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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par cpleidf
#1613837
Suite:

Nous voici rentrés...
Nous avons retrouvé notre adorable fille, Laure, avec une joie immense.
Céline est ... aussi et en plus, une mère parfaite.
Rentrée sur les chapeaux de roues. Il faut que je restructure mon implication professionnelle pour me permettre d'être plus disponible avec ma femme.
Réunion des cadres. Réunion des conseils d'administration. Recrutements.
15 jours, tambours battants. Tout est arrêté et restructuré.
Céline, aussi, n?est pas restée inactive. La semaine prochaine elle à 3 rendez vous importants.
1 à Paris où elle doit visiter 2 emplacements de commerces.
1 à Rome, pour la même chose
1 à Paris, mais pas à la même date que le premier, avec une société de communication.
Nous avons donc engagé une nounou pour notre fille.
Sauf, à sa demande expresse, je ne m'occupe pas ... directement de ses affaires.
Bien évidemment, mes juristes, se sont chargés de tout le montage de sa société ( SARL avec son père ) et mes comptables de l'aspect financier.
Pour le reste, elle gère ... bon, soit, avec une collaboration étroite avec les commerciaux des mes sociétés, mais c'est à son initiative et selon ses directives.
Demain, c'est l'ouverture de ses 2 magasins de Paris.
La société de communication a fait du bon travail.
Rien à dire, ce fut un franc succès et tous les espoirs sont permis.
Ouverture du magasin de Rome. Succès identique et même mieux.
Son père est vraiment un type bien qui a su devenir, en peu de temps, un manager hors pair.
Tout ce temps, consacré la réussite professionnelle de Céline, nous a apporté, grâce à ma disponibilité organisée, une complicité formidable.
La sexualité était ... en attente ...

Ainsi passèrent les mois. Une année bien remplie.
Et si on préparait nos vacances ...
Ces préparatifs nous fournirent biens des soirées de rires et de joie pour choisir, soit le pays, soit la ou les villes, soit la mer, soit la montagne.
Finalement, nous sommes tombés d'accord. Et pourquoi pas en France, en partie à Chamonix, en partie à la Grande Motte et pourquoi pas à Deauville.
Nous sommes partis le 3 août pour voyager dès l'aube direction Chamonix.
Céline avait mit une voiture à disposition de la nounou ... avec tout l'attirail de Laure.
Nous voici partis en convois.
1 semaine de balades et de tourisme familial. Super.
Mais Céline ( la parisienne ) préférait la mer, même habitant Marseille, maintenant.
Arrivés à la Grande Motte. Les premiers jours furent un délice de repos.
Le 4ème jour. Ah ce 4ème jour. Je m'en souviens parfaitement. Il a marqué le retour à notre complicité sexuelle.
Céline, dès le premier jour était partie se balader, seule, le long du littoral sauvage.
Souvent elle ne revenait que 2 ou 3 heures plus tard.
Quelque chose me chatouillait l'esprit. Ainsi ce 4ème jour, je décidais de la suivre discrètement. Oh, non que je craigne quoi que ce soit, mais par simple curiosité et surtout essayer de savoir ce qu'elle pouvait bien manigancer.
Je la suivais de loin et bien décalé par rapport à son axe.
Elle arriva là ou elle allait et s'installa ... Je me dissimulé à la lisière d'un sous bois où commençait les dunes.
Sa serviette sur le sable, elle se enleva son mini maillot et s'allongea pour bronzer nue.
Je me dis que pour cela, nous aurions pu aller au camp de naturistes.
Pourtant, 10 mn plus tard, un homme sortit du sous bois et arriva près d'elle.
Il installa sa serviette, juste contre la sienne. Lui aussi se mit nu, s'allongea et ... enlaça Céline, dans un long baiser.
Pour une surprise s'en était une. Qu'est-ce que cela signifiait ?
Je paniquais réellement et le monde s'écroulait.
Sans même m'en rendre compte, je suis retourné à notre plage habituelle avec la nounou et ma fille, perdu que j'étais dans mes pensées.
Céline n'arrivant pas nous sommes rentrés à la maison.
Enfin elle arriva quelques 30 ou 45 mn après, comme si de rien n'était.
Cette situation et ces escapades durèrent encore 3 jours. Je me posais mille questions.
Le soir, Céline me dit que nous irions en boite. Ok.
La Grande Motte, en boite au mois d'août, vous connaissez ? Non ? C'est le sexe à l'état pur.
Une ambiance brûlante dans la fraîcheur des climatiseurs.
Il nous fût difficile de trouver une table. Nous dansions, lorsque Céline m'arrêta et me dit :
"Viens, je veux te présenter quelqu'un "
Je la suivis et près du bar en cercle elle s"approcha d"un homme qu'elle embrassa sur les joues.
" Daniel, je te présente Alain, que j'ai connu sur la plage, Alain, je te présente mon beau frère, le mari de ma soeur, chez lesquels je loge pour l'été ? Elle ne m'avait pas prévenu. Mais je réagi promptement. ( Elle a de l'imagination ... Une soeur ! )
Enchanté ... Enchanté etc ... etc ...
C'était donc cet homme ... avec lequel je l'avais vu.
Je fus presque choqué. Il devait bien avoir 60 ans. Pas très beau et même un peu gras.
J'en étais à ces pensées, lorsque qu'elle dit :
" Alain ... mais où est donc Thierry " ?
" Juste derrière toi, ma fille ... "
Nous nous sommes retournés ensemble et Céline fit face à un homme d"une trentaine d'années. Bien.
Il ceintura Céline par la taille et l'embrassa avec passion sur sa bouche qui s'ouvrit naturellement.
Je regardais Alain, l'interrogeant du regard.
" C'est mon fils .... Ils se connaissent depuis une semaine et c'est ... le grand amour, il faut dire qu'elle est belle, la petite "
" Ah ! Fis-je simplement "
Lorsque les "amoureux" eurent fini, Céline fit, a nouveau, les présentations.
Je me drapais dans mon rôle du mari ... de la soeur .... Essayant de ne pas faire de gaffe.
Ils étaient sympathique et leur compagnie agréable.
Thierry n'arrêtait pas de flirter avec Céline, la tenant comme s'il avait peur qu'elle fuit.
Tout à coup je me posais la question de savoir comment pouvait bien s'appelait ... ma femme, la soeur de ... ma femme. Je redoutais la galère.
Céline vint à mon secours ..
" Nadine est restée à la maison ? Et ma nièce, elle n'a plus mal aux dents ? "
Oohh oohhh oohhh, un vrai roman ....
" Oui, rassure toi ... tout va bien "
Thierry commande une bouteille de Bourbon ( Céline préfère le champagne, mais ... bon )
Céline et son amoureux partent danser, reviennent et repartent. Je reste à discuter, plus ou moins, avec Alain.
Tard ( ou tôt ) dans la nuit, nous ne voyons plus nos tourtereaux. Alain et moi décidons d'aller nous coucher.
" Ah ... il a de la chance mon fils, elle est belle ... la petite, j'espère qu'il va la garder "
Céline est revenue vers midi. Les yeux cernés.
Je voulu la questionner mais elle mit un doigt sur mes lèvres.
" Pas de question. J'ai décidé de ne rien te dire, de ne rien partager avec toi. Oublie moi pour les jours qui restent. Je te trompe, tu es cocu. "
Elle alla à la cuisine voir Laure, qui mangeait.
Nous avons passé l'après midi à la plage, ensemble.
Le soir, elle s'habilla pour sortit.
Les vacances se sont terminées ainsi, Céline allait et venait, sortait et rentrait. Mais elle passait l'essentiel du temps avec nous ...
Nous avons quitté la Grande Motte, elle ne dit rien.
Arrivé à chez nous à Aubagne, elle fit une courte mise au point, qui disait ceci :
" Tu reprends une chambre d'ami, je ne veux plus te voir dans la mienne. Jusqu'à la fin de l'année, tu seras cocu, je ne te dirais plus rien de mes amours. Après, on verra ... mais pour le moment je fixe la date à la fin de l'année. Alors ça veut dire :
- Tu dors dans ta chambre.
- Tu ne me poses aucune question.
- Tu utilises ta salle de bain
- Je ne suis plus ta femme
- Je t'interdis de m'appeler chérie, mon amour ou autres, Céline, point.
Ah j'oubliais, il faut prendre un deuxième nounou pour la nuit et les week-end, parce que je vais voyager, beaucoup, ces mois à venir.
Ah, encore une petite chose, quoi que tu entendes, quoi qu'on te dises sur moi, ce sera la vérité. Je t'ai promis que tu serais le plus grand cocu que la terre ait porté, tu vas l'être. Mais pour qu'un cocu soit cocu, il faut que ça se sache ... et ça va se savoir "
C'était quelque chose qui m'excitait, bien sûr, mais qui tout de même, me faisait peur.
Nous faisions, effectivement, chambre à part, mais nous n'avions rien changé au reste. Céline à l'intelligence de savoir parfaitement gérer ses idées et ses actes.
Quelques jours plus tard, elle prépara son voyage. Paris, Rome, Paris et ... Aubagne.
Son voyage était prévu pour 3 semaines.
Elle embrassa, Laure, avec les yeux humides en nous priant la nounou et moi, de la bien chérir. Elle me regarda dans les yeux et me dit :
" Attend toi au pire, Daniel, il va te falloir gérer des situations autrement complexes que tes affaires "
Un taxi l'emporta.
2 jours après, seulement 2 jours après, je reçu 3 appels téléphoniques d'amis m'alertant qu'ils avaient vu, ma femme, avec un type et qu'ils ne se cachaient pas pour flirter.
Déjà, ça commençait. Je reçu un coup qui me troubla énormément.

Puis ce fût ma secrétaire que essaya, à demi mots de m'informer de rumeurs qui couraient sur ... Madame.
Beau Papa rappela, encore 2 fois, en me priant de mettre un terme à cette ... folie de sa fille.

15 jours sétaient écoulés et les " promesses " de Céline dévalaient comme un ouragan.
Jéétais humilié, mais je savais ... moi je savais, mais ne pouvais rien dire.
Je ressentais un sentiment étrange de jalousie, de tristesse, de honte et, à la fois, d'excitation et d'amour immense pour ma femme qui me faisait subir ces humiliations.
C'était donc ça être cocu.

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Céline arriva. Elle entra majestueuse, vêtue d'un tailleur gris plus sexy qu'une minijupe.
" Alors, mon loup, je t'ai manqué ?"
" Physiquement, oui, assurément, mais autrement, non. Je n?ai jamais entendu autant parler de toi, je trouve que tu es allé très loin "
" Je t'avais prévenu, Daniel, que tu ne peux être cocu que si tout le monde sait. Maintenant tu es un cocu "
Que répondre à cette logique ?
Elle ajouta :
"A présent, je n'aurais plus de problème et nous serons tranquille et tu seras bien cocu jusqu'à la date prévue ".
Nous rire franchement de tout cela durant plusieurs minutes.
Heureusement, Céline passa beaucoup de temps avec notre fille ... Sans quoi, nous aurions plaisanté sans cesse.
Nous nous aimions vraiment et notre complicité n'avait pas de limite.
Elle me connaissait si bien qu'elle devançait mes désirs et fantasmes les plus fous.
Elle voyagea et revint, et encore voyagea et revint.
Céline et moi, étions heureux. Quoi de plus important pour nos parents respectifs.
Nous avons d'ailleurs passé Noël, tous ensemble, à Deauville, dans un climat familial digne de ce nom.
Mes parents sont repartis à Marseille, avec Laure et la nounou. Les Parents de Céline, sont restés à Deauville pour les fêtes de fin d'années.
Et nous, nous nous sommes allés nous retrouver à Paris, en train.
Nous étions le 27 décembre.
" On m'attend, viens avec moi, je veux que tu saches, maintenant, tout ce que tu as ignoré durant 4 mois. "
Notre taxi nous déposa au tout début du boulevard Lafayette.
Nous entrâmes dans un immeuble de bonne tenue. Céline avait le code d'accès.
Un ascenseur, ancien, nous emmena au 4ème étage.
Elle sonna, la porte s'ouvrit. " Antoine"
Antoine, que je croyais oublié, était là devant nous.
" Entre Chérie, entre Daniel, soit le bien venu "
" Bonjour, mais tu habitais ... "
Il coupa.
" Je n'habite pas ici, ici, c'est mon appartement disons où j'organise certaines réceptions, il est à ta disposition, installe toi, tu vas comprendre "
Il me désigna un fauteuil, alors qu'ils s'assirent dans un canapé.
" Tu comprends, maintenant, que Céline était avec moi, durant tout ce temps quelle était à Paris. Nous sommes même allés, ensemble, à Rome et c'est moi que tes Beaux parents ont vu avec elle. Pourquoi ? Céline est venu me voir, un jour, et elle m'a dit qu'elle voulait que je sois son manager pour que tu deviennes le plus grand cocu que la terre ait porté. J'ai accepté ce challenge, mais en y mettant deux conditions :
La première c'est qu'elle ne refuse rien et accepte tout ce que je déciderais pour vous.
La seconde c'est que tu ne sois informé que le moment venu, et c'est le moment.
Elle m'a raconté ses aventures et vos escapades au Maroc et au Sénégal. Parfait. Et aussi votre année sabbatique sans sexualité. Normal, c'était important pour elle. Mais il fallait rattraper le temps perdu.

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J'ai organisé, pour elle, une succession de baiseurs. Je te pris de croire, que ça n'a pas été facile, mais j'y suis arrivé.
La journée elle était libre pour ses affaire et tous les soirs elle venait, ici, se faire baiser.
Tous les soirs il m'en fallait 3. Tu imagines trouver 3 mecs, chaque soir, 3 semaines par mois.
Bref, j'ai fais les comptes. En tous il y avait 9 semaines. Donc 9 semaines à raison de 6 jours par semaines, ça fait 54 jours. Et ainsi il m'a fallu recruter 162 mecs. Bon je te dis tout de suite, que je n'ai pas pu choisir que des apollons. Jeunes, vieux, gros, minces, grands, petits, toutes races confondues. Là, dans la chambre que tu vois devant toi. Céline était sur ce lit tous les soirs pour recevoir les mecs.
J'étais là pour surveiller.
Donc, ta femme, t'a fait cocu avec 162 mecs. Nous avons fait en sorte de faire les choses bien:
54 ont joui dans sa bouche et elle a avalé le sperme des 54 mecs, sans exception.
54 l'ont baisée et ont éjaculé dans sa chatte
54 l'on enculée et lui ont déchargé dans le cul.
Selon les soirs, elle décidait que les 3 mecs se faisaient chacun un orifice ou bien elle se faisait des soirées "à thème". Dans ce cas, elle décidait par exemple qu'aujourd'hui elle se ferait une soirée sodomie et que donc ses 3 baiseurs déchargeraient tous dans son cul. Dans tous les cas elle n'a durant cette période jamais baisée avec deux mecs en même temps.... tous à la chaine...

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Si mes comptes sont bons, nous en sommes à 169 amants pour Madame, moi compris.
Pas mal, en 2 ans et demi, ça fait une moyenne de plus d'un par semaine.
Elle s'est reposée durant les fêtes de Noël et je vais l'entraîner, encore quelques jours.
Voilà les clés de l'appartement avec le code. Il faut que tu sois ici, le 31 à 21 heures. C'est très important.
Voilà Daniel, tu sais tout. "
" Bon mon amour, allons, laissons le cocu à ces pensées "
" Je te suis mon amour "
Ils me laissèrent en plan.
Je visitais l'appartement et surtout la chambre où Céline avait été prise de si nombreuse fois.
Comme convenu, je passa la première nuit ici et dormait dans ce lit ou une centaine de mecs s'étaient tapé ma femme.
Je quittais l'appartement, m'installant ensuite à l'hotel.
Le 31 à 21 heures je retournais à l'appartement de Antoine.... (à suivre)
par CARTOON76
#1630970
Hummm, Merci pour ce récit et photos.

Cocu


cpleidf a écrit :Voici la suite du récit:

Céline allume l’abat jour. SURPRISE.
Le noir est là, il regarde la pièce et siffle d’admiration. Mais il n’est pas seul. Un autre noir est avec lui. Il paraît plus âgé et il est plus corpulent et plus grand.

Je ne comprends pas et je pense que tout est fichu.
J’observe par la porte entrebâillée.
Et les deux noirs, comme un ensemble bien synchronisé, se collent à Céline, un derrière et un devant.
Je n’en reviens pas, c’est la première fois que Céline fait ça avec deux hommes.
Les noirs la tournent, la retournent, la palpent de partout. Elle change de bouche, sans arrêt.

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Se faisant, ils la déshabillent, elle est nue.
Le grand siffle d’admiration.
« Une blanche neige, sans culotte, ça doit être une belle salope, ont va bien s’amuser »
Ils la soulèvent et l’allonge sur le lit.
Ils se déshabillent aussi, rapidement.


Céline se redresse. Sa tête va de gauche à droite. Ses yeux grands ouverts.
« C’est pas possible, j’ai jamais vu ça ... ils sont énormes ... »
Les noirs éclatent de rire.
Le plus petit, dit : « 27 par 5 pour vous servir, Madame »
Et le plus grand : « 28 par 6 pour vous farcir, salope »
Chacun d’eux est agenouillé de part et d’autre de Céline.
Elle saisi une queue, puis l’autre. Sa petite main n’arrive pas à se refermer sur les colonnes de chair, bien dure. Elle branle les deux en même temps.
Les noirs caressent ses seins et se laissent masturber. Je vois leurs couilles aussi grosses en proportion.
Ils fouillent sa chatte ouverte avec chacun 5 doigts.
« Elle mouille comme la fontaine de mon village, dit le plus grand »
« Comment vous vous appelez demande Céline ? »
Le plus grand dit : Moktar. Le second dit : Bouba.
Moi c’est Céline, mais vous le savez déjà.
Alors, Bouba, dit : Je vais jouir de ta main salope de blanche, tu m’excites trop

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Et il décide qu’il y a mieux ... il saisi Céline par les cheveux et lui fourre le gland dans la bouche. ( elle ne pourrait pas en prendre d’avantage )
Il éjacule, il grogne en lui maintenant son sexe dans la bouche. Il jute son sperme qui à voir les efforts de déglutition de Céline, doit être en quantité industrielle. Au moins 30 secondes qu’il éjacule ainsi et il reste la bite dans sa bouche.
« Oh la pute ... elle a tout avalé ... qu’est-ce que je lui ai mis dans le gosier, tout le jus de mes couilles »

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Fouda, le plus grand, veux aussi sa part.
Il se couche sur Céline. Relève ses jambes et pointe son engin à l’entrée de la vulve bien mouillée.
« Tu vas connaître le bangala dit-il. Tu vas crier pute de blanche »
Il pousse doucement, lentement mais sans s’arrêter jusqu’au couilles. La pénétration a bien duré 10 secondes. Il s’arrête.
Céline souffle, souffle, comme pour un accouchement ... Elle ouvre les yeux, regarde le noir qui est entre ses cuisses, sa bite dans sa chatte.
Elle se redresse sur ses coudes et demande :
« Sors ta queue, mais laisse le bout l’intérieur »
Le noir s’exécute.
Céline regarde le gros sexe qui la possède et dit : Maintenant baise moi.
Elle s’allonge et ferme les yeux.

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La baise commence. Le noir s’active, il rentre et sort, doucement, vite, doucement et ainsi de suite. Il soulève Céline par les hanches, l’allonge à nouveau, il se couche sur elle, ils s’embrassent, bouches ouvertes, langues sorties. Les jambes de Céline enserrent la taille du noir, qui la besogne si bien.


Il se met sur ses genoux, lève les jambes de Céline et la baise, la baise en s’enfonçant à fond.
Céline est au bord de la syncope. Son souffle est saccadé et ses soupirs sont roques.
Elle parle :
« boub ... boub ... bouba, baise moi, baise moi ... ouvre moi, c’est dément, je ne jouis plus, je suis la jouissance en permanence, jamais je n’ai connu ça ... c’est trop, je ne fais que jouir, je coule ... »
« C’est ton pied, salope, tu as connu le noir, le noir tu connaîtras. Tu ne voudras plus ton mari, après moi. Tu feras la pute pour venir me voir, pour que je te baise »
Il tapait fort et à chaque fois il entrait à fond, je ne savais pas comment Céline pouvait accepter ça dans sa chatte, mais je compris aussitôt qu’elle dit :
« J’en prends plein la chatte, tu m’écartes, tu m’ouvres, tu m’ouvres l’utérus, je te sens bien au fond. C’est fou, je suis transpercée »

Elle se mit à crier et parla en râlant :
« Tu jouis, salaud, tu jouis ... je te sens, tu coule ton sperme ... c’est chaud, c’est trop, tu inondes mon ventre ... j’en peux plus .... »
Elle s’arrêta net et ne bougea plus.
Lui continuait, doucement de la baiser pour se vider complètement. Puis se retira satisfait.
Fouda qui bandait à nouveau fermement, pris Céline, la retourna, la fit mettre à quatre pattes et lui suça l’anus.
Il voulait l’enculer.
Il la suça et lui dilata le cul avec ses doigts.
Céline se laissait faire, mais remuait du cul. Ses ballottaient.
Fouda approcha et présenta sa bite au cul de Céline.
Elle réagit, leva la tête et cambra les reins. Prête à la sodomie dantesque.
Il poussa, la pression ouvrit l’anneau culier. Le gland passa. Céline poussa un cri étouffé.
« Doucement, doucement, Moktar, tu es gros, doucement ?
Moktar s’arrêta, l’autre riait. Moktar poussa et s’arrêta. Il recommença encore. Encore. Enfin il fut calé à fond. Toute la longueur de sa queue noire dans le cul de ma femme.

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Les couilles devaient toucher la vulve.
Les 2 partenaires, homme noir et femme blanche, s’activèrent ensemble. Lui voulant la prendre et elle désirant être prise.
La bite dans le cul de la femme sortit et y rentra de nouveau. Cette femme, ma femme.
« Moktar, ooohhh Moktar, tu me défonces le cul. Tu me donnes du plaisir. Je suis à toi. Tu me fais trop de bien, si tu savais ... ooohhh comme c’est bon ton gros sexe dans mon cul, je me sens prise, embrochée. »

C’est Bouba qui répondit : ( Il était, en effet, plus vicieux que Moktar )
« Oui, c’est ça chienne de blanche, tu es bien prise par un gros sexe de noir. Tu n’es qu’une pute qui aime les grosses queues noires et tu vas en avoir. Tout de suite d’ailleurs. »
Il se leva de son fauteuil la bite à la main.
Il se glissa sous le couple, entre leurs jambes.
Se soulevant du bassin, il présenta sa queue à la vulve de Céline, qui l’accepta en écartent les jambes. Elle le voulait, elle voulait connaître ça. C’est elle qui s’enfonça, à son rythme, la queue de Bouba dans la chatte.
Les deux énormes sexes des noirs étaient en elle.
Le trio bougea. Moktar l’enculait et Bouba la baisait.
Ma femme, mon amour d’épouse blanche était prise par les deux bites noires.
Le contraste était merveilleux. Je bandais mais je ne me touchais pas.
Mes yeux prenaient des photos.
Je regardais, j’écoutais.
Céline n’était plus qu’un râle permanent, un soupir continu, la jouissance perpétuelle.
Les 2 noirs s’activaient chacun dans son trou.
Ils la baisaient, maintenant, sans ménagement, aussi fort qu’ils pouvaient.
Ils parlèrent en patois et changèrent de place.
Fouda dans la chatte et Bouba dans le cul.
Céline n’était qu’un pantin désarticulé, entre leurs mains.
Ils n’arrêtaient pas. Cette cavalcade a duré au moins 10 mn.
Ils parlaient ensemble, à tour de rôle.
Céline disait sans cesse, en se trompant de nom :
« Moktar je t’aime, je suis sexuellement à toi pour la vie ... Tu encules ta femme blanche, ou Bouba, je suis ta pute, je t’appartiens, je veux être enceinte de toi ... Je ne veux plus partir, je suis à vous » Elle délirait de jouissance.
Et Moktar et Bouba :
« Chienne de blanche, tu es pleine de partout, ton cocu de mari, il es où, ( s’ils savaient ) pute, 2 queues noires dans ton ventre et ton cul, on va te remplir de notre sperme. »

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Voilà comment ils jouirent tous les trois dans un concert bien organisé.
Les noirs se retirèrent de ma femme et elle s’écroula sur le lit.
Ils s’habillèrent et partirent.
Je sortis de ma cache, nu, le sexe bandé à mort.
Je me mis à genoux sur le lit entre ses jambes écartées. Je ne voyais pas très bien.
Doucement, je l’ai retournée, bien écarté ses cuisses et là, j’ai vu. J’ai vu le sperme coulait du vagin de ma femme.
Je me lovais sur Céline. Elle ne bougeait pas. Je m’introduisis en elle. C’était brûlant, le sperme du noir était chaud.
Je la baisais, sans aucune réaction de sa part. Elle ne me sentait même pas, mais moi, je me régalais. Je la baisais en revoyant les images. Les deux noirs la possédant.
Je me traitais moi-même de cocu qui donne sa femme à d’autres. De cocu qui aime que sa femme fasse la pute.
J’ai jouis, en pensant :
Voilà que je jouis de ma femme qui vient de se faire enculer par un noir et dans le sperme de celui qui la baisait.
Je me suis allongé à coté d’elle et j’ai entendu faiblement :
« C’est bon d'être cocu par des noirs ... ? »
Je n’ai pas répondu.
Céline n’a émergé qu’à 18 heures.
Elle était cassée, c’est le cas de le dire. Elle n’en revenait pas. Elle me dit :
« Daniel, j’ai connu ce qu’une femme « normale » ne peut pas connaître. J’ai connu le soleil en pleine nuit, LA jouissance »

Durant 2 jours, elle est restée à l’hôtel, à la piscine.
Le 3ème jour, elle est allée seule en boite ... Elle a retrouvé Moktar.
Elle n’est revenue qu’au petit matin.
Les 6 derniers jours, elle est sortie tous les soirs, ( à mon grand plaisir )
Elle a aussi retrouvé Bouba.
Un jour, ils ont invités deux copains et Céline n’est revenue que l’après midi.
Ils étaient 4 sur elle. A tour de rôle ils l’ont baisée et enculée, ils ont jouis dans sa bouche.
Elle était pleine de sperme.
Je l’ai embrassée et sa bouche était encore pâteuse.
J’ai léché sa chatte remplie de sperme de ses amants noirs.
Je suis, moi, aussi entré dans sa cul dilaté et encore huileux de foutre.
Ma femme dépassait en tout, tous mes fantasmes les plus vicieux. Elle est une véritable jouisseuse, elle aime les bites et le sperme.

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Dans l’avion du retour, elle m’a dit :
« Daniel, tu sera toujours le plus grand cocu que la terre ait porté »
« J’espère bien »
« Tu seras comblé »...
A suivre...


* Toutes les photos ne sont pas de ma femme mais sont là pour illustrer (elle n'a pas encore d'expérience interraciale :) )
par clahire
#2117289
Bonjour à tous,

Je reprends le flambeau de "cpleidf" en publiant la suite de ce texte exceptionnel que l'on peut trouver à d'autres endroits sur le net et qui, vraiment, mérite d'être largement diffusé...

Je rappelle que ce texte n'est ni de "cpleidf" ni de moi, mais d'un auteur inconnu. Qu'il soit remercié pour la qualité de son récit.

Si cela vous plait, je publierai les autres suites (il reste une 1/2 douzaine de pages !...)

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J’ouvris la porte et l’appartement était plein d’invités. Tous masqués. J’étais donc le seul sans masque.
Tout le monde me regardait. Je pensais que certains devaient me connaître.
Au bout d’un moment, je reconnu sans peine Céline. Elle était au milieu de gens que je tentais d’identifier. Je l’observais.
Je ne manifestais pas ma présence, mais certainement, elle m’avait vu, ou me savait présent.
Antoine la rejoint, reconnaissable aussi. Il prit Céline par le bras et l’attira vers un autre groupe.
La fête s’animait. Le champagne, les apéritifs ...
La musique était forte et les convives dansaient.
Je suivais Céline du regard et m’avançais lorsqu’elle s’éloignait trop.
Bizarrement personne ne faisait attention à moi qui étais pourtant le seul à ne pas être masqué.
Beaucoup plus tard, Antoine invita tout le monde à se restaurer au buffet qu’il déclara ouvert.
Tout ce petit monde s’amusait ... Moi non, j’attendais.
Enfin, à 11 heures précises, Antoine, pria l’assistance de l’écouter.
" C’est l’heure, que chacun prenne sa chacune et transportons nous au club "
Un Club, quel club ? La foule se mue vers la sortie. Je m’apprêtais à interpellais une personne, quand on me saisi par le bras. Je me retournais.
C’était une femme. Vieille, apparemment, le dos voûté.
" Venez, me dit-elle, je suis votre guide "
Nous descendîmes par l’escalier et une voiture, avec chauffeur, nous attendait.
Nous roulions en direction de Saint Germain en Laye. Nous prîmes une petite route en campagne et finirent par rouler sur un chemin gravillonné.
Des lumières de fête étaient devant nous. La voiture s’immobilisa.
Je regardais ma montre. 11 h 45 mn.
Nous sommes tous entrés.
La salle immense contenait déjà plus d’une cinquantaine de personnes.
C’était la fête. Je cherchais Céline mais je ne la trouvais pas.
La vieille dame trouva deux chaises et me dit :
" Asseyez-vous "
" Merci, mais ... "
Elle me coupa.
" Vous êtes, Daniel et je suis chargée de vous tenir compagnie. Ne restez pas débout à chercher votre femme, il y a trop de monde. Détendez-vous "
" Comment savez-vous ? "
" Je suis la femme de Antoine. J’ai été à bonne école et vous êtes, vous et Céline, à bonne école "
" Je vous propose de nous amusez, maintenant. Mais promettez moi de vous détendre et de ne pas chercher votre épouse. Vous la verrez le moment venu. Maintenant dans quelques minutes ce sera minuit et nous fêterons la nouvelle année. Promettez. "
Cette dame m’était sympathique.
" Je vous le promets "

Elle prit mon bras et nous emmena vers le bar. Nous prîmes deux coupes de champagne.
Nous trinquâmes à notre santé.
Et l’orchestre s’arrêta. Le silence fût.
Le batteur entama les 12 coups de minuit sur sa batterie.
Au 12ème coup les cris de joie, les bisous, tous nous fêtions la nouvelle année. Y compris moi.
Tout le monde ôta son masque. Plus tard, en déambulant au milieu des la foule, une cinquantaine de personnes, au moins, je reconnu plusieurs de mes connaissances, mais ne les approchais pas.
La fête continua longtemps jusqu’à 4 heures du matin.
La vieille dame me dit alors. Elle était là comme mon ombre.
" Vous êtes prêt, ça va commencer ?"
" Quoi ? "
" Taisez-vous, donc, vous allez voir, je vous demande simplement si vous êtes prêt "
" Oui, alors, je suis prêt ... mais je me demande toujours à quoi "
" Peut importe à quoi, vous êtes ici, pour votre femme, non ? "
" Oui"
"Bon et bien maintenant nous partons. ‘
" Où ça ?"
" A l’appartement "
La vieille dame somnolait et le trajet fût bref. Nous arrivâmes. Elle me dit d’attendre dans la voiture. Des gens arrivaient, je les voyais entrer dans l’immeuble. Enfin, elle dit de sortir et nous montâmes à l’appartement.
Elle ouvrit la porte et nous entrâmes. La lumière était tamisée. Le grand salon avait été aménagé. Des fauteuils étaient alignés tout autour des murs et des personnes s’y trouvaient assises, mais je distinguais mal.
Au milieu un espèce de sofa circulaire. Une lumière, la seule, suspendue juste au dessus, éclairait ce mobilier.
La vieille dame me prit par le bras et m’attira jusque devant la première personne assise dans le premier fauteuil.
Elle dit :
" C’est le mari, Daniel "
Un homme me tendit la main, sans un mot.
Ainsi, elle me présenta, à une succession de personnes ... tous des hommes.
Malgré la demi obscurité, je les devinais, tous nus.
Puis, la dame me dit :
" Prenez place dans le fauteuil qui se trouve là devant le lit, mais avant déshabillez-vous, tout nu, et attendez "
Un petit moment passa, dans le silence.
La porte de la chambre s’ouvrit.
Antoine en sortit, suivit de Céline.
Lui était habillé, mais elle était nue.
Il lui tenait la main et la fit s’allongeait au milieu du lit.
Il se plaça face à moi, entre Céline et moi et d’une voix grave, dit :
"Daniel, cette nuit sera une grande nuit pour toi et ta femme. Tu vas être intronisé Homme le plus cocu de la terre, passé, présent et à venir. Au fur et à mesure de la cérémonie, tu seras appelé à parler. Tu devras répondre aux questions qui te seront posées et aussi dire certaines phrases. As-tu bien compris ?"

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