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N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
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par Nymphette
#2252629
PateL a écrit :Je n'ai pas tout tout tout (vous saurez tout etc) bien compris... Qu'est ce que l'homme à la cage de fer veut tenter de relever ? :o

Il n'y a pas qu'à moi qu'il faut tout expliquer :)
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par Nymphette
#2253111
- UNE SOIREE TRES SPECIALE -

Nous attendions tous les deux, devant cette porte d'appartement, qu'on nous ouvre. L'espace d'un instant, je me suis demandée ce que je faisais là mais je n'ai pas eu le temps de pousser ma réflexion plus loin, la porte s'ouvrait.

Jérôme nous accueillit. J'étais si heureuse de le revoir. C'est lui qui avait organisé cet événement un peu spécial, qui était une grande première pour moi. Une soirée coquine avec des hommes que je connaissais, d'autres pas, d'autres couples. Bref, tout un mélange de libertins sans doute plus habitués que nous à ces situations.
Mon époux serra la main de Jérôme, mais moi, je n'ai pas résisté à l'envie de l'embrasser langoureusement. J'oubliais un instant le lieu, l'événement, entièrement consacrée à ce baiser, ces sensations, la joie de le retrouver, mon époux qui se délectait du spectacle que je lui offrais.

"Dis-donc Jérôme, tu pourrais partager au lieu de garder tout pour toi !"

Une voix masculine un peu gouailleuse venait d'interpeler mon partenaire. L'homme nous rejoignit dans l'entrée, nous obligeant à interrompre notre baiser.

"Tu ne me présentes pas ?" demanda l'intrus
"À toi de deviner de qui il s'agit, Michel"
L'homme me dévisagea de bas en haut, ce qui me gêna terriblement.
"Voyons ... De gracieux escarpins, de longues jambes fuselées vêtues de bas, un corps fin, de longs cheveux, un petit minois timide, ... Je parie que c'est notre Nymphette."

Je n'ai pas pu m'empêcher de sourire en baissant le regard. Manifestement, l'homme m'avait déjà détaillée sur nos photos, et sans doute plus d'une fois. Mon époux confirma mon identité et lui serra la main. Pour me dire bonjour, il se contenta de m'embrasser sur les joues mais en posant une main sur ma taille. Je ressentis une décharge de plaisir, d'autant que sa main glissa rapidement sur mes reins puis mes fesses. Je ne compris qu'après qu'il cherchait à savoir si je portais une culotte ... Evidemment, je n'en portais pas.

"Enchanté de faire enfin connaissance de la Nymphette".
Je n'ai pu murmurer qu'un timide bonsoir.

"Venez, entrez et installez-vous", dit Jérôme. Nous lui avons donné la bouteille de vin que nous avions apporté comme contribution au repas.
En entrant dans le grand salon, je vis qu'il y avait déjà d'autres convives. Au fond de la pièce, une femme assise sur un canapé qui semblait déjà bien occupée. Entourée de deux hommes, l'un qui devait être son époux la regardait tandis que l'autre jouait négligemment avec sa poitrine un peu dévêtue. Je le reconnus, en ressentant une pointe de jalousie. C'était Stéphane avec lequel nous avions joué une fois, en extérieur.
Je n'osais pas les déranger, mon regard fit le tour de la pièce. Un homme seul, plutôt séduisant, sirotait son verre, semblant attendre que la soirée s'anime. Enfin, deux hommes en pleine discussion parfois entrecoupée de rires, ils ne prêtaient pas attention à nous.

Je ne savais pas quoi faire, quelle attitude adopter. Jérôme, bienveillant, nous servit à boire et commença à discuter avec nous, surtout avec mon époux, plus à l'aise que moi. Il vit que j'étais tendue alors il s'approcha de moi et me glissa à l'oreille : "tu es très désirable, tout va bien se passer".
C'était sans doute ce que j'avais besoin d'entendre car je me suis relaxée presque instantanément. Sa douceur et son érotisme m'avaient désarmée.

Les deux hommes en discussion avaient fini par se rendre compte de notre présence. Ils s'approchèrent de nous en se présentant : Jean-Marc et David. Ils semblaient bien s'entendre et les plaisanteries coquines ne tardèrent pas à fuser. Il n'en fallait pas plus pour créer un lien avec mon époux. Comme souvent, j'avais l'impression d'être une potiche, ne sachant ni quoi dire, ni quoi faire. Je n'ai pas le sens de la répartie ni l'aisance corporelle pour me mettre en valeur en public. Je me contentais de boire une gorgée, mais je ne voulais pas me retrouver sous l'emprise de l'alcool.

Pendant ce temps, l'autre couple avait progressé. Stéphane avait maintenant le visage enfoui entre les cuisses de la demoiselle. Je n'osais pas regarder, je trouvais le spectacle très gênant, mais cela provoquait tout de même de l'excitation, à la manière d'un film érotique. Je m'arrangeais pour leur tourner le dos, mais je continuais à entendre leurs petits gémissements.

Michel revint vers nous, bien décidé à continuer son exploration commencée dans l'entrée.
"Je te trouve très silencieuse jolie Nymphette."
"Oui, je suis bien plus à l'aise à l'écrit, je ne m'en cache pas."
Mon époux se permit d'ajouter : "mais ma chère, vous savez faire usage de votre langue même sans parler !".
"Une petite demonstration s'impose" dit Michel en s'approchant de moi. Il était plus grand que moi mais avec mes hauts talons, je me trouvais presque à la même hauteur. Je sentis son désir de m'embrasser, y compris de manière olfactive. Je l'ai trouvé bel homme alors j'ai commencé à l'embrasser délicatement. Je l'ai senti fougueux et pressé de me déguster mais je voulais l'embrasser à mon rythme. Alors je dosais ce que je donnais pour lui faire comprendre sans le froisser. Il finit par se laisser faire et j'ai alors ressenti une immense fierté. Je voulais qu'on apprécie ma façon d'embrasser et pas uniquement le fait de m'embrasser.

Les autres hommes nous regardaient se délectant du spectacle mais je n'en avais pas conscience. Notre baiser prit fin, doucement et je lus la satisfaction dans ses yeux. Je lui souris, détendue. J'aime tant embrasser.

"Allez les amis, on ne va pas se contenter de boire, on va manger aussi !". Jérôme venait d'apporter quelques plats pour agrémenter le buffet. Je n'avais pas très faim, l'estomac un peu trop noué. J'ai picoré par politesse, mais mon époux a mangé, il lui en faut plus pour lui couper l'appétit.

Jean-Marc et David venaient nous faire la conversation de temps en temps mais nos échanges restaient très convenables. Quant au dernier homme, il restait toujours un peu à l'écart, en observation. Je le trouvais de plus en plus séduisant et ce côté mystérieux ajoutait à son charme.
J'étais à l'affût de tous les regards, les gestes, à la fois inquiète et dans l'attente d'un dénouement.
L'autre couple n'avait pas ces problèmes. Ils avaient filé dans une pièce attenante pour poursuivre leurs ébats, nous n'entendions que leurs râles et leurs soupirs. Tout allait bien pour eux.

Je sentais une tension monter. Je savais qu'il ne s'agissait pas d'un simple dîner entre amis. Il y avait un dénouement bien plus charnel à cette assemblée mais je ne voyais pas quand et comment nous allions basculer. Une fois de plus, c'est Jérôme qui fit admirablement la transition. J'étais assise sur le bord d'un fauteuil, les jambes résolument croisées, le regard un peu dans le vide. Il se mit à genoux à mes pieds en m'offrant un petit four, ce qui me fit rigoler. Alors je lui presentais mes jambes pour qu'il les caresse. Il remonta doucement jusqu'à ma robe qu'il souleva doucement pour dévoiler mon sexe. Je connaissais sa façon de faire et j'adorais cette douceur mêlée à une certaine détermination. Je m'abandonnais à son ardeur en me couchant un peu dans le fauteuil.
Mon époux attentif et tout aussi déterminé vient me dégager les épaules pour me caresser les seins. Voilà, j'avais basculé dans le plaisir charnel, sensuel, sous les caresses de mes deux hommes. J'avais oublié la présence des autres. Tout allait bien pour moi.

Les yeux fermés, je sentis soudain que quelqu'un m'embrassait. Je reconnus Michel qui revenait goûter à ma langue. Trois hommes sur moi ... une grande première ! Mais quel régal, mes cuisses se sont ouvertes un peu plus.
"Michel, je te cède ma place, tu verras, c'est divin" dit Jérôme.
Michel ne se fit pas prier. Il vint s'installer entre mes cuisses et commença à lécher mon fruit avec application. C'était délicieux et si différent de ce que je connaissais déjà. Sous ses airs gouailleurs, il était très délicat et attentionné.

J'ai eu envie d'adopter une position plus active. Je me suis relevée puis mise à genoux sur le fauteuil. Mon époux en profita pour enlever complètement ma robe. Je présentais alors ma croupe à Michel pour qu'il continue à explorer mes replis avec sa langue. Il semblait beaucoup apprécier. Mon époux, les yeux brillants, continuait à caresser le haut de mon corps.
Je fermais souvent les yeux mais quand je les ouvrais, ma nouvelle position me permettait de voir le convive anonyme, qui regardait notre scène paisiblement. Il semblait apprécier le spectacle mais rien ne laissait à penser qu'il souhaitait participer.
Cette distance aiguisa encore un peu plus mon envie de lui. Mais j'étais trop "occupée" pour prendre l'initiative.

Je vis l'autre couple sortir de la pièce, ils avaient terminé, du moins une première étape. Ils venaient se restaurer à peine vêtus. Cela me choqua mais je réalisais que je me trouvais moi-même en bas et porte-jarretelles, à quatre pattes, en train de me faire dévorer le minou et caresser les seins par deux hommes. Ce n'était pas pire.

J'avais envie d'aller plus loin mais aussi de m'isoler. Je sussurais à mon époux : "on pourrait aller dans une chambre ?". Il alla voir Jérôme et revint en me prenant par la main pour m'emmener dans la pièce dont venait de sortir l'autre trio.

À demi-nue, j'ai traversé la pièce sentant le désir masculin qui m'enveloppait. Le trajet me faisait passer à proximité du mystérieux inconnu. Je n'ai pas réfléchi, je me suis approchée de lui pour l'embrasser longuement. Il se laissa faire, j'ai eu le sentiment qu'il attendait ce geste de ma part. Une fois ce baiser terminé, je suis rentrée dans la pièce, une chambre avec un grand lit au milieu. Un éclairage doux, des coussins, tout était accueillant. Les draps froissés me rappelaient que l'autre couple était passé avant nous, mais cela ne me dérangea pas.

Michel nous avait suivi. Il avait visiblement envie de goûter la Nymphette de partout. Pantalon enlevé, je pus constater par moi-même l'effet que je produisais. Je m'allongeais sur le lit pour qu'il puisse me pénétrer, ses jeux de langues m'avaient terriblement excitée. Je le sentis entrer en moi toujours avec cette fougue qui le caractérisait. C'était bon, intense, charnel, peut-être un peu trop rapide, je me suis laissée griser par ce plaisir expansif. Jusqu'à l'explosion avec grognements et râles adorables. Je lui avais donné beaucoup de plaisir et il était ravi.

Il y eut un moment de flottement. Qu'est-ce qu'il était sensé se passer après ? Devais-je me rhabiller ? Quitter la chambre ? Je me sentais très embarrassé et mon époux est venu à ma rescousse. Il a commencé à me câliner, excité de m'avoir vue si bien prise. J'étais rassurée de me retrouver seule avec lui un instant.

Nous étions concentrés dans nos ébats quand l'inconnu entra dans la pièce sans faire de bruit. Je l'ai vu arriver tout en poursuivant mon câlin. J'étais heureuse et excitée de le voir venir me prendre d'assaut. Il devait avoir besoin de discrétion pour s'exprimer.
Il attendit un moment de répit pour venir caresser mes pieds très délicatement. J'y suis très sensible, cette partie de mon corps étant devenu érogène grâce à mon époux.nSes caresses habiles me remplissaient de plaisir.
Il poursuivit par mes jambes, toujours avec beaucoup d'habileté. Il voulait visiblement me donner un maximum de plaisir et c'est ce qui lui en procurait. Il explorait chaque recoin de mon corps en prenant son temps. Je baignais dans un océan de sensations, sous le regard satisfait de mon époux.

Après ces très longs préliminaires, il finit par me pénétrer, de façon aussi délicate et intense que ses caresses. Un plaisir infini me fit gémir longuement lorsqu'il entra en moi. Sa cadence était parfaite, ni trop lente, ni trop rapide. La vue de son buste si masculin, son regard pénétrant, ses gestes calmes et assurés, tout me plaisait chez lui. Il ne disait rien, son corps parlait pour lui.
Le rythme se fit plus rapide, je resserrais mon étreinte, sentant la jouissance monter. Il m'attendait, retenant son propre plaisir pour laisser le mien s'épanouir. Je m'appliquais à contrôler l'expansion de mon orgasme pour qu'il soit délicieux et long surtout. Au démarrage, je m'autorisais un soupir bruyant pour lui signaler mon plaisir. Ce fut pour lui le signe qu'il pouvait jouir en ma compagnie. Son orgasme simultané amplifia le mien et nos râles se mêlèrent.

Mon époux me caressait doucement les cheveux en souriant. Il m'embrassa tendrement. J'enlaçais mon inconnu qui savourait son plaisir. Je lui murmurais à l'oreille :

"Comment t'appelles-tu ?"
"Je m'appelle Vick."
par sbe4
#2253276
Encore un sublime récit de @Nymphette tout aussi excitant, si ce n'est plus.... que les précedents.
En tout cas je constate que pour une timide vous vous dévergondez souvent quand même....
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par croclavie82
#2253421
Pfiouuuu ! Chère @Nymphette quelle progression. L'histoire ne dit pas si elle est réelle ou fantasmée, mais même dans la seconde hypothèse, c'est déjà un pas énorme que d'accepter l'ambiance d'une soirée ou se côtoient couples et hommes à la recherche de plaisirs.
Il y a encore quelques semaines encore, vous auriez rejeté cette idée.
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par Nymphette
#2253426
Maripreteur31 a écrit :Quelle superbe écriture ... Quel style ... Quelle élégance !!

Merci pour ce récit, sublime Nymphette !!

Merci à vous pour votre enthousiasme, c'est très agréable à recevoir <3
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par Nymphette
#2253428
sbe4 a écrit :Encore un sublime récit de @Nymphette tout aussi excitant, si ce n'est plus.... que les précedents.
En tout cas je constate que pour une timide vous vous dévergondez souvent quand même....

Merci ... La timidité, je lutte contre presque en permanence.
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par Nymphette
#2253434
croclavie82 a écrit :Pfiouuuu ! Chère @Nymphette quelle progression. L'histoire ne dit pas si elle est réelle ou fantasmée, mais même dans la seconde hypothèse, c'est déjà un pas énorme que d'accepter l'ambiance d'une soirée ou se côtoient couples et hommes à la recherche de plaisirs.
Il y a encore quelques semaines encore, vous auriez rejeté cette idée.

Merci. Quelques explications s'imposent pour situer ce récit.
Il est entièrement inventé, ne fait référence à aucune situation ou personne connue. J'avoue être intriguée par ces événements "collectifs" alors même que j'en ignore tout. Mon récit ne fait que raconter la façon dont je les imagine et comment je pourrais les vivre. Bref, une grosse séance d'introspection :)
Mais au final, je ne suis pas certaine d'avoir envie de le vivre "pour de vrai" ;) et pas sûre que mon époux le souhaite aussi d'ailleurs.

Donc fantasme, fantasme, mais qui avait besoin d'être exprimé et exploré 0=)

Et puis écrire me manquait un peu aussi :D
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par Nymphette
#2253438
vince91 a écrit :tu nous aimes dur et tu sais y faire coquinette , quel récit

:o j'ai relu plusieurs fois, cherchant une faute de frappe ou de correcteur orthographique fantasque ... Mais non ... J'ai fini par comprendre le message :oops:
Alors ça me fait très plaisir de savoir l'effet ... J'en suis toute gênée et toute contente.

La Nymphette coquinette, c'est très mignon
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par PateL
#2253445
croclavie82 a écrit :Pfiouuuu ! Chère @Nymphette quelle progression. L'histoire ne dit pas si elle est réelle ou fantasmée, mais même dans la seconde hypothèse, c'est déjà un pas énorme que d'accepter l'ambiance d'une soirée ou se côtoient couples et hommes à la recherche de plaisirs.
Il y a encore quelques semaines encore, vous auriez rejeté cette idée.

Concernant la progression en corps, moi ce qui encore me rassure c'est qu'il y a encore de la marge encore et encore... :P
Et sa continue encore et encore, c'est que le bédut d'accord, d'accord... :x
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par PateL
#2253447
Nymphette a écrit :Merci ... La timidité, je lutte contre presque en permanence.

Mais... cela participe grandement à votre charme, ma chère étendrépouse... Et croyez-moi, c'est assez unique en plus d'être fort plaisant (pour amateur du genre évidemment) !
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par PateL
#2253449
vince91 a écrit :tu nous aimes dur et tu sais y faire coquinette , quel récit

Pour ma part, j'ai une préférence pour les coquinettes al dente... Je ne sais pas pourquoi les femmes sans dents, cela me fait comme un blocage... :o
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par croclavie82
#2253551
PateL a écrit :Mais... cela participe grandement à votre charme, ma chère étendrépouse... !

Mon cher @PateL , je ne peux que plussoyer à cette déclaration. La @Nymphette sans sa timidité ne serait plus la Nymphette !
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par Nymphette
#2253756
jeanrp a écrit :Un joli récit plein de fantasmes, un programme peut être ;)

Mais chère @Nymphette , je pense que personne ne vous croit, après vous avoir lu, quand vous vous décrivez comme timide :D


Jeanquivousaluvouslitetvouslira

Et pourtant ...
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par Nymphette
#2253757
croclavie82 a écrit :
PateL a écrit :Mais... cela participe grandement à votre charme, ma chère étendrépouse... !

Mon cher @PateL , je ne peux que plussoyer à cette déclaration. La @Nymphette sans sa timidité ne serait plus la Nymphette !

:oops:
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par Nymphette
#2253763
PateL a écrit :
croclavie82 a écrit :Pfiouuuu ! Chère @Nymphette quelle progression. L'histoire ne dit pas si elle est réelle ou fantasmée, mais même dans la seconde hypothèse, c'est déjà un pas énorme que d'accepter l'ambiance d'une soirée ou se côtoient couples et hommes à la recherche de plaisirs.
Il y a encore quelques semaines encore, vous auriez rejeté cette idée.

Concernant la progression en corps, moi ce qui encore me rassure c'est qu'il y a encore de la marge encore et encore... :P
Et sa continue encore et encore, c'est que le bédut d'accord, d'accord... :x

:) Un message subliminal peut-être pour avoir encore d'autres histoires ? 0=)
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par croclavie82
#2253883
@PateL qui ne laisse rien passer !
juste un message lâché sans relecture peut-être lol
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par PateL
#2254039
@croclavie82
L'expérience m'a appris qu'il était préférable de ne rien laisser dépasser... C'est fragile ces petites choses tout de même... ;)
Plus sérieusement, quand je vois, après coup, certaines de mes fautes dortograf comme par exemple "sa continue" dans ce même message, je suis navré, j'ai honte... :( Bien évidemment, on écrit un truc, on y revient, on veut faire vite et pof on pose une...
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coquille, bien enroulée et fumante... (et ça c'est sans compter les différences de clavier : pour ma part j'en utilise 3 de bien différents... Mais bon, pas d'excuses, une m@rde est une m@rde... Faut assumer ses actes (ou ses absences d'actes, ce qui revient au même). !!! Hein, Manu qu'j'ai raison ?... 8-)
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par PateL
#2254040
Nymphette a écrit : :) Un message subliminal peut-être pour avoir encore d'autres histoires ? 0=)

Je dirais même plus un massage sublime anal peut-être pour avoir d'autres histoires encore ? lol
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par Nymphette
#2265814
Deux points de vue pour un délicieux moment de partage ...

- PREMIÈRE RENCONTRE -

LUI

Je descends cette interminable allée qui mène à mon lieu de rendez vous, gorge un peu nouée je réfléchis à ce qui va se passer, je ne suis pas spécialement à l'aise, les échanges étaient parfois très intimes, quelque chose s'est créé c'est indéniable, mais c'est pourtant dans l'inconnu que j'avance. Nymphette me fait fantasmer, mais est ce elle ? ou cela pourrait être n'importe qu'elle femme coquine qui porte des bas ? Et moi ? Un complice parmi d'autres qui a accepté de rentrer dans un jeu ? Je lui dirai plus tard que j'avais peur que nous soyons prisonniers de nos fantasmes et que cette rencontre soit impersonnelle.

Je reçois un texto de Patrice "prêt ?" Je réponds par la négative, un autre arrive aussitôt "parfait alors !! la Nymphette non plus .. ", je souris, au moins j'arriverai un peu moins tendu.
Je les ai repéré de loin, Nymphette est de dos .. peur d'être déçue ? de décevoir ? envie d'être surprise ? peut être un peu de tout ça, je m'approche, je distingue mieux sa jupe à pois, nous en avions parlé, j'aime cette attention, ses jolis bas rose, ses escarpins noirs, un chemisier foncé et un foulard forment un tout élégant et classe, je suis sous le charme, a vrai dire je l'étais déjà avant ça.

Je salue Patrice,il a un sourire malicieux auquel je réponds, Nymphette se retourne, très gênée, enfin je vois son visage, il est différent des photos, peut être mieux, elle est la, devant moi, réelle et elle me plaît, j'espère que moi aussi, nous nous faisons la bises, ou plutôt nous nous débarrassons de ce moment tellement nous sommes gênés et un peu gauche, puis nous avançons. Souvent je lui jette un regard mais impossible de croiser le sien, je ne suis pas étonné et au contraire cela me rassure, c'est bien cette femme que je voulais rencontrer, celle qui cherche auprès de son mari une sorte d'énergie pour avancer. Des petits sons sortent de sa bouche que je distingue a peine, Patrice s'en amuse, moi ça me détend Nymphette, elle, semble toujours aussi gênée.

Je tends l'oreille avec la crainte d'entendre un "viens on s'en va" qui scellerai mon sort, je dois savoir, je veux savoir.... alors j'attrape sa main, elle accepte, une douce chaleur m'envahit, le mal aise s'en va comme le soleil dissipe la brume, mon soleil et moi avançons main dans la main, je suis bien.
Nymphette aussi va mieux, nous échangeons quelques mots, parlons un peu chiffons, évoquons la pluie et le beau temps jusqu'à ce petit banc, un peu discret, sur lequel nous nous asseyons. J'ose quelques caresses sur son dos, de temps en temps lui demande si ça va bien, Patrice aussi, je croise régulièrement sa main qui la caresse, et sans doute la rassure. Soudain Nymphette pose sa tête sur mon épaule, j'approche la mienne, joue contre joue nos lèvres se frôlent, une fois puis une autre, nous nous attardons un peu, ce baiser je l'avais tant espéré, la il est timide, presque pudique mais tellement délicieux, puis il gagne un peu en intensité sous le regard presque surpris mais bienveillant de son mari, c'est alors qu'il lance les hostilités, il fait glisser la jupe pour dévoiler les bas de notre muse, ma main s'aventure et constate que Nymphette rime avec distraite lorsque je ne trouve aucun tissu qui protège sa toison, moment très excitant ou je sens que mon sexe est luisant, je veux fouiller plus loin, quand des cris d'enfants me disent que non...
Le banc n'est pas si discret, la balade reprend.

Cette fois nous sommes beaucoup plus détendu, toujours main dans la main nous discutons en avançant, je sens une résistance, Nymphette me tire pour m'embrasser, j'aime ce moment aussi surprenant que spontané, Patrice lance alors une plaisanterie qui nous fait tous les trois rire.
Nous arrivons sur un autre banc, dans un endroit peu passant, je l'embrasse a nouveau, Patrice la déchausse, elle est au milieu de nous deux, centre de nos attentions, ma bouche s'égare sur son cou descend sur sa poitrine, ma main gauche se faufile entre ses cuisses, je touche des doigts son vagin humide, elle soupire.... et décuple mon désir, les baisers se font plus fougueux.. mais un nouveau bruit vient interrompre nos caresses, un couple avec enfants s'installe non loin de nous.
Petite pause forcée, je la déchausse à mon tour et découvre un pied divin, parsemé de grain de beauté, très fin et bien cambré, sans aucun doute le plus beau que j'ai touché, je ne résiste pas à l'envie de l'embrasser, je voudrais tant le lécher mais il est couvert d'un bas que je ne veux pas abîmer.
Que j'aime l'alternance de ces moments, ou se succèdent douceurs et envies, tendresse et lâcher prise, je connais peu la Nymphette mais j'ai l'impression que nous nous comprenons.
Les badauds sont partis, place de nouveau au désir, un téton dans ma bouche s'agite au rythme de ma langue ou s'étire lorsque que je l'aspire, ma main fouille son vagin qui s'ouvre avec plaisir, j'y enfonce un doigt puis deux, je cherche son bouton, je l'entend encore qui soupire, augmentant mon désir, j'ai envie de la goûter, j'approche ma bouche et je fais durer le plaisir, j'embrasse ses cuisses, l'odeur m'enivre et la vue de ses lèvres me fait frémir, je vais la goûter quand un nouveau bruit nous ramène a la dure réalité...
Je comprends que ce sera difficile aujourd'hui, je suis un peu frustré mais heureux, l'idée était de nous découvrir de nous plaire, nous sommes déjà allé au delà, nous avons même déjà convenu d'un "après"

Je propose que nous reprenions notre chemin.
Le retour est détendu, léger, nous discutons, parfois nous rions, je donne la main a Nymphette, la tient par la taille ou lui caresse les fesses, elle se laisse volontiers faire bien loin de ce début de rencontre où elle était toute intimidée. Un peu plus loin nous déambulons, elle est au milieu et donne la main à ses deux hommes du jour, personne à part nous trois ne sait qui est qui, je suis très fier de m'exhiber avec cette merveilleuse femme, jouant de cette ambiguïté auprès des passants.

La sortie approche, reste seulement cette allée, décidément allée de la gorge nouée, je réalise que le temps est passé très vite presque deux heures qui ont semblé être un battement d'ailes de papillon, je réalise aussi le flots d'émotions ressentis en si peu de temps... de la crainte, de la gène, de l'espoir, de la surprise, de l'apaisement, du désir, du plaisir, de l'envie ou encore du bonheur ou de la fierté ... Tant d'autres que j'oublie, c'était deux heures de concentré de vie, je ne croyais pas cela possible avec des personnes que je connais si peu et qui d'un coup me semble si proche, sans doute un peu la magie du partage et de la complicité qui naît, je suis content ça me plaît.

Nous sommes dehors, l'heure des adieux, la promesse de se revoir, très vite, dans quelques jours, un dernier baiser à la Nymphette puis je les regarde s'éloigner, sans doute vers une après midi coquine, j'espère être un peu parmi eux, j'en aurai l'agréable confirmation quelques heures après.
Me voilà retourné a mes activités normales, un peu affamé je dois dire, je m'apprête à prendre une bouchée quand une odeur me chatouille les narines, je porte ma langue aux doigts, la Nymphette m'a laissé un délicieux souvenir, le goût de son plaisir que je lèche avec envie


ELLE

Ce premier rendez-vous, je l'attendais avec une grande impatience. Comment pouvait-il en être autrement ? Il faisait suite à des échanges nombreux, intenses, des histoires très étoffées écrites à quatre mains, stimulant beaucoup mes fantasmes et ma créativité. De nombreux points communs parfois troublants nous avaient rapprochés, et en fin de compte, l'expression d'un désir charnel très puissant me portait chaque jour.

La petite semaine d'attente a été longue, et sans surprise, le matin même, je me suis réveillée spontanément très tôt, d'excitation et d'inquiétude, l'excitation étant tout de même plus présente que l'inquiétude. Je m'étais "préparée" depuis plusieurs jours pour tromper l'attente ... soins de la peau, des cheveux, pose du vernis et surtout, je voulais impérativement finir de coudre cette jupe inspirée par lui, par ses goûts, par ses envies. Je voulais la porter pour la première fois pour lui, ce serait mon premier petit cadeau secret.
Le matin, il ne me restait plus qu'à me détendre avec une bonne douche et m'habiller, en résolvant un gros dilemme : bas ou jambes nues. C'est bien des problèmes de filles ça ! Mais je n'arrivais pas à me décider. Mon envie profonde était d'aller à ce rendez-vous jambes nues, car je voulais sentir ses mains directement sur ma peau, et je voulais aussi arborer ma chaîne de cheville dont j'étais certaine qu'il l'apprécierait. Mais la fraîcheur m'inquiétait, je ne voulais pas être perturbée par le fait d'avoir froid. Alors les bas devenaient nécessaires, et j'avais aussi très envie de me montrer avec cette accessoire que j'aime tant et dont je sais les hommes friands.
J'ai hésité jusqu'à la dernière minute, demandant conseil à mon époux, ce qui ne fut d'aucune utilité :). Cinq minutes avant de partir, j'ai ôté mon bijou et j'ai enfilé les bas rose que j'avais sélectionnés. Décision prise, en me disant que s'il osait, il sentirait ma peau tout en haut de mes cuisses. Je l'espérais.

Au moment du départ, l'inquiétude est venue d'un coup, mon époux l'a vu aussitôt sur mon visage. Il m'a rassuré sur le fait que tout allait bien se passer, qu'il n'y avait aucune raison de s'inquiéter, que j'étais très jolie et désirable. Cela a fait retomber un peu la pression. Mais une fois sur place, je me suis sentie de nouveau très tendue et désorientée. Le trac commençait à faire ses ravages silencieux.
Cette allée, cette longue allée qui m'avait déjà donné des émotions fortes par le passé, je la descendais au bras de mon époux, et cette fois, c'est moi qui allait attendre mon complice en bas, puisque nous étions un peu en avance. Le monde n'existait plus autour de moi, je sentais seulement mon cœur cogner et ma respiration se suspendre par moment.
Arrivée en bas, je tournais le dos à l'allée, ne me sentant pas le courage d'affronter la vue de sa silhouette arrivant vers nous. J'avais si peur, et j'aurais été bien incapable d'expliquer de quoi précisément ... crainte de ne pas plaire, de décevoir, de rester paralysée et inexpressive, de gâcher ce moment tant attendu.
Mon époux était presque hilare de la situation, et quand il a vu notre complice arriver au loin, il lui a envoyé quelques sms pour détendre l'atmosphère. Mon corps tendu comme un arc, je me concentrais pour arriver à respirer .... La situation me semblait absurde, mais impossible pour moi de faire autrement. Lorsque j'ai compris qu'il était là, juste derrière moi, j'ai murmuré, pour moi-même "bon, là, je n'ai plus le choix, il va falloir que je me retourne", et avec un grand élan de courage, je me suis retournée ... et presque jetée sur lui pour lui faire la bise, pour évacuer ce moment désagréable que j'étais en train de traverser.

Je n'osais pas le regarder, encore moins le dévisager. Je me souviens juste m'être dit que je l'imaginais moins grand ... mais ça tombe bien, j'aime bien les hommes grands. Nous avons commencé à marcher vers les jardins, et je me suis naturellement positionnée entre les deux hommes, me sentant à ma place. J'essayais de me détendre mais sans arriver pour autant à prononcer plus de deux ou trois mots d’affilée . Mon époux parlait pour moi, je le savais, ce qui me laissait le temps de me concentrer pour évacuer ce trac au plus vite. En effet, je savais que nous n'aurions que peu de temps, et je ne voulais pas gâcher ce moment, ne pas reproduire mes erreurs du passé. Il fallait mettre mes inquiétudes au tapis.
Au bout de quelques minutes, alors que nous prenions la direction d'une allée, j'ai senti un frôlement sur ma main, je ne m'y attendais pas. Sa main cherchait la mienne, tout doucement ... une invitation, une envie, presque naturelle, à laquelle je n'ai même pas eu à céder. Je lui ai donné ma main, plus facilement que je ne lui donnais mon regard ou mes paroles. Mes inquiétudes se sont envolées, instantanément. Je me suis sentie d'une légèreté incroyable, j'ai repris contact avec mon environnement, je sentais le sol sous mes pas, le soleil sur mon visage, l'air un peu frais, toutes les sensations sont revenues d'un seul coup et cela m'a procuré un plaisir intense. Je pouvais enfin le regarder (un peu), lui parler (un peu), l'observer aussi. il a l'air si doux, si calme, si prévenant avec moi, parlant aisément. Il a quelque chose de terriblement rassurant, je me sens tout de suite très bien en sa compagnie.

Nous poursuivons notre petit périple, jusqu'à trouver un banc au soleil. Ils veulent m'épargner une marche trop longue, alors nous nous installons, moi toujours entre eux deux, c'est une évidence. Le contact de mes fesses sur le marbre froid me fait sursauter en même temps qu'il me rappelle que je ne porte pas de culotte. Cette sensation me ramène à la situation présente, le plaisir charnel que nous souhaitons tous les trois. Je sais qu'il va se passer quelque chose dans les minutes à suivre et je m'y prépare avec délice.
Nous continuons à papoter, moi la tête souvent tournée vers mon époux assis à ma droite. J'ai encore du mal à affronter la situation, mais je me sens au bord du passage, de la frontière que je dois traverser, je n'ai qu'un tout petit pas à faire, et ce sont eux qui vont m'y aider. Lui passe sa main sous mon gilet ... ce qui me fait frisonner, et mon époux précipite les évènements en soulevant ma jupe après s'être assuré que nous étions seuls. Alors, je me tourne vers lui, je me rapproche, pose mon menton sur son épaule pour sentir sa barbe contre ma joue, mon nez. Cette approche indirecte me plait terriblement, j'adore cette sensation que j'avais fantasmé dans nos écrits. Nos bouches se rapprochent, se touchent, enfin ... cette bouche qui sur les photos me faisait tant envie, je la sentais maintenant et c'est un régal. Baiser timide d'abord, ni lui ni moi n'avions envie d'aller trop vite. Mais j'ai cherché sa langue avec la mienne, un peu, et il me l'a donnée, avec plaisir. Simultanément, sa main a parcouru ma jambe découverte et très vite, il est arrivé au bout de son voyage. J'attendais avec malice ce moment où il découvrirait ma surprise cachée ... l'absence de culotte. Quel délicieux moment de sentir le bout de ses doigts me caresser, tout doucement ... c'est le moment précis où j'ai basculé dans ma bulle de plaisir à trois, et bien sûr, c'est le moment où nous avons été dérangés par des promeneurs.

Nous reprenons notre promenade, cherchant un endroit plus calme. Je suis un peu déçue, car les bosquets sont fermés à cette saison. Il va être plus difficile de trouver un endroit à l'abri des regards indiscrets, mais il y a peu de monde malgré tout. Marchant toujours main dans la main, je me sens maintenant pleine d'audace et je souris presque involontairement tant je suis heureuse. J'ai envie de l'embrasser, je le fais. Je crois même lui avoir demandé si ça allait, et il m'a répondu que oui. Il avait l'air tout aussi heureux et émerveillé.
Nous finissons pas nous installer dans le seul bosquet accessible, sur un banc permettant de voir les promeneurs arriver au loin. Je sais que mon époux veillera à notre tranquillité, je suis complètement détendue cette fois et j'attends la suite avec impatience maintenant.

De nouvelles caresses, de nouveaux baisers nous rapprochent, mon époux me déchausse, je ne m'y attendais pas, mais je me laisse faire avec grâce. Après tout, c'est par là que tout a commencé, mes petits pieds dont il est grand admirateur. Mais je le sens plus intéressé, à ce moment, par mon dos, ma taille, mes fesses, mes seins. Ses mains me parcourent fébrilement, je sens un désir à la fois puissant et contenu l'animer, et dieu que c'est bon. Sa main gauche repart à l'aventure sous mes jupes, joue un peu avec ma toison, mais très vite, il cherche le chemin de l'entrée ... j'écarte un peu les cuisses pour lui faciliter la tâche, et il ne se fait pas prier pour me visiter de l'intérieur. Je ne peux réprimer un soupir, tant c'est bon. Plus rien n'existe que le plaisir, son désir, ses envies de me découvrir et il semble profiter pleinement du moment. J'ai même l'audace (après quelques hésitations), de venir caresser doucement son entrecuisse. Pas facile à travers le pantalon de faire quelque chose de précis, mais je m'y emploie, même si mon envie d'accéder à sa verge m'obsède.
Nous sommes de nouveau dérangés par une famille venue manger sur un banc non loin de nous. Il va falloir être un peu sage. Il en profite pour m'observer en détail. Mes pieds, mes jambes, mes mains, il semble hypnotisé, émerveillé, je me sens comme une petite poupée entre ses mains, un objet précieux dont il se délecte. C'est une sensation inconnue et très agréable. J'en profite pour embrasser mon époux, pour le remercier de ce beau moment qu'il a organisé. Je le vois heureux, à l'aise comme toujours, à sa place.

Les promeneurs ayant fini leur repas, ils disparaissent dans les allées, nous laissant le champ libre pour poursuivre notre câlin interrompu. Les baisers reprennent de plus belle, le désir encore plus puissant de me déguster. Mon époux vient jouer avec ma porte arrière, sachant l'effet que cela me procure. Prise ainsi par l'arrière, je ne peux que me tortiller de plaisir et offrir mon corps à la bouche de mon complice. Il cherche mes seins. D'un geste rapide, je fais tomber une bretelle de mon caraco pour lui offrir, en toute impudeur ... et alors que je sens sa langue jouer avec ma pointe, je passe ma main dans ses cheveux, je caresse sa barbe. Je suis sous l'emprise de mes deux hommes, cela faisait longtemps que je n'avais pas connu ces sensations incroyablement intenses et je suis ravie de les retrouver. Leurs caresses à l'unisson me provoquent de très violents frissons et je sens que les doigts de mon époux pourraient bien provoquer une inondation s'ils continuent à s'agiter ainsi. Je crois même que c'est ce qu'il recherche.
Mon partenaire ne sait plus où donner de la tête. Mes seins semblent le satisfaire mais il a aussi envie de venir goûter mon fruit. Alors j'écarte largement les cuisses, la jupe relevée, le sexe en plein soleil, offerte plus que jamais. Il se met à genou au sol et s'approche de moi ... avant que nous ne soyions de nouveau dérangés. J'ai maudit ces promeneurs, j'avais tellement envie de sentir sa langue en moi, de lui faire goûter mon miel que nous avons longuement évoqué dans nos échanges. Mais il faut se résoudre, d'autant que l'heure tourne, même si je n'ai aucune conscience du temps qui s'est écoulé.

Nous prenons le chemin du retour, en riant. Cette fois, je tiens mes deux hommes par la main. J'adore cette situation inconvenante, et je surprends quelques regards outrés. Mais je ne l'affiche pas trop, je ne veux pas le gêner. Le moment de la séparation approche. Cela me rend un peu triste bien évidement, mais je profite de chaque instant, de chaque caresse, de chaque regard. Je souris sans cesse, je me sens très bien avec lui, et je sais qu'il y aura rapidement une suite qui risque d'être formidablement intense.
Je profite aussi des derniers instants, ce dernier baiser passionné où mon corps vient se coller contre le sien, je sens ... sa dureté contre le haut de ma cuisse ... et j'en ai un frisson intense.
Après avoir convenu de la suite, nous partons chacun de notre côté. Je lui tourne le dos, comme au départ, mais cette fois volontairement. J'ai envie qu'il m'observe une dernière fois, j'espère qu'il le fait.

La suite de l'après-midi fut coquine, puisque comme à chaque rencontre, nous éprouvons tous les deux un besoin très fort de nous retrouver, charnellement. Prolongeant les jeux et l'érotisme du milieu de journée, j'ai joui, intensément, en prononçant son prénom plusieurs fois, mon époux a joui en moi, très intensément également. Les effets secondaires de ce type de rencontre m'étonnent toujours ... les sensations sont décuplées, le bien-être qui s'en suit est immense, l'impression contradictoire d'être très présente et totalement ailleurs.
Ce coquin me plaît, dans la continuité de notre découverte par écrit, et au-delà car j'ai pris un peu la mesure de la force de son désir pour moi ... et cela me fait encore chavirer plusieurs jours après.
par azerty2
#2265841
merci @Nymphette d'avoir pris autant de temps pour nous partager cette aventure en détails. Superbe. Et vraiment intéressant ce double point de vue. Vivement la suite !
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par Nymphette
#2265849
azerty2 a écrit :merci @Nymphette d'avoir pris autant de temps pour nous partager cette aventure en détails. Superbe. Et vraiment intéressant ce double point de vue. Vivement la suite !

Merci, je transmettrai aussi à mon complice.
La suite va venir vite (l'histoire peut-être moins, je laisse toujours passer un peu de temps avant d'écrire).
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par croclavie82
#2266110
Cela faisait quelques temps que vous ne nous aviez pas fait don d'une de vos histoires chère @Nymphette , mais l'attente est récompensée de ce magnifique récit à 4 mains. Un grand merci.
Merci également à ce charmant complice qui a su éveiller ces émotions et nous retranscrire les siennes.
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par Nymphette
#2266117
croclavie82 a écrit :Cela faisait quelques temps que vous ne nous aviez pas fait don d'une de vos histoires chère @Nymphette , mais l'attente est récompensée de ce magnifique récit à 4 mains. Un grand merci.
Merci également à ce charmant complice qui a su éveiller ces émotions et nous retranscrire les siennes.

C'est qu'il faut parfois du temps pour écrire de belles histoires, et celle-ci l'est particulièrement. Je transmettrai à mon adorable complice <3
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par durandale
#2266231
Quelle histoire ! ... si joliement détaillée,
c'est bon de savoir, textuellement, les effets que procurent nos caresses ( un frisson ne sait pas mentir, évidement, mais quand c'est une femme qui "décrit", il y a une sensualité qui s'exprime ... et dans ce récit, tu nous gâtes, @Nymphette

... au plaisir de te ( / le ? ) lire bientôt
par Mattweu78
#2266280
C'est très bien écrit, nous partageons et ressentons votre plaisir et votre désir... Lecture très excitante qui me donne envie à moi aussi de goûter le miel...
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par Nymphette
#2266327
durandale a écrit :Quelle histoire ! ... si joliement détaillée,
c'est bon de savoir, textuellement, les effets que procurent nos caresses ( un frisson ne sait pas mentir, évidement, mais quand c'est une femme qui "décrit", il y a une sensualité qui s'exprime ... et dans ce récit, tu nous gâtes, @Nymphette

... au plaisir de te ( / le ? ) lire bientôt

Merci. Je trouve qu'on peut exprimer beaucoup plus le ressenti par l'écrit que par les photos. Et comme mon complice aime écrire également (on a aussi écrit quelques histoires inventées avant cette première rencontre), c'est un régal pour moi de connaître le vécu masculin.

Si vous avez le courage de remonter les pages, il y d'autres belles histoires à découvrir 0=)
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