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par Phildulux
#2123710
Nous voilà prêts pour entrer dans cette nouvelle expérience…

Le fantasme de l'orgie, de la dépravation, de la débauche. Voir moi sa femme comme une belle putain s'offrir. Qui ne l'a pas rêvé? Quelle explosion des sens! Faire le voyeur de sa propre compagne. Repousser nos propres limites, les normes convenues, casser la routine avant qu'elle n'arrive.

Nous nous dirigeons vers la porte, le patron est là, souriant. Il nous accueille d'une poignée de main pour mon homme et d'une bise pour moi.

La femme de celui-ci, à la caisse, est tout aussi avenante, je lui dis que c'est une première pour moi, et après les formalités d'usage, elle nous emmène visiter les lieux. C'est un joli club, avec un bar accueillant, une piste de danse pour l'instant un peu déserte, des coins câlins plutôt intimes, mais avec fenêtres, une pièce pour des coquineries en « open space », un petit espace balnéo douche pour l’après, j'imagine et un jardin charmant, avec de petits chalets douillets.

Je suis habillée d’une petite robe provoquante tant elle est courte, j’adore ainsi, surtout pour l’effet que je fait à mon homme, et de nos fantasmes communs, sur les autres mecs, leurs regards envieux et libidineux, nous les imaginons très souvent,avoir des érections secrètes, surtout quand mon homme me demande de leur montrer ma culotte en écartant légèrement les jambes. Coiffé en un chignon banane qui laissait échapper quelques mèches folles et je m'étais maquillée pour mettre en valeur mes yeux verts.


C'était la première fois que je mettais les pieds dans un club libertin et j’était si curieuse de découvrir les lieux. Pour l'instant, je n'avait vu que le bar, la piste de danse avec ses barres de pole-dance, les banquettes sur lesquelles des couples s'embrassaient et se caressaient. J’était un peu gêné de voir des personnes s'exhiber de la sorte sans aucune pudeur ni retenue, mais devait bien reconnaître que ça nous excitaient de voir des femmes et des hommes se laisser aller au plaisir. Les lieux étaient souvent dans la pénombre, décoré de façon classe, dans le style d’un boudoir. De suite en entrant à droite, un bar nous attendait, un couple y est assis, un homme seul aussi. Ils étaient tous les deux beaux et semblaient aussi dans notre age, je n’osais pas trop les regarder, mais constatais que la femme massait ouvertement le sexe de son homme au travers du tissus.

Histoire de ne pas sembler trop empotés, nous prenions une coupe au bar, regardans un peu plus autour de nous en sirotant nos bulles, main dans la main, les yeux amoureux. En face du bar, juste à gauche en entrant, il y avait un salon vide que l’on pouvait privatiser. La barmaid nous informa pouvoir bouger avec nos consomation, il n’en fallait pas davantage pour que l’on s’enfonce tous deux dans ce lieu. En poursuivant, nous écartions des rideaux qui donnaient accès à une dizaine de « box », séparés tantôt par des vitres ou des barreaux qui permettaient de regarder à côté ce qui se passais. Une demi-douzaine de couples libertins, chacun de leur côté, se touchaient les sexes sans pudeurs, se parlaient, sirotent leur boisson, comme si rien n’étais. Au fond, l’un d’eux se trouvait dans un ébat plus explicite, la femme masturbait un homme pendant qu’un autre la touchait de diverses façons et relativement intimement, il avait la queue sortie de son pantalon et de sa main coulissait sur du tout du long... La pénombre nous environnait, aucune lumière ne rendait les sexes simples à distinguer, mais on voyait clairement ce qui se passais, la fille se pencha légèrement en avant et posa ses lèvres sur le gland brillant d'excitation. Sa langue lapait le gland à plusieurs reprises, tourbillonnant autour du bonbon puis elle ouvrit la bouche pour faire coulisser ses lèvres le long de la hampe fièrement dressée, et se mit à sucer cette bite avidement, sa bouche allait et venait, enfonçant à chaque fois un peu plus loin le sexe au fond de sa gorge…

Je me caressais souvent en imaginant faire l’amour avec un inconnu, puis aussi et de manière plus intense, faire l’amour avec deux hommes, de cette scène, je me voyait passer de l’un à l’autre devant les yeux de mon amoureux, me remplissant chacun leurs tours de leur sperme, le sperme est très important pour moi, je le sais, j’avait une très forte envie de sperme en mes trous, que les hommes éjaculent en moi, m’innonde, me fécondent…

Sans vraiment me rendre compte, ma main malaxait les boules de mon homme, posté en arrière me tenant d’un bras autour de moi, et de l’autre, pétrissaient mes fesses, nous restions ainsi de longues minutes…

On se dit alors qu’on devrait poursuivre notre exploration et on repasse la porte fermée par des rideaux, juste à droite, un escalier descendait. Le couloir étroit et les murs noirs étaient parsemés d’étoiles brillantes. Arrivés en bas, on se retrouvait dans une petite pièce qui semblait là, pour les couples désireux de danser, avec un pole dance et une croix de Saint-André sur le mur droit. Personne n’y était attaché, dommage… On passa par une porte à droite, il faisait vraiment très sombre, les seules lumières provenaient de fibres optiques qui couvraient le plafond et de petites lampes sur le sol. Deux pièces étaient là avec des lits assez grands pour y aller au moins à 4 à 6 couples. Justement, un couple s’étreignait, ils n'étaient pas nus, devaient avoir dans les 45 ans. L’homme était allongé avec le pantalon et son sous vêtement aux pieds alors que sa compagne le chevauchait allègrement elle avait conservé un bustier, mais ses fesses apparentes nous indiquaient que sa petite culotte avait disparu et l’on supposait que son homme était en elle, même si la pénombre ne nous le permettait pas de le confirmer. Nous les regardions, cela ne les gênaient guère. Ils se parlaient de mots salaces, s’embrassaient, se touchaient et poursuivaient leur ébat sans faire attention à nous. C’était beau...

Avec Philippe, nous échangions nos premières impressions, le lieu est beau... Les gens un peu moins, hormis le couple du bar, quelques hommes mais il y avait peu de choix encore.
On notait que l’établissement sentait bon et est très propre. Une musique genre Dance des années 80 passait sans être trop envahissante. Une atmosphère plaisante, mais pas à même de nous exciter outre mesure. En tous cas, mon chéri était très amoureux comme coutumier, tous comme moi, je me sentais rassurée, dans les galeries photos des sites web des clubs échangistes, les femmes en photo sont souvent en mode « mannequin », alors que là, on se retrouvait davantage avec des personnes que l’on pouvait rencontrer dans la rue, au physique « commun », A des moment, je n’osais pas regarder les autres couples droits dans les yeux : peurs qu’ils interprétèrent cela comme un appel, alors même je n'étais pas certaine de savoir qu’en faire.

Pour donner un peu de grain à moudre au couple en face et à notre libido, j’embrassais mon homme, avidement, pour réponse, nos angues s’enroulaient l’une à l’autre, il me faisait même basculer un peu en arrière, tendrement.
Ma jupe était courte et remontait suffisamment pour voir mes jambes jusqu’aux fesses. Il passa sa main sur le haut de ma robe et touchait mes seins, puis descendait dans une caresses frissonnantes et passait sa main entre mes jambes, qui s’ouvraient naturellement à son passage, écartait d’un doigt inquisiteur, ma fente au travers de mon string ouvert, caressait mon petit bouton, puis le titillait, s’enfonçait un peu en moi entre mes lèvres légèrement baillantes, humides, mon homme me fouillait la chatte au yeux de tous. Je m'accrochais à son cou, profitais de ses caresses et j’ajustais la pression de notre baiser, pour lui dire que j’appréciais. On se sépara un peu pour constater que l’homme avait bien suivi notre petit jeu. La main de mon Loulou avait remonter ma robe et me caressait maintenant doucement les fesses. L’homme avait les yeux braqués sur nous, espérant sans doute profiter du spectacle, il nous observait toujours, attentivement, il se frottait même de temps a autre, la bosse bien visible au niveau de sa braguette. C'est une sensation nouvelle, l’air était comme saturé d’électricité n'ayant jusque là jamais pratiquée l'exhibition, et je me l'avouais à moi même, cela m'excitais enorménent, j'étais trempée de désir, je le partageais avec mon chéri, nous nous mirent à rire en prenant cette éventualité à la légère, sachant au fond de nous que l’humour est, dans ce genre de situation, la meilleure des façades pour cacher notre nervosité.

Jusqu’à minuit, nous avons dansé sur la piste… avec une différence par rapport à un dancing, c’est que les privautés gestuelles sont nombreuses, très courantes, et très agréables pour les yeux. On a pu voir deux jeunes couples qui manifestement étaient déjà échangistes, danser comme des diables, avec des mains qui se promenaient partout, des seins qui sortaient de leur robe, des mains masculines glissées dans les fentes des jupes… Ils s’embrassaient à pleine bouche, enlacés à quatre, parfois entres filles… se caressaient les seins… et des mains traînaient vers les braguettes…Tout ça se faisait sans complexe, simplement… et je ne me suis pas privé pour danser de la sorte avec mon homme et lui de me caresser sans retenue les seins… Et manifestement, je voyais des regards bien amusés… regards qui n’étaient pas fuyants… Et je ne détestait manifestement pas cette situation, bien au contraire.

Un homme, plus âgé, a une allure virile c’etait approché de nous et très rapidement nous à montré de sa façon d'étre, courtoisie et galanterie à notre egard, il dansait et nous invitait à nous laisser porter par sa tonalité et ses rythmes. Séducteur, parlant aux oreilles de mon homme qui me fixait en souriant, l’homme vantait apriori son intérêt à mon egard, ma beauté sensuelle l’impressionnait... Envoutant spectacle, d’un érotisme brûlant dont je profitais pleinement de la situation, en souhaitant que mon homme éprouvait tous comme moi ses sensations particulières.

La musique changea, devenant plus chaude, ce cavalier qui m’attirait contre lui comme pour danser une salsa lente. Un nouveau regard entre mon homme et moi, comme si je voulais quémander une permission, qu"il m'accordait d’un grand sourire… Il dansait maintenant très... très près, une grande main sombre plaquée contre mes reins tandis qu’une autre remontait délicatement de ma hanche vers ma poitrine pour se poser sur un sein déjà frémissant.

Je ne m’opposais pas à la caresse, à même dècouvrir à y prendre beaucoup de plaisir et... mon Loulou, lui semblait ravi. Pendant de longues minutes Philippe me contemplait le corps alangui de son amour que les grandes mains caressaient lentement, glissant même jusque sous mon unique vêtement pour flatter ma peau nue. Il me voyait, moi sa futur femme, maintenant, onduler volontairement contre cette inconnu, son ventre contre le mien comme pour éveiller encore plus le désir… Je laissais même l’une de mes mains se glisser entre nos deux corps, juste pour prendre toute la mesure de la virilité de mon cavalier, sa grande main posée sur mes reins vennait de glisser au long de ma cuisse, jusqu’à l’ourlet de ma jupe et relèvant lentement le tissu léger, découvrant la dentelle de mes bas. Sa main disparaîssant de la vue de mon homme, mais qui devait certainement étre persuadé qu’elle progressait lentement sous le tissu…

Sans prevenir, je me crispais soudainement, laissant apparaître une cambrure, la poitrine rejetée en arrière, mon ventre cette fois semblait ouvert à une invisible caresse, je fermais les yeux... Mon homme savait que désormais que cette main inquisiteur vennait d’atteindre la proximité de son but, mon homme laissait faire son agresseur avec un évident plaisir… Il était en train de me violer l'intimité d’un doigt habile, au milieu de la piste de danse et je l’encourageais d’une ondulation de mes reins, allant au-devant de la caresse qui soudain me faisais vibrer...

Tout a une fin, la danse, j'ai rejoins mon homme qui c’était légèrement écarté de la piste, légèrement essoufflée, pour me laisser tomber dans le canapé afin me blottir contre lui un peu honteuse. Il m'avoua avoir beaucoup aimé cette danse ainsi que l’audace de mon cavalier qui lui semblait avoir très envie de moi. D’un air amusé, je lui confirmais qu’il avait effectivement une très… grosse envie que je n’avais rien fait pour arranger la situation, bien au contraire, reconnaissant même avoir pris beaucoup de plaisir à provoquer ces réactions comme son érection, sachant qu'il n’en serais pas jaloux.

Cette fois-ci, mon Philippe m’abandonnait pour chercher deux coupes. À son retour, il me retrouvait en grande discussion avec notre inconnue de la piste de dance qui s’était installé à côté de moi. Sa main vint se poser sur ma jambe, déclanchant une vague éléctrisante dans le bas de mon ventre, un fourmillemant me tenaillait... et la conversation continuait, presque innocente, nous buvions ensemble avec mon chérie, parfois, les yeux dans les yeux, la main repartait délicatement à la découverte d’une peau bien tentante pour elle, et ce mélange de contacts ne déplaisait à mon adorable démon.

Pire encore, nous lui laissons aller bien plus loin que la décence ne le permetait au point qu’à nouveau ma robe largement dégrafée dévoilait mes seins ronds sous leurs étoffes de dentelle, le délicieux compas de mes cuisses fermes sur lesquelles glissait la main, atteignait très vite mon triangle de douceur qui s’ouvrait comme une fleur au contact d’un doigt très habile sans que je puisse avoir envie vraiment de l’interrompre...

C’était désormais tout mon corps qui frémissait sous ses caresses alors que son autre main se posait aussi sur moi dans une lente caresse au travers du tissu qui avait bien du mal à contenir mes envies. Je me penchais sur mon homme pour l’embrasser et ce sont ses lèvres qui étouffaient mon cri lorsque la jouissance brutale me transperça, longuement, le corps tendu comme un arc.

De longs instants, je restais presque inerte, abandonnée avant de m’ébrouer comme un jeune chien, de ramener le tissu de ma robe sur mon corps nu et d’adresser un joli sourire. Philippe proposait d’aller boire notre verre tranquillement dans un endroit plus intime, le temps d’une pause que je méritais bien. La pièce couverte de miroirs ? La pause risquait d’être de courte durée mais la suite nous semblais très… prometteuse. D’autant que nous étions un peu obligés d’inviter notre voisin de canapé...

Les allées et venues des silhouettes d’une salle à l’autre, imaginant par avance ce qui allait bien pouvoir se passer sur le grand lit entouré de miroirs dans la petite pièce du fond. Mon démon adoré allait-t'il se livrer totalement à toutes nos envies, ne vivant ces instants torrides que pour notre plaisir commun ? Jusqu’où mon audace, ma sensualité et mes désirs me pousseront-elle à aller dans nos jeux de l’amour ? Mon chéri sait que j'aime être admirée, désirée, faire l’amour… J'accentuais encore plus que nécessaire le balancement voluptueux de mes hanches. Je n'étais plus sûr de la nature de cette provoquations, imaginer cet inconnu dont je devais sentir le regard brûler mes reins, mes jambes… A en éprouver, un petit picotement au bas du dos, une chaleur nouvelle au creux de mon ventre, une excitation particulière qui fesait battre mon cœur plus vite, plus fort, sachant maintenant, le pouvoir que j'avais dans ce style d’endroit, c’est le choix féminin qui reste la règle absolue.

Nous voici enfin au bord du grand lit bas. Je m’allonge à demi, en appui sur une pile de coussins avant de boire une gorgée de champagne frais. Assis à mes pieds, mon amour caresse les jambes, profitant de cet instant de calme très agréable, l'inconnu assit légerment à l"écart comme par respect de la situation intime de notre couple.

Commençait alors incessant ballet de curieux qui arrivaient et repartaient en silence. Étrangement c’est Philippe qui entama le jeu. Lentement, il me redressa en souriant, puis me positionna à genoux au centre du grand lit, dans la lumière tamisée d’un petit spot, il posait ses mains sur ma robe, longeant mes cuisses, mes flancs, remontant sur mes seins en une longue caresse au travers du tissu qui épousait sous ses doigts les courbes affolantes de mon corps sublime.

Bien qu'il connaissait par cœur la moindre parcelle de ma peau nue, il semblait resté subjugué par ce spectacle qui ne laissait que deviner la beauté de notre amour.

Il était vraiment très excité, ne me quittait plus des yeux, suivant le jeu de ses mains qui continuaient à glisser sur mon corps. Son regard pétillant se plantait dans le mien, e faisait brûlant, puis s’accrochait à mon reflet dans les miroirs qui nous entouraient, admiratif avant de me tourner, ainsi provoquante, vers trois ombres immobiles près de la porte. Comme mon homme, les inconnus m'admiraient en silence.

L’atmosphère était tendue, chargée de sensualité, d’érotisme et de désirs de toutes sortes… Les seuls mouvements dans cette pièce étaient ceux de ses mains qui entraînaient avec elles, cinq regards masculins tout au long de leur promenade sensuelle.

Encore à genoux, assise sur mes chevilles, le corps légèrement cambré en arrière faisant saillir ma poitrine, il poursuivait son petit jeu. La tension montait d’un cran lorsque le tissu glissa sur mes jambes, découvrant très largement deux cuisses galbées tandis que ses doigts jouaient avec les petits boutons qui ferment le haut de ma robe.

Ils cèdèrent lentement, laissant mon décolleté s’évaser sur la peau soyeuse de mes deux seins ronds qui n’attendaient que cet instant pour s’offrir à la caresse de leurs regards et de leurs mains que je désirais douces.

L’état de leurs virilités, je pouvais imaginer aisément à quel niveau en étaient les spectateurs inconnus, toujours immobiles à proximité de moi… Malgré un petit avertissement du regard à mpn chéri de ma prise de concsiance, il persistait, s’amusait à me provoquer plus encore. Les mains caressant toujours mes seins sous leurs étoffes, je les cambrais plus encore, le ventre en avant, puis je me laissais aller en arrière pour m’allonger sur le dos, les yeux vers le grand miroir servant de plafond qui me renvoyait non seulement mon image, mais aussi celle de mes admirateurs, toujours très attentifs.

Mes jambes légèrement fléchies s’ouvraient imperceptiblement, laissant deviner un charmant triangle de dentelles que ses doigts effleuraient comme un bijou fragile. Abandonnée ainsi, le compas de mes jolies jambes ouverte sur cette affolante humidité, les seins saillants, le corps vibrant sous ses doigts, les yeux mi-clos, la situation était véritablement démentielle.

Penché sur moi, il laissait courir ses mains sur mon corps, mes seins, mes cuisses et posait ses lèvres sur ma peau, à la limite de cette douce rivière qu'il adore avant de flatter du bout de la langue ma perle de nacre, je lui accordais totalement, largement, impudiquement ouverte à ses caresses, livrée au plaisir, à sa bouche et aux regards des hommes qui ne perdaient rien du spectacle de mon ange, de mon démon et de mon intimité.

Je me dévorait, la caresse, faufilait une main entre les globes charnus de mes fesses rondes, violant d’un doigt mes reins ondulants, j'halètais litteralement, murmurais des mots sans suite, gémissante, frémissante… Brusquement, je sursautais, me raidissais légèrement, mon attention attirée...

Ce qui n’était pas vraiment nécessaire car j’avais déjà vu mon cavalier de tout à l’heure c'était approcher et posé à côté de nous. Ses grandes mains se mirent à courrirent sur ses seins. D’une pression des mains sur mes jambes, mon homme m’incitait à me laisser aller, dévorant toujours mon ventre brûlant, je m’abandonnais déffinitive à ces plaisirs inconnus et je pouvais voir un visage se penché cherchant à déguster délicatement mon cou. Une plainte émis de ma gorge, un rale se fît entendre, tous comme petite phrase anodine qui les encourageaient à aller plus loin, encore... La main glissa sur ma poitrine, mon ventre et remplaceait la bouche de mon homme qui se redressa pour poser les lèvres sur les miennes, je sentais les longs doigts sur les pourtours de mes lèvre humides et investir mon antre dans un bruit mouillé pour prolonger mon plaisir. Spectacle sulfureux que je ne peuvais m’empêcher de savourer, tout en me caressant d’une main, l'homme dégrafait son pantalon de toile, j'avais raison, après la danse, il s’agissait bien d’une très grosse envie... Impressionnant, d’ailleurs Philippe était en train de s’en apercevoir après avoir suivi mon regard brillant, je n'y tenais plus, je laissais aller ma main vers le pieu fièrement dressé, refermais mes doigts autour de la colonne de chair alors que la main de mon partenaire fouillait délicatement mon vagin outrageusement baveux.

Mon chéri était dans la même état que son complice, je m’emparais de son sexe de mon autre main gourmande. Caressante, caressée, j'ondulais, devant eux, à me donner maintenant tout mon corps, ma tête, mon cœur, livrée entièrement aux plaisirs de l’amour, à leurs caresses, leurs regards et nos sourires mutins.

Enfin, j'étouffe un cri, le plaisir m’envahit dans une grande vague de jouissance et de tressautement. Quelques secondes de calme nous permettent d’adoucir nos caresses, de nous libérer de nos mains, très douces mais trop affolantes. Doucement, mon corps s’anime à nouveau, mon cavalier, mon homme et moi nous sommes allongées, avec tous un sourire sur le visage, ce n’était pas forcément nécessaire, vu notre état mais c’est toujours très agréable. Les caresses sont tout de même trop hard, il n’est plus question de résister longtemps à nos propres envies. Les mains sur mes hanches, Philippe m’incite à me tourner vers notre partenaire, allongé, le ventre surmonté d’une colonne de chair fièrement dressée dont mes doigts longent la tige monstrueuse, découvrant un gland rond, énorme, luisant, un filament partais de son méat pour rejoindre son ventre.

Lentement je penchais la tête en avant, frôlant le pieu frémissant de mes lèvres avant de lui offrir ma bouche brûlante en une caresse folle… Mon beau visage certainement déformé par la colonne de chair à l'érotisme à couper le souffle. Je le néttoyais de son trop plein, j'aspirais langoureusement la chair offerte comme si je voulais le vider de son plaisir. Une légère poussée de ses mains sur mes reins me décide à enjamber le corps musclé et à m’empaler lentement, profondément sur ce sexe désiré, palpitant qui emplissait doucement, totalement mon ventre en folie, m'arrachant un gémissement rauque lorsque je la sentie m’investir, distendre ma chair brûlante. Il m’emplit entièrement, butant au fond de mes chairs bouleversées, et entamais alors une danse lascive, oscillant de mes reins, de mon ventre sur ce pieu énorme qui fouillait mon corps à chacun de nos mouvements. Les plaintes s'accentueres sans que je puisse en faire autrement, il me tenais les hanches et s’enfoncait en moi à grands coups de reins. Un sexe coulant frôlait mes lèvres, celle de mon homme que je pris en bouche, le dévorais litterallement alors que, dans mon ventre un va-et-vient de cette longue et grosse queue m'arrachait de petits cris à chaque poussée en avant.


Une main caressait mes cheveux, mes épaules nues tandis que l'autre pétrissait doucement mes seins qui oscillaient comme deux fruits mûrs, prêts à être cueillis. On me baissa un peu, ce qui m’obligea à me pencher sur le torse de mon partenaire. Des mains atteignaient mes hanches, ma croupe cambrée au-dessus de mon amant d’un instant. Doucement, je sens Philippe m’ouvrir de sa langue, si proche de mon ventre investi, sa langue glissait de mon anus à la bas de mon sexe, mes reins semblaient réclamer l’ultime caresse.

Mais, ces mains abandonnérent ma peau… remplacées par deux autres dont je ne connaissais pas le propriétaire, me semblait faire cela aussi bien que mon chéri, ma nouvelle cambrure des reins mimant sans pudeur la pénétration de l’homme qui vennait de s’approcher dans mon dos.

L"inconnu fiché dans mon ventre l’avais repéré aussi et nous n’avions pas l’intention de l'en empécher. Il me tenait fermement empalée sur lui, tandis que l’inconnu derrière moi avait libèré son sexe qui se frottait sur le creux de mes fesses, il n’avais rien à lui envier, a bien trop sentir sa taille et de son état. Il frôlait mes reins, se penchait en avant, ses mains caressaient mes petites fesses rondes, écartaient les deux globes soyeux entre lesquels sa langue venait fureter, à la découverte de l’orifice le plus secret de mon homme. Un long frisson parcourait mon corps, lorsqu’il atteint son but, vrillant à petits coups de langue ma rosette sensible. C’est un doigt habile et souple qui s’insinuait en moi, m'arrachant un petit cri.

La caresse se prolongeait quelques secondes, accroissant les ondulations de mes reins… Puis l’homme se redressa, son membre raide et palpitant remplaça sa langue deffinitivement, jouait à glisser sur la chair humide. À ce contact, ma peau se couvrait d’une chair de poule annonciatrice de plaisirs sublimes. Sous les yeux ravis de mon amoureux, je devinais le gland décalotté, luisant sous sa pellicule de caoutchouc, forcer lentement mes reins pour disparaître, s’enfoncer en moi, allant buter contre le pieu qui me vrillait doucement toujours le ventre.

Il s’immobilisa un instant puis entama enfin un lent va-et-vient. Chaque poussée en avant, au creux de mes reins, ma fait basculer un peu plus sur l’énorme pieu planté dans mon ventre et sur l'autre queue me grignoter petit a petit, l'inquisition avec un infini plaisir. Livrée ainsi aux assauts de mes trois amants, je gémissais de plus en plus fort avant de jouir dans un long cri, le corps tétanisé par le plaisir, le ballet fou et délicieux qu'ils m'offraient tous, de mes sensations et des jouissances aussi diverses que délicieusement excitantes, je ne pourrais les plaisirs multiples auquels j'ai pu gouter tous au long de cette ébat. Dans un enieme orgasme qui me frappait, l’instant qu'ils choisissaient dans nos rales mélangés, pour éclater tous en moi, le premier, dans mon ventre, à sentir même au travers de sa couverture la chaleur tant la quantité déversée et de ses soubresault orgasmiques, mon amour se vida dans ma bouche, sa précieuse liqueur dont je ne perdit aucune goutte malgré la quantité de semence déversée, le néttoyant avec aplication malgré ma grande fatigue, et le troisieme, fiché au fond de mon cul, butta quelques instant encore après son orgasme, comme pour étre sûr de c'étre bien vidé les bourses...

Ils s'échapèrent tous de moi, dans de grands flops outrageant de mes orrifices garnis et liquoreux...

Des tendres instants que nous avons passé ensuite, seuls, enlacés et heureux, à nous embrasser amoureusement. Repue, comblée, heureuse, il m’avait alors offert un cadeau unique, son amour tout entier, souriant, délicat, tendrement… et bien plus encore !
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par Phildulux
#2123855
NewSteph a écrit :Quel magnifique récit, j’ai adoré vous lire, pour une première elle est plutôt bien réussi cette initiation

C'est loin d'être une première, mais merci quand même :)
par dodoseba
#2123859
Waouh quel beau récit , à un moment je me croyais pas loin de vous , à vous regardez tellement l'histoire est si bien conté , de sentir ce que vous viviez ...
En tous cas très belle expérience

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