- 22 août 2017, 10:10
#2064187
Une semaine après le mariage, nous partons en vacances durant tout le mois d’octobre. Nous avons décidé d’aller faire la côte andalouse, de Mojacar à Gibraltar. Cette région est moins caniculaire et moins peuplée hors vacances scolaires, de plus la température de l’eau est encore suffisante pour profiter des plages méditerranéennes. Je connais bien l’Espagne pour y être allé souvent étant jeune en famille et je parle couramment espagnol. Je sais que trouver des chambres d’hôtel bon marché au jour le jour est assez facile, donc nous n’avons réservé que pour la première semaine à Mojacar et on verra ensuite. Nous prenons donc la route le vendredi en fin d’après-midi, je conduis toute la nuit pendant que ma femme dort sur la banquette arrière de ma Renault 20 flambant neuve, achetée trois mois plus tôt. Elle me relaye au petit matin, mais je dors très peu en voiture et quand nous arrivons enfin à destination en début d’après-midi le samedi, je suis naze. Je précise que nous avons décidé qu’après ces vacances, ma femme arrêtera la pilule et nous essayerons de faire un enfant. A 25 ans à nous semble le bon âge, mais nous savons que cette décision va forcément interrompre nos pratiques cauda listes pendant quelques années. Ma femme est donc bien décidée à me tromper avec quelques beaux hidalgos pendant ces vacances.
Nous arrivons à notre hôtel en bord de plage et nous nous installons. Une fois les bagages déballés, pendant qu’elle range je file à pied dans une petite supérette devant laquelle nous sommes passés en arrivant à 300 mètres de là. En sortant je vois deux gars en train de pester en français contre une voiture, capot ouvert, qui ne semble pas vouloir démarrer. Il y a un blanc et un colosse black d’au moins deux mètres, avec des bras énormes, un peu le style Teddy Ryner. Je propose mon aide pour ne pas laisser des compatriotes dans la merde. Je suis mécanicien avion, mais la mécanique auto je connais aussi. Un rapide coup d’œil me permet de constater que les cosses de batterie sont couvertes de calamines, ce qui a dû créer une masse et vider la batterie. Comme j’ai toujours une caisse à outils dans ma voiture et une paire de câbles de démarrage, je file poser les courses dans la chambre, je préviens ma femme, et je les rejoins avec ma voiture. En moins d’une demi-heure je règle le problème. Je leur conseille de rouler un peu histoire que la batterie se recharge. Le black me remercie chaleureusement, me propose de boire un verre, mais je refuse. Quand je rentre à l’hôtel, la miss dort et je m’allonge aussi. Réveillés vers 18h00, elle est en pleine forme, contrairement à moi qui dormirai bien encore. Après un petit tour sur la plage à pied, nous allons dîner dans un petit restaurant à l’entrée du village. En rentrant, il est déjà 23h00, nous passons devant un bar au bord de la plage d’où provient de la musique. Nous prenons un verre sur la terrasse qui donne sur la plage, quelques jeunes dansent sur la plage juste devant. Ma femme veut danser, mais je la laisse faire seule. Je la regarde virevolter pieds nus dans le sable un long moment en sommeillant sur la table. Elle rigole beaucoup avec deux autres nanas aussi fofolles qu’elle. A un moment elle revient boire à la table et je lui dis que j’ai envie de rentrer dormir, elle a l’air déçue et je lui propose de rester un peu seule si elle veut, l’hôtel n’est qu’à 200 mètres. Je la laisse donc s’amuser et je rentre me coucher. Je dors vite comme un loir. Il doit être 9h00 quand je suis réveillé par le soleil dans la figure, je suis seul, mais j’entrevois un papier sous la cafetière qui finit de couler. Je me lève pour le lire :
- « Chéri, j’ai fait la fête toute la nuit avec un groupe de français qui sont arrivés après ton départ. Je vais prendre le petit-déjeuner avec eux et je rentre dans la matinée. A tout à l’heure mon peut-être cocu chéri ! »
Ainsi donc elle aurait déjà trouvé à se faire sauter, je suis content et tout excité en attendant son retour. Je m’apprête à passer une bonne partie de la journée en célibataire si elle est en bonne compagnie. Je me dis qu’aller si loin de la France pour me tromper avec un français est marrant. Le « peut-être » me laissant penser que la chose n’était pas encore arrivée quand elle est passée écrire ce mot, je pars à la plage et j’envisage après d’aller visiter la ville. Il fait très beau et encore chaud, je nage un moment et je m’allonge sur ma serviette un moment. Elle arrive dans mon dos vers midi, et s’assois à mes côtés. Elle ne me raconte pas grand-chose, juste que je ne suis pas encore tout à fait cocu car elle a juste échangés quelques baisers avec son prétendant, mais elle me dit que si je suis d’accord elle le revoit le soir même pour consommer. Elle me demande, mais elle connaît d’avance la réponse. Du coup nous passons une journée touristique ensembles et elle me laisse vers 19h00 pour rejoindre son prétendant qui doit passer la prendre devant la supérette. Elle me précise quand même qu’il ne sait pas qu’elle est mariée, ni qu’elle loge dans cet hôtel. Si l’affaire tourne mal elle ne veut pas qu’il sache où elle est. Elle est donc censée loger chez des amis espagnols en ville.
Je passe ma journée dans une petite ville voisine à faire le tour des monuments, je ne rentre que tard le soir après avoir dîné et je dors en imaginant ma belle dans les bras de son amant, un peu frustré de ne rien savoir sur les détails. Le lendemain, elle rentre en fin de matinée et me rejoint à l’hôtel juste avant que je ne sorte. Elle me raconte qu’elle a passé la nuit avec lui dans la villa où il loge. J’apprends qu’il est black et monté comme un taureau. Elle me dit même qu’il a la plus grosse bite qu’elle n’ait jamais vue, à tel point qu’elle ne peut pas le sucer parce que ça ne rentre pas. Je lui demande s’il l’a sodomisée, elle me dit qu’il a essayé, mais mal préparée elle a eu mal et ils ont arrêté. Elle m’assure qu’elle essayera à nouveau quand elle aura acheté une crème lubrifiante en pharmacie. Je comprends donc qu’elle souhaite le revoir, et très excité je lui donne bien entendu mon accord. Elle se change et remballe toutes ses affaires dans son sac pour s’installer avec lui jusqu’à notre départ prévu le samedi suivant. Je passe donc une nouvelle journée en solo, en pensant à ma belle en train de baiser avec son black suréquipé. Il est vrai que depuis déjà deux ou trois ans, les blacks sont son pécher mignon, quand nous allons en club elle aime bien se faire prendre par des groupes de blacks s’il y en a dans boîte. Elle les trouve plus résistants et plus doués que la majorité des blancs. Après avoir mangé des tapas dans un bar de la ville, je m’arrête boire un verre au bar dans lequel elle a rencontré son amant car je vois qu’un concert va commencer sur la plage. Il n’y a pas trop de monde et je m’installe en terrasse devant une bière. D’un coup je vois un petit groupe arriver, et le colosse black que j’avais dépanné le jour de notre arrivée m’interpelle en m’appelant « son sauveur ». Et devinez qui je vois collée à lui ? Ma charmante épouse dans sa petite robe bleue. L’effet de surprise est vite passé, tant pour moi que pour elle car elle fait très vite le rapprochement. Il me la présente et je lui fais la bise pendant que ses copains rapprochent quelques tables pour les coller à la mienne. La situation est cocasse car il est assis face à moi, la tenant collée dans ses bras et l’embrassant souvent. En me baissant pour ramasser mon portefeuille tombé sous la table, je vois qu’il pelote ses cuisses entrouvertes de ses grosses mains. Elle a l’air d’une crevette entre ses bras et je l’imagine couché entre ses fines cuisses et la pistonner énergiquement. Je bande comme un fou dans mon short. Il me présente ses amis, une dizaine, tous trentenaires passé. Il s’appelle Moussa et est d’origine malienne. Ce sont en fait des amis depuis la fac, tous cadres dans des entreprises de la région parisienne. Ils se font un séjour ensembles tous les trois ans et cette année, c’est ici. Ils sont là depuis 8 jours et repartent dans 2 semaines. Ils ont loué une villa à la sortie du village. Nous discutons encore un moment, ils sont sympas et Moussa m’invite à une soirée qu’ils organisent le mercredi suivant à la villa. J’accepte en me disant que je pourrais enfin jouer un peu plus les voyeurs. A un moment je me lève pour aller aux toilettes et en sortant je me retrouve à côté de Joëlle qui se lave les mains. Nous nous regardons en riant de la situation et en discutant deux minutes. Elle me dit de ne pas dire que je viens de Salon s’ils me demandent, ce serait louche qu’on soit de la même ville. Quand a vient dans la discussion je dis que je viens de Toulouse, ma région d’origine. Ils partent un peu plus tard, Moussa m’explique comment aller à la villa pour le surlendemain et je reste écouter le concert jusqu’au bout.
Le mercredi soir j’arrive assez tôt, impatient car je n’ai pas revu ma femme depuis le bar. Ils sont en train de préparer la soirée en installant un buffet sous la terrasse devant une piscine sympa dans laquelle quelques-uns se baignent dont ma femme. Il y a aussi quelques personnes que je ne connais pas et Moussa me les présente, ce sont des invités, quelques anglais et des espagnols. Une dizaine de couples constitués discutent en petits groupes. Il me fait faire le tour de la villa en discutant, elle est grande car il y a une douzaine de chambres sur deux étages, un grand salon équipé de larges canapés et une cuisine séparée qui comme le salon donne sur une immense terrasse couverte devant la piscine. La maison n’est pas visible de la route car entourée de haies et clôturée sauf sur le côté mer où un sentier de 200 mètres mène à une plage. Je ne parviens pas à discuter avec ma femme qui est toujours en compagnie ou collée à Moussa. Je fais connaissance avec quelques invités et je discute surtout avec Dominique, un Toulousain comme moi d’origine. Il m’explique leurs liens avec ses potes. En fait ils sont une vingtaine issue de la même classe d’une école de commerce qui font régulièrement des séjours ou des week-ends ensembles. Mais au fil des années leur groupe se réduit car certains se marient et participent peu, d’autres sont indisponibles… Du coup ils ne sont que 9 pour ce séjour en Espagne. Trois d’entre eux sont blacks, dont Moussa, un magrébin et les autres viennent de différentes régions françaises. Quand le buffet est presque vide, l’un d’eux met de la musique et certains commencent à danser devant la piscine dans une pénombre quasi-totale. Juste deux lampes sous la terrasse et la lumière du salon par la baie vitrée. J’entrevois parfois Joëlle danser collée contre Moussa. Vers minuit, certains commencent à partir et nous restons à peine une quinzaine, je retarde mon départ en espérant que la nuit me permettra de discuter en aparté avec ma femme. Mais à un moment je la vois par la baie vitrée rentrer dans une chambre avec Moussa. La chambre donnant sur l’arrière je m’éclipse et contourne la maison en espérant trouver la fenêtre de cette chambre qui donne sur la plage et qui est en coin de la villa. Bingo, les volets sont fermés mais j’entends parler derrière sans comprendre ce qui se dit. Petit à petit les mots deviennent des gémissements, puis des cris de plaisir. J’entends le lit grincer un peu, le claquement des chairs qui se percutent, et je m’imagine dans la tête ce que je ne peux pas voir. Ma queue pousse mon short pour se dresser, et ma main caresse cette bosse très dure. Puis les cris s’arrêtent, ça discute à nouveau, j’entends une porte claquer, puis une autre sans être sûr que ça vienne de la chambre. Puis les gémissements et les cris reviennent, quand j’entends quelqu’un approcher le long du mur de la maison, je vais vers lui en disant que je viens de pisser, ce qu’il vient faire aussi. Je rejoins la terrasse et j’y vois Moussa, en caleçon et torse nu en train de boire un coca. Je comprends alors que ce n’est plus lui qui la fait crier en ce moment. Il n’y a plus là que les habitants de la maison, et moi bien sûr. Moussa dit aux autres :
-« Putain, elle est chaude ce soir ! »
Un autre s’apprête à y aller à son tour, mais il lui dit d’attendre un moment que la place se libère et que sinon ils vont casser le lit. Je fais en sorte de cacher la bosse dans mon short et je ris de bon cœur avec eux. En comptant les présents je me dis qu’ils sont trois à la sauter en ce moment. Moussa me propose même d’y aller, mais je ne suis pas sûr qu’elle apprécierait et je préfère décliner l’invitation. Comme j’ai pas mal picolé, Moussa me propose de dormir sur place. Il veut que je reste manger avec eux le lendemain, il y a ce qui faut me dit-il. J’accepte en disant que j’irais me changer à l’hôtel le matin venu. Il m’emmène vers une chambre à l’étage et c’est juste au-dessus du baisodrome. Toutefois, même en ouvrant la fenêtre je n’entends pas ce qui se passe en bas, sauf quand elle crie très fort. Quand je me réveille le lendemain, il y a déjà deux gars en train de boire un café, j’en bois un avec eux et je vais me laver et me changer à l’hôtel.
Je reviens vers midi, tout le monde est debout et sirote de la sangria en terrasse. Ma femme est affalée sur un transat dans une petite jupe courte et un tee-shirt qui laisse voir ses seins nus en dessous. Je remarque vite fait qu’elle n’a pas de culotte non plus et qu’elle ne s’en cache pas plus que ça. Après mangé, on discute tranquillement et Moussa qui est près d’elle en train de caresser ses seins lui dit :
- « Tu pourrais te montrer un peu plus attentionnée avec notre invité ! »
Elle se lève et l’embrasse à pleine bouche, puis vient vers moi et me roule une galoche en posant sa main sur mon short. Elle fait remarquer aux autres que j’ai l’air en forme, elle prend ma main et la pose sur sa chatte sous la jupe. Je la caresse un peu et je vois que ses lèvres sont gonflées, sa fente est ouverte par son bouton très gonflé aussi. La connaissant bien je sais qu’elle est souvent gonflée comme ça après un gang bang au club. Elle me demande si j’ai envie, je dis oui ! Elle me prend par la main en m’entraînant avec elle, elle embrasse Moussa en passant et dit qu’elle ne veut personne d’autre pendant une heure. Nous allons dans la chambre où j’ai dormi et prenons soin de fermer la porte à clef, les volets et la fenêtre. Pas question que quelqu’un nous entende. Nous nous roulons sous la couette, sans baiser, elle ne veut pas, préférant attendre le samedi qu’on se retrouve tous les deux. J’aurais quand même une bonne pipe, pour lui remplir le gosier de ma semence. Elle me raconte comment l’histoire a dégénéré en partouze l’avant-veille, l’alcool aidant. Moussa a fini par réussir à l’enculer, mais ils se sont mis à deux pour lui préparer l’anus en la tartinant de crème. Elle a découvert le plaisir de prendre une main entière dans le fion par un des gars avant que le colosse ne réussisse à rentrer son énorme mandrin. Elle avoue que ce remplissage total lui a finalement bien plu. Nous convenons de prendre la route le samedi vers midi, elle se fera déposer en ville et je la récupérerai discrètement derrière l’église. Nous redescendons de la chambre, elle dit aux autres que je suis bien plus doué qu’eux en riant bien sûr. Moussa la traîne de suite vers la chambre du bas, suivi par deux autres. Pour ma part je rentre à l’hôtel et je ne la revois que le samedi matin en la récupérant et nous voguons vers d’autres aventures. Elle me raconte que les deux derniers jours elle a passé plus de temps à baiser qu’à faire autre chose, une heure avant qu’elle me rejoigne elle était en train de se faire tringler par Moussa dans les rochers au bout de la plage. Pendant le reste de nos vacances nous faisons l’amour presque tous les jours, avec précaution au début car elle à mal. Elle se tapera juste un anglais la dernière semaine, mais rien de très intéressant à raconter.
Pendant les cinq ans qui suivent, il n’y aura pas de cocufiages. Elle donne naissance à un garçon un an plus tard et une fille deux ans après. Entre les enfants, le travail, les nounous et les premières rentrées scolaires nos emplois du temps ne laissent guère de place à la bagatelle extra-conjugale. Je suis pour ma part muté à Orléans et je suis souvent en déplacement en Afrique ou ailleurs. Elle reprend le travail dans une société du coin juste après la naissance de la petite dernière et doit parfois gérer seule les enfants pendant mes voyages. Pour ma part je fais ma « corvée de charbon » une première fois au Sénégal et quelques autres fois ailleurs, sans jamais le lui cacher d’ailleurs. Elle connaît le milieu militaire et sait comment ça se passe. Elle se met au sport plus intensivement pour effacer au maximum les kilos pris pendant les grossesses. Nous continuons quelques soirées libertines avec des amis, mais plus de sortie en club pendant ces 5 années. Nous avons toutefois une vie sexuelle épanouie en explorant les jeux de soumission féminine qu’elle aime bien. Ces jeux nous ouvrent de nouveaux horions, je publierai dans un prochain post quelques photos prises à cette époque. Mais c’est le jour de ses 31 ans que nos activités caudalistes vont reprendre de plus belle.
Nous arrivons à notre hôtel en bord de plage et nous nous installons. Une fois les bagages déballés, pendant qu’elle range je file à pied dans une petite supérette devant laquelle nous sommes passés en arrivant à 300 mètres de là. En sortant je vois deux gars en train de pester en français contre une voiture, capot ouvert, qui ne semble pas vouloir démarrer. Il y a un blanc et un colosse black d’au moins deux mètres, avec des bras énormes, un peu le style Teddy Ryner. Je propose mon aide pour ne pas laisser des compatriotes dans la merde. Je suis mécanicien avion, mais la mécanique auto je connais aussi. Un rapide coup d’œil me permet de constater que les cosses de batterie sont couvertes de calamines, ce qui a dû créer une masse et vider la batterie. Comme j’ai toujours une caisse à outils dans ma voiture et une paire de câbles de démarrage, je file poser les courses dans la chambre, je préviens ma femme, et je les rejoins avec ma voiture. En moins d’une demi-heure je règle le problème. Je leur conseille de rouler un peu histoire que la batterie se recharge. Le black me remercie chaleureusement, me propose de boire un verre, mais je refuse. Quand je rentre à l’hôtel, la miss dort et je m’allonge aussi. Réveillés vers 18h00, elle est en pleine forme, contrairement à moi qui dormirai bien encore. Après un petit tour sur la plage à pied, nous allons dîner dans un petit restaurant à l’entrée du village. En rentrant, il est déjà 23h00, nous passons devant un bar au bord de la plage d’où provient de la musique. Nous prenons un verre sur la terrasse qui donne sur la plage, quelques jeunes dansent sur la plage juste devant. Ma femme veut danser, mais je la laisse faire seule. Je la regarde virevolter pieds nus dans le sable un long moment en sommeillant sur la table. Elle rigole beaucoup avec deux autres nanas aussi fofolles qu’elle. A un moment elle revient boire à la table et je lui dis que j’ai envie de rentrer dormir, elle a l’air déçue et je lui propose de rester un peu seule si elle veut, l’hôtel n’est qu’à 200 mètres. Je la laisse donc s’amuser et je rentre me coucher. Je dors vite comme un loir. Il doit être 9h00 quand je suis réveillé par le soleil dans la figure, je suis seul, mais j’entrevois un papier sous la cafetière qui finit de couler. Je me lève pour le lire :
- « Chéri, j’ai fait la fête toute la nuit avec un groupe de français qui sont arrivés après ton départ. Je vais prendre le petit-déjeuner avec eux et je rentre dans la matinée. A tout à l’heure mon peut-être cocu chéri ! »
Ainsi donc elle aurait déjà trouvé à se faire sauter, je suis content et tout excité en attendant son retour. Je m’apprête à passer une bonne partie de la journée en célibataire si elle est en bonne compagnie. Je me dis qu’aller si loin de la France pour me tromper avec un français est marrant. Le « peut-être » me laissant penser que la chose n’était pas encore arrivée quand elle est passée écrire ce mot, je pars à la plage et j’envisage après d’aller visiter la ville. Il fait très beau et encore chaud, je nage un moment et je m’allonge sur ma serviette un moment. Elle arrive dans mon dos vers midi, et s’assois à mes côtés. Elle ne me raconte pas grand-chose, juste que je ne suis pas encore tout à fait cocu car elle a juste échangés quelques baisers avec son prétendant, mais elle me dit que si je suis d’accord elle le revoit le soir même pour consommer. Elle me demande, mais elle connaît d’avance la réponse. Du coup nous passons une journée touristique ensembles et elle me laisse vers 19h00 pour rejoindre son prétendant qui doit passer la prendre devant la supérette. Elle me précise quand même qu’il ne sait pas qu’elle est mariée, ni qu’elle loge dans cet hôtel. Si l’affaire tourne mal elle ne veut pas qu’il sache où elle est. Elle est donc censée loger chez des amis espagnols en ville.
Je passe ma journée dans une petite ville voisine à faire le tour des monuments, je ne rentre que tard le soir après avoir dîné et je dors en imaginant ma belle dans les bras de son amant, un peu frustré de ne rien savoir sur les détails. Le lendemain, elle rentre en fin de matinée et me rejoint à l’hôtel juste avant que je ne sorte. Elle me raconte qu’elle a passé la nuit avec lui dans la villa où il loge. J’apprends qu’il est black et monté comme un taureau. Elle me dit même qu’il a la plus grosse bite qu’elle n’ait jamais vue, à tel point qu’elle ne peut pas le sucer parce que ça ne rentre pas. Je lui demande s’il l’a sodomisée, elle me dit qu’il a essayé, mais mal préparée elle a eu mal et ils ont arrêté. Elle m’assure qu’elle essayera à nouveau quand elle aura acheté une crème lubrifiante en pharmacie. Je comprends donc qu’elle souhaite le revoir, et très excité je lui donne bien entendu mon accord. Elle se change et remballe toutes ses affaires dans son sac pour s’installer avec lui jusqu’à notre départ prévu le samedi suivant. Je passe donc une nouvelle journée en solo, en pensant à ma belle en train de baiser avec son black suréquipé. Il est vrai que depuis déjà deux ou trois ans, les blacks sont son pécher mignon, quand nous allons en club elle aime bien se faire prendre par des groupes de blacks s’il y en a dans boîte. Elle les trouve plus résistants et plus doués que la majorité des blancs. Après avoir mangé des tapas dans un bar de la ville, je m’arrête boire un verre au bar dans lequel elle a rencontré son amant car je vois qu’un concert va commencer sur la plage. Il n’y a pas trop de monde et je m’installe en terrasse devant une bière. D’un coup je vois un petit groupe arriver, et le colosse black que j’avais dépanné le jour de notre arrivée m’interpelle en m’appelant « son sauveur ». Et devinez qui je vois collée à lui ? Ma charmante épouse dans sa petite robe bleue. L’effet de surprise est vite passé, tant pour moi que pour elle car elle fait très vite le rapprochement. Il me la présente et je lui fais la bise pendant que ses copains rapprochent quelques tables pour les coller à la mienne. La situation est cocasse car il est assis face à moi, la tenant collée dans ses bras et l’embrassant souvent. En me baissant pour ramasser mon portefeuille tombé sous la table, je vois qu’il pelote ses cuisses entrouvertes de ses grosses mains. Elle a l’air d’une crevette entre ses bras et je l’imagine couché entre ses fines cuisses et la pistonner énergiquement. Je bande comme un fou dans mon short. Il me présente ses amis, une dizaine, tous trentenaires passé. Il s’appelle Moussa et est d’origine malienne. Ce sont en fait des amis depuis la fac, tous cadres dans des entreprises de la région parisienne. Ils se font un séjour ensembles tous les trois ans et cette année, c’est ici. Ils sont là depuis 8 jours et repartent dans 2 semaines. Ils ont loué une villa à la sortie du village. Nous discutons encore un moment, ils sont sympas et Moussa m’invite à une soirée qu’ils organisent le mercredi suivant à la villa. J’accepte en me disant que je pourrais enfin jouer un peu plus les voyeurs. A un moment je me lève pour aller aux toilettes et en sortant je me retrouve à côté de Joëlle qui se lave les mains. Nous nous regardons en riant de la situation et en discutant deux minutes. Elle me dit de ne pas dire que je viens de Salon s’ils me demandent, ce serait louche qu’on soit de la même ville. Quand a vient dans la discussion je dis que je viens de Toulouse, ma région d’origine. Ils partent un peu plus tard, Moussa m’explique comment aller à la villa pour le surlendemain et je reste écouter le concert jusqu’au bout.
Le mercredi soir j’arrive assez tôt, impatient car je n’ai pas revu ma femme depuis le bar. Ils sont en train de préparer la soirée en installant un buffet sous la terrasse devant une piscine sympa dans laquelle quelques-uns se baignent dont ma femme. Il y a aussi quelques personnes que je ne connais pas et Moussa me les présente, ce sont des invités, quelques anglais et des espagnols. Une dizaine de couples constitués discutent en petits groupes. Il me fait faire le tour de la villa en discutant, elle est grande car il y a une douzaine de chambres sur deux étages, un grand salon équipé de larges canapés et une cuisine séparée qui comme le salon donne sur une immense terrasse couverte devant la piscine. La maison n’est pas visible de la route car entourée de haies et clôturée sauf sur le côté mer où un sentier de 200 mètres mène à une plage. Je ne parviens pas à discuter avec ma femme qui est toujours en compagnie ou collée à Moussa. Je fais connaissance avec quelques invités et je discute surtout avec Dominique, un Toulousain comme moi d’origine. Il m’explique leurs liens avec ses potes. En fait ils sont une vingtaine issue de la même classe d’une école de commerce qui font régulièrement des séjours ou des week-ends ensembles. Mais au fil des années leur groupe se réduit car certains se marient et participent peu, d’autres sont indisponibles… Du coup ils ne sont que 9 pour ce séjour en Espagne. Trois d’entre eux sont blacks, dont Moussa, un magrébin et les autres viennent de différentes régions françaises. Quand le buffet est presque vide, l’un d’eux met de la musique et certains commencent à danser devant la piscine dans une pénombre quasi-totale. Juste deux lampes sous la terrasse et la lumière du salon par la baie vitrée. J’entrevois parfois Joëlle danser collée contre Moussa. Vers minuit, certains commencent à partir et nous restons à peine une quinzaine, je retarde mon départ en espérant que la nuit me permettra de discuter en aparté avec ma femme. Mais à un moment je la vois par la baie vitrée rentrer dans une chambre avec Moussa. La chambre donnant sur l’arrière je m’éclipse et contourne la maison en espérant trouver la fenêtre de cette chambre qui donne sur la plage et qui est en coin de la villa. Bingo, les volets sont fermés mais j’entends parler derrière sans comprendre ce qui se dit. Petit à petit les mots deviennent des gémissements, puis des cris de plaisir. J’entends le lit grincer un peu, le claquement des chairs qui se percutent, et je m’imagine dans la tête ce que je ne peux pas voir. Ma queue pousse mon short pour se dresser, et ma main caresse cette bosse très dure. Puis les cris s’arrêtent, ça discute à nouveau, j’entends une porte claquer, puis une autre sans être sûr que ça vienne de la chambre. Puis les gémissements et les cris reviennent, quand j’entends quelqu’un approcher le long du mur de la maison, je vais vers lui en disant que je viens de pisser, ce qu’il vient faire aussi. Je rejoins la terrasse et j’y vois Moussa, en caleçon et torse nu en train de boire un coca. Je comprends alors que ce n’est plus lui qui la fait crier en ce moment. Il n’y a plus là que les habitants de la maison, et moi bien sûr. Moussa dit aux autres :
-« Putain, elle est chaude ce soir ! »
Un autre s’apprête à y aller à son tour, mais il lui dit d’attendre un moment que la place se libère et que sinon ils vont casser le lit. Je fais en sorte de cacher la bosse dans mon short et je ris de bon cœur avec eux. En comptant les présents je me dis qu’ils sont trois à la sauter en ce moment. Moussa me propose même d’y aller, mais je ne suis pas sûr qu’elle apprécierait et je préfère décliner l’invitation. Comme j’ai pas mal picolé, Moussa me propose de dormir sur place. Il veut que je reste manger avec eux le lendemain, il y a ce qui faut me dit-il. J’accepte en disant que j’irais me changer à l’hôtel le matin venu. Il m’emmène vers une chambre à l’étage et c’est juste au-dessus du baisodrome. Toutefois, même en ouvrant la fenêtre je n’entends pas ce qui se passe en bas, sauf quand elle crie très fort. Quand je me réveille le lendemain, il y a déjà deux gars en train de boire un café, j’en bois un avec eux et je vais me laver et me changer à l’hôtel.
Je reviens vers midi, tout le monde est debout et sirote de la sangria en terrasse. Ma femme est affalée sur un transat dans une petite jupe courte et un tee-shirt qui laisse voir ses seins nus en dessous. Je remarque vite fait qu’elle n’a pas de culotte non plus et qu’elle ne s’en cache pas plus que ça. Après mangé, on discute tranquillement et Moussa qui est près d’elle en train de caresser ses seins lui dit :
- « Tu pourrais te montrer un peu plus attentionnée avec notre invité ! »
Elle se lève et l’embrasse à pleine bouche, puis vient vers moi et me roule une galoche en posant sa main sur mon short. Elle fait remarquer aux autres que j’ai l’air en forme, elle prend ma main et la pose sur sa chatte sous la jupe. Je la caresse un peu et je vois que ses lèvres sont gonflées, sa fente est ouverte par son bouton très gonflé aussi. La connaissant bien je sais qu’elle est souvent gonflée comme ça après un gang bang au club. Elle me demande si j’ai envie, je dis oui ! Elle me prend par la main en m’entraînant avec elle, elle embrasse Moussa en passant et dit qu’elle ne veut personne d’autre pendant une heure. Nous allons dans la chambre où j’ai dormi et prenons soin de fermer la porte à clef, les volets et la fenêtre. Pas question que quelqu’un nous entende. Nous nous roulons sous la couette, sans baiser, elle ne veut pas, préférant attendre le samedi qu’on se retrouve tous les deux. J’aurais quand même une bonne pipe, pour lui remplir le gosier de ma semence. Elle me raconte comment l’histoire a dégénéré en partouze l’avant-veille, l’alcool aidant. Moussa a fini par réussir à l’enculer, mais ils se sont mis à deux pour lui préparer l’anus en la tartinant de crème. Elle a découvert le plaisir de prendre une main entière dans le fion par un des gars avant que le colosse ne réussisse à rentrer son énorme mandrin. Elle avoue que ce remplissage total lui a finalement bien plu. Nous convenons de prendre la route le samedi vers midi, elle se fera déposer en ville et je la récupérerai discrètement derrière l’église. Nous redescendons de la chambre, elle dit aux autres que je suis bien plus doué qu’eux en riant bien sûr. Moussa la traîne de suite vers la chambre du bas, suivi par deux autres. Pour ma part je rentre à l’hôtel et je ne la revois que le samedi matin en la récupérant et nous voguons vers d’autres aventures. Elle me raconte que les deux derniers jours elle a passé plus de temps à baiser qu’à faire autre chose, une heure avant qu’elle me rejoigne elle était en train de se faire tringler par Moussa dans les rochers au bout de la plage. Pendant le reste de nos vacances nous faisons l’amour presque tous les jours, avec précaution au début car elle à mal. Elle se tapera juste un anglais la dernière semaine, mais rien de très intéressant à raconter.
Pendant les cinq ans qui suivent, il n’y aura pas de cocufiages. Elle donne naissance à un garçon un an plus tard et une fille deux ans après. Entre les enfants, le travail, les nounous et les premières rentrées scolaires nos emplois du temps ne laissent guère de place à la bagatelle extra-conjugale. Je suis pour ma part muté à Orléans et je suis souvent en déplacement en Afrique ou ailleurs. Elle reprend le travail dans une société du coin juste après la naissance de la petite dernière et doit parfois gérer seule les enfants pendant mes voyages. Pour ma part je fais ma « corvée de charbon » une première fois au Sénégal et quelques autres fois ailleurs, sans jamais le lui cacher d’ailleurs. Elle connaît le milieu militaire et sait comment ça se passe. Elle se met au sport plus intensivement pour effacer au maximum les kilos pris pendant les grossesses. Nous continuons quelques soirées libertines avec des amis, mais plus de sortie en club pendant ces 5 années. Nous avons toutefois une vie sexuelle épanouie en explorant les jeux de soumission féminine qu’elle aime bien. Ces jeux nous ouvrent de nouveaux horions, je publierai dans un prochain post quelques photos prises à cette époque. Mais c’est le jour de ses 31 ans que nos activités caudalistes vont reprendre de plus belle.