever, secouée de spasmes; je m’assied et la prends sur mes genoux, sa chatte pointée par ma bite et la conversation reprends:
- alors ?
- je lui ai pris sa queue et je l’ai frottée lentement, comme ça
- tu me le dresses à fond, je sens le foutre monter
- lui aussi, il a commencé à sortir de la mouille, et à gémir, c’était tout doux de le frotter; j’étais assise face à lui, les jambes ouvertes de part et d’autre des siennes
-tu attendais donc qu’il te la rentre ?
- c’est ça; et il m’a titillé le clitoris, ... plus vite mon chéri si tu veux me donner du plaisir comme lui
- et vous vous êtes masturbés longtemps ?
- oui, très longtemps, il me racontait des choses pendant ce temps
- quoi?
- comme quoi j’étais superbe, sexy, avec des seins comme il aimait,, et qu’il me trouvait adorable, libérée, qu’il voulait que je devienne sa maîtresse, que je serai nue tout le temps chez lui, qu’il me ferait jouir tous les jours, que je serai sa muse, qu’il m’éduquerait
- et sa bite ?
- elle était très douce et dure, très juteuse. Longue aussi. Il bafouillait, me disait chérie quand je lui passai sur le gland en serrant, et je le calmai en lui soupesant les couilles
- et lui te faisait du bien ?
- et comment, c’est un caressant extraordinaire, il m’a fait jouir avec ses doigts, oui comme ça ...non entre et sort un doigts, non c’était plus gros, ... deux doigts ou trois ... j’ai crié je crois plusieurs fois ...
- et après ?
- couches moi sur le bureau, mets toi entre mes jambes et prends la bite en main
- et je te la mets ?
- bien sûr, comme lui, oui, NON, pas comme ça, plus doucement, d’un mouvement très coulé, presqu’indifférend Je ne me suis aperçu qu’il me baisait que quand il a été tout au fond et que ses couiilles ont buté contre mon cul. Il est si fin et si glissant qu je ne l’ai pas senti rentrer. Pas comme toi, qui me défonce le vagin
- c’est que j’ai une grosse queue, au bout rond qui te force l’entrée
- oui et j’aime tellement ça, mon chéri. Viens, baise moi!
- et lui ? il t’a aussi ramoné et rempli de foutre ?
- oh non! dès que je l’ai senti bouger pour me faire le va et vient, je l’ai laissé faire queques instants et quand j’ai senti qu’il allait jouir je lui ai expliqué que je ne prenais pas de pilule. Il s’est arrêté de suite
- il devait être prêt d’éclater!
- évidemment; je l’ai branlé immédiatement et je lui ai essoré les couilles. C’était extraordinaire, il jutait en poussant des petits cris à chaque giclée mais en me remettant les mains sur sa bite à chaque fois pour que je lui en fasse encore cracher; une bonne dizaine de jets de foutre blanc bien épais
- sur tes nichons, comme celui que je lance ?
- oui mon chéri
...
Ma bite pendouille, flasque, mes couilles sont vides, Agnès a une grosse flaque de sperme qui dégouline sur ses nichons ! Nous avons joui comme jamais en revivant cette coucherie. Après un lon,g silence je me tourne vers elle:
- j’ai bien aimé cette coucherie, et toi ?
- tu m’as fait grimper au plafond !
- tu as aussi joui avec ton prof ?
- ... beaucoup
- tu es une petite salope...
- c’est ce que tu aimes, non? et c’est parceque j’ai couché avec lui.que j’ai réussi ma licence!
- c’est vrai. Tu es MA petite salope chérie, tu veux bien ? ...
- je dois encore te dire qu’avant de me laisser partir, il m’a demandé un souvenir ...
- quoi ? pas ta culotte, tu n’en as pas!
- il m’a fait poser pour des photos et m’a dit que ce serait mon examen! alors j’ai pris les poses qu’il voulait et il m’a photographiée nue
- explique moi,? tu vas me faire bander !
- tu verras, lundi matin je dois passer chercher mes notes et les clichés dans son bureau ... Je pense que tu seras très content de ta petite salope chérie.
Lorsque j’ai vu les photos, j’ai bandé, ma femme était superbe et j’aimais beaucoup la voir ainsi se livrer à son prof!
Puis Agnès m’a révélé des détails croustillants, sur ce qui s’était passé après, et comment il avait fait pour les photos. Je n’avais en effet pas remarqué que son professeur figurant sur les clichés, il y avait un truc !
En fait le professeur avait toute une installation pour prendre des photos porno. Il semblait être habitué, car il est resté très ferme et professionnel en photographiant pendant qu’il se faisant titiller Agnès pour qu’ elle soit en train de jouir sur la photo où elle propose son sexe ouvert!
J’ai aussi appris que des colllègues à lui verraient ma fiancée à poil, ouverte et salope car il montrait ses photos de conquêtes, et que Agnès recevait beaucoup de propositions pour des cours particuliers ...
Comble d’ironie, il a remis à Agnès quelques paquettes de pilules pour qu’elle puisse “se faire mettre à fond la prochaine fois” ...
Tant qu’à faire à être cocu, autant que je choisisse et que je prenne aussi du plaisir!
Puis un soir, ma femme m’a raconté son entrevue avec son professeur de Lettres qui l’avait convoquée pour un oral. C’était imortant pour obtenir la licence qui lui permettrait de travailler.
Elle y était allé, habillée comme toujours, c’est à dire nue sous une minirobe ... Elle n’avait réalisé la situation que lorsqu’elle a remarqué le regard avide fixé sur ses seins et la braguette de son professeur qui gonflait et moulait son sexe qui se durcissait pour elle.
Alors vu notre accord, ma chérie s’est dit qu’elle pouvait avoir son examen sans efforts ...
Très excité j’ai donc demandé des tas d’explications et si détaillées qu’ Agnès m’a proposé de rejouer ensemble son oral pour que je sois bien au courant de tous les détails.
Elle a donc réenfilé sa minirobe, j’ai mis pantalon et chemise et nous avons commencé. Je tenais le rôle de son professeur, elle jouait bien sûr le sien, en m’expliquant tout ce que je devais lui faire:
Pour commencer Agnès s’est assise ...
- passes derrière moi, et passes ta main sous la robe par en haut
- main droite?
- oui, tu prends mon sein droit et tu me le caresses
- comme çà?`
- non, tu palpes doucement puis tu me titilles le téton, tout en me posant des questions
- et l’autre sein?
- non, pas de suite, oui, tu fais exactement comme lui, c’est délicieux ! c’est ça, et après, il a ouvert la robe, l’a descendue jusqu’à la taille et a empoigné un sein dans chaque main pour me les peloter, tout en me parlant, oui comme ça,
...
- et toi ?
- je bredouillais des réponses en le laissant faire.Puis je me suis tue et j’ai fermé les yeux pour goûter les caresses. Il l’a remarqué et a passé aux tétons, les deux, doucement ....tires dessus ...
oh c’est bon, exactement comme il a fait; tu es doué,.. encore un peu
- et maintenant ?
- mets toi devant moi, tiens moi le sein gauche et otes moi la robe, encore, complètement
- tu es à poil maintenant et tu as les cuisses ouvertes, je vois ta chatte
- lui aussi ça l’a terriblement excité, il a ouvert sa braguette de sa main libre
- et je sors maintenant ma bite ?
- non, la sienne a jailli d’un coup, dirigé vers ma figure
- comme ça ?
- exactement, mais il était circoncis, pas comme toi., et il m’a montré de tout près, longtemps, en se masturbant lentement et en me le présentant de tous les côtés en me tripotant les seins
- je crois que je sais pourquoi ... continue,
- écartes moi en grand les jambes maintenant, non, pas comme ça, plus écartées et places toi entre, plus près. J’ai vu sa bite juteuse descendre vers ma chatte ouverte et senti frôler les lèvres de mon sexe....; arrêtes de me tripoter les seins, et ouvres moi le sexe Mets un doigt dedans et fais moi plaisir
- le clitoris aussi?
- je ne sais pas, là il m’a fait du bien
.... oui, encore, c’est ça, continue... elle gémit et se tortille ...
je la fais se lever, secouée de spasmes; je m’assied et la prends sur mes genoux, sa chatte pointée par ma bite et la conversation reprends:
- alors ?
- je lui ai pris sa queue et je l’ai frottée lentement, comme ça
- tu me le dresses à fond, je sens le foutre monter
- lui aussi, il a commencé à sortir de la mouille, et à gémir, c’était tout doux de le frotter; j’étais assise face à lui, les jambes ouvertes de part et d’autre des siennes
-tu attendais donc qu’il te la rentre ?
- c’est ça; et il m’a titillé le clitoris, ... plus vite mon chéri si tu veux me donner du plaisir comme lui
- et vous vous êtes masturbés longtemps ?
- oui, très longtemps, il me racontait des choses pendant ce temps
- quoi?
- comme quoi j’étais superbe, sexy, avec des seins comme il aimait,, et qu’il me trouvait adorable, libérée, qu’il voulait que je devienne sa maîtresse, que je serai nue tout le temps chez lui, qu’il me ferait jouir tous les jours, que je serai sa muse, qu’il m’éduquerait
- et sa bite ?
- elle était très douce et dure, très juteuse. Longue aussi. Il bafouillait, me disait chérie quand je lui passai sur le gland en serrant, et je le calmai en lui soupesant les couilles
- et lui te faisait du bien ?
- et comment, c’est un caressant extraordinaire, il m’a fait jouir avec ses doigts, oui comme ça ...non entre et sort un doigts, non c’était plus gros, ... deux doigts ou trois ... j’ai crié je crois plusieurs fois ...
- et après ?
- couches moi sur le bureau, mets toi entre mes jambes et prends la bite en main
- et je te la mets ?
- bien sûr, comme lui, oui, NON, pas comme ça, plus doucement, d’un mouvement très coulé, presqu’indifférend Je ne me suis aperçu qu’il me baisait que quand il a été tout au fond et que ses couiilles ont buté contre mon cul. Il est si fin et si glissant qu je ne l’ai pas senti rentrer. Pas comme toi, qui me défonce le vagin
- c’est que j’ai une grosse queue, au bout rond qui te force l’entrée
- oui et j’aime tellement ça, mon chéri. Viens, baise moi!
- et lui ? il t’a aussi ramoné et rempli de foutre ?
- oh non! dès que je l’ai senti bouger pour me faire le va et vient, je l’ai laissé faire queques instants et quand j’ai senti qu’il allait jouir je lui ai expliqué que je ne prenais pas de pilule. Il s’est arrêté de suite
- il devait être prêt d’éclater!
- évidemment; je l’ai branlé immédiatement et je lui ai essoré les couilles. C’était extraordinaire, il jutait en poussant des petits cris à chaque giclée mais en me remettant les mains sur sa bite à chaque fois pour que je lui en fasse encore cracher; une bonne dizaine de jets de foutre blanc bien épais
- sur tes nichons, comme celui que je lance ?
- oui mon chéri
...
Ma bite pendouille, flasque, mes couilles sont vides, Agnès a une grosse flaque de sperme qui dégouline sur ses nichons ! Nous avons joui comme jamais en revivant cette coucherie. Après un lon,g silence je me tourne vers elle:
- j’ai bien aimé cette coucherie, et toi ?
- tu m’as fait grimper au plafond !
- tu as aussi joui avec ton prof ?
- ... beaucoup
- tu es une petite salope...
- c’est ce que tu aimes, non? et c’est parceque j’ai couché avec lui.que j’ai réussi ma licence!
- c’est vrai. Tu es MA petite salope chérie, tu veux bien ? ...
- je dois encore te dire qu’avant de me laisser partir, il m’a demandé un souvenir ...
- quoi ? pas ta culotte, tu n’en as pas!
- il m’a fait poser pour des photos et m’a dit que ce serait mon examen! alors j’ai pris les poses qu’il voulait et il m’a photographiée nue
- explique moi,? tu vas me faire bander !
- tu verras, lundi matin je dois passer chercher mes notes et les clichés dans son bureau ... Je pense que tu seras très content de ta petite salope chérie.
Lorsque j’ai vu les photos, j’ai bandé, ma femme était superbe et j’aimais beaucoup la voir ainsi se livrer à son prof!
Puis Agnès m’a révélé des détails croustillants, sur ce qui s’était passé après, et comment il avait fait pour les photos. Je n’avais en effet pas remarqué que son professeur figurant sur les clichés, il y avait un truc !
En fait le professeur avait toute une installation pour prendre des photos porno. Il semblait être habitué, car il est resté très ferme et professionnel en photographiant pendant qu’il se faisant titiller Agnès pour qu’ elle soit en train de jouir sur la photo où elle propose son sexe ouvert!
J’ai aussi appris que des colllègues à lui verraient ma fiancée à poil, ouverte et salope car il montrait ses photos de conquêtes, et que Agnès recevait beaucoup de propositions pour des cours particuliers ...
Comble d’ironie, il a remis à Agnès quelques paquettes de pilules pour qu’elle puisse “se faire mettre à fond la prochaine fois” ...
