- 15 sept. 2017, 10:38
#2072606
Bonjour. Pour compléter ma présentation, je synthétise ici le récit de notre histoire, débuté sur un autre site.
Ma compagne veut me tromper avec une femme
Nous avons tous deux 37 ans et sommes ensemble et fidèles depuis 15 ans.
Nous exerçons des professions intellectuelles et apprécions le savoir, la culture et un peu de perversion.
Ces dernières années, nos rapports se sont espacés, puis presque arrêtés. A plusieurs reprises, j'ai proposé d'ouvrir notre couple à des expérience libertines, voire candaulistes.
La voir avec un homme était en effet un désir profond, d'autant qu'elle confessait apprécier les hommes plus âgés qu'elle, pour peu qu'ils soient bien conservés et raffinés, mais aussi la virilité des "bad boys".
Je fus donc surpris quand elle me demanda un jour si je serais gêné qu'elle prenne pour maîtresse une collègue plus jeune qu'elle.
A la fois excité et humilié, je donnais bien sûr mon accord. Ma seule condition fut d'obtenir des récits après chaque rencontre. Les choses allèrent vite. Trop vite, peut-être.
Il ne fallu qu'une semaine pour qu'elle invite sa collègue, mariée depuis peu, chez nous, un soir où mon travail m'avait tenu éloigné, afin de conclure une séduction déjà commencée depuis plusieurs mois (ce que j'ignorais).
Au courant de l'entrevue mais sans nouvelles, je passais une nuit excitante et douloureuse à me masturber.
La relation s'installe
Elles se voyaient donc presque tous les jours sur leur lieu de travail.
Parfois, quand le mari de son amante était absent, ou que je devais passer la nuit à l'étranger, elles passaient une nuit ensemble.
J'étais très excité par la situation et le corps de Virginie me devenait à nouveau l'une des choses les plus désirables au monde.
De son côté, Virginie était dans une excitation presque continuelle, et il suffisait de la toucher ou de lui parler de ses tromperies pour qu'elle mouille immédiatement et s'ouvre à mon sexe. Nos rapports n'avaient jamais été si simples et si excitants. C'étaient aussi les seuls moments où Virginie consentait à me donner des détails. En dehors du sexe, elle se fermait et me disait juste quand je la suppliais de m'en dire plus : "je te trompe, je me sens un peu coupable, mais c'est comme ça. Tu es cocu. Et quitte moi si ça ne te va pas".
Un jour que je lui massais les jambes et les pieds, elle me confia pourtant : "on s'est demandées quoi faire d'autre. Les doigts et la langue ne nous suffisent plus".
"Tu veux dire que vous allez vous pénétrer avec des godes?" demandais-je?
"Non, répondit-elle. C'est moi qui vais la pénétrer".
J'appris ainsi qu'elles avaient cherché longuement sur internet un objet pour leur plaisir et avaient fini par commander un petit gode ceinture, composé d'un harnais et d'un pénis de couleur chaire.
Je la pris, ce jour là avec une violence que décuplaient mon excitation et mon humiliation. Elle reçut mon sperme avec ou sourire ironique. Me retirant, je contemplais, fasciné ce trou qui n'avait appartenu qu'à moi pendant des années et dont j'avais soudain le sentiment d'avoir trop peu profité. On ne sait ce qu'on perd que quand il est trop tard, sans doute. Ses poils, englués de mouille et de foutre, étaient beaux et mieux taillés qu'à l'accoutumée. Elle m'avoua que son amante lui avait fait la leçon et les taillait maintenant régulièrement tout en maintenant un joli triangle noir.
Elle me dit qu'en dépit du retour entre nous de l'érotisme, j'étais impuissant à lui procurer autant d'excitation et de plaisir que sa jeune maîtresse. Ce fut un coup au cœur.
Quelques jours plus tard, le gode arriva enfin. Virginie l'essaya devant moi. Je lui avais aussi acheté un petit ensemble string - soutien gorge ajouré qu'elle mis, avant de passer une robe pour aller passer la nuit chez son amante.
La soirée fut difficile. Je me branlais plusieurs fois en les imaginant ensemble. Vers 23h00, j'eu un SMS : "Je l'ai prise. Elle a adoré et a beaucoup couiné de plaisir. Bises et à demain". Inutile de dire que je dormis peu. Je ne la revis que le lendemain soir, au retour du boulot. Elle me repoussa quand je voulu l'étreindre et me dit : "ça sera pour tout à l'heure. Et tu me masseras les pieds pendant que je te raconterai. Après, peut-être, tu pourras me baiser". Ainsi fut fait.
Suite bientôt, si plusieurs sont intéressés.
L'emprise de Chloé
Je tolérais de plus en plus mal de savoir si peu de choses. Virginie continuait de voir son amante tous les jours. Je continuais de la prendre vigoureusement tous les soirs avec l'énergie du désespoir et du dépit. Elle aimait cela mais répétait sans cesse: "tu sais, ça n'est pas toi. C'est juste que je suis humide tout le temps en ce moment". Et en effet, elle mouillant tant que je nageait littéralement en elle. Son amante se mettant entre nous à chaque instant, tout en décuplant nos désirs.
Au bout de quelques semaines, j'exigeais de la rencontrer, ce que Virginie accepta. La rencontre se fit pendant la pause du midi, dans un square. J'attendais sur un banc, quand une jolie jeune fille brune, coiffée à la garçonne s'assit près de moi. Lisant l'interrogation dans mes yeux, elle me dit directement :"oui, c'est moi qui baise ta femme".
C'est ainsi que je fis la connaissance de Chloé.
Je me pris la première phrase de Cloé comme une claque. Son regard noir, la moue de sa lèvre disait la confiance qu'elle avait en sa supériorité, en sa capacité, si elle l'avait souhaité, de m'arracher Virginie.
Les premiers échanges furent embarrassés... Très vite, elle compris qu'il n'y avait ni larmoiement, ni hostilité dans ma démarche. Elle se détendit.
Je lui dit qu'elle était la bienvenue chez nous. Qu'elle pouvait venir quand elle le voulait. Elle m'en remercia et me dit à quel point elle était obsédée par Virginie et son corps, son sexe... A quel point elle aimait aussi que Virginie soit à elle. Elle me dit aussi sa difficulté par rapport à son mariage et à ce carcan qu'elle découvrait trop étroit.
Son mari ne savait pas et ne saurait sans doute pas.
Mon regard s'attarda sur le corps de ma rivale. Elle était gracile, petite, presqu'enfantine. Elle s'était habillée avec un goût sûr mais discret, sans souci de plaire. Un jean très moulant mettait en valeur ses fesses musclées et ses hanches fines. Sous un pull coloré , on devinait la forme de ses seins, pleins et en forme de poire. Elle saisit mes yeux sur sa poitrine et me dit : "je ne mets pas de soutien-gorge.. Je me sens corsetée. Quand je porte des robes, je ne mets pas non plus de culotte, depuis que je connais Virginie. Elle aime avoir accès à mon sexe". Je en répondais que par monosyllabes et bafouillements, impressionné par l'aplomb de cette fille si jeune qui me cocufiait si naturellement. A la fin de notre entretien, elle me tendit sa joue pour que j'y pose un baiser sans qu'elle ne daigne y répondre. Elle me dit : "je pense que Virginie va me prendre bientôt avec notre gode". J'espère que tu le supporteras".
J'appris plus tard qu'elles avaient déjà déniché des coins sombres, dans les archives ou certains escaliers, où personne ne passait jamais afin de se voir et de se toucher.
J'envoyais un texto à Virginie : "je crois que ca s'est bien passé. Elle est belle".
Virginie répondit immédiatement : "elle n'a pas été trop brutale avec toi? A ce soir".
Elle se sont vues le lendemain chez Chloé, toute la journée. Virginie me dit plus tard qu'elle n'avait jamais eu autant de plaisir qu'en prenant sa maîtresse avec ce gode si vulgaire. Chloé aimait être fessée et insultée, baisée violemment... Et Virginie aimait tant la prendre... Quand elle rentra j'eu le droit de la léchet jusqu'à la faire jouir. Mais quand je voulu la pénétrer elle me dit juste "mon clitoris est irrité. Pas ce soir. Tu sais que Chloé a la priorité". J'allais dans la chambre d'ami me coucher et me masturber.
Seul, les doigts dégoûtant d'un sperme inutile, je pleurais de douleur et de désir.
Ma compagne veut me tromper avec une femme
Nous avons tous deux 37 ans et sommes ensemble et fidèles depuis 15 ans.
Nous exerçons des professions intellectuelles et apprécions le savoir, la culture et un peu de perversion.
Ces dernières années, nos rapports se sont espacés, puis presque arrêtés. A plusieurs reprises, j'ai proposé d'ouvrir notre couple à des expérience libertines, voire candaulistes.
La voir avec un homme était en effet un désir profond, d'autant qu'elle confessait apprécier les hommes plus âgés qu'elle, pour peu qu'ils soient bien conservés et raffinés, mais aussi la virilité des "bad boys".
Je fus donc surpris quand elle me demanda un jour si je serais gêné qu'elle prenne pour maîtresse une collègue plus jeune qu'elle.
A la fois excité et humilié, je donnais bien sûr mon accord. Ma seule condition fut d'obtenir des récits après chaque rencontre. Les choses allèrent vite. Trop vite, peut-être.
Il ne fallu qu'une semaine pour qu'elle invite sa collègue, mariée depuis peu, chez nous, un soir où mon travail m'avait tenu éloigné, afin de conclure une séduction déjà commencée depuis plusieurs mois (ce que j'ignorais).
Au courant de l'entrevue mais sans nouvelles, je passais une nuit excitante et douloureuse à me masturber.
La relation s'installe
Elles se voyaient donc presque tous les jours sur leur lieu de travail.
Parfois, quand le mari de son amante était absent, ou que je devais passer la nuit à l'étranger, elles passaient une nuit ensemble.
J'étais très excité par la situation et le corps de Virginie me devenait à nouveau l'une des choses les plus désirables au monde.
De son côté, Virginie était dans une excitation presque continuelle, et il suffisait de la toucher ou de lui parler de ses tromperies pour qu'elle mouille immédiatement et s'ouvre à mon sexe. Nos rapports n'avaient jamais été si simples et si excitants. C'étaient aussi les seuls moments où Virginie consentait à me donner des détails. En dehors du sexe, elle se fermait et me disait juste quand je la suppliais de m'en dire plus : "je te trompe, je me sens un peu coupable, mais c'est comme ça. Tu es cocu. Et quitte moi si ça ne te va pas".
Un jour que je lui massais les jambes et les pieds, elle me confia pourtant : "on s'est demandées quoi faire d'autre. Les doigts et la langue ne nous suffisent plus".
"Tu veux dire que vous allez vous pénétrer avec des godes?" demandais-je?
"Non, répondit-elle. C'est moi qui vais la pénétrer".
J'appris ainsi qu'elles avaient cherché longuement sur internet un objet pour leur plaisir et avaient fini par commander un petit gode ceinture, composé d'un harnais et d'un pénis de couleur chaire.
Je la pris, ce jour là avec une violence que décuplaient mon excitation et mon humiliation. Elle reçut mon sperme avec ou sourire ironique. Me retirant, je contemplais, fasciné ce trou qui n'avait appartenu qu'à moi pendant des années et dont j'avais soudain le sentiment d'avoir trop peu profité. On ne sait ce qu'on perd que quand il est trop tard, sans doute. Ses poils, englués de mouille et de foutre, étaient beaux et mieux taillés qu'à l'accoutumée. Elle m'avoua que son amante lui avait fait la leçon et les taillait maintenant régulièrement tout en maintenant un joli triangle noir.
Elle me dit qu'en dépit du retour entre nous de l'érotisme, j'étais impuissant à lui procurer autant d'excitation et de plaisir que sa jeune maîtresse. Ce fut un coup au cœur.
Quelques jours plus tard, le gode arriva enfin. Virginie l'essaya devant moi. Je lui avais aussi acheté un petit ensemble string - soutien gorge ajouré qu'elle mis, avant de passer une robe pour aller passer la nuit chez son amante.
La soirée fut difficile. Je me branlais plusieurs fois en les imaginant ensemble. Vers 23h00, j'eu un SMS : "Je l'ai prise. Elle a adoré et a beaucoup couiné de plaisir. Bises et à demain". Inutile de dire que je dormis peu. Je ne la revis que le lendemain soir, au retour du boulot. Elle me repoussa quand je voulu l'étreindre et me dit : "ça sera pour tout à l'heure. Et tu me masseras les pieds pendant que je te raconterai. Après, peut-être, tu pourras me baiser". Ainsi fut fait.
Suite bientôt, si plusieurs sont intéressés.
L'emprise de Chloé
Je tolérais de plus en plus mal de savoir si peu de choses. Virginie continuait de voir son amante tous les jours. Je continuais de la prendre vigoureusement tous les soirs avec l'énergie du désespoir et du dépit. Elle aimait cela mais répétait sans cesse: "tu sais, ça n'est pas toi. C'est juste que je suis humide tout le temps en ce moment". Et en effet, elle mouillant tant que je nageait littéralement en elle. Son amante se mettant entre nous à chaque instant, tout en décuplant nos désirs.
Au bout de quelques semaines, j'exigeais de la rencontrer, ce que Virginie accepta. La rencontre se fit pendant la pause du midi, dans un square. J'attendais sur un banc, quand une jolie jeune fille brune, coiffée à la garçonne s'assit près de moi. Lisant l'interrogation dans mes yeux, elle me dit directement :"oui, c'est moi qui baise ta femme".
C'est ainsi que je fis la connaissance de Chloé.
Je me pris la première phrase de Cloé comme une claque. Son regard noir, la moue de sa lèvre disait la confiance qu'elle avait en sa supériorité, en sa capacité, si elle l'avait souhaité, de m'arracher Virginie.
Les premiers échanges furent embarrassés... Très vite, elle compris qu'il n'y avait ni larmoiement, ni hostilité dans ma démarche. Elle se détendit.
Je lui dit qu'elle était la bienvenue chez nous. Qu'elle pouvait venir quand elle le voulait. Elle m'en remercia et me dit à quel point elle était obsédée par Virginie et son corps, son sexe... A quel point elle aimait aussi que Virginie soit à elle. Elle me dit aussi sa difficulté par rapport à son mariage et à ce carcan qu'elle découvrait trop étroit.
Son mari ne savait pas et ne saurait sans doute pas.
Mon regard s'attarda sur le corps de ma rivale. Elle était gracile, petite, presqu'enfantine. Elle s'était habillée avec un goût sûr mais discret, sans souci de plaire. Un jean très moulant mettait en valeur ses fesses musclées et ses hanches fines. Sous un pull coloré , on devinait la forme de ses seins, pleins et en forme de poire. Elle saisit mes yeux sur sa poitrine et me dit : "je ne mets pas de soutien-gorge.. Je me sens corsetée. Quand je porte des robes, je ne mets pas non plus de culotte, depuis que je connais Virginie. Elle aime avoir accès à mon sexe". Je en répondais que par monosyllabes et bafouillements, impressionné par l'aplomb de cette fille si jeune qui me cocufiait si naturellement. A la fin de notre entretien, elle me tendit sa joue pour que j'y pose un baiser sans qu'elle ne daigne y répondre. Elle me dit : "je pense que Virginie va me prendre bientôt avec notre gode". J'espère que tu le supporteras".
J'appris plus tard qu'elles avaient déjà déniché des coins sombres, dans les archives ou certains escaliers, où personne ne passait jamais afin de se voir et de se toucher.
J'envoyais un texto à Virginie : "je crois que ca s'est bien passé. Elle est belle".
Virginie répondit immédiatement : "elle n'a pas été trop brutale avec toi? A ce soir".
Elle se sont vues le lendemain chez Chloé, toute la journée. Virginie me dit plus tard qu'elle n'avait jamais eu autant de plaisir qu'en prenant sa maîtresse avec ce gode si vulgaire. Chloé aimait être fessée et insultée, baisée violemment... Et Virginie aimait tant la prendre... Quand elle rentra j'eu le droit de la léchet jusqu'à la faire jouir. Mais quand je voulu la pénétrer elle me dit juste "mon clitoris est irrité. Pas ce soir. Tu sais que Chloé a la priorité". J'allais dans la chambre d'ami me coucher et me masturber.
Seul, les doigts dégoûtant d'un sperme inutile, je pleurais de douleur et de désir.