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Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#2073405
Basculement

La porte de notre chambre se referma sur elles.
Je demeurais seul, bras ballants dans le salon. Comme un automate, je me mis à ranger les verres. Je ramassais, sur la terrasse, la culotte abandonnée de Virginie avant de la porter à mon nez et à mes lèvres. Elle était encore humide de son désir et odorante.
De la chambre, ne me parvenaient que des rires et des bruits étouffés.
Je m'apprêtais tristement à me coucher et à les laisser seules. J'avais accepté cette éventualité et je sentais une violente et honteuse érection à l'idée d'être rejeté sur le canape pendant qu'elles se donnaient du plaisir.
C'est alors que je sentis mon téléphone vibrer. SMS de Virginie : "Tu peux nous rejoindre. Ne fais pas de bruit. Mets toi sagement sur la chaise".
Je fus envahi par une excitation encore plus violente et une joie sans limite.
Quand j'ouvris la porte à verre dépoli de la chambre, je vis leurs deux corps nus enlacés. La peau mate de Chloé contrastait avec celle, très blanche de Virginie, sur laquelle se détachait un pubis fourni aux poils noirs et humides. De Chloé, je ne voyais que les fesses rebondies et la taille fine. Elles s'embrassaient langoureusement dans une pénombre éclairée par la lumière pâle de trois bougies. Je vis qu'une chaise de paille avait été disposée juste à côté du lit. Je me rendis compte qu'elles avaient sans doute scénarisé tout cela entre elles.
De cette chaise, je me trouvais à moins d'1 mètre de leurs corps entremêlés. Je voyais la femme que j'aime bouche à bouche avec une autre, dans une étreinte passionnée.
Leurs doigts trouvaient leurs vagins humides et leurs mouvements déclenchaient de discrets clapotis et des soupirs d'extase.
Puis Virginie saisit Chloé par la taille et la bascula sous elle. Doucement elle embrassa sa poitrine, son ventre, avant de coller sa bouche sur son sexe. Ce cunnilingus dura bien 10 minutes, durant lesquelles le visage de Chloé se déformait progressivement pour exprimer une jouissance toujours plus grande.
Virginie me fit du doigt signe d'approcher. Quittant la chatte de son amante elle m'embrassa profondément, le visage et les lèvres humides de la mouille odorante de Chloé. Je fis mine de lui caresser les hanches mais elle donna sur ma main une tape impérieuse et me dit : "chut. Pas touche". Je retournais sur la chaise comme un chien a sa niche, la bouche et la barbe pleines de sa salive et des secrétions de son amante. Puis Chloé entrepris de lécher avec passion le sexe béant de Virginie. Je voyais, à travers ses poils, le clitoris darder sous les coups de langue. Il fallu de nombreuses minutes pour que Virginie se mit à jouir longuement, secouée de spasmes répétés.

Elle enfila ensuite un harnais et y plaça un gode de belle taille. J'aurais aimé, à cet instant le saisir et l'enduire, pour elles, de lubrifiant. Ce fut Chloé qui s'en chargea.
Elles me jetèrent en même temps un regard qui me transperça, ou pointait à la fois la perversité, le sadisme et une grande tendresse. Puis Virginie s'enfonça doucement en Chloé. Leur étreinte fut longue, intense et presque bestiale. Que ceux qui préfèrent penser que les femmes ensemble ne se pénètrent pas et ont des relations faites uniquement de caresses et de baisers ne soient jamais témoins d'une scène pareille. Chloé fut prise en missionnaire, puis en levrette, avec vigueur et presqu'avec rage. De ma chaise, je voyais son plaisir montrer à mesure que ses cris devenaient plus sonores. Virginie ne la quittait pas des yeux, jouissant du plaisir qu'elle donnait. Mon sexe me faisait mal et je commençais à me masturber sous mon pantalon, sans oser le sortir. La jouissance de Chloé me transperça. Virginie la contempla, interne sous elle en souriant. Elle l'embrassa. Chloé, se remettant doucement de son orgasme répondit à son baiser. Elles se caressaient.
C'est là qu'un basculement se produit. Chloé, toujours étendue, pris ma main et la posta sur son sein. Toujours habillé, je parcourais leurs corps où perlait un peu de la sueur de l'étreinte. Je me retrouvais entre leurs jambes, à voir leurs doits disparaître dans leurs deux sexes. Puis Virginie, toujours surplombant Chloé, approcha son bassin des levres de son amante pour un ultime cunnilingus. C'est alors que je sentis les pieds de Chloé qui poussaient ma tête vers son entrejambe. Je me sentis autorisé à la lécher. Au bout de quelques instants, tout à son plaisir, Chloé abandonna le sexe de Virginie, concentrée sur ce que je faisais subir à sa chatte. Elle poussait de petits cris aigus et fini par jouir une seconde fois, m'inondant presque le visage de son plaisir. En levant la tête, je vit le regard noir de Virginie, chargé de reproches.
Après quelques baisers je les laissais seules dans notre chambre pour passer la nuit de mon côté. Au matin, le petit déjeuner fut silencieux mais apaisé.
Virginie n'aborda pas ce qui s'était passé. Elle ne le fit pas non plus le soir quand nous nous revîmes, après une journée de travail. Je la sentais un peu soucieuse, pourtant.
Le lendemain elle me dit : "ça n'était pas juste du voyeurisme, c'était un trio. Chloé a beaucoup aimé ce que tu lui as fait. Elle veut recommencer. On en reparlera. Mais attention. Chloé est à moi. si vous vous voyez en dehors de moi, c'est fini entre nous".

A suivre...
Candaulio a liké
#2073700
Par sergio - 15 sept. 2017, 12:27
"... ce n'est pas si courant, ici, d'être en "concurrence" avec une autre femme...
"

Une situation régulière nous concernant, la bi sexualité de Mme étant plus affirmée côté "filles" ;)
#2076405
Bonjour à tous. Voici la suite...

Bonheur fragile

La soirée avec Virginie est Chloé m'avais durablement marqué. Pendant plusieurs jours, des images merveilleuses de leurs corps entremêlés me passaient devant les yeux. Je revoyais leurs caresses, le sexe de Chloé cédant à la possession du gode et s'offrant à la domination de Virginie. Et puis ce goût, le goût de la chatte de Chloé, le contact de ses poils sur ma langue... Le regain de ma vie sexuelle avec Virginie se poursuivait. Nos passions des heures à baiser. Parfois, un frôlement de corps le matin suffisait à ce que je me retrouve en elle, même quelques instants.
De leur côté, les deux amantes se voyaient presque tous les jours et continuaient leur idylle, sous les yeux aveugles de leurs collègues. Quand le mari de Chloé s'absentait, elles investissait le lit conjugal. Virginie me confessa d'un air gourmant, qu'elle avait pris Chloé dans chacune des pièces de leur appartement.
Ce fut elle qui, quelques semaines après, me dit "Chloé a beaucoup aimé la soirée de la dernière fois. Veux-tu recommencer demain? Chloé viendrait à 19h, pour une soirée sushis et champagne. Bien sûr, c'est toi qui offre le champagne".
C'était inespéré. je passais la journée du lendemain à rêver à la soirée et traversais les heures de bureau sans même adresser la parole à un seul de mes collègues, eux qui étaient engoncés dans l'inanité de leurs préoccupations quotidiennes alors que ma vie prenait un tour d'une intensité que je ne soupçonnais pas.
Chloé fut ponctuelle. Elle embrassa Virginie à pleine bouche en arrivant et me laissa lui déposer un baiser sur le front. Le début de la soirée fut cordial et presque naturel.
Elles ne voulaient rien précipiter. La seule chose était que Chloé s'était vite pelotonnée contre Virginie ronronnant presque sous des caresses presque conjugales. Pour un peu, j'avais le sentiment qu'elles étaient chez elles et que c'était moi qui était leur invité pour la soirée; qu'elles formaient le couple légitime.

A mesure que le niveau de la bouteille de Ruinart blanc de blancs baissait, la conversation s'espaçait pour faire place à des murmures et quelques soupirs.
Je vis la main de Chloé disparaître sous le jean de Virginie qui laissa aller sa tête en arrière, pour mieux jouir de l'intrusion, les yeux mi-clos. Elles s'embrassaient profondément.
La tension sexuelle était déjà à la limite du supportable, d'autant que je comprenais bien que je n'étais pas invité à participer à ces premiers attouchements.
Puis Chloé fixa Virginie avec un sourire entendu. Virginie acquiesça d'un mouvement de tête, et toutes deux se levèrent pour se diriger vers notre chambre, main dans la main. Sur le pas de la porte, Chloé me regarda, moqueuse et me jeta "alors? tu viens?"
Je pris place sur la chaise qui m'avait servi de poste d'observation la première fois. Très vite, le corps fin et hâlé de Chloé disparut sous celui, plus voluptueux et plus laiteux de Virginie. J'admirais la souplesse de Chloé, mais redécouvrait surtout les beautés de Virginie, dont le corps semblait aussi juvénile que celui de son amante. Le spectacle fut long, bouleversant et frustrant. Nu et m'offrant à leurs regards, je restais sur ma chaise, le sexe à la main. Bouche contre bouche, les deux nymphes se parcouraient mutuellement de leurs langues et de leurs mains. Comme dans une chorégraphie déjà réglée, Virginie enfila le harnais de son gode, avant d'embrocher Chloé dont le regard mouillé et les lèvres entrouvertes semblaient demander grâce. Virginie dominait vraiment son amante, en imprimant le rythme et en maniant son corps si frêle. On sentait dans son regard la satisfaction de la possession au moins autant que l'extase physique. Je n'existais plus. Elles étaient seules dans ce corps à corps brûlant. Chloé fut foudroyée par un orgasme et partit se doucher, pantelante, laissant virginie, désormais allongée sur le dos, humide de sueur et de leurs mouilles mêlées. Jamais je ne l'avais tant désirée. Le triangle odorant de ses poils pubiens était comme un bijou vénéneux sur sa peau blanche. "Prends moi", ordonna-t-elle sans me regarder. Je m'enfonçais en elle et commençait alors un va et vient désespéré et frénétique, comme si j'avais cherché à disparaître au creux de son sexe. Je ne l'avais jamais sentie si humide et si large, bien qu'elle n'ait pas été pénétrée. Sous mes coups de boutoirs, elle commença à pousser des gémissements d'une voix chaude et grave.

Je sentis alors un mouvement à mes côté. Chloé, sortie de la douche et nous trouvant à l'ouvrage, s'était glissée contre nous, bien décidée à ne pas m'abandonner le corps de ma compagne. Très vite, nos lèvres se rencontrèrent. Je quittais le trou de Virginie l'abandonner encore aux doigts experts de Chloé, puis à sa langue. De mon côté, j'entrepris de titiller le clitoris de Chloé qui rugissait de plaisir sous mon attaque. La scène dura plusieurs minutes avant que je ne me dégage. Je vis alors Virginie, sur le dis, recevant le soins de Chloé, qui, à quatre pattes, me présentait son cul. J'introduisis un doigt dans sa chatte largement ouverte. Virginie grogna, voyant que j'avais distrait sa maîtresse de sa tâche et plaqua autoritairement son sexe sur la bouche de Chloé qui repris son ouvrage. Enhardit, je poursuivais le doigtage de cette jeune femme que je connaissais finalement si peu. Mon sexe me faisait mal à force d'être gonflé. Je fus surpris quand Chloé s'en saisit pour le branler, aussi adroitement que la position le permettait. Elle ne le lacha que pour introduire à son tour un doigt dans la chatte de Virginie.
C'est alors que je plaçais ma queue tout contre le sexe de Chloé qui ne protesta pas, absorbée par la chatte de Virginie qui finit par se contracter sous les spasmes de l'orgasme. N'y tenant plus, à la recherche de mon plaisir, je pénétrais Chloé d'un vigoureux coup de bassin. Je la pris ainsi, en levrette, sa tête vautrée sans le sexe gluant de Virginie, les yeux perdus. Je ne sais combien de temps dura ce moment. C'est la voix de Virginie qui y mis fin : "bon, ça suffit, on va dormir". Je quittais, piteux, la chatte de Chloé, qui s'écroula dans les bras de son amie.

Elles se serrèrent l'une contre l'autre sans rien dire. Je me sentis de trop et eu le sentiment d'un malaise. M'excusant maladroitement et souhaitant bonne nuit, je me retirais dans la chambre d'ami où je me donnais, enfin, la jouissance que j'avais retenue toute la soirée. Mon sommeil fut lourd.
Candaulio a liké
#2076525
Superbement écrit...on a l'impression de voir la scène se dérouler sous nos yeux.......

Chloé a été pénétrée....... comment va réagir Virginie.... j'avoue avoir un peu peur de sa réaction...........
C'est aussi ce qui a du te perturber dans les instants suivants.
#2082880
@Finamor, aurons-nous le droit à la suite de tes experiences avec ta femme et sa maitresse? :D
#2095860
Bonjour à tous,

La suite a beaucoup tardé, la voici.

Le lendemain matin, je me levais le premier pour préparer le petit-déjeuner. Virginie émergea la première et plongea dans son café sans m'adresser la parole. Chloé nous rejoint peu après et semblait gênée. Je les vis ainsi partir au travail avec un certain désarroi sans savoir à quoi m'en tenir.
Inutile de dire que je fus distrait toute la journée. Aussi me trouvais-je surpris en rentrant, de trouver Virginie détendue et enjouée, comme à son habitude.
Elle éludait toutes mes tentatives de parler de la veille. Après le dîner, alors qu'elle se démaquillait devant sa glace, je me glissai derrière elle et introduisis mes mains sous le peignoir qu'elle avait passé au sortir de la douche. Elle était douce, ses seins fermes et j'aimais sentir le contraste entre la peau si fine de son bas-ventre et la rudesse de ses poils. Elle se laissa faire sans rien dire. Je plongeais ma main dans son entrecuisse : elle mouillait. Elle se pencha elle même en avant pour me présenter sa croupe. Je la pris ainsi, le peignoir relevé, sans préliminaires. Les bruits humides provoqués par mes va-et-vient rapides contribuaient à mon excitation ainsi que ses feulements de plaisir graves et étouffés, presque animaux. Après quelques minutes, nous nous dirigeâmes vers le lit. Enfin nue, elle ouvrit ses cuisses et me découvrit sa vulve sans pudeur. Notre étreinte fut longue, ferme et à la limite de la violence, comme si nous y cherchions tous les deux un exutoire à des sentiments trop puissants pour être dits sans brûler.
Ses spasmes de jouissances me semblèrent se prolonger infiniment plus longtemps qu'à l'accoutumée et quand elle reçu ma semence au fond de sa matrice.
Quelques instants après, quand nous eûmes repris notre souffle elle me glissa : "je n'ai pas aimé te voir baiser Chloé. Mais elle a eu beaucoup de plaisir. Je te répète qu'elle est à moi. Mais nous pouvons envisager de nous voir à trois de temps en temps".
Ces mots sonnèrent comme une délivrance et ouvrirent une nouvelle phase de notre relation.

A suivre...
#2095910
par Finamor - Aujourd’hui, 10:12
Bonjour à tous,

La suite a beaucoup tardé, la voici.
...

Une histoire passionnante .
À mon humble avis, Chloé va prochainement laisser tomber son mari et va emménager chez vous. Une vie sentimentale intense en perspective ....

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