- 19 avr. 2016, 18:43
#1896148
Je suis comme vous, je rêve de voir ma femme baiser avec quelqu'un d'autre. Homme ou femme. Malheureusement, ce n'est pas son délire. Elle dit en souriant que je suis taré. Je ne suis pas d'accord. J'ai juste plein de fantasmes, et pas elle.
Par exemple, je suis très attiré par l'idée qu'elle excite les autres. Pour cela, je l'emmenais parfois le soir en voiture sur des parkings pour me faire sucer, et elle s'en est toujours très bien tirée, malgré les voitures à côté et les gens qui pouvaient parfois passer.
Un soir, en rentrant d'une soirée bien arrosée, je lui demande de retirer ses sous vêtements et de conduire nue sous sa petite robe blanche. Elle s'exécute et alors qu'elle conduit vers notre domicile, je lui dit de s'engager sur un petit parking près de chez nous, connu pour son voyeurisme et ses séances de baise dans les fourrés alentours. Elle se gare, on passe sur la banquette arrière et le temps que j'enlève mon pantalon, un homme marche vers nous, longe calmement notre voiture en nous regardant et disparaît dans la nuit. En fait, il n'est pas loin, je le vois à quelques mètres, mais il est dans le dos de ma chérie qui râle un peu mais ne se fait guère prier pour me lécher la queue malgré la réputation de l'endroit. L'homme revient au bout de quelques minutes, ce qui fait flipper ma femme qui dit que l'endroit est glauque et arrête net sa fellation. Je me finis en me branlant sur elle, et nous rentrons chez nous. Chier.
Plusieurs années ont passé. Ma femme s'est pas mal décoincée. Elle se rase la chatte et on baise plus et mieux que jamais. Il y a quelques mois, on était invité à une fête déguisée. Elle était en lady gaga, avec une robe ultra moulante, une paire de nibards énormes, des faux cils et une perruque au carré genre crazy horse. On était bien saouls et elle était excitée comme une puce par son apparence de pute. Sur la route du retour, je lui remet la perruque sur la tête en lui disant qu'elle est méconnaissable et qu'on devrait aller sur le parking pour qu'elle me "pompe le gland". Elle ne répond pas, enlève sa perruque et... passe notre maison , direction le parking. Mon coeur bat la chamade et je n'ose prononcer un mot. Il est plus de trois heures du matin et l'endroit ne dort pas. Elle se gare entre deux voitures et je n'ai pas le temps de me dessaper qu'un homme sort de celle de droite. Il marche lentement le long de mon côté, en nous regardant pendant que je sors mes outils, et va s' asseoir sur le muret devant notre place, à moins d'un mètre de la voiture. Tout est allé si vite que l'on n'est même pas allé à l'arrière. J'ai juste un peu incliné mon dossier pour prendre mes aises, profiter de la vue et laisser à madame la place pour son office. À ma grande satisfaction, ma salope de femme se penche toute seule sur moi et entreprend de lécher longuement mes couilles, puis de les sucer avec application. Elle semble y prendre du plaisir la cochonne, car elle prend bien son temps. Entre temps, un deuxième homme sort de la voiture de gauche et vient se poste à la fenêtre de ma femme qui bien sûr ne le voit pas, trop occupée par son affaire. J'ai déjà raconté cette histoire en janvier, donc je ne vais pas redonner tous les détails, mais après m'avoir bien sucé la queue et fait jouir, ma femme aperçoit le deuxième voyeur juste à côté d'elle, se met à flipper sévère, démarre la caisse et part en trombe. Merde ! Putain, à tous les coups ça finit par foirer...
Du coup, je me dis qu'il faut changer quelque chose. Je pense alors lui bander les yeux et l'emmener dans un parking tranquille, situé à 100 mètre du premier et qui présente à peu près les mêmes virages d'accès. Du coup, elle pourrait penser que c'est le parking voyeur, mais sans en être sûre. L'avantage est double. Si elle se laisse faire et prend son pied, bingo ! Si elle se fait un flip, je lui enlève son bandeau et elle peut voir que l'endroit est clean. Reste à la persuader. Je prends donc un bandana avec moi quand on sort le soir et lui propose de le mettre sur les yeux quand on rentre, histoire d'aller s'amuser. Elle refuse chaque fois, bien sûr, mais peu à peu s'habitue, en rit, dédramatise. C'est le but. Reste à attendre le bon moment, la soirée bien folle où l'alcool et le délire décoincent.
Et celle ci finit par arriver. Pas de déguisement cette fois, mais ma femme porte une petite robe noire bien moulante qui s' arrête juste au dessus des genoux, avec un décolleté en v plutôt profond. Classe et bien bandante. Elle danse comme une folle toute la soirée et boit juste assez pour être pompette. On finit par s'éclipser et sur la route, je lui sors le bandeau cinq minutes avant d'arriver chez nous. Elle rigole mais le garde dans ses mains et joue avec. J'insiste en rigolant et elle finit par le mettre sur ses yeux. Je lâche pas le poisson. Je lui demande aussi sec de retirer son string et son soutien gorge. Elle s'exécute sans rouspéter, en me demandant si on va chez les voyeurs. Je lui répond que non. De toutes façons, on est presque arrivé. Je ralentis, mets le clignotant et tourne à gauche. J'avais fait un tour de reconnaissance, et je conduis lentement en coupant les virages pour bien faire penser au fameux parking. Je suis excité à mort.
Je me gare enfin, tire le frein à main et demande à ma femme de passer à l'arrière. J'avais pris soin de rabattre la banquette arrière et le coffre est immense et tout plat. Je la rejoins derrière et commence à l'embrasser calmement dans le cou en lui caressant le dos. Elle se détend peu à peu et j'en profite pour mettre plus de passion dans mes caresses. Elle se laisse faire. Je l'allonge doucement sur le dos, en travers du coffre, pour avoir assez de place. Il faut savoir que cette petite cochonne aime beaucoup se faire branler. Alors je lui remonte sa robe jusqu'au nombril pour mettre à nu sa petite chatte. Bien sûr il n'y a personne dehors, mais elle n'en sait rien et pourtant elle me laisse dévoiler son sexe et écarte instantanément les cuisses. Surtout ne pas perdre de temps pour qu'elle ne puisse pas réfléchir. Je pose mes mains sur son mont de vénus épilé et commence mes caresses tout autour. D'abord doucement, puis en alternant force et légèreté. Elle entrouvre la bouche et change de respiration. Je descends le long de ses lèvres et fais courir mes doigts sur ses fesses. J'adore caresser et lécher son cul, autour de l'anus. Elle ne veut pas, sauf très rares exceptions quand elle est tellement excitée qu'elle ne peut plus m'en empêcher. Dans ces cas là, je lui lèche le cul et elle jouit comme une dingue en devenant rouge comme une tomate. Mais on n'en est pas encore là et je compte bien prendre tout mon temps maintenant qu'elle semble bien partie. Je remonte vers son clitoris, mais prends bien soin de ne pas le toucher. Pas encore. Ses entre cuisses aiment les caresses. Je vais lui en donner. Mes doigts volent de ses cuisses à ses lèvres en multipliant les détours, tantôt vers son trou de balle, tantôt vers son mont de vénus que je tire vers le haut pour bien étirer sa chatte. Après de longues minutes, je pose un doigt sous son clito, un autre juste au dessus, appuie fort et écarte mes doigts. Cela tend son bouton magique, le fait bien ressortir et surtout la fait grimper aux rideaux. Je lui prodigue cette torture à trois ou quatre reprises, puis effleure très délicatement son clitoris avec la pulpe du doigt. Celui ci se contracte puis se relache plusieurs fois sous la faible lumière du réverbère. Son clito est maintenant bien sorti et se dresse tout en longueur. Je recommence plusieurs fois avant de l'attraper délicatement entre mon pouce et mon index et commence mes vas et viens. Je lui branle le clito, ce qu'elle apprécie particulièrement. De temps à autres, je lubrifie mes doigts en les plongeant entre ses lèvres, ce qui me permet de bien saisir son clito tout en lui permettant de glisser entre mes doigts. Ma petite pute a déjà placé ses mains près de son minou et elle n'attend que mon ordre. Son clitoris ne ressemble plus à un bouton. C'est maintenant un organe long et bien dessiné, vraiment comme une mini bite recouverte de peau. "Écarte ta chatte". Je n'ai pas fini ma phrase que ses doigts se sont déjà posés autour de son clitoris et tirent vers l'extérieur. Instantanément, son clito ressort encore plus, est encore mieux mis en valeur. Je continue de la branler. Elle decolle de plus en plus. C'est le moment que je choisis pour pincer fortement son clito. Je l'attrape littéralement et le sens entre mes doigts protégé sous son bourrelet de peau. Je ne le lache plus et le branle cette fois aussi fort que je peux. De temps à autres, il s'échappe et roule entre mes doigts avant que je ne le ratrappe en le pinçant tout aussi fort, ce qui la fait sursauter, comme sous l'effet d'une décharge électrique. Ma femme n'est plus sur terre. Je branle violemment son clitoris, exactement comme si c'était une bite. Elle adore ça et commence à jouir. Mais quand elle jouit, tout son sexe devient électrique et on ne peut plus la toucher. Elle repousse ma main en se contorsionnant dans tous les sens. Alors, je pose mon pouce sur son clitoris et appuie dessus en l'écrasant de toute mes forces. C'en est trop pour elle. Elle ne peut plus se défendre et jouit comme une malade sous mon doigt, en se tortillant comme un vers et en gemissant comme une chienne. Long et puissant orgasme qu'elle arrive cependant à calmer après de longues secondes en repoussant une nouvelle fois ma main. Une fois que ma femme a jouit, comme je l'ai dit, on ne peut plus la toucher pendant longtemps. Ça tombe bien, j'ai envie de me faire sucer. Et c'est une championne.
Par exemple, je suis très attiré par l'idée qu'elle excite les autres. Pour cela, je l'emmenais parfois le soir en voiture sur des parkings pour me faire sucer, et elle s'en est toujours très bien tirée, malgré les voitures à côté et les gens qui pouvaient parfois passer.
Un soir, en rentrant d'une soirée bien arrosée, je lui demande de retirer ses sous vêtements et de conduire nue sous sa petite robe blanche. Elle s'exécute et alors qu'elle conduit vers notre domicile, je lui dit de s'engager sur un petit parking près de chez nous, connu pour son voyeurisme et ses séances de baise dans les fourrés alentours. Elle se gare, on passe sur la banquette arrière et le temps que j'enlève mon pantalon, un homme marche vers nous, longe calmement notre voiture en nous regardant et disparaît dans la nuit. En fait, il n'est pas loin, je le vois à quelques mètres, mais il est dans le dos de ma chérie qui râle un peu mais ne se fait guère prier pour me lécher la queue malgré la réputation de l'endroit. L'homme revient au bout de quelques minutes, ce qui fait flipper ma femme qui dit que l'endroit est glauque et arrête net sa fellation. Je me finis en me branlant sur elle, et nous rentrons chez nous. Chier.
Plusieurs années ont passé. Ma femme s'est pas mal décoincée. Elle se rase la chatte et on baise plus et mieux que jamais. Il y a quelques mois, on était invité à une fête déguisée. Elle était en lady gaga, avec une robe ultra moulante, une paire de nibards énormes, des faux cils et une perruque au carré genre crazy horse. On était bien saouls et elle était excitée comme une puce par son apparence de pute. Sur la route du retour, je lui remet la perruque sur la tête en lui disant qu'elle est méconnaissable et qu'on devrait aller sur le parking pour qu'elle me "pompe le gland". Elle ne répond pas, enlève sa perruque et... passe notre maison , direction le parking. Mon coeur bat la chamade et je n'ose prononcer un mot. Il est plus de trois heures du matin et l'endroit ne dort pas. Elle se gare entre deux voitures et je n'ai pas le temps de me dessaper qu'un homme sort de celle de droite. Il marche lentement le long de mon côté, en nous regardant pendant que je sors mes outils, et va s' asseoir sur le muret devant notre place, à moins d'un mètre de la voiture. Tout est allé si vite que l'on n'est même pas allé à l'arrière. J'ai juste un peu incliné mon dossier pour prendre mes aises, profiter de la vue et laisser à madame la place pour son office. À ma grande satisfaction, ma salope de femme se penche toute seule sur moi et entreprend de lécher longuement mes couilles, puis de les sucer avec application. Elle semble y prendre du plaisir la cochonne, car elle prend bien son temps. Entre temps, un deuxième homme sort de la voiture de gauche et vient se poste à la fenêtre de ma femme qui bien sûr ne le voit pas, trop occupée par son affaire. J'ai déjà raconté cette histoire en janvier, donc je ne vais pas redonner tous les détails, mais après m'avoir bien sucé la queue et fait jouir, ma femme aperçoit le deuxième voyeur juste à côté d'elle, se met à flipper sévère, démarre la caisse et part en trombe. Merde ! Putain, à tous les coups ça finit par foirer...
Du coup, je me dis qu'il faut changer quelque chose. Je pense alors lui bander les yeux et l'emmener dans un parking tranquille, situé à 100 mètre du premier et qui présente à peu près les mêmes virages d'accès. Du coup, elle pourrait penser que c'est le parking voyeur, mais sans en être sûre. L'avantage est double. Si elle se laisse faire et prend son pied, bingo ! Si elle se fait un flip, je lui enlève son bandeau et elle peut voir que l'endroit est clean. Reste à la persuader. Je prends donc un bandana avec moi quand on sort le soir et lui propose de le mettre sur les yeux quand on rentre, histoire d'aller s'amuser. Elle refuse chaque fois, bien sûr, mais peu à peu s'habitue, en rit, dédramatise. C'est le but. Reste à attendre le bon moment, la soirée bien folle où l'alcool et le délire décoincent.
Et celle ci finit par arriver. Pas de déguisement cette fois, mais ma femme porte une petite robe noire bien moulante qui s' arrête juste au dessus des genoux, avec un décolleté en v plutôt profond. Classe et bien bandante. Elle danse comme une folle toute la soirée et boit juste assez pour être pompette. On finit par s'éclipser et sur la route, je lui sors le bandeau cinq minutes avant d'arriver chez nous. Elle rigole mais le garde dans ses mains et joue avec. J'insiste en rigolant et elle finit par le mettre sur ses yeux. Je lâche pas le poisson. Je lui demande aussi sec de retirer son string et son soutien gorge. Elle s'exécute sans rouspéter, en me demandant si on va chez les voyeurs. Je lui répond que non. De toutes façons, on est presque arrivé. Je ralentis, mets le clignotant et tourne à gauche. J'avais fait un tour de reconnaissance, et je conduis lentement en coupant les virages pour bien faire penser au fameux parking. Je suis excité à mort.
Je me gare enfin, tire le frein à main et demande à ma femme de passer à l'arrière. J'avais pris soin de rabattre la banquette arrière et le coffre est immense et tout plat. Je la rejoins derrière et commence à l'embrasser calmement dans le cou en lui caressant le dos. Elle se détend peu à peu et j'en profite pour mettre plus de passion dans mes caresses. Elle se laisse faire. Je l'allonge doucement sur le dos, en travers du coffre, pour avoir assez de place. Il faut savoir que cette petite cochonne aime beaucoup se faire branler. Alors je lui remonte sa robe jusqu'au nombril pour mettre à nu sa petite chatte. Bien sûr il n'y a personne dehors, mais elle n'en sait rien et pourtant elle me laisse dévoiler son sexe et écarte instantanément les cuisses. Surtout ne pas perdre de temps pour qu'elle ne puisse pas réfléchir. Je pose mes mains sur son mont de vénus épilé et commence mes caresses tout autour. D'abord doucement, puis en alternant force et légèreté. Elle entrouvre la bouche et change de respiration. Je descends le long de ses lèvres et fais courir mes doigts sur ses fesses. J'adore caresser et lécher son cul, autour de l'anus. Elle ne veut pas, sauf très rares exceptions quand elle est tellement excitée qu'elle ne peut plus m'en empêcher. Dans ces cas là, je lui lèche le cul et elle jouit comme une dingue en devenant rouge comme une tomate. Mais on n'en est pas encore là et je compte bien prendre tout mon temps maintenant qu'elle semble bien partie. Je remonte vers son clitoris, mais prends bien soin de ne pas le toucher. Pas encore. Ses entre cuisses aiment les caresses. Je vais lui en donner. Mes doigts volent de ses cuisses à ses lèvres en multipliant les détours, tantôt vers son trou de balle, tantôt vers son mont de vénus que je tire vers le haut pour bien étirer sa chatte. Après de longues minutes, je pose un doigt sous son clito, un autre juste au dessus, appuie fort et écarte mes doigts. Cela tend son bouton magique, le fait bien ressortir et surtout la fait grimper aux rideaux. Je lui prodigue cette torture à trois ou quatre reprises, puis effleure très délicatement son clitoris avec la pulpe du doigt. Celui ci se contracte puis se relache plusieurs fois sous la faible lumière du réverbère. Son clito est maintenant bien sorti et se dresse tout en longueur. Je recommence plusieurs fois avant de l'attraper délicatement entre mon pouce et mon index et commence mes vas et viens. Je lui branle le clito, ce qu'elle apprécie particulièrement. De temps à autres, je lubrifie mes doigts en les plongeant entre ses lèvres, ce qui me permet de bien saisir son clito tout en lui permettant de glisser entre mes doigts. Ma petite pute a déjà placé ses mains près de son minou et elle n'attend que mon ordre. Son clitoris ne ressemble plus à un bouton. C'est maintenant un organe long et bien dessiné, vraiment comme une mini bite recouverte de peau. "Écarte ta chatte". Je n'ai pas fini ma phrase que ses doigts se sont déjà posés autour de son clitoris et tirent vers l'extérieur. Instantanément, son clito ressort encore plus, est encore mieux mis en valeur. Je continue de la branler. Elle decolle de plus en plus. C'est le moment que je choisis pour pincer fortement son clito. Je l'attrape littéralement et le sens entre mes doigts protégé sous son bourrelet de peau. Je ne le lache plus et le branle cette fois aussi fort que je peux. De temps à autres, il s'échappe et roule entre mes doigts avant que je ne le ratrappe en le pinçant tout aussi fort, ce qui la fait sursauter, comme sous l'effet d'une décharge électrique. Ma femme n'est plus sur terre. Je branle violemment son clitoris, exactement comme si c'était une bite. Elle adore ça et commence à jouir. Mais quand elle jouit, tout son sexe devient électrique et on ne peut plus la toucher. Elle repousse ma main en se contorsionnant dans tous les sens. Alors, je pose mon pouce sur son clitoris et appuie dessus en l'écrasant de toute mes forces. C'en est trop pour elle. Elle ne peut plus se défendre et jouit comme une malade sous mon doigt, en se tortillant comme un vers et en gemissant comme une chienne. Long et puissant orgasme qu'elle arrive cependant à calmer après de longues secondes en repoussant une nouvelle fois ma main. Une fois que ma femme a jouit, comme je l'ai dit, on ne peut plus la toucher pendant longtemps. Ça tombe bien, j'ai envie de me faire sucer. Et c'est une championne.