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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours préféré la compagnie des hommes à celle des autres femmes. Petite déjà, j’aimais jouer très tôt avec mon corps. Plus grande, étudiante, je sautais d’un amant à l’autre avec une gourmandise qui ne s’est jamais démentie. Et depuis que je suis mariée à l’homme de ma vie, je ne me suis pas calmée, je suis toujours une femme à hommes, une dévoreuse de mâles, toujours en quête de nouvelles bites, de nouveaux corps de mecs pour assouvir ma libido insatiable.
Qu’on se rassure, mon mari est parfaitement au courant de ma passion pour les hommes. Il a épousé une femme chaude, et il l’accepte. Mieux, il participe ! Lui et moi formons un couple d'amour.
Nous rêvons régulièrement d'aller dans les clubs à partouze, mais aussi dans les parkings louches qui accueillent des couples avides de dogging, que mon homme me prêtent à d’autres hommes.
Femme à hommes j’ai toujours été, gangbangueuse invétérée, sous la férule d’un mari candauliste qui n’aime rien tant que de me voir prendre mon pied dans les bras d’autres mâles, pinées par d’autres bites, couverte de sperme par d’autres baisers que lui-même. Aujourd’hui, j'ai été une femme comblée le jour ou nous avons osé nous avouer nos fantasmes pour notre plus grand bonheur.

J’ai aujourd’hui quarante-huit ans. L’âge de faire un premier bilan de ma vie, et de ma vie sexuelle, puisque c’est, de loin, ce que je préfère parmi tant d’autres choses. Je ne passe pas mon existence à baiser, non, mais j’y pense presque constamment, au boulot, dans mes loisirs et même quand je dors, mais surtout grâce à mon homme, je pense au sexe.
Et au sexe des hommes en particulier, j’adore les bites, leur raideur, leur rigidité, les queues très épaisses ou celles qui tapent bien au fond, les belles queues bien longues, j’aime quand elles déchargent dans ma bouche, sur mon visage ou sur mes seins, j’aime sentir le foutre chaud sur ma peau.
Je suis très jolie malgré les années qui passent, à en croire surtout mon chéri mais aussi les regards d’hommes que je provoque en arrivant dans quelque lieu que ce soit, je plais toujours. Je suis plutôt petite, blonde foncée avec les cheveux fins, une poitrine généreuse aux belles boules rebondie.
Mon homme aime sentir en moi la femme avide, la dévoreuse de bites, la mangeuse de mâles, qu'ils veulent tous me baiser et j’adore sentir son désir. Dans leurs yeux, sur leurs lèvres et bien sûr à la rigidité de leurs queues.
L’histoire que je vais vous conter à travers les chapitres qui suivront cette introduction est une histoire vraie. C’est mon histoire. Celle d’une femme éprise de sexe, une gangbangueuse comme on dit aujourd’hui, une partouzeuse, qui est tout sauf une victime.
Car les hommes m’utilisent, c’est vrai. Comme un fantasme vivant pour certains, comme un vide-couilles pour d’autres. J’en ai conscience. Mais, rassurez-vous, moi aussi je sais utiliser les mâles comme des jouets sexuels. Cela ne veut pas dire que je ne les respecte pas. Cela veut juste dire que nous nous échangeons nos corps, le temps d'un moment de plaisir, entre adultes consentants.

Nous avons donc débarqué autour de 23h00 dans ce club des Vosges, un peu plus loin de chez nous, accueillis dans un grand sourire par la patronne, une jeune femme brune aux formes généreuses qui portait un corset qui laissait s’échapper deux nichons volumineux. Jeune, mais expérimentée, elle comprit immédiatement de quoi il s’agissait : « c’est votre première fois ? » demanda-t-elle, avec une expression rassurante, presque maternelle, sur le visage.
Cette fois, nous y étions, notre première soirée gangbang Et j’avais l’impression que les dizaines de paires d’yeux masculins braqués sur moi, dès notre entrée dans le club, m’avaient percée à jour, devinaient tout de mon trouble extrême, que tous avaient parfaitement compris à quel point j’étais excitée, à quel point je mouillais.
Pour la première fois de ma vie, je regardais chacun des clients du club, chacun de ces hommes, les uns accoudés au bar, les autres assis patiemment sur de hauts tabourets, comme une consommatrice regarde un étal de marchandise. J’étais prise de cette impression de toute puissance, j’avais conscience d’être celle qu’ils attendaient, et que je pourrais choisir, et consommer chacun de ces mâles selon mon bon vouloir.
Il fallait tout de même que je me méfie, car mon mari, lui, semblait bien moins à l’aise. Je le pris par la main pour me coller ensuite contre lui, et échanger un baiser langoureux avec lui. J’ai toujours adoré les baisers de mon homme, ses caresses, son désir. Mais cette fois, sentir se mains se promener sur mes fesses, tandis qu’une foule de mecs nous reluquait, me transportait encore davantage.
Cette fois, excité par les caresses de ma langue sur la sienne, mon homme était partant. Et moi aussi, cela allait sans dire. J’avais envie de dévorer chacun des gars présents dans le club. Ce fut mon mari qui me prit par la main, m’entrainant vers les alcôves de l’établissement, d’où s’échappaient quelques râles de plaisir masculin et quelques hurlements de femme. Je n’étais pas la seule libertine présente à cette soirée gangbang quand nous sommes arrivés, suivis de deux hommes en rut, dans les parties privées du club, nous sommes tombés nez-à-nez avec une femme, très mince, du même âge que moi, prise en levrette tandis qu’elle suçait un à un les autres de ses assaillants. On aurait pu croire que tant de mecs auraient pu casser en deux cette dame, filiforme comme une brindille.
Interpellée par le brouhaha des hommes qui me suivaient, elle tourna alors la tête vers moi et, dans un sourire vicelard la salive dégoulinant sur ses lèvres ouvertes, elle tendit alors la main vers la mienne et nous attira, mon mari et moi, vers elle et vers ce lit immense où les types déjà présents nous firent un petit peu de place. Déjà, des queues se frottaient à la peau de mes cuisses. Il était trop tard pour reculer, et, quoi qu’il en fut, j’avais trop envie de pousser l’expérience jusqu’à son terme. Je n’eus pas le temps de dire ouf. Alors que le mec planté dans le con de la femme la limait avec une énergie incroyable, alors, petit à petit, j’ai accepté de livrer mon corps au mains de mon homme, il m’a lentement déshabillé, embrassé tendrement, passionnément je me sentais comme une jeune adolescente. Mon esprit lui faisait confiance, et mon corps s’ouvrait à lui. Il m’a caressée, massée, effleurée, et les frissons de plaisir que je croyais dissimulées au fond de mon esprit sont devenu réalité. J’ai creusé mes reins, mon sexe s’est ouvert et je l’ai laissé faire. Il a fini par me retirer ma culotte sans dégrafer mon soutien gorge. Je me suis retrouvée les cuisses ouvertes, la chatte offerte à sa bouche, il maitrisait parfaitement le langage de l’amour physique. Ses caresses ont duré longtemps, puis j’ai senti sur la langue sur ma vulve. Les yeux fermés, j’ai savouré la douceur de sa langue glissant au creux de mes replis et de mes lèvres, aspirant mon clitoris gonflé de désir. Alors, je me suis sentie femme.
Un homme doté d’un superbe membre, épais et long comme je les aime c'est approché de ma tête.... Délicieux.
... oui je l’avoue, je suis hédoniste et j’aime par dessus tous, sucer mon homme, c’est jouissif pour lui, ça l’est tout autant pour moi, j’ai toujours une folle envie de le sucer. Je tourne autour de son gland, lèche avec volupté le méat. Quelques va-et-vient et je pose ma langue sur ses bourses gonflées qui frissonnent et se contractent et dans le même temps son phallus se met à vibrer, je joue de sa verge de longues minutes. Alors, je l’enfonce plusieurs fois au fond de ma gorge mais il ne veut pas jouir. Ses mains parcourent mes jambes, caressent mes fesses, puis il me masturbe, c’est très bon. Il pince le bourgeon, je gémis. Je suis fin prête à le recevoir, alors à son tour, il me prodigue le plus intense des cunnis...
Sous un regard mutuelle avec mon maris, j'ai pris ce sexe en main, bien consciente de l'envie de prendre en bouche, j’ai masturbé son phallus, palpé ses bourses puis, l'attirait vers ma langue avidement a recueillir une goutte qui perlait. Il avait une superbe érection qui me faisait trembler de désir, j’aimais son goût, ses mains délicates sur mes cheveux, sur ma nuque, sur mes seins pendant que je le suçais...
Poussée par je-ne-sais quelle force mystique, le visage de la gangbangueuse, d’où j’avais vu entrer et sortir au moins trois bites différentes, plongea vers mon sexe à son tour et je sentis sa langue laper la cyprin abondante, qui s’en échappait. Pour une première fois, j’avais trouvé une complice, une libertine expérimentée dont chacun avait compris qu’elle me proposait une initiation au gangbang et à la pluralité masculine.
Elle en connaissait les codes, les limites, et surtout les hommes. Et je ne saurais dire à quel point je me sentis rassurée par sa présence. Tandis qu’elle me léchait comme une damnée, je jetais un coup d’œil autour de nous. Il y avait là quelques mâles prêts à nous satisfaire, l’une ou l’autre, et autant de queues, beaucoup de mains dont certaines, déjà, avaient trouvé le chemin de mes seins au travers de mon soutiens gorge.
Quand elle ficha sa longue langue entre mes lèvres du bas, je me résolus à lâcher entièrement prise et, tandis qu’un mec inconnu me proposait une nouvelle belle bite à sucer, je partis pour un premier voyage au doux pays de l’orgasme. Très vite, l’initiation au gangbang, à proprement parler, débuta. Interrogeant constamment du regard mon mari, la libertine posait les capotes sur les pieux des hommes, les dirigeait vers moi, mon homme leur demandait de la douceur à mon égard. La libertine revint vers moi, m’enjoignant de me retourner, sur le dos, pour subir le prochain assaut, pour une première soirée gangbang, j’allais être servie. Je les vis, au moins cinq ou six, la bite déjà encapotée, attendant leur tour. Je pris alors la position dans laquelle je l’avais vue, au tout début, à quatre pattes, le cul tendu vers un membre viril, la bouche disposée à accueillir les autres. Au départ, j’étais loin d’imaginer cette soirée, mais là, en les voyant les queues dressées, j’ai eu soudainement d’autres envies. Je n’avais plus aucun contrôle sur moi-même. Je ne me laissais guider que par mes envies. Tout mon corps était commandé par mon sexe. Ma chatte ne demandait qu’à être comblée pour que mon corps arrive à exploser dans un grand feu d’artifice.
Alors qu’un premier assaillant s’emparait de ma chatte, il poussa doucement, augmenta la pression de son membre et s’enfonça en moi, je m’étais mise à gémir en le sentant glisser dans mon vagin trempé de désir, nos respirations se sont accélérées… J’ai joui après seulement quelques pénétrations. Une sensation vertigineuse qui m’a fait exulter de bonheur. J’étais enfin emportée par un sentiment d’euphorie charnelle.
j’engloutis avec avidité l’une des queues qu’on me tendait. La libertine et mon chéri s’assirent de part en part alors à côté de moi. De leurs mains, ils me caressaient mon dos et mes fesses, de l’autre, elle avait saisi la queue raide de d'un homme. Elle commentait : « tu vois, ma belle, tu vas leur faire plaisir, à tous. Et c’est ça qui va vous faire jouir, être l’objet sexuel de tous ces beaux queutards ».
Elle le savait, ses propos m’excitaient encore un peu plus. J’avais l’impression de me voir moi-même, baisée comme une chienne par cette flopée de mecs dont j’ignorais tout, et qui ne savaient rien de moi. Elle cessa un instant de parler, pour se mettre à pomper la queue qu'elle tenait, qui n’avait pas un regard pour elle, il ne matait, moi, tremblante sous les coups de boutoirs des clients du club.
Je sentis de la fierté dans le yeux bleus de mon mari. Mes lèvres étaient déformées par le gros membre, et j’essayais au mieux de le coller jusqu’au fond de ma gorge.
Le premier homme se retira de mon con, mais resta planté derrière moi. Je compris qu’il était en train de retirer son préservatif, pour se répandre à grands flots sur mon dos nu, son sperme coulait sur mon anus, pour rejoindre mes lèvres intimes. L’imitant, l’un de mecs que je tenais en bouche gicla à son tour au fond de ma gorge. Un autre pris place, plus gros, je pouvais sentir chaque centimètre de sa queue me pénétrant, ma chatte se contractait autour de son sexe et que je me sentais bien, remplie, tout au fond, il s’affairait sur ma chatte totalement offerte et trempée de mes sécrétions mélangées au jus du précédant, une queue pris place devant ma bouche, je suçais, il limait mes lèvres, il ne fut pas long à venir et un flot chaud de foutre m’envahit la bouche. Une sensation indéfinissable, j'avais l’impression non pas d’avoir une queue en moi, mais deux, qui besognait ma chatte , mon orifice était dilatés, je luttais pour ne pas hurler de bonheur, j’étais dégoulinante, on ne m’avait jamais baisé comme ça et c’était plus que bon. Les mots crus fusaient de ma bouche, je ne savais plus ce que je disais, je me sentais chienne sous mes gémissements haletants qui recommençaient rapidement à s'accélérer de mon vagin dilater comme jamais sous ce mandrin, j'explosais dans une fontaine de jouissance comme une démente et mon corps tout entier fut agité de longs soubresauts. Je jouissais en saccades décroissantes en intensité après avoir agrippé le poignet de mon homme et l'autre m'imposait son rythme saccadé, et c'était un plaisir de la faire durer, accompagnant sa descente de son septième ciel, de façon imperceptible, je poussais de petits râles aigus qui témoignaient de ma jouissance continu. Il ne tarda pas à stopper ses va-et-vient, je m'imaginais voir ses couilles se friper en venant une dernière fois cogner contre mon périnée, mais tous comme le précédent il se retira de mon con sous un flope immonde, resté béant, et éjacula sur mon dos, atteignant mon cou de sa première giclé, il m'inonda la raie des fesse et l'entrée de ma vulves et mon clitoris, c’est à ce moment précis que tout d’un coup un orgasme fulgurant a inondé tout mon être.

Je m’approchais de mon mari, mes mains entachées de sperme glissaient sur sa peau, il me caressait le minou complètement souillé de mon jus mélangé aux autres, j'étais encore très excitée comme je ne l’ai jamais été auparavant. Une queue nouvelle s’empressa de m'enfiler la chatte que je devinais baillante, laisse apparaître mes chairs roses pendant que je me faufilais vers son entrejambe, son sexe avide de caresses semblait me supplier, je tétais d’abord le gland poisseux en des mouvements longs et doux, je glissais ensuite ma langue entre son gland et son prépuce, il en gémissait de plaisir. Le frein était toujours un endroit idéal pour de fortes pressions avec la langue, je ne me gênais pas pour le régaler ! Rien ne vaut de bons coups de langue sur la hampe, de la base jusqu’au gland. Je lui gobais aussi les testicules, prenais son sexe entièrement, il en redemandait, je ne pensais plus qu’à sa queue, je lui léchais les bourses, son anus lisse et doux, immisçant ma langue au plus profond, et remontais vers le gland, je redescendais, je remontais. Dans mon dos, ça claquais contre mon clitoris et mes fesses, il me fourrai le pieu sans difficulté dans ma vulve béante, l'excitation remonté, j'entamais un roulement de hanches en écartant les jambes au maximum et me laissais aller à la copulation.... J’engloutissais l’engin de mon bien aimé sous mes gémissements étouffés... le contact de ma langue sur la paroi de son phallus était un vrai délice, je le suçais avec ardeur, J’enfonçais sa verge le plus profondément possible. Mes seins tressautaient à chaque impact, tout mon corps vibrait, mes brames emplissaient le lieu, je griffai les cuisses de mon homme, les flancs, les fesses en couinant de protestation pendant que l'autre me ramonait jusqu’à mon tréfonds en me houspillant, sa virilité féroce me mettait en pâmoison. Je sentais venir mon mari, je nous sentais venir... l’imminence orgasmique, il craqua et dans un cri rauque leva les yeux vers moi, et se laissa aller à l’extase. Je plaçais mon visage en face du jet de sperme chaud qui atteignait ma bouche, mes joues, mon visage. Un orgasme dévastateur me prit des orteils à la nuque, j’eus quelques spasmes violents qui enserrèrent la queue qui me ramonait, sans pouvoir m’empêcher de crier ma jouissance au moment de mon orgasme
l'inconnu se retira et éjacula copieusement sur mon dos de sa semence brulante... comme s’il avait expulsé son agressivité avec le foutre, j’en avais jusque dans les cheveux.
Je regardais alors intensément mon homme dans les yeux, j’avalais une dernière fois son gland avec délectation lui suçant la dernière goutte jusqu’à la retombée du sexe.
Il m'attira à lui, me collant à lui amoureusement, comme pour le remercier de cette première expérience, nous sommes restés dans les bras de l'autre un long moment dans une grande tendresse, mélangeant nos langues et nos salives. Après quelques minutes nous sommes allés sous la douche, ou de nouveau, nous nous sommes embrassés longuement...
J’ai baisé une partie de la nuit, avec tant d’hommes que je ne saurais dire leur nombre. J’ai perdu de vue cette femme, mais je tiens ici, à lui rendre hommage. Si je n’avais pas vécu cette fabuleuse initiation au gangbang, sans doute ma vie sexuelle aurait été terne. Mais, grâce à elle, et à mon homme, je suis devenue une chaude épouse, assumant chacun de mes désirs avec mon homme, la libido à fleur de peau.
#2131300
Wouhaou !
Merci, tout simplement merci de nous livrer ce ressenti.
Une expérience fabuleuse a te lire, un partage avec ton mari intense et de la jouissance avec tous......
Rare son les récits féminins de gangbang, celui ci est très intéressant.
J'ose imaginer que c'était le premier mais pas le dernier ....... ?

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