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Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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par velo
#1896148
Je suis comme vous, je rêve de voir ma femme baiser avec quelqu'un d'autre. Homme ou femme. Malheureusement, ce n'est pas son délire. Elle dit en souriant que je suis taré. Je ne suis pas d'accord. J'ai juste plein de fantasmes, et pas elle.
Par exemple, je suis très attiré par l'idée qu'elle excite les autres. Pour cela, je l'emmenais parfois le soir en voiture sur des parkings pour me faire sucer, et elle s'en est toujours très bien tirée, malgré les voitures à côté et les gens qui pouvaient parfois passer.

Un soir, en rentrant d'une soirée bien arrosée, je lui demande de retirer ses sous vêtements et de conduire nue sous sa petite robe blanche. Elle s'exécute et alors qu'elle conduit vers notre domicile, je lui dit de s'engager sur un petit parking près de chez nous, connu pour son voyeurisme et ses séances de baise dans les fourrés alentours. Elle se gare, on passe sur la banquette arrière et le temps que j'enlève mon pantalon, un homme marche vers nous, longe calmement notre voiture en nous regardant et disparaît dans la nuit. En fait, il n'est pas loin, je le vois à quelques mètres, mais il est dans le dos de ma chérie qui râle un peu mais ne se fait guère prier pour me lécher la queue malgré la réputation de l'endroit. L'homme revient au bout de quelques minutes, ce qui fait flipper ma femme qui dit que l'endroit est glauque et arrête net sa fellation. Je me finis en me branlant sur elle, et nous rentrons chez nous. Chier.

Plusieurs années ont passé. Ma femme s'est pas mal décoincée. Elle se rase la chatte et on baise plus et mieux que jamais. Il y a quelques mois, on était invité à une fête déguisée. Elle était en lady gaga, avec une robe ultra moulante, une paire de nibards énormes, des faux cils et une perruque au carré genre crazy horse. On était bien saouls et elle était excitée comme une puce par son apparence de pute. Sur la route du retour, je lui remet la perruque sur la tête en lui disant qu'elle est méconnaissable et qu'on devrait aller sur le parking pour qu'elle me "pompe le gland". Elle ne répond pas, enlève sa perruque et... passe notre maison , direction le parking. Mon coeur bat la chamade et je n'ose prononcer un mot. Il est plus de trois heures du matin et l'endroit ne dort pas. Elle se gare entre deux voitures et je n'ai pas le temps de me dessaper qu'un homme sort de celle de droite. Il marche lentement le long de mon côté, en nous regardant pendant que je sors mes outils, et va s' asseoir sur le muret devant notre place, à moins d'un mètre de la voiture. Tout est allé si vite que l'on n'est même pas allé à l'arrière. J'ai juste un peu incliné mon dossier pour prendre mes aises, profiter de la vue et laisser à madame la place pour son office. À ma grande satisfaction, ma salope de femme se penche toute seule sur moi et entreprend de lécher longuement mes couilles, puis de les sucer avec application. Elle semble y prendre du plaisir la cochonne, car elle prend bien son temps. Entre temps, un deuxième homme sort de la voiture de gauche et vient se poste à la fenêtre de ma femme qui bien sûr ne le voit pas, trop occupée par son affaire. J'ai déjà raconté cette histoire en janvier, donc je ne vais pas redonner tous les détails, mais après m'avoir bien sucé la queue et fait jouir, ma femme aperçoit le deuxième voyeur juste à côté d'elle, se met à flipper sévère, démarre la caisse et part en trombe. Merde ! Putain, à tous les coups ça finit par foirer...

Du coup, je me dis qu'il faut changer quelque chose. Je pense alors lui bander les yeux et l'emmener dans un parking tranquille, situé à 100 mètre du premier et qui présente à peu près les mêmes virages d'accès. Du coup, elle pourrait penser que c'est le parking voyeur, mais sans en être sûre. L'avantage est double. Si elle se laisse faire et prend son pied, bingo ! Si elle se fait un flip, je lui enlève son bandeau et elle peut voir que l'endroit est clean. Reste à la persuader. Je prends donc un bandana avec moi quand on sort le soir et lui propose de le mettre sur les yeux quand on rentre, histoire d'aller s'amuser. Elle refuse chaque fois, bien sûr, mais peu à peu s'habitue, en rit, dédramatise. C'est le but. Reste à attendre le bon moment, la soirée bien folle où l'alcool et le délire décoincent.
Et celle ci finit par arriver. Pas de déguisement cette fois, mais ma femme porte une petite robe noire bien moulante qui s' arrête juste au dessus des genoux, avec un décolleté en v plutôt profond. Classe et bien bandante. Elle danse comme une folle toute la soirée et boit juste assez pour être pompette. On finit par s'éclipser et sur la route, je lui sors le bandeau cinq minutes avant d'arriver chez nous. Elle rigole mais le garde dans ses mains et joue avec. J'insiste en rigolant et elle finit par le mettre sur ses yeux. Je lâche pas le poisson. Je lui demande aussi sec de retirer son string et son soutien gorge. Elle s'exécute sans rouspéter, en me demandant si on va chez les voyeurs. Je lui répond que non. De toutes façons, on est presque arrivé. Je ralentis, mets le clignotant et tourne à gauche. J'avais fait un tour de reconnaissance, et je conduis lentement en coupant les virages pour bien faire penser au fameux parking. Je suis excité à mort.
Je me gare enfin, tire le frein à main et demande à ma femme de passer à l'arrière. J'avais pris soin de rabattre la banquette arrière et le coffre est immense et tout plat. Je la rejoins derrière et commence à l'embrasser calmement dans le cou en lui caressant le dos. Elle se détend peu à peu et j'en profite pour mettre plus de passion dans mes caresses. Elle se laisse faire. Je l'allonge doucement sur le dos, en travers du coffre, pour avoir assez de place. Il faut savoir que cette petite cochonne aime beaucoup se faire branler. Alors je lui remonte sa robe jusqu'au nombril pour mettre à nu sa petite chatte. Bien sûr il n'y a personne dehors, mais elle n'en sait rien et pourtant elle me laisse dévoiler son sexe et écarte instantanément les cuisses. Surtout ne pas perdre de temps pour qu'elle ne puisse pas réfléchir. Je pose mes mains sur son mont de vénus épilé et commence mes caresses tout autour. D'abord doucement, puis en alternant force et légèreté. Elle entrouvre la bouche et change de respiration. Je descends le long de ses lèvres et fais courir mes doigts sur ses fesses. J'adore caresser et lécher son cul, autour de l'anus. Elle ne veut pas, sauf très rares exceptions quand elle est tellement excitée qu'elle ne peut plus m'en empêcher. Dans ces cas là, je lui lèche le cul et elle jouit comme une dingue en devenant rouge comme une tomate. Mais on n'en est pas encore là et je compte bien prendre tout mon temps maintenant qu'elle semble bien partie. Je remonte vers son clitoris, mais prends bien soin de ne pas le toucher. Pas encore. Ses entre cuisses aiment les caresses. Je vais lui en donner. Mes doigts volent de ses cuisses à ses lèvres en multipliant les détours, tantôt vers son trou de balle, tantôt vers son mont de vénus que je tire vers le haut pour bien étirer sa chatte. Après de longues minutes, je pose un doigt sous son clito, un autre juste au dessus, appuie fort et écarte mes doigts. Cela tend son bouton magique, le fait bien ressortir et surtout la fait grimper aux rideaux. Je lui prodigue cette torture à trois ou quatre reprises, puis effleure très délicatement son clitoris avec la pulpe du doigt. Celui ci se contracte puis se relache plusieurs fois sous la faible lumière du réverbère. Son clito est maintenant bien sorti et se dresse tout en longueur. Je recommence plusieurs fois avant de l'attraper délicatement entre mon pouce et mon index et commence mes vas et viens. Je lui branle le clito, ce qu'elle apprécie particulièrement. De temps à autres, je lubrifie mes doigts en les plongeant entre ses lèvres, ce qui me permet de bien saisir son clito tout en lui permettant de glisser entre mes doigts. Ma petite pute a déjà placé ses mains près de son minou et elle n'attend que mon ordre. Son clitoris ne ressemble plus à un bouton. C'est maintenant un organe long et bien dessiné, vraiment comme une mini bite recouverte de peau. "Écarte ta chatte". Je n'ai pas fini ma phrase que ses doigts se sont déjà posés autour de son clitoris et tirent vers l'extérieur. Instantanément, son clito ressort encore plus, est encore mieux mis en valeur. Je continue de la branler. Elle decolle de plus en plus. C'est le moment que je choisis pour pincer fortement son clito. Je l'attrape littéralement et le sens entre mes doigts protégé sous son bourrelet de peau. Je ne le lache plus et le branle cette fois aussi fort que je peux. De temps à autres, il s'échappe et roule entre mes doigts avant que je ne le ratrappe en le pinçant tout aussi fort, ce qui la fait sursauter, comme sous l'effet d'une décharge électrique. Ma femme n'est plus sur terre. Je branle violemment son clitoris, exactement comme si c'était une bite. Elle adore ça et commence à jouir. Mais quand elle jouit, tout son sexe devient électrique et on ne peut plus la toucher. Elle repousse ma main en se contorsionnant dans tous les sens. Alors, je pose mon pouce sur son clitoris et appuie dessus en l'écrasant de toute mes forces. C'en est trop pour elle. Elle ne peut plus se défendre et jouit comme une malade sous mon doigt, en se tortillant comme un vers et en gemissant comme une chienne. Long et puissant orgasme qu'elle arrive cependant à calmer après de longues secondes en repoussant une nouvelle fois ma main. Une fois que ma femme a jouit, comme je l'ai dit, on ne peut plus la toucher pendant longtemps. Ça tombe bien, j'ai envie de me faire sucer. Et c'est une championne.
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par Maripreteur31
#1896368
Merci pour ce beau récit, très excitant et (car ?) très bien écrit !!!

Peut on savoir où se trouve ce chouette parking ?
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par velo
#1896695
Merci, mais je préfère ne pas dire où nous habitons car c'est tt petit et on se connaît tous.
Par contre, je n'arrive pas à poster de photos de ma pute en train de me pomper. Mémoire insuffisante s'affiche à chaque fois. J'ai contacté l'administrateur trois fois, mais tjrs pas de réponse. Grrrrrr....
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par velo
#1898698
Impossible, je l'ai écrit la semaine dernière.
Par contre, c'est la suite d'autres récits sur le même thème. Cherche sur mes pages. ;)
par jhsexy77
#1903746
Superbe récit !! Sur la photo on voit bien que ta femme a l air d une sacrée suceuse qu est ce que sa doit être bon de lui laisser sa keu .. Comme tout le monde du forum j aimerai savoir sur quel parking se produit un tel spectacle
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par velo
#1904212
C'est surtout bon de lui laisser sa queue et ses couilles ! Ma femme est une bonne bouffeuse de couilles... une vraie chienne.
Screenshot_2016-05-15-00-14-56-1.png
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patbou2001, Tony31, nacra29 et 6 autres a liké
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par velo
#1906112
Bon voilà, j'ai enfin un peu de temps pour raconter la suite. Comme je l'ai dit, ma femme est une super suceuse de bite, ce qui est assez normal car depuis le temps qu'elle me suce la queue, elle maîtrise tout ce que j'aime. Donc, j'adore ses pipes, surtout quand elles sont bien longues, ce qui est généralement le cas.
Comme il commence à faire bien chaud dans la voiture, je me dessape entièrement. J'aime bien être à poil quand je me fais sucer. Je m'allonge comme je le peux, c'est à dire mal, mais bon la nuque un peu redressée me permet une bonne vision de ma cochonne qui va me sucer sur un parking qu'elle ne sait pas désert mais qui ne se fait pas prier pour s'installer entre mes jambes. Je baisse un peu le haut de sa robe pour dégager ses seins qu'elle commence à frotter sur mon torse et mon ventre. Elle prend son temps, comme j'aime, en prenant bien soin de ne pas toucher ma queue. Cette longue caresse semble l'exciter car elle se tient à quatre pattes, en position de levrette, le cul bien en l'air. Top ! Puis elle recule un peu et poursuit ses caresses avec ses joues. J'apprécie beaucoup la douceur des sa peau sur le duvet de mon ventre. C'est électrisant comme sensation, très excitant. D'ailleurs, elle aime beaucoup cela et continue bien sûr de ne pas se presser. Elle commence à effleurer mon sexe tendu avec ses joues, d'abord légèrement, puis de manière plus prononcée et régulière. Elle fait maintenant des allers retours entre mes aines, très sensibles, et mon ventre, sans oublier au passage de se frotter sur ma queue. J'adore quand elle fait ça. Je trouve que cette façon de se frotter fait chienne qui aime vraiment la bite. Je le lui fait remarquer et en profite pour me redresser afin de relever le bas de sa robe, déjà courte, et lui caresser le cul qu'elle a maintenant tout à fait à l'air... et en l'air, juste sous le pare brise arrière. Elle se laisse faire et ne semble pas se soucier de l'éventuelle présence de voyeurs. Mieux, elle frotte son visage de plus belle sur ma queue, comme si cela l'excitait davantage. Mais elle en veut plus et remplace ses joues par sa bouche et sa langue. Ses lèvres poursuivent le même chemin un bon moment, entrecoupé de petits coups de langues pour commencer. Je dois la stopper quand elle commence à vouloir lécher mes couilles. "Pas si vite, petite cochonne, ne soit pas impatiente. Ça viendra, tu vas les bouffer tout à l'heure." C'est vrai que cette petite vicieuse adore me pomper les burnes. Je pense même parfois qu'elle les préfère à mon gland. J'aimerais tant la voir aspirer les couilles d'un autre homme et les garder dans sa bouche de salope pour bien les têter comme elle sait si bien faire !
Elle reprend donc patiemment les caresses avec ses lèvres. Elle me lèche longtemps quand elle est bien excitée et cela fait plus de dix minutes qu'elle s' occupe de moi. Elle commence à insister avec sa langue. Elle me lèche de plus en plus le ventre, les aines et la queue. De plus en plus fort. De plus en plus vite. Je sursaute et gémis de plaisir chaque fois qu'elle touche un point sensible. Elle prend des tours. Elle ne fait plus que me lécher maintenant. De plus en plus fort. Elle pose alors sa langue bien à plat sur la base de ma verge et la remonte jusqu'à mon gland. Elle recommence plusieurs fois et me lèche la queue dans les deux sens. Puis elle retourne sur mon ventre. Le jus coule de mon gland sur mon ventre depuis un bon moment et sa langue ramasse mon jus en passant le long de ma queue. On dirait même qu'elle s'en rend compte, car elle s'arrête et suce l'endroit. Elle me lèche partout pour revenir chaque fois sur mon sexe brûlant. Elle alterne entre les deux. Cette chienne pose ses doigts fins sur mes couilles et les masse délicatement tout en continuant de bien me lécher. Elle descend alors sa langue sur mes couilles et les lèche avec douceur. Puis la douceur laisse la place à la baise, et elle me lèche de plus en plus frénétiquement. J'ai la chance (et pour elle aussi !) d'avoir deux grosses couilles. La première est de bonne taille et pend pas mal dans une bourse longue mais bien remplie. La deuxième est franchement balaise, de la taille d'un bel abricot, et ne pend pas du tout. Mais elle s'y est bien habituée et sait les aspirer dans sa bouche pour mieux les sucer. Mais une à la fois seulement, les deux sont trop grosses pour rentrer ensemble dans sa bouche. Elle pose donc sa bouche sur ma couille droite, la grosse, entrouvre les lèvres, l'aspire fortement dans sa bouche, la suce quelques secondes et la laisse redescendre en serrant ses lèvres. Sensations garanties ! Elle tourne sa langue dessus, la lèche bien puis recommence son gobage. Après plusieurs allers retours de la sorte, elle fait sa spécialité de salope. Elle aspire entièrement ma couille, maintient sans relâche une ferme et franche succion pour la faire tenir bien droit dans sa bouche et commence à faire des vas et viens dessus. Elle taille une pipe grandeur nature à ma couille. Je vous jure c'est génial ! Profitant de sa concentration et de son excitation, je me redresse à nouveau et relève franchement sa robe déjà bien racourcie jusqu'à ce qu'elle ne forme plus qu'un bandeau noir au niveau de ses reins. Le bas a rejoint le haut. Comme elle ne bronche pas, je lui caresse fermement les fesses en écartant bien sa raie du cul. J'ai même l'impression qu'elle soulève encore plus ses fesses. C'est fabuleux. Ma femme est presque entièrement nue dans le coffre d'une voiture, le cul en bombe devant la vitre, sur un parking dont elle ne sait s'il est peuplé de voyeurs et elle est en train de tailler une pipe d'enfer sur ma couille ! Elle me suce ainsi la burne pendant longtemps avant de passer à celle de gauche. Elle la lèche et l'aspire bien vite dans sa bouche pour lui prodiguer les mêmes soins, à la différence qu'elle a cette fois ci la possibilité de tirer bien fort dessus. Et elle ne s'en prive pas. Je passe ma main sur mon ventre pour récupérer le jus qui coule toujours de mon gland au bord de l'explosion et l'essuie sur sa joue. Ma salope de femme me suce ainsi un long moment, passant d'une couille à l'autre. Pour ma part, je continue de lui écarter la raie, comme pour bien la montrer à quelqu'un, et je caresse son cul tout autour de l'anus ce qui semble lui plaire. Elle attrape alors mes deux couilles à pleines mains, les serre et essaie de les aspirer les deux en même temps. Elle n'y arrive pas bien sûr, mais elle persévère, aspire de toute ses forces, s'acharne et finit par les faire entrer les deux à la fois ce qui me fait presque mal. Elle a la bouche déformée par tant de pression mais continue malgré tout, brave petite, à pomper dessus. Les sensations, physiques et immorales sont fantastiques. Elle me pompe les couilles avec vigueur et je sens sa langue écrasée qui cherche à bouger dans un mouvement de succion désespéré. C'est le moment qu'elle choisi pour attraper ma queue dans la main droite et la frotter sur sa joue. Quelle belle pute ! Elle se caresse la joue avec ma queue en bouffant mes couilles. Je n'en perds pas une miette. Je sens mon gland qui jute glisser sur sa joue. Je lui caresse les fesses, juste à côté de l'anus. Je le frôle, je l'écarte, je le tords... puis je lui mets une grosse claque sur la fesse. Puis je la caresse à nouveau avant de la reclaquer. Je lui dit que de la voir ainsi à quatre pattes, le cul en l'air et mes couilles dans la bouche, j'ai vraiment envie de la voir se faire prendre en levrette devant moi et j'en profite pour lui mettre une claque énorme sur les fesses. Elle ne dit rien, retire mes couilles de sa bouche, lèche ma queue jusqu'au gland, tourne sa langue autour et l'avale goulument. C'est parti pour l'acte final. Elle lèche furieusement mon gland, l'avale, recommence plusieurs fois, le tète, le pompe, le bouffe ! Elle me branle en suçant mon gland, oh divine sensation !, le lâche, aspire à nouveau ma couille droite, la suce comme une bite, puis la gauche, puis le gland à nouveau, elle fait sa tournante entre les trois un long moment, puis se déchaîne sur ma bite, sur mon gland. Je fais de mon mieux pour tenir. Je lui caresse maintenant l'anus, le malaxe avec vigueur... elle me pompe le dard comme une furie. "Je vais jouir !". Aussitôt, elle s'allonge sur le dos, je me place sur elle au niveau de son ventre, jambes écartées, penché en avant, elle atrappe ma bite à deux mains et commence à me branler sur elle, puis chope mes couilles de la main gauche, les serre en me branlant comme une dingue. Montée brûlante de ma sève.... je jouis comme un malade, je lui gicle dessus tout ce que j'ai au fond du ventre. Elle continue de me branler et le sperme va maintenant dans tous les sens. Elle en est couverte, des seins au visage. Elle qui habituellement a horreur de ça ne semble pas gênée. Je m'écroule à côté d'elle. Je suis mort.
Mais pas elle, et il faudra m'occuper de sa chatte dans pas longtemps. Quand j'aurais récupéré. Pour l'instant, je suis mort...
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par Comprehensif72
#1906451
oui c'est clair
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par velo
#1987835
Voilà la suite, qui a été un peu longue à venir, pardon. Il faut dire que je ne suis pas très souvent connecté sur ce forum.
Je suis donc à califourchon sur ma cochonne, penché en avant car à l'arrière de ma voiture, elle me branle la queue en malaxant mes couilles et je lui gicle dessus. J'adore lui gicler dessus. Elle râle à chaque fois, bien qu'en riant, mais je ne peux pas m'en empêcher. Cette vision de son ventre, de ses seins et parfois de son visage couverts de sperme m'excite à fond. Ça fait grosse salope qui aime la bite. Tant mieux. C'est ça qui m'excite justement, vous l'avez bien compris.
Il me faut un certain temps pour me remettre. J'ai jouit très fort et je suis encore bien perché. Ma femme n'a pas bougé. Il y a assez de lumière pour voir que je lui en ai mis partout. Surtout sur la poitrine, le cou et un peu le visage. Je prends une serviette et l'essuie doucement. Elle ne bouge toujours pas. Elle sait que c'est à mon tour, ou plutôt au sien.
Je la fait se mettre en travers, la tête contre la portière, afin d'avoir assez de place pour me glisser entre ses jambes. Après lui avoir bien léché et caressé les seins, j'essuie mon gland les long de ses lèvres en faisant ressortir le plus de sperme possible. Je le lécherai quand j'aurai la tête entre ses jambes. Je le fais à chaque fois. J'adore. Je repose ma bouche sur ses nibards, descends un peu et m'occupe de son ventre. Je saute sa robe qui n'est plus qu'un ruban noir plissé autour de ses reins, m'occupe de ses aines puis de sa motte rasée que je lèche bien vite dans tous les sens en la mordant de plus en plus fort. Je lui caresse les seins en même temps. Les deux. Ma langue se fait plus dure et descend doucement mais fermement vers son sexe. Elle gémit doucement, ce qui n'est pas vraiment dans ses habitudes. Je longe lentement ses lèvres et remonte en prenant soin de bien m'attarder sur mon jus. Les aller retours se succèdent mais je n'ai pas assez d'accès pour bien bouffer sa chatte. Elle le sait. Elle a l'habitude. Aussi, à peine je lui attrape les pieds, elle remonte les genoux au dessus d'elle. Je n'ai plus qu'à pousser pour lui soulever le bassin. On est allongé dans le coffre de la voiture, la nuit, sur un parking qu'elle pense remplis de voyeurs et ma chienne de femme, cachée derrière ses yeux bandés, exhibe son cul sans pudeur. Son sexe est offert, ses cuisses bien écartées et surtout, son petit orifice est bien accessible.
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par velo
#1997301
Je place ses pieds sur mes épaules pour bien caler son cul en l'air. J'ai maintenant un accès total à sa chatte. Je continue à m'occuper de ses lèvres, que je lèche longuement avant de les sucer. Mes mains malaxent fermement sa poitrine, elle adore ça. Je descend ma langue sur ses fesses, et la remonte jusqu'à ses lèvres, que je longe sur toute leurs longueurs. Je le fais plusieurs fois. Des deux côtés. Je sais qu'elle apprécie les caresses sur le bas de ses fesses, de part et d'autre de son trou du cul. Je pose alors ma langue sous son clitoris, à l'entrée du vagin, là où sa peau est douce et trempée et je la lèche lentement en prenant bien soin de faire pénétrer ma langue de plus en plus profond dans sa chatte. Puis ma langue durcit et remonte pour passer rapidement sur son clito à nouveau gonflé de sang. Elle sursaute lorsque la pointe de ma langue quitte son bouton en le faisant claquer silencieusement. Je recommence plusieurs fois ce manège, ce qui lui provoque maintenant des gémissements. Je tourne autour de son clitoris qui devient de plus en plus dur. Je commence à le prendre délicatement entre les dents, à essayer de le faire rouler. Je le suce, l'aspire, le relâche doucement. Ma cochonne de femme place ses mains autour de sa chatte et l'écarte afin d 'offrir entièrement son clito. Elle perd pieds. Je le serre entre mes incisives, tire dessus et le relâche brutalement en le faisant un peu racler entre mes dents. Sursaut général de ma salope. Je recommence. Plusieurs fois. M'acharne sur ce merveilleux objet de plaisir. Elle pousse à nouveau de petits gémissements. Je mords de plus en plus fort. Je lui mets deux doigts dans la chatte, ce qui ne la laisse pas indifférente. Je la fouille, puis plaque mes doigts sur son point G. Je le caresse doucement, puis avec plus d'entrain, tout en continuant son matraquage du clitoris. Décollage imminent. C'est le moment que je choisis pour descendre à nouveau vers ses fesses. Mais avant de m'y aventurer, je prends soin de les lui écarter avec beaucoup de délicatesse. Il faut dire que ce n'est pas toujours gagné d'avance. Je descend à nouveau ma langue et recommence à lui lécher les fesses avec fougue.. Mais cette fois ci, mes mouvements se rapprochent inexorablement de son orifice. C'est à ce moment que je m'aperçois que je ne sens aucun poil sous ma langue. Cette petite vicieuse s'est aussi rasée la raie du cul. Pour la première fois. Bordel de merde, je peux pas laisser passer ça. Mon sang ne fait qu'un tour. Ma main droite revient caresser son clitoris et ma main gauche malaxe à nouveau fermement ses seins, car je ne veux surtout pas la perdre en si bon chemin. En même temps, ma langue vient se poster aux abords de sa rondelle. Elle ne me repousse pas. J'atrappe fermenent son clitoris et le branle à nouveau tandis que ma langue joue sur et autour de son trou du cul. "Ecarte tes fesses." Ses mains descendent en silence de chaque côté de ses fesses et tirent vers l'extérieur. Son trou du cul m'est maintenant offert, comme son clitoris un peu plus tôt. Je ne le lâche plus. Je le lèche, le suce, le racle avec mes dents, essaie d'y rentrer ma langue, fais en sorte qu'il comprenne ce que j'attends de lui. Qu'il l'accepte. Bien sûr, je bande à nouveau comme un taureau. Ma petite pute me laisse faire. Son orifice se détend peu à peu. Je commence à pourvoir glisser le bout de ma langue dans son cul. Je mets ma main devant sa bouche et y introduit un doigt. Elle le suce aussitôt. Quelques secondes plus tard, je descends lentement ma main le long de son corps et place mon doigt à l'entrée de son cul. Elle ne dit rien. Je masse sa rondelle et pousse doucement tout en léchant et en bavant abondamment sur son trou. Au bout d'un moment, la moitié de mon index est rentrée. J'arrête de l'enfoncer et commence à le tourner pour agrandir le passage. Ça marche plutôt bien. Je crache sur son trou du cul pour placer un maximum de salive. Elle ne dit rien. Là, je me dis que c'est gagné. Je lui rentre ma langue autant que je le peux, c'est à dire mal, mais ça me plaît quand même, et à elle aussi visiblement. Le goût de merde m'excite plutôt. Je me redresse et attrape ses jambes que je repousse en arrière en les écartant bien. Elle place ses pieds sur le plafond de la voiture pour bien se caler. Je prends ma queue, crache dans ma main pour lubrifier mon gland et le place sur son trou du cul. Je pousse. J'y vais lentement. Très lentement. Chaque millimètre gagné est aussitôt ressorti, comme une concession à ma victime. Mais c'est pour mieux le reprendre, bien sûr. Mon gland vient de rentrer. Je l'encule doucement. Cette pute a la bouche entrouverte, les yeux toujours bandés dans le coffre de la voiture et elle est en train de se faire sodomiser. Fantastique ! Ma bite est maintenant suffisamment entrée pour permettre des vas et vients. Vas et viens de plus en plus profonds, ça va de soi.
Ses mains lâchent ses fesses et viennent s'occuper de son sexe. Je laisse tomber de la salive sur ma queue et profite de cette nouvelle lubrification pour l'enfiler totalement, sans prévenir. "Ahhhhh !" Premiers cris. Elle agite ses doigts sur sa chatte. Je lui ramone méthodiquement le cul, ce qui la fait crier à chaque poussée. C'est tellement bon que je suis obligé de ralentir le rythme pour ne pas décharger trop vite. J'essaie d'imaginer ce qui peut bien se passer dans sa tête. En train de se faire sodomiser, exposée derrière les vitres d'une voiture, la nuit, sur un parking de voyeurs. Ma femme jouit en gémissant plus fort qu'elle ne l'a jamais fait. "Mais t'es en train de jouir du cul ma salope ?" Elle vaporise un oui hoquetant entre deux gémissements. Et ça dure un bon moment.
Je finis par me retirer, me remets entre ses cuisses et lui bouffe la chatte et le cul, passant de l'un à l'autre sans retenue ni délicatesse. Ses deux orifices sont brûlants et elle se tortille comme un vers. Je lui demande alors de se redresser et l'aide à se mettre à quatre pates, la tête contre la vitre de la porte arrière. Toujours aussi mal installé, je me place derrière elle, place mon gland sur son trou de balle et pousse fermement pour l'enculer en levrette. Nouveau cri de déchirement, aussitôt suivi par d'autres car j'ai décidé de ne plus m'arrêter. Je lui demande ensuite de coller son visage sur la vitre. Plus à gauche, voilà. Elle s'exécute sans broncher, mais je suis sûr qu'elle cogite à mort. Son visage bouge sous mes assauts et cogne doucement la vitre. Je lui lime le cul et non de dieu ses cris me disent qu'elle aime ça ! "Lèche la vitre." Elle ne dit toujours rien et pose sa langue sur la fenêtre. Sous mes ordres, elle monte et descend sa langue comme sur un sexe imaginaire, s'arrête pour mieux sucer, lèche la vitre à pleine langue. Je lui ramone l'anus lentement mais avec de plus en plus de puissance, malgré la position toujours inconfortable. Je lui murmure à l'oreille que j'adore la voir se comporter comme une salope, comme une vraie chienne. Pour toute réponse, elle gémit de plus en plus fort en écrasant sa langue sur la vitre. Elle lèche maintenant avec application la bite qu'elle imagine derrière la vitre. Avec passion. Je tapote le verre du doigt pour imiter les coups de braquemard d'un voyeur. Cela ne l'arrête pas, bien au contraire. Elle suce et lèche la vitre avec hardeur, écrasant bien le plat de sa langue sur cette bite que je lui laisse le soin d'imaginer. J'accélère la cadence, la violence. Soudain elle s'arrête et se met à gemir plus fort. Elle jouit une nouvelle fois, bouche entrouverte contre la vitre. Je lui demande aussitôt de continuer à lécher la vitre. Elle essaie mais n'arrive plus bien à se contrôler. Ses reins sont secoués de soubresauts. Je la défonce aussi fort que je peux. Ses gémissements ont laissé la place à des cris. Je ne vais pas tarder à jouir moi aussi. Je sors de son cul et viens en me cognant la tête poser mon gland sur sa joue, sur ses lèvres. Elle le prend dans sa bouche sans hésiter et le pompe goulument comme pour le laver avec sa langue. Une fois mon gland bien propre, je lui enfonce ma bite dans la bouche et elle me suce sans complexe. Mais je ne veux pas jouir dans sa bouche. Je place mon gland devant ses lèvres, l'attrape par les cheveux pour reculer un peu sa tête et me branle devant sa bouche entrouverte en la traitant de belle salope. J'explose en puissantes giclées sur son visage. J'ai l'impression d'éjaculer pendant une éternité. Je finis par me laisser tomber sur le dos, et contemple ma femme toujours à quatre pattes devant la vitre, nue, le bas du visage couvert de sperme.. Elle s'essuie maladroitement avec sa main, crache ce qu'elle a reçu dans la bouche et se laisse tomber à côté de moi. Elle reprend vite son souffle et me dit timidement qu'il faudrait qu'on y aille sans tarder. Elle essaie en vain de remettre sa robe complètement emmêlée autour de sa taille mais garde son bandeau sur les yeux. Je lui essuie le visage, me rhabille en vitesse et nous repassons à l'avant de la voiture. Je démarre et roule doucement pour sortir du parking. Je regarde ma femme. Elle est magnifique, trempée de sueur dans sa petite robe noire de travers. Elle se tient droite, comme à la parade et ne semble pas avoir honte des regards qu'elle imagine sur elle. Une vraie attitude de salope. Quelle pied !
mmpvgm a liké
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par velo
#2001843
Des amateurs pour se branler sur elle ? Merci de m'envoyer les images de vos queues sur sa figure. Coms crus bienvenus !
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par velo
#2005681
Merci pour les commentaires. Elle aime vraiment me bouffer les couilles. Si seulement je pouvais la voir le faire à quelqu'un d'autre.
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