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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
par Patjoe
#2064187
Une semaine après le mariage, nous partons en vacances durant tout le mois d’octobre. Nous avons décidé d’aller faire la côte andalouse, de Mojacar à Gibraltar. Cette région est moins caniculaire et moins peuplée hors vacances scolaires, de plus la température de l’eau est encore suffisante pour profiter des plages méditerranéennes. Je connais bien l’Espagne pour y être allé souvent étant jeune en famille et je parle couramment espagnol. Je sais que trouver des chambres d’hôtel bon marché au jour le jour est assez facile, donc nous n’avons réservé que pour la première semaine à Mojacar et on verra ensuite. Nous prenons donc la route le vendredi en fin d’après-midi, je conduis toute la nuit pendant que ma femme dort sur la banquette arrière de ma Renault 20 flambant neuve, achetée trois mois plus tôt. Elle me relaye au petit matin, mais je dors très peu en voiture et quand nous arrivons enfin à destination en début d’après-midi le samedi, je suis naze. Je précise que nous avons décidé qu’après ces vacances, ma femme arrêtera la pilule et nous essayerons de faire un enfant. A 25 ans à nous semble le bon âge, mais nous savons que cette décision va forcément interrompre nos pratiques cauda listes pendant quelques années. Ma femme est donc bien décidée à me tromper avec quelques beaux hidalgos pendant ces vacances.
Nous arrivons à notre hôtel en bord de plage et nous nous installons. Une fois les bagages déballés, pendant qu’elle range je file à pied dans une petite supérette devant laquelle nous sommes passés en arrivant à 300 mètres de là. En sortant je vois deux gars en train de pester en français contre une voiture, capot ouvert, qui ne semble pas vouloir démarrer. Il y a un blanc et un colosse black d’au moins deux mètres, avec des bras énormes, un peu le style Teddy Ryner. Je propose mon aide pour ne pas laisser des compatriotes dans la merde. Je suis mécanicien avion, mais la mécanique auto je connais aussi. Un rapide coup d’œil me permet de constater que les cosses de batterie sont couvertes de calamines, ce qui a dû créer une masse et vider la batterie. Comme j’ai toujours une caisse à outils dans ma voiture et une paire de câbles de démarrage, je file poser les courses dans la chambre, je préviens ma femme, et je les rejoins avec ma voiture. En moins d’une demi-heure je règle le problème. Je leur conseille de rouler un peu histoire que la batterie se recharge. Le black me remercie chaleureusement, me propose de boire un verre, mais je refuse. Quand je rentre à l’hôtel, la miss dort et je m’allonge aussi. Réveillés vers 18h00, elle est en pleine forme, contrairement à moi qui dormirai bien encore. Après un petit tour sur la plage à pied, nous allons dîner dans un petit restaurant à l’entrée du village. En rentrant, il est déjà 23h00, nous passons devant un bar au bord de la plage d’où provient de la musique. Nous prenons un verre sur la terrasse qui donne sur la plage, quelques jeunes dansent sur la plage juste devant. Ma femme veut danser, mais je la laisse faire seule. Je la regarde virevolter pieds nus dans le sable un long moment en sommeillant sur la table. Elle rigole beaucoup avec deux autres nanas aussi fofolles qu’elle. A un moment elle revient boire à la table et je lui dis que j’ai envie de rentrer dormir, elle a l’air déçue et je lui propose de rester un peu seule si elle veut, l’hôtel n’est qu’à 200 mètres. Je la laisse donc s’amuser et je rentre me coucher. Je dors vite comme un loir. Il doit être 9h00 quand je suis réveillé par le soleil dans la figure, je suis seul, mais j’entrevois un papier sous la cafetière qui finit de couler. Je me lève pour le lire :
- « Chéri, j’ai fait la fête toute la nuit avec un groupe de français qui sont arrivés après ton départ. Je vais prendre le petit-déjeuner avec eux et je rentre dans la matinée. A tout à l’heure mon peut-être cocu chéri ! »
Ainsi donc elle aurait déjà trouvé à se faire sauter, je suis content et tout excité en attendant son retour. Je m’apprête à passer une bonne partie de la journée en célibataire si elle est en bonne compagnie. Je me dis qu’aller si loin de la France pour me tromper avec un français est marrant. Le « peut-être » me laissant penser que la chose n’était pas encore arrivée quand elle est passée écrire ce mot, je pars à la plage et j’envisage après d’aller visiter la ville. Il fait très beau et encore chaud, je nage un moment et je m’allonge sur ma serviette un moment. Elle arrive dans mon dos vers midi, et s’assois à mes côtés. Elle ne me raconte pas grand-chose, juste que je ne suis pas encore tout à fait cocu car elle a juste échangés quelques baisers avec son prétendant, mais elle me dit que si je suis d’accord elle le revoit le soir même pour consommer. Elle me demande, mais elle connaît d’avance la réponse. Du coup nous passons une journée touristique ensembles et elle me laisse vers 19h00 pour rejoindre son prétendant qui doit passer la prendre devant la supérette. Elle me précise quand même qu’il ne sait pas qu’elle est mariée, ni qu’elle loge dans cet hôtel. Si l’affaire tourne mal elle ne veut pas qu’il sache où elle est. Elle est donc censée loger chez des amis espagnols en ville.
Je passe ma journée dans une petite ville voisine à faire le tour des monuments, je ne rentre que tard le soir après avoir dîné et je dors en imaginant ma belle dans les bras de son amant, un peu frustré de ne rien savoir sur les détails. Le lendemain, elle rentre en fin de matinée et me rejoint à l’hôtel juste avant que je ne sorte. Elle me raconte qu’elle a passé la nuit avec lui dans la villa où il loge. J’apprends qu’il est black et monté comme un taureau. Elle me dit même qu’il a la plus grosse bite qu’elle n’ait jamais vue, à tel point qu’elle ne peut pas le sucer parce que ça ne rentre pas. Je lui demande s’il l’a sodomisée, elle me dit qu’il a essayé, mais mal préparée elle a eu mal et ils ont arrêté. Elle m’assure qu’elle essayera à nouveau quand elle aura acheté une crème lubrifiante en pharmacie. Je comprends donc qu’elle souhaite le revoir, et très excité je lui donne bien entendu mon accord. Elle se change et remballe toutes ses affaires dans son sac pour s’installer avec lui jusqu’à notre départ prévu le samedi suivant. Je passe donc une nouvelle journée en solo, en pensant à ma belle en train de baiser avec son black suréquipé. Il est vrai que depuis déjà deux ou trois ans, les blacks sont son pécher mignon, quand nous allons en club elle aime bien se faire prendre par des groupes de blacks s’il y en a dans boîte. Elle les trouve plus résistants et plus doués que la majorité des blancs. Après avoir mangé des tapas dans un bar de la ville, je m’arrête boire un verre au bar dans lequel elle a rencontré son amant car je vois qu’un concert va commencer sur la plage. Il n’y a pas trop de monde et je m’installe en terrasse devant une bière. D’un coup je vois un petit groupe arriver, et le colosse black que j’avais dépanné le jour de notre arrivée m’interpelle en m’appelant « son sauveur ». Et devinez qui je vois collée à lui ? Ma charmante épouse dans sa petite robe bleue. L’effet de surprise est vite passé, tant pour moi que pour elle car elle fait très vite le rapprochement. Il me la présente et je lui fais la bise pendant que ses copains rapprochent quelques tables pour les coller à la mienne. La situation est cocasse car il est assis face à moi, la tenant collée dans ses bras et l’embrassant souvent. En me baissant pour ramasser mon portefeuille tombé sous la table, je vois qu’il pelote ses cuisses entrouvertes de ses grosses mains. Elle a l’air d’une crevette entre ses bras et je l’imagine couché entre ses fines cuisses et la pistonner énergiquement. Je bande comme un fou dans mon short. Il me présente ses amis, une dizaine, tous trentenaires passé. Il s’appelle Moussa et est d’origine malienne. Ce sont en fait des amis depuis la fac, tous cadres dans des entreprises de la région parisienne. Ils se font un séjour ensembles tous les trois ans et cette année, c’est ici. Ils sont là depuis 8 jours et repartent dans 2 semaines. Ils ont loué une villa à la sortie du village. Nous discutons encore un moment, ils sont sympas et Moussa m’invite à une soirée qu’ils organisent le mercredi suivant à la villa. J’accepte en me disant que je pourrais enfin jouer un peu plus les voyeurs. A un moment je me lève pour aller aux toilettes et en sortant je me retrouve à côté de Joëlle qui se lave les mains. Nous nous regardons en riant de la situation et en discutant deux minutes. Elle me dit de ne pas dire que je viens de Salon s’ils me demandent, ce serait louche qu’on soit de la même ville. Quand a vient dans la discussion je dis que je viens de Toulouse, ma région d’origine. Ils partent un peu plus tard, Moussa m’explique comment aller à la villa pour le surlendemain et je reste écouter le concert jusqu’au bout.
Le mercredi soir j’arrive assez tôt, impatient car je n’ai pas revu ma femme depuis le bar. Ils sont en train de préparer la soirée en installant un buffet sous la terrasse devant une piscine sympa dans laquelle quelques-uns se baignent dont ma femme. Il y a aussi quelques personnes que je ne connais pas et Moussa me les présente, ce sont des invités, quelques anglais et des espagnols. Une dizaine de couples constitués discutent en petits groupes. Il me fait faire le tour de la villa en discutant, elle est grande car il y a une douzaine de chambres sur deux étages, un grand salon équipé de larges canapés et une cuisine séparée qui comme le salon donne sur une immense terrasse couverte devant la piscine. La maison n’est pas visible de la route car entourée de haies et clôturée sauf sur le côté mer où un sentier de 200 mètres mène à une plage. Je ne parviens pas à discuter avec ma femme qui est toujours en compagnie ou collée à Moussa. Je fais connaissance avec quelques invités et je discute surtout avec Dominique, un Toulousain comme moi d’origine. Il m’explique leurs liens avec ses potes. En fait ils sont une vingtaine issue de la même classe d’une école de commerce qui font régulièrement des séjours ou des week-ends ensembles. Mais au fil des années leur groupe se réduit car certains se marient et participent peu, d’autres sont indisponibles… Du coup ils ne sont que 9 pour ce séjour en Espagne. Trois d’entre eux sont blacks, dont Moussa, un magrébin et les autres viennent de différentes régions françaises. Quand le buffet est presque vide, l’un d’eux met de la musique et certains commencent à danser devant la piscine dans une pénombre quasi-totale. Juste deux lampes sous la terrasse et la lumière du salon par la baie vitrée. J’entrevois parfois Joëlle danser collée contre Moussa. Vers minuit, certains commencent à partir et nous restons à peine une quinzaine, je retarde mon départ en espérant que la nuit me permettra de discuter en aparté avec ma femme. Mais à un moment je la vois par la baie vitrée rentrer dans une chambre avec Moussa. La chambre donnant sur l’arrière je m’éclipse et contourne la maison en espérant trouver la fenêtre de cette chambre qui donne sur la plage et qui est en coin de la villa. Bingo, les volets sont fermés mais j’entends parler derrière sans comprendre ce qui se dit. Petit à petit les mots deviennent des gémissements, puis des cris de plaisir. J’entends le lit grincer un peu, le claquement des chairs qui se percutent, et je m’imagine dans la tête ce que je ne peux pas voir. Ma queue pousse mon short pour se dresser, et ma main caresse cette bosse très dure. Puis les cris s’arrêtent, ça discute à nouveau, j’entends une porte claquer, puis une autre sans être sûr que ça vienne de la chambre. Puis les gémissements et les cris reviennent, quand j’entends quelqu’un approcher le long du mur de la maison, je vais vers lui en disant que je viens de pisser, ce qu’il vient faire aussi. Je rejoins la terrasse et j’y vois Moussa, en caleçon et torse nu en train de boire un coca. Je comprends alors que ce n’est plus lui qui la fait crier en ce moment. Il n’y a plus là que les habitants de la maison, et moi bien sûr. Moussa dit aux autres :
-« Putain, elle est chaude ce soir ! »
Un autre s’apprête à y aller à son tour, mais il lui dit d’attendre un moment que la place se libère et que sinon ils vont casser le lit. Je fais en sorte de cacher la bosse dans mon short et je ris de bon cœur avec eux. En comptant les présents je me dis qu’ils sont trois à la sauter en ce moment. Moussa me propose même d’y aller, mais je ne suis pas sûr qu’elle apprécierait et je préfère décliner l’invitation. Comme j’ai pas mal picolé, Moussa me propose de dormir sur place. Il veut que je reste manger avec eux le lendemain, il y a ce qui faut me dit-il. J’accepte en disant que j’irais me changer à l’hôtel le matin venu. Il m’emmène vers une chambre à l’étage et c’est juste au-dessus du baisodrome. Toutefois, même en ouvrant la fenêtre je n’entends pas ce qui se passe en bas, sauf quand elle crie très fort. Quand je me réveille le lendemain, il y a déjà deux gars en train de boire un café, j’en bois un avec eux et je vais me laver et me changer à l’hôtel.
Je reviens vers midi, tout le monde est debout et sirote de la sangria en terrasse. Ma femme est affalée sur un transat dans une petite jupe courte et un tee-shirt qui laisse voir ses seins nus en dessous. Je remarque vite fait qu’elle n’a pas de culotte non plus et qu’elle ne s’en cache pas plus que ça. Après mangé, on discute tranquillement et Moussa qui est près d’elle en train de caresser ses seins lui dit :
- « Tu pourrais te montrer un peu plus attentionnée avec notre invité ! »
Elle se lève et l’embrasse à pleine bouche, puis vient vers moi et me roule une galoche en posant sa main sur mon short. Elle fait remarquer aux autres que j’ai l’air en forme, elle prend ma main et la pose sur sa chatte sous la jupe. Je la caresse un peu et je vois que ses lèvres sont gonflées, sa fente est ouverte par son bouton très gonflé aussi. La connaissant bien je sais qu’elle est souvent gonflée comme ça après un gang bang au club. Elle me demande si j’ai envie, je dis oui ! Elle me prend par la main en m’entraînant avec elle, elle embrasse Moussa en passant et dit qu’elle ne veut personne d’autre pendant une heure. Nous allons dans la chambre où j’ai dormi et prenons soin de fermer la porte à clef, les volets et la fenêtre. Pas question que quelqu’un nous entende. Nous nous roulons sous la couette, sans baiser, elle ne veut pas, préférant attendre le samedi qu’on se retrouve tous les deux. J’aurais quand même une bonne pipe, pour lui remplir le gosier de ma semence. Elle me raconte comment l’histoire a dégénéré en partouze l’avant-veille, l’alcool aidant. Moussa a fini par réussir à l’enculer, mais ils se sont mis à deux pour lui préparer l’anus en la tartinant de crème. Elle a découvert le plaisir de prendre une main entière dans le fion par un des gars avant que le colosse ne réussisse à rentrer son énorme mandrin. Elle avoue que ce remplissage total lui a finalement bien plu. Nous convenons de prendre la route le samedi vers midi, elle se fera déposer en ville et je la récupérerai discrètement derrière l’église. Nous redescendons de la chambre, elle dit aux autres que je suis bien plus doué qu’eux en riant bien sûr. Moussa la traîne de suite vers la chambre du bas, suivi par deux autres. Pour ma part je rentre à l’hôtel et je ne la revois que le samedi matin en la récupérant et nous voguons vers d’autres aventures. Elle me raconte que les deux derniers jours elle a passé plus de temps à baiser qu’à faire autre chose, une heure avant qu’elle me rejoigne elle était en train de se faire tringler par Moussa dans les rochers au bout de la plage. Pendant le reste de nos vacances nous faisons l’amour presque tous les jours, avec précaution au début car elle à mal. Elle se tapera juste un anglais la dernière semaine, mais rien de très intéressant à raconter.
Pendant les cinq ans qui suivent, il n’y aura pas de cocufiages. Elle donne naissance à un garçon un an plus tard et une fille deux ans après. Entre les enfants, le travail, les nounous et les premières rentrées scolaires nos emplois du temps ne laissent guère de place à la bagatelle extra-conjugale. Je suis pour ma part muté à Orléans et je suis souvent en déplacement en Afrique ou ailleurs. Elle reprend le travail dans une société du coin juste après la naissance de la petite dernière et doit parfois gérer seule les enfants pendant mes voyages. Pour ma part je fais ma « corvée de charbon » une première fois au Sénégal et quelques autres fois ailleurs, sans jamais le lui cacher d’ailleurs. Elle connaît le milieu militaire et sait comment ça se passe. Elle se met au sport plus intensivement pour effacer au maximum les kilos pris pendant les grossesses. Nous continuons quelques soirées libertines avec des amis, mais plus de sortie en club pendant ces 5 années. Nous avons toutefois une vie sexuelle épanouie en explorant les jeux de soumission féminine qu’elle aime bien. Ces jeux nous ouvrent de nouveaux horions, je publierai dans un prochain post quelques photos prises à cette époque. Mais c’est le jour de ses 31 ans que nos activités caudalistes vont reprendre de plus belle.
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par croclavie82
#2064198
très beaux récits, une plume excitante, les aventures de la Miss sont un régal.
par Patjoe
#2064285
Quelques photos de jeux de soumission comme promis
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par Patjoe
#2064289
Allez et ce sera tout pour aujourd'hui
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par nacra29
#2064351
Un beau post et une belles histoire de couple comme je les aime. Madame à l'air charmante et dire qu'elle est chaude est un euphémisme !!
Bravo à vous deux
par Patjoe
#2064456
Quelques mois avant son 31 ème anniversaire, ma femme fantasme beaucoup à l’idée de reprendre l’habitude de me cocufier. Je sais qu’elle aimerait beaucoup retrouver des aventures comme en Espagne il y a cinq ans, mais ce genre d’opportunités ne se présente pas si souvent. Elle est aussi en manque de blacks, en manque tout court d’ailleurs. Nous avons toujours une vie sexuelle conjugale riche, surtout depuis que nous avons découvert les jeux de soumission. Mais malgré tout rien n’est plus excitant pour nous deux qu’un bon vieux cocufiage d’opportunité. Nous attendons donc impatiemment l’été, car les enfants seront chez les grands-parents pendant un mois en juillet avant de partir au pays basque avec nous en août. Joëlle est aussi pressée d’y être et de pouvoir sortir draguer le plus souvent possible pendant cette période. Je décide toutefois de donner un petit coup de pouce au destin en recherchant un complice via les annonces libertines. Deux mois avant la date prévue je commence à contacter des annonceurs, et je finis par avoir un échange prometteur avec un Homme de Chartres. Nous convenons de nous rencontrer et de voir ensemble la possibilité de mettre en place un scénario plausible qui devra la laisser croire que rien n’est organisé. Cet homme d’une quarantaine d’années correspond aux critères physiques, il est chef d’entreprise, soigné de sa personne et habitué de longues dates aux rencontres libertines. De plus un ami parisien à lui pourrait l’accompagner. Enfin bref nous tombons d’accord sur un scénario pour le premier vendredi de juillet, date de l’anniversaire de madame. Pour aider à la réalisation, je me porte volontaire à la base pour être d’astreinte technique tout le mois de juillet, dont pouvant être « bipé » à toute heure du jour ou de la nuit pour aller dépanner un avion, chose improbable un week-end de vacances scolaire car peu de vols sont programmés. Pour ce week-end là je sais que le risque est nul sauf déclenchement d’une guerre.
Ce vendredi-là donc, elle est impatiente car j’ai prévu une soirée avec restaurant grand luxe en tête à tête, dîner aux chandelles et champagne à gogo. C’est la première fois que les enfants partent tous les deux et que nous sommes célibataires aussi longtemps. Le soir venu elle se fait belle et sexy, petite robe, maquillage discret, talons aiguilles. Elle est allée au coiffeur le matin et chez son esthéticienne, en espérant une folle nuit d’amour avec son mari. L’idée ce soir-là n’est, pour elle, pas du tout de me tromper. Nous avons acheté un an avant un corps de ferme un peu isolé à un kilomètre d’un petit village, dans un hameau de quelques maisons. Nous sommes au pied d’une petite colline boisée avec 5000 m² de terrain clôturé et très arboré. Nous passons donc un excellent début de soirée en amoureux et nous rentrons vers la maison à la tombée de la nuit. Nous n’avons pas prévu de sortir ailleurs après le repas car je suis d’astreinte et je ne peux pas m’éloigner trop de la base. J’ai mon bipper dans la poche et je lui caresse les cuisses en conduisant, puis le sexe car elle n’a pas de culotte ni de soutien- gorge. Elle est toujours très excitée et n’hésite pas à s’ouvrir à mes caresses. En tournant sur la petite route qui mène du village à notre maison, la voiture a quelques ratées et cale, impossible de redémarrer (début du scénario). J’ouvre le capot, je trifouille un peu, mais je ne peux dépanner de nuit. Je lui propose que nous rentrions à pied et de m’aider à pousser la voiture dans un chemin à quelques mètres de là. D’un coup, un gros tout terrain approche et je lui fais signe de s’arrêter. Deux hommes d’une quarantaine d’années, grands, bien sapés en sorte et nous demandent si on a besoin d’aide. Je leur dis :
- « Si vous pouviez m’aider à la pousser sur le chemin, je la récupèrerai demain !
- Vous habitez loin ? Demande l’un d’eux
- Non juste là à moins de deux kilomètres !
- Si vous voulez je peux vous remorquer dans ce cas, j’ai une sangle dans le coffre ! »
Quelle chance ! Pendant que j’attache la sangle à mon essieu sous la voiture pour la relier à l’attache remorque du leur, ma femme me devance et leur propose de partager une bouteille de champagne avec nous. C’est ce que j’avais prévu de leur proposer une fois à la maison. En me relevant, je vois que mes complices lorgnent le décolleté et les jambes de ma belle, c’est la première fois qu’ils la voient en pied car je n’avais montré qu’une photo d’identité. Ils n’ont pas l’air déçus je vois ! Arrivés devant notre garage je décroche la sangle et nous les invitons à entrer. J’ouvre une bouteille de champagne, j’en laisse une au frais et je sers quatre coupes. Le temps de discuter un peu et de vider le premier verre, j’en ressers un et j’appuie sur le bouton de test de mon bipper qui se met à sonner. Ma femme s’exclame : « Ah, non ! Pas ce soir ! » Mais elle sait que je n’ai pas le choix et que je dois rappeler la permanence opérationnelle de la base. Ce genre de choses s’est déjà produit souvent depuis deux ans que nous sommes à Orléans. Pendant que ma femme leur explique ce qui se passe, je feins de téléphoner et de dialoguer avec le permanent. Je dois partir pour réceptionner un avion et le préparer à redécoller le lendemain matin, j’en ai pour le reste de la nuit et une partie de la matinée du lendemain. Mes complices font semblant de se lever pour partir, mais je leur dis qu’ils peuvent tenir compagnie à ma femme pour terminer la bouteille, et qu’il y en a même une autre au frais. Elle le leur confirme, et comme ils disent ne pas être attendus, ils acceptent. Ma femme me confirmera plus tard, qu’à ce moment-là, elle n’a jamais imaginé ni envisagé de coucher avec eux, elle est plus sur la déception que sois contraint de partir. Je pars donc vers minuit, avec sa voiture vu que la mienne en panne.
Je me gare dans le petit chemin au pied de la colline qui surplombe la maison, j’enjambe la clôture et je me planque dans le poste d’observation que j’ai prévu, face à la baie vitrée du salon à une vingtaine de mètres. Je précise que mes complices ne savent pas que je reste à vue. La fenêtre est ouverte vu qu’il fait chaud et j’ai une vue sur les deux canapés. Je n’entends pas ce qui se dit, juste quelques éclats de rire me font penser que l’ambiance est décontractée. Ils sont encore dans la même configuration qu’avant mon départ : ma femme de trois quart dos à moi et les deux prétendants en face sur un grand canapé. Je n’espère qu’une chose, c’est qu’ils la fassent asseoir entre eux. Mais je dois patienter un long moment. Finalement, je vois Joëlle se lever et aller vers la cuisine, hors de ma vue, et un des deux types se lève pour y aller aussi. Ils reviennent ensemble avec la seconde bouteille de champagne et se servent une coupe en se rasseyant à leur place. Je suis impatient, je trouve que ça traîne un peu. Puis ma femme se lève et je la vois mettre de la musique, elle est penchée en avant et vu la place de la chaîne dans le coin derrière la fenêtre, je ne vois que son postérieur, la robe remonte un peu sur ses cuisses et je me dis que mes complices doivent avoir un jolie vue. Elle se redresse et se recourbe deux ou trois fois en se retournant vers eux à chaque fois. Puis j’entends enfin la musique, Angie des Stones, c’est une cassette (eh oui ! pas encore de CD) sur laquelle j’ai compilé tous les slows d’anthologie. Elle se rassoit sur le même canapé, GRRR …. ! Puis elle se met à nouveau debout et éteins la lumière pour allumer une applique qui tamise l’ambiance. Je vois enfin les deux gars s’écarter et elle s’assoit entre les deux, signe qu’elle est prête à se donner à eux. Lentement je vois une main se poser sur sa cuisse et remonter sa robe, les premiers baisers sont échangés. Elle ouvre ses cuisses et se laisse caresser la chatte et les seins. Elle écarte maintenant largement en posant une jambe sur chaque cuisse de ses amants, sa robe est déboutonnée et ses seins se dévoilent, vite malaxés, puis sucés. Au bout d’une quinzaine de minutes, ils se lèvent tous les trois et elle ferme les volets. Ils doivent aller dans la chambre dont la fenêtre donne sur le pignon de la maison, je dois changer de poste d’observation. Hélas pour moi, elle ferme les volets aussi, mais les fenêtres derrière restent ouvertes et je vais pouvoir coller mon oreille pour entendre ma belle jouir. Ils la prennent longtemps, ils doivent être sacrément en forme. Je renoue avec le plaisir de l’entendre jouir sous les assauts d’autres hommes. Il est cinq heures du matin quand je regagne la voiture pour dormir un peu. Je me réveille vers 10h00 du matin et je file directement au village pour l’appeler depuis la cabine téléphonique, pressé de la rejoindre. Elle met un bon moment pour décrocher, et elle est essoufflée en parlant :
- « Bonjour chéri, dis-t’elle, ça va ?
- Oui, j’ai les boules pour avoir dû partir hier soir sans aller au bout de notre soirée. Je vais quitter la base, je suis là dans 40 mn.
- Je me suis chargée de bien remercier nos sauveurs en baisant avec eux, tu es cocu mon amour.
- Ah ! Ils sont partis ?
- Non ils sont encore au lit et en pleine forme, attends qu’ils partent pour rentrer, ils vont encore me baiser un peu. »
Ne pouvant pas trop jouer le voyeur en plein jour, je me gare derrière la maison et j’attends de voir passer le 4 X 4 au croisement. Il est quasiment 15h00 quand il passe enfin. Je rentre de suite et je trouve ma salope nue sur le lit, les trous dégoulinants et les cheveux collés par le sperme et la sueur mélangés. Je me régale à nettoyer tout ça de la langue et nous faisons l’amour tout le reste de l’après-midi.
Dans les jours qui suivent, je constate que maintenant qu’elle a remis le pied à l’étrier elle redevient aussi salope et insatiable qu’avant et j’en suis ravi. Nous profitons de l’absence des enfants pour faire une sortie dans un sauna échangiste où elle s’offrira sans retenue à une bonne dizaine de mâles durant toute la nuit. Elle me cocufiera une fois de plus quelques jours plus tard avec un gars rencontré au restaurant où elle déjeune le midi, mais ça se passera à l’hôtel en débauchant et je ne l’apprendrais qu’à son retour le lendemain matin.
Le prochain écart aura lieu sur la région toulousaine et me surprendra…
par Patjoe
#2064560
Alors que nous passons quelques jours chez mes parents avec les enfants, avant de partir deux semaines à Hendaye au pays basque pour deux semaines, nous découvrons qu’il y a un concert intéressant dans un petit village de Haute-Garonne. Nous décidons donc d’y aller, profitant du fait que mes parents gardent les enfants. Le concert se déroule dans un champ à la sortie du village, donc nous y allons en tenue relax. Ma femme est en Jean et basket avec un tee-shirt et un gilet pour le soir. Nous mangeons sur place où un barbecue géant est organisé, et traînons un peu en attendant le concert. Vers 21h00 nous nous installons assis sur l’herbe et à proximité de la buvette. C’est un groupe régional qui joue et il y a pas énormément de monde. A un moment, ma femme doit aller aux toilettes aux vestiaires du terrain de football qui est juste derrière la buvette, tenue par des gens qui doivent faire partie du comité des fêtes du village. Elle s’arrête en revenant pour acheter deux canettes et comme je vois qu’elle traîne pas mal, je me lève pour la chercher des yeux et je la vois, les deux canettes à la main, en train de discuter au comptoir avec un serveur et un autre gars accoudé à côté d’elle. Je me rassois à notre place, et je l’attends un bon moment encore. Elle arrive enfin quand le concert commence. Elle me glisse à l’oreille qu’il y avait deux mecs qui l’avait draguée pour justifier le temps qu’elle avait mis. Une heure plus tard, un entracte et elle me propose d’aller chercher une nouvelle boisson. Surpris qu’elle ne me demande pas d’y aller, je me dis qu’elle veut peut-être continuer une discussion inachevée. Je me surprends quand même à penser qu’elle est intéressée par un des gars. Là encore elle traîne, mais comme entretemps pas mal de monde est arrivé, je n’ai plus aucune vue sur la buvette. Elle revient alors que le concert a déjà repris et me dis à l’oreille qu’elle discutait avec les deux gars qui étaient encore au bar. Je lui demande si un des deux lui plaît, elle me répond qu’ils ne sont pas terribles mais qu’ils sont sympas et marrants. Je comprends qu’elle a envie de coucher avec un des deux, ou les deux. Je lui propose donc d’y aller, mais elle hésite me disant que je ne vais quand même pas rentrer seul chez mes parents et la laisser là. J’insiste en lui disant que ça ne me gêne pas d’attendre dans la voiture quitte à dormir dedans. Elle finit par accepter en me disant qu’elle me rejoindra après, si quelque chose se passe. Elle me plante là et rejoins la buvette. Je profite de la foule pour la surveiller discrètement. Elle discute avec les deux gars au bout du comptoir, celui derrière le bar s’absente régulièrement pour servir puis reviens avec eux. Je suis surpris car ils ne correspondent pas à ses critères habituels, l’un d’eux est un peu bedonnant et le serveur à l’air d’avoir pas loin de 50 ans, un peu moins bedonnant que l’autre mais quand même ! Après m’être approché suffisamment pour bien profiter du spectacle, je vois que le plus jeune caresse ses cheveux d’une main, puis la prend dans ses bras et l’embrasse longuement. L’autre, juste derrière le comptoir ne la touche pas, j’en conclus donc que son choix est fait. A la fin du concert, la foule se disperse et je dois m’éloigner un peu, puis je les vois partir tous les deux vers le village, il lui tient la taille et l’embrasse de temps en temps. Ils rentrent dans une petite maison dans une ruelle et disparaissent derrière. Je vois la lumière s’allumer derrière les volets clos et j’attends. Une bonne demi-heure après, j’entends des pas dans la rue, je me planque et je vois le second débarquer et disparaître dans la maison à son tour. Ne pouvant rien voir, je vais dans la voiture et je sommeille sur le siège en couchette. Il est cinq heures quand elle rentre à mes côtés et m’embrasse en me disant qu’elle s’est bien faite baiser par les deux et que sa chatte et son cul sont bien remplis de foutre. Nous rentrons chez mes parents et nous faisons l’amour tendrement. Elle m’avouera après que si elle a craqué pour ces physiques atypiques c’est justement à cause de ça, elle avait envie de se sentir avilie par des mâles et le fait qu’ils ne lui plaisent pas lui a donné l’impression d’être une simple putain.
Après les vacances, nous reprenons notre train-train habituel, boulot – nounou – dodo ! Joëlle me trompe deux fois avant l’été suivant mais rien de bien terrible. Nous parlons toujours beaucoup de nos envies, de nos fantasmes et elle me répète souvent que la référence pour elle reste nos vacances en Andalousie, six ans plus tôt. Elle aimerait renouveler ce genre d’expérience : Servir de vide-couilles pendant plusieurs jours à un groupe de mecs, des blacks de préférence. Je vais donc encore une fois donner un coup de pouce au destin, sans l’avoir préparé, et réaliser son souhait du moins en partie.
par Patjoe
#2064689
Pendant l’année qui suit, elle me trompe cinq ou six fois, mais avec un seul gars à chaque fois et aucun black. Nous ne prenons pas de vacances pendant l’été car je suis en mission en Arabie Saoudite pendant trois mois de juin à début septembre. Elle est donc seule avec les enfants, mais ne prend qu’une semaine qu’elle passe chez ses parents avec les petits et un peu chez les miens. Ces derniers étant à la retraite maintenant nous suggèrent de partir quelques jours tous les deux après mon retour et se proposent de s’installer à la maison pour s’occuper des enfants qui ont école. C’est elle qui s’occupe de trouver un séjour sympa, je lui ai suggéré les Antilles, l’endroit me semblant idéal pour se taper des blacks. Au cours d’une de nos rares conversations téléphoniques je lui suggère de réserver deux séjours en solo dans le même club, ce qu’elle accepte. Nous partons donc dans un club en Martinique pour deux semaines, dans le même avion mais séparément. A l’époque des blagues circulaient dans le milieu militaire qui disait qu’envoyer sa femme seule dans ce genre de club, c’était la certitude de finir cocu, et comme c’était justement le but tout était réuni.
Je passe sur l’accueil de ce genre de lieu et nous nous installons dans des petits bungalows sympas. Elle a fait en sorte en réservant que nos paillotes soient voisines de quelques mètres. En cette période la clientèle est surtout composée de retraités, de jeunes couples d’amoureux sans enfants et de quelques célibataires hommes ou femmes. Dans la bande des animateurs, il y a quelques noirs locaux, mais aussi pas mal de métropolitains. Pendant les premiers jours elle se fait sauter par un allemand, puis par un français, tous clients comme nous. Nous arrivons à nous retrouver dans mon bungalow certains soirs où elle est seule. Un jour nous sommes autour de la piscine où des cours de sport sont distillés par un animateur, je sirote quant à moi un cocktail au bar juste à côté en discutant avec le barman, un métis d’une trentaine d’années avec qui j’ai sympathisé le premier jour car en plus de servir des cocktails il est animateur sportif à la salle de musculation que je fréquente un peu le matin. Je vois ma femme arriver en maillot de bain qui vient se baigner avant le déjeuner. Je dis à Lionel, c’est son prénom :
- « Ah, je la connais elle, on était dans le même club l’an dernier au Maroc !
- Le monde est petit ! Me répond-il.
- C’est une sacrée coquine, je m’en souviens parce que la plupart des animateurs lui sont passés dessus !
- T’es sûr que c’est elle ?
- Certain, elle s’appelle Joëlle si je me souviens bien et j’avais un pote dans l’équipe qui était là-bas !
- Tu te l’ai tapée ?
- Non, j’étais avec une copine !
- T’es seul ici, alors profites-en !
- Non, j’en ai une autre en vue, et je ne pense pas qu’elle se contactera d’un seul mec à la fois ! »
Voilà je venais de lâcher la bombe et il ne me restait plus qu’à voir ce qui allait se passer. En plus j’avais vraiment une autre fille en vue, métis franco-asiatique avec qui j’avais bien accroché la veille et qui n’étaient pas insensible à mes atouts. Je passerai d’ailleurs deux nuits avec elle en fin de semaine. Cette jolie fleur de 38 ans était mariée mais seule au club et ne souhaitait pas plus qu’une aventure, tout comme moi. La journée se passe et j’observe à deux ou trois reprises Lionel qui discute en aparté avec quelques-uns de ses collègues et pointer ma femme du menton quand elle est dans les parages. Je me dis que ma bombe est tombée et que la minuterie est en route. Bien entendu je ne parle pas de ça à ma belle qui continue à se faire dorer. Le soir venu, comme tous les autres soirs, il y a des animations qui se terminent sur la piste de dance. Vu que la clientèle est âgée pour sa majorité, les soirées se terminent souvent vers minuit à 2h00 du matin. Ma femme est bien sûr abordée par quelques animateurs qui veulent vérifier ce qu’on leur a dit. Elle passe sa soirée avec un petit groupe et semble à son aise, l’ambiance est bonne et ça rigole beaucoup. Elle est habillée très sexy, je remarque vite qu’elle est sein nus sous un débardeur et je pense qu’elle n’a pas de culotte sous sa jupe. Ce qui est sûr c’est que certains regards ne manquent pas de mater parmi les moniteurs qui l’entourent. Je me dis qu’ayant mis le grappin dessus, ils ne vont pas la lâcher. Quand la fin de soirée arrive, tout le personnel participe, y compris les moniteurs. Elle reste toutefois seule avec eux, je traîne aux abords du bâtiment pour voir comment ça évolue. A un moment je la voie sortir avec 4 moniteurs, qui portent de quoi aller boire un verre ailleurs à priori dans un sac. Je les vois filer vers la plage, sûrement déserte à cette heure. Je ne parviens pas à les suivre car il serait délicat de pouvoir m’approcher. Je rentre donc à mon bungalow pour attendre son retour. Une petite demi-heure plus tard elle arrive, accompagnée de plusieurs gars, mais je ne vois pas combien. Tout le monde s’engouffre dans sa chambre et ça continue à rire de bon cœur. Vu l’épaisseur des murs en paillages, j’entends le bruit des conversations, mais comme plusieurs parlent en même temps, difficile de comprendre. Il y a une fenêtre ouverte face à moi, mais un épais rideau me prive de la vue, par contre j’entends très bien. Au bout d’un moment, plus un bruit, juste quelques murmures. Ils doivent commencer à la caresser je pense. Mon impression se confirme quand quelques gémissements me parviennent. Puis viennent les cris avec les crissements du lit, les mots crus suivent, souvent repris par ma femme pour se qualifier du style : Prends-moi fort, oui je suis une salope, encules-moi … et pas mal d’autres dans le même style. Ça s’arrête parfois et les conversations reprennent, puis ça repart de plus belle. Parfois la porte s’ouvre et claque, peut-être d’autres qui rejoignent la fête. Je finis par m’endormir après m’être bien masturbé sur cette bande son.
Au petit matin, je vais déjeuner vers 10h00, ma femme dort sûrement encore mais ne sachant pas si elle est seule je m’abstiens de passer dans son bungalow. C’est Lionel qui me sert un café et il me dit :
- « Merci pour le tuyau, tu avais raison elle s’appelle bien Joëlle et plus chaude qu’elle je ne connais pas ! »
Je lui demande de ne pas dire à cette gonzesse que je lui ai parlé du Maroc, je ne voudrais pas qu’elle le sache. Il me rassure que le secret sera conservé. Il m’explique qu’ils sont 6 à l’avoir sautée toute la nuit, mais qu’après les avoir vidés, elle en voulait encore. Je ne lui pose pas trop de questions pour ne pas faire louche, mais ce qu’il me dit me fait dresser la queue dans mon caleçon. Il termine notre conversation en m’assurant qu’ils vont la « démonter » pendant tout le séjour. A compter de cette nuit, elle ne passera plus une seule nuit seule, elle aura toujours quelqu’un dans son lit. Certes ce ne sera pas plus de trois ou quatre partouzes durant le séjour, mais au moins un ou deux gars viennent dormir avec elle. Elle dort tard tous les matins et nous n’avons que de rares minutes pour nous retrouver tous les deux et discuter. Un soir après une partie de cul endiablée avec plusieurs gars, ils sortent et vont prendre un bain de minuit à la plage. Comme je ne peux les suivre discrètement, je profite que son bungalow soit resté ouvert pour jeter un coup d’œil et j’y pénètre pour lui laisser un mot dans sa trousse de toilette et l’informer que j’ai couché les deux nuits précédentes avec Sarah, la petite asiatique. Le lit est défait et pue le cul à plein nez, les draps tachés de sperme et encore trempés. Je rentre me branler dans le mien en pensant à elle. Quand ils reviennent, ça recommence à baiser presque jusqu’au lever du jour. A deux ou trois reprises, en pleine journée, je surprends des animateurs qui l’amènent dans le local technique, sûrement pour un inventaire …. De ses attributs !
Sur le chemin du retour, dans l’avion, elle me dira qu’elle ne sait pas combien de gars lui sont passés dessus, elle estime à une vingtaine de mecs différents. Si 5 animateurs étaient les plus assidus dans son lit, elle sait que deux clients au moins l’ont sauté une fois et deux ou trois qui venaient d’un club voisin, sûrement invités par un animateur. Au final, elle n’est pas sûre qu’elle pourrait reconnaître quelques-uns pour ne les avoir vus que quelques minutes dans la pénombre pendant qu’ils la sautaient. Son regret est d’avoir couché avec seulement deux blacks et un métis, Lionel !
Ce séjour restera malgré tout en deuxième position dans son classement, derrière l’Andalousie, pendant de nombreuses années.
par Patjoe
#2064734
Bien entendu elle continuera à me cocufier copieusement mais le jeu perd un peu de son charme avec l’apparition du VIH, qui impose des précautions extrêmes et des rapports protégés. Ses conquêtes d’un soir n’auront plus la même saveur car les jeux de sperme faisaient partie de notre plaisir. Même les soirées gang-bang en club lui donneront bien des orgasmes, mais garderont un goût d’inachevé. Nous continuons nos jeux de domination, nous rencontrons quelques couples SM pendant lesquels elle découvrira la bissexualité imposée. Un de ces couples nous permettra d’assister lors d’une soirée à la punition extrême d’une jeune femme totalement masochiste. Nous la verrons jouir sous le fouet de son maître, se faire torturer les seins par des aiguilles et finir suspendue 10 mn par les seins, saignant de partout. Une vraie boucherie qui nous fera fuir ce milieu. Ma femme aime être soumise, mais elle n’est absolument pas masochiste, et moi absolument pas sadique. Ce qu’elle aime dans ces jeux, c’est l’avilissement et l’humiliation qui procure un plaisir psychique qui décuple le plaisir physique indissociable pour nous. Le problème c’est que se soumettre à un homme qui l’aime limite un peu les pratiques. Je fais un aparté pour dire que tout ça est NOTRE conception, bien des rencontres nous ont prouvé que chaque couple a dans ce domaine SA propre conception. Je m’explique sur NOTRE CONCEPTION :
- Le fait d’aimer celle que je soumets, je prends certainement des précautions que ne prendrait pas un inconnu, j’ai des limites plus restreintes de peur de faire mal ou d’aller trop loin. Lors de nos longues discussions je dois faire preuve de patience et de force de persuasion pour lui faire parler de ses fantasmes les plus enfouis. Comme elle m’aime, elle craint elle aussi de demander des choses qui me rebuteraient.
Je finis par lui faire dire qu’elle aimerait qu’un homme la prenne en main devant moi et la soumette à ses désirs, qu’il puisse user et abuser d’elle comme bon lui semble dans les limites fixées au départ. Dans son esprit cet homme la prendrait en main une ou deux fois par mois et pour une nuit ou un week-end. Cet homme, une fois le lien de confiance établi, pourrait la prendre à cru et l’utiliser comme une vraie chienne. Dans son idéal cet homme doit être imposant physiquement et mentalement, si possible black ou arabe, expérimenté et surtout pas sentimental.
Je me mets donc en chasse de cette perle rare, en épluchant toutes les revues adéquates. La recherche sera longue, 6 ans, avec quelques rencontres décevantes par moi seul, et une qui fût un vrai fiasco avec nous deux.
Vous allez devoir être patient pour tout savoir, on part en vacances pour quelques semaines, mais à mon retour vous aurez droit à plein d’autres récits et quelques photos …..
A très bientôt amies cocufieuses et amis cocus !
LETAUREAU1 a liké
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par sergio
#2066410
Trés agréable à suivre ce post. J'ai lu l'évolution de Joëlle avec plaisir et je te félicite pour les scenarios que tu sais monter.

Concernant le BDSM, chaque soumis (se) à ses envies et elles sont différentes d'une personne à une autre. Il n'est pas nécessaire pour un soumis (se) d'être masochiste et d'aimer la douleur pour jouir.

J'attends avec impatience de lire la suite avec votre perle rare. :D

Pour les fantasmes de nos femmes, il est vrai qu'il leur est difficile de tout nous dire comme il peut l'être pour les hommes de leur confier que nous sommes candaulistes. La peur de ne plus être aimer de la même façon.
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par c2b78
#2121750
@Patjoe merci pour ces très belles tranches de vie....quand on a la chance de jouer ensemble c est magique.. ..

au plaisir de lire la suite de vos belles parenthèses a deux...

merci encore !

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