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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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par Bimboowner
#2194041
Ma fiancée et moi avons eu une relation candauliste il y a quelques années. Je reviens sur ces événements, m’efforcant de rassembler tous les détails. Les épisodes suivants arriverons progressivement.


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Je suis dans ma maison d’enfance. C’est en Bretagne. Une bonne quinzaine de potes sont là depuis ce matin. Nous nous sommes organisé un petite semaine entre amis. On chill tous dans le jardin. Certains font un molki, d’autres un ping-pong. Je prépare des apéros autour de la table du jardin avec 4, 5 potes. Nous sommes en plein mois d’août, la journée est clairement sous le signe de la farniente. Entre deux blagues lourdes et hilarantes, je sens mon portable vibrer. Je me lève, j’essaie d’être naturel et m’écarte du groupe car je sais très bien ce que c’est. Une fois à l’écart, j’ouvre mes textos et je vois deux photos. Elles ont été prise il y a quelques minutes dans une des chambres au 2ème étages. C’est la chambre où je dors avec ma fiancée.
Sur la première photo, je la vois, à genoux, face contre-terre. Elle est toute cambrée, avec les cuisses bien écartées et le cul, braqué en plein vers la caméra. Ses épaules et sa tête sont sur le sol, loins, au second plan et avec ses mains elle s’écarte les fesses complètement pour laisser voir son plug préféré, bien logé dans son trou du cul. La photo est symétrique, en plongée et incroyablement crue. C’est le cul de ma meuf, vu d’au dessus, accueillant, disponible et totalement à la disposition de l’homme, debout qui a ma fiancé à ses pieds. La photo est parfaite.
Sur la deuxième, elle est à genou encore, mais retournée et redressée. Elle regarde droit dans la caméra. La queue du photographe est grosse, à peine dure et est enfoncée au fond de la bouche de ma petite pute. Son visage est allongé, rougie, la bouche déformée par sa grosse bite. Je sens qu’elle est gênée, elle me regarde moi et en même temps chaude comme la braise. Elle a l’air à la fois interrogateur, mal-à-l’aise, un peu honteuse de ce qu’elle fait. Et à la fois extrêmement excitée par la situation, avec un sourire en coin et les yeux brillants.
J’esquisse un large sourire. J’ai une gaule plus que naissante et quasi instantanée. J’ai le bide qui me brûle à cause de l’excitation. C’est exactement ce que je lui ai demandé de faire. Elle a suivi les instructions à la lettre et dans le temps imparti. C’était un défi. Quelle bonne petite chienne! Je la sens à moi et j’ai rarement senti ça à ce point. Je me dit que c’est ma chienne, qu’elle est à moi, en la regardant sucer goulûment la queue d’un pote, d’un autre que moi. C’est un paradoxe qui est tout bonnement jubilatoire. Je suis un mélange de fierté et d’excitation.
Je retourne vers la table avec tout le monde, me re-melange dans le groupe, dans un décalage émotionnel que je peine à estomper. Je participe, essaie d’écouter les blablas et les blagues, en sachant qu’au moment où je me resserre de gin tonic, ma petite pute doit sûrement être en train de se faire défoncer le cul sur le tapis de ma chambre, là, à quatre pattes, et qu’elle doit sûrement être en train de se bouffer la joue pour ne pas jouir comme une salope soumise.
Personne n’a la moindre idée de de ce qu’il est en train de se passer juste au dessus, au deuxième. Je savoure mon Gin-To. J’ai un énorme sourire aux lèvres et des images qui tourbillonnent dans ma tête, c’est vertigineux.

Je suis avec ma fiancé depuis une petite quinzaine d’années. Nous sommes très complices, très amoureux, très heureux. Notre relation sexuelle est basée sur un rapport dominateur-soumise qu’on explore jour après jour.
1,70cm, fine, brune aux yeux verts, un corps de rêve. Elle s’appelle L et c’est objectivement ce qu’on appelle une bombe.
J’adore la baiser et depuis quelques temps j’adore aussi l’imaginer baiser avec d’autres mecs. Du fantasmes et des idées floues et attirantes, c’est devenu peu à peu une réalité. Tout ça c’est passé très progressivement, étape après étape, dans une inimité et une complicité que je n’imaginais pas.
Ça a commencé après une bonne baise et pour bien comprendre, il faut revenir 3 ans en arrière.
Un soir, chez elle, pile entre un orgasme et la sommeil, elle m’avoue après la fameuse « Et toi, c’est quoi le fantasme que tu aimerais le plus réaliser? » qu’elle adorerait se faire prendre par plusieurs mecs. Moi, et des amis. Elle me dit que l’idée d’être au milieu de plusieurs bites, toutes dures et excitées et là rien que pour elle, était une pensée qui la faisait vibrer.
C’est un fantasme qui me plait aussi, beaucoup même. La voir se faire assaillir par plusieurs hommes, excités et décidés à se servir de son petit corps pour se vider et se soulager de leur pulsions, en la baisant, l’enculant, la fessant et enfonçant leur queue au fond de sa gorge, est une image que j’adorais. J’adore la voir sexualisée, demandeuse, soumise, souillée et satisfaite malgré tout.
A ce stade et parce que j’adore la faire progressé dans sa propre luxure, je suis enclin à réaliser son fantasme. Mais passer d’une confidence sur l’oreiller à la réalité n’est pas une mince affaire. Comment? Avec qui? Un ami ou inconnu? Comment amener le truc? Est-ce que ça pourrait détruire ce qu’on a? Il y a-t-il des précautions à prendre? Ha oui il y a aussi des putains de MST à prendre en compte... Toutes ces questions sont autant de freins qui ne se pose pas dans les fantasmes et c’est précisément ce qui rend les fantasmes aussi simples et agréables.
Après avoir longuement réfléchi, je dois avouer que ça me prit plusieurs semaines, je lui dit que ça pourrait se faire et je lui évoque S. Elle trouve l’idée excellente. S est mon meilleur ami d’enfance. Il est célibataire, proche mais habitant en province donc pas dans notre groupe de pote, plutôt bien foutu et assez branché par notre vision du sex. J’en ai parlé quelques fois avec lui et la domination et le « kink » sont des trucs qui l’intéresse. Et surtout, je suis très à l’aise avec lui et j’ai une totale confiance. Elle le connaît bien et trouve l’idée excellente. Il est pour elle ni trop beau (risqué), ni trop laid et elle se sentira à l’aise avec lui pour une première. Je n’ai plus qu’à poser la question à S mais vu ma proximité avec ce gars, ça ne me pose aucun problème.
Quelques jours après cette conversation, nous nous retrouvons dans l’appartement d’une amie pour une nuit. L le garde, j’ai clairement oublié pourquoi mais c’est sans importance. Je suis affalé dans le canapé du salon pendant que L me suce la queue. Elle s’applique et se donne à fond comme à son habitude. Cette histoire d’inviter un autre homme m’avait pas mal habité et pour ne pas que je me sente lésé ou jaloux, ce qui pour moi était le piège à éviter, il me faudrait avoir un contrôle totale sur la situation. J’ai envie de lui imposer l’expérience, qu’elle n’ai pas le choix et que ça se passe exactement comme je l’entends. J’ai donc mon idée en tête sur comment amener les choses et cette soirée est un cadre parfait. C’est cash mais ça peut être très excitant et bien annoncer la couleur.
Pendant qu’elle me suce comme une chienne, en salivant et en poussant des petits gémissements comme je lui ai toujours appris, je sors mon téléphone et appelle S. Je ne sais pas s’il entend les bruits de suction qui se passent au bout de ma bite mais L me fait des petits sourires gênés, s’imaginant que oui. La situation est parfaite pour amener le truc... Après les « ca va et toi » usuels j’en viens vite au fait et lui demande, tout en regardant L droit dans les yeux, s’il serait intéressé à l’idée de venir baiser L avec moi un soir. Pendant qu’il rigole au téléphone, ne me prenant évidemment pas au sérieux et que j’insiste sur le bien fondé de la proposition, je vois L rentrer dans un état second. Un fin mélange d’une immense gène et d’une excitation débordante. Elle est rouge, fébrile, excitée, souriante, tout en continuant de me pomper la queue vigoureusement. Je crois que surtout c’est ça qui trahit le plus son excitation. Je peux clairement lire dans ces yeux « T’es pas chier! Mais putain j’adore ça! ».
Face à mon calme et mon insistence, S sent rapidement que je suis très sérieux et me répond que ça l’intéresse, grave! Qu’il est dans une phase assez libertine en ce moment et que l’idée de venir défoncer L, le fait bien kiffer. Aussi, il profite de cette conversation pour me faire part de son goût pour ma copine, chose délicate à avouer mais que le cru de la situation fait pourtant passer pour une tape dans le dos.
On convenient donc de se rappeler la prochaine fois qu’il passe à Paris...
LeShadowStag a liké
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par Bimboowner
#2194385
Nous sommes en début de soirée. La table est dressée pour un dîner à trois, excepté le pinard qui doit être apporté par S. Il est à paris pour quelques jours. Le boulot l’a fait se déplacer.
L est habillé avec un débardeur blanc et un mini short American Apparel. C’est un short qui lui arrive presqu’au milieu du boule. Le genre qui laisse voir le pli des fesses et dont honnêtement je raffole. Elle ne voulait pas la jouer trop pouffe. C’est une première, je comprends sa nervosité. Je n’insiste pas trop. Tout s’annonce plutôt bien à part qu’L a ses règles mais vu que la présence de S a Paris tient de l’exceptionnel, on a décidé d’organiser le dîner coûte que coûte. Ça commencera par une simple pipe. Il y a un début à tout. L est assez nerveuse, le sent pas trop, me pose plein de questions, a besoin d’être rassuré. Elle est de nature assez anxieuse, j’ai l’habitude. Je la calme du mieux que je peux et lui explique que ça va être mortel. Elle qui s’inquiète et moi qui la rassure est un jeu classique entre nous.
S arrive, pile à l’heure et s’installe. On se pose, on rigole. L’ambiance est assez détendu. Ça a toujours été très fluide avec S. C’est un mec très à l’aise, très avenant avec qui les rapports sont toujours simples et saints. Malgré ça on sait très bien pourquoi on est là. On sait que dans peu de temps L aura la bouche remplie par nos queues et ça pose un léger embarras mais qui reste plus amusant qu’autre chose. L’alcool dans ces moments là est tout simplement une bénédiction. La complicité monte. On demande à L de se baisser quand elle se lève pour des raisons évidemment merdique, ce qui nous fait sourire. L’ambiance est plus évocatrice et donc se détend.
À la fin du dîner, faut quand même se jeter à l’eau et c’est à moi de sauter. Je mets un coussin par terre, à mes pieds et lui demande purement et simplement de venir me sucer. Un sourire s’échange. C’est direct, voire carrément lourd mais S a l’air soulagé ou impatient que le sujet se pose! L est nerveuse, je le sens. En se faisant un peu prier elle s’approche doucement et commence à se mettre à genou. Je l’arrête et lui dit: « attends attends, les invités d’abord! ». Je suis beaucoup plus excité à l’idée de voir ma petite pute sucer un autre mec que de me faire sucer devant un autre mec. Je pousse le coussin vers les pieds de S qui est à ma gauche dans le canapé. Elle se met à ses pieds et s’agenouille. Je la sens assez mal à l’aise. Elle sort sa queue et lui demande comme pour un répondre à un besoin grandissant de se rassurer « T’es sur que ça te dérange pas!? ». Il réponds un non amusé et posé. Elle se penche et bouffe sa queue à pleine bouche.
Elle le suce avec vigueur et non sans envie. S penche la tête en arrière et lâche un « oh putain...» je me rempli de fierté fasse à ce spectacle nouveau et me rend compte que c’est précisément ça que je recherche dans l’acte de prêter ma meuf. Cela fait une bonne dizaine d’années que, par nos jeux, je la dresse à être un bon fucktoy, que ses progressions, pourtant notables, s’édulcore dans le bain des années et la voir appliquer tout son talent et sa sexualité sur un autre homme, me fait voir objectivement la femme que je forme depuis tant d’années et qui est aujourd’hui devenu la chienne de mes rêves. C’est comme si je la voyais sous un nouveau jour et un jour au combien radieux.
L suce la queue de S. Elle s’applique. Fait de son mieux pour le satisfaire. Son commentaire la enjouée. Elle sait aussi que je la regarde et je pense qu’elle sent le poids de mon regard. On échange un petit sourire avec S. Je sens qu’il jubile et qu’il me félicite.
Le spectacle dure et il est bandant. J’ai envie qu’elle vienne. Je lui lance un « viens me sucer ma petite pute ». Elle laisse S avec un dernier petit filet de bave et se retourne vers moi, je suis déjà debout à côté d’elle et me suce de toute ses forces. Je sens que ce rôle la met plus à son aise: me sucer moi et se donner en spectacle devant un pote.
Elle plonge ses yeux dans les miens, me sourie avec envie et se cambre de tout son dos pour que S puisse avoir la meilleure vue sur son cul. S lui enlève son mini short et elle se retrouve en string ficelle. Elle reprend sa position, se concentre et s’applique. Ses yeux ne quitte pas les miens. Elle se délecte de ma queue, ses deux mains me massent les couilles. Celles de S lui parcourent le cul et les seins. Je me penche lui mets une bonne fessée, ce qui ne manque pas de lui faire lâcher un délicieux gémissement. Je sais qu’elle aime ça et je veux montrer à S que c’est une fille qui peut être très intimidée mais que c’est la promesse d’un énorme potentiel, dont je goute abondamment depuis des années. S sort son tel et commence à filmer. Au bout d’un petit moment pour divertir la scène et aussi parce que je veux montrer à S de quoi elle est capable, je plonge mes deux mains dans ses cheveux, empoigne tout ce que je peux et commence à lui pistonner la bouche. Elle se penche un peu plus pour allonger sa gorge, ce qui mécaniquement la fait se cambrer encore plus et je baise de plus en plus violemment sa bouche, qui ressemble de plus en plus à un trou à bite. S se lève. Je crois qu’il ne tenait plus. Il se lève et se tient debout près de moi. L se redresse légèrement prend sa queue dans la main, la mienne dans l’autre et alterne entre nos deux bites. Elle est au centre de l’attention. Elle excelle. Avec S on se fait un petit sourire, on parle de la chienne qui est au bout de nos queues, presque comme si elle était pas là, on la biffle, la traite un peu, de ces termes qui dans la baise sont toujours pile-poil entre l’insulte et le compliment. S est plutôt débutant mais se débrouille à merveille dans le jeu dans la domination et de l’humiliation. Son attitude est corsée mais reste toujours assez douce. On regarde le spectacle, on fume une clope et surtout on l’a regarde. On la regarde pomper nos glands, nous sourire, faire du bruit, passer d’une bite à l’autre. Elle est vulgaire, sexuelle et débordante d’énergie. Quand le moment vient on lui dit qu’elle va bientôt se faire recouvrir l’intégralité du visage. Euphémisme qui lui provoque un grand sourire, Elle se lève précipitamment et part chercher des fausses lunettes de vue. Le sperme dans les yeux lui fait mal. Elle a trouvé un remède plutôt bandant: des grosses lunettes de secrétaire. Elle s’accroupit à nos pieds, les lunettes sur le bout du nez, la bouche grande ouverte et la langue pendante. On se branle simultanément, tous les deux en sa direction. Elle nous masse les boules et ça ne prend pas longtemps. Elle se prend une grosse ejac faciale qui la recouvre du haut des verres jusqu’au menton avec un grand sourire comme si satisfaire deux hommes la rendait tout simplement deux fois plus fier. On gémit, lourdement et elle autant que nous.
Après ces émotions, nouvelles pour tous les trois on redescend, calmement. On fume une dernière clope, déplie le canapé pour S et on part se coucher. Je suis allongé dans le lit, avec L au fin fond de mes bras. J’ai l’impression qu’elle a trouvé un nouvel endroit sur mon épaule tellement je la sens près de moi. Collée n’est même plus le mot. J’adore. Je la sens s’endormir et moi je repense à ce que j’ai vu, à quel point ça m’a plu et à l’infinité de scénarios et de scènes incroyablement bandantes qui s’ouvrent à nous. Je m’endors, rêveur et souriant, la main sur le cul de ma pute.
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par Bimboowner
#2194701
Dans le fond, j’ai toujours été candauliste je crois. Sans mettre de mots dessus, cette pratique m’a toujours parut naturelle et excitante. Avec Poupée (c’est le surnom que je donne à L et donc comme ça que je l’appellerai désormais) on est depuis longtemps attirés par la bimbofication, pratique qui consiste à jouer à transformer sa meuf en pouffe clichés, écervelée et sur-sexualisé. C’est un truc qui se vit dans l’intimité d’un couple mais qui peut aussi s’explorer en extérieur. Quand on sort, j’aime lui choisir ses fringues. J’aime qu’elle soit très sex, à la limite de la bienséance. J’ai un faible pour la vulgarité aussi je dois l’avouer. Je lui apprends à rouler du cul, à être légère, à ne jamais refuser une avance. Cette putification entre nous prenait sa voie publiquement, impliquant les autres, et plus particulièrement les hommes et ça me paraissait logique et bandant. Quand elle croisait dans son boulot des types qu’elle trouvait sex elle devait se demander si elle préfèrerait qu’ils la baisent, l’enculent ou qu’elle les suces. Peu importe le nom que ça porte, sur-sexualiser Poupée et voir cette énergie se déferler sur d’autres mecs et un truc qui m’excite énormément. En plus de l’excitation, il y a de la fierté qui s’en mêle, de la complicité et un brin de compétition. La voir au centre des envies, faire d’elle un objet sexuel, un objet de désir sont des trucs qui nous font vibrer, elle comme moi et c’est ce genre de coïncidence qui me font dire que je suis sacrément verni.
Je suis donc beaucoup plus candauliste que cuckold. L’excitation n’est pas de me faire dépasser et donc soumettre par ma « compagne » mais plutôt d’éduquer ma petite pute, de lui ouvrir encore d’avantage l’esprit et les cuisses, lui apprendre à contenter d’autres hommes.

L’histoire ne s’arrête évidemment pas là mais les événements se mélangent dans ma tête et la description de ces récits exige une sacré précision et une connaissance pointue des détails. Ça c’est passé il y a plusieurs années. J’ai demandé à S de m’aider sur la chronologie. Je couche ça dès qu’y vois un peu plus clair. D’autant que la suite monte en puissance...
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par Bimboowner
#2194990
Cette première aventure nous a plu. Énormément même. Elle nous a rassuré, nous montrant que c’était finalement très simple, presque naturel. Mais nous avons été un peu frustré aussi, il faut l’avouer. Même la meilleure des pipes reste des préliminaires et vu cet avant goût on a hâte de passer aux choses sérieuses. Après quelques échanges avec S et Poupée, on se dit qu’il nous faudrait remettre ça. J’attends donc patiemment l’occase et c’est quelques mois après que mes parents, partant en voyage annuel, me demande de venir en Bretagne garder leur maison. C’est ma maison d’enfance. Elle est grande en pleine campagne et avec plein d’animaux. Le genre de baraque qu’on ne peut pas laisser vide pendant trop longtemps. Entre les congés possibles et la venue de ma petite sœur, je repère 2 jours où nous pourrons être seuls avec Poupée et S. Poupée peut. S aussi. Échanges de quelques textos évocateurs. Tout le monde à l’air chaud et impatient.
Les quelques semaines passent, le jour J approche. On est dans le train et S nous attend avec sa caisse à la gare pour faire les derniers kilomètres. C’est comme d’hab, cool et chaleureux.
On arrive dans la baraque, on pose nos affaires et on se retrouve vite dans le salon à boire un verre, discuter et plaisanter. Je suis désolé à ce stade mais ni moi, ni S ni personne ne se souvient de comment le truc est parti avec exactitude. Le souvenir le plus tôt que j’ai est que je retourne dans le salon, après être chercher un truc et je vois S debout, le pantalon aux chevilles et poupée à genoux, gobant sa queue a pleine bouche. S me regarde, un grand sourire au lèvre. Amusé autant je pense par le cocasse de la situation que par l’attitude entreprenante de ma chienne. La vision est incroyablement érotique. Les souvenirs sont ensuite vagues. Je n’ai plus les détails mais plutôt des images. Moi, assis sur le dossier du chesterfield, Poupée me suçant la queue et se faisant bouffer la chatte par S. S assis dans le canapé, la bite dans la bouche de Poupée, moi derrière, en levrette lui défonçant la chatte. Je me souviens que les coups de reins lui provoquaient de lourds gémissements et par la même des bruits de bouche car forçant la queue de S au fond de sa petite gorge. Je découvre les joies du plan à trois en somme. Ses fesses claquent sous nos fessées, à ce stade, les insultes et les compliments fusent. J’observe S qui se lâche et qui se permet d’être de plus en plus dominateur. Je lui envoie tous les signes possibles d’accord et d’encouragement.
Je ne me souviens de rien de plus de cette soirée.
Le lendemain est assez tranquille. Nous partons pour faire des courses. Je fais mettre à poupée une mini jupe et des talons, le genre de tenue qui font que les gens se retournent dans la rue ou vous regarde du coin de l’œil avec des idées pleins la tête. Et elle se promène avec 2 mecs. J’adore la sentir psychoté, s’imaginant que tout le monde se doute, qu’elle se fait prendre comme une chienne par ses deux types. Elle est très mal à l’aise et en même temps excitée. Normal. Et avec S, ça nous éclate! Poupée, toute rouge, nous dit que c’est pas drôle, avec un grand sourire en coin.
Le soir arrive vite et on se retrouve devant un film. Je suis allongé avec ma fiancée dans un canapé, S est dans celui d’en face. Je dis à poupée, dans l’oreille, de demander à S s’il a envie de se faire sucer la queue. Elle est du genre très mal à l’aise quand il s’agit de prendre part à son dévergondage. Si elle est passive et que les choses arrivent à un rythme progressif, elle peut aller très très loin et accepter beaucoup de choses. Mais assumer, devant autrui la chienne qu’elle est, est une toute autre histoire. J’aime ce qu’elle peut devenir. Mais j’aime aussi beaucoup ce qu’elle est et le passage de l’un à l’autre est un spectacle qui n’a pas de prix.
Elle ne veut pas, n’ose pas. Elle adorerait pouvoir mais la timidité la gagne. Je lui dit de me sucer, qu’elle n’aura qu’à lui demander une fois lancée. Elle s’exécute. Elle se retrouve entre mes jambes, agenouillée sur le coussin du canapé, les pieds reposant sur l’accoudoir. Son cul, dressée en l’air, bien au dessus de sa tête dessine une cambrure magnifique, comme un totem érotique. Je le vois, derrière sa tête qui elle s’active en va-et-viens. S le regarde avec envie, aussi. SLUUUUUUURRRRP. MMMMMMMMH. GAAG GAAG GAAG. Elle fait des gros bruits de succion et pousse des petits gémissements. Ils sont vulgaires et sans modération. Depuis le temps que je lui apprend à me sucer comme ça, prenant la pornographie comme un manuel scolaire, c’est devenu une manière normale et habituel. Je m’en rends compte à ce moment-là, du parcours qui a été fait. La présence nouvelle de S y est sans doute pour beaucoup. Avec son cul, derrière, accueillant, j’adore.
La pipe dure encore quelques temps. J’attends. Je sais qu’elle cogite, qu’elle tourne la phrase dans sa tête. Elle est bloqué. Elle veut le sucer. Elle veut sa bite. Elle veut lui demander mais la gêne la sclérose. J’attends patiemment. Elle est capable du plus étonnant dans ces cas-là et dans un sens comme dans l’autre.
Puis le tant attendu arrive. Elle relève la tête, les lèvres pleines de bave à quelques centimètres de ma queue et lâche un timide « tu veux que je te suce S.?... »
La réponse est évidente, l’extirpant du canapé pour l’attirer vers celui d’en face. Elle se met exactement dans la même position, lui pompant la queue avec la même envie et la même maîtrise. Elle peut être fier d’elle.
Je m’aperçois en écrivant ses lignes qu’elle a vraiment passé le week-end entier avec une bite dans la bouche. Ce n’est pas pour lui déplaire. Je sais qu’elle adore ça.
Le soir elle se retrouve par terre, à genou. Elle est en talons et en sous-vêtements. On est tous les trois dans ma chambre. Elle est affairé à la même activité que tout à l’heure, une queue dans chaque main. Nous sommes debout avec S. J’adore cette position. Nous, debout, qui la surplombons. Elle, accroupie, nous regardant, nous charmant de sa soumission. Ca se voit qu’on l’impressionne, qu’elle se sent vulnérable fasse à nos corps plutôt massif et dressés, face à elle...
S a une idée de génie, il enlève sa cravate et lui mets autour du coup. L’ensemble lui donne un air de stripteaseuse. Ça lui va à merveille. Elle est hyper excitante. Je félicite S. Sa rebooste l’Energie sexuelle de Poupee qui nous suçait pourtant déjà a la perfection.
Un peu plus tard, je me retrouve allongé sur la moquette. Poupée est accroupie et sautille sur ma queue. Elle est dos à moi et pompe la queue de S qui est resté debout. Je lui claque le cul en le prenant à pleine main et en amplifiant ses mouvements. S tient sa tête fermement, la gifle doucement avec sa bite. Elle est devenu vraiment notre objet sexuel. Je passe le week-end avec un vieux pote et ma petite pute est la pour nous satisfaire. Cette vision, boostée aux stéroïdes me plaît et c’est exactement la version que je voulais. Faire de ma poupee une petite chienne que je partage n’est pas compatible avec un sentiment de jalousie. Je regarde S. Je le regarde la gifler avec sa grosse queue et je regarde la tête de poupee, penché sur le côté, les cheveux tenus, les yeux à moitié clos et les joues rougies par les biffles et par l’excitation, la bouche entre ouverte, pleine de bave, poussant de longs cris de jouissance. Je sais qu’il l’a voit beaucoup plus comme ma pute, que comme ma fiancée. Et elle, je sais qu’elle adore ça. La situation est rabaissante mais terriblement jouissive et elle y succombe. C’est pas bien mais c’est délicieux. Elle est notre petite pute, notre chose. Elle a lâché prise et se retrouve prise entre nos mains fermes et nos queues durcies, totalement à notre merci.
Je ne ressent aucune jalousie. Je suis rempli de fierté, de contrôle et d’excitation.

Le lendemain matin, dans la cuisine, je sens poupee déçue. Ma petite sœur arrive dans une petite heure, S doit se casser dans pas longtemps. Elle réalise que le week-end est fini et elle aurait aimé qu’il y est plus de cul, que ça dure plus longtemps. Comme pour nous supplier de la baiser une dernière fois même si le temps joue contre nous, san rien dire, elle se précipite à nos pieds et sort nos deux queues. Excitée, frustrée, avec la ferme intention de ne pas perdre une minute, elle se transforme en petit chienne de film porno. La bouche grande ouverte, elle sort sa langue, se biffle avec nos queues qui commencent à s’endurcir devant ses charmes, elle se les enfonce au fond de la gorge en poussant des petits cris de plaisir. Elle est très douée et on est pas du genre difficile. Ni une ni deux on la relève la dirige vers la porte avec une bonne claque sur le cul, direction la chambre. Pour la dernière, on a envie d’être confo. Poupée est allongée sur le lit, les genoux par terre autour de de ceux de S qui est derrière elle et qui la culbute de toutes ses forces, à en inquiéter un osteo. Je suis accroupie sur le lit avec la queue au fond de sa gorge. Je lui baise littéralement la bouche, les mains agrippant ses cheveux. S lui a bloqué les mains dans le dos. On la défonce de toutes nos forces et par les deux bouts. Elle voulait une dernière baise, on lui donne de quoi tenir plusieurs jours. Nos bruits sont animals. Avec S nous poussons des râles agressifs, tirant sur nos muscles pour faire rentrer nos queues aussi fort que possible et faire gigoter son gros cul et sa petite tête aussi fort qu’on peut. Poupée elle, pousse des petits cris de stupeur, succombant à la violence de nos assauts, dans une jouissance magnétique et omniprésente. On se regarde avec S, se sourit. Ce que nos airs disent, c’est « putain quel kiff! ». Je crois même qu’on se l’ai dit à pleine voix.
Je regarde l’heure, il faut que je file et je profite de ce contre-temps pour faire germer peu à peu une idée dans la tête de poupee. Baiser d’autres mecs, mais sans ma présence... c’est une idée naissante, qui m’excite depuis le début de cette histoire mais qu’il va falloir faire pousser doucement dans la tête de poupée.
J’annonce que je dois me tirer, j’ejacule dans sa bouche qui s’empresse d’avaler. Je lui fais reprendre ces esprits en lui mettant deux petites claques. Je lui explique que je dois filer et que je veux qu’elle continue à bien se faire défoncer par S. Elle m’esquisse un grand sourire au milieu d’une tête qui valdingue violemment par les coups de rein de S. Je crois qu’elle comprend. Je veux par contre « t’entendre jouir comme une chienne jusqu’en bas ». Elle me répond un d’accord, qui s’enfuit dans un sourire extatique.
On se tape dans la main avec S, comme deux coureurs de relais. Je quitte la chambre, les couloirs et les escaliers en entendant les hurlements de ma petite pute soumise. Je l’entends au loin, subir avec délectations les coups de bite de S qui semble avoir redoublé d’efforts pour qu’elle puisse honorer sa promesse.
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par RecreADeux
#2195349
Superbe récits !

Ne veniez vous pas sur le forum sous un autre pseudo partager des photos de Poupee en mode pupute?
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par GeekyBull
#2196479
Ah bon sang, alors là on comprend vraiment que ça deveit être un vrai supplice de ne rien laisser paraître en recevant ces photos, qui sont exactement comme tu les avait décrites, mais encore plus dingues ! Il s'est appliqué à la prise de vues le fripon...
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par mh35
#2198172
Je viens de lire vos récits, et wow ! Je suis fan :-)
Déjà parce que la situation est excellente, je suis moi même grand fan de bimboification, et le style d'éducation que tu offres à ta fiancée est tout simplement parfait.
Et ensuite parce que c'est extrêmement bien écrit, le choix des petites phrases, certaines tournures sont vraiment délectables.
Et pour finir, vos photos illustrent très bien le récit.

Bref, merci mille fois pour ce partage, et j'ai hâte de lire la suite, si suite il y a !
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par Bimboowner
#2198236
@mh35 merci pour ces compliments. Ça me touche beaucoup. Il y a bien sur une suite, qui d’ailleurs monte en puissance. Je mettrai des photos, des échanges de textos, un texte écrit par Poupée, qui relate sa version d’un des épisodes. Disons que c’est la saison 2 ;)
J’aurai un peu plus de temps dans les prochains jours pour pouvoir m’y pencher.

À très bientôt et merci encore!
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par christo
#2198371
bravo pour ces superbes récits qui nous font bien vivre ces expériences. on sent bien votre relation d/s qui vous unie...et que dire des premières photos de la poupée ;)
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par mh35
#2198424
@Bimboowner
J'ai très hâte de lire la suite... La saison 2, ça fait rêver, je crois que votre aventure va devenir une de mes séries cul-tes (j'ai pas pu m'empêcher :D)
par Thomas7592
#2198428
@Bimboowner vos récits m'ont fait fantasmé ! un vrai dont d'écrivain et les quelques photos nourrissent mon imaginaire.
Hâte d'en savoir / voir plus sur vos aventures

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