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par balthus
#1773972
Je m’appelle Antoine. Claudie et moi étions étudiants tous les deux en faculté de droit à Nancy, nous étions inscrit en 1ere année, à 18 ans nous découvrions les jeux érotiques.

Un jour, alors que nous faisions l’amour, en plus de mon sexe, j’introduis dans son vagin un doigt. Voyant que cela ne lui déplait pas je lui dis « Coquine, tu aimes les grosses ». Elle me répond du tac au tac « Ne me tente pas » … Elle m’avait déjà trompé deux fois, je savais à quoi m’en tenir, et pourtant je me suis dit : je vais te prendre au mot. Alors je lui en ai reparlé, on fantasmait dessus, on faisait des jeux sur ce thème.

Un week-end à Paris se programmait pour faire des visites et se détendre ensemble. Au cours d’un fantasme j’introduisais une rencontre avec un homme « bien équipé ». Du fantasme cela devint « tu veux essayer ? » avec au départ un petit « pourquoi pas » qui se transforma en un jeu de recherche sur Internet d’un libertin bien membré sur un célèbre site échangiste.

Nous sommes alors tombés sur Pascal, il était parisien, marié, vieux 55-60 ans, pas très beau mais une photo et un texte mettait en avant un sexe hors norme dépassant les 20 cm et d’une épaisseur impressionnante. Nous sommes pendant plusieurs jours allés voir sa fiche, nous nous caressions devant les photos, jouant de l’idée de le rencontrer. Puis un jour Claudie par jeu lui écrivit un message sur sa fiche. Connecté il y répondit immédiatement. Surpris par notre jeune âge, il nous prit pour des fantasmeurs mais entre un peu dans le jeu. Nous dialoguons pendant plusieurs jours avec lui. Sans trop savoir comment nous en sommes arrivés là, les numéros de portable s’échangent. Avec Claudie, on se dit que l’on peut le rencontrer, après tout cela n’engage à rien, on peut toujours ire non,… Pascal obtient alors un rendez-vous, on lui donne le nom de l’hôtel à côté des Gobelins où nous irons pendant notre week-end dans la capitale.

Nous continuons nos conversations avec lui jusqu’à la date : nous serons discrets, il est marié ; OK Claudie sera habillée sexy ; oui Claudie m’a déjà trompé ; on se raconte nos fantasmes…

Le jour J est arrivé. Nous sommes un peu stressés, tout en étant excité par le jeu. Claudie se prépare, une douche, le rasoir pour être bien lisse, une queue de cheval pour ne pas être embêté par les cheveux dans le visage, un maquillage léger, un petit string blanc un peu transparent, une mini-jupe très courte à carreaux blancs et noirs, un petit chemisier et elle décide de ne pas mettre de soutien-gorge. Moi je suis habillé assez simplement en jean et chemise. On se prépare, on se regarde, on fait quoi ? On annule ou pas ? On ne fait rien, il reste encore un peu de temps pour décider.

Le téléphone de Claudie sonne, Pascal est là, il a trente minutes d’avance. Elle lui donne le numéro de chambre, elle me regarde, nous avons tous les deux cette idée à l’esprit « où allons-nous ? ». Pascal frappe à la porte, je vais lui ouvrir, Claudie juste derrière moi. Il est comme sur les photos. Je lui serre la main, elle lui fait la bise. Claudie part s’assoir dans le petit canapé de la chambre. Le temps que je referme bien la porte de la chambre, Pascal la suit et se met à côté d’elle dans le canapé. Il ne me reste plus que la chaise en face.

Pascal a un petit sac en papier, il en sort une bouteille de champagne et trois verres, qu’il pose sur la table du petit salon. Il fait le service, nous demande comment est Nancy ? Si les études cela fonctionne ? Nous sirotons le champagne, il parle beaucoup pour couvrir le stress.

Pascal prend la main de Claudie et la pose sur sa cuisse, dans le même mouvement il pose sa main sur la cuisse nue de Claudie. Claudie rougit, il continue de parler de tout et de rien : de notre appartement, de ce que l’on a visité à Paris aujourd’hui,… La main de Pascal caresse la cuisse délicatement, ce mouvement fait bouger le bras de Claudie qui indirectement caresse la cuisse de Pascal. Il se retourne vers Claudie et lui demande si cela va, elle répond « oui ». Alors la main de Pascal écarte un peu les cuisses de Claudie et remonte sous sa mini-jupe. Elle me regarde, je ne dis rien, elle laisse faire. Elle a un petit sursaut, la main de Pascal vient de se poser sur son string et la caresse. De son autre main Pascal, fait remonter la main de Claudie de sa cuisse a son entre jambes. Un peu gênée, elle boit sa coupe de champagne, mais frotte le sexe de Pascal à travers le pantalon, tout en me regardant.

Pascal soulève la jupe de Claudie pour la remonter au niveau des hanches, il écarte bien ses cuisses et la complimente sur ce joli petit string. Il repose sa main sur son string mais caresse un peu plus bas, bien su l’abricot. Il embrasse Claudie à pleine bouche qui lui roule une pelle.

Pascal me regarde et me dit de venir participer, je m’approche. Il met debout Claudie et lui retire sa jupe et son string, il est en extase devant sa petite chatte intégralement rasée. Elle s’assied sur le bord du canapé et Pascal lui écartes les cuisses. Il me dit de venir la lécher. Je me mets à genoux et y plonge ma langue. Claudie semble contente de retrouver quelque chose de familier, elle est déjà humide.

Pascal lui retire son chemisier et à cote il commence à se déshabiller. Il lui reste un boxer, il est à genoux sur le canapé à coté de Claudie. Il lui dit « c’est la dernière barrière, je te le laisse l’abaisser ». Je regarde en léchant ce qu’elle va faire. Sa décision est prise. Elle met les deux mains sur le caleçon et le baisse, le sexe bandant de Pascal en sort droit comme un i. La taille est véridique, en vrai c’est plus impressionnant que sur les photos, Claudie a un petit rire nerveux d’étonnement et de curiosité. Pascal prend la main de Claudie et la pose sur son sexe, machinalement elle le branle. Puis il pose une main derrière sa tête pour l’inviter à le prendre en bouche. Elle ferme les yeux et s’exécute. Je sens une vague de mouille venir sur ma langue.

Pascal lui dit que c’est bien, c’est bon… sa bite est énorme Claudie a du mal à dépasser le gland. Ils gémissent tous les deux, Claudie mouille abondamment. Un doigt de Pascal vient se glisser entre ma bouche et la chatte, il vient sentir le degré d’excitation puis repart. Sa main me pousse en arrière, lui-même se lève et son sexe quitte la bouche. Je m’assoie à coté de Claudie, il se met à genoux entre ses jambes et cale Claudie sur le canapé pour qu’elle puisse bien voir sa chatte. Pascal dit « maintenant on passe aux choses sérieuses ».

Pascal pose sa queue sur le ventre de Claudie pour qu’elle puisse bien voir ce qui va entrer en elle. Claudie excitée, dandine des fesses pour frotter son sexe contre les couilles de Pascal. Il me donne un sachet de préservatif, je l’ouvre et lui rend le préservatif. Sa bite sur le ventre de Claudie il enfile la capote. Il prend la main de Claudie et la met dans la mienne. Claudie regarde le sexe sur elle, Pascal le frotte contre sa chatte, je sens qu’elle n’en peut plus. Pascale lui demande « tu la veux ?», elle fait un signe d’agrément de la tête, il lui dit « dis le moi ». Claudie répond « oui je la veux ».

Pascal soulève les fesses de Claudie, dans cette position elle peut encore mieux voir ce qui va se passer. Il se met à l’entrée de sa chatte, il bande fort, son gland et plus large que l’abricot de Claudie. Puis il s’enfonce. Claudie regarde, du gémissement elle passe au petit cri, elle me serre fort la main, je regarde aussi, excité et serre dans le jean que j’ai gardé moi. Pascal continue de s’enfoncer, la respiration de Claudie est saccadée, elle crie en tournant le visage vers moi « la vache, c’est énorme, c’est bon ».

Pascal commence à bouger en elle, Claudie me quitte elle part dans le monde du plaisir. Elle lâche ma main, regarde le sexe de Pascal la prendre, elle se relève de temps en temps pour l’embrasser à pleine bouche, quand dans le mouvement le sexe de Pascal ressort, c’est elle qui le remet en place. Ses gémissements sont forts, je ne l’ai jamais connu dans cet état.

Pascal lui garde son sang-froid pour faire sa besogne, il sourit à voir Claudie comme ça. Alors qu’il la prend comme ça sans s’arrêter, il me regarde et me dit « Putain, c’est une vraie salope ta copine ». Je ne sais même pas si Claudie a entendu envahie qu’elle est par le plaisir. Puis il me sort « t’aimes bien être cocu toi hein ? » et il continue à limer Claudie.

Pascal décide de changer de position, il se retire et installe Claudie à quatre pattes sur le lit. Il se place derrière et la prend dans cette position. Claudie hurle de plus belle. Il me dit « j’ai du gel dans le sac, donne-le moi ». En lui tendant, il me demande :
« vous m’aviez dit que vous pratiquez la sodomie non ? »
je lui réponds « oui on le fait de temps en temps, mais ce n’est pas une habitude »
« Ok ça ira alors »

Tout en bougeant en elle, il prend le tube de gel, en fait couler sur le petit trou de Claudie et sur son pouce. Il place la main sur le haut de ses fesses et tourne le pouce sur son petit trou. Claudie se retourne mais ne dit rien, il prend ça pour un consentement, il enfonce doucement le pouce.

Il me dit de me déshabiller, je ne mets pas longtemps et d’aller me faire sucer. Je me place à genoux devant Claudie qui me prend en bouche. Son fantasme se réalise et elle aime ça.

Je vois que derrière Pascal travaille de plus en plus à la dilatation du petit trou de Claudie. On doit être a trois doigt quand il s’arrête. Il retire sa queue, Claudie bouge les fesses pour qu’il revienne vite. Pascal lui met une petite fessée en disant « à la salope ». Mon sexe en bouche elle répond « oui ». Pascal pose son sexe à l’entrée de son petit trou et pousse doucement. Il tient son sexe d’une main et les hanches de Claudie de l’autre, il donne des tous petits coups de reins pour entrer petit à petit dans son cul. Etrangement elle ne si oppose pas et me suce en gémissant à chaque tentative de sodomie. Je pose naturellement mes mains sur ses fesses pour les écarter.

D’un seul coup, elle lâche ma queue, ses mains serres mes cuisses et elle me regarde en disant « oh putain, oh putain,.. », le gland de Pascal vient de complètement passer et il enfonce le reste. Claudie est en apnée, je suis presque inquiet, puis elle se remet à gémir quand il commence à bouger en elle. Pascal l’attrape par sa queue de cheval pour bien la cambrer pendant qu’il la sodomise, nous sommes yeux dans les yeux avec Claudie. Pascal lui dit :
« Putain t’es large du cul ma salope. Les mecs qui t’ont monté t’ont enculé toi, hein ? Elle ne répond pas, il lui met une fessée en ordonnant « Tu vas répondre salope ».
« Oui » dit-elle en un souffle
« Tous, ça fait combien ça ? » demande t’il en remettant une fessée.
« Cinq ».
« Même les deux mecs avec qui t’a fait cocu Antoine ? », une nouvelle fessée.
« Oui »
« Salope. Putain, 18 ans et je t’encule comme ça. C’est bon la vache ».

Il se tourne vers moi et me demande si je veux voir. J’approche et regarde en tenant les fesses écartées. Son énorme sexe est dans le cul de Claudie, le lubrifiant fait suinter son petit trou. Pascal se retire d’un coup, le petit trou est rouge et béant. En y rentrant Claudie pousse un gémissement de plaisir.

Il me dit « allonge-toi sur lit sur le dos, les pieds dans le vide au niveau des genoux ». Claudie et moi on se regarde on sait ce qui va se passer, son excitation monte encore d’un cran. Pascal se retire de son cul. Il ordonne à Claudie de me grimper dessus. Sa chatte ouverte par Pascal, elle s’enfonce sur moi d’un seul coup. Je constate qu’il n y a pas le même gémissement qu’à l’introduction de Pascal.

Pascal se met debout à cote du lit derrière Claudie, il se met entre mes jambes. Claudie bouge sur moi, je sens que Pascal lui remet du lubrifiant. Il lui pose une main sur le dos pour qu’elle arrête de bouger et qu’elle soit bien allonger le dos rond contre moi. Nous nous embrassons, quand soudain elle arrête, ses yeux sont figés sur les miens, elle essaye de se redresser un peu mais Pascal l’en empêche A mon tour je sens quelque chose contre la base de mon sexe, puis qui remonte tout le long. Claudie hurle, Pascal s’enfonce dans son cul en criant de plaisir « ta première double ma salope ».
Je sens la queue de Pascal bouger contre la mienne, je me mets aussi en mouvement mais impossible d’être au même rythme. Claudie gémit de plaisir et crie de s « oui, oui, oui » en réponse aux « c’est bon ça hein ? » de Pascal.

Pascal lui prend la queue de cheval pour bien la cambrer, cette position change les sensations pour moi en accentuant les frottements de la queue de Pascal sur la mienne. Très rapidement j’explose dans la chatte de Claudie. En rigolant Pascal me sort « La pauvre, t’es un précoce toi ». Puis il sort aussi de son cul. Claudie tombe à la renverse sur le lit à côté de moi. Pascal lui dit « caresse toi », elle s’exécute.

Il se lève et change de capote. Il revient vers le lit et s’allonge sur elle. Claudie Passe les jambes autour de ses hanches, Pascal la pénètre en missionnaire en lui disant « à ton tour ma chérie ». Ils s’embrassent à côté de moi, je les regarde triste d’avoir joui si vite. Pascal bouge en elle, les gémissements de Claudie s’accélèrent.
Elle lui dit « tu vas me faire jouir »
« si je te fais jouir ma chérie, j’ai envie finir en bouche tu es d’accord ? » lui demande t’il
« pas de souci »
« tu aimes ça ? »
« Oui, je le fais souvent ».
En lui plaquant les mains contre le lit, ses coups de reins se faisant violents il lui dit « 18 ans …. Salope ! »
Un échange de « salope ! » par Pascal et de « oui » par Claudie se met en place, alors qu’ils baisent sauvagement.

Claudie cherche ma main, la trouve et la serre. Elle tourne son visage vers moi, les larmes dans les yeux elle me dit « je vais jouir ». Son orgasme explose, en même temps elle pleure de plaisir, en criant « c’est bon c’est super bon ».

Pascal se retire, s’allonge sur le dos entre Claudie et moi, son sexe à hauteur de nos visages. Il retire sa capote, il prend Claudie par la queue de cheval et l’invite a prendre sa bite en bouche. Claudie sagement s’exécute, elle enferme le gland entre ses lèvres, branle d’une main le reste de sa queue et masse ses couilles de l’autre. Pascal semble aux anges, il gémit des « vas‘y ma chérie, c’est bon, vas’y ».

Claudie accélère le rythme, Pascal l’aide d’une main sur sa tête. Il lui dit « salope, regarde Antoine et tu n’arrêtes pas de le regarder ». Elle ouvre les yeux vers moi. Pascal lui dit « j’espère que tu aimes salope, ça fait cinq jours que je garde tout pour toi ». Je sens une inquiétude dans le regard de Claudie mais brève car Pascal explose et la maintient en position à l’aide de ses mains sur sa tete. Je vois face à moi, Claudie, me regardant, avaler chaque jet de sperme de Pascal et même après lui lécher le gland des dernières goutes qui coulent.

Pascal la fait remonter à côté de lui. Il est allongé entre elle et moi.
« C’était bon ? » lui demanda t’il.
« comme jamais » répondu Claudie.
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par nizo
#1774073
Tu as retiré les photos un peu vite.
L'histoire est sympa et bien écrite. Rediffuse les photos que l'on ait le plaisir de voir ce joli minois en action !
par balthus
#1774097
Merci
S il n etait pas venu avec 30 minutes d avance je ne sais pas si cela se serait passé. Je me suis toujours demande s il n abait pas fait expres pour eviter le lapin de derniere minute
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par sergio
#1774209
Un récit bien excitant. On en redemande. :P

Si vous vous y remettez, va falloir trouver un autre Pascal. A moins qu'il soit toujours en forme. :)
par balthus
#1851273
Apres qu'Antoine est raconte notre premiere fois, à mon tour de me lacher. Bises Claudie.

Nous étions encore très jeunes avec Antoine, et depuis notre première rencontre avec Pascal j’avais pris goût au changement de partenaire. Cela met du piquant dans le couple, cela évite l’habitude et j’ai toujours aimé la nouveauté.



Nous avions pris contact avec Jean-Pierre, un homme marié de la cinquantaine qui avait une petite garçonnière dans Paris à côté de la porte Dauphine. Nous avions justement prévu de passer un weekend end à Paris et un peu d’amusement n’était pas pour me déplaire. Jean-Pierre avait monté un petit groupe d’hommes souvent mariés souvent d’âge mur qu’il nous proposait de rencontrer. Ils étaient cinq dans ce groupe, mais Jean-Pierre nous expliquait que c’était toujours difficile de coordonner les agendas et d’être plus de trois. Moi je trouvais que trois c’était déjà beaucoup et que deux cela irait très bien. Rendez-vous était pris un vendredi vers 16h dans sa garçonnière.



Nous étions beaucoup moins hésitants que la première fois avec Pascal. Je m’étais déjà tapée quatre mecs devant Antoine dont plusieurs fois Pascal. Je jouis des autres devant lui et il aime ça. Je le taquine en lui faisant le signe des cornes et en étant très expressive du plaisir que les autres me donnent et il aime encore plus ça.



J’avais mis une petite jupe noire discrète coupée à mi-cuisse, il faisait doux j’étais jambes nues. En haut un petit chemisier blanc coupe cache-cœur. Dessous, un tout petit string blanc et l’absence de soutien-gorge me donnaient un sentiment très sexe. Antoine m’accompagnait habillé plus casual.



Nous arrivons devant un bel immeuble du 16ème arrondissement, le quartier est très chic. Nous entrons et un tout petit ascenseur comme l’on n’en trouve qu’à Paris nous monte au 7ème étage (nous rigolons avec Antoine, l’étage nous rapprochait du ciel). Je sonne à la porte de Jean-Pierre, un homme ouvre, c’est bien lui comme sur les photos. Il me fait la bise, serre la main d’Antoine et nous invite à entrer. Jean –Pierre dit « C’est bien eux » et il nous guide vers le salon, je passe devant, je sens son regard sur moi je me dis que ça va être très sexe. J’entre dans le salon et là surprise, quatre hommes sont là assis sur deux canapés. Antoine semble inquiet, je lui prends la main et là je me dis que ça va être très très sexe. Jean-Pierre me dit « Ils sont tous venus, ce n’est pas tous les jours que l’on a une petite jeune de vingt ans ».



Ils se lèvent, se présentent et me font la bise pour me dire bonjour. C’est très courtois, c’est très bien. Maintenant, il y a ce moment que j’adore, que j’aime regarder et qui m’excite beaucoup, ils viennent serrer poliment la main d’Antoine. J’imagine que dans leurs têtes quelque chose comme « tu vois je vais baiser ta femme » doit tourner. Moi je me dis toujours la même chose « Soit gentil avec eux Antoine, car tu vois dans cinq minutes, je vais les sucer, ils vont me baiser, m’enculer, me traiter de salope, je vais avaler leur jus et surtout je vais jouir, alors vraiment Antoine soit gentil ». Dès ce moment-là, je mouille.



On propose un fauteuil à Antoine et moi je suis invité à m’assoir entre deux hommes sur le canapé. L’ambiance est très détendue. Nous buvons du champagne, je me dis que c’est vraiment la boisson du libertinage.



Mes voisins ont posé leurs mains sur mes cuisses. L’un m’attire vers lui et nous nous embrassons à pleine bouche. Je sens la main de l’autre glisser vers l’intérieur de mes cuisses, je les écarte, elle vient se poser sur mon minou. Il dit « Vous savez quoi les gars, c’est tout chaud et tout humide ici. La petite salope ». Je regarde du coin de l’œil Antoine en me disant « tu vois il faut être gentil avec eux, à peine cinq minutes et déjà ils me traitent de salope».



Jean-Pierre nous propose d’aller dans la chambre car nous sommes « nombreux ». Il y a un très grand lit, la déco me fait penser à une chambre d’hôtel. Antoine est installé sur une chaise a côté de l’angle du lit. Moi je retire mes talons et je suis mise debout sur le lit. Un mec dit « Vas-y Claudie, fait nous un petit strip tease ». Je n’ai jamais vraiment fait ça, je tente la chose. J’ouvre mon chemisier pour montrer qu’il n’y a pas de soutien-gorge, je retire doucement ma jupe pour montrer un petit string blanc transparent. Je fais tomber le chemisier pour sortir mes petits seins. Je vais retirer mon string quand Jean-Pierre m’arrête. Je vois qu’il a ouvert son pantalon et se masturbe doucement. Il dit « Nous on aime bien quand c’est le marie qui nous offre cette partie-là », il se retourne vers Antoine « Tu veux bien ? ». Antoine se lève, s’approche de moi, nous nous embrassons. On se regarde droit dans les yeux quand il retire mon string. Je comprends ce qu’il veut me dire, je pose ma main sur son visage et je fais le signe des cornes. Je vais me déchainer.



Antoine est éjecté pour retrouver sa chaise. Je tombe à genoux sur le lit. Jean-Pierre me prend la tête d’une main me tire vers lui et m’enfonce sa queue dans la bouche. Entre mes jambes je sens une bouche se poser et qui commence à me laper (à la perfection même je dirais), un doigt s’enfonce en moi avec un « la vache elle mouille déjà bien » et Jean-Pierre qui gémit un « comme j’aime bien les bouches des petites jeunes ». J’entends les autres mecs se déshabiller. Je regarde vite fait Antoine, tout va bien, il a sorti son sexe, il bande dur et se caresse lentement.



Je sens des mains sur mon corps, je ne sais pas combien, elles caressent mon dos, mes hanches mes fesses mes seins. Un master pack de 100 préservatifs est ouvert sur le lit, une bouteille de lubrifiant arrive à côté, je me dis « ça sent l’anal » et au même moment un doigt s’enfonce dans mon petit trou. J’entends un « Putain elle est ouverte du cul les gars, ça rentre facile ». Jean Pierre retire sa queue de ma bouche, il me demande en me tenant les cheveux :

- Tu te fais souvent enculer salope ?
- Oui
- T’aimes ça ?
- Oui.
Et un voisin vient interrompre la conversation en me mettant sa queue en bouche. Je n’ai pas eu le temps de lui dire que Pascal avec son vingt et un par six y était venu sept ou huit fois et que depuis et bien les choses sont plus simples par ce côté-là.



Ils m’allongent sur le dos. Celui que je suce me tire sur le bord, j’ai la tête un peu dans le vide entre ses jambes, c’est étrange, je sens ses couilles taper sur mon nez et quand j’ouvre mes yeux, je vois Antoine qui ne loupe rien. Sur le côté on tire ma main vers une queue, je la serre et la branle. On m’écarte les jambes, un sexe me pénètre directement profondément comme j’aime. Je veux voir qui me fait du bien mais le mec qui me tient la tête pour être sucé m’empêche de bouger, je ne sais même pas qui me prend. Je sens une main me caresser le clito, la sensation est incroyable. Ma main libre est envahie par un sexe que je tente de caresser, ça bouge dans tous les sens, c’est dur de tout faire en même temps.



Le mec que j’ai en bouche répète « elle suce divinement cette salope les gars », il ne veut pas laisser sa place alors que moi j’aimerai voir qui me pénètre aussi bien. Trop tard le type se retire de mon minou qui en demandait encore et un nouveau sexe entre dedans, et là non plus je ne sais toujours pas lequel c’est. Il va également bien au fond, bien lentement, c’est hyper bon, je me dis « putain ils baisent biens ces mecs-là ». Mais ça dure peu de temps, il se retire vite.



Enfin le type en bouche m’enlève son sexe, je bouge pour être un peu mieux sur le lit (éviter un torticolis) et voir un peu ce qui se passe. Celui que je suçais met un préservatif, il écarte mes jambes. Un mec me dit sur le côté « on l’appelle le jouisseur entre nous, tu vas comprendre pourquoi ma chérie ». Y a des queues partout autour de moi, j’ai l’impression que c’est elle qui me parle. Entre les jambes, il me soulève les hanches et s’enfonce en moi lentement, je sens chaque centimètre de son engin, bien à fond. Il commence à bouger sur un rythme et par un mouvement unique, c’est des frottements incroyables sur mon point G. Un mec sur le côté me caresse le clito en même temps, on me soulève la tête un peu et je prends un sexe en bouche.



Entre mes jambes la boule de chaleur s’installe, je sais ce que cela veut dire. J’accompagne les rythmes de la queue qui me pénètre de petits coups de reins. Le mec lance « vas-y ma chérie laisse toi aller ». Je lâche la bite que je suce et m’accroche aux épaules du mec qui me prends, c’est trop bon, plus jamais j’irai me plaindre que j’ai ses couilles sur le nez. La boule de chaleur explose, l’orgasme est énorme, je me cambre je lui murmure « je jouis », il me dit « plus fort », je répète plus fort « je jouis, je jouis ». Les autres mecs rigolent « le jouisseur il est trop fort ». L’orgasme est long, intense et lent, il est incroyable.



Et alors que seule avec un homme j’aurai demandé pitié et l’aurai fini à la main. A plusieurs, c’est impossible. Le « jouisseur » se retire une autre queue prend sa place, c’est qu’il y a du monde à satisfaire. Le mec nous retourne, je me retrouve au-dessus de lui, je le chevauche. Jean-Pierre, à genoux à côté, réclame une gâterie, je tends ma bouche pour le satisfaire. Un doigt frotte mon petit trou encore serré par l’orgasme et le badigeonne de gel. Il s’enfonce en moi. « Je vais enculer ta salope » est lancé à Antoine. Ni d’une ni de deux, je sens un sexe tentant d’y entrer. Je gémis un peu, je me sens peu préparée, mais il entre (mille mercis Pascal si tu me lis).



J’ai le réflexe de toute femme prise en double, je tente de me relever un peu pour faciliter l’introduction. Derrière cela ne lui convient pas et il demande à un de ses copains de me tenir bien cambrée. Le gars me croise les bras dans le dos et me pousse en avant, c’est plus dur pour moi mais derrière il peut mieux bouger à fond. Je ne râle même pas, ma bouche fermement maintenue sur un sexe m’en empêche.



Derrière le mec me défonce au sens littéral du terme. Il engage une conversation avec moi,

- T’es super ouverte ma salope. Tu te fais enculer souvent ?
- Oui j’aime ça ». Jean-Pierre se retirant de ma bouche pour me permettre de discuter.
- Même en double je m’enfonce comme dans du beurre. J’ai jamais connu ça les gars. Ils t’ont tous enculer c’est pas possible hein ?
- Oui
- Ça fait combien Oui ?
- Beaucoup.
- Combien ? (en me fessant légèrement).
- Onze je dirais
- T’as vingt ans ?
- Oui
- Onze mecs dans le cul à vingt ans, ça présage de la belle cochonne. Ça fera seize ce soir.
Les autres mecs rigolent.



Il se retourne vers Antoine et lui demande :

- T’aimes bien voir ta femme se faire enculer.
- Oui, dit ’il en se branlant
- On lui fait une tournante aveugle les gars….


Je ne comprends pas ce que c’est. Ils se retirent tous en même temps et me font descendre du lit. Je suis amenée devant Antoine et mise à genoux devant lui, je me penche sur lui. Ils demandent à Antoine de me tenir fermement les bras. Un bandeau noir vient me couvrir les yeux. Je sens la queue d’Antoine entre mes seins, elle est trempée. Antoine m’embrasse.



Je sens derrière une main se poser sur mes hanches, puis un sexe sur mes fesses. Je me sens ouverte, ça va aller. La queue s’enfonce dans mon cul, je gémis, je manque de mordre la langue d’Antoine. A ma surprise le mec donne cinq ou six coups et se retirent. Je sens que ça bouge derrière moi, un autre se met en place et m’encule à son tour mais lui aussi ne reste pas après pas plus de quelques coups. Je me dis « putain ils vont tous défiler comme ça, je vais être hyper défoncée » mais je ne bouge pas, je sens contre mes seins qu’Antoine est hyper excité et ça m’excite aussi de le voir dans cet état et de ne pas savoir qui me prend. Au bout de plusieurs passage de chaque mec, un d’entre eux me prend un peu plus fort et me fait bouger, le frottement finit Antoine. Je sens son sexe pris de spasmes et vider son sperme sur mes seins. Derrière moi les mecs rigolent et arrêtent de me prendre. On me retire mon bandeau.



Je remonte sur le lit avec eux. Un mec s’allonge sur le dos, on me tourne dos à lui je dois m’empaler je prends son sexe pour le mettre dans mon minou quand on me dit non derrière. Je m’assoie sur lui, il faut avouer que ça rentre tout seul et que c’est bon. Un autre grimpe entre mes jambes et s’enfonce dans mon minou… une nouvelle double. Rapidement une troisième queue vient se mettre en bouche. J’aime me sentir prise comme ça. Une main descend caresser mon clito, je vais à nouveau exploser. Je leur dis « je vais jouir je vais jouir », tous ils accélèrent. Le futur disparait, je crie « je jouis je jouis ». Mon premier orgasme en double, un truc incroyable, inimaginable.



Mon orgasme passé ils ne s’arrêtent pas, je me sens comme une poupée chiffon. Dans mon minou le mec accélère et se retire. Il enlève le préservatif et explose sur mon ventre et mes seins. Son sperme se mélange aux restes de celui d’Antoine. Dans mon cul je sens aussi le mec prêt à exploser, il accélère, je gémis, accélère encore j’hurle. Puis donne quelques grands coups, il jouit dans mon cul. Il se retire de moi et enlève un préservatif copieusement rempli, je me dis « lui il a pris son pied ».



Le jouisseur reprend position entre mes jambes et s’enfonce dans mon minou. C’est immédiatement plus intense, je me dis que sa femme a de la chance, il sait y faire. Une bite vient se fourrer dans ma bouche. Le jouisseur me dit :

- T’aimes ça salope hein ?
- Oui c’est bon je dis en gémissent
- J’entends pas
- Oui c’est bon je dis très fort.
- Je vais te faire jouir ?
- Oui c’est trop bon
- Je vais t’enculer d’abord.
- Non
- Si, je t’encule d’abord et après je reviens te faire jouir. Demande-moi de t’enculer ?
- Encule-moi, je dis doucement.
- J’ai pas entendu, encule moi qui ? et le mot magique ? » Il me tient la gorge
- Enculez-moi Monsieur s’il vous plait.
- Ah c’est mieux » En se retirant et en me pénétrant par derrière il me dit « tu vois le mot magique il ouvre toutes les portes »




Il faut avouer ce mec baise bien, même dans le cul. J’ai deux queues au-dessus de mon visage. Une dans chaque main. C’est la première fois, je joue avec : les deux en même temps dans la bouche, du combat de sabre,… J’entends le jouisseur commenter « elle a le cul complément ouvert cette salope ». Il se retire et change de préservatif pour revenir dans le minou. Il s’allonge sur moi (et il devait peser au moins cent kilos plus du double de mon poids, j’ai cru y laisser mes hanches) et s’enfonce en moi. Il bouge trop bien. Il me murmure à l’oreille « je vais te faire jouir ma jolie » et m’embrasse pleine bouche. Son gabarit me force à un écart important des cuisses, ce qui accentue le plaisir de ses frottements en moi. Je suis à nouveau ultra excitée, il est pile poil sur le point G. Je gémis de plus en plus et à nouveau c’est reparti je lui murmure « je jouis, je jouis », il ne s’arrête pas, « je jouis, je jouis », il ne s’arrête toujours pas, je pleure des larmes d’orgasme en lui disant « je jouis, je jouis ».



Il se retire, un des mecs que j’avais en bouche avant lui a enfilé un préservatif et lui sans demander son reste m’enfonce son dard dans le cul. Le jouisseur vient proposer sa queue à ma bouche, je récompense son plaisir en le suçant avidement. J’ai la bouche prise, alors il se retourne vers Antoine :

- Elle avale ta femme ? » Il ne répond pas. Alors il me demande « Tu avales ma jolie ? ».
Je lui réponds oui d’un signe de tête.

J’entends derrière « Putain si j’avais su, je suis certain qu’il m’en reste ».



Au-dessus de moi le jouisseur me donne des ordres « voila c’est bien, bien le gland » « branles moi oui bien comme ça » « lèches moi les couilles ». Derrière le mec m’encule toujours, il accélère et se retire. Il enlève son préservatif et je sens son sperme se mélanger avec celui des autres sur mon ventre. Le jouisseur continue ses ordres « regardes moi, tu as un joli visage ». Il bande fort je sens que ce n’est pas loin, je le branle plus vite mais il retire ma main et baise ma bouche les deux mains sur ma tête. Il parle à Antoine « Regardes comme je baise ta femme, Regardes comme je baise ta salope ». Il explose dans ma bouche en gueulant « Avales, avales salope » et comme je ne peux pas faire autrement… j’avale. Il se retire de ma bouche après avoir bien pressé sur son sexe. Il me tire par les cheveux la tête en arrière et dit :

- Qu’est ce qu’on dit ? » Je ne comprends pas, je ne réponds rien, « Qu’est ce qu’on dit ? »
- Je réponds machinalement « Merci » le goût de son sperme encore plein la bouche
- Il faut tout leur apprendre à ces jeunes ».


Le mec qui avait joui dans le préservatif revient vers moi, il se branle frénétiquement. Il gueule « Ouvre la bouche », j’ouvre la bouche un petit jet vient frapper ma langue, puis il enfonce sa queue où j’avale un sperme qui coule lentement.



Jean Pierre approche alors, notre hôte bande encore, je me dis à cinq c’est jamais fini. Il m’allonge sur le ventre et vient à nouveau dans mon minou après quelques secondes il se retire et vient entre mes fesses. Je râle face à lui, pensant que cela serait fini pour moi par ce trou. Il me dit alors « Houlà ma petite tu pues le sperme toi ». Il bouge en moi et se retire. A genoux à cote de moi, il retire son préservatif et m’enfonce son sexe en bouche, il fait deux, trois mouvements et explose. C’est ma troisième dose, j’ai du mal à avaler.



Je suis épuisée, lessivée. Je vois que le jouisseur est pratiquement habillé, les autres s’habillent aussi. C’est fini. Je souris à Antoine qui me fait un clin d’œil. Le jouisseur dit qu’il doit y aller vite fait. Il vient serrer la main d’Antoine. Il vient m’embrasser pour dire au revoir au même moment il me dit :

- On dit quoi ?
- Merci. Je réponds en souriant
- Je t’en prie ma jolie mais va te laver les dents ou prend un mentos.
requiem67 a liké
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par bakara38
#1851320
Wouuaaa ! Superbe récit de votre part à tous les deux. C'est trés excitant quand Madame raconte cette deuxième histoire, partage avec nous ses sensations, son excitation du moment. Une trés belle salope !!!
Au plaisir d'en lire plus et pourquoi par voir aussi des photos !
Bravo !!!

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