Voici la suite du récit:
Céline allume l’abat jour. SURPRISE.
Le noir est là, il regarde la pièce et siffle d’admiration. Mais il n’est pas seul. Un autre noir est avec lui. Il paraît plus âgé et il est plus corpulent et plus grand.
Je ne comprends pas et je pense que tout est fichu.
J’observe par la porte entrebâillée.
Et les deux noirs, comme un ensemble bien synchronisé, se collent à Céline, un derrière et un devant.
Je n’en reviens pas, c’est la première fois que Céline fait ça avec deux hommes.
Les noirs la tournent, la retournent, la palpent de partout. Elle change de bouche, sans arrêt.
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Se faisant, ils la déshabillent, elle est nue.
Le grand siffle d’admiration.
« Une blanche neige, sans culotte, ça doit être une belle salope, ont va bien s’amuser »
Ils la soulèvent et l’allonge sur le lit.
Ils se déshabillent aussi, rapidement.
Céline se redresse. Sa tête va de gauche à droite. Ses yeux grands ouverts.
« C’est pas possible, j’ai jamais vu ça ... ils sont énormes ... »
Les noirs éclatent de rire.
Le plus petit, dit : « 27 par 5 pour vous servir, Madame »
Et le plus grand : « 28 par 6 pour vous farcir, salope »
Chacun d’eux est agenouillé de part et d’autre de Céline.
Elle saisi une queue, puis l’autre. Sa petite main n’arrive pas à se refermer sur les colonnes de chair, bien dure. Elle branle les deux en même temps.
Les noirs caressent ses seins et se laissent masturber. Je vois leurs couilles aussi grosses en proportion.
Ils fouillent sa chatte ouverte avec chacun 5 doigts.
« Elle mouille comme la fontaine de mon village, dit le plus grand »
« Comment vous vous appelez demande Céline ? »
Le plus grand dit : Moktar. Le second dit : Bouba.
Moi c’est Céline, mais vous le savez déjà.
Alors, Bouba, dit : Je vais jouir de ta main salope de blanche, tu m’excites trop
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Et il décide qu’il y a mieux ... il saisi Céline par les cheveux et lui fourre le gland dans la bouche. ( elle ne pourrait pas en prendre d’avantage )
Il éjacule, il grogne en lui maintenant son sexe dans la bouche. Il jute son sperme qui à voir les efforts de déglutition de Céline, doit être en quantité industrielle. Au moins 30 secondes qu’il éjacule ainsi et il reste la bite dans sa bouche.
« Oh la pute ... elle a tout avalé ... qu’est-ce que je lui ai mis dans le gosier, tout le jus de mes couilles »
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Fouda, le plus grand, veux aussi sa part.
Il se couche sur Céline. Relève ses jambes et pointe son engin à l’entrée de la vulve bien mouillée.
« Tu vas connaître le bangala dit-il. Tu vas crier pute de blanche »
Il pousse doucement, lentement mais sans s’arrêter jusqu’au couilles. La pénétration a bien duré 10 secondes. Il s’arrête.
Céline souffle, souffle, comme pour un accouchement ... Elle ouvre les yeux, regarde le noir qui est entre ses cuisses, sa bite dans sa chatte.
Elle se redresse sur ses coudes et demande :
« Sors ta queue, mais laisse le bout l’intérieur »
Le noir s’exécute.
Céline regarde le gros sexe qui la possède et dit : Maintenant baise moi.
Elle s’allonge et ferme les yeux.
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La baise commence. Le noir s’active, il rentre et sort, doucement, vite, doucement et ainsi de suite. Il soulève Céline par les hanches, l’allonge à nouveau, il se couche sur elle, ils s’embrassent, bouches ouvertes, langues sorties. Les jambes de Céline enserrent la taille du noir, qui la besogne si bien.
Il se met sur ses genoux, lève les jambes de Céline et la baise, la baise en s’enfonçant à fond.
Céline est au bord de la syncope. Son souffle est saccadé et ses soupirs sont roques.
Elle parle :
« boub ... boub ... bouba, baise moi, baise moi ... ouvre moi, c’est dément, je ne jouis plus, je suis la jouissance en permanence, jamais je n’ai connu ça ... c’est trop, je ne fais que jouir, je coule ... »
« C’est ton pied, salope, tu as connu le noir, le noir tu connaîtras. Tu ne voudras plus ton mari, après moi. Tu feras la pute pour venir me voir, pour que je te baise »
Il tapait fort et à chaque fois il entrait à fond, je ne savais pas comment Céline pouvait accepter ça dans sa chatte, mais je compris aussitôt qu’elle dit :
« J’en prends plein la chatte, tu m’écartes, tu m’ouvres, tu m’ouvres l’utérus, je te sens bien au fond. C’est fou, je suis transpercée »
Elle se mit à crier et parla en râlant :
« Tu jouis, salaud, tu jouis ... je te sens, tu coule ton sperme ... c’est chaud, c’est trop, tu inondes mon ventre ... j’en peux plus .... »
Elle s’arrêta net et ne bougea plus.
Lui continuait, doucement de la baiser pour se vider complètement. Puis se retira satisfait.
Fouda qui bandait à nouveau fermement, pris Céline, la retourna, la fit mettre à quatre pattes et lui suça l’anus.
Il voulait l’enculer.
Il la suça et lui dilata le cul avec ses doigts.
Céline se laissait faire, mais remuait du cul. Ses ballottaient.
Fouda approcha et présenta sa bite au cul de Céline.
Elle réagit, leva la tête et cambra les reins. Prête à la sodomie dantesque.
Il poussa, la pression ouvrit l’anneau culier. Le gland passa. Céline poussa un cri étouffé.
« Doucement, doucement, Moktar, tu es gros, doucement ?
Moktar s’arrêta, l’autre riait. Moktar poussa et s’arrêta. Il recommença encore. Encore. Enfin il fut calé à fond. Toute la longueur de sa queue noire dans le cul de ma femme.
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Les couilles devaient toucher la vulve.
Les 2 partenaires, homme noir et femme blanche, s’activèrent ensemble. Lui voulant la prendre et elle désirant être prise.
La bite dans le cul de la femme sortit et y rentra de nouveau. Cette femme, ma femme.
« Moktar, ooohhh Moktar, tu me défonces le cul. Tu me donnes du plaisir. Je suis à toi. Tu me fais trop de bien, si tu savais ... ooohhh comme c’est bon ton gros sexe dans mon cul, je me sens prise, embrochée. »
C’est Bouba qui répondit : ( Il était, en effet, plus vicieux que Moktar )
« Oui, c’est ça chienne de blanche, tu es bien prise par un gros sexe de noir. Tu n’es qu’une pute qui aime les grosses queues noires et tu vas en avoir. Tout de suite d’ailleurs. »
Il se leva de son fauteuil la bite à la main.
Il se glissa sous le couple, entre leurs jambes.
Se soulevant du bassin, il présenta sa queue à la vulve de Céline, qui l’accepta en écartent les jambes. Elle le voulait, elle voulait connaître ça. C’est elle qui s’enfonça, à son rythme, la queue de Bouba dans la chatte.
Les deux énormes sexes des noirs étaient en elle.
Le trio bougea. Moktar l’enculait et Bouba la baisait.
Ma femme, mon amour d’épouse blanche était prise par les deux bites noires.
Le contraste était merveilleux. Je bandais mais je ne me touchais pas.
Mes yeux prenaient des photos.
Je regardais, j’écoutais.
Céline n’était plus qu’un râle permanent, un soupir continu, la jouissance perpétuelle.
Les 2 noirs s’activaient chacun dans son trou.
Ils la baisaient, maintenant, sans ménagement, aussi fort qu’ils pouvaient.
Ils parlèrent en patois et changèrent de place.
Fouda dans la chatte et Bouba dans le cul.
Céline n’était qu’un pantin désarticulé, entre leurs mains.
Ils n’arrêtaient pas. Cette cavalcade a duré au moins 10 mn.
Ils parlaient ensemble, à tour de rôle.
Céline disait sans cesse, en se trompant de nom :
« Moktar je t’aime, je suis sexuellement à toi pour la vie ... Tu encules ta femme blanche, ou Bouba, je suis ta pute, je t’appartiens, je veux être enceinte de toi ... Je ne veux plus partir, je suis à vous » Elle délirait de jouissance.
Et Moktar et Bouba :
« Chienne de blanche, tu es pleine de partout, ton cocu de mari, il es où, ( s’ils savaient ) pute, 2 queues noires dans ton ventre et ton cul, on va te remplir de notre sperme. »
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Voilà comment ils jouirent tous les trois dans un concert bien organisé.
Les noirs se retirèrent de ma femme et elle s’écroula sur le lit.
Ils s’habillèrent et partirent.
Je sortis de ma cache, nu, le sexe bandé à mort.
Je me mis à genoux sur le lit entre ses jambes écartées. Je ne voyais pas très bien.
Doucement, je l’ai retournée, bien écarté ses cuisses et là, j’ai vu. J’ai vu le sperme coulait du vagin de ma femme.
Je me lovais sur Céline. Elle ne bougeait pas. Je m’introduisis en elle. C’était brûlant, le sperme du noir était chaud.
Je la baisais, sans aucune réaction de sa part. Elle ne me sentait même pas, mais moi, je me régalais. Je la baisais en revoyant les images. Les deux noirs la possédant.
Je me traitais moi-même de cocu qui donne sa femme à d’autres. De cocu qui aime que sa femme fasse la pute.
J’ai jouis, en pensant :
Voilà que je jouis de ma femme qui vient de se faire enculer par un noir et dans le sperme de celui qui la baisait.
Je me suis allongé à coté d’elle et j’ai entendu faiblement :
« C’est bon d'être cocu par des noirs ... ? »
Je n’ai pas répondu.
Céline n’a émergé qu’à 18 heures.
Elle était cassée, c’est le cas de le dire. Elle n’en revenait pas. Elle me dit :
« Daniel, j’ai connu ce qu’une femme « normale » ne peut pas connaître. J’ai connu le soleil en pleine nuit, LA jouissance »
Durant 2 jours, elle est restée à l’hôtel, à la piscine.
Le 3ème jour, elle est allée seule en boite ... Elle a retrouvé Moktar.
Elle n’est revenue qu’au petit matin.
Les 6 derniers jours, elle est sortie tous les soirs, ( à mon grand plaisir )
Elle a aussi retrouvé Bouba.
Un jour, ils ont invités deux copains et Céline n’est revenue que l’après midi.
Ils étaient 4 sur elle. A tour de rôle ils l’ont baisée et enculée, ils ont jouis dans sa bouche.
Elle était pleine de sperme.
Je l’ai embrassée et sa bouche était encore pâteuse.
J’ai léché sa chatte remplie de sperme de ses amants noirs.
Je suis, moi, aussi entré dans sa cul dilaté et encore huileux de foutre.
Ma femme dépassait en tout, tous mes fantasmes les plus vicieux. Elle est une véritable jouisseuse, elle aime les bites et le sperme.
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Dans l’avion du retour, elle m’a dit :
« Daniel, tu sera toujours le plus grand cocu que la terre ait porté »
« J’espère bien »
« Tu seras comblé »...
A suivre...
* Toutes les photos ne sont pas de ma femme mais sont là pour illustrer (elle n'a pas encore d'expérience interraciale
)